Plus de 80 morts dans les inondations au Texas, l’espoir de retrouver des survivants s’amenuise

Le bilan des inondations au Texas, dans le sud des Etats-Unis, dépasse désormais les 80 morts et va encore s’alourdir, ont annoncé lundi les autorités locales, à mesure que l’espoir de retrouver dix fillettes encore portées disparues s’amenuise.Donald Trump a annoncé qu’il se rendrait “probablement” sur place vendredi. “C’est une catastrophe comme l’on n’en a pas vu en 100 ans et c’est tout simplement atroce de voir ce qu’il se passe”, a-t-il déclaré à des journalistes depuis le New Jersey, avant d’embarquer dans son avion pour rentrer à Washington.Le président américain a par ailleurs réfuté tout lien entre les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux et le lourd bilan dans cette région touristique très fréquentée. “Je ne crois pas”, a-t-il répondu à une question sur l’utilité de réembaucher dans ces services une partie du personnel licencié.Des habitants se sont plaints au cours du week-end de ne pas avoir été avertis suffisamment tôt des risques d’inondations qui ont fait près de 80 morts.Le seul comté de Kerr, le plus touché, déplore désormais 68 morts, “40 adultes et 28 enfants”, a déclaré son shérif, Larry Lethia, lors d’une conférence de presse.Parmi les quelque 750 participantes à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, dix fillettes restaient introuvables, tout comme un moniteur, a précisé le shérif.Aux morts recensés dans ce comté s’ajoutent désormais treize décès dénombrés dans des comtés voisins. Dix d’entre eux avait déjà été annoncé par le gouverneur du Texas, Greg Abbott, dès dimanche dans une conférence de presse.Deux décès ont été annoncés ensuite dans le comté de Kendall et un de plus a été confirmé par les autorités du Comté de Williamson.”Sur tout l’Etat, dans les zones touchées par les inondations, nous avons identifié 41 personnes portées disparues”, a souligné le gouverneur, précisant que le nombre réel était sans doute plus important car de nombreux vacanciers campaient dans la région en ce week-end prolongé.”Nous allons voir le bilan monter aujourd’hui et demain”, à mesure que des corps sont retrouvés, a prévenu le directeur de la Sûreté publique du Texas, le colonel Freeman Martin.- Alerte maintenue -Ces crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre de l’Etat très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.A Hunt, la localité où se trouve le camp d’été, 50 bénévoles sont venus de plusieurs villes du Texas pour participer aux recherches, par petits groupes de deux ou trois.Adam Durda, 45 ans, a fait trois heures de route avec sa femme, Amber, pour tenter de retrouver quatre jeunes d’une vingtaine d’années qui logeaient dans une maison “emportée par les flots”, à la demande de la famille de l’une d’entre elles, explique-t-il à l’AFP.Un autre bénévole, Justin Morales, 36 ans, confie avoir découvert avec ses compagnons les corps de trois fillettes, dont une des pensionnaires du camp d’été portées disparues.”Nous sommes contents de pouvoir aider les familles à faire leur deuil”, dit-il. Donald Trump, qui a dépêché sur place samedi sa ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a signé une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral.La ministre a annoncé dans la foulée la mobilisation de la FEMA, l’agence fédérale de réponse aux ouragans, incendies et autres désastres, que Trump envisageait pourtant de supprimer en janvier.”Il y a actuellement plus de 400 secouristes de plus de 20 agences déployées dans le comté”, a indiqué le shérif Lethia.Des hélicoptères ainsi que des drones sont engagés dans les recherches et la Garde nationale du Texas ainsi que les garde-côtes des Etats-Unis ont envoyé des renforts.Le pape américain Léon XIV a exprimé dimanche ses “sincères condoléances à toutes les familles qui ont perdu des êtres chers, en particulier leurs filles qui se trouvaient dans un camp d’été lors de la tragédie”, dans une déclaration en anglais au terme de la prière de l’Angélus.Les services météorologiques maintenaient dimanche leur alerte aux inondations jusqu’à 19H00 locales (lundi minuit GMT).Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.

Plus de 80 morts dans les inondations au Texas, l’espoir de retrouver des survivants s’amenuise

Le bilan des inondations au Texas, dans le sud des Etats-Unis, dépasse désormais les 80 morts et va encore s’alourdir, ont annoncé lundi les autorités locales, à mesure que l’espoir de retrouver dix fillettes encore portées disparues s’amenuise.Donald Trump a annoncé qu’il se rendrait “probablement” sur place vendredi. “C’est une catastrophe comme l’on n’en a pas vu en 100 ans et c’est tout simplement atroce de voir ce qu’il se passe”, a-t-il déclaré à des journalistes depuis le New Jersey, avant d’embarquer dans son avion pour rentrer à Washington.Le président américain a par ailleurs réfuté tout lien entre les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux et le lourd bilan dans cette région touristique très fréquentée. “Je ne crois pas”, a-t-il répondu à une question sur l’utilité de réembaucher dans ces services une partie du personnel licencié.Des habitants se sont plaints au cours du week-end de ne pas avoir été avertis suffisamment tôt des risques d’inondations qui ont fait près de 80 morts.Le seul comté de Kerr, le plus touché, déplore désormais 68 morts, “40 adultes et 28 enfants”, a déclaré son shérif, Larry Lethia, lors d’une conférence de presse.Parmi les quelque 750 participantes à un camp d’été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, dix fillettes restaient introuvables, tout comme un moniteur, a précisé le shérif.Aux morts recensés dans ce comté s’ajoutent désormais treize décès dénombrés dans des comtés voisins. Dix d’entre eux avait déjà été annoncé par le gouverneur du Texas, Greg Abbott, dès dimanche dans une conférence de presse.Deux décès ont été annoncés ensuite dans le comté de Kendall et un de plus a été confirmé par les autorités du Comté de Williamson.”Sur tout l’Etat, dans les zones touchées par les inondations, nous avons identifié 41 personnes portées disparues”, a souligné le gouverneur, précisant que le nombre réel était sans doute plus important car de nombreux vacanciers campaient dans la région en ce week-end prolongé.”Nous allons voir le bilan monter aujourd’hui et demain”, à mesure que des corps sont retrouvés, a prévenu le directeur de la Sûreté publique du Texas, le colonel Freeman Martin.- Alerte maintenue -Ces crues subites ont été provoquées par des pluies diluviennes dans le centre de l’Etat très tôt vendredi, jour de la fête nationale américaine, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes. Il est soudain tombé près de 300 millimètres/heure de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes.A Hunt, la localité où se trouve le camp d’été, 50 bénévoles sont venus de plusieurs villes du Texas pour participer aux recherches, par petits groupes de deux ou trois.Adam Durda, 45 ans, a fait trois heures de route avec sa femme, Amber, pour tenter de retrouver quatre jeunes d’une vingtaine d’années qui logeaient dans une maison “emportée par les flots”, à la demande de la famille de l’une d’entre elles, explique-t-il à l’AFP.Un autre bénévole, Justin Morales, 36 ans, confie avoir découvert avec ses compagnons les corps de trois fillettes, dont une des pensionnaires du camp d’été portées disparues.”Nous sommes contents de pouvoir aider les familles à faire leur deuil”, dit-il. Donald Trump, qui a dépêché sur place samedi sa ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a signé une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas les moyens du gouvernement fédéral.La ministre a annoncé dans la foulée la mobilisation de la FEMA, l’agence fédérale de réponse aux ouragans, incendies et autres désastres, que Trump envisageait pourtant de supprimer en janvier.”Il y a actuellement plus de 400 secouristes de plus de 20 agences déployées dans le comté”, a indiqué le shérif Lethia.Des hélicoptères ainsi que des drones sont engagés dans les recherches et la Garde nationale du Texas ainsi que les garde-côtes des Etats-Unis ont envoyé des renforts.Le pape américain Léon XIV a exprimé dimanche ses “sincères condoléances à toutes les familles qui ont perdu des êtres chers, en particulier leurs filles qui se trouvaient dans un camp d’été lors de la tragédie”, dans une déclaration en anglais au terme de la prière de l’Angélus.Les services météorologiques maintenaient dimanche leur alerte aux inondations jusqu’à 19H00 locales (lundi minuit GMT).Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules.

Près de 450.000 Afghans ont quitté l’Iran depuis le 1er juin

Près de 450.000 Afghans ont quitté l’Iran pour revenir dans leur pays d’origine depuis le début du mois de juin, a annoncé lundi l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), au lendemain d’une date butoir fixée par Téhéran pour le départ des Afghans sans papiers.Entre le 1er juin et le 5 juillet, 449.218 Afghans ont quitté le territoire iranien pour rejoindre leur pays d’origine, a indiqué un porte-parole de l’agence onusienne à l’AFP. A l’échelle de toute l’année 2025, ce nombre s’élève à 906.326 personnes.Fin mai, Téhéran avait donné “jusqu’au 6 juillet” aux “quatre millions d’Afghans illégaux” pour quitter son territoire.Le nombre de personnes ayant franchi la frontière entre les deux pays a bondi depuis la mi-juin. Plusieurs jours durant, quelque 40.000 personnes l’ont traversée à Islam Qala, dans la province d’Hérat de l’Ouest afghan, selon des agences de l’ONU.De nombreuses personnes ont fait état de pressions de la part des autorités, mais aussi d’arrestations et d’expulsions, et de la perte de leurs économies dans le cadre de ce départ précipité.Dans le contexte d’importantes coupes dans l’aide internationale, l’ONU, des ONG et des responsables talibans ont appelé à davantage de financements pour venir en aide aux personnes concernées.L’ONU a averti que ce flux de population pourrait déstabiliser le pays, déjà confronté à une grande pauvreté et à un taux de chômage élevé, ainsi qu’aux conséquences du changement climatique, et a exhorté les pays qui accueillent des ressortissants afghans à ne pas les expulser de force.”Forcer ou faire pression sur les Afghans pour qu’ils reviennent (dans leur pays) risque d’accroître l’instabilité dans la région, et d’accélérer leur (migration) vers l’Europe”, a prédit le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) vendredi dans un communiqué.Des médias iraniens font régulièrement état d’arrestations de masse d’Afghans conduites selon eux dans l’illégalité dans plusieurs régions.Le vice-ministre iranien de l’Intérieur Ali Akbar Pourjamshidian a déclaré jeudi à la télévision d’Etat que les Afghans séjournant illégalement en Iran étaient des “voisins respectés et des frères dans la foi” mais que “les capacités (de l’Iran avaient) aussi des limites”.Nombre d’Afghans se rendent en Iran dans l’espoir d’y trouver du travail et d’envoyer de l’argent à leur famille restée au pays.”Si je peux trouver un emploi ici qui couvre nos dépenses quotidiennes, je resterai ici”, a témoigné Ahmad Mohammadi auprès de l’AFP samedi, de retour en Afghanistan, alors qu’il patientait dans un centre d’accueil de l’OIM à Islam Qala.”Mais si ce n’est pas possible, nous serons contraints de retourner en Iran, ou d’aller au Pakistan ou dans un autre pays.”Ce retour en masse vers l’Afghanistan a lieu alors même que le pays, en pleine crise humanitaire après des décennies de guerre, peine à accueillir les flux de population de retour du Pakistan et d’Iran depuis 2023 sous la pression des autorités locales.En 2025 seulement, plus de 1,4 million de personnes sont revenues ou ont été contraintes de revenir en Afghanistan, selon le HCR.

La Bourse de Paris atone en attendant des nouvelles sur le front commercial

La Bourse de Paris reste à plat lundi, les investisseurs retenant leur souffle avant une nouvelle échéance dans le feuilleton des droits de douane de Donald Trump, les négociations commerciales s’intensifiant dans la dernière ligne droite.Vers 10H15 heure de Paris, l’indice vedette de la place parisienne, le CAC 40, cédait quelque 0,11%, soit 8,67 points, pour s’établir à 7.687,60 points. Vendredi, l’indice avait terminé en baisse de 0,75%, pour s’établir à 7.696,27 points. “En ce début de semaine, l’attention se porte principalement sur les accords commerciaux potentiels entre les Etats-Unis et les autres pays”, commente Andreas Lipkow, analyste indépendant. “Les résultats sont attendus avec impatience, car ils permettront de déterminer les répercussions pour les différents secteurs et branches.”Les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis négocient d’arrache-pied pour esquiver les lourds droits de douane que Donald Trump menace d’imposer à leurs produits.Le ministre américain du Trésor, Scott Bessent, a déclaré dimanche matin que faute d’accord avec Washington dans les prochains jours, les droits de douane — pouvant atteindre 50% — entreraient en vigueur le 1er août. Il a aussi noté que “l’UE fait de très bons progrès”.La suspension des droits de douane arrivait à échéance le 9 juillet, mais le président américain a annoncé vendredi une instauration des surtaxes au 1er août.Ce potentiel délai supplémentaire “pourrait permettre à la stratégie dite du +TACO trade+ (pour +Trump Always Chickens Out+, ou Trump se dégonfle toujours, NDLR) de se poursuivre, les investisseurs estimant qu’il reste du temps pour que Trump finisse encore une fois par se rétracter”, commente Susannah Streeter, responsable des marchés et de l’investissement chez Hargreaves Lansdow.”Les investisseurs se préparent à une nouvelle poussée de volatilité alors qu’un nouvel épisode d’imprévisibilité se profile”, résume Mme Streeter.Capgemini voit rougeLa société informatique française Capgemini va racheter WNS, entreprise de gestion des processus métiers cotée à New-York, pour 3,3 milliards de dollars, ont-elles annoncé lundi dans un communiqué commun.L’opération a été conclue au prix de 76,50 dollars par action WNS, représentant une prime d’environ 15% par rapport à son cours de Bourse à la clôture vendredi.A la Bourse de Paris, Capgemini perdait 3,58% à 140,05 euros vers 10H15.Tikehau Capital lève un milliard pour EgisLa société de gestion d’actifs Tikehau Capital (-0,42% à 19,18 euros) a annoncé lundi avoir levé plus d’un milliard d’euros de fonds dédiés à Egis, groupe français spécialisé dans la gestion d’infrastructures.”Ce fonds a pour objectif de soutenir la trajectoire de croissance d’Egis et d’accélérer son développement à l’échelle mondiale, notamment à travers des acquisitions stratégiques”, ont fait savoir les deux sociétés dans un communiqué commun.

Droits de douane: les Brics ne cherchent pas la confrontation, selon Pékin

Pékin a déclaré lundi que les Brics ne cherchaient pas la “confrontation” après que le président américain Donald Trump a menacé d’imposer 10% de droits de douane en plus sur les pays qui s’alignent avec le groupe incluant notamment le Brésil, la Russie et l’Inde.”En ce qui concerne l’imposition de droits de douane, la Chine a toujours affirmé sa position selon laquelle les guerres commerciales et tarifaires ne font pas de gagnants et que le protectionnisme ne permet pas d’avancer”, a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.Donald Trump a annoncé lundi qu’il enverrait ses premières lettres menaçant de droits de douane exorbitants les pays récalcitrants à conclure un accord commercial avec Washington, quelques jours avant l’expiration du délai annoncé aux partenaires commerciaux pour conclure un accord.M. Trump avait déclaré dimanche qu’il enverrait une première série de 15 lettres, avertissant que les taxes américaines sur les importations reviendraient aux niveaux élevés qu’il a fixés en avril si les pays ne parvenaient pas à conclure des accords.Le président américain a menacé les pays des Brics sur la plateforme Truth Social. “Tout pays s’alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n’y aura pas d’exception à cette politique”, a-t-il écrit.Créé pour rééquilibrer l’ordre mondial au bénéfice du “Sud global” face à l’Occident, le groupe des Brics (Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud) s’est élargi depuis 2023 avec l’Arabie saoudite, l’Egypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie, l’Iran puis l’Indonésie.Lundi, Pékin a décrit le groupe comme “une importante plateforme pour la coopération entre marchés émergents et pays en développement.””(Les Brics) prônent l’ouverture, l’inclusion et la coopération gagnant-gagnant”, a déclaré Mme Mao. “(Le groupe) ne se livre pas à la confrontation des camps et ne vise aucun pays”, a-t-elle ajouté.

Droits de douane: les Brics ne cherchent pas la confrontation, selon Pékin

Pékin a déclaré lundi que les Brics ne cherchaient pas la “confrontation” après que le président américain Donald Trump a menacé d’imposer 10% de droits de douane en plus sur les pays qui s’alignent avec le groupe incluant notamment le Brésil, la Russie et l’Inde.”En ce qui concerne l’imposition de droits de douane, la Chine a toujours affirmé sa position selon laquelle les guerres commerciales et tarifaires ne font pas de gagnants et que le protectionnisme ne permet pas d’avancer”, a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.Donald Trump a annoncé lundi qu’il enverrait ses premières lettres menaçant de droits de douane exorbitants les pays récalcitrants à conclure un accord commercial avec Washington, quelques jours avant l’expiration du délai annoncé aux partenaires commerciaux pour conclure un accord.M. Trump avait déclaré dimanche qu’il enverrait une première série de 15 lettres, avertissant que les taxes américaines sur les importations reviendraient aux niveaux élevés qu’il a fixés en avril si les pays ne parvenaient pas à conclure des accords.Le président américain a menacé les pays des Brics sur la plateforme Truth Social. “Tout pays s’alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n’y aura pas d’exception à cette politique”, a-t-il écrit.Créé pour rééquilibrer l’ordre mondial au bénéfice du “Sud global” face à l’Occident, le groupe des Brics (Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud) s’est élargi depuis 2023 avec l’Arabie saoudite, l’Egypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie, l’Iran puis l’Indonésie.Lundi, Pékin a décrit le groupe comme “une importante plateforme pour la coopération entre marchés émergents et pays en développement.””(Les Brics) prônent l’ouverture, l’inclusion et la coopération gagnant-gagnant”, a déclaré Mme Mao. “(Le groupe) ne se livre pas à la confrontation des camps et ne vise aucun pays”, a-t-elle ajouté.

Droits de douane: les Brics ne cherchent pas la confrontation, selon Pékin

Pékin a déclaré lundi que les Brics ne cherchaient pas la “confrontation” après que le président américain Donald Trump a menacé d’imposer 10% de droits de douane en plus sur les pays qui s’alignent avec le groupe incluant notamment le Brésil, la Russie et l’Inde.”En ce qui concerne l’imposition de droits de douane, la Chine a toujours affirmé sa position selon laquelle les guerres commerciales et tarifaires ne font pas de gagnants et que le protectionnisme ne permet pas d’avancer”, a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.Donald Trump a annoncé lundi qu’il enverrait ses premières lettres menaçant de droits de douane exorbitants les pays récalcitrants à conclure un accord commercial avec Washington, quelques jours avant l’expiration du délai annoncé aux partenaires commerciaux pour conclure un accord.M. Trump avait déclaré dimanche qu’il enverrait une première série de 15 lettres, avertissant que les taxes américaines sur les importations reviendraient aux niveaux élevés qu’il a fixés en avril si les pays ne parvenaient pas à conclure des accords.Le président américain a menacé les pays des Brics sur la plateforme Truth Social. “Tout pays s’alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n’y aura pas d’exception à cette politique”, a-t-il écrit.Créé pour rééquilibrer l’ordre mondial au bénéfice du “Sud global” face à l’Occident, le groupe des Brics (Brésil, Chine, Inde, Russie et Afrique du Sud) s’est élargi depuis 2023 avec l’Arabie saoudite, l’Egypte, les Émirats arabes unis, l’Éthiopie, l’Iran puis l’Indonésie.Lundi, Pékin a décrit le groupe comme “une importante plateforme pour la coopération entre marchés émergents et pays en développement.””(Les Brics) prônent l’ouverture, l’inclusion et la coopération gagnant-gagnant”, a déclaré Mme Mao. “(Le groupe) ne se livre pas à la confrontation des camps et ne vise aucun pays”, a-t-elle ajouté.

Stock markets struggle as Trump’s tariff deadline looms

Equities struggled Monday as countries fought to hammer out trade deals days before Donald Trump’s tariff deadline, with the US president saying he would begin sending letters to some capitals outlining the rates he had decided upon.While the White House has said several deals were in the pipeline, only two have been finalised ahead of the July 9 cut-off set by Trump.Governments from major trading partners including Japan, India, the European Union and South Korea have fought for the past three months to get agreements.But Trump said he will send his first tariff letters at 1600 GMT Monday, setting out what Washington will charge for doing business with the United States.He said an extra 10 percent would be added to any country “aligning themselves with the Anti-American policies of BRICS”, an 11-member alliance including Brazil, Russia, India and China.”I am pleased to announce that the UNITED STATES TARIFF Letters, and/or Deals, with various Countries from around the World, will be delivered starting 12:00 P.M. (Eastern), Monday, July 7th,” Trump said on his Truth Social network.The announcement on BRICS came after leaders of the group warned Trump’s “indiscriminate” import tariffs risked hurting the global economy.The deadline for a deal is Wednesday, but Treasury Secretary Scott Bessent confirmed on Sunday that the measures would not be applied until August 1.”It’s not a new deadline. We are saying, this is when it’s happening. If you want to speed things up, have at it. If you want to go back to the old rate, that’s your choice,” Bessent told CNN.He said the rates will then “boomerang back” to the sometimes very high levels Trump announced on April 2, before the president suspended the levies to allow for trade talks. “I would expect to see several big announcements over the next couple of days,” Bessent said.The president told reporters Sunday on Air Force One that “I think we’ll have most countries done by July 9, either a letter or a deal”, adding that some deals have already been made.Tariff uncertainty weighed on equity markets, with Tokyo, Hong Kong, Sydney, Wellington, Taipei, Mumbai and Bangkok all down, though there were small gains in Singapore, Seoul, Jakarta and Manila. Shanghai was flat.London fell at the open, Paris was flat and Frankfurt edged up.”Whether deadlines get extended remains uncertain given Trump’s unpredictable style,” said IG market analyst Fabien Yip. “Our base case expects several important trade partners to agree on a high-level basis before the deadline.”This would provide more time for detailed discussions over the following two months. The other risk factor is sector-specific tariffs covering semiconductors, pharmaceuticals, and materials may also be announced in due course.”Oil prices slipped after Saudi Arabia, Russia and other major producers in the OPEC+ alliance said they would boost output far more than expected in August, fuelling demand worries just as Trump’s tariffs are about to begin.The group said “a steady global economic outlook and current healthy market fundamentals, as reflected in the low oil inventories” led to the decision to further hike output. – Key figures at around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.6 percent at 39,587.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 23,887.83 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,473.13 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,810.80 West Texas Intermediate: DOWN 0.7 percent at $66.54 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $68.26 per barrelEuro/dollar: DOWN at $1.1750 from $1.1783 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.3607 from $1.3641Dollar/yen: UP at 145.20 yen from 144.53 yenEuro/pound: DOWN at 86.35 pence from 86.37 penceNew York: Closed for a public holiday