Trump ends trade talks with Canada over tax hitting US tech firms

President Donald Trump said Friday he is calling off trade negotiations with Canada in retaliation for taxes impacting US tech firms, adding that Ottawa will learn of their new tariff rate within a week.Trump was referring to Canada’s digital services tax, which was enacted last year and forecast to bring in Can$5.9 billion (US$4.2 billion) over five years.While the measure is not new, US service providers will be “on the hook for a multi-billion dollar payment in Canada” come June 30, noted the Computer & Communications Industry Association recently.The three percent tax applies to large or multinational companies such as Alphabet, Amazon and Meta that provide digital services to Canadians, and Washington has previously requested dispute settlement talks over the matter.”Based on this egregious Tax, we are hereby terminating ALL discussions on Trade with Canada, effective immediately,” Trump said in a post on his Truth Social platform Friday.Canada may have been spared some of Trump’s sweeping duties, but it faces a separate tariff regime.Trump has also imposed steep levies on imports of steel, aluminum and autos.Last week, Canadian Prime Minister Mark Carney said Ottawa will adjust its 25 percent counter tariffs on US steel and aluminum — in response to a doubling of US levies on the metals to 50 percent — if a bilateral trade deal was not reached in 30 days.”We will continue to conduct these complex negotiations in the best interest of Canadians,” Carney said Friday, adding that he had not spoken to Trump on the day.US Treasury Secretary Scott Bessent told CNBC that Washington had hoped Carney’s government would halt the tax “as a sign of goodwill.”He now expects US Trade Representative Jamieson Greer to start a probe to determine the harm stemming from Canada’s digital tax.- China progress -Trump’s salvo targeting Canada came shortly after Washington and Beijing confirmed finalizing a framework to move forward on trade.A priority for Washington in talks with Beijing had been ensuring the supply of the rare earths essential for products including electric vehicles, hard drives and national defense equipment.China, which dominates global production of the elements, began requiring export licenses in early April, a move widely viewed as a response to Trump’s blistering tariffs.Both sides agreed after talks in Geneva in May to temporarily lower steep tit-for-tat duties on each other’s products.China also committed to easing some non-tariff countermeasures but US officials later accused Beijing of violating the pact and slow-walking export license approvals for rare earths.They eventually agreed on a framework to move forward with their Geneva consensus, following talks in London this month.A White House official told AFP on Thursday that the Trump administration and China had “agreed to an additional understanding for a framework to implement the Geneva agreement.”This clarification came after the US president told an event that Washington had inked a deal relating to trade with China, without providing details.Under the deal, China “will review and approve applications for the export control items that meet the requirements in accordance with the law,” China’s commerce ministry said.”The US side will correspondingly cancel a series of restrictive measures against China,” it added.- Upcoming deals? -Dozens of economies, although not China, face a July 9 deadline for steeper duties to kick in — rising from a current 10 percent.It remains to be seen if countries will successfully reach agreements to avoid them before the deadline.On talks with the European Union, for example, Trump told an event at the White House on Friday: “We have the cards. We have the cards far more than they do.”But Bessent said Washington could wrap up its agenda for trade deals by September, indicating more agreements could be concluded, although talks were likely to extend past July.Bessent told Fox Business there are 18 key partners Washington is focused on pacts with.”If we can ink 10 or 12 of the important 18, there are another important 20 relationships, then I think we could have trade wrapped up by Labor Day,” Bessent said, referring to the US holiday on September 1.Wall Street’s major indexes finished at fresh records as markets cheered progress in US-China trade while shrugging off concerns about Canada. 

Trump assure qu’un cessez-le-feu à Gaza est “proche”

Donald Trump a assuré vendredi qu’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza était “proche” et pourrait intervenir dès “la semaine prochaine” pour mettre fin à la guerre dévastatrice qui fait rage depuis plus de vingt mois dans le territoire palestinien.”Nous pensons que nous aurons un cessez-le-feu dès la semaine prochaine”, a déclaré vendredi le président américain, qui avait déjà estimé mercredi que de “grands progrès” avaient été réalisés.Il a par ailleurs abordé la question de l’aide humanitaire, sujet sur lequel le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a dénoncé vendredi un système “militarisé” de distribution qui “tue des gens”.”Nous fournissons, comme vous le savez, beaucoup d’argent et de nourriture à cette zone”, a fait valoir Donald Trump, évoquant “ces foules de gens qui n’ont rien à manger”.Israël a imposé début mars au territoire palestinien un blocus humanitaire qui a entraîné de très graves pénuries de nourriture, médicaments et autres biens de première nécessité. Celui-ci n’a été que partiellement assoupli fin mai, date à laquelle la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par Israël et les Etats-Unis, a commencé ses distributions dans des centres.Washington a annoncé jeudi avoir débloqué 30 millions de dollars pour financer cette fondation, dont les opérations de distribution d’aide donnent lieu régulièrement à des scènes chaotiques et meurtrières, une situation dénoncée vendredi par La Défense civile dans le territoire palestinien a annoncé vendredi la mort de 80 personnes dans des frappes ou tirs de l’armée israélienne, dont 10 tuées une fois de plus en attendant de l’aide humanitaire.Jeudi, ce sont 65 Palestiniens qui avaient été tués par des tirs israéliens, selon les secours, dont sept venus chercher de l’assistance dans un centre de GHF.”Les gens sont tués simplement en essayant de nourrir leurs familles et eux-mêmes. Aller chercher de la nourriture ne doit jamais être une condamnation à mort”, a tonné devant la presse à New York le secrétaire général de l’ONU. La GHF a “fourni directement plus de 46 millions de repas aux civils palestiniens” depuis le début de ses distributions fin mai, a réagi le ministère israélien des Affaires étrangères, “pourtant, l’ONU fait tout ce qu’elle peut pour s’opposer à cet effort”, et ce ce faisant elle “s’aligne sur le Hamas”.- “Simulacre de distribution” -L’ONG Médecins sans frontières (MSF), présente à Gaza, avait réclamé plus tôt le démantèlement de la GHF, l’accusant d’être “un simulacre de distribution alimentaire qui produit des massacres à la chaîne”.Dans un communiqué, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rejeté des “mensonges malveillants” du journal de gauche Haaretz, selon lequel des soldats auraient reçu ordre de tirer sur des civils désarmés attendant de recevoir cette aide humanitaire.M. Netanyahu a rejeté tout aussi “catégoriquement les accusations odieuses de meurtre rituel” publiées dans le même journal.Le “meurtre rituel” est une calomnie antisémite remontant au moins au Moyen-Age selon laquelle les juifs assassineraient des enfants non juifs pour les besoins de leur culte.Sur les 80 personnes tuées vendredi, dix “attendaient de l’aide humanitaire” dans trois endroits différents du territoire palestinien, d’après un porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.Interrogée par l’AFP, l’armée israélienne a dit qu’elle examinait les informations de la Défense civile mais a nié catégoriquement que ses soldats aient ouvert le feu sur des personnes attendant de l’aide dans le centre de la bande de Gaza, où M. Bassal a fait état d’un mort.Six autres ont perdu la vie dans le sud en tentant de gagner un site de distribution de colis-repas de la GHF, et trois en attendant de l’aide au sud-ouest de Gaza-ville (nord), toujours selon la Défense civile.- 550 morts depuis fin mai -Selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, près de 550 personnes ont été tuées et plus de 4.000 blessées dans des queues immenses se formant en vue d’atteindre divers centres de distribution d’aide humanitaire depuis que la GHF y a commencé ses opérations fin mai.Cette dernière nie que des tirs meurtriers surviennent à proximité immédiate de ses points de distribution.Sur le terrain, les combats continuent de faire rage entre l’armée israélienne et les groupes armés palestiniens. D’eux d’entre eux, les Brigades al-Qassam, branche armée du mouvement islamiste Hamas, et les Brigades al-Quds, branche armée du Jihad islamique, mouvement allié au Hamas, ont revendiqué des tirs contre des soldats israéliens.Israël poursuit ses opérations à Gaza dans le cadre d’une offensive visant selon lui à anéantir le Hamas, en représailles à l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023.Le 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.L’opération de représailles israéliennes a entraîné la mort de 56.331 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Trump assure qu’un cessez-le-feu à Gaza est “proche”

Donald Trump a assuré vendredi qu’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza était “proche” et pourrait intervenir dès “la semaine prochaine” pour mettre fin à la guerre dévastatrice qui fait rage depuis plus de vingt mois dans le territoire palestinien.”Nous pensons que nous aurons un cessez-le-feu dès la semaine prochaine”, a déclaré vendredi le président américain, qui avait déjà estimé mercredi que de “grands progrès” avaient été réalisés.Il a par ailleurs abordé la question de l’aide humanitaire, sujet sur lequel le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a dénoncé vendredi un système “militarisé” de distribution qui “tue des gens”.”Nous fournissons, comme vous le savez, beaucoup d’argent et de nourriture à cette zone”, a fait valoir Donald Trump, évoquant “ces foules de gens qui n’ont rien à manger”.Israël a imposé début mars au territoire palestinien un blocus humanitaire qui a entraîné de très graves pénuries de nourriture, médicaments et autres biens de première nécessité. Celui-ci n’a été que partiellement assoupli fin mai, date à laquelle la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par Israël et les Etats-Unis, a commencé ses distributions dans des centres.Washington a annoncé jeudi avoir débloqué 30 millions de dollars pour financer cette fondation, dont les opérations de distribution d’aide donnent lieu régulièrement à des scènes chaotiques et meurtrières, une situation dénoncée vendredi par La Défense civile dans le territoire palestinien a annoncé vendredi la mort de 80 personnes dans des frappes ou tirs de l’armée israélienne, dont 10 tuées une fois de plus en attendant de l’aide humanitaire.Jeudi, ce sont 65 Palestiniens qui avaient été tués par des tirs israéliens, selon les secours, dont sept venus chercher de l’assistance dans un centre de GHF.”Les gens sont tués simplement en essayant de nourrir leurs familles et eux-mêmes. Aller chercher de la nourriture ne doit jamais être une condamnation à mort”, a tonné devant la presse à New York le secrétaire général de l’ONU. La GHF a “fourni directement plus de 46 millions de repas aux civils palestiniens” depuis le début de ses distributions fin mai, a réagi le ministère israélien des Affaires étrangères, “pourtant, l’ONU fait tout ce qu’elle peut pour s’opposer à cet effort”, et ce ce faisant elle “s’aligne sur le Hamas”.- “Simulacre de distribution” -L’ONG Médecins sans frontières (MSF), présente à Gaza, avait réclamé plus tôt le démantèlement de la GHF, l’accusant d’être “un simulacre de distribution alimentaire qui produit des massacres à la chaîne”.Dans un communiqué, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rejeté des “mensonges malveillants” du journal de gauche Haaretz, selon lequel des soldats auraient reçu ordre de tirer sur des civils désarmés attendant de recevoir cette aide humanitaire.M. Netanyahu a rejeté tout aussi “catégoriquement les accusations odieuses de meurtre rituel” publiées dans le même journal.Le “meurtre rituel” est une calomnie antisémite remontant au moins au Moyen-Age selon laquelle les juifs assassineraient des enfants non juifs pour les besoins de leur culte.Sur les 80 personnes tuées vendredi, dix “attendaient de l’aide humanitaire” dans trois endroits différents du territoire palestinien, d’après un porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.Interrogée par l’AFP, l’armée israélienne a dit qu’elle examinait les informations de la Défense civile mais a nié catégoriquement que ses soldats aient ouvert le feu sur des personnes attendant de l’aide dans le centre de la bande de Gaza, où M. Bassal a fait état d’un mort.Six autres ont perdu la vie dans le sud en tentant de gagner un site de distribution de colis-repas de la GHF, et trois en attendant de l’aide au sud-ouest de Gaza-ville (nord), toujours selon la Défense civile.- 550 morts depuis fin mai -Selon le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, près de 550 personnes ont été tuées et plus de 4.000 blessées dans des queues immenses se formant en vue d’atteindre divers centres de distribution d’aide humanitaire depuis que la GHF y a commencé ses opérations fin mai.Cette dernière nie que des tirs meurtriers surviennent à proximité immédiate de ses points de distribution.Sur le terrain, les combats continuent de faire rage entre l’armée israélienne et les groupes armés palestiniens. D’eux d’entre eux, les Brigades al-Qassam, branche armée du mouvement islamiste Hamas, et les Brigades al-Quds, branche armée du Jihad islamique, mouvement allié au Hamas, ont revendiqué des tirs contre des soldats israéliens.Israël poursuit ses opérations à Gaza dans le cadre d’une offensive visant selon lui à anéantir le Hamas, en représailles à l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien le 7 octobre 2023.Le 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.L’opération de représailles israéliennes a entraîné la mort de 56.331 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

US stocks back at records on US-China trade progress

Wall Street stocks finished at fresh records Friday as US-China trade progress restored the market to its heights prior to a spring swoon brought by President Donald Trump’s tariffs.Both the S&P 500 and Nasdaq finished at all-time highs following a roller-coaster session that included a stint in negative territory after Trump announced he was breaking off trade talks with Canada, rupturing a series of largely positive headlines on trade.Earlier, European stock markets also rose, with the Paris CAC 40 leading the way, boosted by a rise in luxury stocks.The records reflect improved sentiment, with the Iran-Israel ceasefire adding to positive movement on trade compared with the spring.”There is hope in the market, there may be some over-optimism around some things,” said Jason Schenker of Prestige Economics. “But there was a lot of optimism.”Friday’s session was not without volatility. US stocks opened higher and were solidly positive through early afternoon when Trump blasted Canada’s digital services tax in a social media post that called the country “very difficult” to trade with.But after slipping into the red, both the S&P 500 and Nasdaq returned to positive territory, finishing with gains for both indices and ending at records.Tom Cahill, chief investment officer at Ventura Wealth Management said other trade news developments in recent days had been positive, including Washington and Beijing’s confirmation on finalizing a framework to move forward on trade.”The news has been incrementally more positive since April on the trade front,” Cahill said.The S&P 500 last hit a record in February, but began to come under pressure thereafter as Trump began to sharpen his rhetoric on trade. This culminated with Trump’s April 2 “Liberation Day” vow to implement steep new levies on trading partners.Trump has since suspended the most onerous elements of his trade overhaul, while still implementing the biggest US tariffs imposed in decades.That has raised concerns about inflation. The personal consumption expenditures price index climbed 2.3 percent last month from a year ago, according to data released Friday. This was in line with analyst expectations and a slight acceleration from April’s 2.2 percent increase.But Cahill said the tariffs have thus far not resulted in significant inflationary pressures, raising hopes about Federal Reserve easing.”Now the market is starting to anticipate a Fed rate cut in September,” said Cahill, who also pointed to a boom in artificial intelligence investment as a driver of equity market momentum.”Overall the backdrop is supportive of equity prices and I think they will drift higher,” Cahill said.- Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: UP 1.0 percent at 43,819.27 (close)New York – S&P 500: UP 0.5 percent at 6,173.07 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.5 percent at 20,273.46 (close)London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 8,798.91 (close)Paris – CAC 40: UP 1.8 percent at 7,691.55 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.6 percent at 24,033.22 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.4 percent at 40,150.79 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.2 percent at 24,284.15 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.7 percent at 3,424.23 (close)Euro/dollar: UP at $1.1718 from $1.1701 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3715 from $1.3728Dollar/yen: UP at 144.68 yen from 144.42 yenEuro/pound: UP at 85.43 pence from 85.22 penceWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $65.52 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $67.77 per barrelburs-jmb/acb

US inflation edges up as Trump renews criticism of Fed chief

The US Federal Reserve’s preferred inflation measure logged a mild uptick Friday while spending weakened, triggering another tirade by President Donald Trump against the central bank chair for not cutting interest rates sooner.”We have a guy that’s just a stubborn mule and a stupid person,” Trump told an event at the White House, referring to Fed Chair Jerome Powell. “He’s making a mistake.”With Powell’s term as Fed chief coming to an end next year, Trump hinted at his choice of successor: “I’m going to put somebody that wants to cut rates.”The president’s remarks came after government data showed the personal consumption expenditures (PCE) price index climbing 2.3 percent last month from a year ago in May.This was in line with analyst expectations and a slight acceleration from April’s 2.2 percent increase, but still a relatively mild uptick.Excluding the volatile food and energy sectors, the PCE price index was up 2.7 percent, rising from April’s 2.6 percent uptick, the Commerce Department’s report showed.But consumer spending declined, after Trump’s fresh tariffs in April dragged on consumer sentiment. PCE dropped by 0.1 percent from the preceding month, reversing an earlier rise.While Trump has imposed sweeping tariffs on most US trading partners since returning to the White House in January — alongside higher rates on imports of steel, aluminum and autos — these have had a muted effect so far on inflation.This is in part because he held off or postponed some of his harshest salvos, while businesses are still running through inventory they stockpiled in anticipation of the levies.But central bank officials have not rushed to slash interest rates, saying they can afford to wait and learn more about the impact of Trump’s recent duties. They expect to learn more about the tariffs’ effects over the summer.- ‘Clear weakening’ -“The experience of the limited range of tariffs introduced in 2018 suggests that pass-through to consumer prices is intense three-to-six months after their implementation,” warned economists Samuel Tombs and Oliver Allen of Pantheon Macroeconomics in a note.They flagged weakness in consumer spending, in part due to a pullback in autos after buyers rushed to get ahead of levies.And spending on services was tepid even after excluding volatile components, they said.”There has also been a clear weakening in discretionary services spending, notably in travel and hospitality,” said Michael Pearce, deputy chief US economist at Oxford Economics, in a note.This reflects “the chilling effect of the plunge in consumer sentiment,” he added.Between April and May, the PCE price index was up 0.1 percent, the Commerce Department report showed.As a July deadline approaches for higher tariff rates to kick in on dozens of economies, all eyes are also on whether countries can reach lasting trade deals with Washington to ease the effects of tariffs.For now, despite the slowing in economic growth, Pearce said risks that inflation could increase will keep the Fed on hold with interest rates “until much later in the year.”

Foot: attendu à Lille, Olivier Giroud quitte le Los Angeles FC

Le Los Angeles FC a annoncé vendredi le départ de son attaquant français Olivier Giroud, ouvrant la voie à sa probable arrivée à Lille qui, selon plusieurs médias, est en contacts avancés avec le meilleur buteur de l’histoire des Bleus.Le Losc est-il en passe de réussir un des gros coups du mercato estival en Ligue 1 ? Une première étape a en tout cas été franchie. “Le LAFC et l’attaquant Olivier Giroud ont décidé d’un commun accord de se séparer (…). Le dernier match de Giroud en tant que membre du LAFC aura lieu le dimanche 29 juin” contre Vancouver, a écrit le club californien sur son site internet.Giroud (38 ans) avait rejoint la cité des anges en 2024 après avoir passé trois saisons à l’AC Milan. L’homme aux 57 buts en équipe de France (137 sélections) avait alors effectué ses adieux en sélection à l’issue de l’Euro organisé en Allemagne et semblait devoir terminer sa carrière aux États-Unis, aux côtés de l’ex-gardien et capitaine de l’équipe de France Hugo Lloris. Mais le bilan du champion du monde 2018 n’a pas été très fameux sous les couleurs du club californien, avec lequel il n’a inscrit que trois buts en saison régulière de MLS (Major League Soccer), la ligue nord-américaine. Selon plusieurs médias, l’ancien joueur de Montpellier, d’Arsenal, de Chelsea et du Milan AC est depuis plusieurs jours en contacts avec Lille. Le club nordiste trouverait ainsi un remplaçant à Jonathan David, son buteur providentiel ces cinq dernières saisons, parti cet été au terme de son contrat.- Pogba et Giroud en Ligue 1 ? -Il apporterait également son expérience à un club qui en a souvent manqué dans les grands rendez-vous, passant à côté d’une première qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions qui lui tendait les bras au printemps, par exemple.Rien ne dit toutefois que Giroud, au crépuscule de sa carrière, serait, s’il venait à signer, le buteur attitré des Dogues, qui doivent encore recruter à ce poste. Mais même dans un rôle de remplaçant, sa présence pourrait être bénéfique à un groupe qui a manqué de leaders, à l’exception de son capitaine Benjamin André, et qui a pour objectif de retourner en Ligue des champions au terme de la saison prochaine.S’il signe au Losc, Giroud, également vainqueur de la Ligue des nations avec les Bleus en 2021, pourrait être le deuxième glorieux rescapé de l’épopée des Bleus à la Coupe du monde 2018 à revenir en France cet été puisque Paul Pogba devrait très bientôt s’engager avec l’AS Monaco.Mais il ne retrouverait pas son ancien coéquipier Samuel Umtiti, autre taulier des Bleus lors de leur campagne de Russie, qui a quitté Lille à l’issue de la saison écoulée, sans jamais s’y être imposé à cause de blessures à répétition.Parti de France en juillet 2012 après avoir gagné le titre, à la surprise générale, avec Montpellier, Giroud retrouverait la Ligue 1 treize ans plus tard et se rapprocherait aussi de Londres, où il a passé ses plus belles années en club, à Arsenal (2012-2018) puis Chelsea (2018-2021).Son recrutement dans la capitale des Flandres serait le deuxième de ce mercato estival, après celui de l’ailier international Espoirs norvégien Marius Broholm, venu compenser le départ attendu d’Edon Zhegrova.

Fearing deportation, Abrego Garcia lawyers ask US judge to delay release

Lawyers for a Salvadoran man who was wrongly deported and then returned to the US to face human smuggling charges took the unusual step on Friday of asking a judge not to release him from prison.”The irony of this request is not lost on anyone,” said the lawyers for Kilmar Armando Abrego Garcia, whose case has become a key test of President Donald Trump’s deportation policies.Abrego Garcia was summarily deported to a maximum security prison in El Salvador in March and brought back to the US this month to face human smuggling charges.A magistrate judge and a federal district judge have both said Abrego Garcia, who is being held in Tennessee, is eligible to be released on bail pending trial.Federal prosecutors have opposed Abrego Garcia’s release and warned that he may be deported once again if he is released from custody.The deportation threat led Abrego Garcia’s lawyers to ask Magistrate Judge Barbara Holmes to request that he remain in custody until a hearing in the case scheduled for July 16.”Because we cannot put any faith in any representation made on this issue by the (Justice Department), we respectfully request to delay the issuance of the release order until the July 16 hearing,” they said.”A short delay will prevent the government from removing Mr. Abrego and allow time for the government to provide reliable information concerning its intentions,” they added.Abrego Garcia is charged in Nashville, Tennessee, with smuggling undocumented migrants around the United States between 2016 and 2025.He has pleaded not guilty and Holmes said in a ruling earlier this week that prosecutors had not made a convincing argument that he should be detained pending trial.Abrego Garcia was living in Maryland until he became one of more than 200 people sent to the CECOT prison in El Salvador as part of Trump’s crackdown on migrants.Most of those who were summarily deported were alleged members of the Venezuelan gang Tren de Aragua, which the administration has declared a foreign terrorist organization.Justice Department lawyers later admitted that Abrego Garcia — who is married to a US citizen — was wrongly deported due to an “administrative error.”Abrego Garcia had been living in the United States under protected legal status since 2019, when a judge ruled he should not be deported because he could be harmed in his home country.

Bezos et Lauren Sanchez se sont dit oui dans une Venise divisée sur ce mariage

Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, et la journaliste Lauren Sanchez se sont mariés symboliquement vendredi soir lors d’une somptueuse cérémonie en présence de personnalités riches et célèbres sur une île de Venise, loin des regards et des manifestants.Jeff Bezos, 61 ans et Lauren Sanchez, 55 ans, on échangé leurs voeux lors d’une cérémonie en tenue de soirée vendredi soir sur l’île de San Giorgio Maggiore, face à la place Saint-Marc, selon les médias italiens.La cérémonie pour les mariés a débuté par un air chanté par Matteo Bocelli, fils du célèbre chanteur d’opéra Andrea Bocelli, selon les informations rapportées. Le chef étoilé Fabrizio Mellino a préparé le dîner de mariage, tandis que le gâteau était confectionné par le pâtissier français Cédric Grolet, selon le Corriere della Sera.Lauren Sanchez a posté sur Instagram sur le compte “laurensanchezbezos” une photo d’elle en robe blanche de mariée avec Jeff Bezos, même si les deux sont déjà mariés civilement aux Etats-unis.La cérémonie de mariage vendredi est le point culminant d’une semaine de festivités, entre yachts et invités VIP, qui s’achèvera samedi avec un grand bal où chantera Lady Gaga, dans une Venise divisée sur l’impact qu’auront ces noces sur l’image de la ville.La fille du président américain Ivanka Trump, Leonardo di Caprio, Kim Kardashian, Kendall et Kylie Jenner, la superstar du football américain Tom Brady, la présentatrice Oprah Winfrey ou Bill Gates faisaient partie des invités aperçus sur les canaux de la ville par des photographes de l’AFP.Interrogé sur ce qu’il préférait de la Cité des Doges, le milliardaire américain, tout sourire dans un canot aux côtés de sa future épouse, s’est pris d’enthousiasme: “Regardez autour de vous! Cette ville semble impossible, (…) et pourtant, elle est bien là”, peut-on l’entendre dire dans une vidéo publiée par La Repubblica.- près d’un milliard de retombées -Jeff Bezos, qui détient pour environ 215 milliards de dollars d’actions d’Amazon, fera un don de 3 millions d’euros à une association de protection de la lagune, à la Venice International University et à l’Unesco, selon le président de la région Luca Zaia (extrême droite).Les pouvoirs locaux n’ont cessé de soutenir le choix du milliardaire de se marier à Venise, balayant tout lien avec le surtourisme contre lequel des mesures ont été prises comme l’instauration d’un ticket d’entrée payant.Le ministère du Tourisme, dans une note vendredi, a chiffré les dépenses directes réalisées par Jeff Bezos et sa future épouse à 28,4 millions d’euros pour ces festivités qui passionnent les médias italiens.Il a surtout dit s’attendre à 895 millions d’euros générés pour la ville par la “visibilité médiatique” de l’événement, tout en prévenant que celle-ci “exige une vérification empirique.”Quelque 100.000 touristes dorment dans la ville durant la haute saison, auxquels s’ajoutent des dizaines de milliers de visiteurs à la journée, alors que le nombre de résidents permanents est en chute libre.Pour Samuel Silvestri, commerçant vénitien de 55 ans, “le surtourisme est principalement causé par ces gens qui ne viennent qu’une journée avec leur sac à dos et leur nourriture, et qui contribuent très peu à la ville”.”Pas par ceux qui transforment Venise en un petit Monte-Carlo”, le célèbre quartier de Monaco, poursuit-il. “Ce mariage aussi façonne l’image de la ville”.Un avis probablement partagé par Alain Vanleeuw, 70 ans, un entrepreneur de Bruxelles qui dit qu’il a “essayé de programmer (son voyage, ndlr) en fonction des dates qui avaient été prévues pour le mariage.”- Pas de renfort policier -Mais un collectif d’habitants baptisé “No Space for Bezos” (“Pas de place pour Bezos”) multiplie les manifestations symboliques pour s’opposer aux réjouissances, au slogan de “Venise n’est pas à vendre”, craignant que le mariage complique encore plus le déplacement des habitants.”Ce mariage cause des problèmes dans la ville, avec des fermetures de canaux et des contrôles de plus en plus stricts”, a dénoncé Alice Bazzoli, 24 ans, militante de “No Space for Bezos”.”Il n’y a eu aucune intention de verrouiller la ville”, a assuré le préfet de Venise Darco Pellos à l’AFP, affirmant par ailleurs que l’événement n’avait exigé aucun “renfort” policier par rapport à une saison estivale habituelle.Il y a 11 ans, le mariage de l’acteur George Clooney n’avait pas créé autant de remous. Mais l’acteur américain n’est pas l’un des hommes les plus riches de la planète et n’a pas fondé le plus grand site mondial d’e-commerce, régulièrement dans le viseur d’associations de défense de l’environnement.Greenpeace justement n’a de cesse de dénoncer l’impact écologique du mariage, auquel de nombreux invités se sont rendus en jet privé, alors que l’équilibre fragile de Venise “coule sous le poids de la crise climatique”.

Bezos et Lauren Sanchez se sont dit oui dans une Venise divisée sur ce mariage

Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, et la journaliste Lauren Sanchez se sont mariés symboliquement vendredi soir lors d’une somptueuse cérémonie en présence de personnalités riches et célèbres sur une île de Venise, loin des regards et des manifestants.Jeff Bezos, 61 ans et Lauren Sanchez, 55 ans, on échangé leurs voeux lors d’une cérémonie en tenue de soirée vendredi soir sur l’île de San Giorgio Maggiore, face à la place Saint-Marc, selon les médias italiens.La cérémonie pour les mariés a débuté par un air chanté par Matteo Bocelli, fils du célèbre chanteur d’opéra Andrea Bocelli, selon les informations rapportées. Le chef étoilé Fabrizio Mellino a préparé le dîner de mariage, tandis que le gâteau était confectionné par le pâtissier français Cédric Grolet, selon le Corriere della Sera.Lauren Sanchez a posté sur Instagram sur le compte “laurensanchezbezos” une photo d’elle en robe blanche de mariée avec Jeff Bezos, même si les deux sont déjà mariés civilement aux Etats-unis.La cérémonie de mariage vendredi est le point culminant d’une semaine de festivités, entre yachts et invités VIP, qui s’achèvera samedi avec un grand bal où chantera Lady Gaga, dans une Venise divisée sur l’impact qu’auront ces noces sur l’image de la ville.La fille du président américain Ivanka Trump, Leonardo di Caprio, Kim Kardashian, Kendall et Kylie Jenner, la superstar du football américain Tom Brady, la présentatrice Oprah Winfrey ou Bill Gates faisaient partie des invités aperçus sur les canaux de la ville par des photographes de l’AFP.Interrogé sur ce qu’il préférait de la Cité des Doges, le milliardaire américain, tout sourire dans un canot aux côtés de sa future épouse, s’est pris d’enthousiasme: “Regardez autour de vous! Cette ville semble impossible, (…) et pourtant, elle est bien là”, peut-on l’entendre dire dans une vidéo publiée par La Repubblica.- près d’un milliard de retombées -Jeff Bezos, qui détient pour environ 215 milliards de dollars d’actions d’Amazon, fera un don de 3 millions d’euros à une association de protection de la lagune, à la Venice International University et à l’Unesco, selon le président de la région Luca Zaia (extrême droite).Les pouvoirs locaux n’ont cessé de soutenir le choix du milliardaire de se marier à Venise, balayant tout lien avec le surtourisme contre lequel des mesures ont été prises comme l’instauration d’un ticket d’entrée payant.Le ministère du Tourisme, dans une note vendredi, a chiffré les dépenses directes réalisées par Jeff Bezos et sa future épouse à 28,4 millions d’euros pour ces festivités qui passionnent les médias italiens.Il a surtout dit s’attendre à 895 millions d’euros générés pour la ville par la “visibilité médiatique” de l’événement, tout en prévenant que celle-ci “exige une vérification empirique.”Quelque 100.000 touristes dorment dans la ville durant la haute saison, auxquels s’ajoutent des dizaines de milliers de visiteurs à la journée, alors que le nombre de résidents permanents est en chute libre.Pour Samuel Silvestri, commerçant vénitien de 55 ans, “le surtourisme est principalement causé par ces gens qui ne viennent qu’une journée avec leur sac à dos et leur nourriture, et qui contribuent très peu à la ville”.”Pas par ceux qui transforment Venise en un petit Monte-Carlo”, le célèbre quartier de Monaco, poursuit-il. “Ce mariage aussi façonne l’image de la ville”.Un avis probablement partagé par Alain Vanleeuw, 70 ans, un entrepreneur de Bruxelles qui dit qu’il a “essayé de programmer (son voyage, ndlr) en fonction des dates qui avaient été prévues pour le mariage.”- Pas de renfort policier -Mais un collectif d’habitants baptisé “No Space for Bezos” (“Pas de place pour Bezos”) multiplie les manifestations symboliques pour s’opposer aux réjouissances, au slogan de “Venise n’est pas à vendre”, craignant que le mariage complique encore plus le déplacement des habitants.”Ce mariage cause des problèmes dans la ville, avec des fermetures de canaux et des contrôles de plus en plus stricts”, a dénoncé Alice Bazzoli, 24 ans, militante de “No Space for Bezos”.”Il n’y a eu aucune intention de verrouiller la ville”, a assuré le préfet de Venise Darco Pellos à l’AFP, affirmant par ailleurs que l’événement n’avait exigé aucun “renfort” policier par rapport à une saison estivale habituelle.Il y a 11 ans, le mariage de l’acteur George Clooney n’avait pas créé autant de remous. Mais l’acteur américain n’est pas l’un des hommes les plus riches de la planète et n’a pas fondé le plus grand site mondial d’e-commerce, régulièrement dans le viseur d’associations de défense de l’environnement.Greenpeace justement n’a de cesse de dénoncer l’impact écologique du mariage, auquel de nombreux invités se sont rendus en jet privé, alors que l’équilibre fragile de Venise “coule sous le poids de la crise climatique”.