Zelensky appelle à contrer toute “tromperie” russe

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mercredi ses alliés à faire pression sur Moscou et à contrer toute “tromperie” russe, avant une réunion avec les dirigeants européens et Donald Trump.”Il faut mettre la pression sur la Russie pour obtenir une paix équitable. Nous devons utiliser l’expérience de l’Ukraine et de nos partenaires afin d’empêcher toute tromperie de la part de la Russie”, a-t-il déclaré dans un message sur Telegram.”Il n’y a actuellement aucun signe indiquant que les Russes se préparent à mettre fin à la guerre”, a-t-il ajouté.M. Zelensky doit se rendre à Berlin mercredi pour cette réunion sur la paix en Ukraine, à l’initiative de l’Allemagne et de la France, avant le sommet de vendredi entre le président américain et son homologue russe Vladimir Poutine.La réunion se tient alors que la Russie a opéré mardi une avancée militaire rapide dans l’est ukrainien, menaçant des villes stratégiques comme Pokrovsk et Dobropillia.Cette situation sur le front “n’a pas influencé” les préparatifs de la réunion à Berlin, a assuré à l’AFP un membre de la délégation ukrainienne.”Ce n’est pas la première fois qu’ils (les Russes, nldr) utilisent cette tactique d’infiltration, mais l’essentiel est de les tuer”, a expliqué cette source sous couvert d’anonymat, assurant que l’Ukraine a envoyé des “forces supplémentaires” qui opèrent dans la zone.L’Ukraine craint que la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine vendredi, prévue pour l’heure sans la participation de leur homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, n’aboutisse à un accord qui la forcerait à céder des parties de son territoire à la Russie.

Méduses à la centrale nucléaire de Gravelines: un premier réacteur a redémarré (EDF)

Un premier réacteur de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord) a redémarré mercredi matin, a annoncé EDF, alors que la production du site était totalement paralysée depuis lundi matin à cause de la présence massive de méduses.”Le réacteur n°6 a redémarré ce matin à 7H30″, selon une porte-parole d’EDF interrogée par l’AFP. Cette unité s’était arrêtée automatiquement lundi matin à cause de nombreuses méduses échouées dans les tambours filtrants des stations de pompage de l’eau de mer servant au refroidissement des réacteurs, un incident rarissime.Les unités de production n°2, 3 et 4, arrêtées automatiquement depuis dimanche soir pour la même raison, sont elles “toujours à l’arrêt”, les interventions étant “toujours en cours”, a ajouté la porte-parole d’EDF.Leur redémarrage est toujours prévu “dans les prochains jours”, a-t-elle précisé.A cause de cet incident, qui selon EDF n’a “pas eu de conséquence sur la sûreté des installations, la sécurité du personnel ou sur l’environnement”, la production électrique de Gravelines était totalement à l’arrêt depuis lundi matin, comme ses unités de production n°1 et 5 sont actuellement en maintenance.Située au bord de la mer du Nord, près de Dunkerque, Gravelines est la plus grande centrale nucléaire d’Europe occidentale, avec ses six réacteurs à eau pressurisée de 900 mégawatts chacun.En 2024, cette centrale a produit l’équivalent des besoins de 60% à 70% de la consommation électrique annuelle de la région Hauts-de-France, rappelle EDF sur son site.Gravelines avait déjà vu sa production perturbée par des méduses dans les années 1990, et le même phénomène s’est aussi produit aux Etats-Unis, en Ecosse, en Suède ou encore au Japon dans les années 2010.La prolifération dans le monde de ces animaux marins gélatineux et urticants est due à plusieurs facteurs, dont le réchauffement des océans avec celui du climat, mais aussi la surpêche, qui élimine certains de leurs prédateurs directs comme le thon.

Méduses à la centrale nucléaire de Gravelines: un premier réacteur a redémarré (EDF)

Un premier réacteur de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord) a redémarré mercredi matin, a annoncé EDF, alors que la production du site était totalement paralysée depuis lundi matin à cause de la présence massive de méduses.”Le réacteur n°6 a redémarré ce matin à 7H30″, selon une porte-parole d’EDF interrogée par l’AFP. Cette unité s’était arrêtée automatiquement lundi matin à cause de nombreuses méduses échouées dans les tambours filtrants des stations de pompage de l’eau de mer servant au refroidissement des réacteurs, un incident rarissime.Les unités de production n°2, 3 et 4, arrêtées automatiquement depuis dimanche soir pour la même raison, sont elles “toujours à l’arrêt”, les interventions étant “toujours en cours”, a ajouté la porte-parole d’EDF.Leur redémarrage est toujours prévu “dans les prochains jours”, a-t-elle précisé.A cause de cet incident, qui selon EDF n’a “pas eu de conséquence sur la sûreté des installations, la sécurité du personnel ou sur l’environnement”, la production électrique de Gravelines était totalement à l’arrêt depuis lundi matin, comme ses unités de production n°1 et 5 sont actuellement en maintenance.Située au bord de la mer du Nord, près de Dunkerque, Gravelines est la plus grande centrale nucléaire d’Europe occidentale, avec ses six réacteurs à eau pressurisée de 900 mégawatts chacun.En 2024, cette centrale a produit l’équivalent des besoins de 60% à 70% de la consommation électrique annuelle de la région Hauts-de-France, rappelle EDF sur son site.Gravelines avait déjà vu sa production perturbée par des méduses dans les années 1990, et le même phénomène s’est aussi produit aux Etats-Unis, en Ecosse, en Suède ou encore au Japon dans les années 2010.La prolifération dans le monde de ces animaux marins gélatineux et urticants est due à plusieurs facteurs, dont le réchauffement des océans avec celui du climat, mais aussi la surpêche, qui élimine certains de leurs prédateurs directs comme le thon.

Méduses à la centrale nucléaire de Gravelines: un premier réacteur a redémarré (EDF)

Un premier réacteur de la centrale nucléaire de Gravelines (Nord) a redémarré mercredi matin, a annoncé EDF, alors que la production du site était totalement paralysée depuis lundi matin à cause de la présence massive de méduses.”Le réacteur n°6 a redémarré ce matin à 7H30″, selon une porte-parole d’EDF interrogée par l’AFP. Cette unité s’était arrêtée automatiquement lundi matin à cause de nombreuses méduses échouées dans les tambours filtrants des stations de pompage de l’eau de mer servant au refroidissement des réacteurs, un incident rarissime.Les unités de production n°2, 3 et 4, arrêtées automatiquement depuis dimanche soir pour la même raison, sont elles “toujours à l’arrêt”, les interventions étant “toujours en cours”, a ajouté la porte-parole d’EDF.Leur redémarrage est toujours prévu “dans les prochains jours”, a-t-elle précisé.A cause de cet incident, qui selon EDF n’a “pas eu de conséquence sur la sûreté des installations, la sécurité du personnel ou sur l’environnement”, la production électrique de Gravelines était totalement à l’arrêt depuis lundi matin, comme ses unités de production n°1 et 5 sont actuellement en maintenance.Située au bord de la mer du Nord, près de Dunkerque, Gravelines est la plus grande centrale nucléaire d’Europe occidentale, avec ses six réacteurs à eau pressurisée de 900 mégawatts chacun.En 2024, cette centrale a produit l’équivalent des besoins de 60% à 70% de la consommation électrique annuelle de la région Hauts-de-France, rappelle EDF sur son site.Gravelines avait déjà vu sa production perturbée par des méduses dans les années 1990, et le même phénomène s’est aussi produit aux Etats-Unis, en Ecosse, en Suède ou encore au Japon dans les années 2010.La prolifération dans le monde de ces animaux marins gélatineux et urticants est due à plusieurs facteurs, dont le réchauffement des océans avec celui du climat, mais aussi la surpêche, qui élimine certains de leurs prédateurs directs comme le thon.

L’avion solaire SolarStratos revendique une altitude record et se rapproche des 10.000 mètres

SolarStratos revendique mercredi le titre d’avion “électrique et solaire habité le plus haut de l’histoire”, après un vol mardi lui ayant permis d’atteindre une altitude de 9.521 mètres, qui doit encore être validé par la Fédération aéronautique internationale (FAI). Ce vol, d’une durée de 5H09, “dépasse le précédent record” tenu par l’avion Solar Impulse conçu par Bertrand Piccard (9.235 m), souligne mercredi un communiqué de SolarStratos, qui précise qu’il doit encore être validé par la FAI. “C’est l’altitude pression corrigée en altitude densité standard qui fait foi en matière de record d’altitude aéronautique”, explique l’équipe constituée autour du pilote Raphaël Domjan.Le pilote a su naviguer les courants d’air chaud dans le canton du Valais dans le sud-ouest de la Suisse mardi pour permettre à son petit avion à l’envergure impressionnante de monter aussi haut et de “croiser un avion de ligne”.L’avion en fibre de carbone fait 24,8 mètres d’envergure pour la carlingue de 9,6 mètres de long.Les ailes immenses sont couvertes par 22 m2 de panneaux solaires.Après une campagne de vol en 2024 sans succès, le pilote quinquagénaire se rapproche donc de son but ultime: atteindre ou dépasser les 10.000 mètres. Raphaël Domjan “était très ému”, rapporte le communiqué: “Je partage ce moment de bonheur avec toute mon équipe qui a préparé depuis des années cet exploit.” Pour arriver à cette important palier, il a fallu des dizaines de vols de mises au point et, au cours de ce seul été, “le cap des 100 heures de vol” a été franchi.

L’avion solaire SolarStratos revendique une altitude record et se rapproche des 10.000 mètres

SolarStratos revendique mercredi le titre d’avion “électrique et solaire habité le plus haut de l’histoire”, après un vol mardi lui ayant permis d’atteindre une altitude de 9.521 mètres, qui doit encore être validé par la Fédération aéronautique internationale (FAI). Ce vol, d’une durée de 5H09, “dépasse le précédent record” tenu par l’avion Solar Impulse conçu par Bertrand Piccard (9.235 m), souligne mercredi un communiqué de SolarStratos, qui précise qu’il doit encore être validé par la FAI. “C’est l’altitude pression corrigée en altitude densité standard qui fait foi en matière de record d’altitude aéronautique”, explique l’équipe constituée autour du pilote Raphaël Domjan.Le pilote a su naviguer les courants d’air chaud dans le canton du Valais dans le sud-ouest de la Suisse mardi pour permettre à son petit avion à l’envergure impressionnante de monter aussi haut et de “croiser un avion de ligne”.L’avion en fibre de carbone fait 24,8 mètres d’envergure pour la carlingue de 9,6 mètres de long.Les ailes immenses sont couvertes par 22 m2 de panneaux solaires.Après une campagne de vol en 2024 sans succès, le pilote quinquagénaire se rapproche donc de son but ultime: atteindre ou dépasser les 10.000 mètres. Raphaël Domjan “était très ému”, rapporte le communiqué: “Je partage ce moment de bonheur avec toute mon équipe qui a préparé depuis des années cet exploit.” Pour arriver à cette important palier, il a fallu des dizaines de vols de mises au point et, au cours de ce seul été, “le cap des 100 heures de vol” a été franchi.

Taïwan: un disparu et 33 blessés lors du passage du typhon Podul

Le typhon Podul a frappé le sud-est de Taïwan mercredi, provoquant des fermetures de bureaux, des immobilisation d’avions et des coupures de courant dans des dizaines de milliers de foyers alors que des vents puissants et de fortes pluies s’abattent sur l’île.Des rafales de vent de 178 kilomètres par heure ont été enregistrées peu de temps avant que le typhon ne touche terre dans le comté de Taitung (sud-est) a déclaré l’Agence centrale de météorologie (CWA)Une personne est portée disparue après être partie pêcher et avoir été emportée, tandis que 33 personnes ont été blessées, a déclaré l’Agence nationale des incendies. Plus de 7.300 personnes ont été évacuées de leur domicile, et des arbres et des panneaux ont été renversés, alors que la tempête balaie les régions centrales et du sud, encore en train de se remettre des tempêtes du mois dernier.Les villes de Kaohsiung, Tainan et Chiayi seront “particulièrement touchées ce soir, avec une augmentation des pluies également attendue à Penghu et Kinmen”, a déclaré le directeur de la CWA, Lu Kuo-chen, lors d’une réunion en présence du président Lai Ching-te.”Nous sommes inquiets à propos de ce typhon”, a déclaré mercredi matin à l’AFP Huang Wei, un pêcheur de Kaohsiung, alors qu’il ajoutait des cordes pour attacher son bateau et vérifiait d’autres navires, quelques heures avant que Podul ne touche terre.”La dernière fois, les deux bateaux derrière nous n’étaient pas correctement amarrés et ont heurté mon bateau”, explique-t-il.Plus de 134.500 foyers subissent des pannes de courant.Tous les vols intérieurs sur l’île de 23 millions d’habitants ont été annulés pour mercredi, ainsi que des dizaines de vols internationaux.L’agence estime que les régions montagneuses de Kaohsiung et la ville de Tainan devraient recevoir entre 400 et 600 millimètres de pluie cumulée entre mardi et jeudi.Une grande partie du centre et du sud de Taïwan se remet encore des effets du typhon Danas et de pluies diluviennes ces dernières semaines.Danas, qui a frappé Taïwan début juillet, avait fait deux morts et des centaines de blessés après avoir déversé plus de 500 millimètres de pluie sur le sud de l’île en un week-end.Taïwan est habitué à de fréquents passages de tempêtes tropicales entre juillet et octobre.Les scientifiques estiment que le changement climatique d’origine humaine provoque des phénomènes météorologiques plus intenses, augmentant le risque d’inondations dévastatrices.

Taïwan: un disparu et 33 blessés lors du passage du typhon Podul

Le typhon Podul a frappé le sud-est de Taïwan mercredi, provoquant des fermetures de bureaux, des immobilisation d’avions et des coupures de courant dans des dizaines de milliers de foyers alors que des vents puissants et de fortes pluies s’abattent sur l’île.Des rafales de vent de 178 kilomètres par heure ont été enregistrées peu de temps avant que le typhon ne touche terre dans le comté de Taitung (sud-est) a déclaré l’Agence centrale de météorologie (CWA)Une personne est portée disparue après être partie pêcher et avoir été emportée, tandis que 33 personnes ont été blessées, a déclaré l’Agence nationale des incendies. Plus de 7.300 personnes ont été évacuées de leur domicile, et des arbres et des panneaux ont été renversés, alors que la tempête balaie les régions centrales et du sud, encore en train de se remettre des tempêtes du mois dernier.Les villes de Kaohsiung, Tainan et Chiayi seront “particulièrement touchées ce soir, avec une augmentation des pluies également attendue à Penghu et Kinmen”, a déclaré le directeur de la CWA, Lu Kuo-chen, lors d’une réunion en présence du président Lai Ching-te.”Nous sommes inquiets à propos de ce typhon”, a déclaré mercredi matin à l’AFP Huang Wei, un pêcheur de Kaohsiung, alors qu’il ajoutait des cordes pour attacher son bateau et vérifiait d’autres navires, quelques heures avant que Podul ne touche terre.”La dernière fois, les deux bateaux derrière nous n’étaient pas correctement amarrés et ont heurté mon bateau”, explique-t-il.Plus de 134.500 foyers subissent des pannes de courant.Tous les vols intérieurs sur l’île de 23 millions d’habitants ont été annulés pour mercredi, ainsi que des dizaines de vols internationaux.L’agence estime que les régions montagneuses de Kaohsiung et la ville de Tainan devraient recevoir entre 400 et 600 millimètres de pluie cumulée entre mardi et jeudi.Une grande partie du centre et du sud de Taïwan se remet encore des effets du typhon Danas et de pluies diluviennes ces dernières semaines.Danas, qui a frappé Taïwan début juillet, avait fait deux morts et des centaines de blessés après avoir déversé plus de 500 millimètres de pluie sur le sud de l’île en un week-end.Taïwan est habitué à de fréquents passages de tempêtes tropicales entre juillet et octobre.Les scientifiques estiment que le changement climatique d’origine humaine provoque des phénomènes météorologiques plus intenses, augmentant le risque d’inondations dévastatrices.

Taïwan: un disparu et 33 blessés lors du passage du typhon Podul

Le typhon Podul a frappé le sud-est de Taïwan mercredi, provoquant des fermetures de bureaux, des immobilisation d’avions et des coupures de courant dans des dizaines de milliers de foyers alors que des vents puissants et de fortes pluies s’abattent sur l’île.Des rafales de vent de 178 kilomètres par heure ont été enregistrées peu de temps avant que le typhon ne touche terre dans le comté de Taitung (sud-est) a déclaré l’Agence centrale de météorologie (CWA)Une personne est portée disparue après être partie pêcher et avoir été emportée, tandis que 33 personnes ont été blessées, a déclaré l’Agence nationale des incendies. Plus de 7.300 personnes ont été évacuées de leur domicile, et des arbres et des panneaux ont été renversés, alors que la tempête balaie les régions centrales et du sud, encore en train de se remettre des tempêtes du mois dernier.Les villes de Kaohsiung, Tainan et Chiayi seront “particulièrement touchées ce soir, avec une augmentation des pluies également attendue à Penghu et Kinmen”, a déclaré le directeur de la CWA, Lu Kuo-chen, lors d’une réunion en présence du président Lai Ching-te.”Nous sommes inquiets à propos de ce typhon”, a déclaré mercredi matin à l’AFP Huang Wei, un pêcheur de Kaohsiung, alors qu’il ajoutait des cordes pour attacher son bateau et vérifiait d’autres navires, quelques heures avant que Podul ne touche terre.”La dernière fois, les deux bateaux derrière nous n’étaient pas correctement amarrés et ont heurté mon bateau”, explique-t-il.Plus de 134.500 foyers subissent des pannes de courant.Tous les vols intérieurs sur l’île de 23 millions d’habitants ont été annulés pour mercredi, ainsi que des dizaines de vols internationaux.L’agence estime que les régions montagneuses de Kaohsiung et la ville de Tainan devraient recevoir entre 400 et 600 millimètres de pluie cumulée entre mardi et jeudi.Une grande partie du centre et du sud de Taïwan se remet encore des effets du typhon Danas et de pluies diluviennes ces dernières semaines.Danas, qui a frappé Taïwan début juillet, avait fait deux morts et des centaines de blessés après avoir déversé plus de 500 millimètres de pluie sur le sud de l’île en un week-end.Taïwan est habitué à de fréquents passages de tempêtes tropicales entre juillet et octobre.Les scientifiques estiment que le changement climatique d’origine humaine provoque des phénomènes météorologiques plus intenses, augmentant le risque d’inondations dévastatrices.

Nepal waives climbing fees for 97 mountain peaks

Nepal has waived climbing fees for 97 mountains, officials said on Wednesday, hoping to steer people to its lesser-known peaks and boost local economies.Climbers pay for permits on Nepali peaks and the fees vary depending on the mountain’s height and popularity, with heftier charges for those such as Everest.The 97 mountains, ranging in height from 5,870 metres (19,300 feet) to 7,132 metres, are located in the western Karnali and Sudurpaschim provinces. “We hope it will bring our hidden treasures in the limelight and diversify the mountains Nepal offers,” Himal Gautam, of Nepal’s tourism department, told AFP. It follows a busy spring climbing season in Nepal during which the government issued 1,168 climbing permits. Over half of those were for peaks above 8,000 metres, including Everest, the tallest in the world at 8,849 metres.In contrast, others saw little climbing activity and generated minimal revenue from so-called royalty fees.”These remote areas have immense tourism potential and we hope the local economy can benefit,” said Gautam.  Nima Nuru Sherpa, president of the Nepal Mountaineering Association, welcomed the decision but said much more was needed to drive interest in remote mountains. “Royalty fees alone is not keeping mountaineers (away) from these areas. We need to develop the infrastructure and manpower required for running expeditions there,” Sherpa said. Nepal is home to eight of the world’s 10 highest peaks and welcomes hundreds of climbers every year during the spring and autumn climbing seasons. A boom in climbers has made mountaineering a lucrative business since Sir Edmund Hillary and Tenzing Norgay Sherpa made the first Everest ascent in 1953.In February, Nepal increased permit fees for Everest from $11,000 to $15,000 starting next spring, hoping it will help tackle pollution and boost safety.