Over 100 feared dead in Sudan paramilitary attacks in Darfur: UNSat, 12 Apr 2025 21:42:37 GMT

More than 100 people, including 20 children, are now feared dead in Sudan following paramilitary attacks on the besieged Darfur city of El-Fasher and two nearby famine-hit camps, the United Nations said on Saturday.The Rapid Support Forces (RSF), at war with the regular army since April 2023, launched “coordinated ground and aerial assaults” on Friday …

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Bolsonaro en route vers Brasilia, en vue d’une “probable” opération

L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro a quitté samedi l’hôpital de Natal (nord-est), où il avait été admis la veille pour de fortes douleurs abdominales, pour rejoindre dans un avion médicalisé la capitale Brasilia où il sera selon lui “probablement” opéré.M. Bolsonaro, 70 ans, est sorti de l’hôpital vers 17h30 (20h30 GMT) en marchant, vêtu d’une chemise jaune, et encore affublé d’une sonde nasale, a constaté un vidéaste de l’AFP. Avant de monter dans l’ambulance, l’ancien capitaine de l’armée a tenu faire un détour de quelques mètres pour saluer plusieurs dizaines de ses sympathisants, vêtus pour la plupart des couleurs jeunes et vert du Brésil, qui criaient “courage Bolsonaro” devant l’entrée de l’établissement médical. Il y a deux semaines, l’ancien dirigeant d’extrême droite a été renvoyé en procès pour tentative présumée de coup d’Etat, mais il reste vu par une partie de la population comme le leader incontesté de l’opposition au président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.”Après mon transfert (vers Brasilia), je serai probablement opéré à nouveau”, avait affirmé quelques heures plus tôt sur le réseau social X l’ex-président (2019-2022), qui a déjà subi plusieurs interventions chirurgicales ces dernières années en raison de séquelles d’un attentat à l’arme blanche durant la campagne présidentielle en 2018.Jair Bolsonaro, qui était arrivé vendredi à l’hôpital de Natal sur un brancard, a par ailleurs révélé que son médecin lui avait “dit qu’il s’agit de la situation la plus grave depuis l’attentat qui (lui) a coûté la vie en 2018″.”Après avoir vécu tant d’épisodes similaires tout au long de ces dernières années, je me suis habitué à la douleur. Mais cette fois, même les médecins ont été surpris”, a-t-il ajouté, tout en soulignant qu’il se trouvait “dans un état stable, en voie de rétablissement”.”Son état de santé n’a pas empiré, il est stable. Mais une intervention chirurgicale est nécessaire pour résorber la crise”, a déclaré à l’AFP Rogerio Marinho, sénateur du parti de M. Bolsonaro qui l’avait accompagné vendredi lors d’une tournée pour mobiliser ses partisans en parcourant plusieurs villes de l’Etat du Rio Grande do Norte, dont Natal est la capitale.- “Douleurs insupportables” -Plus tôt dans la journée, lors d’une conférence de presse à l’hôpital Rio Grande, son médecin, Claudio Birolini, avait déjà indiqué que “cet épisode semble plus exubérant que les précédents, surtout au niveau de l’intestin”.”Même si en ce moment une intervention chirurgicale d’urgence ne semble pas nécessaire, ce qui va se passer dans les prochains jours va dépendre de son évolution clinique”, a-t-il expliqué.Selon le dernier bulletin médical, publié samedi à la mi-journée, son état de santé “évolue de façon stable” et il “est d’excellente humeur”, après avoir passé “une nuit tranquille. Poignardé par un déséquilibré lors d’un bain de foule en pleine campagne électorale en septembre 2018, Jair Bolsonaro avait été élu président quelques semaines plus tard.La tournée dans l’Etat pauvre du Rio Grande do Norte, qui a dû être interrompue vendredi en raison de “douleurs insupportables” ressenties par l’ex-président, était prévue deux semaines après la décision de la Cour suprême d’ouvrir un procès contre lui pour un projet présumé de coup d’Etat.Le parquet l’accuse d’avoir ourdi un complot de longue date pour conjurer sa défaite électorale de 2022 face à Lula. Déclaré inéligible jusqu’en 2030 pour ses attaques sans preuves sur la fiabilité du système d’urnes électroniques brésilien, il espère encore faire annuler ou réduire cette condamnation pour se présenter à la présidentielle de 2026.À gauche, Lula, 79 ans, laisse planer pour sa part le mystère sur une éventuelle candidature à la réélection. Sa popularité est en berne, plombée par l’inflation, et il a également connu des problèmes de santé récemment. En décembre, il a dû être opéré en urgence pour résorber un hématome causé par une hémorragie près du cerveau liée à une chute.

Espagne: le Barça souffre mais assure l’essentiel à Leganés (1-0)

Le FC Barcelone a conforté sa place de leader samedi en ramenant un court et laborieux succès 1-0 de Leganés, avant-dernier de Liga, lors de la 31e journée.Avant le déplacement dimanche après-midi du Real Madrid sur la pelouse d’Alavés, les Catalans ont sept points d’avance sur les Madrilènes. Bien partis pour décrocher leur place en demi-finales de Ligue des champions et opposés au Real en finale de la Coupe du Roi le 26 avril, les hommes d’Hansi Flick peuvent viser un triplé cette saison.Trois jours après la correction infligée à Dortmund (4-0) en quart de finale aller de la C1, les Barcelonais ont toutefois eu du mal à entrer dans leur match face à Leganés, à la lutte pour son maintien.Le club de la banlieue Madrid s’est même procuré plusieurs occasions à l’image de la tentative d’Adria Altimira détournée par Wojciech Szczesny (12e). Avant la pause, le gardien polonais a aussi vu une frappe de Daniel Raba frôler sa cage (43e).Au retour des vestiaires, c’est finalement le Barça qui a ouvert le score de façon chanceuse quand un centre de Raphinha a été envoyé au fond de ses propres filets par Jorge Saenz, mis sous pression par Robert Lewandowski (1-0, 48e).Fermin Lopez a manqué l’occasion de doubler la mise pour Barcelone. Le jeune milieu de terrain a régalé en enchaînant crochet et grand pont au milieu des défenseurs de Leganés, mais il a raté le plus facile en frappant à côté du but (58e).En fin de match, l’avant-dernier du championnat a encore bousculé le leader, mais le but de la tête de Raba a été annulé pour une position de hors jeu (69e). Puis, l’ancien Barcelonais Munir El Haddadi lancé vers le but catalan pour l’égalisation a été repris par un tacle parfait d’Inigo Martinez (90+1).

L’impopularité de Bayrou en hausse, notamment chez les soutiens de son camp

L’impopularité de François Bayrou continue de grandir, quatre mois après sa nomination comme Premier ministre, en particulier auprès de son camp, selon un sondage Ipsos pour la Tribune dimanche.Selon le baromètre mensuel, réalisé du 9 au 10 avril, 67% des Français portent un jugement défavorable sur l’action du Premier ministre, soit trois points de plus que le mois dernier. Ils sont 24% à penser le contraire (- 1 point).C’est chez les sympathisants Renaissance-MoDem-Horizons, les partis du bloc central, qu’il enregistre la plus forte baisse de sa popularité, 12 points de moins par rapport à mars, avec seulement 53% d’opinions favorables.” Le pays a le sentiment qu’on fait la planche, qu’on flotte, qu’on se laisse dériver”, analyse pour la Tribune le directeur général délégué d’Ipsos Brice Teinturier.Selon lui, c’est l’un des principaux moteurs de l’impopularité de François Bayrou: “Alors que les partis, que ce soit le Rassemblement national, LR ou le Parti socialiste, se parlent beaucoup à eux-mêmes, que les événements internationaux dominent l’actualité, le gouvernement donne le sentiment de ne pas parler aux Français”.Les récentes prises de position du Premier ministre sur l’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité de Marine Le Pen, dont il s’est dit “troublé”, ou sur l’affaire Bétharram ont suscité des interrogations.Au sein du couple exécutif, Emmanuel Macron est relativement stable avec 26% de jugements favorables (- 1 point) et 70% défavorables (+1 point).Au sein du gouvernement, le ministre de l’Intérieur LR Bruno Retailleau (33%) et celui de la Justice Gérald Darmanin (33%) restent les plus appréciés des Français, loin devant Rachida Dati, en troisième position (16%).De nouveau ce mois, le baromètre des potentiels successeurs d’Emmanuel Macron place en tête les RN, Jordan Bardella qui stagne à 34% par rapport à mars et Marine Le Pen qui le talonne à 33% mais gagne deux points.En troisième position, l’ancien Premier ministre Edouard Philippe cède 1 point à 31%, devant Bruno Retailleau qui perd aussi 1 point à 27%. Enquête IPSOS/CESI Ecole d’ingénieurs menée sur internet les 9 et 10 avril auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Italie: l’Inter prend le large et prépare idéalement son match retour contre le Bayern

L’Inter a fait d’une pierre deux coups samedi avec sa victoire face à Cagliari (3-1): il a doublé son avance en tête du Championnat d’Italie et a ménagé plusieurs cadres en vue du quart de finale retour de Ligue des champions contre le Bayern.Une semaine après s’être fait surprendre par le promu Parme (2-2) après avoir mené 2 à 0, le champion en titre n’a pas refait la même erreur. Comme à Parme, il a rallié les vestiaires avec deux buts d’avance grâce à Marko Arnautovic (13e) et Lautaro Martinez (26e). Comme à Parme encore, il a laissé son adversaire reprendre espoir en réduisant le score dès la 48e minute grâce à Riccardo Piccoli. Mais pas de mauvaise surprise cette fois pour les Nerazzurri grâce à Yann Bisseck (55e) et à un sauvetage sur sa ligne de Stefan de Vrij (78e).Les champions d’Italie en titre, en lice pour un retentissant triplé, disposent désormais avec leurs 71 points de six longueurs d’avance sur Naples (2e, 65 pts) qui recevra le relégable Empoli (18e) lundi dans le cadre de cette 32e journée.”C’est une belle victoire, mais il y a encore beaucoup de matches à disputer”, a prévenu Arnautovic, titularisé en pointe à la place de l’habituel titulaire Marcus Thuram.- La Juventus sur le podium -L’international français, entré à la 67e minute, est l’un des nombreux titulaires ménagés par Simone Inzaghi à quatre jours des retrouvailles à San Siro avec le Bayern Munich que l’Inter abordera avec un avantage d’un but (2-1 à Munich).L’entraîneur italien a également laissé sur le banc Francesco Acerbi, Benjamin Pavard et Henrikh Mkhitaryan tandis qu’Alessandro Bastoni est entré en jeu pour les vingt dernières minutes.”Contre le Bayern, l’un des trois-quatre meilleures équipes du monde, il ne faudra pas calculer et viser encore la victoire”, a prévenu Inzaghi.La prochaine Ligue des champions est l’objectif de la Juventus Turin pour sauver sa piètre saison et Igor Tudor qui a succédé à Thiago Motta le mois dernier, semble bien parti pour l’atteindre et s’offrir peut-être, du même coup, un contrat longue durée. Sa Juve, grâce à deux passes décisives de Dusan Vlahovic, préféré de nouveau à Randal Kolo Muani, a surclassé Lecce (2-1). Elle est remontée provisoirement sur le podium de la Serie A avec un point d’avance sur l’Atalanta (4e) opposée dimanche à Bologne (5e), autre candidat à la C1.Plus tôt, dans le duel des relégables, Venise (19e) est venue à bout 1 à 0 de Monza (20e) qui n’a marqué que deux points lors des douze dernières journées et file vers la Serie B.

US exempts tech imports in tariff step back

The Trump administration has exempted a raft of consumer electronics from its punishing import tariffs — offering relief to US tech firms and partially dialling down a trade war with China.A notice late Friday by the US Customs and Border Protection office said smartphones, laptops, memory chips and other products would be excluded from the global levies President Donald Trump rolled out a week ago.The move came as retaliatory Chinese import tariffs of 125 percent on US goods took effect Saturday, with Beijing standing defiant against its biggest trade partner.The exemptions will benefit US tech companies like Nvidia and Dell, as well as Apple, which makes iPhones and other premium products in China.And they will generally narrow the impact of the staggering 145 percent tariffs Trump has imposed this year on Chinese goods entering the United States.US Customs data suggests the exempted items account for more than 20 percent of those Chinese imports, according to senior RAND researcher Gerard DiPippo.Washington and Beijing’s escalating tariff battle has raised fears of an enduring trade war between the world’s two largest economies and sent global markets into a tailspin.The fallout has sent particular shockwaves through the US economy, with investors dumping government bonds, the dollar tumbling and consumer confidence plunging.Adding to the pressure on Trump, Wall Street billionaires — including a number of his own supporters — have openly criticized the whole tariff strategy as damaging and counter-productive. – Tech relief -Daniel Ives, senior equity analyst at Wedbush Securities, called the US exemptions the “best news possible” for tech investors.The exclusions remove “a huge black cloud” that had threatened to take the US tech sector “back a decade” and significantly slow AI development, Ives said in a note.Many of the exempted products, including hard drives and computer processors, are not generally made in the United States, with Trump arguing tariffs are a way to bring domestic manufacturing back.Commenting on the exemptions announcement, White House Press Secretary Karoline Leavitt insisted that the likes of Apple and Nvidia were still “hustling to onshore their manufacturing in the United States” as soon as possible.Many analysts, however, say it will likely take years to ramp up domestic production.With tariffs still in force on less complex products, Trump’s “exemptions will not reshore iPhones or tech goods and they will not reshore either cheap goods we can’t and won’t produce at home,” New York University economist Nouriel Roubini posted Saturday on X.The president’s policy was “contradictory, dissonant, inconsistent and incoherent… taken by the seat of the pants,” he added.- China ‘not afraid’ -Even with Washington and Beijing going toe to toe and financial markets in turmoil, Trump has remained adamant that his tariff policy is on the right track.Beijing has vowed not to give in to what it sees as bullying tactics, and — in his first comments on the tensions — President Xi Jinping stressed Friday that China was “not afraid.”Economists warn the disruption in trade between the tightly integrated US and Chinese economies will increase prices for consumers and could spark a global recession.The US alone buys up 16.4 percent of Chinese exports, according to Beijing’s trade data, making for total exchanges between the two countries worth $500 billion — with the US sending significantly less the other way.China’s Commerce Minister Wang Wentao told the head of the World Trade Organization (WTO) that US tariffs will “inflict serious harm” on poor nations.”The United States has continuously introduced tariff measures, bringing enormous uncertainty and instability to the world, causing chaos both internationally and domestically within the US,” Wang told WTO chief Ngozi Okonjo-Iweala in a call.The White House says Trump remains “optimistic” about securing a deal with China, although administration officials have made it clear they expect Beijing to reach out first.

Ligue 1: Lille reste dans la course à la C1 en dominant Toulouse

Lille s’est imposé (2-1) samedi à Toulouse lors de la 29e journée de Ligue 1, signant une victoire importante dans le sprint final pour les places européennes.Ces trois points obtenus au terme d’un match contrôlé (61% de possession à la pause, 58% sur l’ensemble de la rencontre) permettent aux Lillois d’atteindre la barre des 50 points et de se hisser à la 4e place.Pour les Violets, en revanche, l’heure est à l’introspection: onzièmes, ils comptent encore 7 points d’avance sur le barragiste havrais et 11 sur le premier relégable, Saint-Etienne, ils restent désormais sur quatre défaites d’affilée et le wagon européen semble définitivement hors de portée.La rencontre avait pourtant plutôt mal commencé pour le LOSC, sauvé à deux reprises par ses poteaux (5e et 7e).Mais les Lillois n’ont pas perdu leur sang froid et le jeune attaquant belge Matias Fernandez-Pardo (20 ans), sur un service de son capitaine Benjamin André, a effacé le défenseur toulousain Djibril Sidibé avant de marquer d’une frappe limpide aux 18 mètres (1-0, 21e).La fin de première période a été cruelle pour les locaux. Ayant égalisé d’une tête de Charlie Cresswell sur une remise de Rafik Messali (1-1, 42e), ils pensaient rentrer au vestiaire à la mi-temps sur ce score, mais Lille a repris l’avantage au bout du temps additionnel (2-1, 45+4), sur un coup franc obtenu et tiré par Mitchel Bakker, que Cristian Casseres ne parvenait pas à contrer devant Guillaume Restes, surpris.D’abord bien contrôlés par les Lillois au retour des vestiaires, les Violets ont emballé le match pendant un gros quart d’heure à partir de la 65e minute, Lucas Chevalier devant s’employer une demi-douzaine de fois pour parvenir à préserver l’avance lilloise et une belle opération dans la course à l’Europe.Les Dogues, peu en réussite à l’extérieur en 2025, ont engrangé samedi leur deuxième victoire seulement loin de leurs terres nordistes, après celle à Rennes le 16 février pour la 22e journée.Toulouse a confirmé au contraire sa méforme à domicile: après cette défaite, le TFC reste le seul club de l’élite à n’avoir jamais gagné chez lui depuis le début de l’année (5 défaites, 2 nuls).Le LOSC recevra Auxerre lors de la 30e journée pour confirmer son ambition de jouer la Ligue des Champions la saison prochaine, tandis que Toulouse ira à Reims pour tenter de donner des couleurs à une fin de saison bien terne.