Asian markets mixed after US growth data fuels Wall St record

Asian markets went into the Christmas break Wednesday on a mixed note as investors struggled to track a record day on Wall Street fuelled by forecast-topping US economic data.After a healthy start, regional stocks stuttered into the close, although gold topped $4,500 for the first time amid US military and economic pressure on Venezuela.Traders in New York pushed the S&P 500 to an all-time high in response to figures showing the world’s top economy expanded 4.3 percent in the third quarter, the fastest pace in two years and much quicker than expected.The report, which was boosted by healthy consumer and business spending, provided some reassurance to investors about the economic outlook after a string of increasingly weakening jobs data.However, other figures did provide some cause for thought, with a gauge of consumer spending falling for a fifth successive month to its lowest level since February 2021 owing to worries about jobs. A report last showed unemployment at a four-year high.With the economy appearing to be in better shape than expected, investors pared their bets on another Federal Reserve interest rate cut next month.And while hopes for lower borrowing costs have been a key driver of the recent market rally, analysts said the strong growth overshadowed any disappointment that they will remain unchanged for now.”We’re set up for a Santa Claus rally,” UBP’s Kieran Calder told Bloomberg TV. “The market is taking some of the data pretty positively.”Asian markets swung between gains and losses as traders wound down before Christmas.Tokyo reversed a morning rally to end lower, while Sydney, Singapore, Seoul, Bangkok and Jakarta also fell.Hong Kong finished on a positive note, with Shanghai, Wellington, Taipei and Mumbai also up.Gold rallied above $4,500 for the first time to a peak of $4,525.77 per ounce, while silver hit $72.70 an ounce, with US-Venezuela tensions adding to expectations the Fed will keep cutting rates next year.Geopolitical worries have grown as Washington continues to put pressure on Caracas with a blockade of sanctioned oil vessels sailing to and from Venezuela.And on Monday, US President Donald Trump said Venezuelan President Nicolas Maduro would be “smart” to step down, as Washington ramps up military operations and threats.The yen extended its recent rebound against the dollar after Japan’s Finance Minister Satsuki Katayama suggested authorities were prepared to step in to support the currency, citing speculative moves in markets.South Korea’s won also rallied after the country’s central bank and finance ministry said they had discussed the unit’s weakness and warned against excessive weakness, while the government also said it would unveil a tax policy to ramp up inward investment.The unit has come under pressure owing to a range of issues, including a flight of capital and concerns that planned US investment — as part of trade talks — could see a further exit of cash.The won was trading around 1,457 to the dollar Wednesday, having pushed close to 1,500, a level it last saw in 2009 during the global financial crisis.- Key figures at around 0700 GMT – Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.1 percent at 50,344.10 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.2 percent at 25,818.93 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,940.95 (close)Dollar/yen: DOWN at 155.70 yen from 156.27 yen on TuesdayEuro/dollar: UP $1.1800 from $1.1791Pound/dollar: UP at $1.3522 from $1.3499Euro/pound: DOWN at 87.26 pence from 87.34 penceWest Texas Intermediate: UP 0.3 percent at $58.57 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $62.55 per barrelNew York – Dow: UP 0.2 percent at 48,442.41 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,889.22 (close)

La cyberattaque contre La Poste perd en intensité à deux jours de Noël

La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël était “toujours en cours” mardi soir, mais avait “perdu en intensité”, selon l’opérateur postal.Le parquet de Paris a indiqué à l’AFP qu’il avait ouvert une enquête “pour des faits d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données”, confiée à l’Unité nationale cyber (UNC) et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d’année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.”La distribution des colis et des courriers s’est déroulée normalement aujourd’hui (mardi)”, malgré “ce contexte difficile”, a signalé le groupe dans un message envoyé à l’AFP à 19H30.Mardi matin, le ministre de l’Economie Roland Lescure avait souligné sur BFMTV/RMC que “la priorité des priorités”, c’était “de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël”.Dans un bureau de poste du 2e arrondissement de Paris, l’AFP a constaté que le service n’était que marginalement perturbé mardi. La réception des colis était assurée et le courrier distribué. Seul le suivi des colis sur internet restait inopérant.Au comptoir, Monique Petit, 69 ans, un paquet sous le bras à destination de Nantes, s’estimait “peu inquiète” concernant l’acheminement de son colis. “Tout a l’air de fonctionner normalement. C’est un cadeau de Noël pour ma fille, j’espère qu’elle l’aura dans les prochains jours”, a-t-elle expliqué. “On m’a indiqué que le suivi de colis ne fonctionne pas, mais je passerai un coup de téléphone pour savoir s’il est arrivé”, a-t-elle ajouté.- Hackers prorusses ? -“L’accès à nos services en ligne s’est globalement amélioré dans la journée (mardi), avec une instabilité plus marquée sur laposte.fr.”, selon le dernier point de situation de l’entreprise à 19H30.Concernant La Banque postale, “des ralentissements” ont pu être observés “dans certaines circonstances”, mais les opérations bancaires en bureau de poste ont “normalement fonctionné”, a précisé le groupe.Des difficultés demeuraient néanmoins dans “l’accessibilité (des) centres d’appel”. La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu’aucune donnée sensible n’avait été volée, évoquant un incident de type “déni de service”. Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Le parquet a confirmé que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l’Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l’attaque.Mais cette revendication ne mentionne que le nom de domaine “lidentite.numerique.laposte.fr” dont l’accès n’était pas perturbé dans l’après-midi, a constaté l’AFP.Le chercheur en cybersécurité Baptiste Robert a appelé sur son compte X à la prudence quant à cette revendication “tardive”, rappelant qu’il était “habituel de voir des revendications opportunistes” par des groupes cherchant la lumière médiatique.meh-llb-fbe-alh/ved/er

La cyberattaque contre La Poste perd en intensité à deux jours de Noël

La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël était “toujours en cours” mardi soir, mais avait “perdu en intensité”, selon l’opérateur postal.Le parquet de Paris a indiqué à l’AFP qu’il avait ouvert une enquête “pour des faits d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données”, confiée à l’Unité nationale cyber (UNC) et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d’année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.”La distribution des colis et des courriers s’est déroulée normalement aujourd’hui (mardi)”, malgré “ce contexte difficile”, a signalé le groupe dans un message envoyé à l’AFP à 19H30.Mardi matin, le ministre de l’Economie Roland Lescure avait souligné sur BFMTV/RMC que “la priorité des priorités”, c’était “de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël”.Dans un bureau de poste du 2e arrondissement de Paris, l’AFP a constaté que le service n’était que marginalement perturbé mardi. La réception des colis était assurée et le courrier distribué. Seul le suivi des colis sur internet restait inopérant.Au comptoir, Monique Petit, 69 ans, un paquet sous le bras à destination de Nantes, s’estimait “peu inquiète” concernant l’acheminement de son colis. “Tout a l’air de fonctionner normalement. C’est un cadeau de Noël pour ma fille, j’espère qu’elle l’aura dans les prochains jours”, a-t-elle expliqué. “On m’a indiqué que le suivi de colis ne fonctionne pas, mais je passerai un coup de téléphone pour savoir s’il est arrivé”, a-t-elle ajouté.- Hackers prorusses ? -“L’accès à nos services en ligne s’est globalement amélioré dans la journée (mardi), avec une instabilité plus marquée sur laposte.fr.”, selon le dernier point de situation de l’entreprise à 19H30.Concernant La Banque postale, “des ralentissements” ont pu être observés “dans certaines circonstances”, mais les opérations bancaires en bureau de poste ont “normalement fonctionné”, a précisé le groupe.Des difficultés demeuraient néanmoins dans “l’accessibilité (des) centres d’appel”. La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu’aucune donnée sensible n’avait été volée, évoquant un incident de type “déni de service”. Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Le parquet a confirmé que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l’Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l’attaque.Mais cette revendication ne mentionne que le nom de domaine “lidentite.numerique.laposte.fr” dont l’accès n’était pas perturbé dans l’après-midi, a constaté l’AFP.Le chercheur en cybersécurité Baptiste Robert a appelé sur son compte X à la prudence quant à cette revendication “tardive”, rappelant qu’il était “habituel de voir des revendications opportunistes” par des groupes cherchant la lumière médiatique.meh-llb-fbe-alh/ved/er

Fin de la vigilance rouge crues dans l’Hérault, un épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme

Météo-France a abaissé mercredi le niveau de vigilance pour crues de rouge à orange dans l’Hérault, la décrue devant se poursuivre dans la journée faute de nouvelles précipitations.Dans son bulletin de 06H00, le prévisionniste a par ailleurs annoncé que l’Ardèche et la Drôme passeraient en vigilance orange neige-verglas mercredi soir.Le département de l’Hérault avait été placé en vigilance rouge lundi pour des crues exceptionnelles, notamment sur le fleuve du même nom, en raison de fortes précipitations qui ont provoqué notamment une montée des eaux d’une ampleur inédite depuis 1994 à Agde. Selon le dernier bulletin de Météo-France, l’Hérault reste toutefois en vigilance orange pour risque de crues, tandis que dix autres départements demeurent en vigilance jaune pour le même phénomène.”Les conditions sont désormais plus favorables à une baisse progressive des niveaux, mais la prudence reste de mise dans les zones encore impactées”, souligne Météo-France, qui précise sur son site Vigicrues que des “débordements dommageables seront encore observés ce mercredi”, dans le secteur d’Agde.Sur la commune d’Agde, le niveau du fleuve Hérault a atteint un seuil haut –plateau- de 3,55 m lundi à 20H00. Il faut remonter à novembre 1994 pour observer en Agde une crue aval similaire, a indiqué la préfecture.A 6H30 mercredi, le niveau était redescendu à 3,22 m et  Vigicrues prévoit un nouveau recul à 3,10 m à 10H.Parallèlement, un épisode neigeux est attendu dans la vallée du Rhône et en Auvergne-Rhône-Alpes.Météo-France prévoit de placer l’Ardèche et la Drôme en vigilance orange pour neige et verglas entre 18H mercredi et 6H jeudi.Une perturbation active traversera la région dans la nuit de mercredi à jeudi, générée par le conflit entre l’air froid venu du nord et l’air doux et humide remontant de Méditerranée. Les chutes de neige pourraient atteindre 5 centimètres en plaine, davantage sur les hauteurs, rendant la circulation difficile en cette période de fêtes. Des pluies verglaçantes sont également possibles dans le sud des départements concernés.

Fin de la vigilance rouge crues dans l’Hérault, un épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme

Météo-France a abaissé mercredi le niveau de vigilance pour crues de rouge à orange dans l’Hérault, la décrue devant se poursuivre dans la journée faute de nouvelles précipitations.Dans son bulletin de 06H00, le prévisionniste a par ailleurs annoncé que l’Ardèche et la Drôme passeraient en vigilance orange neige-verglas mercredi soir.Le département de l’Hérault avait été placé en vigilance rouge lundi pour des crues exceptionnelles, notamment sur le fleuve du même nom, en raison de fortes précipitations qui ont provoqué notamment une montée des eaux d’une ampleur inédite depuis 1994 à Agde. Selon le dernier bulletin de Météo-France, l’Hérault reste toutefois en vigilance orange pour risque de crues, tandis que dix autres départements demeurent en vigilance jaune pour le même phénomène.”Les conditions sont désormais plus favorables à une baisse progressive des niveaux, mais la prudence reste de mise dans les zones encore impactées”, souligne Météo-France, qui précise sur son site Vigicrues que des “débordements dommageables seront encore observés ce mercredi”, dans le secteur d’Agde.Sur la commune d’Agde, le niveau du fleuve Hérault a atteint un seuil haut –plateau- de 3,55 m lundi à 20H00. Il faut remonter à novembre 1994 pour observer en Agde une crue aval similaire, a indiqué la préfecture.A 6H30 mercredi, le niveau était redescendu à 3,22 m et  Vigicrues prévoit un nouveau recul à 3,10 m à 10H.Parallèlement, un épisode neigeux est attendu dans la vallée du Rhône et en Auvergne-Rhône-Alpes.Météo-France prévoit de placer l’Ardèche et la Drôme en vigilance orange pour neige et verglas entre 18H mercredi et 6H jeudi.Une perturbation active traversera la région dans la nuit de mercredi à jeudi, générée par le conflit entre l’air froid venu du nord et l’air doux et humide remontant de Méditerranée. Les chutes de neige pourraient atteindre 5 centimètres en plaine, davantage sur les hauteurs, rendant la circulation difficile en cette période de fêtes. Des pluies verglaçantes sont également possibles dans le sud des départements concernés.

Régulation de la tech: Washington sanctionne des Européens, dont Thierry Breton

L’administration Trump a annoncé mardi des sanctions visant cinq personnalités européennes engagées pour une stricte régulation de la tech et contre la désinformation en ligne, dont un ancien commissaire européen, le Français Thierry Breton, qui a dénoncé un “vent de maccarthysme”.Les agissements de ces personnes, qui se voient interdites de séjour aux Etats-Unis, s’apparentent à de la “censure” au détriment des intérêts américains, a justifié le département d’Etat.”Depuis trop longtemps, les idéologues européens mènent des actions concertées pour contraindre les plateformes américaines à sanctionner les opinions américaines auxquelles ils s’opposent”, a fustigé le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, sur X.”L’administration Trump ne tolérera plus ces actes flagrants de censure extraterritoriale”, a-t-il ajouté, dénonçant “un complexe industriel mondial de la censure”.Parmi les personnes concernées figure le Français Thierry Breton, ancien ministre et artisan de la directive européenne sur les services numériques, qui a été commissaire au Marché intérieur de 2019 à 2024, avec de larges compétences en particulier sur les dossiers numériques et industriels.Il a dénoncé sur X un “vent de maccarthysme” aux Etats-Unis, en référence à la chasse aux sorcières anticommuniste menée par le sénateur américain Joseph McCarthy dans les années 1950.”Pour rappel : 90% du Parlement européen – démocratiquement élu – et les 27 États membres à l’unanimité ont voté le DSA”, la législation européenne sur le numérique, a-t-il souligné. “À nos amis américains : +La censure n’est pas là où vous le pensez+”, a-t-il conclu.Jean-Noël Barrot, le chef de la diplomatie française, a affirmé sur X également que “les peuples de l’Europe sont libres et souverains et ne sauraient se faire imposer par d’autres les règles s’appliquant à leur espace numérique”.Les quatre autres personnes sanctionnées sont des représentants d’ONG luttant contre la désinformation et la haine en ligne au Royaume-Uni et en Allemagne: Imran Ahmed, qui dirige le Center for Countering Digital Hate (CCDH), Clare Melford, à la tête d’un index de la désinformation (GDI) basé au Royaume-Uni, ainsi que Anna-Lena von Hodenberg, fondatrice de HateAid, une ONG allemande, et Josephine Ballon, de la même association.Les Européens n’ont généralement pas besoin de visa pour se rendre aux États-Unis, mais doivent toutefois obtenir une autorisation électronique de voyage (ESTA).- L’Europe dans le collimateur -Le président américain Donald Trump mène une offensive d’envergure contre les règles de l’Union européenne sur la tech qui imposent aux plateformes des régulations, comme le signalement de contenus problématiques, jugées par les Etats-Unis comme une atteinte à la liberté d’expression.L’UE dispose, de fait, de l’arsenal juridique le plus puissant au monde pour réguler le numérique.Washington a notamment très mal pris l’amende de 140 millions de dollars infligée par l’UE début décembre à X, le réseau social du milliardaire Elon Musk, décrite par Marco Rubio comme une “attaque contre toutes les plateformes technologiques américaines et le peuple américain par des gouvernements étrangers”. Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a l’Europe dans le collimateur.Dans sa nouvelle Stratégie de sécurité nationale, publiée récemment, qui parle d’un “effacement civilisationnel” de l’Europe, Washington cible pêle-mêle les instances européennes “qui sapent la liberté politique et la souveraineté”, les politiques migratoires ou encore “l’effondrement des taux de natalité” sur le Vieux continent.Dès février dernier, le vice-président américain, JD Vance, avait consterné les Européens lors d’un discours à Munich dans lequel il avait affirmé que la liberté d’expression “reculait” sur le continent, épousant les vues des partis d’extrême droite comme l’AfD, en Allemagne.En mai, le secrétaire d’Etat américain avait déjà annoncé des restrictions de visas pour les étrangers accusés de “censurer les Américains”, affirmant que la liberté d’expression était “essentielle au mode de vie américain”.Par ailleurs, un récent mémo du département d’Etat, cité dans la presse américaine, évoque de nouvelles consignes du gouvernement américain visant à restreindre les visas pour des personnes travaillant dans la tech (les visas H-1B), notamment spécialisées dans la modération de contenu.Le Réseau international de vérification des faits (IFCN, International fact-checking network), basé aux Etats-Unis et qui rassemble plus de 170 entités travaillant sur la vérification des faits et la lutte contre la désinformation, avait exprimé sa “profonde préoccupation” à ce sujet. L’AFP en fait partie au titre de ses activités internationales de fact-checking.

India space agency launches its heaviest satellite

India’s space agency launched its heaviest ever payload on Wednesday, with Prime Minister Narendra Modi calling the deployment “a significant stride” for the space sector.The LVM3-M6 rocket launched the US-built AST SpaceMobile communications satellite into low-Earth orbit.The Indian Space Research Organisation (ISRO) said it was the “heaviest payload to be launched from Indian soil”. The launch is a boost for India’s ambitious low-cost space programme, with plans for an uncrewed orbital mission and human spaceflight in the coming years.The satellite, weighing 6,100 kilograms (13,448 pounds), was launched on a modified version of a rocket that India plans to use for its future space missions. India is vying for a larger slice of the booming commercial satellite business as phone, internet and other companies seek expanded and more high-end communications.Modi said the launch marked “a proud milestone in India’s space journey”. “It strengthens India’s heavy-lift launch capability and reinforces our growing role in the global commercial launch market,” he said in a statement.Earlier this year, ISRO launched the CMS-03 communication satellite, which weighs about 4,410 kilograms.For these heavy launches, India has deployed an upgraded version of the rocket it used to send an unmanned craft to the Moon in August 2023.The world’s most populous nation has flexed its spacefaring ambitions in the last decade with its space programme growing considerably, and rivalling the achievements of established powers at a much cheaper price tag.It has said it plans to launch an uncrewed orbital mission before its first human spaceflight in 2027.Modi has also announced plans to send an astronaut to the Moon by 2040.