South Africa captain Bavuma hails special Test triumphWed, 18 Jun 2025 18:23:10 GMT

South Africa captain Temba Bavuma said the massive, joyous welcome his team received when returning home on Wednesday from their World Test Championship final triumph was a sign of how special the achievement was.Bavuma and his team-mates were greeted by several thousand supporters when they landed in Johannesburg following a five-wicket win over Australia in the …

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Essais nucléaires: un pardon de la France permettra à la Polynésie de “récupérer son histoire”, plaide la commission d’enquête

Le pardon de la France à la Polynésie pour les essais nucléaires est “une demande des Polynésiens” pour tourner la page et combler les “blancs dans notre histoire”, a affirmé mercredi la députée Mereana Reid-Arbelot (GDR), rapporteure d’une commission d’enquête parlementaire qui propose d’inscrire ce geste dans la loi organique du territoire.”Ce n’est pas un pardon tourné vers le passé: on a besoin de récupérer notre histoire parce qu’on a beaucoup de blancs dans nos pages d’histoire”, a-t-elle déclaré à l’AFP, ajoutant que cette demande de pardon était “un retour de toutes les personnes qu’on a rencontrées en Polynésie” dans le cadre de la commission d’enquête.Ce pardon, proposé parmi les 45 recommandations rendues publiques mardi, serait intégré à la loi organique de 2004 portant statut d’autonomie de la Polynésie française.”Depuis l’arrêt des essais, on a eu quatre présidents de la République (…) Aucun n’a prononcé le mot, mais on ne souhaite pas attacher cette demande de pardon à un président en particulier”, a expliqué Mme Reid-Arbelot, estimant “intéressant que cette demande vienne de la représentation nationale, du peuple français”.Pour elle, cette reconnaissance doit aussi s’accompagner d’un travail sur la mémoire: “Il faut faire un travail historique d’envergure, un peu à l’image de la mission Stora” sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie, dit-elle, plaidant pour que les avancées historiques puissent ensuite être enseignées.Autre recommandation phare: la suppression du seuil d’un millisievert, actuellement requis pour être indemnisé au titre des conséquences sanitaires des 193 essais nucléaires réalisés entre 1966 et 1996 en Polynésie française.”Rien ne justifie ce seuil: c’est un seuil de gestion” décidé par les autorités et le Comité d’indemnisation des victimes des essais nucléaires (Civen), estime la députée qui recommande de le supprimer et de “garder trois critères de date, de lieu et de pathologie” pour les indemnisations.Selon elle, depuis 1985 (les données antérieures sont manquantes), environ 13.500 personnes ont été exposées et atteintes d’une des 23 pathologies reconnues, mais seulement 1.206 ont été indemnisées à ce jour, pour un montant moyen de 71.000 euros.Une proposition de loi reprenant plusieurs recommandations inscrites dans le rapport est “en cours de rédaction”, précise Mme Reid-Arbelot, qui évoque aussi un toilettage de la loi Morin votée en 2010 pour faciliter les indemnisations et assure que les ministres auditionnés durant la commission d’enquête se sont montrés à l’écoute.

Essais nucléaires: un pardon de la France permettra à la Polynésie de “récupérer son histoire”, plaide la commission d’enquête

Le pardon de la France à la Polynésie pour les essais nucléaires est “une demande des Polynésiens” pour tourner la page et combler les “blancs dans notre histoire”, a affirmé mercredi la députée Mereana Reid-Arbelot (GDR), rapporteure d’une commission d’enquête parlementaire qui propose d’inscrire ce geste dans la loi organique du territoire.”Ce n’est pas un pardon tourné vers le passé: on a besoin de récupérer notre histoire parce qu’on a beaucoup de blancs dans nos pages d’histoire”, a-t-elle déclaré à l’AFP, ajoutant que cette demande de pardon était “un retour de toutes les personnes qu’on a rencontrées en Polynésie” dans le cadre de la commission d’enquête.Ce pardon, proposé parmi les 45 recommandations rendues publiques mardi, serait intégré à la loi organique de 2004 portant statut d’autonomie de la Polynésie française.”Depuis l’arrêt des essais, on a eu quatre présidents de la République (…) Aucun n’a prononcé le mot, mais on ne souhaite pas attacher cette demande de pardon à un président en particulier”, a expliqué Mme Reid-Arbelot, estimant “intéressant que cette demande vienne de la représentation nationale, du peuple français”.Pour elle, cette reconnaissance doit aussi s’accompagner d’un travail sur la mémoire: “Il faut faire un travail historique d’envergure, un peu à l’image de la mission Stora” sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie, dit-elle, plaidant pour que les avancées historiques puissent ensuite être enseignées.Autre recommandation phare: la suppression du seuil d’un millisievert, actuellement requis pour être indemnisé au titre des conséquences sanitaires des 193 essais nucléaires réalisés entre 1966 et 1996 en Polynésie française.”Rien ne justifie ce seuil: c’est un seuil de gestion” décidé par les autorités et le Comité d’indemnisation des victimes des essais nucléaires (Civen), estime la députée qui recommande de le supprimer et de “garder trois critères de date, de lieu et de pathologie” pour les indemnisations.Selon elle, depuis 1985 (les données antérieures sont manquantes), environ 13.500 personnes ont été exposées et atteintes d’une des 23 pathologies reconnues, mais seulement 1.206 ont été indemnisées à ce jour, pour un montant moyen de 71.000 euros.Une proposition de loi reprenant plusieurs recommandations inscrites dans le rapport est “en cours de rédaction”, précise Mme Reid-Arbelot, qui évoque aussi un toilettage de la loi Morin votée en 2010 pour faciliter les indemnisations et assure que les ministres auditionnés durant la commission d’enquête se sont montrés à l’écoute.

‘Terrified’: Supporters fear for prisoners trapped in Iran

As Israel presses its aerial attacks on Tehran, concern is growing over the fate of foreign nationals and Iranians seen by rights groups as political prisoners imprisoned in the capital who have no chance of fleeing to safety.Iran is believed to hold around 20 European nationals, many of whose cases have never been published, in what some Western governments describe as a strategy of hostage-taking aimed at extracting concessions from the West.Rights groups also accuse Iran of holding dozens of political prisoners whose sole offence has been to criticise the Islamic republic’s clerical leadership.Most are held in Evin prison, a large, heavily fortified complex notorious among activists for rights abuses that is located in a northern district of the Iranian capital. The prisoners have no means to respond to US President Donald Trump’s warning that “everyone should immediately evacuate Tehran!”For Noemie Kohler, the sister of French national Cecile Kohler, who has been held along with her partner Jacques Paris since May 2022 on espionage charges their families reject, the wait is agonising.”Since May 30, we’ve had no news, no sign of life from Jacques and Cecile, and the French authorities haven’t been able to obtain any information either,” Noemie Kohler told AFP, referring to the date of their last consular visit.”We saw that at least two strikes took place about two kilometres from where they are being held (in Evin prison), so it’s extremely close. We suspect they must have heard the explosions, but we have no idea how they are doing, we have no idea what level of information they have access to.”- ‘Imminent danger’ -Their last phone contact was on May 28, when Cecile Kohler’s parents spoke to her, she said, describing the mood even then as “desperate”, as they “no longer believe that they are going to be released”.”We don’t know if conditions in the prison have deteriorated in connection with the situation. We’re completely in the dark, and we’re truly terrified,” she said.She called for the couple’s “humanitarian exfiltration”, warning that “they are in imminent danger of death”.French Foreign Minister Jean-Noel Barrot said in May that 20 Europeans — a higher number than the total of publicised cases — are held in similar circumstances in Iran, including “teachers, academics, journalists, tourists”.He told parliament on Wednesday that France sent messages to the Iranian and Israeli authorities “alerting them to the presence of our two compatriots in Evin prison and to the need, as far as the Iranian authorities are concerned, to release them without delay to ensure their safety”.Among other Europeans known to be held in Iran is Iranian-Swedish academic Ahmadreza Djalali, who was arrested during a visit in April 2016 and sentenced to death in 2017 on charges of spying for Israel, which his family says are false.The current conflict, which has already seen one man, Esmail Fekri, executed on Monday on charges of spying for Israel, has made Djalali’s situation especially precarious.Norway-based group Iran Human Rights has warned the lives of Djalali and eight other men convicted on similar charges are at risk.”The risk of execution of these individuals is serious,” said its director Mahmood Amiry-Moghaddam, adding they had all been sentenced after “an unfair, non-transparent process, and based on the orders of security institutions”.- ‘My dad is in prison’ -Tehran residents have fled the city en masse.The 2023 Nobel Peace Prize winner Narges Mohammadi, who was serving a prison sentence but was released from Evin last year on medical leave, said she had left Tehran.But Mohammadi’s fellow rights activist Reza Khandan, the husband of prize-winning rights lawyer Nasrin Sotoudeh, is still jailed in Evin.Khandan, who long campaigned for his wife while she was in jail, was himself arrested in December 2024.”My dad is in prison. Can you tell me, how can my father evacuate Tehran?” their daughter Mehraveh Khandan said in a tearful message on Instagram.The New York-based Center for Human Rights in Iran urged “all parties to fully comply with international humanitarian law and take immediate steps to safeguard civilians, including those in custody”.It published a letter by legal activist Mahvash Seydal, seen as a political prisoner by rights groups, calling on authorities to grant detainees such as herself temporary release “to protect the lives and dignity of political prisoners”.

More than 200 India plane crash victims identified

More than 200 victims of last week’s Air India jet crash have been identified through DNA testing, a hospital official said Wednesday, inching towards ending an agonising wait for relatives.   There was one survivor out of 242 passengers and crew on board the London-bound plane on Thursday when it slammed into a residential area of Ahmedabad, killing at least 38 people on the ground. Distraught relatives have been providing DNA samples to help identify their loved ones, in a painstakingly slow process. As of Wednesday, 208 victims had been identified, the civil hospital’s medical superintendent Rakesh Joshi told journalists.The Boeing 787-8 Dreamliner erupted into a fireball when it crashed moments after takeoff, with witnesses reporting seeing badly burnt bodies and scattered remains.Indian authorities are yet to announce the cause of the crash and investigators from Britain and the United States have joined the probe.Investigators are aiming to retrieve vital information from both black boxes recovered from the site — the cockpit voice recorder and the flight data recorder.India’s Aircraft Accident Investigation Bureau upgraded a laboratory this year where black boxes can be analysed.Following the crash, the civil aviation regulator ordered inspections of Air India’s Dreamliners. Air India said Wednesday it would also carry out “enhanced safety checks on its Boeing 777 fleet”, in a note announcing a decision to cut its international flights on widebody planes by 15 percent until mid-July.Routes affected include those flown by the Boeing 787-8 and 777 models. The move follows 83 cancellations since the crash, due to “compounding circumstances”, according to Air India.”Geopolitical tensions in the Middle East, night curfew in the airspaces of many countries in Europe and East Asia, the ongoing enhanced safety inspections, and also the necessary cautious approach being taken by the engineering staff and Air India pilots,” have led to the spate of scrapped flights, the airline said.Initial checks on Air India’s fleet “did not reveal any major safety concerns”, the civil aviation regulator said late Tuesday.”The aircraft and associated maintenance systems were found to be compliant with existing safety standards,” it said.

De Téhéran à Toronto par la Turquie : une Iranienne fuit la guerre

Traînant deux valises et un sac à dos, Homa semble épuisée après avoir franchi la frontière turque au terme d’un long voyage depuis Téhéran, où elle était en vacances lorsque la guerre israélo-iranienne a éclaté. Analyste financière au Canada, cette femme de 40 ans s’est retrouvée bloquée à Téhéran lorsque l’Iran a fermé son espace aérien après qu’Israël a lancé une vaste campagne de bombardements avant l’aube, vendredi dernier. Homa, qui n’a pas donné son nom de famille, a rapidement cherché un autre moyen de sortir, trouvant un bus pour la frontière nord-ouest de l’Iran avec la Turquie, un voyage de 850 kilomètres.Après avoir vécu quatre jours de conflit, elle a quitté Téhéran mardi à 20 heures et est arrivée mercredi après-midi au poste frontière de Kapikoy, dans la province de Van, à l’est de la Turquie. De nombreuses personnes quittaient Téhéran, comme sa propre famille qui s’est rendue à Shahriar, une ville voisine située à une trentaine de kilomètres à l’ouest, sur un trajet qui a duré “des heures, en raison de la circulation dense”, a-t-elle dit. “Ils ne sont pas en sécurité, je m’inquiète pour eux”.À ce jour, l’Iran affirme qu’au moins 224 personnes ont été tuées dans les attaques israéliennes visant les infrastructures militaires et nucléaires de l’Iran, tandis qu’Israël affirme qu’au moins 24 personnes sont mortes dans les représailles de Téhéran. Malgré son long voyage, Homa a encore un long chemin à parcourir avant de retrouver sa famille à Toronto. “Pour l’instant, je vais à Erzurum, puis à Istanbul, puis à Dubaï et enfin à Toronto”, a-t-elle précisé avant d’entamer la prochaine étape de cinq heures.- Messageries sous sourveillance – La situation à Téhéran “n’est pas bonne. J’ai eu l’impression de ne pas être en sécurité”, a-t-elle confié à l’AFP, ajoutant que le bruit des missiles était effrayant et qu’il était impossible de dormir. “Je n’ai pas pu dormir pendant cinq nuits consécutives”, a-t-elle déclaré à l’AFP, expliquant que les bombardements dans l’est de la ville l’avaient obligée à se déplacer vers le nord. La communication est difficile. “Je n’ai même pas réussi à faire fonctionner le VPN. Telegram, WhatsApp, Instagram sont tous filtrés et le WiFi fonctionne par intermittence”, a-t-elle dit.Kapikoy, qui se trouve à 100 kilomètres à l’est de la ville turque de Van, au bord du lac, est le principal point de passage entre la Turquie et l’Iran. Jusqu’à présent, il ne semble pas y avoir eu d’afflux massif d’Iraniens traversant la frontière. Les autorités turques n’ont pas donné de chiffres sur le nombre de personnes arrivées depuis vendredi. Mercredi après-midi, des correspondants de l’AFP ont vu un flux régulier d’Iraniens arriver, mais pas en grand nombre, et un nombre similaire repasser en Iran, soit quelques centaines au maximum. – “comment osez-vous?” -Un responsable des douanes au point de passage a estimé qu’il n’y avait rien d’inhabituel dans ces chiffres, Van étant une destination populaire pour les touristes iraniens. “Il n’y a rien d’inhabituel par rapport à l’année dernière. Malgré la guerre, les arrivées sont assez stables”, a-t-il dit à l’AFP sans donner son nom. Malgré cela, les vols entre Van et Istanbul affichent complet dans les deux sens depuis des jours, tout comme les autocars longue distance. Les chauffeurs de bus turcs affirment que les chiffres ont augmenté au cours de la semaine dernière.”Nous avions l’habitude d’avoir trois ou quatre bus entre 20 heures et 8 heures du matin, mais maintenant nous en avons 30″, a dit à l’AFP le chauffeur Ismail Metin, précisant que beaucoup se dirigent vers Istanbul, à quelque 1.500 kilomètres de là. De nombreux Iraniens ont également été aperçus en train d’essayer de rentrer chez eux, notamment Ramin Rad, 37 ans, qui travaille dans le secteur du carrelage.Il se trouvait à Van pour son travail lorsque les bombardements ont commencé et espérait rentrer à Urmia, la plus grande ville de la province iranienne de l’Azerbaïdjan occidental. “Ma famille est en sécurité”, a-t-il assuré, ajoutant que la guerre ne déstabiliserait pas le régime. “Comment osez-vous changer le régime d’Allah ? Si Dieu le veut, les musulmans gagneront”, a-t-il dit.

Municipales à Marseille: le RN Franck Allisio, premier à se lancer dans la bataille

Premier à se lancer officiellement dans la campagne des municipales 2026 à Marseille, Franck Allisio, député RN des Bouches-du-Rhône, a annoncé mercredi être “le candidat du Rassemblement national” et de ses “alliés” pour “remettre Marseille en ordre”.Une candidature, soutenue par Marine Le Pen et Jordan Bardella, visant à proposer “une véritable alternance” face aux “deux sortants qui co-dirigent Marseille” depuis respectivement cinq et 10 ans, le maire divers gauche Benoît Payan et la présidente divers droite de la métropole Aix-Marseille Provence Martine Vassal, a ajouté le délégué départemental du Rassemblement national (RN).”On sait très bien que la métropole a autant de pouvoir sur Marseille que le maire de Marseille, et on voit l’échec” auquel cela a conduit, a estimé Franck Allisio, également président du groupe RN au Conseil régional et visé à ce titre par une enquête pour détournement de biens publics.Ex-LR, le député RN, élu dans la 12e circonscription qui comprend notamment les villes de Marignane et de Vitrolles, a précisé vouloir remettre de l’ordre “au sens large, (…) partout dans notre quotidien”, que ce soit “dans nos rues, dans nos écoles, dans nos transports, dans les poubelles, dans la finance de la ville”. Un “ordre juste”, a-t-il complété, adoptant le slogan de Ségolène Royal, candidate socialiste à la présidentielle 2007.Le député de 44 ans, favorable à la réforme du mode de scrutin municipal pour Paris, Lyon et Marseille, qui doit passer devant la commission mixte paritaire le 24 juin, n’a pas précisé dans quel secteur de Marseille il se présenterait, estimant que cela “viendra bien après”.Aux élections municipales 2020, il avait été candidat dans les 11e et 12e arrondissements de Marseille (6e secteur), sur la liste du leader RN d’alors, le sénateur Stéphane Ravier, qui avait ensuite rejoint le parti d’Éric Zemmour “Reconquête!” lors de la présidentielle de 2022, avant de créer son propre mouvement “Marseille d’abord”.Dans le cadre d’une quadrangulaire, la liste RN était arrivée en troisième position au second tour (21,18%), derrière le candidat de l’alliance de gauche Yannick Ohanessian (34,11%) et le maire de secteur sortant (LR) Julien Ravier (35,37%).- “Soit Payan, soit moi” -Interrogé sur un possible rapprochement avec Stéphane Ravier, figure la plus connue de l’extrême droite dans la région, Franck Allisio a rappelé que ce dernier avait été “élu et réélu sénateur par les voix des élus du RN en majorité”.”Il a fait ce qu’il a fait” et pour les prochaines municipales “il fera ce qu’il veut”, mais “je connais peu de gens qui se suicident deux fois”, a-t-il noté.De son côté, Stéphane Ravier, interrogé par l’AFP, a appelé à l’union. “J’en appelle à l’intelligence du camp national, à ranger les flingues” car “l’expérience nous a montré qu’on ne gagnait jamais seul une ville comme celle-là”.Une alliance avec Martine Vassal, qui soulignait récemment auprès de l’AFP son “travail sur l’union” de la droite, sans indiquer toutefois si elle serait candidate –comme lors des dernières municipales–, n’est pas non plus à l’ordre du jour, selon M. Allisio.”Très vite, j’ai vu qu’elle se rapprochait beaucoup plus de M. Payan que de nous, donc (…) je leur conseille de clarifier les choses et de se mettre ensemble. D’ailleurs je crois que M. Payan lui aussi tend la main à Mme Vassal”. Mais “le vrai match, c’est le second tour, c’est soit Payan, soit moi”, a-t-il assuré.Ex-PS devenu divers gauche, le maire de Marseille Benoît Payan n’a pas encore annoncé être candidat à sa succession, ce qui lui donnerait toutefois l’opportunité d’être cette fois directement élu. Maire depuis décembre 2020, il a seulement accédé à ce fauteuil après le retrait, officiellement “pour raisons de santé”, de l’élue écologiste Michèle Rubirola, porte drapeau de l’alliance de gauche qui avait remporté l’élection six mois plus tôt, après 25 ans de règne de Jean-Claude Gaudin (LR).Mais la constitution d’une alliance à gauche reste plus incertaine que jamais, alors que La France insoumise, qui n’a pas fait partie de l’équation en 2020 mais a gagné depuis en poids politique, veut présenter une liste distincte. Liste à laquelle plusieurs élus écologistes de la majorité municipale pourraient se rallier, plutôt qu’à Benoît Payan.