Trump orders probes of two ex-officials, accusing one of ‘treason’

US President Donald Trump ordered extraordinary Justice Department investigations on Wednesday into two members of his previous administration, including one he alleged may have committed “treason.”Trump also stripped the former officials — Miles Taylor, who worked in the Department of Homeland Security (DHS), and Christopher Krebs, the former director of the Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) — of their security clearances.Taylor, while serving in DHS during Trump’s first term, penned an Op-Ed piece in The New York Times in 2018 under the pseudonym “Anonymous” that excoriated Trump and caused a sensation at the time.”The root of the problem is the president’s amorality,” Taylor said, accusing the president of making “half-baked, ill-informed and occasionally reckless decisions.”Taylor went on to reveal his identity after leaving the first Trump administration and wrote another book titled “A Warning.”White House Staff Secretary Will Scharf accused Taylor during an Oval Office signing ceremony on Wednesday of leaking classified information while at DHS and making “outrageous claims both about (the Trump) administration and about others in it.”The presidential memorandum signed by Trump targeting Taylor is “going to order the Department of Justice to investigate his activities to see what else might come up in that context,” Scharf said.Trump, speaking to reporters in the Oval Office, accused Taylor of saying “all sorts of lies, bad things.””I think it’s like a traitor, it’s like spying,” he said. “We’re going to find out whether or not somebody is allowed to do that.”I think it’s a very important case and I think he’s guilty of treason if you want to know the truth,” Trump said. “But we’ll find out.”Taylor, for his part, reacted to the news on X, writing: “Dissent isn’t unlawful. It certainly isn’t treasonous. America is headed down a dark path.”- ‘Big price to pay’ -Krebs was fired by Trump in November 2020 after he issued a report saying there was no credible evidence of fraud in the election won by Democrat Joe Biden and it was the “most secure in American history.”Scharf told Trump the presidential memorandum on Krebs “instructs your Department of Justice, other aspects of your government, to investigate some of the malign acts that he participated in.””This guy, Krebs, was saying, ‘Oh, the election was great. It was great,'” Trump said.”Well, it’s been proven that it was not only not great,” he said. “It was a very corrupt election.”So we’ll find out whether or not it was a safe election, and if it wasn’t, he’s got a big price to pay, and he’s a bad guy.”Since taking office in January, Trump has targeted a number of former officials he views as his political enemies, stripping them of their government security clearances or their personal security details.This is believed to be the first time, however, that he has directed the nominally independent Justice Department to open investigations into his political opponents — an exceptional move by a US president.Trump, the first convicted felon to serve in the White House, has also moved to settle scores with several large law firms that represented his political foes in the past or helped bring him to court on civil or criminal charges.

Foot/C1: le PSG impressionne encore face à Villa (3-1)

Le PSG, désormais l’un des favoris de la Ligue des champions, a encore impressionné mercredi et a pris une option pour les demi-finales en battant en quart de finale aller Aston Villa (3-1), grâce à trois buts somptueux de Doué, Kvaratskhelia et Mendes.Ce premier acte avant le retour à Villa Park mardi prochain a été une nouvelle fois une démonstration technique et collective des Parisiens tout au long du match, pouvant laisser penser qu’ils vont jouer leur deuxième demi-finale de suite en Ligue des champions. Encore une fois, ils ont été menés au score et ont réussi à renverser le match: “Je crois que le résultat est le reflet” du match, de “la combativité et de nos efforts”, a réagi Luis Enrique devant la presse. “Nous avons trouvé les ressources pour retourner” la situation “contre une équipe très bonne”, a-t-il souligné suite à ses retrouvailles avec Unai Emery après la remontada avec le Barça en 2017.Une démonstration dans le jeu qui aurait pu mériter un score plus large tant les coéquipiers d’Achraf Hakimi – capitaine en l’absence de Marquinhos suspendu  – ont dominé les joueurs de Birmingham. Avec ce succès, le Paris de Luis Enrique poursuit sa période prolifique, lancée en janvier avec le succès face à Manchester City (4-2), en montrant encore une fois tout son talent collectif. “Le coeur sera là, les jambes aussi, cette énergie positive que l’on voit, il faut en tirer profit. Contrôler nos émotions, ce sera la clé”, avait prévu mardi le technicien espagnol, qui a décidé de laisser sur le banc Bradley Barcola pour la première fois de la saison en Ligue des champions.- Martinez sifflé tout le match -Irréprochables dans le repli défensif, empêchant les Villans de construire leurs actions, les Parisiens ont étouffé les Anglais dans leurs 40 mètres. Il a semblé impossible aux hommes d’Unai Emery de ressortir le ballon à cause de l’intensité du pressing. Sous les yeux des anciennes stars du PSG comme Javier Pastore ou Ezequiel Lavezzi, les Parisiens ont couru ensemble, en symbiose, comme un ballet – à l’image de leur second but.La recrue Géorgienne Khvicha Kvaratskhelia a conclu magnifiquement dans un angle très fermé une action et une remontée de balle collective de plus 40 mètres après une récupération, faisant lever le Parc (49e). Ce quart de finale aller a été un match à sens unique avec de multiples tirs parisiens (11 dont 5 cadrés rien qu’en première période), Villa marquant contre le cours du jeu. Sur une erreur de Nuno Mendes, qui a trop tardé à passer le ballon au milieu de terrain, les Villans ont marqué sur leur première véritable occasion grâce à Morgan Rogers (1-0, 35e) sur un centre de Youri Tielemans, rendant fous de joie le prince William et son fils George dans les gradins du Parc des princes, ainsi que les 2.000 supporters anglais qui avaient fait le déplacement. Mais pour un petit temps seulement: quatre minutes. Sans paniquer et avec encore un état d’esprit impeccable, Paris a égalisé sur une frappe enroulée et somptueuse de Désiré Doué, 19 ans, qui a encore éclaboussé le match par sa technique et sa qualité de frappe. L’ancien Rennais a laissé le gardien des Villans, le champion du monde argentin Emiliano Martinez, planté sur ses appuis (1-1, 39e). Sifflé à chaque prise de balle par le Parc des Princes à la suite de la finale de la Coupe du monde perdue par les Bleus en 2022 et de ses provocations, il n’a rien pu faire non plus sur le troisième but parisien de Nuno Mendes en toute fin de match (90+2e).Avec 28 buts, Paris égale son record en Ligue des champions sur une saison, avant le quart de finale retour mardi à Villa Park: “On ne va pas calculer, il faut aller gagner ce match, on va profiter des espaces d’Aston Villa qui va devoir attaquer, mais je le répète le mot calcul n’existe pas dans notre vocabulaire”, a insisté Luis Enrique. 

Foot/C1: le PSG impressionne encore face à Villa (3-1)

Le PSG, désormais l’un des favoris de la Ligue des champions, a encore impressionné mercredi et a pris une option pour les demi-finales en battant en quart de finale aller Aston Villa (3-1), grâce à trois buts somptueux de Doué, Kvaratskhelia et Mendes.Ce premier acte avant le retour à Villa Park mardi prochain a été une nouvelle fois une démonstration technique et collective des Parisiens tout au long du match, pouvant laisser penser qu’ils vont jouer leur deuxième demi-finale de suite en Ligue des champions. Encore une fois, ils ont été menés au score et ont réussi à renverser le match: “Je crois que le résultat est le reflet” du match, de “la combativité et de nos efforts”, a réagi Luis Enrique devant la presse. “Nous avons trouvé les ressources pour retourner” la situation “contre une équipe très bonne”, a-t-il souligné suite à ses retrouvailles avec Unai Emery après la remontada avec le Barça en 2017.Une démonstration dans le jeu qui aurait pu mériter un score plus large tant les coéquipiers d’Achraf Hakimi – capitaine en l’absence de Marquinhos suspendu  – ont dominé les joueurs de Birmingham. Avec ce succès, le Paris de Luis Enrique poursuit sa période prolifique, lancée en janvier avec le succès face à Manchester City (4-2), en montrant encore une fois tout son talent collectif. “Le coeur sera là, les jambes aussi, cette énergie positive que l’on voit, il faut en tirer profit. Contrôler nos émotions, ce sera la clé”, avait prévu mardi le technicien espagnol, qui a décidé de laisser sur le banc Bradley Barcola pour la première fois de la saison en Ligue des champions.- Martinez sifflé tout le match -Irréprochables dans le repli défensif, empêchant les Villans de construire leurs actions, les Parisiens ont étouffé les Anglais dans leurs 40 mètres. Il a semblé impossible aux hommes d’Unai Emery de ressortir le ballon à cause de l’intensité du pressing. Sous les yeux des anciennes stars du PSG comme Javier Pastore ou Ezequiel Lavezzi, les Parisiens ont couru ensemble, en symbiose, comme un ballet – à l’image de leur second but.La recrue Géorgienne Khvicha Kvaratskhelia a conclu magnifiquement dans un angle très fermé une action et une remontée de balle collective de plus 40 mètres après une récupération, faisant lever le Parc (49e). Ce quart de finale aller a été un match à sens unique avec de multiples tirs parisiens (11 dont 5 cadrés rien qu’en première période), Villa marquant contre le cours du jeu. Sur une erreur de Nuno Mendes, qui a trop tardé à passer le ballon au milieu de terrain, les Villans ont marqué sur leur première véritable occasion grâce à Morgan Rogers (1-0, 35e) sur un centre de Youri Tielemans, rendant fous de joie le prince William et son fils George dans les gradins du Parc des princes, ainsi que les 2.000 supporters anglais qui avaient fait le déplacement. Mais pour un petit temps seulement: quatre minutes. Sans paniquer et avec encore un état d’esprit impeccable, Paris a égalisé sur une frappe enroulée et somptueuse de Désiré Doué, 19 ans, qui a encore éclaboussé le match par sa technique et sa qualité de frappe. L’ancien Rennais a laissé le gardien des Villans, le champion du monde argentin Emiliano Martinez, planté sur ses appuis (1-1, 39e). Sifflé à chaque prise de balle par le Parc des Princes à la suite de la finale de la Coupe du monde perdue par les Bleus en 2022 et de ses provocations, il n’a rien pu faire non plus sur le troisième but parisien de Nuno Mendes en toute fin de match (90+2e).Avec 28 buts, Paris égale son record en Ligue des champions sur une saison, avant le quart de finale retour mardi à Villa Park: “On ne va pas calculer, il faut aller gagner ce match, on va profiter des espaces d’Aston Villa qui va devoir attaquer, mais je le répète le mot calcul n’existe pas dans notre vocabulaire”, a insisté Luis Enrique. 

Droits de douane: Wall Street s’envole après de nouvelles annonces de Trump

Après une ouverture mitigée, la Bourse de New York a connu une volte-face spectaculaire mercredi suite à l’annonce par Donald Trump d’une pause sur certains droits de douane, et alors que les marchés européens avaient déjà fermé, inquiets de la guerre commerciale lancée par le président américain.A Wall Street, le Dow Jones s’est envolé de 7,87%, l’indice Nasdaq de 12,16% et l’indice élargi S&P 500 de 9,52%.”C’est le moment décisif que le marché attendait”, a écrit dans une note Gina Bolvin, de Bolvin Wealth Management Group.La place américaine s’est enflammée après que le président américain, Donald Trump, a annoncé mercredi sur son réseau Truth Social qu’il allait ramener provisoirement à 10% les droits de douane imposés à la plupart des pays.”Du fait de la volonté de plus de 75 pays de négocier, j’ai autorisé une pause de 90 jours” sur une partie des droits de douane réciproques imposés à de nombreux partenaires commerciaux des Etats-Unis, a écrit M. Trump.Les marchés financiers, y compris Wall Street, ont nettement souffert depuis le 2 avril, date de l’annonce par Donald Trump d’une vague massive de droits de douane sur ses partenaires commerciaux, d’un montant minimum de 10% mais pouvant monter bien au-delà.”Les marchés étaient impatients de repartir à la hausse à la moindre bonne nouvelle”, a commenté auprès de l’AFP Art Hogan, B. Riley Wealth Management.L’indice Nasdaq a connu sa plus forte hausse en séance depuis 2008, selon l’agence Bloomberg.En outre, Wall Street a regagné plus de 4.500 milliards de capitalisation boursière en un jour, selon l’indice Dow Jones US Total Stock Market.Ces nouvelles annonces ne concernent cependant pas la Chine, accusée par le président américain d’un “manque de respect (…) à l’égard des marchés mondiaux”. En conséquence, les droits de douane américains sur les produits chinois sont désormais relevés à hauteur de 125%, a annoncé Donald Trump.”La Chine sera consciente du fait qu’elle est désormais isolée dans ce processus”, ce qui pourrait la pousser à négocier avec les Etats-Unis, estime M. Hogan.Déjà fermés avant ces annonces, en Europe, les marchés boursiers ont franchement reculé. Paris a perdu 3,34%, Francfort 3,00%, après avoir tous deux cédé plus de 4% durant la séance. Londres a lâché 2,92% et Milan 2,75%.”Nous vivons un changement de régime économique dont personne ne connaît encore l’issue. Les marchés craignent une croissance américaine et mondiale plus faible, une inflation plus élevée et des bénéfices moins importants pour les entreprises”, résume Raphaël Thuin, directeur des stratégies de marchés de Tikehau Capital.Le pétrole se retourneLes cours du pétrole, en grande difficulté en début de séance, se sont envolés mercredi après l’annonce d’une pause sur les droits de douane.Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a gagné 4,23% à 65,48 dollars et le West Texas Intermediate (WTI) américain a bondi de 4,65% à 62,35 dollars.Ils avaient pourtant chuté de plus de 5% en début de séance, le Brent de mer du Nord atteignant même brièvement un plus bas depuis février 2021.”C’est une marée qui emporte tout le monde et fait grimper les prix de manière générale”, a commenté auprès de l’AFP John Kilduff, d’Again Capital.Cependant, “la Chine ne bénéficie” pas de ce revirement, ce qui signifie que “le marché du pétrole continuera d’en souffrir”, ajoute l’analyste.Le marché obligataire se calmeSur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans a terminé stable par rapport à la veille, à 4,30% après être monté jusqu’à 4,51% dans la nuit.Donald Trump a reconnu mercredi qu’il surveillait la chute du marché américain de la dette avant de décider de sa pause, ajoutant devant la presse avoir constaté mardi soir que ses surtaxes douanières “effrayaient un peu”.L’aversion de ces derniers jours pour le marché obligataire était peu commune, car les obligations d’État, perçues comme plus sûres, sont souvent plébiscitées en période d’incertitude, avec un rendement garanti pour les investisseurs.La dette allemande, référence en Europe, continuait d’ailleurs à jouer ce rôle, avec un taux d’intérêt à dix ans à 2,58%, contre 2,62% la veille en clôture.Le dollar a lui aussi repris des couleurs après les annonces de Donald Trump. Au fixing, à 21H00 GMT, le billet vert grappillait 0,07% face à l’euro, à 1,0951 dollar. Un peu plus tôt, avant les déclarations de M. Trump, il lâchait plus de 1% face à la monnaie unique.bur-emb-fcz-ni/tu/eml

C1: Désiré Doué et Khvicha Kvaratskhelia, artistes en démonstration

Chacun dans son style, les Parisiens Désiré Doué et Khvicha Kvaratskhelia ont régalé le Parc des Princes de buts et de gestes sublimes, mercredi contre Aston Villa (3-1), permettant au PSG de forcer la décision contre une équipe bien regroupée.Au point même d’éclipser Ousmane Dembélé, auteur d’une partition plus discrète, mais aussi d’une passe décisive lors du troisième but de Nuno Mendes.Paris est mené 1-0 contre le cours du jeu depuis quatre minutes, quand Désiré Doué surgit pour relancer son équipe et apposer sa patte sur la rencontre. Et quelle patte !Excentré sur la gauche de la surface, lui qui occupait jusque-là plutôt l’aile droite, Doué provoque et crochette pour se recentrer. Il décoche une frappe qui paraît d’abord lente au vu de ses standards habituels, lui qui a déjà mis quelques boulets de canon en lucarne depuis le début de la saison.Très enroulé, légèrement lobé, le tir semble flotter pendant une éternité avant de retomber sur l’arrête inférieur de la barre puis dans le but. Surpris par la trajectoire, le gardien argentin Emiliano Martinez, bête noire des Bleus en finale du Mondial-2022, n’a même pas sauté. “Je ne l’ai encore jamais affronté et l’objectif de tout le monde sera de lui marquer le plus de buts possible”, avait crânement déclaré Doué mardi à propos du fantasque portier. Dans sa zone technique, Luis Enrique écarquille les yeux et secoue la main, impressionné.Arrivé l’été dernier de Rennes, Désiré Doué, 19 ans, a d’abord patienté, le temps de prendre la mesure du jeu demandé, avant d’éblouir les supporters parisiens de gestes de classe mondiale réalisés parfois sous grosse pression. En étant titulaire régulier depuis quelques semaines seulement, Doué a déjà à son compteur 12 buts et 12 passes décisives toutes compétitions confondues dont trois buts en Ligue des champions, compétition qu’il découvre cette saison.- Tournis -Le jeu de l’attaquant, qui peut aussi jouer milieu de terrain, enflamme les foules, avec par exemple une roulette au milieu de terrain juste avant la pause. Mais il connaît aussi des ratés et imprécisions, des dribbles mal venus, et cela a encore été le cas mercredi soir, ce qui a parfois agacé Luis Enrique.”J’en fais parfois un peu trop, mais j’essaie de garder ma personnalité”, avait résumé l’intéressé. La conscience de sa marge de progression pourrait le mener loin: “Quand on joue, on sait qu’il y a des zones à respecter, des zones où on doit construire, lâcher le ballon, et d’autres où on a plus de liberté”. Sa sortie à la 72e minute a été triomphale, avec un public qui scande son nom.Autre ailier, autre artiste, le Géorgien Khvicha Kvaratskhelia, plus experimenté pour avoir joué la Ligue des champions avec Naples avant d’arriver cet hiver à 24 ans. Son chef d’oeuvre n’en est pas moins impressionnant, après avoir déjà donné le tournis à Cash pendant toute la première mi-temps.A la 49e minute, Paris ressort proprement le ballon pour une contre-attaque éclair mais il reste beaucoup à faire. “Kvaradonna” feinte, crochette, avant d’expédier une frappe puissante sous la barre. Là encore, “Dibu” Martinez ne peut qu’aller chercher le ballon au fond des filets.Le Géorgien, lui, sprinte vers le poteau de corner, extatique, et s’effondre les bras en croix, purgeant sans doute aussi la frustration de son but refusé contre Liverpool dans le même stade, en huitième de finale.Plus largement, celui qui a hérité du numéro 7 si emblématique de Kylian Mbappé a marqué le match par son volume de jeu, tant en attaque qu’à la récupération, avec une énergie de tous les diables. Luis Enrique l’avait d’ailleurs noté: “Sur l’aspect technique on le connaît bien, ce qui m’a supris c’est sa capacité d’adaptation sur le travail défensif, c’est le premier qui presse, qui revient en défense.”Après une période de rodage en janvier, Khivcha Kvaratskhelia a réussi l’exploit de se rendre déjà incontournable dans un effectif qui était déjà lancé à pleine vitesse.Alors, quel but est le plus beau ? “C’est le mien”, a souri Désiré Doué. “Celui de Kvara, sur son mauvais pied”, a estimé Nuno Mendes. “Ca peut être n’importe qui, c’était incroyable”, a considéré Vitinha.

US stocks soar on Trump tariff reversal, oil prices jump

Wall Street stocks rocketed higher Wednesday following President Trump’s shock move to pause many new tariffs, lifting an equity market beaten down by days of losses amid rising recession worries.The catalyst came around 1720 GMT when Trump announced a 90-day pause on the most onerous new tariffs for every country except China, which was targeted with a whopping 125 percent levy.Within moments of Trump’s social media announcement, the Dow index surged ahead around 2,500 points along the way to a nearly eight-percent gain on the session.The tech-rich Nasdaq won 12.2 percent to notch its best day in 24 years.Oil prices jumped more than four percent while the dollar also strengthened.The reversals followed another down day on European bourses reflecting worsening fears of a US recession and global slowdown, in part due to expectations that widespread trade wars would reignite inflation.Instead of the onerous tariff levels unveiled last week during Trump’s “Liberation Day” event, affected US trading partners excluding China would face a 10 percent tariff rate, temporarily reverting to a level that took effect over the weekend. That move had already roiled markets.Trump singled out the world’s second-biggest economy however, saying its tariff rate would be raised to a prohibitive 125 percent “based on the lack of respect that China has shown to the world’s markets.”Trump denied that he had backtracked on the tariffs, telling reporters that “you have to be flexible.””People were jumping a little bit out of line, they were getting yippy, a little bit afraid,” Trump said. “Yippy” is a term in sports to describe a loss of nerves.”When markets are pricing in worst-case scenarios, it doesn’t take much good news to turn that opinion around,” said Art Hogan of B. Riley Wealth Management.Hogan added that investors were waiting for any sense of a more reasonable trade process, saying this situation might “be less of a drag on economic activity and earnings.”Sam Stovall, chief investment strategist at CFRA Research, said most of the equity purchases Wednesday likely came from short-term investors looking for quick gains or traders eager to cover positions purchased prior to the shift in fortune.Investment advisors typically advise clients to avoid trading during periods of great upheaval when even major losses can be reversed if a stockholder’s approach is that of a long-term investor.Retail investors “will want to see whether this story has legs,” Stovall said. “Investors and clients have been whipsawed and they don’t like it.”- Bond market volatility -A secondary factor in Wednesday’s positive US session was the successful auction of $38 billion in US Treasury notes, said Briefing.com.Volatility in the US bond market, including a jump in yields over the last week, has rattled investors, prompting talk that US Treasuries could be losing their status as a safe haven asset.Trump’s reversal lifted the entire Dow index with Nvidia the biggest gainer at 18.7 percent. Both Apple and Boeing piled on more than 15 percent, while Disney, Goldman Sachs and Nike were among the names winning more than 10 percent.Earlier, European bourses suffered another down day as the European Union announced reprisals for steel and aluminum tariffs that entered force last month, targeting more than 20 billion euros ($22 billion) of US products including soybeans, motorcycles and beauty products.Most Asian equities markets fell back into the red. Tokyo closed down 3.9 percent.- Key figures around 2030 GMT -New York – Dow: UP 7.9 percent at 40,608.45 (close)New York – S&P 500: UP 9.5 percent at 55456.90 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 12.2 percent at 17,124.97 (close)London – FTSE 100: DOWN 2.9 percent at 7,679.48 (close)Paris – CAC 40: DOWN 3.3 percent at 6,863.02 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 3.0 percent at 19,670.88 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 3.9 percent at 31,714.03 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 20,264.49 (close)Shanghai – Composite: UP 1.3 percent at 3,186.81 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0948 from $1.0958 Pound/dollar: UP at $1.2810 from $1.2765Dollar/yen: DOWN at 147.82 yen from 146.27 yen on TuesdayEuro/pound: DOWN at 85.45 pence from 85.84 penceWest Texas Intermediate: UP 4.7 percent at $62.35 per barrelBrent North Sea Crude: UP 4.2 percent at $65.48 per barrelburs-jmb/aha

Trump rengaine ses surtaxes douanières, sauf pour la Chine

La guerre commerciale mondiale devient un duel de superpuissances: Donald Trump a annoncé mercredi qu’il suspendait ses surtaxes douanières mondiales mais augmentait celles sur la Chine, ce qui a fait décoller Wall Street.”Il faut être flexible”, a justifié le président américain lors d’un échange avec la presse à la Maison Blanche, en reconnaissant que sa retentissante annonce d’un matraquage douanier généralisé la semaine dernière “effrayait un peu” les investisseurs, et les avait rendus “fébriles.”Il a en particulier indiqué avoir suivi le marché obligataire où la dette américaine, cette valeur refuge par excellence, a été vivement chahutée ces derniers jours.Reprochant à la Chine son “manque de respect”, Donald Trump a annoncé sur son réseau Truth Social porter “immédiatement” à 125% la taxe frappant les importations chinoises, qu’il venait déjà de faire monter à plus de 100%.Il assure par ailleurs que “plus de 75 pays” se sont manifestés pour “négocier” une solution en matière commerciale.Ces pays n’ayant selon lui pas “riposté” contre les Etats-Unis, Donald Trump leur accorde “une pause de 90 jours et des droits réciproques substantiellement réduits durant cette période, de 10%, également effectifs immédiatement”.Concernant la Chine, il a cependant dit qu’il “n’imaginait pas” devoir les augmenter une nouvelle fois. “Je ne pense pas que ce sera nécessaire. Vous savez, nous avons calculé ça avec beaucoup de précision”, a-t-il ajouté.Le Dow Jones et le Nasdaq ont terminé en trombe après cette annonce, l’indice technologique gagnant plus de 12%, le Dow Jones 7,87%.- “Stratégie magistrale” -Quelques heures avant cette spectaculaire volte-face, Donald Trump avait écrit sur Truth Social, en référence aux bonnes affaires à faire après la baisse des Bourses des derniers jours: “C’EST LE MOMENT D’ACHETER”.Alors que les sondages montrent une défiance croissante des Américains envers leur imprévisible président, ses partisans ont tenté de le défendre.”C’était sa stratégie depuis le début”, a assuré le ministre des Finances Scott Bessent.L’un de ses proches conseillers, Stephen Miller, a lui vanté la “stratégie magistrale” et “l’audace” de Donald Trump, qui a selon lui pour effet d'”isoler” Pékin.Le républicain avait semé la panique dans les capitales du monde entier en annonçant il y a une semaine des surtaxes douanières sur les produits de 60 partenaires commerciaux, avec un traitement déjà particulièrement brutal de la Chine (104%). Ces droits de douane punitifs, suspendus donc sauf pour Pékin, ne sont donc restés en vigueur qu’une douzaine d’heures avant d’être suspendus, sauf pour Pékin.La deuxième puissance mondiale avait répliqué du tac-au-tac, annonçant qu’elle porterait ses surtaxes de rétorsion contre les produits américains à 84%, et non 34% comme initialement prévu, à partir de jeudi à 12H01 heure chinoise (04H01 GMT).- “Détermination” -Visée depuis mi-mars par des droits de douane américains de 25% sur l’acier et l’aluminium, l’Union européenne avait adopté mercredi ses premières mesures de riposte, soigneusement calibrées, contre plus 20 milliards d’euros de marchandises “made in USA”.Bruxelles s’était toutefois dite prête à suspendre ses droits de douane “à tout moment” en cas d’accord “juste et équilibré” avec Washington, cela avant que le président américain ne fasse marche arrière.Le futur chancelier allemand, Friedrich Merz, a estimé mercredi que la décision du président américain de suspendre les augmentations de droits de douane prévues pour la plupart des pays était une “réaction à la détermination des Européens”.Reste donc à savoir comment réagira Pékin aux attaques renouvelées de Donald Trump, qui a assuré que la Chine “voulait” un accord mais ne “savait pas comment s’y prendre”.La bagarre douanière déclenchée par Donald Trump a conduit les économistes à alerter sur les risques de flambée de l’inflation et de récession.La guerre commerciale que se livrent les Etats-Unis et la Chine pourrait réduire de “jusqu’à 80%” le commerce de marchandises entre les deux premières économies du globe et effacer “près de 7%” du PIB mondial sur le long terme, a mis en garde mercredi la directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce, Ngozi Okonjo-Iweala.Sans même parler de l’escalade diplomatique entre les deux premières puissances mondiales, dont la relation était déjà tendue. La Chine a appelé mercredi ses citoyens à la “prudence” face aux “risques” potentiels d’un voyage touristique aux Etats-Unis.burs-aue/els/eml