Wall Street dans l’attente de nouvelles annonces douanières
La Bourse de New York évolue sans grand entrain mardi, s’attendant à accueillir de nouvelles mesures douanières américaines, au lendemain d’une première vague visant une dizaine de pays.Vers 13H55 GMT, le Dow Jones reculait de 0,09%, l’indice Nasdaq avançait de 0,18% et l’indice élargi S&P 500 était proche de l’équilibre (+0,09%).Lundi, “le marché a tenté d’intégrer de manière préemptive ce qui pourrait avoir changé dans le régime des droits de douane”, a estimé auprès de l’AFP Art Hogan, analyste de B. Riley Wealth Management.En l’absence de nouvelles sur le front commercial, la place américaine reste sans grand mouvement mardi.Le président américain Donald Trump a promis lundi une surtaxe douanière d’au moins 25% à plusieurs pays, dont le Japon et la Corée du Sud, nouvelle étape dans son offensive bouleversant les échanges économiques internationaux.Le chef de l’Etat avait distillé pendant la journée, sur sa plateforme Truth Social, 14 lettres quasiment identiques envoyées à des pays essentiellement asiatiques. Alors que ces droits de douane devaient entrer en vigueur mercredi, M. Trump a repoussé leur échéance au 1er août, tout en estimant que cette nouvelle date butoir était “ferme, mais pas ferme à 100%”.Au global, “c’est beaucoup moins choquant que l’écart entre les attentes à l’approche du +jour de la libération+ (lorsque M. Trump a érigé son mur de surtaxes en avril, NDLR) et ce qui a été annoncé à ce moment-là”, a jugé M. Hogan.En conséquence, “la réaction du marché a été plus mathématique qu’émotionnelle”, a-t-il ajouté.”Oui, il y a de l’incertitude en ce moment (comme toujours), mais non, il n’y a pas de peur”, a écrit Patrick O’Hare, analyste de Briefing.com. Selon lui, la place américaine “craint toutefois que l’inflation ne se fige à des niveaux plus élevés, ce qui empêcherait la Réserve fédérale (Fed) d’abaisser ses taux”.Les acteurs de la finance s’attendent à ce que la banque centrale américaine laisse ses taux inchangés lors de sa prochaine réunion de juillet, selon l’outil de suivi de CME FedWatch. Une majorité anticipe toutefois que les taux devraient être abaissés lors de la réunion suivante, en septembre.Wall Street attend la publication mercredi du compte rendu (“minutes”) de la réunion de juin du comité de politique monétaire (FOMC) de la banque centrale américaine.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt américain à dix ans se tendait à 4,42%, contre 4,38% la veille en clôture.Ailleurs à la cote, les valeurs du secteur de l’énergie solaire étaient sous pression après la signature, par le président Trump, d’un décret visant à supprimer les subventions accordées aux énergies renouvelables en raison de “distorsions de marché”. Sunrun plongeait de 8,82%, First Solar reculait de 3,51% et Enphase Energy perdait 4,06%.Le géant du commerce en ligne Amazon (-0,37% à 222,65 dollars) reculait au premier jour de son “Prime Day”, une opération promotionnelle annuelle s’étalant cette année sur quatre jours.Le spécialiste des véhicules électriques Tesla (+1,47% à 298,23 dollars) reprenait un peu d’air après sa chute de la veille, provoquée par le lancement d’un nouveau parti politique par Elon Musk, patron du groupe et ancien allié de M. Trump.
La Grèce saisie par une vague de chaleur, l’Acropole d’Athènes ferme partiellement
La Grèce connaît une vague de chaleur qualifiée de “canicule” par des météorologues, poussant les autorités à fermer mardi l’Acropole d’Athènes aux heures les plus chaudes de la journée.Avec des températures maximales enregistrées de 40°C dans le centre dans l’après-midi, ce pays méditerranéen, coutumier des températures élevées en été, a également interdit le travail en extérieur de 12h00 à 17h00 (09h00 à 14h00 GMT) dans de nombreuses régions.Les touristes, nombreux dans la capitale grecque à un moment où la saison bat son plein, ne peuvent pas visiter le Parthénon et autres chefs-d’œuvre antiques au sommet de l’Acropole entre 13h00 et 17h00 (10h00 à 14h00 GMT), a annoncé le ministère de la Culture.- Jusqu’à 41°C -Les services météorologiques nationaux EMY ont prévenu que les températures pourraient grimper dans la journée à 41°C localement dans l’est et dans le Péloponnèse (sud).A Athènes, le thermomètre affichait 37°C vers 16h00 (13h00 GMT), selon l’EMY, avec des pointes souvent plus élevées encore dans le centre-ville très bétonné.Face au risque “extrêmement élevé” d’incendies, la Protection civile grecque a en outre placé en état d’alerte pour mercredi une grande partie de la région autour d’Athènes, l’Attique, du centre et du Péloponnèse (sud).Cette vague de chaleur a été qualifiée de “canicule” par plusieurs météorologues, même si les températures actuelles ne sont pas exceptionnelles en Grèce. Elle devrait marquer le pas dès jeudi avec des températures dans la capitale grecque qui devraient redescendre à 30-31°C.La suspension du travail en extérieur concerne notamment “les chantiers de construction et de travaux publics, les zones de réparation navale” dans plusieurs régions dont la seconde ville du pays, Thessalonique (nord), et des destinations touristiques comme les îles Ioniennes et une partie de Rhodes (sud-est), selon le ministère grec du Travail.- Livreurs -Les livreurs notamment de repas qui travaillent avec des “deux roues, à trottinettes ou en patins à roulettes” sont également concernés par cette mesure déjà en vigueur lundi et qui expose les contrevenants à une amende de 2.000 euros.Dans le centre d’Athènes, vendeurs de rue et serveurs poursuivaient leurs activités. “Il faut faire très attention en particulier à la mi-journée”, explique à l’AFP un coursier à vélo, Michalis Keskinidis, 43 ans.”Il faut boire beaucoup d’eau, des électrolytes et nous faisons des pauses quand nous pouvons pour respirer”, ajoute-t-il, casquette et lunettes pour se protéger du soleil.En Serbie voisine, le Service météorologique national (RMHZ) a également averti que les conditions météorologiques étaient extrêmement favorables aux incendies. Parallèlement, le RMHZ a également émis une alerte concernant des averses et des orages dans certaines parties de ce pays.Après la Slovaquie lundi, la Hongrie a connu mardi pour la deuxième journée consécutive des orages, accompagnés de vents violents, de pluies torrentielles et, par moments, de grêle qui ont fortement perturbé le trafic ferroviaire.En Croatie, mardi matin, la ville côtière de Split et ses environs ont été touchés par une tempête.Il y a quinze jours cette région des Balkans avait été été traversée par une vague de chaleur.- Record de visiteurs -L’Acropole d’Athènes avait déjà dû fermer ses portes à plusieurs reprises pendant les étés 2024 et 2023, notamment au cours d’un épisode caniculaire de deux semaines, inédit dans sa durée, en juillet 2023. Ce chef-d’oeuvre de la Grèce antique abrite principalement le Parthénon, le temple dédié à la déesse Athéna datant du Ve siècle avant notre ère et qui est classé au patrimoine mondial par l’Unesco.Le site a enregistré l’an dernier un nouveau record de visiteurs, avec quelque 4,5 millions, contre 3,9 millions en 2023, soit une hausse de 15,1% sur un an.Après avoir enregistré l’été 2024 le plus chaud, la Grèce a été depuis le début de l’actuelle période estivale plutôt épargnée par les canicules.Plusieurs feux de forêt s’y sont déjà produits, en particulier en Crète (sud) où des milliers de personnes ont été évacuées, notamment des vacanciers.Les habitants du sud et de l’ouest de l’Europe ont été confrontés fin juin à une vague de chaleur précoce, comme en France, en Belgique et aux Pays-Bas.La canicule a aussi frappé l’Italie, l’Espagne et le Portugal.
La Grèce saisie par une vague de chaleur, l’Acropole d’Athènes ferme partiellement
La Grèce connaît une vague de chaleur qualifiée de “canicule” par des météorologues, poussant les autorités à fermer mardi l’Acropole d’Athènes aux heures les plus chaudes de la journée.Avec des températures maximales enregistrées de 40°C dans le centre dans l’après-midi, ce pays méditerranéen, coutumier des températures élevées en été, a également interdit le travail en extérieur de 12h00 à 17h00 (09h00 à 14h00 GMT) dans de nombreuses régions.Les touristes, nombreux dans la capitale grecque à un moment où la saison bat son plein, ne peuvent pas visiter le Parthénon et autres chefs-d’œuvre antiques au sommet de l’Acropole entre 13h00 et 17h00 (10h00 à 14h00 GMT), a annoncé le ministère de la Culture.- Jusqu’à 41°C -Les services météorologiques nationaux EMY ont prévenu que les températures pourraient grimper dans la journée à 41°C localement dans l’est et dans le Péloponnèse (sud).A Athènes, le thermomètre affichait 37°C vers 16h00 (13h00 GMT), selon l’EMY, avec des pointes souvent plus élevées encore dans le centre-ville très bétonné.Face au risque “extrêmement élevé” d’incendies, la Protection civile grecque a en outre placé en état d’alerte pour mercredi une grande partie de la région autour d’Athènes, l’Attique, du centre et du Péloponnèse (sud).Cette vague de chaleur a été qualifiée de “canicule” par plusieurs météorologues, même si les températures actuelles ne sont pas exceptionnelles en Grèce. Elle devrait marquer le pas dès jeudi avec des températures dans la capitale grecque qui devraient redescendre à 30-31°C.La suspension du travail en extérieur concerne notamment “les chantiers de construction et de travaux publics, les zones de réparation navale” dans plusieurs régions dont la seconde ville du pays, Thessalonique (nord), et des destinations touristiques comme les îles Ioniennes et une partie de Rhodes (sud-est), selon le ministère grec du Travail.- Livreurs -Les livreurs notamment de repas qui travaillent avec des “deux roues, à trottinettes ou en patins à roulettes” sont également concernés par cette mesure déjà en vigueur lundi et qui expose les contrevenants à une amende de 2.000 euros.Dans le centre d’Athènes, vendeurs de rue et serveurs poursuivaient leurs activités. “Il faut faire très attention en particulier à la mi-journée”, explique à l’AFP un coursier à vélo, Michalis Keskinidis, 43 ans.”Il faut boire beaucoup d’eau, des électrolytes et nous faisons des pauses quand nous pouvons pour respirer”, ajoute-t-il, casquette et lunettes pour se protéger du soleil.En Serbie voisine, le Service météorologique national (RMHZ) a également averti que les conditions météorologiques étaient extrêmement favorables aux incendies. Parallèlement, le RMHZ a également émis une alerte concernant des averses et des orages dans certaines parties de ce pays.Après la Slovaquie lundi, la Hongrie a connu mardi pour la deuxième journée consécutive des orages, accompagnés de vents violents, de pluies torrentielles et, par moments, de grêle qui ont fortement perturbé le trafic ferroviaire.En Croatie, mardi matin, la ville côtière de Split et ses environs ont été touchés par une tempête.Il y a quinze jours cette région des Balkans avait été été traversée par une vague de chaleur.- Record de visiteurs -L’Acropole d’Athènes avait déjà dû fermer ses portes à plusieurs reprises pendant les étés 2024 et 2023, notamment au cours d’un épisode caniculaire de deux semaines, inédit dans sa durée, en juillet 2023. Ce chef-d’oeuvre de la Grèce antique abrite principalement le Parthénon, le temple dédié à la déesse Athéna datant du Ve siècle avant notre ère et qui est classé au patrimoine mondial par l’Unesco.Le site a enregistré l’an dernier un nouveau record de visiteurs, avec quelque 4,5 millions, contre 3,9 millions en 2023, soit une hausse de 15,1% sur un an.Après avoir enregistré l’été 2024 le plus chaud, la Grèce a été depuis le début de l’actuelle période estivale plutôt épargnée par les canicules.Plusieurs feux de forêt s’y sont déjà produits, en particulier en Crète (sud) où des milliers de personnes ont été évacuées, notamment des vacanciers.Les habitants du sud et de l’ouest de l’Europe ont été confrontés fin juin à une vague de chaleur précoce, comme en France, en Belgique et aux Pays-Bas.La canicule a aussi frappé l’Italie, l’Espagne et le Portugal.
La Grèce saisie par une vague de chaleur, l’Acropole d’Athènes ferme partiellement
La Grèce connaît une vague de chaleur qualifiée de “canicule” par des météorologues, poussant les autorités à fermer mardi l’Acropole d’Athènes aux heures les plus chaudes de la journée.Avec des températures maximales enregistrées de 40°C dans le centre dans l’après-midi, ce pays méditerranéen, coutumier des températures élevées en été, a également interdit le travail en extérieur de 12h00 à 17h00 (09h00 à 14h00 GMT) dans de nombreuses régions.Les touristes, nombreux dans la capitale grecque à un moment où la saison bat son plein, ne peuvent pas visiter le Parthénon et autres chefs-d’œuvre antiques au sommet de l’Acropole entre 13h00 et 17h00 (10h00 à 14h00 GMT), a annoncé le ministère de la Culture.- Jusqu’à 41°C -Les services météorologiques nationaux EMY ont prévenu que les températures pourraient grimper dans la journée à 41°C localement dans l’est et dans le Péloponnèse (sud).A Athènes, le thermomètre affichait 37°C vers 16h00 (13h00 GMT), selon l’EMY, avec des pointes souvent plus élevées encore dans le centre-ville très bétonné.Face au risque “extrêmement élevé” d’incendies, la Protection civile grecque a en outre placé en état d’alerte pour mercredi une grande partie de la région autour d’Athènes, l’Attique, du centre et du Péloponnèse (sud).Cette vague de chaleur a été qualifiée de “canicule” par plusieurs météorologues, même si les températures actuelles ne sont pas exceptionnelles en Grèce. Elle devrait marquer le pas dès jeudi avec des températures dans la capitale grecque qui devraient redescendre à 30-31°C.La suspension du travail en extérieur concerne notamment “les chantiers de construction et de travaux publics, les zones de réparation navale” dans plusieurs régions dont la seconde ville du pays, Thessalonique (nord), et des destinations touristiques comme les îles Ioniennes et une partie de Rhodes (sud-est), selon le ministère grec du Travail.- Livreurs -Les livreurs notamment de repas qui travaillent avec des “deux roues, à trottinettes ou en patins à roulettes” sont également concernés par cette mesure déjà en vigueur lundi et qui expose les contrevenants à une amende de 2.000 euros.Dans le centre d’Athènes, vendeurs de rue et serveurs poursuivaient leurs activités. “Il faut faire très attention en particulier à la mi-journée”, explique à l’AFP un coursier à vélo, Michalis Keskinidis, 43 ans.”Il faut boire beaucoup d’eau, des électrolytes et nous faisons des pauses quand nous pouvons pour respirer”, ajoute-t-il, casquette et lunettes pour se protéger du soleil.En Serbie voisine, le Service météorologique national (RMHZ) a également averti que les conditions météorologiques étaient extrêmement favorables aux incendies. Parallèlement, le RMHZ a également émis une alerte concernant des averses et des orages dans certaines parties de ce pays.Après la Slovaquie lundi, la Hongrie a connu mardi pour la deuxième journée consécutive des orages, accompagnés de vents violents, de pluies torrentielles et, par moments, de grêle qui ont fortement perturbé le trafic ferroviaire.En Croatie, mardi matin, la ville côtière de Split et ses environs ont été touchés par une tempête.Il y a quinze jours cette région des Balkans avait été été traversée par une vague de chaleur.- Record de visiteurs -L’Acropole d’Athènes avait déjà dû fermer ses portes à plusieurs reprises pendant les étés 2024 et 2023, notamment au cours d’un épisode caniculaire de deux semaines, inédit dans sa durée, en juillet 2023. Ce chef-d’oeuvre de la Grèce antique abrite principalement le Parthénon, le temple dédié à la déesse Athéna datant du Ve siècle avant notre ère et qui est classé au patrimoine mondial par l’Unesco.Le site a enregistré l’an dernier un nouveau record de visiteurs, avec quelque 4,5 millions, contre 3,9 millions en 2023, soit une hausse de 15,1% sur un an.Après avoir enregistré l’été 2024 le plus chaud, la Grèce a été depuis le début de l’actuelle période estivale plutôt épargnée par les canicules.Plusieurs feux de forêt s’y sont déjà produits, en particulier en Crète (sud) où des milliers de personnes ont été évacuées, notamment des vacanciers.Les habitants du sud et de l’ouest de l’Europe ont été confrontés fin juin à une vague de chaleur précoce, comme en France, en Belgique et aux Pays-Bas.La canicule a aussi frappé l’Italie, l’Espagne et le Portugal.
Pratiques commerciales trompeuses: un an de prison avec sursis pour l’influenceuse Rym Renom
Le tribunal correctionnel de Versailles a condamné mardi à un an de prison avec sursis probatoire de 18 mois et 25.000 euros d’amende l’influenceuse Rym Renom, jugée pour pratiques commerciales trompeuses sur le réseau social Instagram.Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du ministère public, qui avait requis en juin cinq mois de prison avec sursis et 25.000 euros d’amende. “Le tribunal a relevé que Madame Renom ne contestait pas la matérialité des faits, se retranchant derrière sa méconnaissance de la loi et qu’elle avait sincèrement regretté la promotion de pratiques illicites de chirurgie esthétique, qui constituaient les faits les plus graves, qu’elle avait assumé avoir promu sur une courte période”, a indiqué le tribunal dans un communiqué. Il a également prononcé une exécution provisoire de son jugement, contraignant la jeune femme, qui réside à Bali (Indonésie), à fixer sa résidence sur le territoire national et à faire des demandes pour pouvoir le quitter. L’influenceuse a également été condamnée à la confiscation des sommes saisies, soit 42.885 euros. La jeune femme de 34 ans, qui compte près de deux millions d’abonnés sur le réseau social de partage de photos et de vidéos, a comparu fin juin pour avoir fait la promotion, entre mai et novembre 2022 dans les Yvelines, de divers produits (lunettes, chaussures, vêtements pour enfants, thé…) en omettant de mentionner explicitement qu’elle était rémunérée pour ses services.Elle était également jugée pour avoir publié sur Instagram des stories vantant les mérites d’injections sous-cutanées alors que ces pratiques chirurgicales n’étaient pas réalisées par un médecin ou un infirmier.Cette dernière a immédiatement interjeté appel de la décision, a indiqué à l’AFP son avocate Me Margaux Mathieu. “Nous avons un excellent dossier pour obtenir une relaxe”, a-t-elle estimé, assurant que sa cliente est “sous le choc du traitement qui a été fait de son affaire”. Dans ce dossier, Rym Renom avait été condamnée une première fois à un an de prison ferme en février. Mais l’influenceuse de 34 ans était absente à ce premier procès.Un mandat d’arrêt avait alors été émis à son encontre. Rym Renom, qui assurait ne pas avoir été informée de la tenue du procès, avait contesté le jugement.Arrêtée en mai à la descente d’un vol à l’aéroport parisien de Roissy, elle avait été placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire français dans l’attente de son nouveau procès.A l’audience, Rym Renom a soutenu que ses abonnés étaient en mesure de faire la distinction entre ses publications relevant de sa vie privée et celles à caractère commercial, notamment grâce à la présence de codes promotionnels.Un avis loin d’être partagé par les directions de la protection des populations (DDPP) et de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), qui ont mené l’enquête ayant conduit aux poursuites pénales.Concernant les injections, l’influenceuse avait reconnu qu’elle aurait dû “mieux (s’)informer” et “faire plus attention”, mais contesté toute volonté de tromperie.
Wall Street ouvre en ordre dispersé
La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé mardi, s’attendant à accueillir de nouvelles mesures douanières américaines, au lendemain d’une première vague visant une dizaine de pays.Dans les premiers échanges, le Dow Jones reculait de 0,11%, l’indice Nasdaq avançait de 0,27% et l’indice élargi S&P 500 était proche de l’équilibre (+0,04%).




