Nvidia expects $5.5 bn hit as US targets chips sent to China

Nvidia on Tuesday notified regulators that it expects a $5.5 billion hit this quarter due to a new US licensing requirement on the primary chip it can legally sell in China.US officials last week told Nvidia it must obtain licenses to export its H20 chips to China because of concerns they may be used in supercomputers there, the Silicon Valley company said in a Securities and Exchange Commission (SEC) filing.Shares of Nvidia, which have already seen high volatility since Trump’s April 2 tariffs announcement, were down over six percent in after-market trades.The new licensing rule applies to Nvidia GPUs (graphics processing units) with bandwidth similar to that of the H20.The United States had already barred exports to China of Nvidia’s most sophisticated GPUs, tailored for powering top-end artificial intelligence models.Nvidia was told the licensing requirement on H20 chips will last indefinitely, it said in the filing.Nvidia’s current fiscal quarter ends on April 27.”First quarter results are expected to include up to approximately $5.5 billion of charges associated with H20 products for inventory, purchase commitments, and related reserves,” Nvidia said in the filing.

Paris: une personne tuée et une grièvement blessée après une fuite d’azote dans une salle de sport

Une employée d’une salle de sport du 11e arrondissement de Paris est morte et une cliente a été hospitalisée dans un état grave après une fuite d’azote, selon les premiers éléments de l’enquête, lors d’une séance de cryothérapie lundi.Les faits se sont déroulés vers 18H20, selon une source policière. Une employée de la salle de sport, née en 1996, est morte. Une autre personne, cliente de l’établissement, née en 1991, a été hospitalisée et son pronostic vital est engagé.Selon les premiers éléments de l’enquête, une fuite d’azote de la cabine de cryothérapie serait à l’origine de l’intoxication, selon une source proche de l’enquête.”Une enquête en recherche des causes de la mort est ouverte et confiée au commissariat de police du 11e arrondissement de Paris, en co-saisine avec l’inspection du travail”, a indiqué le parquet de Paris, sollicité par l’AFP.”Une autopsie et des analyses toxicologiques ont été ordonnées pour déterminer avec précision la cause de la mort, laquelle serait survenue au cours d’une séance de cryothérapie”, a-t-il précisé.Trois autres personnes qui ont prodigué des soins aux deux victimes ont été prises en charge en urgence relative, a précisé la source policière.L’azote est un gaz inodore qui provoque une diminution de l’oxygène dans l’air et peut entrainer une intoxication.Des journalistes de l’AFP présentes sur les lieux ont vu des agents sortir de la salle de sports un corps sur un brancard recouvert d’un drap blanc et le placer dans un véhicule des services funéraires vers 21H45. Au même moment, une femme en tenue de sport est ressorti de l’établissement, en larmes.- “Thérapie par le froid” -“J’allais m’entraîner comme tous les soirs, j’ai vu deux collègues de la salle qui m’ont dit que la salle était fermée et (…)  qu’il y avait un décès” à cause d’une fuite d’azote de la salle de cryothérapie, rapporte Diego Brisset, 26 ans.Lui ne pratique pas cette technique par le froid: “on m’a toujours dit que c’était dangereux”, dit-il.La cabine de cryothérapie aurait fait l’objet d’une réparation lundi, a indiqué la source proche.La salle de sport, où se trouvaient 150 personnes, a été évacuée peu après les faits, selon la source policière.Des jeunes attablés en terrasse à proximité, boulevard Voltaire, racontent avoir vu vers 19H30 trois camions de pompiers arriver. Des paravents ont été installés pour dissimuler ce qu’il se passait devant la porte de la salle et le long du trottoir.La cryothérapie est une “thérapie par le froid” qui consiste à placer une personne pendant 2 à 3 minutes dans des chambres ou des cabines dont la température peut descendre sous -110°C.La personne est immergée dans des baignoires d’eau glacée ou des chambres à azote.Initialement destinée aux sportifs de haut niveau afin de prévenir ou traiter les douleurs musculaires après l’exercice, cette pratique est proposée pour soulager des maladies inflammatoires ou neurologiques, et même utilisée en dehors de tout contexte pathologique.

US jury convicts Gambian ‘death squad’ member for torture

A US jury on Tuesday convicted a Gambian man for torturing opponents of the African country’s former president by burning and beating them, including with molten plastic.Michael Sang Correa, 46, served in an armed unit known as the “Junglers,” which answered to The Gambia’s then-president, Yahya Jammeh. A trial in Denver, Colorado, found that Correa and other members of the death squad had tortured five people because of suspicions they had plotted against Jammeh. “Michael Sang Correa tried to evade responsibility for his crimes in The Gambia by coming to the United States and hiding his past,” Matthew Galeotti, head of the US Justice Department’s Criminal Division said after the trial. “But we found him, we investigated him, and we prosecuted him.”Jurors in Colorado heard how in March 2006, shortly after a failed coup attempt, the Junglers took their victims to The Gambia’s main prison.Over the next two months, they beat, stabbed, burned, and electroshocked their victims, including some on their genitals.One man testified he had his thigh burned by molten plastic; another told of how he was suffocated, while others spoke of being pistol whipped, burned with cigarettes and hit in the face with a hammer.Correa was convicted of five counts of torture and one of conspiracy to commit torture.He faces up to 120 years in prison when he is sentenced at a later date.Correa entered the United States in 2016 to work as a bodyguard for The Gambia’s vice president, who was visiting the United Nations.He stayed in the country and moved to Denver at some point after Jammeh, who ruled the country with an iron fist from 1994 to 2017, was voted out of office.Correa was arrested by US authorities in September 2019, initially for overstaying his visa.According to the indictment, Correa joined the Junglers in 2004.The paramilitary unit operated outside the Gambian army’s chain of command, taking orders directly from Jammeh, and has been accused by watchdog groups of carrying out widespread human rights violations.Another member of the Junglers, Bai Lowe, was sentenced to life in prison in Germany in November 2023 after being convicted of crimes against humanity, murder and attempted murder.A Swiss court in May sentenced Gambian ex-interior minister Ousman Sonko to 20 years in prison for crimes against humanity committed under the Jammeh regime.Victims of the Junglers included an AFP correspondent, Deyda Hydara, who was gunned down in his car on the outskirts of Gambia’s capital Banjul on December 16, 2004.

US jury convicts Gambian ‘death squad’ member for tortureTue, 15 Apr 2025 22:11:59 GMT

A US jury on Tuesday convicted a Gambian man for torturing opponents of the African country’s former president by burning and beating them, including with molten plastic.Michael Sang Correa, 46, served in an armed unit known as the “Junglers,” which answered to The Gambia’s then-president, Yahya Jammeh. A trial in Denver, Colorado, found that Correa and …

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Trump ressuscite le fantôme de bases militaires américaines au Panama

L’insistance de Donald Trump à vouloir “reprendre” le contrôle du canal de Panama a ravivé dans ce pays la crainte d’un rétablissement de bases militaires américaines et mis en porte-à-faux son président centriste José Raul Mulino, un allié naturel des Etats-Unis.Le président américain clame depuis qu’il a pris ses fonctions en janvier vouloir contrer l'”influence chinoise” sur cette voie commerciale interocéanique. Après une visite au Panama et un coup de pression de son secrétaire d’Etat Marco Rubio, le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a obtenu la semaine dernière la signature d’un accord avec le gouvernement Mulino autorisant les États-Unis à déployer des soldats dans les zones adjacentes au canal.Un sujet sensible au Panama, où les forces armées américaines sont intervenues en décembre 1989 pour faire chuter l’ancien dictateur Manuel Antonio Noriega, accusé de trafic de drogue.Les Etats-Unis avaient ensuite entamé en 1994 un processus de retrait de leurs bases militaires, installées pour protéger ce canal datant de 1914, avant de remettre la gestion de ce dernier au Panama le 31 décembre 1999.- Réel retour des bases américaines ? -Bien que l’accord ne mentionne pas explicitement des “bases militaires”, Washington pourra disposer au Panama de forces militaires de rotation, comme celles qu’il a en Australie et ailleurs, pour “formation”, “exercices” et autres manÅ“uvres.Par périodes de trois ans renouvelables, des troupes seront déployées sur trois bases (aérienne, aéronavale et navale) construites lorsque les Américains disposaient d’une enclave dans la zone autour du canal.”Il y a une violation flagrante” de la Constitution qui interdit les bases étrangères et des traités de 1977 qui établissent la “neutralité” du canal et stipulent que seul le Panama disposera de forces militaires sur son territoire national, a déclaré à l’AFP Euclides Tapia, professeur panaméen de relations internationales.Cependant, ces traités ont laissé une ouverture : “Ils permettent aux États-Unis de défendre le canal lorsque celui-ci est considéré comme menacé”, rappelle à l’AFP l’analyste Will Freeman, du Conseil des Relations internationales, à New York.Benjamin Gedan, un ancien directeur pour l’Amérique du Sud du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, affirme que le Panama a toujours pleinement coopéré avec les États-Unis dans cette “coresponsabilité” quant à la sécurisation du canal.L’avocat Arturo Hoyos ne voit quant à lui aucune violation des lois ou des traités, car l’accord récemment signé n’implique pas de présence militaire étrangère “exclusive” mais des opérations “communes”.- Le gouvernement panaméen se défend d’avoir cédé -Le président Mulino soutient n’avoir pas cédé le moindre centimètre carré de souveraineté, malgré les pressions de Pete Hegseth qui réclame des “bases militaires”.Le gouvernement panaméen défend qu’il ne s’agit nullement de bases américaines, que les installations et les terrains appartiennent au Panama et seront utilisés “en commun” par les forces de sécurité des deux pays.Mais les critiques ont fusé. L’ex-candidat à la présidentielle, Ricardo Lombana, a accusé M. Mulino de déguiser la “reddition” en “coopération”.”Les États-Unis nous recolonisent et nous réoccupent”, a affirmé Julio Yao, qui a conseillé le gouvernement panaméen pendant les négociations de 1977.La politologue Natasha Lindstaedt, de l’Université britannique d’Essex, a estimé auprès de l’AFP que la pression de l’administration Trump sur des pays comme le Panama pouvait “provoquer des divisions” au sein des gouvernements sur la manière de “gérer” Washington.- Que cherche réellement Trump ? -Les États-Unis considèrent que l’entreprise hongkongaise Hutchinson, qui exploite deux ports aux extrémités du canal, constitue une “menace” pour leur sécurité.”Trump veut minimiser le risque que Pékin bloque le canal pour empêcher le passage de navires militaires dans le cas d’un éventuel conflit”, avance Benjamin Gedan, professeur à l’université Johns Hopkins, aux Etats-Unis.Natasha Lindstaedt partage cet avis, mais estime que “cela fait partie d’un conflit plus vaste : les États-Unis tentent de freiner l’influence chinoise au Panama et dans la région”.Selon Will Freeman, Donald Trump “cherche probablement à démontrer que, s’il le voulait, il pourrait fermer le canal au commerce chinois” pour, par exemple, empêcher la Chine d'”envahir Taïwan”, qu’elle considère comme faisant partie de son territoire. “Nous voyons au Panama la doctrine Trump de la paix par la force”, a-t-il commenté.D’autres, comme Euclides Tapia, ne croient pas à une quelconque menace chinoise sur le canal de Panama. “Ils l’inventent”, dit-il. Selon lui, les déclarations du président Trump sur le Canada, le canal de Panama et le Groenland sont “une mise en scène destinée à l’opinion publique américaine”.

Trump ressuscite le fantôme de bases militaires américaines au Panama

L’insistance de Donald Trump à vouloir “reprendre” le contrôle du canal de Panama a ravivé dans ce pays la crainte d’un rétablissement de bases militaires américaines et mis en porte-à-faux son président centriste José Raul Mulino, un allié naturel des Etats-Unis.Le président américain clame depuis qu’il a pris ses fonctions en janvier vouloir contrer l'”influence chinoise” sur cette voie commerciale interocéanique. Après une visite au Panama et un coup de pression de son secrétaire d’Etat Marco Rubio, le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a obtenu la semaine dernière la signature d’un accord avec le gouvernement Mulino autorisant les États-Unis à déployer des soldats dans les zones adjacentes au canal.Un sujet sensible au Panama, où les forces armées américaines sont intervenues en décembre 1989 pour faire chuter l’ancien dictateur Manuel Antonio Noriega, accusé de trafic de drogue.Les Etats-Unis avaient ensuite entamé en 1994 un processus de retrait de leurs bases militaires, installées pour protéger ce canal datant de 1914, avant de remettre la gestion de ce dernier au Panama le 31 décembre 1999.- Réel retour des bases américaines ? -Bien que l’accord ne mentionne pas explicitement des “bases militaires”, Washington pourra disposer au Panama de forces militaires de rotation, comme celles qu’il a en Australie et ailleurs, pour “formation”, “exercices” et autres manÅ“uvres.Par périodes de trois ans renouvelables, des troupes seront déployées sur trois bases (aérienne, aéronavale et navale) construites lorsque les Américains disposaient d’une enclave dans la zone autour du canal.”Il y a une violation flagrante” de la Constitution qui interdit les bases étrangères et des traités de 1977 qui établissent la “neutralité” du canal et stipulent que seul le Panama disposera de forces militaires sur son territoire national, a déclaré à l’AFP Euclides Tapia, professeur panaméen de relations internationales.Cependant, ces traités ont laissé une ouverture : “Ils permettent aux États-Unis de défendre le canal lorsque celui-ci est considéré comme menacé”, rappelle à l’AFP l’analyste Will Freeman, du Conseil des Relations internationales, à New York.Benjamin Gedan, un ancien directeur pour l’Amérique du Sud du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, affirme que le Panama a toujours pleinement coopéré avec les États-Unis dans cette “coresponsabilité” quant à la sécurisation du canal.L’avocat Arturo Hoyos ne voit quant à lui aucune violation des lois ou des traités, car l’accord récemment signé n’implique pas de présence militaire étrangère “exclusive” mais des opérations “communes”.- Le gouvernement panaméen se défend d’avoir cédé -Le président Mulino soutient n’avoir pas cédé le moindre centimètre carré de souveraineté, malgré les pressions de Pete Hegseth qui réclame des “bases militaires”.Le gouvernement panaméen défend qu’il ne s’agit nullement de bases américaines, que les installations et les terrains appartiennent au Panama et seront utilisés “en commun” par les forces de sécurité des deux pays.Mais les critiques ont fusé. L’ex-candidat à la présidentielle, Ricardo Lombana, a accusé M. Mulino de déguiser la “reddition” en “coopération”.”Les États-Unis nous recolonisent et nous réoccupent”, a affirmé Julio Yao, qui a conseillé le gouvernement panaméen pendant les négociations de 1977.La politologue Natasha Lindstaedt, de l’Université britannique d’Essex, a estimé auprès de l’AFP que la pression de l’administration Trump sur des pays comme le Panama pouvait “provoquer des divisions” au sein des gouvernements sur la manière de “gérer” Washington.- Que cherche réellement Trump ? -Les États-Unis considèrent que l’entreprise hongkongaise Hutchinson, qui exploite deux ports aux extrémités du canal, constitue une “menace” pour leur sécurité.”Trump veut minimiser le risque que Pékin bloque le canal pour empêcher le passage de navires militaires dans le cas d’un éventuel conflit”, avance Benjamin Gedan, professeur à l’université Johns Hopkins, aux Etats-Unis.Natasha Lindstaedt partage cet avis, mais estime que “cela fait partie d’un conflit plus vaste : les États-Unis tentent de freiner l’influence chinoise au Panama et dans la région”.Selon Will Freeman, Donald Trump “cherche probablement à démontrer que, s’il le voulait, il pourrait fermer le canal au commerce chinois” pour, par exemple, empêcher la Chine d'”envahir Taïwan”, qu’elle considère comme faisant partie de son territoire. “Nous voyons au Panama la doctrine Trump de la paix par la force”, a-t-il commenté.D’autres, comme Euclides Tapia, ne croient pas à une quelconque menace chinoise sur le canal de Panama. “Ils l’inventent”, dit-il. Selon lui, les déclarations du président Trump sur le Canada, le canal de Panama et le Groenland sont “une mise en scène destinée à l’opinion publique américaine”.

C1: Willian Pacho, fébrilité surprise d’un pilier de la saison parisienne

Coupable de plusieurs erreurs, malchanceux dans ses déviations et mangé dans les duels, le défenseur Willian Pacho, jusque-là solide pour sa première saison parisienne, a été le symbole d’un Paris SG paniqué par le réveil d’Aston Villa déchaîné (défaite 3-2).Jusque-là, le scénario était idéal pour le PSG, qui avait semblé prouver une fois de plus sa nouvelle efficacité clinique et sa force mentale. Achraf Hakimi et Nuno Mendes, les deux latéraux supersoniques, davantage ailiers que défenseurs, avaient marqué deux buts pour mettre à l’abri leur équipe.Du moins c’est ce qu’ils pensaient. Mais à la 34e minute, une déviation dans son but par Willian Pacho d’un tir de Youri Tielemans, a inauguré le manque de réussite et l’insuffisance qui allaient hanter l’arrière-garde parisienne pour le restant de la partie (2-1).D’autant plus symbolique que Pacho, recruté l’été dernier auprès de Francfort, était jusque-là la grande nouveauté satisfaisante en défense, titulaire sur tous les gros matches au côté du capitaine Marquinhos. Quelques relances imprécises avaient déjà donné une idée de ses doutes, dans un Villa Park déchaîné.Le Brésilien, lui, n’est pas connu pour sa sérénité à toute épreuve, lui qui avait vécu la remontada contre Barcelone en mars 2017 (4-0, 1-6), où il avait sombré comme ses partenaires, et peut-être un peu plus. Mardi soir, il a plusieurs fois harangué son jeune coéquipier (23 ans). Mais cela a été largement inefficace et lui-même a paru fébrile sur plusieurs relances, mou sur quelques duels.Sur le but de McGinn à la 55e minute, l’Equatorien n’est pas le seul à oublier de faire pressing sur la percée du numéro 7, mais c’est bien Willian Pacho qui dévie le tir et permet qu’il lobe Donnarumma, désarçonné (2-2).- Ressaisissement -Deux minutes, plus tard, encore sonné, le flanc gauche de la défense (Nuno Mendes et… Pacho) est enrhumé par Marcus Rashford à la suite d’un corner. Le joueur prêté par Manchester United centre pour Konsa qui expédie son tir à ras de terre dans le petit filet de Donnarumma (3-2).Lors du dernier quart de la partie, la défense a pu profiter d’un ressaisissement général de l’équipe, notamment d’un milieu qui a davantage gardé le ballon. Lors des moments chauds qui ont continué de se présenter, Willian Pacho a été plus sûr. A la 74e minute, il est bien revenu sur Marcus Rashford parti pour s’offrir un duel face à Donnarumma.Puis il a coupé un centre sur une passe très dangereuse; il a alors bien surgi (80e).Une franche discussion a ensuite eu lieu avec Marquinhos, dans le rond central, sur l’un des seuls moments de répit de la deuxième mi-temps, quand Doué obtient un coup franc aux abords de la surface adverse.Le numéro 51 a finalement réussi à garder sa contenance, et fait parler son physique, son coup d’œil et son intelligence au duel en fin du match, sauvant même son équipe sur une frappe de Ian Maatsen dans le temps additionnel. C’est à Pacho, encore jeune, de faire de ce mauvais souvenir, sans conséquence sur la qualification du PSG, une expérience utile pour son développement futur.