Ligue des champions: l’Inter Milan sur la mauvaise pente

L’Inter Milan, en fin de cycle, est tombée de haut contre le Paris SG en finale de la Ligue des champions (5-0) samedi et sa chute n’est peut-être pas terminée si son entraîneur Simone Inzaghi devait décider de faire ses valises.. Une déroute historiqueAlors qu’ils espéraient offrir à leur club une quatrième Ligue des champions et mettre fin à quinze ans de disette pour le football italien en C1, Lautaro Martinez et ses coéquipiers sont passés complètement à côté de leur finale. Ils sont même entrés dans l’histoire de la compétition-reine de la pire des manières, en concédant la plus lourde défaite jamais enregistrée par un finaliste.Symbole de cette faillite, le duo Lautaro Martinez-Marcus Thuram, surnommé “ThuLa” et présenté comme l’un des meilleurs binômes offensifs d’Europe: ils ont été limités à deux tirs (dont un seul cadré par Thuram), mais ont perdu 23 ballons sur 72 touchés ! Avant la Coupe du monde des clubs aux Etats-Unis (14 juin-13 juillet), l’Inter a beaucoup joué (59), mais n’a rien encore gagné et a collectionné les désillusions avec ses défaites en finales de la C1 et de la Supercoupe d’Italie, sa 2e place à un point de Naples en Serie A.. Une équipe en fin de cycleAvec deux finales sur les trois dernières éditions de la Ligue des champions, l’Inter fait partie des cadors de la scène européenne. Mais ce bilan est en trompe-l’oeil: deux ans après sa courte défaite de 2023 contre Manchester City (1-0), l’Inter semble être arrivée en bout de piste.”Après sa finale perdue de 2023, l’Inter était une équipe qui pouvait encore progresser. Là, c’est une équipe en bout de cycle”, a résumé l’ancien international italien, devenu consultant, Alessandro Costacurta.Contre le PSG, l’Inter a fait son âge: le onze de départ aligné par Inzaghi avait une moyenne d’âge de 30 ans et 242 jours, soit la troisième plus élevée de l’histoire dans une finale de Ligue des champions avec notamment Francesco Acerbi (37 ans), Yann Sommer (36 ans) et Henrikh Mkhitaryan (36 ans) pris de vitesse par la jeunesse du PSG. Pour pouvoir défier le PSG, les Nerazzurri ont dû tour à tour éliminer le Bayern Munich et le FC Barcelone et cette débauche d’efforts, notamment lors d’une demi-finale retour renversante contre le Barça (4-3 a.p.), leur a coûté cher.”On ne se cherche pas d’excuses, le PSG mérite sa victoire, mais on a manqué de fraîcheur, d’impact”, a constaté l’international italien Nicolo Barella.La rajeunissement a déjà commencé avec les arrivées finalisées de Petar Sucic (21 ans) et Luis Henrique (23 ans).. L’énigme InzaghiL’avenir à court terme de l’Inter pourrait se jouer d’ici mardi ou mercredi. Simone Inzaghi doit en effet rencontrer ses dirigeants comme il le fait chaque fin de saison depuis qu’il a pris les commandes du club en 2021.Mais selon la presse italienne, le technicien italien, dont le contrat expire dans un an, pourrait leur annoncer qu’il a décidé de répondre favorablement à l’offre mirobolante (50 M EUR sur deux ans) du club saoudien d’Al-Hilal.Très déçu par la déroute de son équipe contre le PSG, Inzaghi, vainqueur avec l’Inter de six trophées dont un scudetto (2024) et deux éditions de la Coupe d’Italie (2022, 2023), semble lui aussi être arrivé en bout de course.Si Inzaghi devait partir, l’Inter pourrait relancer un entraîneur qui reste sur un retentissant échec à la tête de la sélection saoudienne, Roberto Mancini. L’ancien international italien qui a dirigé Manchester City (2009-13) et la Nazionale (2018-23), connait bien l’Inter qu’il a déjà entraînée à deux reprises, entre 2004 et 2008, et entre 2014 et 2016, expériences conclues avec trois titres de championne d’Italie.

Suppression des ZFE: la ministre de la Transition écologique dénonce “cynisme” et “démagogie”

La ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a dénoncé dimanche “le cynisme” et “la démagogie” des députés qui ont voté la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), alors que la pollution de l’air est “un sujet de santé publique majeur”.La fin de ce dispositif, destiné à restreindre la circulation des véhicules les plus polluants, a été adoptée jeudi grâce aux voix du Rassemblement national (RN, extrême droite), de son allié le mouvement UDR d’Eric Ciotti, de la droite LR mais aussi des députés LFI et de quelques macronistes, malgré l’opposition du gouvernement.”Ce que je déplore aujourd’hui, c’est la manière dont effectivement le paysage politique minore ce niveau de risque”, a-t-elle déclaré lors de l’émission Question politiques (France inter/Le Monde/FranceTV).”Parce qu’au fond, ils sont portés par une forme de lâcheté et de déni et que leur position est plutôt de fermer les yeux”, a-t-elle estimé à l’issue d’une semaine marquée par des reculs écologiques.”J’ai honte de ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale (…) parce qu’à aucun moment, le sujet qui est au cÅ“ur de ce dispositif, qui est la question de la qualité de l’air, qui est la question de protéger les Français contre des décès précoces” n’a été au centre du débat, a dit la ministre.Mme Pannier-Runacher a dénoncé une “alliance de circonstance” entre le RN, LR et LFI: “on est dans une situation où là encore, le cynisme le dispute au déni et je dirais à la lâcheté”, a-t-elle tancé, affirmant que LFI votait contre les ZFE “parce qu’ils ont beaucoup de députés dans des zones à faible émission”.La ministre dénonce une forme de “démagogie” qui consiste à raconter à des personnes aux revenus modestes “que parce qu’ils avaient une vieille voiture, ils ne pourraient plus aller dans aucune grande agglomération, (…) c’est absolument faux”.Elle a énuméré différentes situations permettant à des voitures pourtant polluantes de rouler dans les ZFE: circulation ponctuelle, rendez-vous chez le médecin, weekend, circulation avant 8h ou après 20h…Défendant le bilan du gouvernement et un budget de l’écologie “qui a doublé entre 2017 et 2025”, elle a indiqué se battre dans un contexte économique contraint “pour que les dépenses écologiques aillent directement aux projets qui ont le plus d’impact” et que cesse le financement “des niches brunes, c’est-à-dire des dépenses anti-écologiques”.Elle a notamment critiqué le fait qu'”on taxe deux fois plus l’électricité – fabriquée en France avec des emplois français (…) et décarbonée à 95% – que le gaz qui est importé des Etats-Unis ou de Russie”.

Suppression des ZFE: la ministre de la Transition écologique dénonce “cynisme” et “démagogie”

La ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a dénoncé dimanche “le cynisme” et “la démagogie” des députés qui ont voté la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), alors que la pollution de l’air est “un sujet de santé publique majeur”.La fin de ce dispositif, destiné à restreindre la circulation des véhicules les plus polluants, a été adoptée jeudi grâce aux voix du Rassemblement national (RN, extrême droite), de son allié le mouvement UDR d’Eric Ciotti, de la droite LR mais aussi des députés LFI et de quelques macronistes, malgré l’opposition du gouvernement.”Ce que je déplore aujourd’hui, c’est la manière dont effectivement le paysage politique minore ce niveau de risque”, a-t-elle déclaré lors de l’émission Question politiques (France inter/Le Monde/FranceTV).”Parce qu’au fond, ils sont portés par une forme de lâcheté et de déni et que leur position est plutôt de fermer les yeux”, a-t-elle estimé à l’issue d’une semaine marquée par des reculs écologiques.”J’ai honte de ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale (…) parce qu’à aucun moment, le sujet qui est au cÅ“ur de ce dispositif, qui est la question de la qualité de l’air, qui est la question de protéger les Français contre des décès précoces” n’a été au centre du débat, a dit la ministre.Mme Pannier-Runacher a dénoncé une “alliance de circonstance” entre le RN, LR et LFI: “on est dans une situation où là encore, le cynisme le dispute au déni et je dirais à la lâcheté”, a-t-elle tancé, affirmant que LFI votait contre les ZFE “parce qu’ils ont beaucoup de députés dans des zones à faible émission”.La ministre dénonce une forme de “démagogie” qui consiste à raconter à des personnes aux revenus modestes “que parce qu’ils avaient une vieille voiture, ils ne pourraient plus aller dans aucune grande agglomération, (…) c’est absolument faux”.Elle a énuméré différentes situations permettant à des voitures pourtant polluantes de rouler dans les ZFE: circulation ponctuelle, rendez-vous chez le médecin, weekend, circulation avant 8h ou après 20h…Défendant le bilan du gouvernement et un budget de l’écologie “qui a doublé entre 2017 et 2025”, elle a indiqué se battre dans un contexte économique contraint “pour que les dépenses écologiques aillent directement aux projets qui ont le plus d’impact” et que cesse le financement “des niches brunes, c’est-à-dire des dépenses anti-écologiques”.Elle a notamment critiqué le fait qu'”on taxe deux fois plus l’électricité – fabriquée en France avec des emplois français (…) et décarbonée à 95% – que le gaz qui est importé des Etats-Unis ou de Russie”.

Suppression des ZFE: la ministre de la Transition écologique dénonce “cynisme” et “démagogie”

La ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher a dénoncé dimanche “le cynisme” et “la démagogie” des députés qui ont voté la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), alors que la pollution de l’air est “un sujet de santé publique majeur”.La fin de ce dispositif, destiné à restreindre la circulation des véhicules les plus polluants, a été adoptée jeudi grâce aux voix du Rassemblement national (RN, extrême droite), de son allié le mouvement UDR d’Eric Ciotti, de la droite LR mais aussi des députés LFI et de quelques macronistes, malgré l’opposition du gouvernement.”Ce que je déplore aujourd’hui, c’est la manière dont effectivement le paysage politique minore ce niveau de risque”, a-t-elle déclaré lors de l’émission Question politiques (France inter/Le Monde/FranceTV).”Parce qu’au fond, ils sont portés par une forme de lâcheté et de déni et que leur position est plutôt de fermer les yeux”, a-t-elle estimé à l’issue d’une semaine marquée par des reculs écologiques.”J’ai honte de ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale (…) parce qu’à aucun moment, le sujet qui est au cÅ“ur de ce dispositif, qui est la question de la qualité de l’air, qui est la question de protéger les Français contre des décès précoces” n’a été au centre du débat, a dit la ministre.Mme Pannier-Runacher a dénoncé une “alliance de circonstance” entre le RN, LR et LFI: “on est dans une situation où là encore, le cynisme le dispute au déni et je dirais à la lâcheté”, a-t-elle tancé, affirmant que LFI votait contre les ZFE “parce qu’ils ont beaucoup de députés dans des zones à faible émission”.La ministre dénonce une forme de “démagogie” qui consiste à raconter à des personnes aux revenus modestes “que parce qu’ils avaient une vieille voiture, ils ne pourraient plus aller dans aucune grande agglomération, (…) c’est absolument faux”.Elle a énuméré différentes situations permettant à des voitures pourtant polluantes de rouler dans les ZFE: circulation ponctuelle, rendez-vous chez le médecin, weekend, circulation avant 8h ou après 20h…Défendant le bilan du gouvernement et un budget de l’écologie “qui a doublé entre 2017 et 2025”, elle a indiqué se battre dans un contexte économique contraint “pour que les dépenses écologiques aillent directement aux projets qui ont le plus d’impact” et que cesse le financement “des niches brunes, c’est-à-dire des dépenses anti-écologiques”.Elle a notamment critiqué le fait qu'”on taxe deux fois plus l’électricité – fabriquée en France avec des emplois français (…) et décarbonée à 95% – que le gaz qui est importé des Etats-Unis ou de Russie”.

Indian airline IndiGo orders 30 Airbus A350 widebody planes

Indian airline IndiGo said on Sunday it had signed an order for 30 more Airbus A350-900s, bringing its shopping list for the widebody aircraft from the European aircraft manufacturer to 60.”We are placing a firm order for 30 Airbus A350-900s,” said Pieter Elbers, the CEO of IndiGo, a company founded in 2006 and already behind the largest contract by volume in the history of civil aviation — 500 Airbus single-aisle aircraft by 2023.The Indian low-cost carrier, the country’s biggest by market share, is positioning itself as a significant player in the long-haul market.”This strategic move will enable IndiGo to spread its wings further and expand its long-haul international network”, the company said in a statement.”This is yet another step in defining the airline’s long-term plans of international expansion”.The A350 planes, with ranges of up to 15,000 kilometres (9,300 miles), will allow it to further expand its network.Overall, IndiGo has placed orders for around 1,000 aircraft from the A320 family, Airbus’s most successful model and rival of the Boeing 737 MAX, which has endured multiple setbacks after a series of safety scares.Willie Walsh, director general of the International Air Transport Association (IATA), which began its annual industry conference in New Delhi on Sunday, said “the development of India’s air connectivity in recent years has been nothing short of phenomenal”.Indian domestic air growth is “running at over 10 percent” per year, Walsh said, ahead of the conference.The growth of its economy has made India and its 1.4 billion people the world’s fourth-largest air market — domestic and international — with IATA projecting it will become the third biggest within the decade.Last year, India’s domestic air passenger traffic reached a “historic milestone, surpassing 500,000 passengers in a single day”, according to India’s Ministry of Civil Aviation.The ministry boasts of a sector “experiencing a meteoric rise”.Railways remain hugely popular but travelling by trains crisscrossing a country about three-quarters the area of the European Union is often slow and chaotic.Prime Minister Narendra Modi, who is slated to address IATA delegates on Monday, has made the development of the air sector a priority since coming to power in 2014.India has doubled its number of airports in the past decade to 157, with plans to have as many as 400 by 2047.

Indian airline IndiGo orders 30 Airbus A350 widebody planes

Indian airline IndiGo said on Sunday it had signed an order for 30 more Airbus A350-900s, bringing its shopping list for the widebody aircraft from the European aircraft manufacturer to 60.”We are placing a firm order for 30 Airbus A350-900s,” said Pieter Elbers, the CEO of IndiGo, a company founded in 2006 and already behind the largest contract by volume in the history of civil aviation — 500 Airbus single-aisle aircraft by 2023.The Indian low-cost carrier, the country’s biggest by market share, is positioning itself as a significant player in the long-haul market.”This strategic move will enable IndiGo to spread its wings further and expand its long-haul international network”, the company said in a statement.”This is yet another step in defining the airline’s long-term plans of international expansion”.The A350 planes, with ranges of up to 15,000 kilometres (9,300 miles), will allow it to further expand its network.Overall, IndiGo has placed orders for around 1,000 aircraft from the A320 family, Airbus’s most successful model and rival of the Boeing 737 MAX, which has endured multiple setbacks after a series of safety scares.Willie Walsh, director general of the International Air Transport Association (IATA), which began its annual industry conference in New Delhi on Sunday, said “the development of India’s air connectivity in recent years has been nothing short of phenomenal”.Indian domestic air growth is “running at over 10 percent” per year, Walsh said, ahead of the conference.The growth of its economy has made India and its 1.4 billion people the world’s fourth-largest air market — domestic and international — with IATA projecting it will become the third biggest within the decade.Last year, India’s domestic air passenger traffic reached a “historic milestone, surpassing 500,000 passengers in a single day”, according to India’s Ministry of Civil Aviation.The ministry boasts of a sector “experiencing a meteoric rise”.Railways remain hugely popular but travelling by trains crisscrossing a country about three-quarters the area of the European Union is often slow and chaotic.Prime Minister Narendra Modi, who is slated to address IATA delegates on Monday, has made the development of the air sector a priority since coming to power in 2014.India has doubled its number of airports in the past decade to 157, with plans to have as many as 400 by 2047.

Dax: un mineur tué à l’arme blanche à l’occasion des célébrations du PSG

Un adolescent de 17 ans a été tué à l’arme blanche à Dax (Landes) “à l’occasion des célébrations” du sacre européen du Paris SG samedi soir, mais “sans lien avec les résultats sportifs”, a annoncé le parquet, précisant que l’agresseur est “activement” recherché.Les faits se sont produits vers 23h00 à proximité de la place de la Fontaine-Chaude, dans le centre-ville de Dax, où se trouvaient plusieurs centaines de personnes venues suivre le match diffusé par plusieurs bars, sans fan-zone officielle.Le mineur a été “grièvement blessé par plusieurs coups portés à l’arme blanche” dans “une rue adjacente de la place”, a écrit le parquet dans un communiqué. Transporté à l’hôpital, il a succombé à ses blessures vers 01h15 dimanche.”L’auteur est en fuite”, a déclaré à l’AFP la magistrate de permanence, confirmant des informations du quotidien Sud Ouest.”Ça s’est passé à l’occasion des célébrations du PSG mais le lien, comme le fait de savoir s’il s’agissait de supporters, n’est pas confirmable en l’état”, a-t-elle souligné.Les premiers éléments recueillis s’orientent “vers une action individuelle et sans lien avec les résultats sportifs”, a confirmé le parquet à la mi-journée.Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte et confiée à la police judiciaire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). L’auteur des faits est “activement” recherché, selon le parquet.Les investigations se poursuivent avec l’audition de témoins, le recours à la téléphonie et l’exploitation de la vidéosurveillance.Aucune autre victime n’est à déplorer dans cette affaire survenue peu après le coup de sifflet final de la finale de Ligue des champions remportée par le Paris SG contre l’Inter Milan à Munich (5-0), qui a entraîné de nombreuses démonstrations de joie à Paris et ailleurs en France. Outre cet adolescent tué à Dax, un homme de 20 ans circulant à scooter et percuté par une voiture à Paris est également décédé dans la nuit de samedi à dimanche en marge de ces célébrations.Au total, 559 personnes ont été interpellées, dont 491 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur.