Indian capital bans fuel for old cars in anti-pollution bid

India’s capital banned fuel sales to ageing vehicles on Tuesday as authorities try to tackle the sprawling megacity’s hazardous air pollution.The city is regularly ranked one of the most polluted capitals globally with acrid smog blanketing its skyline every winter.At the peak of the smog, levels of PM2.5 pollutants — dangerous cancer-causing microparticles small enough to enter the bloodstream through the lungs — surge to more than 60 times the World Health Organization’s recommended daily maximum. Petrol cars older than 15 years, and diesel vehicles older than 10, were already banned from operating on New Delhi’s roads by a 2018 Supreme Court ruling.But millions flout the rules.According to official figures, over six million such vehicles are plying the city’s streets.The ban that came into force on Tuesday seeks to keep them off the roads by barring them from refuelling.Police and municipal workers were deployed at fuel stations across Delhi, where number plate-recognising cameras and loudspeakers were installed. “We have been instructed to call in scrap car dealers if such vehicles come in,” said a traffic policeman posted at a fuelling station in the city. From November, the ban will be extended to satellite cities around the capital, an area home to more than 32 million people.A study in the Lancet medical journal attributed 1.67 million premature deaths in India to air pollution in 2019.Each winter, vehicle and factory emissions couple with farm fires from surrounding states to wrap the city in a dystopian haze. Cooler temperatures and slow-moving winds worsen the situation by trapping deadly pollutants. Piecemeal government initiatives, such as partial restrictions on fossil fuel-powered transport and water trucks spraying mist to clear particulate matter from the air, have failed to make a noticeable impact. 

Trafic ferroviaire interrompu “au moins plusieurs jours” entre Paris et Milan après de violents orages

Le trafic ferroviaire entre Paris et Milan est interrompu “au moins plusieurs jours” a indiqué mardi matin la SNCF à l’AFP, après de violents orages lundi autour de Modane dans la vallée de la Maurienne en Savoie.Des opérations de nettoyage sont en cours, la SNCF indiquant espérer qu’il n’y aura pas de dégâts sur les voies, ce qui rallongerait l’interruption, a-t-elle précisé.Le trafic est interrompu depuis 17H lundi à la suite de violents orages consécutifs à la canicule qui ont provoqué d’importantes coulées de boues recouvrant les voies de la gare de Modane, dernière ville desservie avant la frontière italienne.La SNCF opère trois aller-retours par jour entre Paris et Milan.Les deux villes sont aussi reliées par la compagnie italienne Trenitalia qui passe sur les mêmes voies que la compagnie française. Le trafic des TER est lui aussi perturbé, les trains devant s’arrêter en gare de Saint Michel-Valloire. Ces orages ont provoqué une crue historique d’un torrent de la vallée alpine de la Maurienne, mais aucune victime n’était à déplorer lundi soir, selon la préfecture de Savoie.Le nettoyage est en cours depuis mardi matin dans les trois communes particulièrement touchées (Fourneaux, Modane, Saint-Colomban-des-Villards) après la crue du Charmaix, un cours d’eau prenant sa source en haute montagne pour se jeter dans l’Arc, qui a débordé. Une centaine de caves ont été inondées, touchant habitations, commerces et bâtiments publics.Vingt sapeurs-pompiers sont sur place à Fourneaux pour “mener les opérations de pompage et de nettoyage des boues” qui ont recouvert les routes. “Plusieurs personnes sont venues spontanément sur le terrain” pour aider, a souligné la préfecture.Côté axes routiers, après plusieurs fermetures en soirée, seule la départementale 1006 restait fermée mardi.Dans le département voisin des Hautes-Alpes, la commune de Val-des-Prés, dans le Briançonnais, a été touchée: sept habitations et une partie du camping ont été inondés, selon les pompiers, et la RN94 coupée par des coulées de boue.

Trafic ferroviaire interrompu “au moins plusieurs jours” entre Paris et Milan après de violents orages

Le trafic ferroviaire entre Paris et Milan est interrompu “au moins plusieurs jours” a indiqué mardi matin la SNCF à l’AFP, après de violents orages lundi autour de Modane dans la vallée de la Maurienne en Savoie.Des opérations de nettoyage sont en cours, la SNCF indiquant espérer qu’il n’y aura pas de dégâts sur les voies, ce qui rallongerait l’interruption, a-t-elle précisé.Le trafic est interrompu depuis 17H lundi à la suite de violents orages consécutifs à la canicule qui ont provoqué d’importantes coulées de boues recouvrant les voies de la gare de Modane, dernière ville desservie avant la frontière italienne.La SNCF opère trois aller-retours par jour entre Paris et Milan.Les deux villes sont aussi reliées par la compagnie italienne Trenitalia qui passe sur les mêmes voies que la compagnie française. Le trafic des TER est lui aussi perturbé, les trains devant s’arrêter en gare de Saint Michel-Valloire. Ces orages ont provoqué une crue historique d’un torrent de la vallée alpine de la Maurienne, mais aucune victime n’était à déplorer lundi soir, selon la préfecture de Savoie.Le nettoyage est en cours depuis mardi matin dans les trois communes particulièrement touchées (Fourneaux, Modane, Saint-Colomban-des-Villards) après la crue du Charmaix, un cours d’eau prenant sa source en haute montagne pour se jeter dans l’Arc, qui a débordé. Une centaine de caves ont été inondées, touchant habitations, commerces et bâtiments publics.Vingt sapeurs-pompiers sont sur place à Fourneaux pour “mener les opérations de pompage et de nettoyage des boues” qui ont recouvert les routes. “Plusieurs personnes sont venues spontanément sur le terrain” pour aider, a souligné la préfecture.Côté axes routiers, après plusieurs fermetures en soirée, seule la départementale 1006 restait fermée mardi.Dans le département voisin des Hautes-Alpes, la commune de Val-des-Prés, dans le Briançonnais, a été touchée: sept habitations et une partie du camping ont été inondés, selon les pompiers, et la RN94 coupée par des coulées de boue.

Trafic ferroviaire interrompu “au moins plusieurs jours” entre Paris et Milan après de violents orages

Le trafic ferroviaire entre Paris et Milan est interrompu “au moins plusieurs jours” a indiqué mardi matin la SNCF à l’AFP, après de violents orages lundi autour de Modane dans la vallée de la Maurienne en Savoie.Des opérations de nettoyage sont en cours, la SNCF indiquant espérer qu’il n’y aura pas de dégâts sur les voies, ce qui rallongerait l’interruption, a-t-elle précisé.Le trafic est interrompu depuis 17H lundi à la suite de violents orages consécutifs à la canicule qui ont provoqué d’importantes coulées de boues recouvrant les voies de la gare de Modane, dernière ville desservie avant la frontière italienne.La SNCF opère trois aller-retours par jour entre Paris et Milan.Les deux villes sont aussi reliées par la compagnie italienne Trenitalia qui passe sur les mêmes voies que la compagnie française. Le trafic des TER est lui aussi perturbé, les trains devant s’arrêter en gare de Saint Michel-Valloire. Ces orages ont provoqué une crue historique d’un torrent de la vallée alpine de la Maurienne, mais aucune victime n’était à déplorer lundi soir, selon la préfecture de Savoie.Le nettoyage est en cours depuis mardi matin dans les trois communes particulièrement touchées (Fourneaux, Modane, Saint-Colomban-des-Villards) après la crue du Charmaix, un cours d’eau prenant sa source en haute montagne pour se jeter dans l’Arc, qui a débordé. Une centaine de caves ont été inondées, touchant habitations, commerces et bâtiments publics.Vingt sapeurs-pompiers sont sur place à Fourneaux pour “mener les opérations de pompage et de nettoyage des boues” qui ont recouvert les routes. “Plusieurs personnes sont venues spontanément sur le terrain” pour aider, a souligné la préfecture.Côté axes routiers, après plusieurs fermetures en soirée, seule la départementale 1006 restait fermée mardi.Dans le département voisin des Hautes-Alpes, la commune de Val-des-Prés, dans le Briançonnais, a été touchée: sept habitations et une partie du camping ont été inondés, selon les pompiers, et la RN94 coupée par des coulées de boue.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

La clim sans gaz polluants? La technologie des réfrigérants solides émerge à Cambridge

C’est une pâte molle comme de la cire, blanche et granuleuse, aux propriétés prometteuses: sa température varie de plus de 50 degrés sous la pression, ouvrant la voie à une génération révolutionnaire de climatiseurs sans gaz à effet de serre.Contrairement aux gaz utilisés dans les appareils actuels, ces “réfrigérants solides” ne fuient pas. Ils “sont aussi potentiellement plus économes en énergie”, résume Xavier Moya, professeur de physique des matériaux à l’université britannique de Cambridge.Environ 2 milliards de climatiseurs sont en service dans le monde et leur nombre grimpe à mesure que la planète se réchauffe. Entre les fuites et la consommation d’énergie, les émissions associées progressent elles aussi chaque année, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE).Voilà 15 ans que Xavier Moya étudie les propriétés de ces “cristaux de plastique” dans son laboratoire au sein de la prestigieuse université britannique.Sur son plan de travail trône une imposante machine rouge et grise, surmontée d’un cylindre, qui teste la température de la matière en fonction de la pression.Objectif: identifier les meilleurs réfrigérants parmi cette classe de matériaux déjà utilisée par l’industrie chimique et assez facile à se procurer (la composition exacte des molécules retenues reste secrète).Le phénomène est invisible à l’oeil nu, mais ces cristaux sont composés de molécules capables de tourner sur elles-mêmes. Lorsqu’on les presse, leur mouvement se bloque et elles dissipent leur énergie sous forme de chaleur. Les relâcher fait à l’inverse baisser la température alentour. C’est “l’effet barocalorique”.- Canettes parfaitement fraîches -“La demande en climatisation augmentera considérablement à l’échelle mondiale d’ici 2050″, explique à l’AFP Cliff Elwell, professeur de physique du bâtiment à l’université UCL de Londres, pour qui les solides barocaloriques ont le potentiel pour être aussi efficaces, voire plus, que le gaz.”Mais quelle que soit la nouvelle technologie qui finira par être lancée, elle devra toujours répondre aux exigences de base”, notamment sur la taille de l’appareil ou le bruit qu’il produit, pour espérer se frayer un chemin dans les maisons et les voitures, prévient-il.Parallèlement à ses recherches à Cambridge, Xavier Moya a créé en 2019 une startup, Barocal, pour appliquer concrètement les découvertes de son groupe de recherche. Elle emploie neuf personnes et dispose de son propre laboratoire –pour l’instant un modeste conteneur sur un parking.Mais la “jeune pousse” fait des émules: elle a levé ces dernières années environ 4 millions d’euros, auprès notamment du Conseil européen de l’innovation, un programme de l’UE associant le Royaume-Uni, et Breakthrough Energy, organisation créée par le milliardaire américain Bill Gates.Elle compte porter son effectif à 25 ou 30 personnes cette année.A l’intérieur du conteneur, le premier prototype de climatiseur fait la taille d’une grosse valise: loin d’être un miracle de miniaturisation, il bourdonne en outre assez bruyamment lorsqu’un circuit hydraulique augmente ou diminue la pression dans les quatre cylindres remplis de cristaux.Mais il fonctionne. Un petit réfrigérateur est attaché au système et les canettes de soda qui s’y trouvent sont parfaitement fraîches.- Réduire les factures -Ce premier prototype “n’a pas encore été véritablement optimisé, ni sur sa masse, ni sur son volume, ni même sur le son”, reconnaît l’ingénieur matériaux chez Barocal Mohsen Elabbadi.Mais les nouveaux systèmes que l’entreprise est en train de perfectionner seront, eux, comparables en taille et aussi silencieux que ceux fonctionnant au gaz, promet-il.Si l’entreprise se concentre pour l’instant sur le froid, la technologie pourra aussi servir à produire du chaud.Plusieurs équipes étudient ces matériaux à travers le monde, mais celle de Cambridge est pionnière en la matière, selon Breakthrough Energy, qui estime que ces appareils “ont le potentiel de réduire les émissions jusqu’à 75%” par rapport aux systèmes traditionnels.Barocal espère lancer “un premier produit sur le marché dans 3 ans”, selon Florian Schabus, le directeur commercial. Il s’agira d’abord “d’unités de refroidissement pour de grands centres commerciaux, des entrepôts, des écoles” ou encore “des centres de données”.Les entreprises sont jugées plus faciles à convaincre sur une technologie qui sera initialement plus chère à l’achat, mais qui permettra de réduire les factures. Barocal vise à terme des prix équivalents aux systèmes traditionnels pour se lancer à l’assaut des particuliers.

Over 14 million people could die from US foreign aid cuts: study

More than 14 million of the world’s most vulnerable people, a third of them small children, could die by 2030 because of the Trump administration’s dismantling of US foreign aid, research projected on Tuesday.The study in the prestigious Lancet journal was published as world and business leaders gather for a United Nations conference in Spain this week hoping to bolster the reeling aid sector.The US Agency for International Development (USAID) had provided over 40 percent of global humanitarian funding until Donald Trump returned to the White House in January. Two weeks later, Trump’s then-close advisor — and world’s richest man — Elon Musk boasted of having put the agency “through the woodchipper”.The funding cuts “risk abruptly halting — and even reversing — two decades of progress in health among vulnerable populations”, warned study co-author Davide Rasella, a researcher at the Barcelona Institute for Global Health (ISGlobal).”For many low- and middle-income countries, the resulting shock would be comparable in scale to a global pandemic or a major armed conflict,” he said in a statement.Looking back over data from 133 nations, the international team of researchers estimated that USAID funding had prevented 91.8 million deaths in developing countries between 2001 and 2021. That is more than the estimated number of deaths during World War II, history’s deadliest conflict.- HIV, malaria to rise -The researchers also used modelling to project how funding being slashed by 83 percent — the figure announced by the US government earlier this year — could affect death rates.The cuts could lead to more than 14 million avoidable deaths by 2030, the projections found.That number included over 4.5 million children under the age of five — or around 700,000 child deaths a year.For comparison, around 10 million soldiers are estimated to have been killed during World War I. Programmes supported by USAID were linked to a 15-percent decrease in deaths from all causes, the researchers determined. For children under five, the drop in deaths was twice as steep, at 32 percent.USAID funding was found to be particularly effective at staving off preventable deaths from disease. There were 65 percent fewer deaths from HIV/AIDS in countries receiving a high level of support compared to those with little or no USAID funding, the study found. Deaths from malaria and neglected tropical diseases were similarly cut in half. Study co-author Francisco Saute of Mozambique’s Manhica Health Research Centre said he had seen on the ground how USAID helped fight diseases such as HIV, malaria and tuberculosis. “Cutting this funding now not only puts lives at risk — it also undermines critical infrastructure that has taken decades to build,” he stressed.A recently updated tracker run by disease modeller Brooke Nichols at Boston University estimates that nearly 108,000 adults and more than 224,000 children have already died as a result of the US aid cuts. That works out to 88 deaths every hour, according to the tracker.- ‘Time to scale up’ -After USAID was gutted, several other major donors, including France, Germany and the UK, followed suit in announcing plans to slash their foreign aid budgets. These aid reductions, particularly in the European Union, could lead to “even more additional deaths in the coming years,” study co-author Caterina Monti of ISGlobal said.But the grim projections are based on the current amount of pledged aid, so could rapidly come down if the situation changes, the researchers emphasised.Dozens of world leaders are meeting in the Spanish city of Seville this week for the biggest aid conference in a decade. The United States, however, will not attend.”Now is the time to scale up, not scale back,” Rasella said.Before its funding was slashed, USAID represented 0.3 percent of all US federal spending.”US citizens contribute about 17 cents per day to USAID, around $64 per year,” said study co-author James Macinko of the University of California, Los Angeles.”I think most people would support continued USAID funding if they knew just how effective such a small contribution can be to saving millions of lives.”

Over 14 million people could die from US foreign aid cuts: study

More than 14 million of the world’s most vulnerable people, a third of them small children, could die by 2030 because of the Trump administration’s dismantling of US foreign aid, research projected on Tuesday.The study in the prestigious Lancet journal was published as world and business leaders gather for a United Nations conference in Spain this week hoping to bolster the reeling aid sector.The US Agency for International Development (USAID) had provided over 40 percent of global humanitarian funding until Donald Trump returned to the White House in January. Two weeks later, Trump’s then-close advisor — and world’s richest man — Elon Musk boasted of having put the agency “through the woodchipper”.The funding cuts “risk abruptly halting — and even reversing — two decades of progress in health among vulnerable populations”, warned study co-author Davide Rasella, a researcher at the Barcelona Institute for Global Health (ISGlobal).”For many low- and middle-income countries, the resulting shock would be comparable in scale to a global pandemic or a major armed conflict,” he said in a statement.Looking back over data from 133 nations, the international team of researchers estimated that USAID funding had prevented 91.8 million deaths in developing countries between 2001 and 2021. That is more than the estimated number of deaths during World War II, history’s deadliest conflict.- HIV, malaria to rise -The researchers also used modelling to project how funding being slashed by 83 percent — the figure announced by the US government earlier this year — could affect death rates.The cuts could lead to more than 14 million avoidable deaths by 2030, the projections found.That number included over 4.5 million children under the age of five — or around 700,000 child deaths a year.For comparison, around 10 million soldiers are estimated to have been killed during World War I. Programmes supported by USAID were linked to a 15-percent decrease in deaths from all causes, the researchers determined. For children under five, the drop in deaths was twice as steep, at 32 percent.USAID funding was found to be particularly effective at staving off preventable deaths from disease. There were 65 percent fewer deaths from HIV/AIDS in countries receiving a high level of support compared to those with little or no USAID funding, the study found. Deaths from malaria and neglected tropical diseases were similarly cut in half. Study co-author Francisco Saute of Mozambique’s Manhica Health Research Centre said he had seen on the ground how USAID helped fight diseases such as HIV, malaria and tuberculosis. “Cutting this funding now not only puts lives at risk — it also undermines critical infrastructure that has taken decades to build,” he stressed.A recently updated tracker run by disease modeller Brooke Nichols at Boston University estimates that nearly 108,000 adults and more than 224,000 children have already died as a result of the US aid cuts. That works out to 88 deaths every hour, according to the tracker.- ‘Time to scale up’ -After USAID was gutted, several other major donors, including France, Germany and the UK, followed suit in announcing plans to slash their foreign aid budgets. These aid reductions, particularly in the European Union, could lead to “even more additional deaths in the coming years,” study co-author Caterina Monti of ISGlobal said.But the grim projections are based on the current amount of pledged aid, so could rapidly come down if the situation changes, the researchers emphasised.Dozens of world leaders are meeting in the Spanish city of Seville this week for the biggest aid conference in a decade. The United States, however, will not attend.”Now is the time to scale up, not scale back,” Rasella said.Before its funding was slashed, USAID represented 0.3 percent of all US federal spending.”US citizens contribute about 17 cents per day to USAID, around $64 per year,” said study co-author James Macinko of the University of California, Los Angeles.”I think most people would support continued USAID funding if they knew just how effective such a small contribution can be to saving millions of lives.”