Spain PM heads to China, Vietnam as US tariff blitz bites

Spanish Prime Minister Pedro Sanchez aims to open new market opportunities during a visit to China and Vietnam this week on the heels of US President Donald Trump’s sweeping tariffs.The trip comes as the European Union rethinks its global trading relationships amid turmoil caused by the US import duties announced last week that have sent world markets into a tailspin.Sanchez is to arrive in Hanoi on Wednesday for talks with Vietnam’s top leader, To Lam, on the same day Trump’s 20 percent tariffs on EU products come into force.On Thursday, he will travel to Ho Chi Minh City, the Asian manufacturing powerhouse’s commercial capital, to meet with business leaders.The Socialist prime minister then heads to China for his third visit in just over two years, where he is scheduled to meet President Xi Jinping and Chinese investors on Friday.China and Vietnam currently sell much more to Spain than they buy.Trump last week announced he would hit China with an additional 34 percent tariff on top of a 20 percent levy imposed this year. On Monday, he threatened additional tariffs of 50 percent from Wednesday if China did not withdraw its retaliatory measures.Vietnam, where Sanchez will make the first official visit by a Spanish prime minister, is to be hit with a thumping 46 percent tariff.- ‘A mistake’ -Sanchez broke with the rest of the EU on his last trip to China in September 2024, urging the bloc to reconsider plans to impose high tariffs on Chinese electric cars and calling for a “fair trade order”.The EU argued that the tariffs were necessary to protect European producers from unfair competition from state-backed Chinese firms.China reacted by launching a probe into imports of EU pork products. Spain is the bloc’s biggest exporter of pork products to China.Sanchez “has tried to present himself as a bridge between Brussels and China and to be one of the voices calling for pragmatism” that puts the economy first, said Ines Arco, an Asia specialist at the Barcelona Centre for International Affairs, a think tank.Spain’s conservative opposition and media have however accused Sanchez of acting on his own and without coordination with Brussels.”It’s a mistake to want to switch from the United States to China overnight,” said Alberto Nunez Feijoo, leader of Spain’s main opposition conservative Popular Party.- ‘Level playing field’ -Brussels, however, has recently signalled that it wants smoother ties with Beijing.After Trump’s return to the White House in January, EU chief Ursula von der Leyen called for “constructive engagement with China”. And the bloc’s trade commissioner, Maros Sefcovic, recently visited China to “promote a more balanced and cooperative trade relationship”.The “clear objective” of Sanchez’s trip is to increase Spain’s exports to China, given the huge trade imbalance that exists, said Miguel Otero, a senior analyst at the Elcano Royal Institute think tank in Madrid.Spain buys some 45 billion euros ($49.1 billion) of goods from China per year, its fourth-largest trading partner, but sells it just some 7.4 billion euros.Sanchez will also seek to attract more green tech investment after Chinese carmaker Chery announced last year it would open its first European electric car factory in Barcelona.Another major Chinese carmaker, BYD, is mulling a new investment in Europe after opening an electric vehicle plant in Hungary, and Spain could be a candidate, said Arco.Spanish Economy Minister Carlos Cuerpo said Monday that Madrid wants to reach “negotiated agreements” with China “to open up our markets, but always with a degree of protection… our companies, our industries should play on a level playing field”.

Droits de douane: la Chine, menacée par Trump, s’engage à se défendre “jusqu’au bout”

La Chine a promis mardi de combattre les droits de douane américains “jusqu’au bout” malgré la menace de Donald Trump de nouvelles surtaxes, les deux premières économies mondiales se disant prêtes à l’escalade malgré la déroute des marchés financiers.L’administration américaine assure rester ouverte à la négociation et les Bourses asiatiques, Tokyo en tête, sont pour la plupart reparties à la hause mardi en début de séance, reprenant leur souffle après plusieurs séances de plongeon à l’image du choc que représente pour l’économie mondiale l’offensive commerciale lancée par le président américain.Mais les marchés mondiaux sont pour l’instant loin de compenser les milliers de milliards de dollars partis en fumée depuis “le jour de la libération” de mercredi dernier, quand Donald Trump a annoncé des droits de douane visant les importations de la plupart des pays dans le monde, en particulier en Europe et Asie.Et les risques liés à l’escalade d’une guerre commerciale tous azimuts persistent, Donald Trump reprochant à Pékin de ne “pas avoir pris en compte (son) avertissement (…) de ne pas répliquer”.Il a brandi la menace d’imposer dès mercredi des taxes additionnelles à hauteur de 50% sur les importations chinoises si Pékin persiste à vouloir appliquer des droits de douane supplémentaires de 34% aux produits américains.”La Chine n’acceptera jamais cela””, a déclaré un porte-parole du ministère du Commerce. “Si les Etats-Unis insistent dans cette voie, la Chine les combattra jusqu’au bout”, a-t-il ajouté, répétant cependant préférer un “dialogue” avec les États-Unis.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a déjà frappé les produits chinois d’une surtaxe additionnelle de 20%. Elle doit passer à 54% dès le 9 avril, avec les +34% annoncés la semaine dernière. S’il met à exécution sa dernière menace, cela portera la surtaxe à un exorbitant 104%, de quoi doubler le prix des produits chinois à l’entrée sur le sol américain.Le dirigeant de Hong Kong John Lee a fustigé des droits de douane “irresponsables”.- Plus d’inflation, moins de croissance -Dans l’immédiat, la Chine cherche à apaiser la tempête financière provoquée par ces mesures et sa Banque centrale s’est engagée à soutenir le principal fonds d’Etat chinois, Central Huijin Investment, pour stabiliser les marchés.La Bourse de Hong Kong rebondit mardi de près de 2% en début de séance au lendemain de sa pire chute depuis la crise financière de 1997 (-13%), tandis que Shanghai s’oriente en très légère hausse.Au delà des seules places chinoises, l’heure est à l’accalmie boursière en Asie, de Tokyo (+6%) à Séoul (+1,5%) après plusieurs jours de plongeon et un semblant de stabilisation lundi à Wall Street à l’issue d’une séance en montagnes russes.Mais Taïwan reste orientée à la baisse, tandis que Jakarta, fermée en raison de jours fériés ces derniers jours, a vu ses cotations suspendues après une ouverture en chute de 9%.Les analystes s’attendent à voir les économies tanguer sévèrement dans l’engrenage d’une guerre commerciale pouvant se traduire par des prix plus élevés, plus de chômage et moins de croissance.Donald Trump affirme que la première économie mondiale est “pillée” par le reste du monde. En conséquence, il a décidé d’imposer un taux additionnel de 10% sur tous les produits importés aux États-Unis, entré en vigueur samedi avec quelques exceptions comme l’or et l’énergie.Ce taux doit être relevé dès mercredi pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs, notamment l’Union européenne (+20%) et le Vietnam (+46%).- “Accords équitables” -Les partenaires commerciaux des Etats-Unis cherchent à convaincre Donald Trump d’alléger ce fardeau et ce dernier souffle en face le chaud et le froid.Le président a affirmé ne plus vouloir s’entretenir avec des responsables chinois mais s’est dit prêt à négocier des “accords équitables” avec les autres pays.Son secrétaire au Trésor Scott Bessent a expliqué sur Fox News que les droits de douane annoncés le 2 avril servaient à placer les Etats-Unis en position de force. Il a assuré qu’une fois que des assurances seraient reçues des autres pays sur la manière dont ils comptent ouvrir davantage leurs marchés aux produits américains, “le président Trump sera prêt à négocier”.Il a précisé que “50, 60, peut être près de 70 pays” avaient contacté l’administration américaine pour discuter, relevant que le Japon aurait “la priorité” dans toute négociation en raison de la réaction rapide de Tokyo et de ses liens avec les Etats-Unis.Premier dirigeant étranger reçu à la Maison Blanche par le président américain depuis les annonces de la semaine dernière, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a promis d’éliminer les droits de douane et l’excédent commercial de son pays vis-à-vis des Etats-Unis.L’Union européenne (UE), de son côté, a proposé à Washington d’abolir les droits de douane de part et d’autre de l’Atlantique sur les produits issus de l’industrie, comme les voitures et les médicaments.

Droits de douane: la Chine, menacée par Trump, s’engage à se défendre “jusqu’au bout”

La Chine a promis mardi de combattre les droits de douane américains “jusqu’au bout” malgré la menace de Donald Trump de nouvelles surtaxes, les deux premières économies mondiales se disant prêtes à l’escalade malgré la déroute des marchés financiers.L’administration américaine assure rester ouverte à la négociation et les Bourses asiatiques, Tokyo en tête, sont pour la plupart reparties à la hause mardi en début de séance, reprenant leur souffle après plusieurs séances de plongeon à l’image du choc que représente pour l’économie mondiale l’offensive commerciale lancée par le président américain.Mais les marchés mondiaux sont pour l’instant loin de compenser les milliers de milliards de dollars partis en fumée depuis “le jour de la libération” de mercredi dernier, quand Donald Trump a annoncé des droits de douane visant les importations de la plupart des pays dans le monde, en particulier en Europe et Asie.Et les risques liés à l’escalade d’une guerre commerciale tous azimuts persistent, Donald Trump reprochant à Pékin de ne “pas avoir pris en compte (son) avertissement (…) de ne pas répliquer”.Il a brandi la menace d’imposer dès mercredi des taxes additionnelles à hauteur de 50% sur les importations chinoises si Pékin persiste à vouloir appliquer des droits de douane supplémentaires de 34% aux produits américains.”La Chine n’acceptera jamais cela””, a déclaré un porte-parole du ministère du Commerce. “Si les Etats-Unis insistent dans cette voie, la Chine les combattra jusqu’au bout”, a-t-il ajouté, répétant cependant préférer un “dialogue” avec les États-Unis.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a déjà frappé les produits chinois d’une surtaxe additionnelle de 20%. Elle doit passer à 54% dès le 9 avril, avec les +34% annoncés la semaine dernière. S’il met à exécution sa dernière menace, cela portera la surtaxe à un exorbitant 104%, de quoi doubler le prix des produits chinois à l’entrée sur le sol américain.Le dirigeant de Hong Kong John Lee a fustigé des droits de douane “irresponsables”.- Plus d’inflation, moins de croissance -Dans l’immédiat, la Chine cherche à apaiser la tempête financière provoquée par ces mesures et sa Banque centrale s’est engagée à soutenir le principal fonds d’Etat chinois, Central Huijin Investment, pour stabiliser les marchés.La Bourse de Hong Kong rebondit mardi de près de 2% en début de séance au lendemain de sa pire chute depuis la crise financière de 1997 (-13%), tandis que Shanghai s’oriente en très légère hausse.Au delà des seules places chinoises, l’heure est à l’accalmie boursière en Asie, de Tokyo (+6%) à Séoul (+1,5%) après plusieurs jours de plongeon et un semblant de stabilisation lundi à Wall Street à l’issue d’une séance en montagnes russes.Mais Taïwan reste orientée à la baisse, tandis que Jakarta, fermée en raison de jours fériés ces derniers jours, a vu ses cotations suspendues après une ouverture en chute de 9%.Les analystes s’attendent à voir les économies tanguer sévèrement dans l’engrenage d’une guerre commerciale pouvant se traduire par des prix plus élevés, plus de chômage et moins de croissance.Donald Trump affirme que la première économie mondiale est “pillée” par le reste du monde. En conséquence, il a décidé d’imposer un taux additionnel de 10% sur tous les produits importés aux États-Unis, entré en vigueur samedi avec quelques exceptions comme l’or et l’énergie.Ce taux doit être relevé dès mercredi pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs, notamment l’Union européenne (+20%) et le Vietnam (+46%).- “Accords équitables” -Les partenaires commerciaux des Etats-Unis cherchent à convaincre Donald Trump d’alléger ce fardeau et ce dernier souffle en face le chaud et le froid.Le président a affirmé ne plus vouloir s’entretenir avec des responsables chinois mais s’est dit prêt à négocier des “accords équitables” avec les autres pays.Son secrétaire au Trésor Scott Bessent a expliqué sur Fox News que les droits de douane annoncés le 2 avril servaient à placer les Etats-Unis en position de force. Il a assuré qu’une fois que des assurances seraient reçues des autres pays sur la manière dont ils comptent ouvrir davantage leurs marchés aux produits américains, “le président Trump sera prêt à négocier”.Il a précisé que “50, 60, peut être près de 70 pays” avaient contacté l’administration américaine pour discuter, relevant que le Japon aurait “la priorité” dans toute négociation en raison de la réaction rapide de Tokyo et de ses liens avec les Etats-Unis.Premier dirigeant étranger reçu à la Maison Blanche par le président américain depuis les annonces de la semaine dernière, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a promis d’éliminer les droits de douane et l’excédent commercial de son pays vis-à-vis des Etats-Unis.L’Union européenne (UE), de son côté, a proposé à Washington d’abolir les droits de douane de part et d’autre de l’Atlantique sur les produits issus de l’industrie, comme les voitures et les médicaments.

Droits de douane: la Chine, menacée par Trump, s’engage à se défendre “jusqu’au bout”

La Chine a promis mardi de combattre les droits de douane américains “jusqu’au bout” malgré la menace de Donald Trump de nouvelles surtaxes, les deux premières économies mondiales se disant prêtes à l’escalade malgré la déroute des marchés financiers.L’administration américaine assure rester ouverte à la négociation et les Bourses asiatiques, Tokyo en tête, sont pour la plupart reparties à la hause mardi en début de séance, reprenant leur souffle après plusieurs séances de plongeon à l’image du choc que représente pour l’économie mondiale l’offensive commerciale lancée par le président américain.Mais les marchés mondiaux sont pour l’instant loin de compenser les milliers de milliards de dollars partis en fumée depuis “le jour de la libération” de mercredi dernier, quand Donald Trump a annoncé des droits de douane visant les importations de la plupart des pays dans le monde, en particulier en Europe et Asie.Et les risques liés à l’escalade d’une guerre commerciale tous azimuts persistent, Donald Trump reprochant à Pékin de ne “pas avoir pris en compte (son) avertissement (…) de ne pas répliquer”.Il a brandi la menace d’imposer dès mercredi des taxes additionnelles à hauteur de 50% sur les importations chinoises si Pékin persiste à vouloir appliquer des droits de douane supplémentaires de 34% aux produits américains.”La Chine n’acceptera jamais cela””, a déclaré un porte-parole du ministère du Commerce. “Si les Etats-Unis insistent dans cette voie, la Chine les combattra jusqu’au bout”, a-t-il ajouté, répétant cependant préférer un “dialogue” avec les États-Unis.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a déjà frappé les produits chinois d’une surtaxe additionnelle de 20%. Elle doit passer à 54% dès le 9 avril, avec les +34% annoncés la semaine dernière. S’il met à exécution sa dernière menace, cela portera la surtaxe à un exorbitant 104%, de quoi doubler le prix des produits chinois à l’entrée sur le sol américain.Le dirigeant de Hong Kong John Lee a fustigé des droits de douane “irresponsables”.- Plus d’inflation, moins de croissance -Dans l’immédiat, la Chine cherche à apaiser la tempête financière provoquée par ces mesures et sa Banque centrale s’est engagée à soutenir le principal fonds d’Etat chinois, Central Huijin Investment, pour stabiliser les marchés.La Bourse de Hong Kong rebondit mardi de près de 2% en début de séance au lendemain de sa pire chute depuis la crise financière de 1997 (-13%), tandis que Shanghai s’oriente en très légère hausse.Au delà des seules places chinoises, l’heure est à l’accalmie boursière en Asie, de Tokyo (+6%) à Séoul (+1,5%) après plusieurs jours de plongeon et un semblant de stabilisation lundi à Wall Street à l’issue d’une séance en montagnes russes.Mais Taïwan reste orientée à la baisse, tandis que Jakarta, fermée en raison de jours fériés ces derniers jours, a vu ses cotations suspendues après une ouverture en chute de 9%.Les analystes s’attendent à voir les économies tanguer sévèrement dans l’engrenage d’une guerre commerciale pouvant se traduire par des prix plus élevés, plus de chômage et moins de croissance.Donald Trump affirme que la première économie mondiale est “pillée” par le reste du monde. En conséquence, il a décidé d’imposer un taux additionnel de 10% sur tous les produits importés aux États-Unis, entré en vigueur samedi avec quelques exceptions comme l’or et l’énergie.Ce taux doit être relevé dès mercredi pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs, notamment l’Union européenne (+20%) et le Vietnam (+46%).- “Accords équitables” -Les partenaires commerciaux des Etats-Unis cherchent à convaincre Donald Trump d’alléger ce fardeau et ce dernier souffle en face le chaud et le froid.Le président a affirmé ne plus vouloir s’entretenir avec des responsables chinois mais s’est dit prêt à négocier des “accords équitables” avec les autres pays.Son secrétaire au Trésor Scott Bessent a expliqué sur Fox News que les droits de douane annoncés le 2 avril servaient à placer les Etats-Unis en position de force. Il a assuré qu’une fois que des assurances seraient reçues des autres pays sur la manière dont ils comptent ouvrir davantage leurs marchés aux produits américains, “le président Trump sera prêt à négocier”.Il a précisé que “50, 60, peut être près de 70 pays” avaient contacté l’administration américaine pour discuter, relevant que le Japon aurait “la priorité” dans toute négociation en raison de la réaction rapide de Tokyo et de ses liens avec les Etats-Unis.Premier dirigeant étranger reçu à la Maison Blanche par le président américain depuis les annonces de la semaine dernière, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a promis d’éliminer les droits de douane et l’excédent commercial de son pays vis-à-vis des Etats-Unis.L’Union européenne (UE), de son côté, a proposé à Washington d’abolir les droits de douane de part et d’autre de l’Atlantique sur les produits issus de l’industrie, comme les voitures et les médicaments.

Un défilé militaire à l’américaine? La Maison Blanche dément

La Maison Blanche a réfuté lundi les informations selon lesquelles elle prévoyait un défilé militaire à Washington le 14 juin, date du 250e anniversaire de l’armée américaine mais aussi du 79e anniversaire de Donald Trump.Le président américain, qui avait envié le défilé du 14 juillet à Paris auquel l’avait convié son homologue français Emmanuel Macron en 2017, a prévu une parade similaire dans la capitale américaine cet été, une tradition qui n’a rien d’américaine, selon le journal local Washington City Paper.Contactée par l’AFP, la Maison Blanche a assuré qu’aucun défilé n’était “prévu”.Selon le Washington City Paper, le défilé doit s’étendre sur six kilomètres, du Pentagone à la Maison Blanche.Après son expérience parisienne, Donald Trump avait émis l’idée d’organiser un grand défilé militaire à Washington durant son premier mandat.Mais cette idée ne s’est toutefois jamais concrétisée, le Pentagone ayant souligné le coût faramineux d’un tel événement, sans parler des inquiétudes au sujet des dommages que causeraient des chars et autres véhicules militaires lourds dans les rues de la ville. Interrogée par la presse lundi, la maire de Washington n’a pas caché son scepticisme. “Il ne serait pas bon que des chars militaires circulent dans nos rues”, a-t-elle déclaré.Selon la maire, le ministère de la Sécurité intérieure ou la Maison Blanche ont contacté les autorités municipales chargées des grands événements.”Je dirais qu’on en est au tout début”, a-t-elle expliqué. “Je ne sais pas s’il s’agit d’un défilé militaire, mais c’est peut-être le cas”. Le dernier grand défilé militaire aux Etats-Unis s’est tenu en 1991 à Washington pour célébrer la fin de la guerre du Golfe.

Global temperatures at near historic highs in March: EU monitorTue, 08 Apr 2025 02:04:53 GMT

Global temperatures hovered at historic highs in March, Europe’s climate monitor said on Tuesday, prolonging an extraordinary heat streak that has tested scientific expectations.In Europe, it was the hottest March ever recorded by a significant margin, said the Copernicus Climate Change Service, driving rainfall extremes across a continent warming faster than any other.The world meanwhile …

Global temperatures at near historic highs in March: EU monitorTue, 08 Apr 2025 02:04:53 GMT Read More »