Football: African briefsThu, 26 Jun 2025 17:49:58 GMT
South African champions Mamelodi Sundowns have received a massive cash boost despite exiting the Club World Cup in the United States after the first round.Here, AFP Sport also reports on a thrilling climax to the Tanzanian league and the possible departure of two key fixtures in Pyramids’ CAF Champions League triumph. South AfricaSundowns may have …
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Yvelines: la fin des chalets flottants confirmée par le tribunal administratif
Les occupants des chalets flottants de l’étang de la Galiotte à Carrières-sous-Poissy (Yvelines) vont devoir quitter leurs logements avant la fin de l’année, a décidé jeudi le tribunal administratif de Versailles, donnant raison au conseil départemental.Dans cet étang au cœur du parc du Peuple de l’Herbe, 37 cabanons de pêche construits par d’anciens ouvriers ont au fil des années été transformés en des lieux de villégiature.Mais le conseil départemental des Yvelines, propriétaire du parc, “a finalement jugé que les objectifs qu’il poursuivait en termes de protection des écosystèmes et d’ouverture à un large public étaient désormais incompatibles avec l’occupation privative des berges de l’étang de la Galiotte, l’amarrage des chalets flottants faisant en outre obstacle à sa volonté de renaturation des berges”, note le tribunal administratif dans sa décision.L’association de la Galiotte avait recueilli plus de 4.000 signatures dans une pétition pour sauver les chalets flottants et insiste sur la valeur patrimoniale des constructions.”C’est un très bel exemple d’architecture populaire avec un ensemble de maisons disparates, qui ont chacune leur caractère”, avait décrit à l’AFP son président, Emmanuel Soyer.
Irish legend O’Mahony to lead BaaBaas in South AfricaThu, 26 Jun 2025 17:39:36 GMT
Ireland rugby legend Peter O’Mahony will captain the Barbarians against world champions South Africa in a non-cap exhibition match at Cape Town Stadium on Saturday. The 35-year-old retired as a Test flanker after the 2025 Six Nations Championship having made 114 appearances and played his final match for Munster in the United Rugby Championship last month. O’Mahony …
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Kylian Mbappé accuse le PSG de harcèlement moral, deux juges d’instruction saisis
Une information judiciaire a été ouverte mardi pour harcèlement moral après la plainte déposée par Kylian Mbappé contre le Paris Saint-Germain, son ancien club. Dans le viseur: la pratique du “loft”, déjà dénoncée par d’autres joueurs.Le parquet de Paris a indiqué jeudi à l’AFP avoir ouvert une information judiciaire contre X, pour harcèlement moral. Deux juges d’instruction ont été saisis, a précisé une source proche du dossier pour enquêter sur les accusations du joueur, qui évolue au Real Madrid depuis l’été dernier.Kylian Mbappé, capitaine de l’équipe de France, a déposé plainte à Paris le 16 mai pour harcèlement moral et tentative d’extorsion de signature, dénonçant notamment son placement à l’été 2023 dans le “loft” du PSG, comme ses avocats l’avaient annoncé en avril lors d’une conférence de presseCette pratique, récurrente dans les clubs de football, consiste à mettre des joueurs à l’écart de l’effectif et fait déjà l’objet de plusieurs enquêtes à Paris.- “Maximiser” les transferts -Une autre procédure est ainsi confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP), après la plainte déposée en mai par la joueuse Kheira Hamraoui visant le PSG.Dans ce dossier, la milieu de terrain, qui avait été agressée, affirme que le club l’a mise à l’écart après sa convalescence afin de l’inciter à partir, selon une source proche du dossier.Le PSG n’est pas le seul club visé par des accusations.Dès janvier 2024, le syndicat des footballeurs et footballeuses professionnels UNFP avait porté plainte contre X, s’appuyant sur une liste d’une cinquantaine de joueurs placés en “loft” (mais qui n’ont pas été associés à la préparation de la plainte).Le syndicat accuse de harcèlement moral et d’extorsion les différents clubs mettant en place ces “lofts” pour mettre délibérément à l’écart certains joueurs afin, selon le syndicat, de “maximiser le prix des transferts”. Une enquête a été ouverte, dirigée par le parquet.Début juin, les avocats de l’UNFP, Léon Del Forno et Julia Minkowski, ont déposé une nouvelle plainte pour obtenir qu’un juge d’instruction soit saisi des investigations.- Placard sur gazon -Que reprochent les joueurs à leurs clubs ? Concrètement, lors de la période estivale des transferts, encadrée par la convention collective des footballeurs professionnels, des clubs peuvent placer les joueurs dont ils veulent se séparer dans un “loft”, sorte de mise au placard adaptée au gazon: plus d’entraînements avec le groupe professionnel, plus de déplacements, ni de matches…Selon l’article 507 de la Charte du football français, qui fait office de convention collective, les clubs ont toutefois des devoirs envers ces joueurs: leur permettre d’accéder aux vestiaires, aux infrastructures d’entraînement, à des soins médicaux “éventuellement différents, mais de qualité identique”…Ils doivent aussi leur fournir les équipements “prévus pour tous les joueurs professionnels” et leur proposer des horaires d’entraînement “compatibles avec les autres conditions de préparation et d’entraînement du groupe principal des professionnels, ainsi que respectueuses de la santé des joueurs”.Ce “loft” doit se terminer le 1er septembre, date de clôture du marché des transferts. Mais ces pratiques connaissent de nombreuses dérives, selon ses pourfendeurs.Cette mise à l’écart, jugée alors abusive, pousse les joueurs à prolonger leur contrat au club ou, à l’inverse, à accepter un transfert – une façon pour leur employeur de se séparer d’eux en s’assurant de toucher des indemnités – voire à résilier leur contrat.Sollicités jeudi, l’avocat pénaliste de Kylian Mbappé, Pierre-Olivier Sur, et son entourage n’ont pas souhaité commenter l’ouverture de l’information judiciaire, tout comme le PSG.Outre le volet pénal, Kylian Mbappé est également en litige financier avec le PSG. Ses avocats ont tenu leur première conférence de presse depuis le début du conflit, pour “passer à l’attaque” après un long bras de fer devant les instances sportives, comme la Fédération française de football et la Ligue de football professionnel.En somme, Kylian Mbappé, parti libre au Real Madrid à l’été 2024, réclame 55 millions d’euros de primes et salaires impayés car aucun accord n’a existé entre lui et le club, selon son entourage. Un “récit fantasque”, affirme le PSG.Dans ce dossier, le joueur avait obtenu en avril la saisie conservatoire de cette somme sur les comptes du PSG, mais cette décision a ensuite été annulée le 26 mai par la justice. Selon une source proche du dossier, les 55 millions d’euros restent saisis jusqu’à l’audience d’appel, dont la date n’est pas connue.
16 dead, thousands of businesses destroyed after Kenya protestsThu, 26 Jun 2025 17:32:11 GMT
Kenya’s under-fire government on Thursday condemned protests across the country during which at least 16 people were killed and thousands of businesses ruined as “terrorism disguised as dissent”.The marches on Wednesday were called to mark the one-year anniversary of anti-tax demonstrations that peaked when a huge crowd stormed parliament and dozens were killed by security …
G20 president S.Africa warns global turmoil hurts poorer nationsThu, 26 Jun 2025 17:24:17 GMT
Global fragmentation is fuelling unprecedented turmoil and disproportionately harming poorer nations, South Africa’s foreign minister warned Thursday, urging a united G20 response for peace. Ronald Lamola made the remarks to dozens of diplomats from the G20 group of the world’s leading economies meeting to prepare for its summit in November under South Africa’s presidency. “State rivalries are …
Pratiques d’enquête contestées: la cheffe de l’office anti-stupéfiants de Marseille et son adjoint mis en examen
Séisme à l’Office anti-stupéfiants (Ofast) de Marseille: sa cheffe et son adjoint ont été mis en examen à Paris dans le cadre d’une enquête sur une livraison surveillée en 2023 de cocaïne suspectée d’avoir connu de graves dérives.Ces commissaires ont été mis en examen, respectivement mercredi et jeudi, par les juges d’instruction de la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco), notamment pour “complicité de faux en écriture publique par une personne dépositaire de l’autorité publique” et “violation du secret d’une enquête portant sur la criminalité organisée”, a indiqué le parquet de Paris, confirmant à l’AFP une information de sources proches du dossier.Les deux hauts gradés sont aussi mis en examen pour “complicité d’atteinte à l’intimité par captation d’images et de paroles”, selon le ministère public.”Ils ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer des fonctions et missions de police judiciaire, de se rendre dans tous les locaux de police des Bouches-du-Rhône, interdiction d’entrer en relation avec d’autres personnes apparaissant dans le dossier”, a ajouté la même source.”Après deux jours de garde à vue, ma cliente, cheffe de l’Ofast Marseille, n’est ni mise en examen pour corruption, ni (…) pour trafic de cocaïne, ni (…) pour importation de stupéfiants en bande organisée”, a relevé auprès de l’AFP son avocat, Louis Cailliez.- “Instrumentalisation” -“Elle conteste vigoureusement toute infraction pénale de sa part et défendra son honneur et sa probité en dépit des tentatives d’instrumentalisation de ce dossier”, a-t-il affirmé.En avril, deux policiers de l’Ofast de Marseille avaient déjà été mis en examen, puis placés en détention provisoire, eux pour trafic de stupéfiants en bande organisée, blanchiment ou encore association de malfaiteurs. Puis en juin, un autre avait à son tour été mis en examen.Car l’enquête dirigée par la Junalco a révélé, selon le ministère public, de possibles “échanges entre des policiers et d’autres personnes, portant sur la cession d’au moins 360 kg de cocaïne, en dehors de tout contrôle hiérarchique, et sur la dissimulation des quantités réelles arrivées sur le territoire”.Pour Me Cailliez, la garde à vue cette semaine de la cheffe de l’Ofast a justement “permis de lever les doutes sur l’absence de connaissance (et donc de validation) hiérarchique du déroulement réel du dossier Trident”, nom de l’opération de livraison de cocaïne surveillée dans le viseur de la justice.”Tel est également le cas de certaines pratiques de ses effectifs, combattues et dénoncées par elle, et pour lesquelles elle a pourtant été mise en examen”, a-t-il insisté.”Avec ma consœur, Marie Cornanguer, nous nous réjouissions de la légitime mise hors de cause du commissaire X du cœur de ce dossier concernant des faits de trafic de stupéfiants”, a réagi de son côté auprès de l’AFP Me Vanessa Bousardo, avocate de l’adjoint.- “Lanceurs d’alerte” -“Sa mise en examen résiduelle alors même qu’il est l’auteur du signalement à l’origine de cette procédure sera contestée par toutes les voies de droit à notre disposition. Une telle mise en cause adresse d’ailleurs un très mauvais signal aux lanceurs d’alerte”, a-t-elle estimé.Selon elle, “ce fonctionnaire intègre, qui ne s’est jamais départi de sa probité, conteste catégoriquement les faits qui lui sont lui imputés”. “Une requête en nullité sera déposée prochainement à l’encontre de sa mise en examen et des irrégularités relevées”, a-t-elle ajouté.Les investigations initiales dans ce dossier, parties d’un renseignement anonyme en février 2023, portaient sur une arrivée de cocaïne au port de Marseille en container depuis la Colombie et à destination de la région parisienne.Sauf qu’il s’est “avéré que cette livraison a permis l’entrée sur le territoire de près de 400 kg de cocaïne”, selon le parquet. “Plusieurs acteurs du dossier s’étaient par ailleurs étonnés de la difficulté avec laquelle ces stupéfiants auraient été écoulés à Marseille, laissant entendre que la surveillance policière était éventée”.cco-gd-sm-clw/bfa/dsa
Coup de frein supplémentaire sur les dépenses de 2025, alors que la dette continue à croître
Le gouvernement a annoncé jeudi un coup de frein supplémentaire de cinq milliards d’euros sur les dépenses publiques “dès cet été”, pour tenir l’objectif d’un déficit public de 5,4% cette année, tandis que l’Insee a annoncé que la dette continuait de croître, représentant 3.345,8 milliards d’euros à fin mars, soit 114% du PIB.Outre le 1,7 milliard d’euros d’économies sur les dépenses sociales annoncées dès mercredi par la ministre du Travail et de la Santé Catherine Vautrin, 3 milliards d’euros de crédits prévus pour l’État “ne seront pas engagés cette année”, et “une mise en réserve complémentaire sera notifiée dans les prochaines semaines”, a indiqué le gouvernement dans un communiqué.Ces chiffres ont été présentés dans la matinée lors du deuxième comité d’alerte sur les finances publiques depuis le 15 avril, réuni à Bercy.L’exercice “de transparence”, selon la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin, consiste à tenir régulièrement au courant de l’évolution des comptes les différentes parties prenantes à la dépense publique : parlementaires, représentants des élus locaux, de la Sécurité sociale et de l’État, ainsi que les partenaires sociaux.Le gouvernement avait déjà annoncé en avril un effort supplémentaire de réduction de la dépense de 5 milliards d’euros pour contenir le déficit public (solde des comptes de l’État, de la Sécu et des collectivités locales) à 5,4% du produit intérieur brut en 2025, après 5,8% l’an dernier, dans un contexte de croissance économique faible. Bercy prévoit encore celle-ci à 0,7% pour cette année, mais l’Insee et la Banque de France anticipent 0,6%.- “Pistes étudiées sans tabou” -Pour 2026, le gouvernement espère réduire encore le déficit public, à 4,6%, et va devoir trouver pour cela 40 milliards d’euros.Tout en tentant d’éviter une censure à l’automne au Parlement, si la gauche ou le RN jugent les mesures choisies trop rudes pour les Français, qu’il s’agisse du budget de l’État ou de celui de la Sécurité sociale. C’est sur ce dernier que le gouvernement Barnier était tombé en décembre.Le Premier ministre François Bayrou a promis de présenter une première feuille de route budgétaire pour 2026 mi-juillet.”Vu la situation budgétaire calamiteuse, le budget de 2026 implique des mesures d’austérité impopulaires, rendant son adoption aussi difficile, sinon plus, que celui de 2025″, commente Bruno Cavalier, économiste en chef d’Oddo BHF, dans une note. “Toutes les pistes sont étudiées, sans tabou”, a affirmé la porte-parole du gouvernement Sophie Primas, mercredi sur franceinfo, y compris celle d’une “année blanche” — la reconduction des dépenses au même niveau qu’en 2025, sans tenir compte de l’inflation. – Discussions “difficiles” -Le communiqué de jeudi justifie le nouvel effort sur les dépenses de l’État cette année par “des risques de dépassement qui demeurent pour certains ministères”, et celui sur la Sécurité sociale par la dynamique des indemnités journalières d’arrêts maladie et les dépenses des hôpitaux notamment.Quant aux collectivités locales, leurs dépenses “progressent légèrement plus vite que la prévision”, notamment celles des communes, selon le communiqué.Intercommunalités de France a aussitôt contredit le gouvernement, qui fait état, selon elle, “d’une hausse des dépenses des collectivités qui s’établirait à hauteur de 2,3%”. Or, selon ses propres estimations, les dépenses de fonctionnement des intercommunalités ne seraient en progression moyenne que de 1,2% cette année.Dimanche, Amélie de Montchalin avait reconnu par ailleurs des discussions “difficiles” avec les ministères pour la préparation du budget de l’Etat.Enfin, encore alourdie de 40,5 milliards d’euros depuis décembre, la dette publique est la troisième plus lourde de la zone euro — en pourcentage du PIB — après celles de la Grèce et de l’Italie, et les remboursements annuels menacent de devenir le premier poste de dépenses après l’Education.Alors qu’elle ne représentait que 57,8% du PIB fin 1995, elle a gonflé ces dernières années, alimentée par les mesures prises pour atténuer les crises financière, sanitaire et inflationniste successives.






