New Bruce Springsteen music set for June 27 release

Bruce Springsteen announced Thursday he will release a boxed set of new music this summer spanning 83 songs.”Tracks II: The Lost Albums” is slated to drop June 27, seven complete albums recorded between 1983 and 2018, The Boss said.”‘The Lost Albums’ were full records, some of them even to the point of being mixed and not released,” said Springsteen in a statement on his website.”I’ve played this music to myself and often close friends for years now. I’m glad you’ll get a chance to finally hear them. I hope you enjoy them.”The 75-year-old released a preview in the form of the track “Rain In The River,” an electrified arena-rock anthem.In a video clip accompanying the announcement, he said he took advantage of the pandemic to finish “everything I had in my vault.”Springsteen last released a studio album in 2022, a collection of covers of classics by the likes of the Four Tops and the Supremes entitled “Only the Strong Survive.”His forthcoming albums will be released by Sony, which bought the rights to Springsteen’s catalog in 2021 for a reported half billion dollars.Next month Springsteen and the E Street Band are due for a tour of Europe and the UK, set to begin May 14 in Manchester, England.

Droits de douane: le Lesotho, pays le plus touché, va envoyer une délégation aux Etats-Unis

Le Lesotho a annoncé jeudi l’envoi “en urgence” d’une délégation gouvernementale aux Etats-Unis pour plaider sa cause, après que le président américain Donald Trump a imposé à ce petit pays d’Afrique australe des droits de douane de 50%, les plus élevés annoncés pour une seule nation.D’autes pays africains ont été visés par des “tarifs réciproques” bien au-dessus du nouveau taux plancher de 10% décrété par Washington: 47% pour Madagascar, 40% pour l’île Maurice, 37% pour le Botswana, 30% pour la Guinée équatoriale et 30% pour l’Afrique du Sud. Mais c’est le Lesotho, entièrement enclavé dans l’Afrique du Sud, qui est en tête de la liste des nombreux pays frappés par les droits de douane additionnels massifs présentés mercredi par Donald Trump, dans le cadre d’une guerre commerciale mondiale qui s’intensifie.”Nous devons nous rendre d’urgence aux Etats-Unis pour dialoguer avec leurs dirigeants et plaider notre cause”, a déclaré le ministre du Commerce du Lesotho, Mokhethi Shelile, à des journalistes, disant craindre “la fermeture immédiate d’usines et les pertes d’emplois”.Le produit intérieur brut (PIB) du Lesotho – 2 milliards de dollars annuels – dépend fortement de ses exportations de produits textiles, notamment de jeans.L’industrie textile est la plus grande pourvoyeuse d’emplois dans ce petit royaume montagneux de quelque 2,3 millions d’habitants, grand comme la Belgique, et qui est accusé par l’administration Trump d’être parmi “les pires contrevenants” avec des droits de douane élevés sur les importations américaines.”Il y a onze usines dans le pays, dont la plupart exportent des marchandises aux Etats-Unis et fournissent du travail à 12.000 personnes”, a souligné M. Shelile.- Chercher “des solutions” -“Les marchandises actuellement en production seront touchées par ces droits de douane et ne seront pas exportées vers les Etats-Unis”, a précisé le ministre, en indiquant qu’il avait demandé aux usines de continuer à produire pendant que le gouvernement cherche “des solutions”.Ces annonces de Donald Trump montrent que le Lesotho a besoin de “diversifier” ses partenaires commerciaux, a reconnu M. Shelile, qui dit avoir déjà commencé à étudier d’autres options.”Nous ne pouvons pas compter uniquement sur les Etats-Unis”, a poursuivi le ministre. “Même si cette transition prendra du temps, le processus est déjà en cours.”Le Lesotho figure parmi la trentaine de pays d’Afrique subsaharienne qui ont accès au marché américain dans le cadre de l’AGOA (African Growth and Opportunity Act), un accord commercial promulgué en 2000 qui permet d’exporter certains produits africains aux Etats-Unis sans droits de douane.Le gouvernement malgache a de son côté déclaré jeudi avoir contacté l’ambassade des Etats-Unis pour “demander des éclaircissements et étudier les possibilités d’ajustement de ces nouvelles barrières tarifaires”.Le gouvernement “mobilisera tous les leviers diplomatiques et commerciaux pour obtenir une révision de ces mesures”, a-t-il déclaré.Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a pour sa part estimé que les droits de douane constituaient “un obstacle au commerce et à la prospérité partagée”. Il a souligné l’urgence de conclure “un nouvel accord commercial bilatéral mutuellement bénéfique”. Les Etats-Unis sont le deuxième partenaire commercial de l’Afrique du Sud.Le Kenya, qui s’est vu de son côté imposer un taux plancher de 10%, a indiqué que les nouveaux tarifs présentaient “à la fois des défis et des opportunités”, lui donnant un “avantage concurrentiel” par rapport aux autres pays exportateurs de textile frappés par des taux beaucoup plus élevés.Les annonces de Donald Trump font aussi craindre la fin de l’AGOA, qui doit être réexaminé en septembre prochain.Le roi Letsie III du Lesotho a récemment dit craindre la perte d’emplois pour “30.000 à 40.000 personnes”.

Droits de douane: le Lesotho, pays le plus touché, va envoyer une délégation aux Etats-Unis

Le Lesotho a annoncé jeudi l’envoi “en urgence” d’une délégation gouvernementale aux Etats-Unis pour plaider sa cause, après que le président américain Donald Trump a imposé à ce petit pays d’Afrique australe des droits de douane de 50%, les plus élevés annoncés pour une seule nation.D’autes pays africains ont été visés par des “tarifs réciproques” bien au-dessus du nouveau taux plancher de 10% décrété par Washington: 47% pour Madagascar, 40% pour l’île Maurice, 37% pour le Botswana, 30% pour la Guinée équatoriale et 30% pour l’Afrique du Sud. Mais c’est le Lesotho, entièrement enclavé dans l’Afrique du Sud, qui est en tête de la liste des nombreux pays frappés par les droits de douane additionnels massifs présentés mercredi par Donald Trump, dans le cadre d’une guerre commerciale mondiale qui s’intensifie.”Nous devons nous rendre d’urgence aux Etats-Unis pour dialoguer avec leurs dirigeants et plaider notre cause”, a déclaré le ministre du Commerce du Lesotho, Mokhethi Shelile, à des journalistes, disant craindre “la fermeture immédiate d’usines et les pertes d’emplois”.Le produit intérieur brut (PIB) du Lesotho – 2 milliards de dollars annuels – dépend fortement de ses exportations de produits textiles, notamment de jeans.L’industrie textile est la plus grande pourvoyeuse d’emplois dans ce petit royaume montagneux de quelque 2,3 millions d’habitants, grand comme la Belgique, et qui est accusé par l’administration Trump d’être parmi “les pires contrevenants” avec des droits de douane élevés sur les importations américaines.”Il y a onze usines dans le pays, dont la plupart exportent des marchandises aux Etats-Unis et fournissent du travail à 12.000 personnes”, a souligné M. Shelile.- Chercher “des solutions” -“Les marchandises actuellement en production seront touchées par ces droits de douane et ne seront pas exportées vers les Etats-Unis”, a précisé le ministre, en indiquant qu’il avait demandé aux usines de continuer à produire pendant que le gouvernement cherche “des solutions”.Ces annonces de Donald Trump montrent que le Lesotho a besoin de “diversifier” ses partenaires commerciaux, a reconnu M. Shelile, qui dit avoir déjà commencé à étudier d’autres options.”Nous ne pouvons pas compter uniquement sur les Etats-Unis”, a poursuivi le ministre. “Même si cette transition prendra du temps, le processus est déjà en cours.”Le Lesotho figure parmi la trentaine de pays d’Afrique subsaharienne qui ont accès au marché américain dans le cadre de l’AGOA (African Growth and Opportunity Act), un accord commercial promulgué en 2000 qui permet d’exporter certains produits africains aux Etats-Unis sans droits de douane.Le gouvernement malgache a de son côté déclaré jeudi avoir contacté l’ambassade des Etats-Unis pour “demander des éclaircissements et étudier les possibilités d’ajustement de ces nouvelles barrières tarifaires”.Le gouvernement “mobilisera tous les leviers diplomatiques et commerciaux pour obtenir une révision de ces mesures”, a-t-il déclaré.Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a pour sa part estimé que les droits de douane constituaient “un obstacle au commerce et à la prospérité partagée”. Il a souligné l’urgence de conclure “un nouvel accord commercial bilatéral mutuellement bénéfique”. Les Etats-Unis sont le deuxième partenaire commercial de l’Afrique du Sud.Le Kenya, qui s’est vu de son côté imposer un taux plancher de 10%, a indiqué que les nouveaux tarifs présentaient “à la fois des défis et des opportunités”, lui donnant un “avantage concurrentiel” par rapport aux autres pays exportateurs de textile frappés par des taux beaucoup plus élevés.Les annonces de Donald Trump font aussi craindre la fin de l’AGOA, qui doit être réexaminé en septembre prochain.Le roi Letsie III du Lesotho a récemment dit craindre la perte d’emplois pour “30.000 à 40.000 personnes”.

Nouvelles frappes israéliennes sur la Syrie, malgré un avertissement de l’ONU

Israël a mené jeudi deux frappes aériennes sur des cibles militaires proches de Damas, a annoncé une ONG, malgré l’avertissement lancé par l’ONU qui a accusé ce pays de vouloir “déstabiliser” la Syrie.Des frappes intenses mercredi soir sur des objectifs militaires dans le centre de la Syrie et la région de Damas ont été suivies par une incursion des troupes israéliennes dans le sud.Treize personnes au total ont été tuées, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).L’envoyé spécial de l’ONU, Geir Pedersen, a appelé jeudi Israël “à cesser ces attaques (…) qui sapent les efforts visant à construire une nouvelle Syrie en paix avec elle-même et avec la région, et déstabilisent la Syrie à un moment sensible”.Jeudi soir, des avions israéliens ont encore mené deux frappes sur des cibles militaires en périphérie de Damas, a annoncé l’OSDH.Depuis la chute de Bachar al-Assad et la prise du pouvoir par une coalition islamiste le 8 décembre, Israël a mené des centaines de frappes en Syrie contre des objectifs militaires.Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a averti jeudi le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh, qu’il paierait un “lourd tribut” si la sécurité d’Israël était menacée.Mercredi soir, l’aviation israélienne a mené une série de frappes sur un centre de recherche militaire à Damas, l’aéroport militaire de la ville de Hama et la base aérienne militaire T4 dans la province de Homs, tous deux dans le centre du pays.Le ministère syrien des Affaires étrangères a affirmé que l’aéroport avait été “presque entièrement détruit”. Il a dénoncé “une tentative préméditée de déstabiliser la Syrie”.- “Protectorat turc” -Selon l’OSDH, quatre militaires ont été tués et 12 blessés dans les raids contre l’aéroport de Hama.Un correspondant de l’AFP a vu au moins un avion militaire calciné et des véhicules militaires, dont un transportant un système de défense anti-aérienne, très endommagés.Un bâtiment du centre de recherche scientifique à Barzé, dans la banlieue de Damas, a également été détruit, selon un correspondant de l’AFP.L’armée israélienne a affirmé avoir “frappé les capacités militaires dans les bases syriennes de Hama et T4”, “ainsi que d’autres infrastructures militaires dans la région de Damas”.Une source syrienne a indiqué à l’AFP que la Turquie, alliée des nouvelles autorités syriennes, tentait d’établir des “positions militaires” en Syrie dont une “à l’intérieur de la base T4”.Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a imputé à la Turquie “un rôle négatif en Syrie” et “au Liban”. “Nous ne pensons pas que la Syrie devrait être un protectorat turc”, a-t-il dit.- Appels au combat – A Deraa, une foule en colère a participé jeudi aux funérailles de neuf personnes tuées lors de l’incursion israélienne.”C’est une zone agricole (…) où personne ne menace les forces israéliennes. Nous voulons vivre en paix mais nous n’acceptons pas qu’on nous attaque”, a déclaré à l’AFP Khaled al-Awdat, un homme de 48 ans.Les autorités provinciales avaient annoncé la mort de neuf personnes près de la ville de Nawa, après un bombardement ayant suivi une “incursion israélienne”, la plus profonde menée selon elles en territoire syrien. Selon l’OSDH, les victimes sont des habitants qui ont pris les armes après des appels lancés dans les mosquées à contrer l’avancée israélienne.L’armée israélienne a indiqué avoir répondu à des tirs dans le sud de la Syrie et “éliminé des terroristes armés” dans des frappes terrestres et aériennes.”La présence d’armes dans le sud de la Syrie constitue une menace pour l’Etat d’Israël”, a déclaré un porte-parole militaire israélien.Dès la chute de Bachar al-Assad, Israël a envoyé des troupes dans une zone tampon démilitarisée du Golan, dans le sud-ouest de la Syrie.Il a aussi mené des centaines de frappes aériennes sur des sites militaires, affirmant vouloir empêcher que des armes ne tombent entre les mains des nouvelles autorités, qu’il qualifie de “jihadistes”.Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait exigé fin février “la démilitarisation totale du sud de la Syrie”.

Nouvelles frappes israéliennes sur la Syrie, malgré un avertissement de l’ONU

Israël a mené jeudi deux frappes aériennes sur des cibles militaires proches de Damas, a annoncé une ONG, malgré l’avertissement lancé par l’ONU qui a accusé ce pays de vouloir “déstabiliser” la Syrie.Des frappes intenses mercredi soir sur des objectifs militaires dans le centre de la Syrie et la région de Damas ont été suivies par une incursion des troupes israéliennes dans le sud.Treize personnes au total ont été tuées, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).L’envoyé spécial de l’ONU, Geir Pedersen, a appelé jeudi Israël “à cesser ces attaques (…) qui sapent les efforts visant à construire une nouvelle Syrie en paix avec elle-même et avec la région, et déstabilisent la Syrie à un moment sensible”.Jeudi soir, des avions israéliens ont encore mené deux frappes sur des cibles militaires en périphérie de Damas, a annoncé l’OSDH.Depuis la chute de Bachar al-Assad et la prise du pouvoir par une coalition islamiste le 8 décembre, Israël a mené des centaines de frappes en Syrie contre des objectifs militaires.Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a averti jeudi le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh, qu’il paierait un “lourd tribut” si la sécurité d’Israël était menacée.Mercredi soir, l’aviation israélienne a mené une série de frappes sur un centre de recherche militaire à Damas, l’aéroport militaire de la ville de Hama et la base aérienne militaire T4 dans la province de Homs, tous deux dans le centre du pays.Le ministère syrien des Affaires étrangères a affirmé que l’aéroport avait été “presque entièrement détruit”. Il a dénoncé “une tentative préméditée de déstabiliser la Syrie”.- “Protectorat turc” -Selon l’OSDH, quatre militaires ont été tués et 12 blessés dans les raids contre l’aéroport de Hama.Un correspondant de l’AFP a vu au moins un avion militaire calciné et des véhicules militaires, dont un transportant un système de défense anti-aérienne, très endommagés.Un bâtiment du centre de recherche scientifique à Barzé, dans la banlieue de Damas, a également été détruit, selon un correspondant de l’AFP.L’armée israélienne a affirmé avoir “frappé les capacités militaires dans les bases syriennes de Hama et T4”, “ainsi que d’autres infrastructures militaires dans la région de Damas”.Une source syrienne a indiqué à l’AFP que la Turquie, alliée des nouvelles autorités syriennes, tentait d’établir des “positions militaires” en Syrie dont une “à l’intérieur de la base T4”.Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a imputé à la Turquie “un rôle négatif en Syrie” et “au Liban”. “Nous ne pensons pas que la Syrie devrait être un protectorat turc”, a-t-il dit.- Appels au combat – A Deraa, une foule en colère a participé jeudi aux funérailles de neuf personnes tuées lors de l’incursion israélienne.”C’est une zone agricole (…) où personne ne menace les forces israéliennes. Nous voulons vivre en paix mais nous n’acceptons pas qu’on nous attaque”, a déclaré à l’AFP Khaled al-Awdat, un homme de 48 ans.Les autorités provinciales avaient annoncé la mort de neuf personnes près de la ville de Nawa, après un bombardement ayant suivi une “incursion israélienne”, la plus profonde menée selon elles en territoire syrien. Selon l’OSDH, les victimes sont des habitants qui ont pris les armes après des appels lancés dans les mosquées à contrer l’avancée israélienne.L’armée israélienne a indiqué avoir répondu à des tirs dans le sud de la Syrie et “éliminé des terroristes armés” dans des frappes terrestres et aériennes.”La présence d’armes dans le sud de la Syrie constitue une menace pour l’Etat d’Israël”, a déclaré un porte-parole militaire israélien.Dès la chute de Bachar al-Assad, Israël a envoyé des troupes dans une zone tampon démilitarisée du Golan, dans le sud-ouest de la Syrie.Il a aussi mené des centaines de frappes aériennes sur des sites militaires, affirmant vouloir empêcher que des armes ne tombent entre les mains des nouvelles autorités, qu’il qualifie de “jihadistes”.Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait exigé fin février “la démilitarisation totale du sud de la Syrie”.

Tom Cruise pays tribute to Val Kilmer

Tom Cruise paid tribute to late “Top Gun” co-star Val Kilmer on Thursday, leading movie theater owners in a moment’s silence at the CinemaCon event before unveiling new footage from his latest “Mission: Impossible” movie.”I’d like to honor a dear friend of mine, Val Kilmer,” said Cruise, at the start of his hotly anticipated appearance at the annual industry summit in Las Vegas.”I really can’t tell you how much I admired his work, how much I thought of him as a human being, and how grateful and honored I was when he joined ‘Top Gun’ and then came back for ‘Top Gun: Maverick,” said Cruise. Kilmer, one of the biggest Hollywood actors of the 1990s, who shot to fame playing Iceman in the original 1986 “Top Gun”, died aged 65, his family announced this week.The cause of death was pneumonia. Kilmer had battled throat cancer after being diagnosed in 2014, and made his final appearance in the “Top Gun” 2022 sequel “Maverick,” physically diminished and with a raspy voice. Cruise on Thursday led the audience at Caesars Palace casino in a lengthy silence, asking attendees to “take a moment and just think about all the wonderful times that we had” watching Kilmer on the big screen.”I wish you well on your next journey,” said Cruise, to Kilmer.He added to the attendees: “Thank you all for doing that. I know he appreciates it.””Top Gun” was Kilmer’s breakout role. Starring opposite Cruise, he played the cocky, square-jawed and mostly silent fighter pilot in training Tom “Iceman” Kazansky.When he reprised his role as “Iceman” in the long-awaited sequel “Top Gun: Maverick,” Kilmer’s real-life health issues were written into the character.Cruise on Thursday also introduced a new trailer for “Mission: Impossible – The Final Reckoning,” out May 23.Footage shows Cruise’s ageless hero Ethan Hunt clinging to the wheels of a small biplane as it soars down a narrow canyon and barrel rolls through the skies.The trailer contained extensive flashbacks to famous scenes from earlier in the eight-film blockbuster franchise, such as Cruise dangling between lasers and climbing the Burj Khalifa tower in Dubai.”I need you to trust me one last time,” says Cruise’s character, in what Paramount is marketing as supposedly the final movie of the franchise.

More Israeli air raids on Syria despite UN warning

Israeli warplanes launched more air strikes against military targets in Syria on Thursday, hours after the United Nations said such attacks “undermine efforts to build a new Syria”.Thursday’s air raids came after a wave of Israeli strikes on military targets, including an airport, and a ground incursion in the south killed 13 people.War monitor the Syrian Observatory for Human Rights reported two strikes “on military positions and posts” in the vicinity of Al-Kiswah and Al-Muqaylibah outside Damascus.It said there were no immediate reports of casualties.Since Islamist-led rebels toppled longtime strongman Bashar al-Assad in December, Israel has been bombing Syrian military assets extensively and has conducted ground incursions into southern Syria to repel the new government’s forces from the border.UN envoy for Syria Geir Pedersen decried “the repeated and intensifying military escalations by Israel in Syria, including air strikes that have reportedly resulted in civilian casualties”.”Such actions undermine efforts to build a new Syria at peace with itself and the region, and destabilise Syria at a sensitive time,” he said in a statement.Authorities in the southern province of Daraa said nine civilians were killed and several wounded in Israeli shelling overnight near the town of Nawa.The provincial government said the bombardment came amid Israel’s deepest ground incursion into southern Syria so far.Israel said it had responded to fire from gunmen during an operation in southern Syria and warned interim President Ahmed al-Sharaa he would face severe consequences if its security was threatened.The Observatory said the dead were gunmen killed “while attempting to confront Israeli forces, following calls by the mosques in the area for jihad against the Israeli incursion”.- ‘Military threat’ -An angry crowd gathered Thursday for the funeral of those killed in Daraa.”This is an agricultural area… where no one threatens Israeli forces. We want to live in peace, but we do not accept attacks,” said one, 48-year-old Khaled al-Awdat.Israel’s military said its forces had been conducting operations in the Tasil area near Nawa, “seizing weapons and destroying terrorist infrastructure” when “several gunmen fired at our forces”.They responded “and eliminated several armed terrorists from the ground and from the air”, a spokesperson said. There were no Israeli casualties.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu demanded in February that southern Syria be completely demilitarised and said his government would not accept the presence of the forces of the new Islamist-led government near Israeli territory.In December, Netanyahu ordered troops into the UN-patrolled buffer zone along the 1974 armistice line on the Golan Heights.On Wednesday, Israel hit targets across Syria including in the Damascus area.Syria’s foreign ministry said the strikes resulted in the “near-total destruction” of a military airport in the central province of Hama and wounded dozens of civilians and soldiers.”This unjustified escalation is a deliberate attempt to destabilise Syria and exacerbate the suffering of its people,” it said on Telegram.Israeli Defence Minister Israel Katz hit back, pointedly referring to Sharaa by the nom de guerre he used as an Islamist rebel commander.”I warn Syrian leader Jolani: If you allow hostile forces to enter Syria and threaten Israeli security interests, you will pay a heavy price,” he said.- ‘Normalise violence’-“The air force’s activity yesterday near the airports in T4, Hama and the Damascus area sends a clear message and serves as a warning for the future,” Katz added.A Syrian source told AFP the T4 airbase was coveted by the new government’s main foreign backer, Turkey.Israeli Foreign Minister Gideon Saar accused Turkey of playing a “negative role in Syria”.”We don’t think Syria should be a Turkish protectorate,” he said.Israel has said it wants to prevent advanced weapons from falling into the hands of the new authorities, whom it considers jihadists.Sharaa fought for Al-Qaeda in Iraq after the US-led invasion of 2003 and later set up a Syrian branch of the jihadist network before breaking off all ties.Neighbouring Jordan called Israel’s repeated attacks on Syria a clear breach of the 1974 disengagement agreement between the two countries and a “flagrant violation of international law”.Saudi Arabia and Qatar on Thursday also condemned the Israeli attacks.burs/srm/dv