Pollard steers Springboks to victory over WallabiesSat, 23 Aug 2025 18:10:11 GMT

South Africa bounced back from defeat a week ago with fly-half Handre Pollard producing a masterly kicking performance in a 30-22 win over Australia in their Rugby Championship match at the Cape Town Stadium on Saturday. Both teams scored three tries as the Springboks avenged their shock 38-22 defeat by the same opponents in Johannesburg the …

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Le Texas adopte une carte électorale redécoupée à la demande de Trump

Le Parlement du Texas a définitivement adopté dans la nuit de vendredi à samedi une nouvelle carte électorale qui devrait permettre aux républicains de glaner jusqu’à cinq sièges supplémentaires au Congrès de Washington lors des législatives de 2026.Donald Trump s’est réjoui samedi sur Truth Social que ce nouveau découpage électoral donnait “aux merveilleux Texans l’occasion immense d’élire cinq nouveaux républicains MAGA (“Make America Great Again”, “Rendre sa grandeur à l’Amérique”) pour les élections de mi-mandat en 2026″.Il a salué “UNE ENORME VICTOIRE pour notre programme l’Amérique d’abord”.Le président avait publiquement fait pression sur les responsables républicains de cet immense Etat conservateur du sud du pays pour effectuer ce redécoupage visant à préserver sa majorité actuelle étriquée au Congrès au-delà des élections législatives en novembre 2026.Le gouverneur républicain Greg Abbott a écrit samedi sur X “avoir hâte” de promulguer cette nouvelle carte, ajoutant qu’elle reflétait “les véritables préférences électorales des Texans”. La carte électorale du Texas va être modifiée de manière à ce que le vote démocrate soit dilué, une technique de charcutage électoral nommée “gerrymandering”.Les élus démocrates, en minorité au Parlement texan, ont tenté tant bien que mal de s’y opposer.Ils avaient fui l’Etat début août, se réfugiant à Chicago ou New York, afin qu’un quorum ne soit pas atteint. Leur départ avait empêché les républicains d’organiser un vote sur le texte pendant plus de deux semaines.Le groupe démocrate à la Chambre des représentants du Texas a notamment dénoncé la volonté des républicains de “réduire au silence les électeurs des minorités par un +gerrymandering+ raciste”, estimant que la nouvelle carte électorale dilue les voix des électorats afro-américain et hispanique qui, en majorité, votent traditionnellement démocrate.Sur les 38 députés du Texas au Congrès à Washington, 25 sont actuellement républicains. La Maison Blanche devrait donc en avoir 30 l’an prochain.- Riposte en Californie -Face à cette initiative texane, la Californie, gouvernée par le démocrate Gavin Newsom, a lancé les démarches pour riposter et redécouper sa propre carte, en faveur des démocrates.Le gouverneur de 57 ans, qui prétend au rôle d’opposant numéro un à Donald Trump, a proposé une carte californienne qui pourrait offrir à son parti cinq autres élus au Congrès, permettant ainsi de compenser les pertes au Texas.”Nous ripostons à ce qui s’est passé pour nous au Texas”, a déclaré jeudi Gavin Newsom dans une interview au podcasteur progressiste David Pakman.”De quelle preuve supplémentaire d’autoritarisme avez-vous besoin?”, a-t-il ensuite lancé.”Ces gars-là ne jouent pas (…), les gens doivent se réveiller et ouvrir les yeux”, a ajouté le gouverneur, dénonçant un Donald Trump qui ne “respecte aucune règle”.Le Parlement californien a ainsi adopté jeudi une résolution qui organise un référendum en novembre, et qui, en cas d’approbation, redonnerait aux élus le pouvoir de redessiner les circonscriptions, à la place d’une commission indépendante, comme c’est le cas depuis 2010.Une réponse “intelligente et mesurée” à Donald Trump, a estimé cette semaine Barack Obama, président des Etats-Unis entre 2009 et 2017.Au-delà du Texas, Donald Trump aimerait redécouper les cartes de l’Indiana, de l’Ohio ou encore du Missouri.Pour la gouverneure démocrate de l’Etat de New York, Kathy Hochul, il s’agit là du “dernier soubresaut d’un parti désespéré qui s’accroche au pouvoir”. Elle a averti le président Trump dans un communiqué qu’elle “l’affronterait sur le même terrain et le battrait à son propre jeu”, à l’image de la Californie.Mais à l’inverse du Texas, où le processus législatif permet ce redécoupage relativement facilement, les Etats démocrates comptent plus de garde-fous, pour certains d’ordre constitutionnel, qui limitent leur marge d’action.

Le Texas adopte une carte électorale redécoupée à la demande de Trump

Le Parlement du Texas a définitivement adopté dans la nuit de vendredi à samedi une nouvelle carte électorale qui devrait permettre aux républicains de glaner jusqu’à cinq sièges supplémentaires au Congrès de Washington lors des législatives de 2026.Donald Trump s’est réjoui samedi sur Truth Social que ce nouveau découpage électoral donnait “aux merveilleux Texans l’occasion immense d’élire cinq nouveaux républicains MAGA (“Make America Great Again”, “Rendre sa grandeur à l’Amérique”) pour les élections de mi-mandat en 2026″.Il a salué “UNE ENORME VICTOIRE pour notre programme l’Amérique d’abord”.Le président avait publiquement fait pression sur les responsables républicains de cet immense Etat conservateur du sud du pays pour effectuer ce redécoupage visant à préserver sa majorité actuelle étriquée au Congrès au-delà des élections législatives en novembre 2026.Le gouverneur républicain Greg Abbott a écrit samedi sur X “avoir hâte” de promulguer cette nouvelle carte, ajoutant qu’elle reflétait “les véritables préférences électorales des Texans”. La carte électorale du Texas va être modifiée de manière à ce que le vote démocrate soit dilué, une technique de charcutage électoral nommée “gerrymandering”.Les élus démocrates, en minorité au Parlement texan, ont tenté tant bien que mal de s’y opposer.Ils avaient fui l’Etat début août, se réfugiant à Chicago ou New York, afin qu’un quorum ne soit pas atteint. Leur départ avait empêché les républicains d’organiser un vote sur le texte pendant plus de deux semaines.Le groupe démocrate à la Chambre des représentants du Texas a notamment dénoncé la volonté des républicains de “réduire au silence les électeurs des minorités par un +gerrymandering+ raciste”, estimant que la nouvelle carte électorale dilue les voix des électorats afro-américain et hispanique qui, en majorité, votent traditionnellement démocrate.Sur les 38 députés du Texas au Congrès à Washington, 25 sont actuellement républicains. La Maison Blanche devrait donc en avoir 30 l’an prochain.- Riposte en Californie -Face à cette initiative texane, la Californie, gouvernée par le démocrate Gavin Newsom, a lancé les démarches pour riposter et redécouper sa propre carte, en faveur des démocrates.Le gouverneur de 57 ans, qui prétend au rôle d’opposant numéro un à Donald Trump, a proposé une carte californienne qui pourrait offrir à son parti cinq autres élus au Congrès, permettant ainsi de compenser les pertes au Texas.”Nous ripostons à ce qui s’est passé pour nous au Texas”, a déclaré jeudi Gavin Newsom dans une interview au podcasteur progressiste David Pakman.”De quelle preuve supplémentaire d’autoritarisme avez-vous besoin?”, a-t-il ensuite lancé.”Ces gars-là ne jouent pas (…), les gens doivent se réveiller et ouvrir les yeux”, a ajouté le gouverneur, dénonçant un Donald Trump qui ne “respecte aucune règle”.Le Parlement californien a ainsi adopté jeudi une résolution qui organise un référendum en novembre, et qui, en cas d’approbation, redonnerait aux élus le pouvoir de redessiner les circonscriptions, à la place d’une commission indépendante, comme c’est le cas depuis 2010.Une réponse “intelligente et mesurée” à Donald Trump, a estimé cette semaine Barack Obama, président des Etats-Unis entre 2009 et 2017.Au-delà du Texas, Donald Trump aimerait redécouper les cartes de l’Indiana, de l’Ohio ou encore du Missouri.Pour la gouverneure démocrate de l’Etat de New York, Kathy Hochul, il s’agit là du “dernier soubresaut d’un parti désespéré qui s’accroche au pouvoir”. Elle a averti le président Trump dans un communiqué qu’elle “l’affronterait sur le même terrain et le battrait à son propre jeu”, à l’image de la Californie.Mais à l’inverse du Texas, où le processus législatif permet ce redécoupage relativement facilement, les Etats démocrates comptent plus de garde-fous, pour certains d’ordre constitutionnel, qui limitent leur marge d’action.

Trump hails new Texas electoral map aimed at keeping grip on Congress

US President Donald Trump praised a newly passed Texas electoral map Saturday as a “tremendous opportunity” to help his Republican Party retain control of Congress in next year’s midterm elections.Texas legislators overnight gave final approval to the redistricting effort engineered to create five new Republican leaning seats, as the state senate voted along party lines to pass the map 18-11, following more than eight hours of heated debate.Last week the state legislature’s lower chamber adopted the bill, after Democrats delayed the votes for weeks by denying Republicans a quorum to do legislative business.Trump, posting on his Truth Social platform, said the new map “will give the wonderful people of Texas the tremendous opportunity to elect 5 new MAGA Republicans in the 2026 Midterm Elections — A HUGE VICTORY for our America First Agenda.”Governor Gregg Abbott said he would swiftly sign the bill into law.Democratic Senator Carol Alvarado’s last-ditch plans to filibuster the map were thwarted when Republicans used a rare procedural motion to halt debate, end the filibuster, and proceed directly to the final vote.Fellow Democrat Sarah Eckhardt said shutting down a filibuster was “unprecedented.””This is not democracy, this is disgraceful,” she posted on X.The vote caps weeks of dramatic political theater that saw Democratic lawmakers flee the state in July to deny Republicans the quorum needed to pass the redistricting plan, and drew nationwide attention to partisan redistricting, known as gerrymandering.- California countermove -The Democrats claim the new electoral map dilutes the votes of African-American and Hispanic electorates who usually vote for them.The Texas Senate Democratic Caucus said Friday on X that the state “has a shameful history of racial discrimination. These maps are just the latest entry in that history.”That stance echoed in the floor debate.Democratic Senator Borris Miles denounced Republican complicity in “racist actions,” saying the new map “does not reflect the truth of Texas, but instead manipulates and whitewashes it.”Speaking on the floor, Republican Phil King was clear about the redistricting effort: “I’m convinced that if Texas does not take this action, that there is an extreme risk that the Republican majority will be lost.”The cutthroat political gambit spurred California’s Democratic governor, Gavin Newsom, to launch a process for redrawing his state’s map — this time creating five potentially new seats for Democrats.”If Texas wants to play hardball, we’ll play hardball right back,” Newsom said in announcing the California initiative.Although Newsom hopes to cancel out the Republicans’ advantages gained in Texas, his plan still requires voter approval in an election this November.Both parties are now looking to other states where the rules might allow hasty redrawing of maps in ways that would create more seats.Beyond Texas, Trump encouraged Florida, Indiana and Missouri to redraw their maps to Republican advantage.The redistricting battle adds a volatile and high-stakes new element to next year’s elections.Republicans currently control the US Senate and the House of Representatives.Beleaguered Democrats hope the unpopularity of many of Trump’s policies will help flip the House. If Democrats did win, they would immediately gain power to investigate Trump and his controversial government members.

Ligue 1: l’OM dit “merci Aubameyang !”

Empêtré dans l’affaire Rabiot, fébrile, sûr de rien et surtout pas de son inquiétant secteur défensif, l’OM s’en est remis samedi à ses jeunes et surtout à son “ancien”, Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d’un doublé, pour battre le Paris FC 5-2 et se donner un peu d’air.La crise est arrivée à Marseille avant même l’automne, le championnat a repris depuis huit jours et l’OM est en plein dedans, après plusieurs jours à parler de bagarre plus que de football et à se demander s’il y a un avenir sans Adrien Rabiot. Mais quand le Paris FC, promu pas tout à fait aussi effrayant que l’autre club de la capitale, est revenu à 2-2, les 65.000 spectateurs présents au Vélodrome ont dû se dire que le cauchemar était tout de même un peu brutal.Finalement, le sens du but d’Aubameyang et les entrées pleines d’ardeur et d’assurance des jeunes Bilal Nadir (22 ans), Robinio Vaz (19 ans) et Darryl Bakola (18 ans) ont offert à l’OM la victoire et une semaine de calme (relatif, sans doute) avant un difficile déplacement à Lyon dimanche prochain. Après les huit jours de tumulte que l’OM vient de traverser, c’est déjà ça. Dans ce contexte, la réaction du Vélodrome était également guettée et elle a été positive. Les noms des joueurs ont été scandés par des virages déchaînés, celui de l’entraîneur aussi et même celui de Maxime Lopez, Marseillais formé à l’OM et de retour sous un maillot parisien.- Sur un fil -Dans un premier temps, la suite aussi a semblé aller dans le sens d’un OM pas forcément si traumatisé. Dès la 13e minute, Aubameyang avait ainsi trouvé le poteau après une superbe ouverture de CJ Egan-Riley. Et cinq minutes plus tard, le Gabonais a obtenu un penalty, transformé par Mason Greenwood (1-0, 18e).A la 25e minute, c’est encore Aubameyang qui a doublé la mise, en marquant d’une belle volée en déséquilibre sur un corner frappé par Greenwood (2-0): premier but et premier salto de cette deuxième séquence marseillaise pour le toujours jeune “Aubam” et ses 36 ans. La dernière fois, il en avait mis 30 et c’est encourageant pour l’OM.Mais ces deux buts ne pouvaient pas cacher tout le reste: une certaine lenteur d’exécution, pas mal d’hésitations au milieu de terrain, un flanc gauche sinistré et surtout une fragilité défensive qui a rappelé des souvenirs très nets de la saison dernière.L’OM menait, certes, mais le Paris FC avait été dangereux, avec notamment une tête de Willem Geubbels sur l’extérieur du poteau (5e), un but annulé au même Geubbels pour un hors-jeu de peu de chose ou une belle frappe de Vincent Marchetti, de très peu à côté (19e).Même devant, l’OM était donc sur un fil et c’est un autre vrai Marseillais qui l’a prouvé, le jeune et talentueux Ilan Kebbal, auteur d’une frappe superbe pour ramener le promu parisien à 2-1 (28e).- Place aux jeunes -Ensuite, peu après la reprise, Moses Simon a glacé le Vélodrome en profitant d’une belle passe du même Kebbal, pas attaqué, et d’un alignement encore déficient de Leonardo Balerdi (58e, 2-2).Il y a alors eu quelques frissons, quelques sifflets, puis de plus en plus, jusqu’à ce qu’Aubameyang sauve l’affaire: sur une mauvaise relance parisienne, l’attaquant marseillais a profité d’un bon pressing de l’entrant Nadir pour marquer (3-2, 73e).L’ancien de Barcelone et d’Arsenal est ensuite sorti sous une ovation debout du Vélodrome, qui sait ce qu’il lui doit, et ce sont les jeunes qui sont entrés en scène.Une nouvelle bonne action de Nadir a permis à Pierre-Emile Hojbjerg, qui avait beaucoup raté jusque-là, de marquer le but du 4-2 d’une frappe parfaite (81e). Trois minutes plus tard, Greenwood a manqué un penalty obtenu par Robinio Vaz, qui s’est consolé avec le but du 5-2 (90+6), fêté avec ses jeunes copains.Avant Lyon, rien n’est parfait, rien n’est réglé. Mais l’OM a trois points et, au moins, une attaque au point.

Ligue 1: l’OM dit “merci Aubameyang !”

Empêtré dans l’affaire Rabiot, fébrile, sûr de rien et surtout pas de son inquiétant secteur défensif, l’OM s’en est remis samedi à ses jeunes et surtout à son “ancien”, Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d’un doublé, pour battre le Paris FC 5-2 et se donner un peu d’air.La crise est arrivée à Marseille avant même l’automne, le championnat a repris depuis huit jours et l’OM est en plein dedans, après plusieurs jours à parler de bagarre plus que de football et à se demander s’il y a un avenir sans Adrien Rabiot. Mais quand le Paris FC, promu pas tout à fait aussi effrayant que l’autre club de la capitale, est revenu à 2-2, les 65.000 spectateurs présents au Vélodrome ont dû se dire que le cauchemar était tout de même un peu brutal.Finalement, le sens du but d’Aubameyang et les entrées pleines d’ardeur et d’assurance des jeunes Bilal Nadir (22 ans), Robinio Vaz (19 ans) et Darryl Bakola (18 ans) ont offert à l’OM la victoire et une semaine de calme (relatif, sans doute) avant un difficile déplacement à Lyon dimanche prochain. Après les huit jours de tumulte que l’OM vient de traverser, c’est déjà ça. Dans ce contexte, la réaction du Vélodrome était également guettée et elle a été positive. Les noms des joueurs ont été scandés par des virages déchaînés, celui de l’entraîneur aussi et même celui de Maxime Lopez, Marseillais formé à l’OM et de retour sous un maillot parisien.- Sur un fil -Dans un premier temps, la suite aussi a semblé aller dans le sens d’un OM pas forcément si traumatisé. Dès la 13e minute, Aubameyang avait ainsi trouvé le poteau après une superbe ouverture de CJ Egan-Riley. Et cinq minutes plus tard, le Gabonais a obtenu un penalty, transformé par Mason Greenwood (1-0, 18e).A la 25e minute, c’est encore Aubameyang qui a doublé la mise, en marquant d’une belle volée en déséquilibre sur un corner frappé par Greenwood (2-0): premier but et premier salto de cette deuxième séquence marseillaise pour le toujours jeune “Aubam” et ses 36 ans. La dernière fois, il en avait mis 30 et c’est encourageant pour l’OM.Mais ces deux buts ne pouvaient pas cacher tout le reste: une certaine lenteur d’exécution, pas mal d’hésitations au milieu de terrain, un flanc gauche sinistré et surtout une fragilité défensive qui a rappelé des souvenirs très nets de la saison dernière.L’OM menait, certes, mais le Paris FC avait été dangereux, avec notamment une tête de Willem Geubbels sur l’extérieur du poteau (5e), un but annulé au même Geubbels pour un hors-jeu de peu de chose ou une belle frappe de Vincent Marchetti, de très peu à côté (19e).Même devant, l’OM était donc sur un fil et c’est un autre vrai Marseillais qui l’a prouvé, le jeune et talentueux Ilan Kebbal, auteur d’une frappe superbe pour ramener le promu parisien à 2-1 (28e).- Place aux jeunes -Ensuite, peu après la reprise, Moses Simon a glacé le Vélodrome en profitant d’une belle passe du même Kebbal, pas attaqué, et d’un alignement encore déficient de Leonardo Balerdi (58e, 2-2).Il y a alors eu quelques frissons, quelques sifflets, puis de plus en plus, jusqu’à ce qu’Aubameyang sauve l’affaire: sur une mauvaise relance parisienne, l’attaquant marseillais a profité d’un bon pressing de l’entrant Nadir pour marquer (3-2, 73e).L’ancien de Barcelone et d’Arsenal est ensuite sorti sous une ovation debout du Vélodrome, qui sait ce qu’il lui doit, et ce sont les jeunes qui sont entrés en scène.Une nouvelle bonne action de Nadir a permis à Pierre-Emile Hojbjerg, qui avait beaucoup raté jusque-là, de marquer le but du 4-2 d’une frappe parfaite (81e). Trois minutes plus tard, Greenwood a manqué un penalty obtenu par Robinio Vaz, qui s’est consolé avec le but du 5-2 (90+6), fêté avec ses jeunes copains.Avant Lyon, rien n’est parfait, rien n’est réglé. Mais l’OM a trois points et, au moins, une attaque au point.