A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Le puissant typhon Kalmaegi a touché terre aux Philippines

Le puissant typhon Kalmaegi traverse les Philippines mardi après avoir touché terre dans une région déjà frappée par des tempêtes parmi les plus meurtrières du pays où plus de 150.000 personnes ont été évacuées ces derniers jours. Le typhon, avec des vents de 150 km/h et des rafales pouvant atteindre 205 km/h, a touché terre pour la première fois lundi soir avant 23H00 (15H00 GMT) dans la province des îles Dinagat, qui fait partie de l’archipel des Visayas, dans l’est du pays, a indiqué le service météorologique national.À peine une heure plus tôt, à Dinagat, Miriam Vargas, 34 ans, était assise dans le noir avec ses deux enfants, la tempête ayant coupé l’électricité.”Pour l’instant, il y a de fortes pluies et des vents violents. Nous sommes assis sur les escaliers et nous prions tout en essayant d’évaluer la force du typhon”, a rapporté cette mère célibataire à l’AFP. “Le vent siffle et on entend des objets tomber. L’électricité a été coupée il y a environ une heure et nous ne voyons plus rien.”Environ 10.000 à 15.000 personnes ont été mises à l’abri dans les îles Dinagat, selon son gouverneur, Nilo Demerey.Joy Conales, une responsable de la gestion des catastrophes, a déclaré que les habitants de la ville de Loreto avaient été invités à évacuer vers des zones plus élevées. La localité dispose d’une digue d’une hauteur d’un étage destinée à protéger le centre-ville des vagues.Roel Montesa, un responsable de la gestion des catastrophes naturelles de la province de Leyte, au nord de Dinagat, avait indiqué un peu plus tôt que des évacuations étaient en cours à Palo et Tanauan. Ces deux circonscriptions, peuplées au total de 140.000 personnes selon le dernier recensement de 2024, avaient déjà été frappées durement en 2013 par le super-typhon Haiyan, qui avait tué au moins 6.000 personnes.- D’autres tempêtes attendues -Des milliers de mises à l’abri ont par ailleurs lieu depuis dimanche sur l’île voisine de Samar, où des vagues de trois mètres étaient attendues, selon un responsable de la défense civile, Randy Nicart. “Certaines administrations locales ont recours à des évacuations forcées”, a-t-il déclaré.À 20H00 heure locale lundi, “près de 156.000 personnes” avaient été évacuées de manière préventive, a indiqué Rafaelito Alejandro, administrateur adjoint du bureau de la défense civile, lors d’une conférence de presse.Chaque année, une vingtaine de tempêtes ou typhons frappent les Philippines ou s’en approchent, les régions les plus pauvres du pays étant généralement les plus durement touchées. Après Kalmaegi, la météorologue Charmaine Varilla s’attend à ce que “trois à cinq” autres tempêtes frappent le pays asiatique d’ici la fin de l’année, explique-t-elle à l’AFP.Les Philippines ont été frappées en septembre par les meurtriers tempête Bualoi et typhon Ragasa.Selon les experts, le changement climatique favorise des phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses.

Canada PM says first budget will help reduce reliance on US

Canadian Prime Minister Mark Carney’s government presents its first budget on Tuesday, a spending plan he says will provide “the answer” for an economy starting to buckle under US tariffs.Carney, who led the central banks of Canada and England before entering politics this year, has pitched himself as the ideal person to steer Canada through unprecedented disruption in US ties caused by President Donald Trump. Trump’s tariffs have hit Canada hard, driving up unemployment and squeezing businesses in crucial targeted sectors like autos, aluminum, and steel.”Where are we going to find the growth given the headwinds from the new US trade policy?,” Carney told reporters in South Korea this weekend, following an Asia summit.”What this budget will do is provide the answer to that question.” His Liberal government says the budget will address the stark new geopolitical realities facing Canada.Specific details of the spending plan are being kept under wraps until the finance minister unveils the budget in parliament on Tuesday. Among the headline items will be expected major increases in defense spending to bring Canada in line with NATO targets.Funds will also be allocated to a series of national projects that Carney has said are key to Canada’s economic sovereignty, given the “rupture” in economic relations with the United States.These range from port expansion to energy production and the infrastructure needed to boost extraction of critical minerals from remote areas.Finance Minister Francois-Philippe Champagne called the measures he’ll present on Tuesday as “an investment budget.””The idea is to build the Canada of tomorrow.”- ‘Not a game’ -Carney, who replaced Justin Trudeau as prime minister in January before being elected to a full term in April, has consistently warned Canadians that the Trump-era disruptions in US-Canada relations are not a passing phase.He said this weekend that the budget would help “reduce our reliance on the United States,” but noted that such a transformational shift “can’t happen overnight.”Carney’s April election win left his Liberals three seats short of a majority in parliament. That means the government needs opposition support — or abstentions — to pass its budget.Because the budget is a confidence vote, its defeat would trigger fresh elections.The Conservatives, the largest opposition party in parliament, may be the least likely to help.Party leader Pierre Poilievre has made a range of demands in exchange for his support, including deficit reduction.But University of Ottawa public policy expert Genevieve Tellier told AFP she expects the deficit to be “very large.”The left-wing New Democrats, who no longer have official party status in parliament after a dismal election performance in April, may prove reluctant to trigger another vote and could abstain on Carney’s budget.Tellier said she saw “little chance” of the government falling.Asked over the weekend if he was confident his budget would pass, Carney said: “I am 100 percent confident that this budget is the right budget for this country, at this moment.””This is not a game,” he added, voicing readiness to defend his proposals in an election if necessary.

À l’Assemblée, le budget de l’Etat en pause, place au projet de financement de la Sécu

Les députés ont bouclé lundi huit jours de débats sur la partie “recettes” du budget de l’État et voient peu à peu s’éloigner l’espoir d’arriver un jour au vote sur ce texte, remplacé dès mardi dans l’hémicycle par l’examen du budget de la Sécurité sociale. L’Assemblée risque de ne pas pouvoir examiner en entier la première partie du projet de loi de finances avant le 23 novembre à minuit, date à laquelle le gouvernement doit transmettre le texte au Sénat. S’il existe une chance que les débats s’accélèrent, le gouvernement semble désormais envisager clairement l’hypothèse du dépassement des délais. La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a ainsi assuré lundi soir que le gouvernement s’engageait à “transmettre” au Sénat “tous les amendements” qui auront été “votés” par l’Assemblée nationale. Une manière d’assurer aux groupes parlementaires que leurs travaux ne seront pas vains. En effet, lorsque les délais constitutionnels sont dépassés, l’exécutif est en droit de transmettre le projet initial, balayant du coup tous les votes des députés d’un claquement de doigts. En faisant le choix inverse, Sébastien Lecornu va donc demander au Sénat de se positionner sur toutes les mesures adoptées par les députés.Cette annonce intervient après huit jours d’âpres débats. Un examen qui s’est poursuivi lundi avec notamment l’adoption d’un amendement RN rétablissement “l’exit tax” dans sa version d’origine sarkozyste. Ou encore le resserrement du pacte Dutreil qui facilite la transmission d’une entreprise familiale. Dans la soirée, les députés ont rejeté l’une des mesures les plus décriées du projet de budget de l’Etat qui prévoit de soumettre à l’impôt sur le revenu les indemnités journalières versées aux personnes atteintes d’une affection longue durée (ALD). Ils ont également voté contre une hausse de la fiscalité sur deux biocarburants le B100 et le E85. – Rendez-vous le 12 novembre -L’examen du projet de loi de finances pour 2026 ne reprendra que le 12 novembre, car les députés entament dès mardi la discussion sur le projet de financement de la Sécurité sociale, truffé d’irritants lui aussi.Amélie de Montchalin a profité de ce moment pour tirer un premier bilan: on est loin “du budget Frankenstein” que la confusion fiscale des derniers jours pourrait laisser croire, selon elle. “Nous sommes précisément à 4,7% (du PIB) de déficit”, soit l’objectif initial du gouvernement, a-t-elle indiqué lundi matin. “Ce qui veut dire qu’il y a encore de la marge de manœuvre” lors de la navette parlementaire.Côté entreprises, “il y a eu des hausses d’impôts de 2,5 milliards pour les multinationales. Il y a eu des baisses aussi à peu près de 3 milliards de moins pour les PME”, a-t-elle résumé.Ce calcul exclut cependant “quatre taxes” (sur les multinationales, les rachats d’actions, les super dividendes notamment) que le gouvernement juge inapplicables ou contraires au droit européen.Côté ménages, il y aurait “à peu près 2 milliards de moins d’impôt, notamment du fait du dégel du barème de l’impôt sur le revenu” et de l’autre “un ensemble de mesures sur les plus fortunés qui représenteraient plus que l’ISF avant 2017″. Ces mesures devraient rapporter entre 5 et 6 milliards d’euros, contre 5,1 pour l’ISF.Insuffisant toutefois pour que cette copie réunisse une majorité de députés à ce stade, car les divergences restent grandes.”Je ne vois pas très bien comment cette partie 1 pourrait être votée, parce qu’en fait elle ne va satisfaire personne”, a pointé le rapporteur général du Budget, Philippe Juvin (LR).- La gauche boycotte une réunion -Le Premier ministre a demandé à ses ministres de réunir les représentants des groupes pour trouver des points d’accord. Mais la gauche ne s’est pas rendue à la réunion organisée à la mi-journée au ministère des Relations avec le Parlement, en raison de la présence du Rassemblement national. Outre le RN, son allié l’UDR d’Eric Ciotti, le groupe indépendant Liot et les représentants du socle commun y ont assisté. Le premier secrétaire du PS Olivier Faure reste néanmoins optimiste: si la voie était “étroite” vers une adoption, un “chemin” lui semblait encore “possible” lundi.”J’appelle ça les idiots utiles du macronisme”, a rétorqué l’Insoumis Eric Coquerel.En cas de rejet de cette première partie, le projet de budget partirait au Sénat dans sa version initiale. Si le Parlement ne s’est pas prononcé le 23 décembre, le gouvernement peut légiférer par ordonnances, une procédure inédite. Autre option si rejet du budget: le vote d’une loi spéciale.sl-far-ama-cma/vgu

À l’Assemblée, le budget de l’Etat en pause, place au projet de financement de la Sécu

Les députés ont bouclé lundi huit jours de débats sur la partie “recettes” du budget de l’État et voient peu à peu s’éloigner l’espoir d’arriver un jour au vote sur ce texte, remplacé dès mardi dans l’hémicycle par l’examen du budget de la Sécurité sociale. L’Assemblée risque de ne pas pouvoir examiner en entier la première partie du projet de loi de finances avant le 23 novembre à minuit, date à laquelle le gouvernement doit transmettre le texte au Sénat. S’il existe une chance que les débats s’accélèrent, le gouvernement semble désormais envisager clairement l’hypothèse du dépassement des délais. La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a ainsi assuré lundi soir que le gouvernement s’engageait à “transmettre” au Sénat “tous les amendements” qui auront été “votés” par l’Assemblée nationale. Une manière d’assurer aux groupes parlementaires que leurs travaux ne seront pas vains. En effet, lorsque les délais constitutionnels sont dépassés, l’exécutif est en droit de transmettre le projet initial, balayant du coup tous les votes des députés d’un claquement de doigts. En faisant le choix inverse, Sébastien Lecornu va donc demander au Sénat de se positionner sur toutes les mesures adoptées par les députés.Cette annonce intervient après huit jours d’âpres débats. Un examen qui s’est poursuivi lundi avec notamment l’adoption d’un amendement RN rétablissement “l’exit tax” dans sa version d’origine sarkozyste. Ou encore le resserrement du pacte Dutreil qui facilite la transmission d’une entreprise familiale. Dans la soirée, les députés ont rejeté l’une des mesures les plus décriées du projet de budget de l’Etat qui prévoit de soumettre à l’impôt sur le revenu les indemnités journalières versées aux personnes atteintes d’une affection longue durée (ALD). Ils ont également voté contre une hausse de la fiscalité sur deux biocarburants le B100 et le E85. – Rendez-vous le 12 novembre -L’examen du projet de loi de finances pour 2026 ne reprendra que le 12 novembre, car les députés entament dès mardi la discussion sur le projet de financement de la Sécurité sociale, truffé d’irritants lui aussi.Amélie de Montchalin a profité de ce moment pour tirer un premier bilan: on est loin “du budget Frankenstein” que la confusion fiscale des derniers jours pourrait laisser croire, selon elle. “Nous sommes précisément à 4,7% (du PIB) de déficit”, soit l’objectif initial du gouvernement, a-t-elle indiqué lundi matin. “Ce qui veut dire qu’il y a encore de la marge de manœuvre” lors de la navette parlementaire.Côté entreprises, “il y a eu des hausses d’impôts de 2,5 milliards pour les multinationales. Il y a eu des baisses aussi à peu près de 3 milliards de moins pour les PME”, a-t-elle résumé.Ce calcul exclut cependant “quatre taxes” (sur les multinationales, les rachats d’actions, les super dividendes notamment) que le gouvernement juge inapplicables ou contraires au droit européen.Côté ménages, il y aurait “à peu près 2 milliards de moins d’impôt, notamment du fait du dégel du barème de l’impôt sur le revenu” et de l’autre “un ensemble de mesures sur les plus fortunés qui représenteraient plus que l’ISF avant 2017″. Ces mesures devraient rapporter entre 5 et 6 milliards d’euros, contre 5,1 pour l’ISF.Insuffisant toutefois pour que cette copie réunisse une majorité de députés à ce stade, car les divergences restent grandes.”Je ne vois pas très bien comment cette partie 1 pourrait être votée, parce qu’en fait elle ne va satisfaire personne”, a pointé le rapporteur général du Budget, Philippe Juvin (LR).- La gauche boycotte une réunion -Le Premier ministre a demandé à ses ministres de réunir les représentants des groupes pour trouver des points d’accord. Mais la gauche ne s’est pas rendue à la réunion organisée à la mi-journée au ministère des Relations avec le Parlement, en raison de la présence du Rassemblement national. Outre le RN, son allié l’UDR d’Eric Ciotti, le groupe indépendant Liot et les représentants du socle commun y ont assisté. Le premier secrétaire du PS Olivier Faure reste néanmoins optimiste: si la voie était “étroite” vers une adoption, un “chemin” lui semblait encore “possible” lundi.”J’appelle ça les idiots utiles du macronisme”, a rétorqué l’Insoumis Eric Coquerel.En cas de rejet de cette première partie, le projet de budget partirait au Sénat dans sa version initiale. Si le Parlement ne s’est pas prononcé le 23 décembre, le gouvernement peut légiférer par ordonnances, une procédure inédite. Autre option si rejet du budget: le vote d’une loi spéciale.sl-far-ama-cma/vgu

À l’Assemblée, le budget de l’Etat en pause, place au projet de financement de la Sécu

Les députés ont bouclé lundi huit jours de débats sur la partie “recettes” du budget de l’État et voient peu à peu s’éloigner l’espoir d’arriver un jour au vote sur ce texte, remplacé dès mardi dans l’hémicycle par l’examen du budget de la Sécurité sociale. L’Assemblée risque de ne pas pouvoir examiner en entier la première partie du projet de loi de finances avant le 23 novembre à minuit, date à laquelle le gouvernement doit transmettre le texte au Sénat. S’il existe une chance que les débats s’accélèrent, le gouvernement semble désormais envisager clairement l’hypothèse du dépassement des délais. La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a ainsi assuré lundi soir que le gouvernement s’engageait à “transmettre” au Sénat “tous les amendements” qui auront été “votés” par l’Assemblée nationale. Une manière d’assurer aux groupes parlementaires que leurs travaux ne seront pas vains. En effet, lorsque les délais constitutionnels sont dépassés, l’exécutif est en droit de transmettre le projet initial, balayant du coup tous les votes des députés d’un claquement de doigts. En faisant le choix inverse, Sébastien Lecornu va donc demander au Sénat de se positionner sur toutes les mesures adoptées par les députés.Cette annonce intervient après huit jours d’âpres débats. Un examen qui s’est poursuivi lundi avec notamment l’adoption d’un amendement RN rétablissement “l’exit tax” dans sa version d’origine sarkozyste. Ou encore le resserrement du pacte Dutreil qui facilite la transmission d’une entreprise familiale. Dans la soirée, les députés ont rejeté l’une des mesures les plus décriées du projet de budget de l’Etat qui prévoit de soumettre à l’impôt sur le revenu les indemnités journalières versées aux personnes atteintes d’une affection longue durée (ALD). Ils ont également voté contre une hausse de la fiscalité sur deux biocarburants le B100 et le E85. – Rendez-vous le 12 novembre -L’examen du projet de loi de finances pour 2026 ne reprendra que le 12 novembre, car les députés entament dès mardi la discussion sur le projet de financement de la Sécurité sociale, truffé d’irritants lui aussi.Amélie de Montchalin a profité de ce moment pour tirer un premier bilan: on est loin “du budget Frankenstein” que la confusion fiscale des derniers jours pourrait laisser croire, selon elle. “Nous sommes précisément à 4,7% (du PIB) de déficit”, soit l’objectif initial du gouvernement, a-t-elle indiqué lundi matin. “Ce qui veut dire qu’il y a encore de la marge de manœuvre” lors de la navette parlementaire.Côté entreprises, “il y a eu des hausses d’impôts de 2,5 milliards pour les multinationales. Il y a eu des baisses aussi à peu près de 3 milliards de moins pour les PME”, a-t-elle résumé.Ce calcul exclut cependant “quatre taxes” (sur les multinationales, les rachats d’actions, les super dividendes notamment) que le gouvernement juge inapplicables ou contraires au droit européen.Côté ménages, il y aurait “à peu près 2 milliards de moins d’impôt, notamment du fait du dégel du barème de l’impôt sur le revenu” et de l’autre “un ensemble de mesures sur les plus fortunés qui représenteraient plus que l’ISF avant 2017″. Ces mesures devraient rapporter entre 5 et 6 milliards d’euros, contre 5,1 pour l’ISF.Insuffisant toutefois pour que cette copie réunisse une majorité de députés à ce stade, car les divergences restent grandes.”Je ne vois pas très bien comment cette partie 1 pourrait être votée, parce qu’en fait elle ne va satisfaire personne”, a pointé le rapporteur général du Budget, Philippe Juvin (LR).- La gauche boycotte une réunion -Le Premier ministre a demandé à ses ministres de réunir les représentants des groupes pour trouver des points d’accord. Mais la gauche ne s’est pas rendue à la réunion organisée à la mi-journée au ministère des Relations avec le Parlement, en raison de la présence du Rassemblement national. Outre le RN, son allié l’UDR d’Eric Ciotti, le groupe indépendant Liot et les représentants du socle commun y ont assisté. Le premier secrétaire du PS Olivier Faure reste néanmoins optimiste: si la voie était “étroite” vers une adoption, un “chemin” lui semblait encore “possible” lundi.”J’appelle ça les idiots utiles du macronisme”, a rétorqué l’Insoumis Eric Coquerel.En cas de rejet de cette première partie, le projet de budget partirait au Sénat dans sa version initiale. Si le Parlement ne s’est pas prononcé le 23 décembre, le gouvernement peut légiférer par ordonnances, une procédure inédite. Autre option si rejet du budget: le vote d’une loi spéciale.sl-far-ama-cma/vgu

Quand les dessinateurs de BD aident les jeux vidéo à sortir de leur bulle

Présenté au public de la Paris Games Week, “Cairn”, poétique jeu vidéo d’escalade du studio français The Game Bakers, bénéficie du trait singulier de l’auteur de BD Mathieu Bablet, insufflant au titre une identité visuelle forte pour le démarquer d’une offre toujours plus pléthorique.Prévu début 2026 sur PC et PS5, “Cairn” place le joueur face …

Quand les dessinateurs de BD aident les jeux vidéo à sortir de leur bulle Read More »

Soudan: possibles crimes de guerre et contre l’humanité à El-Facher, avertit la CPI

Les atrocités commises dans la ville d’El-Facher au Soudan pourraient constituer des crimes de guerre et contre l’humanité, a averti lundi le bureau du procureur de la Cour pénale internationale (CPI), alors que les civils fuient par milliers leurs foyers dans la région voisine du Kordofan, selon l’ONU.Après 18 mois de siège, les paramilitaires des …

Soudan: possibles crimes de guerre et contre l’humanité à El-Facher, avertit la CPI Read More »

Tanzanie : la présidente investie malgré les violences électorales

Samia Suluhu Hassan a été investie lundi présidente de la Tanzanie, après des manifestations réprimées dans le sang contre son élection, l’opposition évoquant au moins 800 morts. Mme Hassan, 65 ans, avait été promue à la tête de la Tanzanie à la mort de John Magufuli en 2021. Saluée au début pour avoir assoupli les restrictions …

Tanzanie : la présidente investie malgré les violences électorales Read More »

Législatives aux Pays-Bas: décompte terminé, victoire du centre confirmée

La victoire annoncée du centriste Rob Jetten aux élections législatives aux Pays-Bas a été confirmée lundi après le dépouillement des derniers bulletins de vote, dans un duel très serré avec l’extrême droite de Geert Wilders.M. Jetten avait déjà revendiqué la victoire vendredi après que l’agence de presse locale ANP, qui compile et publie les résultats, …

Législatives aux Pays-Bas: décompte terminé, victoire du centre confirmée Read More »

Israël: l’ex-procureure générale de l’armée arrêtée après la fuite en 2024 d’une vidéo de sévices

L’ex-procureure générale de l’armée israélienne, Yifat Tomer-Yeroushalmi, a été arrêtée dans le cadre d’une affaire de fuite en 2024 d’une vidéo suggérant de graves sévices contre un détenu palestinien dans une prison de haute sécurité près de Gaza,  pour lesquels cinq réservistes ont été inculpés. Cette affaire de violences présumées, y compris à caractère sexuel, qui …

Israël: l’ex-procureure générale de l’armée arrêtée après la fuite en 2024 d’une vidéo de sévices Read More »