Tour de France: Tadej Pogacar remporte la 4e étape à Rouen, la 100e victoire de sa carrière

Tadej Pogacar a remporté la 100e victoire de sa carrière, sa 18e au Tour de France, en remportant la quatrième étape, mardi à Rouen, devant Mathieu van der Poel qui reste in extremis en jaune.Le Slovène de 26 ans a réglé son grand rival des classiques lors d’un sprint en légère montée au sein d’un petit groupe comprenant les principaux favoris, sauf Primoz Roglic.Le Danois Jonas Vingegaard a terminé troisième pour compléter un podium de rêve, le même dans le désordre que celui de la deuxième étape, à Boulogne-sur-Mer, où Van der Poel s’était imposé devant Pogacar et Vingegaard.Au classement général, l’ogre slovène est dans le même temps que Van der Poel mais ce dernier conserve sa tunique de leader à l’addition des places obtenues depuis le départ du Tour, samedi à Lille.Jonas Vingegaard est troisième, à huit secondes à peine.”Arriver à cent victoires, c’est juste fabuleux. Gagner sur le Tour de France est incroyable, encore plus avec ce maillot” arc-en-ciel de champion de monde, a déclaré Pogacar à l’issue d’un final couru comme une classique au milieu des habitations dans les montées très raides de Rouen.”Il y avait beaucoup d’adrénaline, c’était de la course à l’état pur, j’adore ça”, a ajouté le Slovène qui dit souvent préférer l’intensité des courses d’un jour à la longueur des grands Tours.Mardi, il a eu droit au meilleur des deux mondes pour décrocher cette centième victoire, plus qu’aucun autre coureur en activité, à seulement 26 ans.Sur le Tour, il en est à 18 à une distance respectable du record de 35 victoires d’étape de Mark Cavendish.Le leader d’UAE a attaqué dans la rampe de Saint-Hilaire (800 m à 10,6%), placée à cinq bornes de l’arrivée, suivi seulement par Vingegaard qui a réussi à s’accrocher, malgré un léger fléchissement sur la fin.Les deux favoris du Tour ont ensuite temporisé pour être repris dans le final par un petit groupe parmi lesquels figuraient Remco Evenepoel, Matteo Jorgenson, Romain Grégoire, Oscar Onley et Joao Almeida, le lieutenant de Pogacar qui l’a parfaitement emmené jusqu’à la ligne.Sur ses terres normandes, Kevin Vauquelin a fini à dix secondes du vainqueur, défendant son maillot blanc de meilleur jeune.

Les Bourses européennes terminent en hausse

Les Bourses européennes ont terminé dans le vert mardi, au lendemain de la signature par Donald Trump du décret qui décale au 1er août l’entrée en vigueur de ses droits de douane les plus punitifs.La Bourse de Paris a pris 0,56%, Londres 0,54%, Francfort 0,55% et Milan 0,67%.

Hausse de la pauvreté : l’exécutif répond soutien à l’emploi et aux entreprises

Le gouvernement a insisté mardi sur le “soutien au travail et aux entreprises” comme réponse au taux de pauvreté record enregistré en France métropolitaine en 2023, rejetant les options d’une hausse de la taxation des ultra-riches ou d’une réorientation des aides aux entreprises. Des députés de gauche ont exhorté l’exécutif à faire contribuer davantage les plus grandes fortunes au lendemain de la publication de l’indicateur annuel de l’Insee faisant état d’un taux de pauvreté de 15,4% – du jamais-vu depuis au moins 30 ans – avec près de 10 millions de personnes concernées. Ils ont notamment plaidé en faveur de la “taxe Zucman” qui instaure un impôt plancher sur le patrimoine des 0,01% des contribuables les plus riches en France, afin de s’assurer qu’ils payent au moins 2% de leur fortune en impôt, ou encore en faveur d’une réorientation des aides aux entreprises. “Nous croyons à deux choses (…) au travail” mais “aussi à l’entreprise”, a répondu la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. “Nous ne pensons pas que faire partir les 1.800 entrepreneurs qui ont réussi et créent des emplois dans ce pays résoudra quoi que ce soit”. “Le CAC 40 aujourd’hui c’est 1,2 million d’emplois en France, les 6.000 plus belles ETI (entreprises de taille intermédiaire, ndlr) de France, ce sont 4 millions d’emplois et ce sont ces emplois que nous devons développer”, a-t-elle ajouté. “Oui nous voulons un système social fort, pour cela nous voulons des entreprises fortes et un système fiscal efficace. Ma main ne tremble pas face à la fraude et notre main ne tremblera pas s’il faut prendre des dispositions législatives lutter plus efficacement contre la sur-optimisation fiscale”. “La première réponse au défi” de la pauvreté “c’est bien le travail, c’est bien soutenir nos entreprises”, a abondé le ministre de l’Économie et des Finances Eric Lombard quelques minutes plus tard, jugeant impossible de répondre à la pauvreté en “affaiblissant les entreprises et notre tissu économique”. La ministre du Travail et des Solidarités Catherine Vautrin a de son côté mis en avant les “10 millions supplémentaires d’aide d’alimentaire dans le budget 2025” et la revalorisation en avril 2024 de 4,6% des minima sociaux – revalorisation “non prise en compte” dans les chiffres de l’Insee portant sur l’année 2023.

Hausse de la pauvreté : l’exécutif répond soutien à l’emploi et aux entreprises

Le gouvernement a insisté mardi sur le “soutien au travail et aux entreprises” comme réponse au taux de pauvreté record enregistré en France métropolitaine en 2023, rejetant les options d’une hausse de la taxation des ultra-riches ou d’une réorientation des aides aux entreprises. Des députés de gauche ont exhorté l’exécutif à faire contribuer davantage les plus grandes fortunes au lendemain de la publication de l’indicateur annuel de l’Insee faisant état d’un taux de pauvreté de 15,4% – du jamais-vu depuis au moins 30 ans – avec près de 10 millions de personnes concernées. Ils ont notamment plaidé en faveur de la “taxe Zucman” qui instaure un impôt plancher sur le patrimoine des 0,01% des contribuables les plus riches en France, afin de s’assurer qu’ils payent au moins 2% de leur fortune en impôt, ou encore en faveur d’une réorientation des aides aux entreprises. “Nous croyons à deux choses (…) au travail” mais “aussi à l’entreprise”, a répondu la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. “Nous ne pensons pas que faire partir les 1.800 entrepreneurs qui ont réussi et créent des emplois dans ce pays résoudra quoi que ce soit”. “Le CAC 40 aujourd’hui c’est 1,2 million d’emplois en France, les 6.000 plus belles ETI (entreprises de taille intermédiaire, ndlr) de France, ce sont 4 millions d’emplois et ce sont ces emplois que nous devons développer”, a-t-elle ajouté. “Oui nous voulons un système social fort, pour cela nous voulons des entreprises fortes et un système fiscal efficace. Ma main ne tremble pas face à la fraude et notre main ne tremblera pas s’il faut prendre des dispositions législatives lutter plus efficacement contre la sur-optimisation fiscale”. “La première réponse au défi” de la pauvreté “c’est bien le travail, c’est bien soutenir nos entreprises”, a abondé le ministre de l’Économie et des Finances Eric Lombard quelques minutes plus tard, jugeant impossible de répondre à la pauvreté en “affaiblissant les entreprises et notre tissu économique”. La ministre du Travail et des Solidarités Catherine Vautrin a de son côté mis en avant les “10 millions supplémentaires d’aide d’alimentaire dans le budget 2025” et la revalorisation en avril 2024 de 4,6% des minima sociaux – revalorisation “non prise en compte” dans les chiffres de l’Insee portant sur l’année 2023.

Hausse de la pauvreté : l’exécutif répond soutien à l’emploi et aux entreprises

Le gouvernement a insisté mardi sur le “soutien au travail et aux entreprises” comme réponse au taux de pauvreté record enregistré en France métropolitaine en 2023, rejetant les options d’une hausse de la taxation des ultra-riches ou d’une réorientation des aides aux entreprises. Des députés de gauche ont exhorté l’exécutif à faire contribuer davantage les plus grandes fortunes au lendemain de la publication de l’indicateur annuel de l’Insee faisant état d’un taux de pauvreté de 15,4% – du jamais-vu depuis au moins 30 ans – avec près de 10 millions de personnes concernées. Ils ont notamment plaidé en faveur de la “taxe Zucman” qui instaure un impôt plancher sur le patrimoine des 0,01% des contribuables les plus riches en France, afin de s’assurer qu’ils payent au moins 2% de leur fortune en impôt, ou encore en faveur d’une réorientation des aides aux entreprises. “Nous croyons à deux choses (…) au travail” mais “aussi à l’entreprise”, a répondu la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. “Nous ne pensons pas que faire partir les 1.800 entrepreneurs qui ont réussi et créent des emplois dans ce pays résoudra quoi que ce soit”. “Le CAC 40 aujourd’hui c’est 1,2 million d’emplois en France, les 6.000 plus belles ETI (entreprises de taille intermédiaire, ndlr) de France, ce sont 4 millions d’emplois et ce sont ces emplois que nous devons développer”, a-t-elle ajouté. “Oui nous voulons un système social fort, pour cela nous voulons des entreprises fortes et un système fiscal efficace. Ma main ne tremble pas face à la fraude et notre main ne tremblera pas s’il faut prendre des dispositions législatives lutter plus efficacement contre la sur-optimisation fiscale”. “La première réponse au défi” de la pauvreté “c’est bien le travail, c’est bien soutenir nos entreprises”, a abondé le ministre de l’Économie et des Finances Eric Lombard quelques minutes plus tard, jugeant impossible de répondre à la pauvreté en “affaiblissant les entreprises et notre tissu économique”. La ministre du Travail et des Solidarités Catherine Vautrin a de son côté mis en avant les “10 millions supplémentaires d’aide d’alimentaire dans le budget 2025” et la revalorisation en avril 2024 de 4,6% des minima sociaux – revalorisation “non prise en compte” dans les chiffres de l’Insee portant sur l’année 2023.

Trump says ‘no extensions’ to Aug 1 tariff deadline

President Donald Trump said Tuesday that he would not extend an August 1 deadline for higher US tariffs to take effect on dozens of economies, a day after he appeared to signal flexibility on the date.While Trump imposed a sweeping 10 percent tariff on goods from almost all trading partners in April, higher rates customized to dozens of economies were unveiled, then halted until July 9.But the president this week again delayed their reimposition, pushing it back to August 1.Trump insisted that there would be no further delay in the tariffs. “There will be no change,” he posted on Truth Social. He added that levies would start being paid on August 1, in line with letters now being sent out to trading partners.”No extensions will be granted,” Trump said.On Monday night, Trump had told reporters at a dinner that the August 1 deadline was “firm, but not 100 percent firm.”Pressed on whether the letters were his final offer, Trump replied: “I would say final — but if they call with a different offer, and I like it, then we’ll do it.”In a push for further trade deals, Trump sent letters to more than a dozen partners on Monday, including key US allies Japan and South Korea.Products from both countries would be hit with 25 percent duties, Trump wrote in near-identical letters to leaders in Tokyo and Seoul.Indonesia, Bangladesh, Thailand, South Africa and Malaysia were among other countries facing duties ranging from 25 percent to 40 percent.In his messages to foreign leaders, Trump warned of further escalation if there was retaliation against his levies.Most countries receiving the letters so far saw US tariffs at similar or unchanged rates from those threatened in April, although some like Laos and Cambodia saw notably lower levels.The Trump administration is under pressure to show results after promising a flurry of deals following the US president’s tariff threats.So far Washington has only struck two pacts, with Britain and Vietnam, besides an agreement to dial back staggeringly high tit-for-tat levies with China.In threatening tariff hikes on various economies, Trump cited in his letters a lack of reciprocity in trading ties.He also warned that goods transshipped to avoid higher duties would be subjected to steeper levels.But he added that if countries were willing to adjust their trade policies, Washington “will, perhaps, consider an adjustment to this letter.”He said in the letters that tariffs could be modified “upward or downward, depending on our relationship with your Country.”

Trump says ‘no extensions’ to Aug 1 tariff deadline

President Donald Trump said Tuesday that he would not extend an August 1 deadline for higher US tariffs to take effect on dozens of economies, a day after he appeared to signal flexibility on the date.While Trump imposed a sweeping 10 percent tariff on goods from almost all trading partners in April, higher rates customized to dozens of economies were unveiled, then halted until July 9.But the president this week again delayed their reimposition, pushing it back to August 1.Trump insisted that there would be no further delay in the tariffs. “There will be no change,” he posted on Truth Social. He added that levies would start being paid on August 1, in line with letters now being sent out to trading partners.”No extensions will be granted,” Trump said.On Monday night, Trump had told reporters at a dinner that the August 1 deadline was “firm, but not 100 percent firm.”Pressed on whether the letters were his final offer, Trump replied: “I would say final — but if they call with a different offer, and I like it, then we’ll do it.”In a push for further trade deals, Trump sent letters to more than a dozen partners on Monday, including key US allies Japan and South Korea.Products from both countries would be hit with 25 percent duties, Trump wrote in near-identical letters to leaders in Tokyo and Seoul.Indonesia, Bangladesh, Thailand, South Africa and Malaysia were among other countries facing duties ranging from 25 percent to 40 percent.In his messages to foreign leaders, Trump warned of further escalation if there was retaliation against his levies.Most countries receiving the letters so far saw US tariffs at similar or unchanged rates from those threatened in April, although some like Laos and Cambodia saw notably lower levels.The Trump administration is under pressure to show results after promising a flurry of deals following the US president’s tariff threats.So far Washington has only struck two pacts, with Britain and Vietnam, besides an agreement to dial back staggeringly high tit-for-tat levies with China.In threatening tariff hikes on various economies, Trump cited in his letters a lack of reciprocity in trading ties.He also warned that goods transshipped to avoid higher duties would be subjected to steeper levels.But he added that if countries were willing to adjust their trade policies, Washington “will, perhaps, consider an adjustment to this letter.”He said in the letters that tariffs could be modified “upward or downward, depending on our relationship with your Country.”

Incendie au nord de Marseille: le feu a gagné la ville

L’incendie parti en fin de matinée mardi des Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône), commune limitrophe au nord de Marseille, a atteint dans l’après-midi la deuxième ville de France, dont une partie des habitants ont été appelés à se confiner, selon un message d’alerte à 16h00 du préfet des Bouches-du-Rhône.”Feu de forêt à Marseille. Quittez le massif forestier immédiatement. Confinez-vous dans un bâtiment en dur. Fermez volets et portes”, indique le message diffusé sur les portables bornant à proximité de la zone de l’incendie, dont celui d’une journaliste de l’AFP.Selon les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône, l’incendie, déclenché en fin de matinée par un feu de véhicule, avait parcouru 350 hectares vers 16h00, essentiellement sur la commune des Pennes-Mirabeau.Plus de 560 pompiers, dont des marins-pompiers de Marseille et trois colonnes de renforts d’autres départements, ont été déployés pour contenir les flammes. “Je demande à tous les Marseillais d’être extrêmement vigilants et de limiter au maximum leurs déplacements pour laisser place aux secours, notamment au Nord de la ville”, a indiqué le maire de Marseille, Benoît Payan, sur le réseau social X, confirmant que les “Marseillais du 16e arrondissement sont invités à rester confinés”.Outre les habitants de cet arrondissement du nord de Marseille, le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur avait auparavant demandé aux populations des secteurs “Jas de Rhodes, Pierrefeu et Bouroumettes”, sur la commune des Pennes-Mirabeau d’où est parti l’incendie en fin de matinée, de rester confinés.Si aucune évacuation n’a encore été ordonnée à Marseille, trois gymnases se préparent toutefois à accueillir les habitants en cas de nécessité.Aux Pennes-Mirabeau, deux lotissements, Littoral 1 et 2, ont été évacués dans le quartier du Jas de Rhodes face à l’avancée des flammes, avait souligné le maire de la commune auprès de l’AFP.L’aéroport de Marseille-Provence, le quatrième de France après Roissy, Orly et Nice, avait été fermé peu après midi, entraînant le déroutage et l’annulation de nombreux vols. La circulation routière et ferroviaire était également fortement perturbée en raison de l’incendie: plusieurs lignes de bus et de cars étaient interrompues et les autoroutes A55 et A50 fermées “à partir de l’échangeur Florian” dans le sens Aubagne-Marseille, selon un message de la métropole Aix-Marseille-Provence sur X, qui précise que plusieurs tunnels routiers de Marseille sont également fermés.De même, “la circulation des trains est interrompue au départ et à l’arrivée de Marseille en direction du nord et de l’ouest”, l’incendie ayant atteint “les abords des voies vers l’Estaque”, a pour sa part communiqué la SNCF.”Les conditions sont défavorables sur le terrain, la vitesse de propagation du feu est très rapide”, avaient indiqué plus tôt les pompiers des Bouches-du-Rhône, précisant que “sous l’effet du mistral” le feu se dirigeait vers les quartiers Nord de Marseille, qui ont donc été atteints en milieu d’après-midi.Or “le vent ne faiblira pas avant 22/23h00 au plus tôt” et ce “avec des rafales jusqu’à 80/85km/h”, ont prévenu les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône, citant leur expert météo.