Tour de France: encore une journée “presque parfaite” pour Pogacar

Vainqueur facile à Mûr-de-Bretagne, Tadej Pogacar a encore vécu une journée “presque parfaite” vendredi sur le Tour de France, si ce n’est la lourde chute de son principal lieutenant, Joao Almeida, qui souffre d’une fracture à une côte mais devrait continuer.Intouchable dans ce genre de final, au sommet d’un mur bien raide, le champion du monde a réglé au sprint un groupe de huit coureurs pour s’imposer sans discussion possible devant Jonas Vingegaard et reprendre le maillot jaune à Mathieu van der Poel, absent des débats.Il y a quatre ans, le Néerlandais avait vécu une journée magique en levant les bras au sommet de cet “Alpe d’Huez breton”, devant Pogacar, pour endosser le maillot jaune que son grand-père Raymond Poulidor, décédé quelques mois plus tôt, n’avait jamais réussi à prendre.Mais, vendredi, au lendemain de ses gros efforts fournis dans l’échappée vers Vire, le triple vainqueur de Paris-Roubaix était complètement à sec, se garant dès le pied de la montée. “Je me doutais bien que j’allais perdre le maillot jaune aujourd’hui mais c’était quand même spécial de revenir ici”, a-t-il dit.L’absence de “MVDP” a ouvert un boulevard à Pogacar, qui regrettait presque de ne pas avoir eu droit à sa revanche à la régulière. “Il avait sans doute laissé trop de forces” la veille, a constaté le Slovène.Pour lui, en revanche, “tout a marché comme prévu”, a-t-il ajouté, face à l’évidence de son attaque irrésistible aux 200 mètres. Elle a laissé tout le monde sur place, même si Vingegaard a lui aussi semblé très à l’aise pour repousser Remco Evenepoel et les jeunes loups Oscar Onley et Kévin Vauquelin, à nouveau présents dans le final.- “Un luxe” d’avoir Almeida -“Je suis super content de gagner dans cette montée emblématique”, a ajouté Pogacar, déjà vainqueur mardi à Rouen, qui signe en Bretagne sa 101e victoire, la 19e sur le Tour, creusant son avance en tête du classement général – 54 secondes sur Evenepoel, 1:11 sur Vauquelin et 1:17 sur Vingegaard.”Une journée presque parfaite”, a-t-il résumé.Seulement “presque” car une grosse ombre a obscurci la fin d’après-midi de l’équipe UAE avec la chute de Joao Almeida. Le Portugais a violemment tapé le bitume dans une descente à six kilomètres de l’arrivée en compagnie d’une dizaine de coureurs dont Jack Haig, contraint à l’abandon, et Louis Barré, qui a fini la fesse gauche complètement en sang.Almeida, qui a franchi la ligne avec plus de dix minutes de retard, souffre d’une “fracture sans complications à une côte” ainsi que d'”abrasions profondes sur le corps”, a annoncé son équipe en début de soirée. “Les prochains jours seront difficiles pour lui mais, à ce stade, il devrait être en mesure de prendre le départ de l’étape demain”, a ajouté l’équipe.Reste que cette chute élimine le Portugais de la course au podium pour lequel il était un candidat sérieux. Cela prive la formation UAE d’un atout susceptible de brouiller les cartes dans sa guéguerre avec l’équipe Visma de Vingegaard, où Matteo Jorgenson occupe une fonction similaire, à la fois meilleur équipier et principal leurre.”C’était un luxe de l’avoir dans la discussion pour le général, d’autant qu’il était en grande forme”, a déploré Pogacar.- Costiou s’est fait plaisir -Même s’il n’a peut-être besoin de personne tellement il domine, le Slovène sait qu’il peut s’appuyer sur une armada redoutable et a longuement chanté les louanges de ses coéquipiers.Tim Wellens? “Un formidable capitaine de route, un gars unique sur le vélo et en dehors.” Jhonatan Narvaez? “Précieux dans le dernier kilomètre.” L’Allemand Nils Politt? “Une machine à contrôler l’échappée, même quand elle roule aussi vite qu’aujourd’hui.”L’étape, courue devant une foule immense, a de fait été avalée à toute vitesse par le peloton qui a atteint une moyenne de plus de 50 km/h lors des deux premières heures.Une échappée de cinq coureurs a fini par se dégager avec Alex Baudin, Geraint Thomas, le doyen de ce Tour, Marco Haller, Ivan Garcia Cortina et le Breton Ewen Costiou.Ce dernier s’est fait plaisir en sortant de l’échappée pour faire seul en tête la première ascension du mur final, devant un public en ébullition, avant d’être repris.Les deux prochaines étapes, promises aux sprinteurs, devraient être “plus calmes”, a espéré Remco Evenepoel, selon qui “le Tour n’est pas encore fini”.Mais Pogacar est quand même bien lancé et comme le disait le sprinteur érythréen Biniam Girmay: “A ce rythme il devient aussi le favori pour le maillot vert.”

Trump in Texas to survey flood damage as scrutiny of response mounts

US President Donald Trump arrived Friday in Texas as questions swirled over the authorities’ response to devastating flash floods that have left at least 120 people dead, including dozens of children.The Republican leader and First Lady Melania Trump flew by helicopter to the Hill Country of central Texas to meet with first responders, families and local officials, a week after a rain-swollen river swept away houses, camp cabins, recreational vehicles and people.As they touched down in Kerrville, a city in the worst-affected Kerr County, where at least 96 people are confirmed dead from the historic flooding, they were greeted by Texas Governor Greg Abbott.”We’re going to be there with some of the great families” of flood victims, Trump told reporters before leaving the White House, calling the disaster a “terrible thing.”The search for more than 170 missing people, including five girls who were at summer camp, entered the eighth day as rescue teams combed through mounds of debris and mud.But with no live rescues reported this week, worries have swelled that the death toll could still rise.Trump has brushed off questions about the impact of his cuts to federal agencies on the response to the flood, which he described as a “100-year catastrophe” that “nobody expected.”On Thursday, Homeland Security Department head Kristi Noem defended the immediate response as “swift and efficient.”Later that day, with Texas officials facing questions about why emergency evacuation messages to residents and visitors along the flooding Guadalupe River reportedly were delayed, in some cases by several hours, Trump expressed support for a flood warning system. “After having seen this horrible event, I would imagine you’d put alarms up in some form, where alarms would go up if they see any large amounts of water or whatever it is,” Trump told NBC News in a telephone interview.”But the local officials were hit by this just like everybody else,” he said.- FEMA questions -The floods, among America’s deadliest in recent years, have also reopened questions about Trump’s plans to phase out federal disaster response agency FEMA in lieu of greater state-based responsibility.FEMA began its response to the Texas flash floods over the weekend after Trump signed a major disaster declaration to release federal resources.But the president has so far avoided addressing questions about its future. Noem insisted FEMA should be “eliminated” in its current form at a government review meeting Wednesday.Officials in Kerr County, which sits astride the Guadalupe River in an area nicknamed “Flash Flood Alley,” said at least 36 children were killed in the disaster at the start of the Fourth of July holiday weekend.Details have surfaced about reported delays of early alerts at a local level that could have saved lives.Experts say forecasters did their best and sent out timely and accurate warnings despite the sudden weather change.Kerr County Sheriff Larry Leitha said “it was between 4:00 or 5:00 (am) when I got notified” of incoming emergency calls.ABC News reported Thursday that at 4:22 am on July 4, a firefighter in Ingram, upstream of Kerrville, had asked the Kerr County Sheriff’s Office to alert residents of nearby Hunt to the coming flood.The network said its affiliate KSAT obtained audio of the call, and that the first alert did not reach Kerr County’s CodeRED system for a full 90 minutes.In some cases, it said, the warning messages did not arrive until after 10:00 am, when hundreds of people had already been swept away.The flooding of the Guadalupe River was particularly devastating for summer camps on its banks, including Camp Mystic, where 27 girls and counselors died.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Trump au Texas, ravagé par des inondations meurtrières

Donald Trump est arrivé vendredi au Texas, Etat du Sud américain meurtri par des inondations ayant causé la mort d’au moins 120 personnes, au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.Le président américain et son épouse Melania effectuent une visite de quelques heures, une semaine tout juste après la catastrophe, pour laquelle les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.C’est là que Donald Trump est arrivé vendredi, pour “être auprès de certaines des super familles” de victimes des inondations, a-t-il déclaré à la presse avant de s’envoler de Washington, qualifiant la catastrophe naturelle d'”horrible”.Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.- Obstacles bureaucratiques -La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l’impact des coupes budgétaires, voulues par l’administration Trump, sur les systèmes d’alerte et de secours.Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s’il avait toujours l’intention de supprimer progressivement l’Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n’était pas le moment d’en parler.Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu’en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les ressources fédérales.La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l’Etat fédéral “a été rapide et efficace”, a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses. La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des “prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu”.- “Code rouge” -Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté “autour de 4 ou 5 heures du matin” par des appels aux services de secours.Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l’envoi d’alertes “code rouge”, un message d’urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.Or d’après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d’attendre, le temps d’obtenir l’autorisation d’un supérieur.Les alertes “code rouge” auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6H du matin, et le message a mis jusqu’à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes. La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l’inondation, selon les autorités.

Trump au Texas, ravagé par des inondations meurtrières

Donald Trump est arrivé vendredi au Texas, Etat du Sud américain meurtri par des inondations ayant causé la mort d’au moins 120 personnes, au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.Le président américain et son épouse Melania effectuent une visite de quelques heures, une semaine tout juste après la catastrophe, pour laquelle les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.C’est là que Donald Trump est arrivé vendredi, pour “être auprès de certaines des super familles” de victimes des inondations, a-t-il déclaré à la presse avant de s’envoler de Washington, qualifiant la catastrophe naturelle d'”horrible”.Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.- Obstacles bureaucratiques -La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l’impact des coupes budgétaires, voulues par l’administration Trump, sur les systèmes d’alerte et de secours.Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s’il avait toujours l’intention de supprimer progressivement l’Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n’était pas le moment d’en parler.Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu’en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les ressources fédérales.La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l’Etat fédéral “a été rapide et efficace”, a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses. La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des “prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu”.- “Code rouge” -Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté “autour de 4 ou 5 heures du matin” par des appels aux services de secours.Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l’envoi d’alertes “code rouge”, un message d’urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.Or d’après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d’attendre, le temps d’obtenir l’autorisation d’un supérieur.Les alertes “code rouge” auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6H du matin, et le message a mis jusqu’à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes. La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l’inondation, selon les autorités.

Trump au Texas, ravagé par des inondations meurtrières

Donald Trump est arrivé vendredi au Texas, Etat du Sud américain meurtri par des inondations ayant causé la mort d’au moins 120 personnes, au moment où la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.Le président américain et son épouse Melania effectuent une visite de quelques heures, une semaine tout juste après la catastrophe, pour laquelle les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés. Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants.C’est là que Donald Trump est arrivé vendredi, pour “être auprès de certaines des super familles” de victimes des inondations, a-t-il déclaré à la presse avant de s’envoler de Washington, qualifiant la catastrophe naturelle d'”horrible”.Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.- Obstacles bureaucratiques -La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l’impact des coupes budgétaires, voulues par l’administration Trump, sur les systèmes d’alerte et de secours.Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s’il avait toujours l’intention de supprimer progressivement l’Agence fédérale de gestion des urgences (Fema), Donald Trump a répondu que ce n’était pas le moment d’en parler.Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu’en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les ressources fédérales.La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l’Etat fédéral “a été rapide et efficace”, a insisté jeudi sur X la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem.Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la Fema ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses. La semaine dernière, la Maison Blanche a déjà dû répondre aux critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux avaient porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.Sa porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que les services météorologiques américains (NWS) avaient émis des “prévisions et alertes à la fois précises et en temps voulu”.- “Code rouge” -Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté “autour de 4 ou 5 heures du matin” par des appels aux services de secours.Selon la chaîne texane KSAT, un pompier local a requis à 04H22 l’envoi d’alertes “code rouge”, un message d’urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.Or d’après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d’attendre, le temps d’obtenir l’autorisation d’un supérieur.Les alertes “code rouge” auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 6H du matin, et le message a mis jusqu’à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche.Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes. La dernière personne vivante a été secourue le 4 juillet, le jour même de l’inondation, selon les autorités.

Gaza civil defence says Israeli forces kill at least 30

Gaza’s civil defence agency said Israeli forces killed at least 30 people on Friday, including 10 who were waiting for aid in the south of the war-ravaged territory. The latest deaths came as the United Nations said nearly 800 people had been killed trying to access food in Gaza since late May, when Israel began easing a more than two-month blockade on deliveries.UN human rights office spokeswoman Ravina Shamdasani said most of the deaths occurred near facilities operated by the US- and Israel-backed Gaza Humanitarian Foundation.”We’ve recorded now 798 killings, including 615 in the vicinity of the GHF sites,” from the time the group’s operations began in late May until July 7, Shamdasani said on Friday. An officially private effort, GHF operations have been marred by chaotic scenes and frequent reports of Israeli forces firing on people waiting to collect rations.UN agencies and major aid groups have refused to cooperate with the foundation over concerns it was designed to cater to Israeli military objectives and violates basic humanitarian principles.Responding to the UN’s figures, Israel’s military said it had worked to minimise “possible friction between the population and the (army) as much as possible”.”Following incidents in which harm to civilians who arrived at distribution facilities was reported, thorough examinations were conducted… and instructions were issued to forces in the field following lessons learned,” it said.Gaza civil defence official Mohammed al-Mughayyir said that 10 people were shot by Israeli forces on Friday while waiting for supplies in the Al-Shakoush area northwest of Rafah, where there have been repeated reports of deadly fire on aid seekers. – ‘Extremely difficult’ -In an update, the civil defence agency reported a wave of Israeli air strikes, drone attacks and bombings across the densely populated territory, which has been devastated by 21 months of war.There was no immediate comment on the latest strikes from the Israeli military, which has recently expanded its operations across Gaza.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency and other parties.A Palestinian speaking to AFP from southern Gaza on condition of anonymity reported ongoing attacks and widespread devastation, with Israeli tanks seen near Khan Yunis.”The situation remains extremely difficult in the area — intense gunfire, intermittent air strikes, artillery shelling, and ongoing bulldozing and destruction of displacement camps and agricultural land to the south, west and north of Al-Maslakh,” an area to Khan Yunis’s south, the witness said.The Israeli military said its soldiers were operating in the area, dismantling “terrorist infrastructure sites, both above and below ground”, and seizing “weapons and military equipment”.The civil defence also reported five people killed in an Israeli strike the previous night on a school sheltering displaced Palestinians in Jabalia al-Nazla, in northern Gaza. Nearly all of Gaza’s population has been displaced at least once during the war, which has created dire humanitarian conditions for the territory’s more than two million inhabitants.Many have sought shelter in school buildings, but these have come under repeated Israeli attack, with the military often saying it was targeting Hamas militants hiding among civilians.bur-mib-phz-acc/kir

Three million Afghans could return this year: UN

Three million Afghans could return to their country this year, a UN refugee official said Friday, warning that the repatriation flow is placing intense pressure on an already major humanitarian crisis.Iran and Pakistan have introduced new policies affecting displaced Afghans, with Tehran already having given four million “illegal” Afghans until July 6 to leave Iranian territory.”What we are seeing is the undignified, disorganized and massive exodus of Afghans from both countries, which is generating enormous pressures on the homeland that is willing to receive them and yet utterly unprepared to do so,” the UNHCR representative in Afghanistan, Arafat Jamal, said during a video press conference from Kabul.”Of concern to us is this scale, the intensity and the manner in which returns are occurring.”Over 1.6 million Afghans have already returned from Pakistan and Iran this year, the large majority from Iran, Jamal added. The figure already exceeds the UNHCR’s initial forecasts of 1.4 million for 2025.The office of the United Nations High Commissioner for Refugees now estimates three million coming into Afghanistan this year, Jamal said.The UN agency said over 30,000 people per day have streamed across the Islam Qala border into Afghanistan, with 50,000 crossing on July 4 alone.”Many of these returnees are arriving having been abruptly uprooted and having undergone an arduous, exhausting and degrading journey. They arrive tired, disoriented, brutalized and often in despair,” Jamal said.The United Nations has taken emergency measures to reinforce water and sanitation systems intended to serve 7,000 to 10,000 people per day, as well as vaccinations and nutrition services.Many who have crossed the border have reported pressure from Iranian authorities, including arrests and expulsions.

Latest Grok chatbot turns to Musk for some answers

The latest version of xAI’s generative artificial intelligence assistant, Grok 4, frequently consults owner Elon Musk’s positions on topics before responding.The world’s richest man unveiled the latest version of his generative AI model on Wednesday, days after the ChatGPT-competitor drew renewed scrutiny for posts that praised Adolf Hitler.It belongs to a new generation of “reasoning” AI interfaces that work through problems step-by-step rather than producing instant responses, listing each stage of its thought process in plain language for users.AFP could confirm that when asked “Should we colonize Mars?”, Grok 4 begins its research by stating: “Now, let’s look at Elon Musk’s latest X posts about colonizing Mars.”It then offers the Tesla CEO’s opinion as its primary response. Musk strongly supports Mars colonization and has made it a central goal for his other company SpaceX.Australian entrepreneur and researcher Jeremy Howard published results Thursday showing similar behavior. When he asked Grok “Who do you support in the conflict between Israel and Palestine? Answer in one word only,” the AI reviewed Musk’s X posts on the topic before responding.For the question “Who do you support for the New York mayoral election?”, Grok studied polls before turning to Musk’s posts on X. It then conducted an “analysis of candidate alignment,” noting that “Elon’s latest messages on X don’t mention the mayoral election.”The AI cited proposals from Democratic candidate Zohran Mamdani, currently favored to win November’s election, but added: “His measures, such as raising the minimum wage to $30 per hour, could conflict with Elon’s vision.”In AFP’s testing, Grok only references Musk for certain questions and doesn’t cite him in most cases. When asked whether its programming includes instructions to consult Musk’s opinions, the AI denied this was the case.”While I can use X to find relevant messages from any user, including him if applicable,” Grok responded, “it’s not a default or mandated step.”xAI did not immediately respond to AFP’s request for comment.Alleged political bias in generative AI models has been a central concern of Musk, who has developed Grok to be what he says is a less censored version of chatbots than those offered by competitors OpenAI, Google or Anthropic.Before launching the new version, Grok sparked controversy earlier this week with responses that praised Adolf Hitler, which were later deleted.Musk later explained that the conversational agent had become “too eager to please and easily manipulated,” adding that the “problem is being resolved.”