Fearing deportation, Abrego Garcia lawyers ask US judge to delay release

Lawyers for a Salvadoran man who was wrongly deported and then returned to the US to face human smuggling charges took the unusual step on Friday of asking a judge not to release him from prison.”The irony of this request is not lost on anyone,” said the lawyers for Kilmar Armando Abrego Garcia, whose case has become a key test of President Donald Trump’s deportation policies.Abrego Garcia was summarily deported to a maximum security prison in El Salvador in March and brought back to the US this month to face human smuggling charges.A magistrate judge and a federal district judge have both said Abrego Garcia, who is being held in Tennessee, is eligible to be released on bail pending trial.Federal prosecutors have opposed Abrego Garcia’s release and warned that he may be deported once again if he is released from custody.The deportation threat led Abrego Garcia’s lawyers to ask Magistrate Judge Barbara Holmes to request that he remain in custody until a hearing in the case scheduled for July 16.”Because we cannot put any faith in any representation made on this issue by the (Justice Department), we respectfully request to delay the issuance of the release order until the July 16 hearing,” they said.”A short delay will prevent the government from removing Mr. Abrego and allow time for the government to provide reliable information concerning its intentions,” they added.Abrego Garcia is charged in Nashville, Tennessee, with smuggling undocumented migrants around the United States between 2016 and 2025.He has pleaded not guilty and Holmes said in a ruling earlier this week that prosecutors had not made a convincing argument that he should be detained pending trial.Abrego Garcia was living in Maryland until he became one of more than 200 people sent to the CECOT prison in El Salvador as part of Trump’s crackdown on migrants.Most of those who were summarily deported were alleged members of the Venezuelan gang Tren de Aragua, which the administration has declared a foreign terrorist organization.Justice Department lawyers later admitted that Abrego Garcia — who is married to a US citizen — was wrongly deported due to an “administrative error.”Abrego Garcia had been living in the United States under protected legal status since 2019, when a judge ruled he should not be deported because he could be harmed in his home country.

Bezos et Lauren Sanchez se sont dit oui dans une Venise divisée sur ce mariage

Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, et la journaliste Lauren Sanchez se sont mariés symboliquement vendredi soir lors d’une somptueuse cérémonie en présence de personnalités riches et célèbres sur une île de Venise, loin des regards et des manifestants.Jeff Bezos, 61 ans et Lauren Sanchez, 55 ans, on échangé leurs voeux lors d’une cérémonie en tenue de soirée vendredi soir sur l’île de San Giorgio Maggiore, face à la place Saint-Marc, selon les médias italiens.La cérémonie pour les mariés a débuté par un air chanté par Matteo Bocelli, fils du célèbre chanteur d’opéra Andrea Bocelli, selon les informations rapportées. Le chef étoilé Fabrizio Mellino a préparé le dîner de mariage, tandis que le gâteau était confectionné par le pâtissier français Cédric Grolet, selon le Corriere della Sera.Lauren Sanchez a posté sur Instagram sur le compte “laurensanchezbezos” une photo d’elle en robe blanche de mariée avec Jeff Bezos, même si les deux sont déjà mariés civilement aux Etats-unis.La cérémonie de mariage vendredi est le point culminant d’une semaine de festivités, entre yachts et invités VIP, qui s’achèvera samedi avec un grand bal où chantera Lady Gaga, dans une Venise divisée sur l’impact qu’auront ces noces sur l’image de la ville.La fille du président américain Ivanka Trump, Leonardo di Caprio, Kim Kardashian, Kendall et Kylie Jenner, la superstar du football américain Tom Brady, la présentatrice Oprah Winfrey ou Bill Gates faisaient partie des invités aperçus sur les canaux de la ville par des photographes de l’AFP.Interrogé sur ce qu’il préférait de la Cité des Doges, le milliardaire américain, tout sourire dans un canot aux côtés de sa future épouse, s’est pris d’enthousiasme: “Regardez autour de vous! Cette ville semble impossible, (…) et pourtant, elle est bien là”, peut-on l’entendre dire dans une vidéo publiée par La Repubblica.- près d’un milliard de retombées -Jeff Bezos, qui détient pour environ 215 milliards de dollars d’actions d’Amazon, fera un don de 3 millions d’euros à une association de protection de la lagune, à la Venice International University et à l’Unesco, selon le président de la région Luca Zaia (extrême droite).Les pouvoirs locaux n’ont cessé de soutenir le choix du milliardaire de se marier à Venise, balayant tout lien avec le surtourisme contre lequel des mesures ont été prises comme l’instauration d’un ticket d’entrée payant.Le ministère du Tourisme, dans une note vendredi, a chiffré les dépenses directes réalisées par Jeff Bezos et sa future épouse à 28,4 millions d’euros pour ces festivités qui passionnent les médias italiens.Il a surtout dit s’attendre à 895 millions d’euros générés pour la ville par la “visibilité médiatique” de l’événement, tout en prévenant que celle-ci “exige une vérification empirique.”Quelque 100.000 touristes dorment dans la ville durant la haute saison, auxquels s’ajoutent des dizaines de milliers de visiteurs à la journée, alors que le nombre de résidents permanents est en chute libre.Pour Samuel Silvestri, commerçant vénitien de 55 ans, “le surtourisme est principalement causé par ces gens qui ne viennent qu’une journée avec leur sac à dos et leur nourriture, et qui contribuent très peu à la ville”.”Pas par ceux qui transforment Venise en un petit Monte-Carlo”, le célèbre quartier de Monaco, poursuit-il. “Ce mariage aussi façonne l’image de la ville”.Un avis probablement partagé par Alain Vanleeuw, 70 ans, un entrepreneur de Bruxelles qui dit qu’il a “essayé de programmer (son voyage, ndlr) en fonction des dates qui avaient été prévues pour le mariage.”- Pas de renfort policier -Mais un collectif d’habitants baptisé “No Space for Bezos” (“Pas de place pour Bezos”) multiplie les manifestations symboliques pour s’opposer aux réjouissances, au slogan de “Venise n’est pas à vendre”, craignant que le mariage complique encore plus le déplacement des habitants.”Ce mariage cause des problèmes dans la ville, avec des fermetures de canaux et des contrôles de plus en plus stricts”, a dénoncé Alice Bazzoli, 24 ans, militante de “No Space for Bezos”.”Il n’y a eu aucune intention de verrouiller la ville”, a assuré le préfet de Venise Darco Pellos à l’AFP, affirmant par ailleurs que l’événement n’avait exigé aucun “renfort” policier par rapport à une saison estivale habituelle.Il y a 11 ans, le mariage de l’acteur George Clooney n’avait pas créé autant de remous. Mais l’acteur américain n’est pas l’un des hommes les plus riches de la planète et n’a pas fondé le plus grand site mondial d’e-commerce, régulièrement dans le viseur d’associations de défense de l’environnement.Greenpeace justement n’a de cesse de dénoncer l’impact écologique du mariage, auquel de nombreux invités se sont rendus en jet privé, alors que l’équilibre fragile de Venise “coule sous le poids de la crise climatique”.

Bezos et Lauren Sanchez se sont dit oui dans une Venise divisée sur ce mariage

Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, et la journaliste Lauren Sanchez se sont mariés symboliquement vendredi soir lors d’une somptueuse cérémonie en présence de personnalités riches et célèbres sur une île de Venise, loin des regards et des manifestants.Jeff Bezos, 61 ans et Lauren Sanchez, 55 ans, on échangé leurs voeux lors d’une cérémonie en tenue de soirée vendredi soir sur l’île de San Giorgio Maggiore, face à la place Saint-Marc, selon les médias italiens.La cérémonie pour les mariés a débuté par un air chanté par Matteo Bocelli, fils du célèbre chanteur d’opéra Andrea Bocelli, selon les informations rapportées. Le chef étoilé Fabrizio Mellino a préparé le dîner de mariage, tandis que le gâteau était confectionné par le pâtissier français Cédric Grolet, selon le Corriere della Sera.Lauren Sanchez a posté sur Instagram sur le compte “laurensanchezbezos” une photo d’elle en robe blanche de mariée avec Jeff Bezos, même si les deux sont déjà mariés civilement aux Etats-unis.La cérémonie de mariage vendredi est le point culminant d’une semaine de festivités, entre yachts et invités VIP, qui s’achèvera samedi avec un grand bal où chantera Lady Gaga, dans une Venise divisée sur l’impact qu’auront ces noces sur l’image de la ville.La fille du président américain Ivanka Trump, Leonardo di Caprio, Kim Kardashian, Kendall et Kylie Jenner, la superstar du football américain Tom Brady, la présentatrice Oprah Winfrey ou Bill Gates faisaient partie des invités aperçus sur les canaux de la ville par des photographes de l’AFP.Interrogé sur ce qu’il préférait de la Cité des Doges, le milliardaire américain, tout sourire dans un canot aux côtés de sa future épouse, s’est pris d’enthousiasme: “Regardez autour de vous! Cette ville semble impossible, (…) et pourtant, elle est bien là”, peut-on l’entendre dire dans une vidéo publiée par La Repubblica.- près d’un milliard de retombées -Jeff Bezos, qui détient pour environ 215 milliards de dollars d’actions d’Amazon, fera un don de 3 millions d’euros à une association de protection de la lagune, à la Venice International University et à l’Unesco, selon le président de la région Luca Zaia (extrême droite).Les pouvoirs locaux n’ont cessé de soutenir le choix du milliardaire de se marier à Venise, balayant tout lien avec le surtourisme contre lequel des mesures ont été prises comme l’instauration d’un ticket d’entrée payant.Le ministère du Tourisme, dans une note vendredi, a chiffré les dépenses directes réalisées par Jeff Bezos et sa future épouse à 28,4 millions d’euros pour ces festivités qui passionnent les médias italiens.Il a surtout dit s’attendre à 895 millions d’euros générés pour la ville par la “visibilité médiatique” de l’événement, tout en prévenant que celle-ci “exige une vérification empirique.”Quelque 100.000 touristes dorment dans la ville durant la haute saison, auxquels s’ajoutent des dizaines de milliers de visiteurs à la journée, alors que le nombre de résidents permanents est en chute libre.Pour Samuel Silvestri, commerçant vénitien de 55 ans, “le surtourisme est principalement causé par ces gens qui ne viennent qu’une journée avec leur sac à dos et leur nourriture, et qui contribuent très peu à la ville”.”Pas par ceux qui transforment Venise en un petit Monte-Carlo”, le célèbre quartier de Monaco, poursuit-il. “Ce mariage aussi façonne l’image de la ville”.Un avis probablement partagé par Alain Vanleeuw, 70 ans, un entrepreneur de Bruxelles qui dit qu’il a “essayé de programmer (son voyage, ndlr) en fonction des dates qui avaient été prévues pour le mariage.”- Pas de renfort policier -Mais un collectif d’habitants baptisé “No Space for Bezos” (“Pas de place pour Bezos”) multiplie les manifestations symboliques pour s’opposer aux réjouissances, au slogan de “Venise n’est pas à vendre”, craignant que le mariage complique encore plus le déplacement des habitants.”Ce mariage cause des problèmes dans la ville, avec des fermetures de canaux et des contrôles de plus en plus stricts”, a dénoncé Alice Bazzoli, 24 ans, militante de “No Space for Bezos”.”Il n’y a eu aucune intention de verrouiller la ville”, a assuré le préfet de Venise Darco Pellos à l’AFP, affirmant par ailleurs que l’événement n’avait exigé aucun “renfort” policier par rapport à une saison estivale habituelle.Il y a 11 ans, le mariage de l’acteur George Clooney n’avait pas créé autant de remous. Mais l’acteur américain n’est pas l’un des hommes les plus riches de la planète et n’a pas fondé le plus grand site mondial d’e-commerce, régulièrement dans le viseur d’associations de défense de l’environnement.Greenpeace justement n’a de cesse de dénoncer l’impact écologique du mariage, auquel de nombreux invités se sont rendus en jet privé, alors que l’équilibre fragile de Venise “coule sous le poids de la crise climatique”.

Bezos et Lauren Sanchez se sont dit oui dans une Venise divisée sur ce mariage

Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, et la journaliste Lauren Sanchez se sont mariés symboliquement vendredi soir lors d’une somptueuse cérémonie en présence de personnalités riches et célèbres sur une île de Venise, loin des regards et des manifestants.Jeff Bezos, 61 ans et Lauren Sanchez, 55 ans, on échangé leurs voeux lors d’une cérémonie en tenue de soirée vendredi soir sur l’île de San Giorgio Maggiore, face à la place Saint-Marc, selon les médias italiens.La cérémonie pour les mariés a débuté par un air chanté par Matteo Bocelli, fils du célèbre chanteur d’opéra Andrea Bocelli, selon les informations rapportées. Le chef étoilé Fabrizio Mellino a préparé le dîner de mariage, tandis que le gâteau était confectionné par le pâtissier français Cédric Grolet, selon le Corriere della Sera.Lauren Sanchez a posté sur Instagram sur le compte “laurensanchezbezos” une photo d’elle en robe blanche de mariée avec Jeff Bezos, même si les deux sont déjà mariés civilement aux Etats-unis.La cérémonie de mariage vendredi est le point culminant d’une semaine de festivités, entre yachts et invités VIP, qui s’achèvera samedi avec un grand bal où chantera Lady Gaga, dans une Venise divisée sur l’impact qu’auront ces noces sur l’image de la ville.La fille du président américain Ivanka Trump, Leonardo di Caprio, Kim Kardashian, Kendall et Kylie Jenner, la superstar du football américain Tom Brady, la présentatrice Oprah Winfrey ou Bill Gates faisaient partie des invités aperçus sur les canaux de la ville par des photographes de l’AFP.Interrogé sur ce qu’il préférait de la Cité des Doges, le milliardaire américain, tout sourire dans un canot aux côtés de sa future épouse, s’est pris d’enthousiasme: “Regardez autour de vous! Cette ville semble impossible, (…) et pourtant, elle est bien là”, peut-on l’entendre dire dans une vidéo publiée par La Repubblica.- près d’un milliard de retombées -Jeff Bezos, qui détient pour environ 215 milliards de dollars d’actions d’Amazon, fera un don de 3 millions d’euros à une association de protection de la lagune, à la Venice International University et à l’Unesco, selon le président de la région Luca Zaia (extrême droite).Les pouvoirs locaux n’ont cessé de soutenir le choix du milliardaire de se marier à Venise, balayant tout lien avec le surtourisme contre lequel des mesures ont été prises comme l’instauration d’un ticket d’entrée payant.Le ministère du Tourisme, dans une note vendredi, a chiffré les dépenses directes réalisées par Jeff Bezos et sa future épouse à 28,4 millions d’euros pour ces festivités qui passionnent les médias italiens.Il a surtout dit s’attendre à 895 millions d’euros générés pour la ville par la “visibilité médiatique” de l’événement, tout en prévenant que celle-ci “exige une vérification empirique.”Quelque 100.000 touristes dorment dans la ville durant la haute saison, auxquels s’ajoutent des dizaines de milliers de visiteurs à la journée, alors que le nombre de résidents permanents est en chute libre.Pour Samuel Silvestri, commerçant vénitien de 55 ans, “le surtourisme est principalement causé par ces gens qui ne viennent qu’une journée avec leur sac à dos et leur nourriture, et qui contribuent très peu à la ville”.”Pas par ceux qui transforment Venise en un petit Monte-Carlo”, le célèbre quartier de Monaco, poursuit-il. “Ce mariage aussi façonne l’image de la ville”.Un avis probablement partagé par Alain Vanleeuw, 70 ans, un entrepreneur de Bruxelles qui dit qu’il a “essayé de programmer (son voyage, ndlr) en fonction des dates qui avaient été prévues pour le mariage.”- Pas de renfort policier -Mais un collectif d’habitants baptisé “No Space for Bezos” (“Pas de place pour Bezos”) multiplie les manifestations symboliques pour s’opposer aux réjouissances, au slogan de “Venise n’est pas à vendre”, craignant que le mariage complique encore plus le déplacement des habitants.”Ce mariage cause des problèmes dans la ville, avec des fermetures de canaux et des contrôles de plus en plus stricts”, a dénoncé Alice Bazzoli, 24 ans, militante de “No Space for Bezos”.”Il n’y a eu aucune intention de verrouiller la ville”, a assuré le préfet de Venise Darco Pellos à l’AFP, affirmant par ailleurs que l’événement n’avait exigé aucun “renfort” policier par rapport à une saison estivale habituelle.Il y a 11 ans, le mariage de l’acteur George Clooney n’avait pas créé autant de remous. Mais l’acteur américain n’est pas l’un des hommes les plus riches de la planète et n’a pas fondé le plus grand site mondial d’e-commerce, régulièrement dans le viseur d’associations de défense de l’environnement.Greenpeace justement n’a de cesse de dénoncer l’impact écologique du mariage, auquel de nombreux invités se sont rendus en jet privé, alors que l’équilibre fragile de Venise “coule sous le poids de la crise climatique”.

Springsteen digs into the vault to rewrite his ‘lost’ ’90s

Conventional wisdom among Bruce Springsteen fans holds that the 1990s were his “lost” decade — a period where he struggled to chart a new course after parting ways with his longtime collaborators, the E Street Band.  It turns out “The Boss” never bought into that narrative, and now he’s aiming to overturn it with a new collection of unreleased material, “Tracks II: The Lost Albums,” released on Friday.”I often read about myself in the ’90s as having some lost period,” the 75-year-old rocker said in a 17-minute documentary released last week.”Actually, Patti and I were parenting very young children at the time, so that affected some of your workout,” he conceded, referencing his wife and E Street Band member, Patti Scialfa. “But really, I was working the whole time.” During the Covid pandemic, Springsteen returned to his archives and “finished everything I had in my vault.”The result is a sprawling box set compilation of 83 songs organized thematically into seven albums, spanning his output from 1983 to 2018.But the greatest spotlight falls on the 1990s — a decade long seen as a wilderness period for the New Jersey native, who was said to be struggling to find a solo identity during his hiatus from the E Street Band.Springsteen first burst onto the national scene in the ’70s as a would-be heir to Bob Dylan, hit new commercial heights in the ’80s with “Born in the USA,” and delivered what many view as the definitive artistic response to the 9/11 attacks with “The Rising.”One album in the box set revisits the “Streets of Philadelphia Sessions,” evoking the namesake hit with a moody blend of synthesizers and pulsing drumbeats as he explores dark emotional terrain.”I’d made three albums about relationships, I had a fourth one,” Springsteen said. “It was particularly dark, and I just didn’t know if my audience was going to be able to hear it at that moment.”Another record, “Somewhere North of Nashville,” is a rollicking, country-rooted romp. A third, “Inyo,” recorded in the late ’90s along California’s borderlands, is an ode to Mexican-American culture.Springsteen is far from the first major artist to unearth new material from songs that were originally shelved, following a tradition established by Dylan’s “Bootleg Series” in 1991.”Tracks II,” as the name suggests, is a sequel to 1998’s “Tracks” — and “Tracks III” is set to follow.Over the years, critics have often argued there’s a reason some tracks remain unreleased — with “new” Beatles songs based on the late John Lennon’s homemade demos often cited as proof that not every vault needs to be reopened.So far, however, “Tracks II” has been received favorably by many reviewers.”For any fan, it’s a revelation to hear the secret mischief that Bruce Springsteen was making in the shadows, during his most low-profile era — the music he made for himself, after years of making music for the world,” wrote Rob Sheffield in Rolling Stone.

Foot: Les Bleues jouent avec le feu mais réussissent leur dernier test avant l’Euro

L’équipe de France féminine, menée 2-0, a battu le Brésil en remontada (3-2) mettant en valeur sa combativité et son pouvoir offensif pour son dernier match amical avant l’Euro-2025, mais la défense a tangué vendredi à Grenoble.Une huitième victoire d’affilée, le doublé de Grace Geyoro (45, 56), le 55e but en Bleue de Marie-Antoinette Katoto (76), une grande variété offensive et un réservoir d’attaquantes talentueuses, il y a beaucoup de bonnes choses à retenir à une semaine du début de l’Euro, le 5 juillet contre l’Angleterre.Mais il ne faudra pas oublier ce début de match complètement raté au moment d’affronter les championnes d’Europe en titre à Zurich.La défense, grosse satisfaction de la série victorieuse (deux buts encaissés en sept matches), a coulé en début de rencontre face aux vice-championnes olympiques.La charnière Maëlle Lakrar-Thiniba Samoura, alignée en l’absence de Griedge Mbock, préservée après une douleur à un mollet, a beaucoup souffert face à la vivacité des Auriverdes.Selma Bacha et Lakrar ont été très vite surprises par Kerolin, qui les a toutes deux effacées d’une passe pour Luany, partie tromper Pauline Peyraud-Magnin d’une frappe croisée (7).Passeuse sur le premier but, l’attaquante de Manchester City a profité des errements de la défense française, qui a mal joué le hors-jeu, pour aller doubler la mise d’une frappe également croisée (12).K.O. debout, les Bleues ne réussissaient plus rien, et Kerolin aurait pu aggraver le score sans une belle parade de Pauline Peyraud-Magnin (25).- Dernier mot à Katoto -La gardienne a aussi préservé la victoire d’une autre superbe détente sur une frappe de Duda Sampaio (81).Puis, sous l’autorité du massif de la Chartreuse et devant un stade bien garni (13.113 spectateurs), les joueuses de Laurent Bonadei ont retrouvé le fil, notamment quand Sandy Baltimore et Kadidiatou Diani ont permuté.Elles ont égalisé juste avant la mi-temps, sur un centre de Baltimore, un tête de “Kadi” a été mal renvoyée par la défense et reprise par Grace Geyoro.Comme prévu dans la rotation des attaquantes, Laurent Bonadei a lancé à la pause Marie-Antoinette Katoto à la place de Clara Mateo, transparente.Il a bien fallu un sauvetage de la capitaine Sandy Toletti devant la doyenne Marta (50), 39 ans, qui rêve de jouer la Coupe du monde 2027 à domicile, mais les Bleues ont gardé l’élan de la fin de la première période.Elles ont égalisé par Geyoro, profitant à nouveau d’un mauvais renvoi de la Seleçao et d’une déviation de Duda Sampaio (56).La Parisienne, qui devrait fêter sa 100e sélection congre l’Angleterre, a porté son total en sélection à 21 buts.Cette fois le match avait tourné en faveur des Françaises. Bonadei a procédé à quatre changements à la 66e minute et les Bleues ont conservé l’ascendant.Deux autres attaquantes sont entrées, soulignant la richesse de la France dans ce domaine, Delphine Cascarino et Melvine Malard, qui ont toutes deux eu une balle de 3-2, la joueuse du San Diego Wave d’une de ses belles frappes du gauche (73), puis la Mancunienne, autrice d’un triplé contre la Belgique (5-0) la semaine dernière (76).Mais le dernier mot est revenu à la buteuse Katoto, tout en puissance et en esprit de sacrifice. Elle s’est même blessée aux côtes en heurtant le poteau pour marquer et offrir une victoire aux Bleues avant leur départ pour la Suisse pleines de confiance.

Mondial des clubs: Brésiliens affamés, Européens appliqués, premier tour caliente

Le premier tour du Mondial des clubs aux Etats-Unis a été marqué par la mainmise de l’Europe, seulement contestée par le Brésil, la météo (fortes chaleurs, orages) ayant mis joueurs et organisateurs à rude épreuve dans des stades qui ont rarement fait le plein.. Le Brésil assure le spectacle, l’Europe surpuissanteLes formations brésiliennes ont animé les deux premières semaines de la compétition sur le terrain et en dehors. Avec quatre qualifiés pour les 8es de finale (Flamengo, Palmeiras, Botafogo, Fluminense) sur quatre représentants dans la compétition, le pays des quintuples champions du monde a fait un carton, contrairement à son vieux rival argentin dont les deux équipes emblématiques de Buenos Aires, River Plate et Boca Juniors, ont dû rentrer à la maison la tête basse.Au-delà de leurs qualités intrinsèques, les Brésiliens ont surtout paru surmotivés à l’idée de se frotter au gratin du football européen, voyant dans cette épreuve une façon de reproduire les joutes homériques de la défunte Coupe intercontinentale qui opposait chaque année jusqu’en 2004 le champion d’Europe au vainqueur de la Copa Libertadores. Les effusions de joie des joueurs de Botafogo et de Flamengo après avoir respectivement terrassé le PSG (1-0), tout juste sacré en Ligue des champions, et Chelsea (3-1), 4e de Premier League, ont été à cet égard révélatrices de l’état d’esprit des clubs “auriverde”.L’Europe n’a toutefois pas à rougir et impose logiquement sa loi et sa domination financière, malgré des organismes sur les rotules au bout d’une saison à rallonge, avec seulement trois éliminés sur douze (Atletico Madrid, Porto, Salzbourg) alors que l’Afrique et l’Océanie ont déjà disparu du paysage.L’Amérique du sud s’est aussi distinguée par la ferveur de ses supporteurs venus en nombre, en comptant également sur la diaspora présente sur le sol américain pour enflammer les tribunes, les fans du Vieux Continent se faisant globalement beaucoup plus discrets.. Des affluences à géométrie variableLoin de l’échec populaire redouté, cette première édition du Mondial des clubs à 32 équipes présente tout de même pour l’instant un bilan mitigé en terme d’affluence. La Fédération internationale de football (Fifa) a annoncé vendredi que 1.667.819 spectateurs avaient assisté aux 48 rencontres du premier tour, soit une moyenne de 34.746 par match. La Fifa avait auparavant précisé avoir mis en place des promotions afin d’attirer encore plus de supporteurs et éviter cette impression de vide constatée dans certaines enceintes, visiblement surdimensionnées pour l’évènement.Car si plusieurs rencontres ont affiché quasiment complet comme le match d’ouverture Inter Miami-Al Ahly (60.927 spectateurs à Miami) ainsi que ceux du Real Madrid ou l’entrée en lice du PSG contre l’Atletico Madrid (80.619 spectateurs à Pasadena), seulement 3.400 courageux se sont par exemple déplacés à Orlando pour l'”affiche” entre les Sud-Coréens d’Ulsan et les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns.Dans ces conditions, le choix fait par la Fifa de stades gigantesques, ceux du Mondial-2026 coorganisé avec le Mexique et le Canada, disposant pour la plupart de 60.000 à 80.000 places et donc peu adaptés à la demande locale en matière de football, pose question.. Canicule et orages se mêlent à la fêteLes conditions climatiques extrêmes de l’été américain donnent un avant-goût de ce qui attend les joueurs dans un an lors de la Coupe du monde. Les clubs sont confrontés à des températures caniculaires dans plusieurs villes-hôtes, souvent bien au-delà des 35°C avec un fort taux d’humidité, d’autant qu’une bonne part des rencontres se déroule à midi ou dans l’après-midi pour satisfaire les téléspectateurs européens.La Fifa a ainsi établi des pauses pour se rafraîchir aux 30e et 75e minutes de jeu. L’instance mondiale, interrogée par l’AFP, s’est par ailleurs défendue en indiquant que la santé des joueurs restait sa “priorité”, rappelant que les équipes pouvaient “effectuer un remplacement supplémentaire” en cas de prolongation, qui s’ajoute aux cinq normalement autorisés, et qu’elles “disposent d’un minimum de trois jours de repos entre les matchs pour faciliter la récupération”.Autre spécificité locale: les interruptions pour prévenir les orages violents, en vertu d’une législation très stricte en la matière qui impose la suspension des événements sportifs en plein air pendant au moins 30 minutes lorsque des coups de tonnerre sont détectés dans un rayon de 8 miles (environ 13 km). Cinq parties ont d’ores et déjà été perturbées par l’application ce ce protocole. 

Trump withdraws protected status from Haitian migrants

The Trump administration said Friday it is terminating temporary legal protections that allowed more than 520,000 Haitians to live in the United States.The United States grants Temporary Protected Status (TPS) to foreign citizens who cannot safely return home because of war, natural disasters or other “extraordinary” conditions.The Department of Homeland Security said it was ending TPS for Haitians on September 2 and encouraged those who were living in the United States under the program to return home.Former president Joe Biden extended TPS for Haitians before leaving office, allowing them to reside in the United States until February 2026.But the Trump administration announced in February that it was canceling the extension. It said on Friday it was terminating TPS for Haitians altogether on September 2.”The environmental situation in Haiti has improved enough that it is safe for Haitian citizens to return home,” DHS said.Permitting Haitian nationals to remain temporarily in the United States is contrary to US national interest, it added.Struck by a devastating earthquake in 2010, Haiti has suffered from political instability for decades and more recently from increasing violence by armed groups.The US State Department currently advises Americans not to travel to Haiti “due to kidnapping, crime, civil unrest and limited heath care.”President Donald Trump has pledged to carry out the largest deportation campaign in US history and curb immigration, mainly from Latin American nations.Trump ordered a review of the TPS program on his return to the White House and his administration has revoked TPS protections for Afghans and Venezuelans in addition to Haitians.During his campaign Trump made baseless claims that an Ohio city had seen a recent influx of Haitian migrants who were stealing and eating residents’ cats and dogs.A UN human rights expert called on the United States and other nations in March not to expel Haitians back to their violence-plagued country.William O’Neill, a UN-designated expert on human rights in Haiti, said deporting people back there would be unsafe.”Violent criminal groups continue to extend and consolidate their hold beyond the capital,” O’Neill said.”They kill, rape, terrorize, set fire to homes, orphanages, schools, hospitals, places of worship, recruit children and infiltrate all spheres of society.”

UN officials say new Gaza aid system leads to mass killings

United Nations officials on Friday said a US- and Israeli-backed distribution system in Gaza was leading to mass killings of people seeking humanitarian aid, drawing accusations from Israel that the UN was “aligning itself with Hamas”.Eyewitnesses and local officials have reported repeated killings of Palestinians seeking aid at distribution centres over recent weeks in the war-stricken territory, where Israeli forces are battling Hamas militants.The Israeli military has denied targeting people seeking aid and the US- and Israeli-backed Gaza Humanitarian Foundation (GHF) has denied any deadly incidents were linked to its sites.But following weeks of reports, UN officials and other aid providers on Friday denounced what they said was a wave of killings of hungry people seeking aid.”The new aid distribution system has become a killing field,” with people “shot at while trying to access food for themselves and their families,” said Philippe Lazzarini, head of the UN agency for Palestinian affairs (UNWRA).”This abomination must end through a return to humanitarian deliveries from the UN including @UNRWA,” he wrote on X.The health ministry in the Hamas-controlled territory says that since late May, more than 500 people have been killed near aid centres while seeking scarce supplies.The country’s civil defence agency has also repeatedly reported people being killed while seeking aid.”People are being killed simply trying to feed themselves and their families,” said UN Secretary-General Antonio Guterres.”The search for food must never be a death sentence.”Medical charity Doctors Without Borders (MSF) branded the GHF relief effort “slaughter masquerading as humanitarian aid”.- Israel denies targeting civilians -That drew an angry response from Israel, which said GHF had provided 46 million meals in Gaza.”The UN is doing everything it can to oppose this effort. In doing so, the UN is aligning itself with Hamas, which is also trying to sabotage the GHF’s humanitarian operations,” the foreign ministry said.Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu rejected a newspaper report that the country’s military commanders ordered soldiers to fire at Palestinians seeking humanitarian aid in Gaza.Left-leaning daily Haaretz had earlier quoted unnamed soldiers as saying commanders ordered troops to shoot at crowds near aid distribution centres to disperse them even when they posed no threat.Haaretz said the military advocate general, the army’s top legal authority, had instructed the military to investigate “suspected war crimes” at aid sites.The Israeli military declined to comment to AFP on the claim.Netanyahu said in a joint statement with Defence Minister Israel Katz that their country “absolutely rejects the contemptible blood libels” and “malicious falsehoods” in the Haaretz article.The military said in a separate statement it “did not instruct the forces to deliberately shoot at civilians, including those approaching the distribution centres”.It added that Israeli military “directives prohibit deliberate attacks on civilians.”Israel blocked deliveries of food and other crucial supplies into Gaza from March for more than two months.It began allowing supplies to trickle in at the end of May, with GHF centres secured by armed US contractors and Israeli troops on the perimeter.Guterres said that from the UN, just a “handful” of medical deliveries had crossed into Gaza this week.- Civil defence says 80 killed -Gaza’s civil defence agency told AFP 80 Palestinians had been killed on Friday by Israeli strikes or fire across the Palestinian territory, including 10 who were waiting for aid.The Israeli military told AFP it was looking into the incidents, and denied its troops fired in one of the locations in central Gaza where rescuers said one aid seeker was killed.Civil defence spokesman Mahmud Bassal told AFP six people were killed in southern Gaza near one of the distribution sites operated by GHF, and one more in a separate incident in the centre of the territory, where the army denied shooting “at all”.Another three people were killed by a strike while waiting for aid southwest of Gaza City, Bassal said.Elsewhere, eight people were killed “after an Israeli air strike hit Osama Bin Zaid School, which was housing displaced persons” in northern Gaza.MSF said that in the week of June 8, shortly after GHF opened a distribution site in central Gaza’s Netzarim corridor, the MSF field hospital in nearby Deir el-Balah saw a 190-percent increase in bullet wound cases compared to the previous week.- Militants attack Israeli forces -Meanwhile, Hamas’s armed wing, the Ezzedine Al-Qassam Brigades, said they shelled an Israeli vehicle east of Khan Yunis in southern Gaza on Friday.The Al-Quds Brigades, the armed wing of Hamas-ally Palestinian Islamic Jihad, said they attacked Israeli soldiers in at least two other locations near Khan Yunis in coordination with the Al-Qassam Brigades.Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel that sparked the Gaza war resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.Israel’s retaliatory military campaign has killed at least 56,331 people, also mostly civilians, according to Gaza’s health ministry. The United Nations considers its figures reliable.