Catastrophe d’Air India: l’alimentation en carburant coupée juste avant le crash

Les interrupteurs d’alimentation en carburant des moteurs d’un Boeing d’Air India qui s’est écrasé peu après le décollage le 12 juin, tuant 260 personnes, se sont mis en position “arrêt” juste avant l’impact, selon un rapport d’enquête préliminaire publié samedi.Le rapport, publié par le Bureau indien d’enquête sur les accidents aériens (AAIB), ne tire aucune conclusion et n’attribue aucune responsabilité, mais indique qu’un pilote a demandé à l’autre pourquoi il avait coupé le carburant, le second pilote répondant qu’il ne l’avait pas fait.Au total 241 personnes qui se trouvaient à bord du Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India ont été tuées, et une seule a survécu, lorsque l’avion s’est écrasé sur des habitations juste après le décollage dans la ville d’Ahmedabad, dans l’ouest du pays. Les autorités ont également identifié 19 personnes tuées au sol.Le Boeing avait atteint une vitesse maximale de 180 noeuds (333 km/h) en décollant lorsque les interrupteurs d’alimentation en carburant sont passés de la position “run” (ouvert) à la position “cutoff” (arrêt) pour le premier moteur puis le second une seconde plus tard, selon le rapport.Les deux moteurs ont alors commencé à perdre de la puissance.”Dans l’enregistrement des conversations dans le cockpit, l’un des pilotes demande à l’autre pourquoi il a coupé l’alimentation en carburant. Le second pilote répond qu’il ne l’a pas fait”, indique le rapport de 15 pages. Moins d’une minute plus tard, un pilote a transmis le signal de détresse “Mayday, Mayday, Mayday”, et l’avion s’est écrasé sur des habitations.Les contrôleurs aériens ont demandé aux pilotes ce qu’il se passait puis ont vu l’appareil s’écraser et on appelé les secours.L’avion a commencé à perdre de l’altitude avant même de quitter le périmètre de l’aéroport, selon le rapport.- Enquête toujours en cours -Le site spécialisé The Air Current, citant plusieurs sources au fait de l’enquête, a indiqué qu’elle s’est récemment “concentrée sur le mouvement des interrupteurs d’alimentation en carburant des moteurs, à la suite d’une analyse des enregistreurs intégrés de données de vol et de données vocales du Boeing 787”. L’analyse complète devrait prendre “des mois, si ce n’est plus”, et l’hypothèse privilégiée pourrait encore évoluer, précise-t-il dans sa publication cette semaine.Le rapport du bureau indien rappelle que l’Administration fédérale de l’aviation des États-Unis avait publié un bulletin d’information en 2018 concernant “le désengagement potentiel de la fonction de verrouillage de l’interrupteur de contrôle du carburant”. Bien que cette préoccupation ne soit pas considérée comme une “condition dangereuse” nécessitant une directive plus sérieuse, Air India a informé les enquêteurs qu’elle n’avait pas effectué les inspections suggérées car elles étaient “conseillées et non obligatoires”. Air India respectait toutes les directives de navigabilité et les bulletins de service d’alerte, indique le rapport.Le bureau des enquêtes a déclaré qu’il n’y avait “aucune action recommandée pour les opérateurs et fabricants de moteurs B787-8 et/ou GE GEnx-1B”, suggérant qu’il n’y avait pas de problèmes techniques avec les moteurs (GE) ou l’appareil (Boeing). Boeing n’a pas commenté le rapport indien. “Nos pensées demeurent avec les proches des passagers et de l’équipage du vol Air India 171, et avec toutes les personnes affectées au sol à Ahmedabad. Nous continuons de soutenir l’enquête et nos clients”, a seulement écrit le constructeur dans un communiqué.L’enquête est toujours en cours, a ajouté le bureau indien, précisant que des éléments supplémentaires et des informations ont été “demandées aux parties prenantes”. L’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) de l’ONU stipule que les États dirigeant l’enquête doivent soumettre un rapport préliminaire dans les 30 jours suivant un accident. Des enquêteurs des États-Unis et du Royaume-Uni ont participé aux investigations.L’avion transportait 230 passagers — 169 Indiens, 53 Britanniques, sept Portugais et un Canadien — ainsi que 12 membres d’équipage. Des dizaines de personnes au sol ont aussi été blessées dans le crash. Un seul passager a survécu, un citoyen britannique sorti de lui même des décombres de l’avion, et qui a depuis quitté l’hôpital. Les autorités sanitaires de l’État indien du Gujarat avaient initialement annoncé qu’au moins 279 personnes avaient été tuées, mais des médecins légistes ont réduit le bilan à 260 morts après avoir identifié tous les restes des victimes.

Catastrophe d’Air India: l’alimentation en carburant coupée juste avant le crash

Les interrupteurs d’alimentation en carburant des moteurs d’un Boeing d’Air India qui s’est écrasé peu après le décollage le 12 juin, tuant 260 personnes, se sont mis en position “arrêt” juste avant l’impact, selon un rapport d’enquête préliminaire publié samedi.Le rapport, publié par le Bureau indien d’enquête sur les accidents aériens (AAIB), ne tire aucune conclusion et n’attribue aucune responsabilité, mais indique qu’un pilote a demandé à l’autre pourquoi il avait coupé le carburant, le second pilote répondant qu’il ne l’avait pas fait.Au total 241 personnes qui se trouvaient à bord du Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India ont été tuées, et une seule a survécu, lorsque l’avion s’est écrasé sur des habitations juste après le décollage dans la ville d’Ahmedabad, dans l’ouest du pays. Les autorités ont également identifié 19 personnes tuées au sol.Le Boeing avait atteint une vitesse maximale de 180 noeuds (333 km/h) en décollant lorsque les interrupteurs d’alimentation en carburant sont passés de la position “run” (ouvert) à la position “cutoff” (arrêt) pour le premier moteur puis le second une seconde plus tard, selon le rapport.Les deux moteurs ont alors commencé à perdre de la puissance.”Dans l’enregistrement des conversations dans le cockpit, l’un des pilotes demande à l’autre pourquoi il a coupé l’alimentation en carburant. Le second pilote répond qu’il ne l’a pas fait”, indique le rapport de 15 pages. Moins d’une minute plus tard, un pilote a transmis le signal de détresse “Mayday, Mayday, Mayday”, et l’avion s’est écrasé sur des habitations.Les contrôleurs aériens ont demandé aux pilotes ce qu’il se passait puis ont vu l’appareil s’écraser et on appelé les secours.L’avion a commencé à perdre de l’altitude avant même de quitter le périmètre de l’aéroport, selon le rapport.- Enquête toujours en cours -Le site spécialisé The Air Current, citant plusieurs sources au fait de l’enquête, a indiqué qu’elle s’est récemment “concentrée sur le mouvement des interrupteurs d’alimentation en carburant des moteurs, à la suite d’une analyse des enregistreurs intégrés de données de vol et de données vocales du Boeing 787”. L’analyse complète devrait prendre “des mois, si ce n’est plus”, et l’hypothèse privilégiée pourrait encore évoluer, précise-t-il dans sa publication cette semaine.Le rapport du bureau indien rappelle que l’Administration fédérale de l’aviation des États-Unis avait publié un bulletin d’information en 2018 concernant “le désengagement potentiel de la fonction de verrouillage de l’interrupteur de contrôle du carburant”. Bien que cette préoccupation ne soit pas considérée comme une “condition dangereuse” nécessitant une directive plus sérieuse, Air India a informé les enquêteurs qu’elle n’avait pas effectué les inspections suggérées car elles étaient “conseillées et non obligatoires”. Air India respectait toutes les directives de navigabilité et les bulletins de service d’alerte, indique le rapport.Le bureau des enquêtes a déclaré qu’il n’y avait “aucune action recommandée pour les opérateurs et fabricants de moteurs B787-8 et/ou GE GEnx-1B”, suggérant qu’il n’y avait pas de problèmes techniques avec les moteurs (GE) ou l’appareil (Boeing). Boeing n’a pas commenté le rapport indien. “Nos pensées demeurent avec les proches des passagers et de l’équipage du vol Air India 171, et avec toutes les personnes affectées au sol à Ahmedabad. Nous continuons de soutenir l’enquête et nos clients”, a seulement écrit le constructeur dans un communiqué.L’enquête est toujours en cours, a ajouté le bureau indien, précisant que des éléments supplémentaires et des informations ont été “demandées aux parties prenantes”. L’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) de l’ONU stipule que les États dirigeant l’enquête doivent soumettre un rapport préliminaire dans les 30 jours suivant un accident. Des enquêteurs des États-Unis et du Royaume-Uni ont participé aux investigations.L’avion transportait 230 passagers — 169 Indiens, 53 Britanniques, sept Portugais et un Canadien — ainsi que 12 membres d’équipage. Des dizaines de personnes au sol ont aussi été blessées dans le crash. Un seul passager a survécu, un citoyen britannique sorti de lui même des décombres de l’avion, et qui a depuis quitté l’hôpital. Les autorités sanitaires de l’État indien du Gujarat avaient initialement annoncé qu’au moins 279 personnes avaient été tuées, mais des médecins légistes ont réduit le bilan à 260 morts après avoir identifié tous les restes des victimes.

Catastrophe d’Air India: l’alimentation en carburant coupée juste avant le crash

Les interrupteurs d’alimentation en carburant des moteurs d’un Boeing d’Air India qui s’est écrasé peu après le décollage le 12 juin, tuant 260 personnes, se sont mis en position “arrêt” juste avant l’impact, selon un rapport d’enquête préliminaire publié samedi.Le rapport, publié par le Bureau indien d’enquête sur les accidents aériens (AAIB), ne tire aucune conclusion et n’attribue aucune responsabilité, mais indique qu’un pilote a demandé à l’autre pourquoi il avait coupé le carburant, le second pilote répondant qu’il ne l’avait pas fait.Au total 241 personnes qui se trouvaient à bord du Boeing 787-8 Dreamliner d’Air India ont été tuées, et une seule a survécu, lorsque l’avion s’est écrasé sur des habitations juste après le décollage dans la ville d’Ahmedabad, dans l’ouest du pays. Les autorités ont également identifié 19 personnes tuées au sol.Le Boeing avait atteint une vitesse maximale de 180 noeuds (333 km/h) en décollant lorsque les interrupteurs d’alimentation en carburant sont passés de la position “run” (ouvert) à la position “cutoff” (arrêt) pour le premier moteur puis le second une seconde plus tard, selon le rapport.Les deux moteurs ont alors commencé à perdre de la puissance.”Dans l’enregistrement des conversations dans le cockpit, l’un des pilotes demande à l’autre pourquoi il a coupé l’alimentation en carburant. Le second pilote répond qu’il ne l’a pas fait”, indique le rapport de 15 pages. Moins d’une minute plus tard, un pilote a transmis le signal de détresse “Mayday, Mayday, Mayday”, et l’avion s’est écrasé sur des habitations.Les contrôleurs aériens ont demandé aux pilotes ce qu’il se passait puis ont vu l’appareil s’écraser et on appelé les secours.L’avion a commencé à perdre de l’altitude avant même de quitter le périmètre de l’aéroport, selon le rapport.- Enquête toujours en cours -Le site spécialisé The Air Current, citant plusieurs sources au fait de l’enquête, a indiqué qu’elle s’est récemment “concentrée sur le mouvement des interrupteurs d’alimentation en carburant des moteurs, à la suite d’une analyse des enregistreurs intégrés de données de vol et de données vocales du Boeing 787”. L’analyse complète devrait prendre “des mois, si ce n’est plus”, et l’hypothèse privilégiée pourrait encore évoluer, précise-t-il dans sa publication cette semaine.Le rapport du bureau indien rappelle que l’Administration fédérale de l’aviation des États-Unis avait publié un bulletin d’information en 2018 concernant “le désengagement potentiel de la fonction de verrouillage de l’interrupteur de contrôle du carburant”. Bien que cette préoccupation ne soit pas considérée comme une “condition dangereuse” nécessitant une directive plus sérieuse, Air India a informé les enquêteurs qu’elle n’avait pas effectué les inspections suggérées car elles étaient “conseillées et non obligatoires”. Air India respectait toutes les directives de navigabilité et les bulletins de service d’alerte, indique le rapport.Le bureau des enquêtes a déclaré qu’il n’y avait “aucune action recommandée pour les opérateurs et fabricants de moteurs B787-8 et/ou GE GEnx-1B”, suggérant qu’il n’y avait pas de problèmes techniques avec les moteurs (GE) ou l’appareil (Boeing). Boeing n’a pas commenté le rapport indien. “Nos pensées demeurent avec les proches des passagers et de l’équipage du vol Air India 171, et avec toutes les personnes affectées au sol à Ahmedabad. Nous continuons de soutenir l’enquête et nos clients”, a seulement écrit le constructeur dans un communiqué.L’enquête est toujours en cours, a ajouté le bureau indien, précisant que des éléments supplémentaires et des informations ont été “demandées aux parties prenantes”. L’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) de l’ONU stipule que les États dirigeant l’enquête doivent soumettre un rapport préliminaire dans les 30 jours suivant un accident. Des enquêteurs des États-Unis et du Royaume-Uni ont participé aux investigations.L’avion transportait 230 passagers — 169 Indiens, 53 Britanniques, sept Portugais et un Canadien — ainsi que 12 membres d’équipage. Des dizaines de personnes au sol ont aussi été blessées dans le crash. Un seul passager a survécu, un citoyen britannique sorti de lui même des décombres de l’avion, et qui a depuis quitté l’hôpital. Les autorités sanitaires de l’État indien du Gujarat avaient initialement annoncé qu’au moins 279 personnes avaient été tuées, mais des médecins légistes ont réduit le bilan à 260 morts après avoir identifié tous les restes des victimes.

“Fito”, le plus grand narcotrafiquant d’Equateur, sera extradé vers les Etats-Unis

Le plus grand narcotrafiquant d’Equateur, Adolfo Macias surnommé “Fito”, a accepté vendredi d’être extradé vers les Etats-Unis, où le parquet l’accuse de trafic de cocaïne et d’armes, a annoncé la Cour nationale de justice du pays sud-américain. Considéré comme l’un des plus dangereux criminels d’Equateur, “Fito” avait été arrêté fin juin dans sa ville natale de Manta, à 350 km au sud-ouest de Quito, après un an et demi de cavale.Il s’était évadé en janvier 2024 du centre pénitentiaire de Guayaquil (sud-ouest) qu’il contrôlait et où il purgeait depuis 2011 une peine de 34 ans de réclusion pour crime organisé, trafic de drogue et meurtre.Vêtu de l’uniforme orange des détenus et la barbe taillée, “Fito” a assisté vendredi à l’audience en visio-conférence, depuis sa cellule dans une prison de haute sécurité, et répondu au juge: “Oui, j’accepte” (l’extradition). Cette décision ouvre la voie à son transfert. “Une fois l’extradition (…) acceptée, la procédure pour son transfert vers les Etats-Unis suivra son cours”, a indiqué la Cour dans un communiqué. Le président équatorien Daniel Noboa devra ordonner la remise de “Fito” à la justice américaine. Ce dernier deviendra le premier Equatorien à être extradé depuis le rétablissement en Equateur de cette procédure par référendum en 2024, une mesure défendue par M. Noboa dans sa lutte contre le crime organisé.Parlant d’une possible extradition, le président Noboa avait déclaré lors de sa capture: “le plus tôt possible sera le mieux”.”Nous l’envoyons avec grand plaisir pour qu’il réponde devant la loi américaine”, avait-il affirmé lors d’une interview avec CNN.- “Impitoyable” -Le parquet américain a accusé en avril “Fito” de trafic de cocaïne et d’armes. John Durham, procureur d’un tribunal de Brooklyn, a alors décrit Adolfo Macia comme “un leader impitoyable et un narcotrafiquant prolifique pour le compte d’une violente organisation criminelle transnationale”.Chef d’un des principaux gangs du pays, les Choneros, qui règne notamment sur le trafic de cocaïne, “Fito” a été associé à l’assassinat en août 2023 de l’un des principaux candidats à l’élection présidentielle équatorienne, Fernando Villavicencio.Ancien chauffeur de taxi, il était devenu l’ennemi public numéro un en Equateur, les autorités le désignant comme un “criminel aux caractéristiques extrêmement dangereuses”.Son évasion début 2024 avait déclenché une vague de violences sans précédent dans le pays, faisant des dizaines de morts et générant des mutineries dans plusieurs prisons, des combats de rue déclenchés par les gangs et une prise d’otages sur un plateau de télévision.Daniel Noboa avait alors déclaré le pays en “conflit armé interne” et déployé l’armée pour tenter de neutraliser la vingtaine de groupes criminels impliqués.Du fait de sa situation entre la Colombie et le Pérou – les plus grands pays producteurs mondiaux de cocaïne – et ses ports stratégiques sur le Pacifique, l’Equateur est devenu ces dernières années le théâtre de violents affrontements pour le contrôle des territoires destinés à l’acheminement de la cocaïne vers les Etats-Unis et l’Europe.Le gang des Choneros a des liens avec le cartel de Sinaloa au Mexique, le Clan del Golfo en Colombie, plus grand exportateur de cocaïne au monde, et les mafias des Balkans, selon l’Observatoire équatorien du crime organisé.Plus de 70% de toute la cocaïne produite dans le monde transite désormais par les ports de l’Equateur. En 2024, le pays a saisi un record de 294 tonnes de drogues, principalement de la cocaïne.

UN says hundreds killed in recent weeks while seeking aid in Gaza

Ten Palestinians were reported killed Friday while waiting for rations in Gaza, adding to nearly 800 similar deaths in the last six weeks, according to the UN, with Israel’s army saying it issued new instructions to troops following repeated reports of fatalities.Friday’s reported violence came as negotiators from Israel and the Palestinian militant group Hamas were locked in indirect talks in Qatar to try to agree on a temporary ceasefire in the more than 21-month conflict.Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu said Thursday he hoped a deal for a 60-day pause in the war could be struck in the coming days, and that he would then be ready to negotiate a more permanent end to hostilities.Hamas has said the free flow of aid is a main sticking point in the talks, with Gaza’s more than two million residents facing a dire humanitarian crisis of hunger and disease amid the grinding conflict.Israel began easing a more than two-month total blockade of aid in late May. Since then, a new US- and Israel-backed organisation called the Gaza Humanitarian Foundation (GHF) has effectively sidelined the territory’s vast UN-led aid delivery network.There are frequent reports of Israeli forces firing on people seeking aid, with Gaza’s civil defence agency saying 10 Palestinians were killed Friday while waiting at a distribution point near the southern city of Rafah.- ‘Unacceptable’ -The UN, which refuses to cooperate with GHF over concerns it was designed to cater to Israeli military objectives, said Friday that 798 people have been killed seeking aid between late May and July 7, including 615 “in the vicinity of the GHF sites”.”Where people are lining up for essential supplies such as food and medicine, and where… they have a choice between being shot or being fed, this is unacceptable,” UN rights office spokeswoman Ravina Shamdasani told reporters in Geneva.Israel’s military did not immediately respond to a request for comment on Friday’s deaths, but has previously accused militants of firing at civilians in the vicinity of aid centres.Asked about the UN figures, the military said it had worked to minimise “possible friction” between aid seekers and soldiers, and that it conducted “thorough examinations” of incidents in which “harm to civilians who arrived at distribution facilities was reported”.”Instructions were issued to forces in the field following lessons learned,” it added in a statement.GHF called the UN report “false and misleading”, claiming that “most deadly attacks on aid sites have been linked to UN convoys”.Mahmud Bassal, spokesman for Gaza’s civil defence agency, told AFP that Israeli forces killed 45 people overall in the territory on Friday.Media restrictions in Gaza and difficulties accessing many areas mean AFP is unable to independently verify tolls and details provided by the agency and other parties.- Truce talks -In Gaza’s south, a witness said Israeli tanks were seen near Khan Yunis, reporting “intense gunfire, intermittent air strikes, artillery shelling, and ongoing bulldozing and destruction of displacement camps and agricultural land”.Israel’s military said troops were operating in the area against “terrorist infrastructure sites, both above and below ground”.Hamas has said that as part of a potential truce deal it was willing to release 10 of the hostages taken during its attack on Israel on October 7, 2023, which sparked the Gaza war.Netanyahu, who is under pressure to end the war after mounting military losses, said that would leave 10 living hostages still in captivity.”I hope we can complete it in a few days,” he said of the initial ceasefire agreement and hostage release in an interview with US outlet Newsmax.”We’ll probably have a 60-day ceasefire, get the first batch out, then use the 60-day ceasefire to negotiate an end to this.”Netanyahu has said that a key condition of any deal is that Hamas first gives up its weapons and its hold on Gaza, warning that failure to do so on Israel’s terms would lead to further conflict.Another issue holding up a deal is disagreement on the number of Palestinian prisoners to be released in exchange for hostages, Foreign Minister Gideon Saar has said.Hamas has said it wants “real guarantees” for a lasting truce and Israel’s full withdrawal from Gaza, and that it opposes any Israeli moves to push Palestinians into “isolated enclaves”.The group’s 2023 attack on Israel led to the deaths of 1,219 people, most of them civilians, according to an AFP tally based on Israeli figures.Out of 251 hostages seized in the attack, 49 are still held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.At least 57,823 Palestinians, most of them civilians, have been killed since the start of the war, according to the health ministry in Hamas-run Gaza.

Pope Leo’s Illinois childhood home to become tourist site

Pope Leo XIV’s childhood home has been sold to the village where he grew up, which intends to make it a historical site, local media reported Friday.The modest brick home in the Chicago suburb of Dolton, population 21,000, was sold by its current owner for $375,000, WGN television said.It said the owner had bought the house for $66,000 last year — prior to Pope Leo’s election as the first American pontiff — and done extensive renovations.The Dolton village board of trustees voted earlier this month to purchase the three-bedroom house and turn it into an attraction open to the public.According to WBEZ Chicago radio, the parents of Pope Leo — born Robert Prevost — bought the house in 1949 and sold it in 1996.

Ecuador’s top drug lord agrees to US extradition

Ecuador’s most notorious drug lord has agreed to be extradited to the United States to face cocaine and weapons smuggling charges, a court in Quito said Friday.Adolfo Macias, alias “Fito,” was captured in June after escaping from a maximum security prison last year in a jailbreak that sparked a severe wave of gang violence.Macias, head of the “Los Choneros” gang, is wanted in the United States on charges of cocaine distribution, conspiracy and firearms-related crimes, including weapons smuggling.The former taxi driver turned crime boss became the prime target of Ecuadoran law enforcement early last year after escaping from prison in the southwestern port of Guayaquil. He had been serving a 34-year sentence since 2011 for involvement in organized crime, drug trafficking and murder. President Daniel Noboa’s government at the time released “wanted” posters and offered $1 million for information leading to Macias’s recapture. In a country plagued by drug-related crime, Los Choneros members responded with violence — using car bombs, holding prison guards hostage and storming a television station during a live broadcast.After months of pursuit, Macias was recaptured last month in a massive military and police operation in which no shots were fired. He was found hiding in a bunker concealed under floor tiles in a luxury home in the fishing port of Manta, and Noboa declared he would be extradited “the sooner the better.””We will gladly send him and let him answer to the North American law,” Noboa told CNN at the time.- Fighting cocks and mariachi bands -Macias, dressed in an orange prison uniform, took part in a court hearing Friday by video link from a high-security prison in Guayaquil.In response to a judge’s question, he replied, “Yes, I accept (extradition).”Given his consent, the court said in a statement “the pertinent procedure for the transfer process” will now follow, with Noboa having to sign the official handover papers.This would make Macias the first Ecuadoran extradited by his country since the measure was written into law last year after a referendum in which Noboa sought the approval of measures to boost his war on criminal gangs.Ecuador, once a peaceful haven between the world’s two top cocaine exporters Colombia and Peru, has seen violence erupt in recent years as enemy gangs with ties to Mexican and Colombian cartels vie for control.Gang wars have largely played out inside the country’s prisons, where Macias wielded immense control. He was the unofficial boss of his Guayaquil prison, where authorities found images glorifying the gangster, weapons and US dollars.Videos of parties he held in the prison showed the use of fireworks and a mariachi band. In one clip, he appeared waving, laughing and petting a fighting rooster. Macias earned his law degree behind bars.By the time he escaped, he was considered a suspect in the assassination of presidential candidate and anti-corruption crusader Fernando Villavicencio in 2023.Soon after Macias’s prison break, Noboa declared Ecuador to be in a state of “internal armed conflict” and ordered the military and tanks into the streets to “neutralize” the gangs.Los Choneros has ties to Mexico’s Sinaloa cartel, Colombia’s Gulf Clan — the world’s largest cocaine exporter — and Balkan mafias, according to the Ecuadorian Organized Crime Observatory. More than 70 percent of all cocaine produced in the world now passes through Ecuador’s ports, according to government data.In 2024, the country seized a record 294 tons of drugs, mainly cocaine.

‘Superman’ aims to save flagging film franchise, not just humanity

Superman is often called upon to save the world from evildoers, but in his latest big-screen incarnation, he’s also being asked to swoop in and save a franchise.James Gunn’s “Superman,” which opened in theaters worldwide this week, is a reboot aimed at relaunching the so-called DC Universe of comic book-based superhero movies, which also features Wonder Woman and Batman.The celluloid efforts of Warner Bros. and DC Studios have been widely eclipsed by Disney’s Marvel Cinematic Universe — the world of Iron Man, Thor, Black Panther and the Fantastic Four, who are getting their own reboot later this month. “Warner Bros. has invested a lot of energy and money in trying to refocus and renew DC Studios, and this is going to be the big release from that,” analyst David A. Gross from Franchise Entertainment Research told AFP.The heavy task falls on the shoulders of Gunn, the writer-director who won praise from fans of the genre with Marvel’s “Guardians of the Galaxy” trilogy. The movie’s rollout has already encountered several headwinds, including a right-wing backlash to Gunn’s comments on Superman’s role as an immigrant, and skepticism from fans of the previous Superman films helmed by director Zack Snyder.Gunn has shrugged off the high stakes surrounding the movie’s box office success.”Is there something riding on it? Yeah, but it’s not as big as people make it out to be,” he told GQ Magazine. “They hear these numbers that the movie’s only going to be successful if it makes $700 million or something and it’s just complete and utter nonsense.”The hype around the movie is real — the White House even superimposed President Donald Trump onto one of the movie’s official posters with the caption “THE SYMBOL OF HOPE. TRUTH. JUSTICE. THE AMERICAN WAY. SUPERMAN TRUMP.”- ‘A diminished genre’ -Warner Bros. hopes the DC Universe can catch up with Marvel which — after years of huge successes with the “Avengers” movies — has seen more muted box office returns with the recent “Thunderbolts” and “Captain America: Brave New World.”Gross explained that superhero films hit a peak right before the Covid-19 pandemic, with box office earnings and audience enthusiasm waning ever since that time.”It’s really a diminished genre,” Gross said.However, the analyst said early buzz for “Superman” was “really good.” The film stars up-and-comer David Corenswet as the new Superman/Clark Kent, with “The Marvelous Mrs. Maisel” star Rachel Brosnahan playing love interest Lois Lane and Nicholas Hoult as arch-villain Lex Luthor.The story follows the Man of Steel coming to terms with his alien identity as he finds his place in the human world.The supporting cast boasts a selection of other DC Comics characters, from the peacekeeping Green Lantern (Nathan Fillion) — who is scheduled to reprise the role in upcoming TV series “Lanterns” — to the mace-wielding Hawkgirl. Gross noted that July “is the top moviegoing month of the year,” leading tracking estimates to forecast a total of more than $100 million for the film’s opening weekend in North America.- ‘The story of America’ -DC Studios however must shake off a reputation for producing mediocre films that did not score well with audiences.The last round of “DC Extended Universe” films included the well-liked “Wonder Woman” (2017) starring Gal Gadot — but also box office flops like “Shazam! Fury of the Gods” (2023) and the under-performing “Aquaman” sequel with Jason Momoa.”The success was mixed, and they were spending a lot of money on some of the new spinoff characters who were not working particularly well,” Gross said, pointing at 2021’s “The Suicide Squad” — directed by Gunn — as an example.The last films featuring Superman, starring Henry Cavill and directed by Snyder, were relatively successful for Warner Bros. until “Justice League” — DC’s effort at recreating the “Avengers” vibe — which lost millions of dollars.Fans of Snyder have stirred up negative buzz for the new “Superman” movie, voicing hope online that the reboot fails out of a sense of loyalty to the previous films.The backlash was further widened after right-wing pundits groaned about Superman’s specific characterization as an immigrant, lamenting the superhero had become “woke.”Gunn addressed the criticism, telling The Times newspaper that “Superman is the story of America,” with the character reflecting those who “came from other places and populated the country.””I’m telling a story about a guy who is uniquely good, and that feels needed now,” he added.Ultimately, time will soon tell if Corenswet’s chiseled looks and Gunn’s directorial vision will be the superpowers that DC Studios need — or prove to be its Kryptonite.