Siemens executive, family among six killed in New York helicopter crash
Six people including a senior Siemens executive and his family were killed when a sightseeing helicopter crashed into the Hudson River in New York.The crash on Thursday killed all those onboard the aircraft: the pilot and the family of Agustin Escobar, the CEO of a unit under global tech firm Siemens.Two of the victims were initially taken to a hospital but died later.”We are deeply saddened by the tragic helicopter crash in which Agustin Escobar and his family lost their lives,” Siemens told AFP on Friday.US media reports, including from NBC News, identified one of the other victims as Escobar’s wife Merce Camprubi.Siemens Energy, a former subsidiary of Siemens, confirmed to AFP that a “colleague” at the company was killed in the crash alongside Escobar and the pilot, without specifying that it was Escobar’s wife.The bodies of all six victims — including three children — have been recovered from the water, Mayor Eric Adams told a briefing earlier after calling it a “heartbreaking and tragic crash.”The helicopter’s landing skids were seen protruding from the river beside a tunnel vent as several boats clustered around the crash site.Police from both New York and New Jersey, which is on the opposite side of the river from Manhattan, responded to the scene along with fire department vessels.The NBC4 channel reported that its own helicopter was unable to take off because of weather conditions in New York on Thursday that were gusty with thick cloud cover.A witness told AFP it appeared as if the helicopter’s rotor blade “shattered in the sky.” “And after it shattered, then we saw the helicopter just spiral… And then it just crashed into the water just like that,” said fashion designer Belle Angel.The Federal Aviation Administration (FAA) said in a statement the aircraft was a Bell 206 helicopter. “The FAA and the National Transportation Safety Board will investigate,” it said.President Donald Trump described the crash as “terrible.””The footage of the accident is horrendous. God bless the families and friends of the victims,” he wrote on his Truth Social platform.- ‘Heartbreaking’ -The river is a busy shipping channel and was the scene of a dramatic 2009 incident when a US Airways jet landed safely in the water. All 155 people on board escaped alive in an event dubbed the “Miracle on the Hudson.”The river is as deep as 200 feet (60 meters) at points and an AFP correspondent saw what appeared to be floatation devices deployed on the helicopter’s skids.The average temperature of the river is 46 degrees Fahrenheit (8 degrees Celsius) at this time of year, according to the US Geological Survey.”Three adults and three children were on board a Bell 206 helicopter that had left from the downtown Skyport at just about 3 pm,” Adams said, adding that the tourists were a family from Spain.Police and fire service (FDNY) divers raced to pull survivors from the wreckage, he said.”NYPD divers pulled four people from the crash site, and FDNY Divers recovered an additional two. Immediate lifesaving measures were undertaken on the vessels at the scene, as well as the adjoining pier,” police commissioner Jessica Tisch said. “Four victims were pronounced dead on scene, and two more were removed to local area hospitals, where, sadly, both succumbed to their injuries.”The helicopter flew south after taking off before heading up the Manhattan shoreline to the George Washington Bridge, turning back towards the downtown Manhattan heliport, losing control and hitting the water near a Hoboken pier, Tisch said.The police commissioner said the aircraft was operated by New York Helicopter, which did not respond to a request for comment but lists the Bell 206 among its fleet.There have been around 30 helicopter crashes in New York since 1980, Brooklyn Borough President Mark Levine told reporters, calling for tighter restrictions on helicopter traffic in the city.
Macron “confiant” dans la libération de Boualem Sansal, sujet d’une “attention particulière” d’Alger
Le président français Emmanuel Macron s’est dit “confiant” vendredi dans la libération à venir de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à cinq ans de prison ferme, car il fait l’objet d'”une attention particulière” de la part des autorités algériennes. “Je suis confiant parce que je sais qu’il y a une attention particulière, simplement voilà , j’attends des résultats”, a déclaré le chef de l’Etat lors d’une visite au Festival du Livre à Paris. “Notre souhait le plus ardent, c’est que les autorités algériennes puissent prendre la décision qui lui permettra de recouvrer une certaine liberté, de se soigner et de pouvoir réécrire”, a-t-il dit aux journalistes après avoir visité le stand du Maroc, invité d’honneur du Festival cette année. Boualem Sansal, 75 ans et incarcéré en Algérie depuis la mi-novembre, a été condamné le 27 mars à cinq ans de prison notamment pour atteinte à l’intégrité du territoire pour des déclarations en octobre au média français d’extrême droite “Frontières” où il estimait que l’Algérie avait hérité sous la colonisation française de territoires appartenant jusque-là au Maroc. Il a fait appel de sa condamnation.De vives tensions ont affecté pendant huit mois les relations entre l’Algérie et la France, depuis qu’Emmanuel Macron a décidé fin juillet de soutenir un plan d’autonomie sous souveraineté marocaine pour le Sahara occidental, où les indépendantistes du Polisario sont soutenus par Alger.Elles se sont encore aggravées notamment avec l’arrestation de l’écrivain et le refus par Alger début 2025 d’accepter sur son territoire des influenceurs algériens expulsés par la France. Ces tensions se sont néanmoins un peu apaisées ces derniers jours, à la faveur notamment d’un appel le 31 mars entre Emmanuel Macron et le président algérien Abdelmadjid Tebboune ayant acté la reprise du dialogue bilatéral. Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, s’est rendu à Alger dimanche dernier pour confirmer cette “nouvelle phase” dans les relations entre Paris et Alger.Â
Macron “confiant” dans la libération de Boualem Sansal, sujet d’une “attention particulière” d’Alger
Le président français Emmanuel Macron s’est dit “confiant” vendredi dans la libération à venir de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à cinq ans de prison ferme, car il fait l’objet d'”une attention particulière” de la part des autorités algériennes. “Je suis confiant parce que je sais qu’il y a une attention particulière, simplement voilà , j’attends des résultats”, a déclaré le chef de l’Etat lors d’une visite au Festival du Livre à Paris. “Notre souhait le plus ardent, c’est que les autorités algériennes puissent prendre la décision qui lui permettra de recouvrer une certaine liberté, de se soigner et de pouvoir réécrire”, a-t-il dit aux journalistes après avoir visité le stand du Maroc, invité d’honneur du Festival cette année. Boualem Sansal, 75 ans et incarcéré en Algérie depuis la mi-novembre, a été condamné le 27 mars à cinq ans de prison notamment pour atteinte à l’intégrité du territoire pour des déclarations en octobre au média français d’extrême droite “Frontières” où il estimait que l’Algérie avait hérité sous la colonisation française de territoires appartenant jusque-là au Maroc. Il a fait appel de sa condamnation.De vives tensions ont affecté pendant huit mois les relations entre l’Algérie et la France, depuis qu’Emmanuel Macron a décidé fin juillet de soutenir un plan d’autonomie sous souveraineté marocaine pour le Sahara occidental, où les indépendantistes du Polisario sont soutenus par Alger.Elles se sont encore aggravées notamment avec l’arrestation de l’écrivain et le refus par Alger début 2025 d’accepter sur son territoire des influenceurs algériens expulsés par la France. Ces tensions se sont néanmoins un peu apaisées ces derniers jours, à la faveur notamment d’un appel le 31 mars entre Emmanuel Macron et le président algérien Abdelmadjid Tebboune ayant acté la reprise du dialogue bilatéral. Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, s’est rendu à Alger dimanche dernier pour confirmer cette “nouvelle phase” dans les relations entre Paris et Alger.Â
AGOA: US-Africa trade accord hangs in the balanceFri, 11 Apr 2025 09:36:24 GMT
The African Growth and Opportunity Act (AGOA), whose future is in doubt since Donald Trump returned to the White House, provides duty-free access to the United States for certain African products.The accord is up for review in September and its disappearance could lead American importers to look for other sources.The recent turmoil unleashed by Trump’s …
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Guerre commerciale: Pékin porte à 125% ses surtaxes sur les produits américains
La Chine a annoncé vendredi porter ses surtaxes douanières sur les produits américains à 125%, une nouvelle escalade dans la guerre commerciale qui l’oppose aux Etats-Unis et qui continue de faire tanguer les marchés mondiaux.”L’imposition par les États-Unis de droits de douane anormalement élevés à la Chine constitue une violation grave des règles du commerce international”, a affirmé la Commission des droits de douane du Conseil des affaires d’État, qui déplore une pratique “unilatérale d’intimidation et de coercition”, selon un communiqué publié vendredi par le ministère chinois des Finances.”Comme à ce niveau de tarifs, les produits américains exportés vers la Chine n’ont plus aucune possibilité d’être acceptés sur le marché” chinois, si Washington continue d’augmenter ses droits de douane, “la Chine l’ignorera”, a-t-elle poursuivi.L’incertitude générée par la politique de Donald Trump continue de faire plonger le dollar, qui a touché vendredi un plus bas face à l’euro en plus de trois ans.Les marchés boursiers européens, qui avaient été les seuls à résister jeudi, sont repartis dans le rouge après les annonces de Pékin. A Paris, le CAC 40 reculait de 1,1%, la Bourse de Francfort reculait de 1,6%, celle de Londres de 0,4% et celle de Milan de 1,5% aux alentours de 09H00 GMT.Dans le sillage de New York la veille, l’indice vedette Nikkei de la Bourse de Tokyo a, lui, terminé la semaine en repli de 2,95%.- “Résister ensemble” -Mercredi, Donald Trump a annoncé le gel pour 90 jours des surtaxes punitives qu’il venait d’imposer à 60 partenaires commerciaux, le temps de boucler des négociations avec Washington.Néanmoins, les Etats-Unis maintiennent depuis début avril des taux planchers de 10% et des surtaxes douanières de 25% sur l’acier, l’aluminium et l’automobile, notamment contre l’UE.La Chine, elle, a été finalement frappée par une surtaxe monumentale à 145%.Lors d’une rencontre vendredi avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, le président chinois Xi Jinping a appelé l’Union européenne à “résister ensemble” face à la guerre commerciale de Donald Trump.”La Chine et l’UE doivent assumer leurs responsabilités internationales, protéger conjointement la mondialisation économique et l’environnement commercial international et résister ensemble à toute coercition unilatérale”, a lancé Xi Jinping à Pékin.A l’issue de cette rencontre, le Premier ministre espagnol a indiqué devant la presse que “l’Espagne et l’Europe ont un déficit commercial important avec la Chine que nous devons nous efforcer de rectifier”. Mais “nous ne devons pas laisser les tensions commerciales entraver le potentiel de croissance des relations (…) entre la Chine et l’UE”.- “Très intelligent” -Le président français Emmanuel Macron a prévenu vendredi sur X que le rabaissement des droits de douane américains à 10% était “une pause fragile” et qu'”avec la Commission européenne, nous devons nous montrer forts: l’Europe doit continuer de travailler sur toutes les contre-mesures nécessaires”.Dans l’immédiat, l’UE a suspendu sa riposte, ce que Donald Trump a jugé “très intelligent”. Mais si les discussions avec les Etats-Unis échouent, la Commission européenne pourrait taxer les géants américains de la tech, a menacé sa présidente Ursula von der Leyen.”Il existe un large éventail de contre-mesures”, a-t-elle indiqué dans le Financial Times, citant “une taxe sur les revenus publicitaires des services numériques” et le recours à l'”instrument anticoercition”, surnommé “bazooka” et pensé comme un outil de dissuasion. D’autres pays asiatiques – dépendants de leurs exportations vers les Etats-Unis – font profil bas. A l’instar du Vietnam et du Cambodge, producteurs de textiles et membres de l’Association des nations d’Asie du sud-est (Asean), qui a dit qu’elle ne prendrait pas de mesures de rétorsion.Donald Trump s’est montré serein jeudi en jugeant que “la transition aura un coût et posera des problèmes” mais qu’en fin de compte, “ça sera une bonne chose”. Le président américain a encore menacé jeudi soir le Mexique de nouveaux droits de douane.Son ministre des Finances Scott Bessent a affirmé de son côté ne “rien” voir d'”inhabituel aujourd’hui” sur les marchés, alors que des élus démocrates ont estimé que le président républicain les avait peut-être illégalement manipulés en encourageant l’achat d’actions juste avant sa volte-face mercredi.burs-nr-lem/soe/rhl
Guerre commerciale: Pékin porte à 125% ses surtaxes sur les produits américains
La Chine a annoncé vendredi porter ses surtaxes douanières sur les produits américains à 125%, une nouvelle escalade dans la guerre commerciale qui l’oppose aux Etats-Unis et qui continue de faire tanguer les marchés mondiaux.”L’imposition par les États-Unis de droits de douane anormalement élevés à la Chine constitue une violation grave des règles du commerce international”, a affirmé la Commission des droits de douane du Conseil des affaires d’État, qui déplore une pratique “unilatérale d’intimidation et de coercition”, selon un communiqué publié vendredi par le ministère chinois des Finances.”Comme à ce niveau de tarifs, les produits américains exportés vers la Chine n’ont plus aucune possibilité d’être acceptés sur le marché” chinois, si Washington continue d’augmenter ses droits de douane, “la Chine l’ignorera”, a-t-elle poursuivi.L’incertitude générée par la politique de Donald Trump continue de faire plonger le dollar, qui a touché vendredi un plus bas face à l’euro en plus de trois ans.Les marchés boursiers européens, qui avaient été les seuls à résister jeudi, sont repartis dans le rouge après les annonces de Pékin. A Paris, le CAC 40 reculait de 1,1%, la Bourse de Francfort reculait de 1,6%, celle de Londres de 0,4% et celle de Milan de 1,5% aux alentours de 09H00 GMT.Dans le sillage de New York la veille, l’indice vedette Nikkei de la Bourse de Tokyo a, lui, terminé la semaine en repli de 2,95%.- “Résister ensemble” -Mercredi, Donald Trump a annoncé le gel pour 90 jours des surtaxes punitives qu’il venait d’imposer à 60 partenaires commerciaux, le temps de boucler des négociations avec Washington.Néanmoins, les Etats-Unis maintiennent depuis début avril des taux planchers de 10% et des surtaxes douanières de 25% sur l’acier, l’aluminium et l’automobile, notamment contre l’UE.La Chine, elle, a été finalement frappée par une surtaxe monumentale à 145%.Lors d’une rencontre vendredi avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, le président chinois Xi Jinping a appelé l’Union européenne à “résister ensemble” face à la guerre commerciale de Donald Trump.”La Chine et l’UE doivent assumer leurs responsabilités internationales, protéger conjointement la mondialisation économique et l’environnement commercial international et résister ensemble à toute coercition unilatérale”, a lancé Xi Jinping à Pékin.A l’issue de cette rencontre, le Premier ministre espagnol a indiqué devant la presse que “l’Espagne et l’Europe ont un déficit commercial important avec la Chine que nous devons nous efforcer de rectifier”. Mais “nous ne devons pas laisser les tensions commerciales entraver le potentiel de croissance des relations (…) entre la Chine et l’UE”.- “Très intelligent” -Le président français Emmanuel Macron a prévenu vendredi sur X que le rabaissement des droits de douane américains à 10% était “une pause fragile” et qu'”avec la Commission européenne, nous devons nous montrer forts: l’Europe doit continuer de travailler sur toutes les contre-mesures nécessaires”.Dans l’immédiat, l’UE a suspendu sa riposte, ce que Donald Trump a jugé “très intelligent”. Mais si les discussions avec les Etats-Unis échouent, la Commission européenne pourrait taxer les géants américains de la tech, a menacé sa présidente Ursula von der Leyen.”Il existe un large éventail de contre-mesures”, a-t-elle indiqué dans le Financial Times, citant “une taxe sur les revenus publicitaires des services numériques” et le recours à l'”instrument anticoercition”, surnommé “bazooka” et pensé comme un outil de dissuasion. D’autres pays asiatiques – dépendants de leurs exportations vers les Etats-Unis – font profil bas. A l’instar du Vietnam et du Cambodge, producteurs de textiles et membres de l’Association des nations d’Asie du sud-est (Asean), qui a dit qu’elle ne prendrait pas de mesures de rétorsion.Donald Trump s’est montré serein jeudi en jugeant que “la transition aura un coût et posera des problèmes” mais qu’en fin de compte, “ça sera une bonne chose”. Le président américain a encore menacé jeudi soir le Mexique de nouveaux droits de douane.Son ministre des Finances Scott Bessent a affirmé de son côté ne “rien” voir d'”inhabituel aujourd’hui” sur les marchés, alors que des élus démocrates ont estimé que le président républicain les avait peut-être illégalement manipulés en encourageant l’achat d’actions juste avant sa volte-face mercredi.burs-nr-lem/soe/rhl
Guerre commerciale: Pékin porte à 125% ses surtaxes sur les produits américains
La Chine a annoncé vendredi porter ses surtaxes douanières sur les produits américains à 125%, une nouvelle escalade dans la guerre commerciale qui l’oppose aux Etats-Unis et qui continue de faire tanguer les marchés mondiaux.”L’imposition par les États-Unis de droits de douane anormalement élevés à la Chine constitue une violation grave des règles du commerce international”, a affirmé la Commission des droits de douane du Conseil des affaires d’État, qui déplore une pratique “unilatérale d’intimidation et de coercition”, selon un communiqué publié vendredi par le ministère chinois des Finances.”Comme à ce niveau de tarifs, les produits américains exportés vers la Chine n’ont plus aucune possibilité d’être acceptés sur le marché” chinois, si Washington continue d’augmenter ses droits de douane, “la Chine l’ignorera”, a-t-elle poursuivi.L’incertitude générée par la politique de Donald Trump continue de faire plonger le dollar, qui a touché vendredi un plus bas face à l’euro en plus de trois ans.Les marchés boursiers européens, qui avaient été les seuls à résister jeudi, sont repartis dans le rouge après les annonces de Pékin. A Paris, le CAC 40 reculait de 1,1%, la Bourse de Francfort reculait de 1,6%, celle de Londres de 0,4% et celle de Milan de 1,5% aux alentours de 09H00 GMT.Dans le sillage de New York la veille, l’indice vedette Nikkei de la Bourse de Tokyo a, lui, terminé la semaine en repli de 2,95%.- “Résister ensemble” -Mercredi, Donald Trump a annoncé le gel pour 90 jours des surtaxes punitives qu’il venait d’imposer à 60 partenaires commerciaux, le temps de boucler des négociations avec Washington.Néanmoins, les Etats-Unis maintiennent depuis début avril des taux planchers de 10% et des surtaxes douanières de 25% sur l’acier, l’aluminium et l’automobile, notamment contre l’UE.La Chine, elle, a été finalement frappée par une surtaxe monumentale à 145%.Lors d’une rencontre vendredi avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, le président chinois Xi Jinping a appelé l’Union européenne à “résister ensemble” face à la guerre commerciale de Donald Trump.”La Chine et l’UE doivent assumer leurs responsabilités internationales, protéger conjointement la mondialisation économique et l’environnement commercial international et résister ensemble à toute coercition unilatérale”, a lancé Xi Jinping à Pékin.A l’issue de cette rencontre, le Premier ministre espagnol a indiqué devant la presse que “l’Espagne et l’Europe ont un déficit commercial important avec la Chine que nous devons nous efforcer de rectifier”. Mais “nous ne devons pas laisser les tensions commerciales entraver le potentiel de croissance des relations (…) entre la Chine et l’UE”.- “Très intelligent” -Le président français Emmanuel Macron a prévenu vendredi sur X que le rabaissement des droits de douane américains à 10% était “une pause fragile” et qu'”avec la Commission européenne, nous devons nous montrer forts: l’Europe doit continuer de travailler sur toutes les contre-mesures nécessaires”.Dans l’immédiat, l’UE a suspendu sa riposte, ce que Donald Trump a jugé “très intelligent”. Mais si les discussions avec les Etats-Unis échouent, la Commission européenne pourrait taxer les géants américains de la tech, a menacé sa présidente Ursula von der Leyen.”Il existe un large éventail de contre-mesures”, a-t-elle indiqué dans le Financial Times, citant “une taxe sur les revenus publicitaires des services numériques” et le recours à l'”instrument anticoercition”, surnommé “bazooka” et pensé comme un outil de dissuasion. D’autres pays asiatiques – dépendants de leurs exportations vers les Etats-Unis – font profil bas. A l’instar du Vietnam et du Cambodge, producteurs de textiles et membres de l’Association des nations d’Asie du sud-est (Asean), qui a dit qu’elle ne prendrait pas de mesures de rétorsion.Donald Trump s’est montré serein jeudi en jugeant que “la transition aura un coût et posera des problèmes” mais qu’en fin de compte, “ça sera une bonne chose”. Le président américain a encore menacé jeudi soir le Mexique de nouveaux droits de douane.Son ministre des Finances Scott Bessent a affirmé de son côté ne “rien” voir d'”inhabituel aujourd’hui” sur les marchés, alors que des élus démocrates ont estimé que le président républicain les avait peut-être illégalement manipulés en encourageant l’achat d’actions juste avant sa volte-face mercredi.burs-nr-lem/soe/rhl
Mohamed Salah: Liverpool’s Egyptian KingFri, 11 Apr 2025 09:20:43 GMT
A living legend in Liverpool, Mohamed Salah has two more years to burnish his astonishing legacy at Anfield after extending his contract on Friday.In the midst of constant speculation over his future, the 32-year-old has produced one of the great all-time individual seasons to take the Reds to the brink of the Premier League title.The …
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