A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

La canicule et les incendies ne laissent aucun répit à l’Europe du Sud

Le sud de l’Europe n’a connu jeudi aucun répit face aux incendies: le Portugal, la Grèce, l’Italie et surtout l’Espagne, où un troisième décès a été enregistré, continuent de combattre les flammes en pleine canicule.Le Premier ministre Pedro Sánchez a déploré “la mort d’un deuxième volontaire à León” – un homme de 36 ans, décédé jeudi matin en Castille-et-León (nord ouest) – et souligné que “la menace reste extrême” en Espagne, où Paris a envoyé deux Canadair.Onze incendies sont classés au niveau 2 (sur 4) et celui de Zamora (en Castille-et-Léon), “où une superficie importante a brûlé (…) inquiète” beaucoup, a déclaré le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, à la télévision publique.Quelque 10.700 personnes ont été évacuées depuis le début de cet épisode d’incendies, selon le ministère de l’Intérieur.- “Les pires pronostics” – Pays en première ligne du réchauffement climatique en Europe, l’Espagne est habituée aux températures extrêmes, mais elle fait face depuis quelques années à une multiplication et une intensification des vagues de chaleurs.Plus de 157.000 hectares sont partis en fumée dans ce pays depuis janvier, ce qui fait déjà de 2025 la pire année après 2022 et 2012, depuis le début de l’existence (en 2006) des données du Système européen d’information sur les feux de forêt (EFFIS).En outre, août arrive d’ores et déjà en deuxième place des pires mois enregistrés pour les incendies avec 115.191 hectares brûlés. Plus de 70.000 hectares ont brûlé au cours des derniers jours.La Galice (nord-ouest), la région de Valence (est) et l’Estrémadure (ouest) préoccupent également les autorités, et une quinzaine d’axes routiers sont coupés.”Cette nuit, les pires pronostics se sont réalisés”, a écrit sur X Abel Bautista, un responsable du gouvernement régional d’Estrémadure, plaçant désormais toute la région en alerte incendie 2 et demandant à la population la “prudence maximale”.Une trentaine de personnes soupçonnées d’être à l’origine des incendies, soit par négligence ou imprudence, soit intentionnellement, ont été arrêtées.Le Portugal est lui également touché par une vague d’incendies depuis 22 jours. Jeudi en fin de journée, plus de 2.700 pompiers, épaulés par une trentaine d’appareils aériens, restaient déployés pour combattre plusieurs foyers dans le nord et le centre du pays.Dans certains villages menacés, des habitants se sont joints aux secours pour repousser les flammes, d’après les images diffusées en direct par les télévisions locales.Face à cette situation, le gouvernement, qui s’attend une journée de vendredi compliquée, “a décidé de prolonger la situation d’alerte, qui restera en vigueur avec toutes les interdictions” jusqu’à dimanche, a déclaré la ministre de l’Intérieur, Maria Lucia Amaral, lors d’une conférence de presse.Ces mesures interdisent notamment l’accès à des zones forestières, certains travaux agricoles et l’usage de feux d’artifice.De l’autre côté de la Méditerranée, au Maroc, les pompiers luttaient jeudi contre un important incendie de forêt dans une zone montagneuse autour de la ville touristique de Chefchaouen, au sud de Tanger (nord-ouest du pays).- Amélioration en Grèce -En Grèce, où 20.000 hectares ont été détruits par le feu depuis juin, les pompiers sont parvenus à circonscrire l’incendie qui menaçait Patras, troisième ville du pays et principal port vers l’Italie.Il y a des foyers “épars”, même si le feu est “toujours actif” dans les faubourgs est de la ville de plus de 200.000 habitants, selon les pompiers.Ailleurs dans le pays, 600 équipes au sol et près de 30 avions bombardiers d’eau luttaient notamment sur trois autres fronts, l’île ionienne de Zante (ouest), l’île égéenne de Chios (est) et près de la ville occidentale de Preveza.Dans les Balkans, les incendies ont tué au moins deux personnes et entraîné l’évacuation de milliers d’habitants.En Albanie, l’un des pays les plus durement touchés, les pompiers ont lutté inlassablement contre les incendies, tandis qu’au Monténégro voisin, les conditions climatiques et le dispositif aérien engagé ont permis de maîtriser les principaux feux de forêt.L’Angleterre a elle aussi eu à combattre un incendie, dans les landes du Yorkshire du Nord, sur environ cinq kilomètres carrés.Une chaleur torride continue de peser sur l’Italie, relativement épargnée par les feux cet été, et où 16 villes dont Rome et Venise sont placées en alerte rouge. A Florence, le thermomètre devrait monter jusqu’à 39°C, et à Milan, jusqu’à 38°C. Un septième jour d’une vague de chaleur encore écrasante a aussi frappé les trois quarts de la France.Même le nord de l’Europe est affecté par la canicule: la météo exceptionnellement chaude en juillet en Finlande, en Norvège et en Suède a entraîné, selon le réseau scientifique World Weather Attribution (WWA), de nombreux évanouissements lors d’événements en plein air, saturé et surchauffé les hôpitaux, provoqué des incendies de forêt, causé de multiples noyades ou encore poussé les rennes à chercher de l’ombre dans les villes.

Apple rejects Musk claim of App Store bias

Apple on Thursday rejected Elon Musk’s claim that its digital App Store favors OpenAI’s ChatGPT over his company’s Grok and other rival AI assistants.Musk has accused Apple of giving unfair preference to ChatGPT on its App Store and threatened legal action, triggering a fiery exchange with OpenAI CEO Sam Altman this week.”The App Store is designed to be fair and free of bias,” Apple said in reply to an AFP inquiry.”We feature thousands of apps through charts, algorithmic recommendations, and curated lists selected by experts using objective criteria.”Apple added that its goal at the App Store is to offer “safe discovery” for users and opportunities for developers to get their creations noticed.But earlier this week, Musk said Apple was “behaving in a manner that makes it impossible for any AI company besides OpenAI to reach #1 in the App Store, which is an unequivocal antitrust violation,” without providing evidence to back his claim.”xAI will take immediate legal action,” he said on his social media network X, referring to his own artificial intelligence company, which is responsible for Grok.X users responded by pointing out that China’s DeepSeek AI hit the top spot in the App Store early this year, and Perplexity AI recently ranked number one in the App Store in India.DeepSeek and Perplexity compete with OpenAI and Musk’s startup xAI.Altman called Musk’s accusation “remarkable” in a response on X, charging that Musk himself is said to “manipulate X to benefit himself and his own companies and harm his competitors and people he doesn’t like.”Musk called Altman a “liar” in the heated exchange.OpenAI and xAI recently released new versions of ChatGPT and Grok.App Store rankings listed ChatGPT as the top free app for iPhones on Thursday, with Grok in seventh place.Factors going into App Store rankings include user engagement, reviews and the number of downloads.Grok was temporarily suspended on Monday in the latest controversy surrounding the chatbot.No official explanation was provided for the suspension, which followed multiple accusations of misinformation including the bot’s misidentification of war-related images — such as a false claim that an AFP photo of a starving child in Gaza was taken in Yemen years earlier.Last month, Grok triggered an online storm after inserting antisemitic comments into answers without prompting. In a statement on Grok’s X account later that month, the company apologized “for the horrific behavior that many experienced.”A US judge has cleared the way for a trial to consider OpenAI legal claims accusing Musk — a co-founder of the company — of waging a “relentless campaign” to damage the organization after it achieved success following his departure.The litigation is another round in a bitter feud between the generative AI start-up and the world’s richest person.Musk founded xAI in 2023 to compete with OpenAI and the other major AI players.

Searchers seek missing after deadly Italy migrant shipwreckThu, 14 Aug 2025 17:56:12 GMT

Italian authorities searched Thursday for migrants missing at sea after two crowded boats sank off the island of Lampedusa, killing at least 27 people.As many as a dozen or more people are still unaccounted for following Wednesday’s disaster, according to testimony from among the 60 survivors, mostly from Somalia.Three minors, including a newborn baby, and …

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Annulation d’une projection de “Barbie”: une enquête ouverte pour menace et intimidation

Une enquête a été ouverte jeudi en Seine-Saint-Denis pour menace, violence ou acte d’intimidation, après l’annulation de la projection du film “Barbie” le 8 août dans un quartier de Noisy-le-Sec sous la pression d’un groupe de jeunes habitants, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.Le parquet a reçu la plainte déposée jeudi matin par le maire de Noisy-le-Sec, Olivier Sarrabeyrouse (PCF) qui avait décidé d’annuler la projection de “Barbie” afin de protéger les agents de la mairie agressés verbalement ce soir-là selon lui. “Une enquête a été ouverte pour menace, violence ou acte d’intimidation envers un chargé de mission de service public pour qu’il accomplisse ou s’abstienne d’acte de sa mission et confiée au commissariat de Noisy-le-Sec”, a précisé une source judiciaire.La ville avait annulé la diffusion sur écran géant du film “Barbie”, en plein air dans le quartier du Londeau, parce qu’une dizaine de jeunes hommes avaient proféré des “menaces insistantes”, selon le maire, de mettre un terme eux-mêmes à la séance.Devant la presse vendredi, M. Sarrabeyrouse a rappelé qu’il avait qualifiée “d’obscurantisme et de fondamentalisme” leur attitude et condamné leur argument “totalement fallacieux” selon lequel ce film prônait l’homosexualité et portait atteinte à l’image de la femme”. La mairie travaille à “la reprogrammation de ce film” dans des délais raisonnables, a-t-il annoncé, en souhaitant un moment de débat pour ne pas laisser “un groupe d’hommes se poser en censeurs moraux”.Mais l’élu s’est indigné du caractère “totalement disproportionné” de la polémique ayant suivi. “Je condamne avec encore plus de fermeté la récupération politicienne, la spéculation et la haine raciste islamophobe qui se déverse depuis 24 heures par la droite et l’extrême droite”, a-t-il insisté.Réalisé par Greta Gerwig, le film est une satire féministe qui voit Barbie, interprétée par Margot Robbie, découvrir la misogynie du monde réel.Sur l’esplanade où le film devait être projeté, plusieurs jeunes hommes ont estimé jeudi auprès de l’AFP que pour les nombreux enfants de moins de 10 ans présents le 8 août, le film n’était “pas adapté”, “pas correct”, “trop “vulgaire”, tout en affirmant que ce rejet “n’a rien à voir avec l’islam ou la religion”.Selon des propos rapportés jeudi par BFMTV, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a dénoncé des “pressions d’une minorité violente qui veut +hallaliser+ l’espace public”, les jugeant “pas acceptables, comme n’est pas acceptable le moindre recul face à ces revendications communautaires”.

Annulation d’une projection de “Barbie”: une enquête ouverte pour menace et intimidation

Une enquête a été ouverte jeudi en Seine-Saint-Denis pour menace, violence ou acte d’intimidation, après l’annulation de la projection du film “Barbie” le 8 août dans un quartier de Noisy-le-Sec sous la pression d’un groupe de jeunes habitants, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.Le parquet a reçu la plainte déposée jeudi matin par le maire de Noisy-le-Sec, Olivier Sarrabeyrouse (PCF) qui avait décidé d’annuler la projection de “Barbie” afin de protéger les agents de la mairie agressés verbalement ce soir-là selon lui. “Une enquête a été ouverte pour menace, violence ou acte d’intimidation envers un chargé de mission de service public pour qu’il accomplisse ou s’abstienne d’acte de sa mission et confiée au commissariat de Noisy-le-Sec”, a précisé une source judiciaire.La ville avait annulé la diffusion sur écran géant du film “Barbie”, en plein air dans le quartier du Londeau, parce qu’une dizaine de jeunes hommes avaient proféré des “menaces insistantes”, selon le maire, de mettre un terme eux-mêmes à la séance.Devant la presse vendredi, M. Sarrabeyrouse a rappelé qu’il avait qualifiée “d’obscurantisme et de fondamentalisme” leur attitude et condamné leur argument “totalement fallacieux” selon lequel ce film prônait l’homosexualité et portait atteinte à l’image de la femme”. La mairie travaille à “la reprogrammation de ce film” dans des délais raisonnables, a-t-il annoncé, en souhaitant un moment de débat pour ne pas laisser “un groupe d’hommes se poser en censeurs moraux”.Mais l’élu s’est indigné du caractère “totalement disproportionné” de la polémique ayant suivi. “Je condamne avec encore plus de fermeté la récupération politicienne, la spéculation et la haine raciste islamophobe qui se déverse depuis 24 heures par la droite et l’extrême droite”, a-t-il insisté.Réalisé par Greta Gerwig, le film est une satire féministe qui voit Barbie, interprétée par Margot Robbie, découvrir la misogynie du monde réel.Sur l’esplanade où le film devait être projeté, plusieurs jeunes hommes ont estimé jeudi auprès de l’AFP que pour les nombreux enfants de moins de 10 ans présents le 8 août, le film n’était “pas adapté”, “pas correct”, “trop “vulgaire”, tout en affirmant que ce rejet “n’a rien à voir avec l’islam ou la religion”.Selon des propos rapportés jeudi par BFMTV, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a dénoncé des “pressions d’une minorité violente qui veut +hallaliser+ l’espace public”, les jugeant “pas acceptables, comme n’est pas acceptable le moindre recul face à ces revendications communautaires”.

South Africa’s top general under fire for remarks in IranThu, 14 Aug 2025 17:08:20 GMT

President Cyril Ramaphosa’s office criticised South Africa’s top general on Thursday for reported comments about solidarity with Iran as unhelpful during the process of resetting ties with the United States.The foreign ministry has also condemned South African National Defence Force chief General Rudzani Maphwanya for his statements during a recently-ended trip to Iran, and a …

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Trump turns history on head with Putin invitation to key US base

Donald Trump is turning history on its head with his Alaska summit with Vladimir Putin — inviting Russia’s leader to land that once belonged to Moscow, and meeting him at a military base that monitored the Soviet Union.The location is all the more striking as Putin is under indictment by the International Criminal Court, with Friday’s summit marking the first time he has been allowed in a Western country since he invaded Ukraine in February 2022.The two leaders will meet at Elmendorf Air Force Base, which goes by the motto “Top Cover for North America.”Trump has said that Putin suggested the summit and it is unclear to what extent the Republican president thought through the symbolism of the base or Alaska, still yearned for by some Russian nationalists.But George Beebe, the former director of Russia analysis at the CIA, said the Alaska setting showed an emphasis on what unites the two powers — history and the Pacific Ocean — rather than on rivalry or the conflict in Ukraine.”What he’s doing here is he’s saying, ‘This is not the Cold War. We’re not replaying the series of Cold War summits that took place in neutral states’,” said Beebe, now director of grand strategy at the Quincy Institute for Responsible Statecraft, which supports military restraint.”We’re entering a new era, not just in the bilateral relationship between Russia and the United States, but also in the role that this relationship plays in the world,” he said.Russia had settled Alaska from the 18th century but, struggling to make its colony profitable and crippled by the Crimean War, Tsar Alexander II sold it to the United States in 1867.Then secretary of state William Seward was ridiculed for the purchase, dubbed “Seward’s Folly” due to the perceived lack of value of Alaska, but the territory later proved to be strategically crucial.The United States rushed to build what became Elmendorf Air Base after imperial Japan seized some of the Aleutian islands following their 1941 surprise attack on Pearl Harbor.Then with the Cold War, Elmendorf became a key center to observe Soviet movements across the Bering Strait.As recently as nine months ago, an electronic surveillance plane from Elmendorf as well as other US planes scrambled to track Russian planes flying off Alaska’s coast.- Mixed takes in Anchorage -With more than 800 buildings and more than 10,000 military personnel, Elmendorf is the largest military installation in Alaska — and is also known as a refueling stop for the US president and secretary of state when they travel to Asia.In anticipation of Putin’s arrival, some local residents have painted Ukrainian flags to place on their roofs, in the off chance that the Russian leader sees them on his aircraft’s descent.Putin “is a criminal and he’s coming here to a military base. There was a time when that would have been unthinkable,” said teacher Lindsey Meyn, 40, as she used spray paint to color a homemade blue-and-yellow Ukrainian flag.She said the summit was part of Trump’s strategy to “overwhelm with craziness” and distract from other issues.”It’s terrifying a little bit. I was thinking, is Trump going to offer our state back to Russia? I don’t think that’s going to happen but that’s the first thing that came to my mind,” she said.Alaska’s Russian heritage is still visible in isolated ways, including through a domed blue Russian Orthodox cathedral in Anchorage that was built in the 1960s.But Alaska has also become home to Ukrainians, both before and since Putin’s invasion.Zori Opanasevych, who has helped resettle 1,300 Ukrainians in Alaska with the non-profit group New Chance Inc., said that people she talked to wanted to hold out hope for the summit.”If there is any way that President Trump can influence Putin to stop the killing, we’ll believe in that. We have to believe in that,” she said.

US offers $10 mn reward for United Cartels leader arrest

The United States offered a $10 million reward on Thursday for information leading to the arrest of Juan Jose Farias Alvarez, head of the Mexican drug trafficking group Carteles Unidos.Farias Alvarez, nicknamed “El Abuelo,” or the grandfather, was one of five high-ranking members of Carteles Unidos — the United Cartels in English — whose criminal indictments were unsealed by the Justice Department on Thursday.”Today’s charges are designed to dismantle the United Cartels and bring their leaders to justice for unleashing death and destruction on American citizens,” Attorney General Pamela Bondi said in a statement.The US Treasury Department simultaneously announced it was imposing sanctions on members of the United Cartels and another group known as Los Viagras.”Treasury, alongside our partners in US law enforcement, will continue to target every effort by the cartels to generate revenue for their violent, criminal schemes,” Treasury Secretary Scott Bessent said.The State Department designated the Michoacan-based United Cartels and other drug trafficking groups as foreign terrorist organizations in February.Aside from Farias Alvarez, rewards of $5 million each were announced for Nicolas Sierra Santana, known as “El Gordo,” and Alfonso Fernandez Magallon, known as “Poncho,” and $3 million each for Luis Enrique Barragan Chavez, known as “Wicho,” and Edgar Orozco Cabadas, known as “El Kamoni.”According to the Justice Department, the United Cartels are a major supplier of methamphetamine, fentanyl, and cocaine to the United States.”Profits from US drug sales are allegedly used to acquire heavy weaponry, hire mercenaries, bribe local officials, and fund lavish lifestyles for cartel leaders,” it said.The announcement comes two days after Mexico transferred 26 wanted fugitives to the United States, including several high-ranking members of the Jalisco New Generation Cartel and the Sinaloa Cartel.The transfer was the second since Republican Donald Trump returned to the White House in January.In late February, Mexico sent 29 accused drug traffickers to the United States, including Rafael Caro Quintero, who was accused of kidnapping and killing US drug enforcement special agent Enrique “Kiki” Camarena in 1985.

Avant de voir Poutine, Trump souligne qu’un accord de paix ne se fera qu’avec Zelensky

A la veille de son tête-à-tête en Alaska avec Vladimir Poutine, Donald Trump a souligné jeudi que seul un sommet tripartite incluant aussi Volodymyr Zelensky pourrait sceller un accord de paix en Ukraine, répétant qu’il faudrait “partager” des territoires.”Cette rencontre va ouvrir la voie à une autre”, a assuré le président américain à la radio Fox News. Il avait déjà affirmé auparavant que ce sommet à Anchorage avait seulement pour vocation de “tâter le terrain” avec la Russie.Kiev et les Européens redoutent qu’en réalité Donald Trump et Vladimir Poutine n’entreprennent vendredi de redessiner la carte de l’Ukraine sans l’accord du président ukrainien.”La deuxième rencontre sera très, très importante, car ce sera celle où ils concluront un accord. Et je ne veux pas utiliser le terme +se partager les choses+, mais d’une certaine manière, ce n’est pas un mauvais terme. Il y aura du donnant donnant en ce qui concerne les frontières, les territoires”, a aussi dit Donald Trump jeudi.”Je ne sais pas où aura lieu cette deuxième rencontre”, a-t-il ajouté. “On pense à trois lieux différents ainsi qu’à la possibilité, car ce serait de loin la plus facile, de rester en Alaska”.Vladimir Poutine a lui salué jeudi les “efforts assez énergiques et sincères” des Etats-Unis “pour mettre fin aux hostilités, sortir de la crise et parvenir à des accords qui satisfassent toutes les parties impliquées”.”Si d’une manière ou d’une autre le président Trump peut convaincre Poutine d’arrêter la tuerie, nous voudrons y croire. Nous devons  (…) espérer que quelque chose de bien va sortir de la rencontre”, a confié à l’AFP Zori Opanasevych, une Ukrainienne vivant à Anchorage, dont la famille avait émigré aux Etats-Unis dans les années 1990.- Conférence de presse commune -Le président américain a estimé à “25%” le risque d’échec de sa rencontre vendredi avec son homologue russe.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a lui indiqué que la question de “garanties de sécurité” devrait être abordée pour mettre fin au conflit débuté en février 2022 par l’invasion russe de l’Ukraine, le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale.Le président ukrainien n’a pas été invité à ce que le Kremlin a décrit comme un “tête-à-tête” entre Vladimir Poutine et Donald Trump, deux dirigeants qu’unit une relation très particulière, alternant poussées de tension et rapprochements spectaculaires.Volodymyr Zelensky a été reçu chaleureusement jeudi à Londres par le Premier ministre britannique Keir Starmer.Les dirigeants européens font bloc autour de lui et tentent de peser sur l’imprévisible Donald Trump.Sa conversation avec Vladimir Poutine sur la base d’Elmendorf-Richardson se déroulera avec des interprètes, a indiqué le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov.”L’ordre du jour portera principalement sur le règlement de la crise ukrainienne”, a ajouté M. Ouchakov, évoquant aussi “la coopération bilatérale”. La réunion doit débuter vendredi vers 19H30 GMT, a précisé le Kremlin.Les présidents russe et américain donneront ensuite une conférence de presse commune, la première depuis leur apparition commune devant les caméras en 2018 à Helsinki, restée dans les mémoires pour la bonne entente alors manifestée par les deux dirigeants.- Pression militaire -Sur le terrain, la pression s’accentue sur les troupes de Kiev, moins nombreuses.Elles sont confrontées à une avancée rapide de l’armée russe sur le front dans la région orientale de Donetsk, où l’armée russe a revendiqué jeudi la prise de deux nouveaux villages.L’Ukraine a tiré des dizaines de drones dans la nuit de mercredi à jeudi, incendiant une raffinerie et faisant trois blessés près de la ville russe Volgograd (sud), selon des responsables locaux.Les positions officielles des deux belligérants sont toujours irréconciliables. La Russie réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Pour Kiev, ces exigences sont inacceptables.Lors des trois sessions de pourparlers depuis le printemps, dont la dernière s’est tenue à Istanbul en juillet, Russes et Ukrainiens avaient seulement réussi à s’entendre sur l’échange de prisonniers de guerre.Dans ce cadre, Kiev et Moscou ont annoncé jeudi avoir échangé 84 prisonniers de chaque camp.

Avant de voir Poutine, Trump souligne qu’un accord de paix ne se fera qu’avec Zelensky

A la veille de son tête-à-tête en Alaska avec Vladimir Poutine, Donald Trump a souligné jeudi que seul un sommet tripartite incluant aussi Volodymyr Zelensky pourrait sceller un accord de paix en Ukraine, répétant qu’il faudrait “partager” des territoires.”Cette rencontre va ouvrir la voie à une autre”, a assuré le président américain à la radio Fox News. Il avait déjà affirmé auparavant que ce sommet à Anchorage avait seulement pour vocation de “tâter le terrain” avec la Russie.Kiev et les Européens redoutent qu’en réalité Donald Trump et Vladimir Poutine n’entreprennent vendredi de redessiner la carte de l’Ukraine sans l’accord du président ukrainien.”La deuxième rencontre sera très, très importante, car ce sera celle où ils concluront un accord. Et je ne veux pas utiliser le terme +se partager les choses+, mais d’une certaine manière, ce n’est pas un mauvais terme. Il y aura du donnant donnant en ce qui concerne les frontières, les territoires”, a aussi dit Donald Trump jeudi.”Je ne sais pas où aura lieu cette deuxième rencontre”, a-t-il ajouté. “On pense à trois lieux différents ainsi qu’à la possibilité, car ce serait de loin la plus facile, de rester en Alaska”.Vladimir Poutine a lui salué jeudi les “efforts assez énergiques et sincères” des Etats-Unis “pour mettre fin aux hostilités, sortir de la crise et parvenir à des accords qui satisfassent toutes les parties impliquées”.”Si d’une manière ou d’une autre le président Trump peut convaincre Poutine d’arrêter la tuerie, nous voudrons y croire. Nous devons  (…) espérer que quelque chose de bien va sortir de la rencontre”, a confié à l’AFP Zori Opanasevych, une Ukrainienne vivant à Anchorage, dont la famille avait émigré aux Etats-Unis dans les années 1990.- Conférence de presse commune -Le président américain a estimé à “25%” le risque d’échec de sa rencontre vendredi avec son homologue russe.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a lui indiqué que la question de “garanties de sécurité” devrait être abordée pour mettre fin au conflit débuté en février 2022 par l’invasion russe de l’Ukraine, le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale.Le président ukrainien n’a pas été invité à ce que le Kremlin a décrit comme un “tête-à-tête” entre Vladimir Poutine et Donald Trump, deux dirigeants qu’unit une relation très particulière, alternant poussées de tension et rapprochements spectaculaires.Volodymyr Zelensky a été reçu chaleureusement jeudi à Londres par le Premier ministre britannique Keir Starmer.Les dirigeants européens font bloc autour de lui et tentent de peser sur l’imprévisible Donald Trump.Sa conversation avec Vladimir Poutine sur la base d’Elmendorf-Richardson se déroulera avec des interprètes, a indiqué le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov.”L’ordre du jour portera principalement sur le règlement de la crise ukrainienne”, a ajouté M. Ouchakov, évoquant aussi “la coopération bilatérale”. La réunion doit débuter vendredi vers 19H30 GMT, a précisé le Kremlin.Les présidents russe et américain donneront ensuite une conférence de presse commune, la première depuis leur apparition commune devant les caméras en 2018 à Helsinki, restée dans les mémoires pour la bonne entente alors manifestée par les deux dirigeants.- Pression militaire -Sur le terrain, la pression s’accentue sur les troupes de Kiev, moins nombreuses.Elles sont confrontées à une avancée rapide de l’armée russe sur le front dans la région orientale de Donetsk, où l’armée russe a revendiqué jeudi la prise de deux nouveaux villages.L’Ukraine a tiré des dizaines de drones dans la nuit de mercredi à jeudi, incendiant une raffinerie et faisant trois blessés près de la ville russe Volgograd (sud), selon des responsables locaux.Les positions officielles des deux belligérants sont toujours irréconciliables. La Russie réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Pour Kiev, ces exigences sont inacceptables.Lors des trois sessions de pourparlers depuis le printemps, dont la dernière s’est tenue à Istanbul en juillet, Russes et Ukrainiens avaient seulement réussi à s’entendre sur l’échange de prisonniers de guerre.Dans ce cadre, Kiev et Moscou ont annoncé jeudi avoir échangé 84 prisonniers de chaque camp.