Oil rebounds as markets track Iran-Israel ceasefire

Oil prices recovered as stock markets diverged Wednesday while traders assessed whether the Israel-Iran ceasefire would endure.The focus was also on a NATO summit that signed off on a sharp increase to military spending by the United States and its allies.”Optimism about the fragile ceasefire holding between Iran and Israel has bubbled through markets… but more doubts are now creeping in about the truce holding,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.Trade Nation analyst David Morrison said that “Investors are mindful that the current ceasefire may break down, although that seems like a small risk for now.” Asian stock markets closed higher following rallies on Wall Street and in Europe on Tuesday on news of the ceasefire declared by Trump.But European stocks closed lower on Wednesday, and Wall Street’s main indices were mixed in late morning trading.The world’s main oil contract, Brent North Sea crude, rose 1.2 percent Wednesday after tumbling almost seven percent Tuesday.Brent and the main US crude contract, WTI, had soared Monday in the first reaction to the US bombing of Iran.Trump said Wednesday that the US strikes had resulted in the “total obliteration” of Iran’s nuclear capabilities, setting the country’s atomic programme back by “decades”.”They’re not going to be building bombs for a long time,” he said, adding that the ceasefire between Israel and Iran was going “very well”.But leaked US intelligence cast doubt on the damage caused by the American strikes, saying they had set back Tehran’s nuclear programme by just a few months.Trade Nation’s Morrison said if those assessments are correct it would pose serious concerns for investors as “it opens up a myriad of possibilities” about how the situation could develop.Trump’s comments were made in The Hague, where he mostly struck a conciliatory tone toward NATO allies, framing the deal on increased defence spending as a “great victory for everyone”.Trump appeared keen to share the plaudits for the deal, which sees the 32 NATO countries commit to spending five percent of output on defence by 2035.But Trump lashed out at Spain for its reluctance to boost defence spending and threaten to punish it with trade measures.”They want a little bit of a free ride, but they’ll have to pay it back to us on trade, because I’m not going to let that happen. It’s unfair,” Trump told journalists at the end of NATO’s Hague summit. While the Israel-Iran conflict has dominated global attention the outburst called attention to fact that Trump’s sweeping tariffs on friends and foes alike are set to come into force on July 9, after having been postponed once.Dozens of countries are locked in negotiations with Washington to clinch some sort of trade deal to mitigate the impact of US tariffs. Only Britain has been reached a deal, although Beijing and Washington have agreed to lower tariffs from the highest rates they imposed upon one another.- Key figures at around 1530 GMT -Brent North Sea Crude: UP 1.2 percent at $66.99 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.6 percent at $65.39 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.3 percent at 42,981.78 pointsNew York – S&P 500: FLAT at 6,090.37New York – Nasdaq Composite: UP 0.2 percent at 19,958.07London – FTSE 100: DOWN 0.5 percent at 8,718.75 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.8 percent at 7,558.16 (close) Frankfurt – DAX: DOWN 0.6 percent at 23,498.33 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.4 percent at 38,942.07 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.2 percent at 24,474.67 (close)Shanghai – Composite: UP 1.0 percent at 3,455.97 (close)Euro/dollar: UP at $1.1628 from $1.1625 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.3631 from $1.3616Dollar/yen: UP at 145.59 yen from 144.89 yenEuro/pound: UP at 85.38 from 85.24 penceburs-rl/jj

Les Bourses européennes terminent dans le rouge

Les Bourses européennes ont terminé en repli mercredi, les incertitudes qui entourent les droits de douane américains revenant au premier plan, tandis que les tensions géopolitiques restent en toile de fond.La Bourse de Paris a lâché 0,76% à la clôture, Londres a cédé 0,46% et Francfort a reculé de 0,61%.

Le fils d’un tirailleur sénégalais tué lors du massacre de Thiaroye porte plainte contre la France

L’unique descendant connu d’un groupe de tirailleurs, massacrés à leur retour de la Seconde Guerre mondiale par l’armée coloniale française en 1944 à Thiaroye, au Sénégal, a déposé plainte mardi contre l’Etat français, pour qu’enfin il “paie” après cet “acte criminel et ignoble”.Me Mbaye Dieng, l’avocat du Sénégalais Biram Senghor, seul descendant connu de ces nombreux tirailleurs massacrés, a indiqué mercredi à l’AFP avoir déposé plainte mardi au tribunal judiciaire de Paris contre X et la France pour recel de cadavre.M. Senghor est l’unique fils de M’Bap Senghor, tué le 1er décembre 1944 alors qu’à son retour d’Europe, il réclamait comme d’autres ses arriérés de soldes pour sa participation à la Seconde Guerre mondiale.Après le massacre, M’Bap Senghor “a été considéré comme +non rentré+ (disparu) puis déserteur”, écrit l’historienne Armelle Mabon dans son ouvrage, “Massacre de Thiaroye. Histoire d’un mensonge d’État”, publié en novembre.Son décès n’a été officiellement reconnu que neuf ans plus tard, en 1953, précise-t-elle.Biram Senghor, âgé d’au moins 86 ans, et joint mercredi à Diakhao, une bourgade dans le centre-ouest du Sénégal, où il réside, a raconté à l’AFP qu’il “ne sait pas où (son père) est inhumé, au cimetière ou au camp de Thiaroye”.”Je n’en sais rien. La France sait où se trouve le corps, le ministère des Anciens combattants sait où sont inhumés les tirailleurs”, a-t-il affirmé, reprochant à la France de cacher la vérité.”Ils font traîner cette affaire pour que je meure et qu’elle soit classée”, a ajouté M. Senghor.Dénonçant “300 ans de domination coloniale” et d'”exploitation”, il se désole que la France “refuse maintenant de payer (leur dû) à une poignée de soldats (coloniaux africains) qui ont remis sur les rails de la liberté la France que l’Allemagne avait occupée” lors de la Seconde Guerre mondiale.”Ça fait plus de 80 ans qu’elle refuse de payer (une indemnisation) après son acte criminel et ignoble. Qu’elle me paie”, a-t-il insisté. – “Obstruction” -Les autorités françaises de l’époque avaient admis la mort d’au moins 35 personnes.Mais plusieurs historiens avancent un nombre de victimes bien plus élevé, jusqu’à 400. L’endroit où reposent les soldats tombés n’a jamais été précisément révélé.Depuis, parmi les tirailleurs exécutés, six ont été reconnus en juillet 2024 “morts pour la France”, une liste qui “pourra être complétée dès lors que l’identité exacte d’autres victimes aura pu être établie”, selon le secrétariat d’État français chargé des Anciens combattants et de la Mémoire.Parmi eux, quatre étaient Sénégalais, dont M’Bap Senghor.Pour Me Dieng, “pendant un temps, on a menti à sa famille, on a fait croire que M. Senghor père était un déserteur, qu’il n’était pas mort à Thiaroye, et ensuite on a reconnu qu’il l’était”.”On ne sait pas où se trouvent les tirailleurs” et “cette situation fait tomber les responsables de la gestion de ce dossier sous le coup de l’article 434-7 du code pénal français, qui punit toute personne qui cache le cadavre d’une personne décédée des suites d’une violence”, a poursuivi le conseil. “La France est partie avec toutes les archives de la période où elle a géré le pays car il y avait des choses à cacher”, a-t-il ajouté.”Nous estimons que les personnes qui ne donnent pas accès aux archives font obstruction. Il faut qu’ils nous disent où se trouve le cadavre”, a encore demandé Me Dieng.Via des fouilles archéologiques inédites menées depuis début mai, des archéologues ont découvert des squelettes humains avec des balles dans le corps dans le cimetière de Thiaroye, a appris l’AFP début juin de source proche du dossier.Le 19 février, le gouvernement sénégalais avait annoncé ces fouilles pour “la manifestation de toute la vérité”. Il reproche à la France de dissimuler des faits sur ce massacre, en retenant notamment des documents d’archives permettant de connaître le bilan humain.L’ancien président François Hollande avait pourtant annoncé lors d’une visite fin 2014 avoir “remis une copie de l’intégralité des archives” sur Thiaroye.”La France a fait tout ce qu’elle devait faire”, assurait en décembre une source gouvernementale française, d’après qui “les archives sont ouvertes (Défense, Quai, outre-mer)”.

Vol de câbles en cuivre à Lille: le trafic TGV a “repris normalement” à 14H00

La circulation des TGV et Eurostar à Lille a “repris normalement” mercredi à 14H00, après avoir été perturbée toute la matinée en raison d’un important vol de câbles survenu dans la nuit de mardi à mercredi, selon SNCF Réseau.”Les travaux de réparation se sont terminés plus tôt que prévu grâce à la mobilisation des agents de SNCF Réseau”, a déclaré SNCF Réseau dans un communiqué. “Les circulations ont repris normalement depuis 14H00”.La circulation a également repris normalement pour les Eurostar, même si des retards pourraient encore subsister dans l’après-midi, a précisé une porte-parole d’Eurostar à l’AFP.Alertés en pleine nuit, une vingtaine d’agents de SNCF Réseau ont été “mobilisés depuis 3H00 du matin pour effectuer les réparations”, a expliqué à l’AFP Thibaut Vieilledent, dirigeant de l’unité territoriale de maintenance qui a travaillé aux réparations à Mont-de-Terre, petite gare dans le quartier lillois de Fives où le vol s’est produit.Chaque câble contenant 28 fils à raccorder un à un, ses équipes ont mené “un travail extrêmement minutieux” pour réinstaller les “plus de 600 mètres de câbles” volés, a-t-il souligné.Ce sont des “câbles de signalisation, qui permettent principalement le fonctionnement des aiguilles, et elles-mêmes permettent de diriger les trains sur les voies”, a-t-il détaillé.”Ce sont des câbles en cuivre, c’est une matière qui est recherchée pour être ensuite revendue. C’est un métal qui vaut cher”, a rappelé M. Vieilledent.- “Valises pour le soleil” -En milieu de journée, quelques TGV et Eurostar passaient à allure extrêmement réduite sur la voie rétablie, jusqu’à s’arrêter avant de franchir la zone où les agents travaillaient aux réparations, le temps de les laisser se mettre en sécurité, a constaté l’AFP.A la gare Lille Europe, noeud ferroviaire entre Paris, Londres et Bruxelles, les voyageurs oscillaient entre frustration et fatalisme dans la matinée.”On devait prendre le TGV à 07H20, et puis on nous a dit qu’il y avait beaucoup de retard, et après deux heures on nous a dit qu’il n’y avait pas de TGV”, explique Marie-Line Ponville, une Belge de 51 ans qui devait partir pour Marseille avec sa fille pour une semaine de croisière en Méditerranée.”On ne peut même pas rester ici vu qu’on avait pris nos valises pour le soleil, donc on va, je pense, annuler tout ça et rentrer à la maison”, ajoute-t-elle, dépitée.Sophie Nunez, cadre dans l’industrie pharmaceutique âgée de 60 ans, est arrivée à Lille en TGV de Strasbourg avec une heure de retard, ratant ainsi sa correspondance pour Dunkerque.”C’est un de mes collègues qui va venir me récupérer ici pour que je puisse continuer sur Dunkerque”, explique-t-elle.”Moi je ne fais pas partie des gens qui râlent (…), il y a beaucoup de choses qui ne dépendent pas de la SNCF, des accidents de personnes ou bien là les vols de câbles, ils essaient de gérer, faut pas rajouter du stress au stress”, estime-t-elle.- Des vols à répétition -La situation a été moins perturbée à la gare Lille Flandres.Patrick, 60 ans, devait prendre un Lille-Paris à 9h12, dont il a découvert l’annulation “en arrivant à la gare”. “Il y a un manque d’infos, aucune communication, pas de mail”, regrette ce salarié du secteur des assurances.Il a pu monter dans le train Lille-Paris suivant, une heure plus tard que prévu.”Une dizaine de TGV” ont été annulés mercredi matin entre Lille et Paris en raison de la capacité de circulation limitée sur la ligne classique, selon SNCF Voyageurs.Sollicités par l’AFP, la police et le parquet de Lille n’étaient pas en mesure de donner plus de détails dans l’immédiat sur les circonstances de ce nouveau vol d’ampleur à Lille.En février, 13 câbles représentant une longueur cumulée de plusieurs centaines de mètres avaient été volés sur des terrains de la SNCF à Lille, ce qui avait entraîné d’importantes perturbations sur le réseau pendant toute une journée.Un précédent vol de câbles avait aussi fortement perturbé le trafic ferroviaire dans les Hauts-de-France en octobre dernier. Un trentenaire a été condamné en avril à 15 mois de prison pour ce délit.

Vol de câbles en cuivre à Lille: le trafic TGV a “repris normalement” à 14H00

La circulation des TGV et Eurostar à Lille a “repris normalement” mercredi à 14H00, après avoir été perturbée toute la matinée en raison d’un important vol de câbles survenu dans la nuit de mardi à mercredi, selon SNCF Réseau.”Les travaux de réparation se sont terminés plus tôt que prévu grâce à la mobilisation des agents de SNCF Réseau”, a déclaré SNCF Réseau dans un communiqué. “Les circulations ont repris normalement depuis 14H00”.La circulation a également repris normalement pour les Eurostar, même si des retards pourraient encore subsister dans l’après-midi, a précisé une porte-parole d’Eurostar à l’AFP.Alertés en pleine nuit, une vingtaine d’agents de SNCF Réseau ont été “mobilisés depuis 3H00 du matin pour effectuer les réparations”, a expliqué à l’AFP Thibaut Vieilledent, dirigeant de l’unité territoriale de maintenance qui a travaillé aux réparations à Mont-de-Terre, petite gare dans le quartier lillois de Fives où le vol s’est produit.Chaque câble contenant 28 fils à raccorder un à un, ses équipes ont mené “un travail extrêmement minutieux” pour réinstaller les “plus de 600 mètres de câbles” volés, a-t-il souligné.Ce sont des “câbles de signalisation, qui permettent principalement le fonctionnement des aiguilles, et elles-mêmes permettent de diriger les trains sur les voies”, a-t-il détaillé.”Ce sont des câbles en cuivre, c’est une matière qui est recherchée pour être ensuite revendue. C’est un métal qui vaut cher”, a rappelé M. Vieilledent.- “Valises pour le soleil” -En milieu de journée, quelques TGV et Eurostar passaient à allure extrêmement réduite sur la voie rétablie, jusqu’à s’arrêter avant de franchir la zone où les agents travaillaient aux réparations, le temps de les laisser se mettre en sécurité, a constaté l’AFP.A la gare Lille Europe, noeud ferroviaire entre Paris, Londres et Bruxelles, les voyageurs oscillaient entre frustration et fatalisme dans la matinée.”On devait prendre le TGV à 07H20, et puis on nous a dit qu’il y avait beaucoup de retard, et après deux heures on nous a dit qu’il n’y avait pas de TGV”, explique Marie-Line Ponville, une Belge de 51 ans qui devait partir pour Marseille avec sa fille pour une semaine de croisière en Méditerranée.”On ne peut même pas rester ici vu qu’on avait pris nos valises pour le soleil, donc on va, je pense, annuler tout ça et rentrer à la maison”, ajoute-t-elle, dépitée.Sophie Nunez, cadre dans l’industrie pharmaceutique âgée de 60 ans, est arrivée à Lille en TGV de Strasbourg avec une heure de retard, ratant ainsi sa correspondance pour Dunkerque.”C’est un de mes collègues qui va venir me récupérer ici pour que je puisse continuer sur Dunkerque”, explique-t-elle.”Moi je ne fais pas partie des gens qui râlent (…), il y a beaucoup de choses qui ne dépendent pas de la SNCF, des accidents de personnes ou bien là les vols de câbles, ils essaient de gérer, faut pas rajouter du stress au stress”, estime-t-elle.- Des vols à répétition -La situation a été moins perturbée à la gare Lille Flandres.Patrick, 60 ans, devait prendre un Lille-Paris à 9h12, dont il a découvert l’annulation “en arrivant à la gare”. “Il y a un manque d’infos, aucune communication, pas de mail”, regrette ce salarié du secteur des assurances.Il a pu monter dans le train Lille-Paris suivant, une heure plus tard que prévu.”Une dizaine de TGV” ont été annulés mercredi matin entre Lille et Paris en raison de la capacité de circulation limitée sur la ligne classique, selon SNCF Voyageurs.Sollicités par l’AFP, la police et le parquet de Lille n’étaient pas en mesure de donner plus de détails dans l’immédiat sur les circonstances de ce nouveau vol d’ampleur à Lille.En février, 13 câbles représentant une longueur cumulée de plusieurs centaines de mètres avaient été volés sur des terrains de la SNCF à Lille, ce qui avait entraîné d’importantes perturbations sur le réseau pendant toute une journée.Un précédent vol de câbles avait aussi fortement perturbé le trafic ferroviaire dans les Hauts-de-France en octobre dernier. Un trentenaire a été condamné en avril à 15 mois de prison pour ce délit.

Orages: 57 départements en vigilance orange mercredi

Cinquante-sept départements sont mercredi en vigilance orange pour les orages, a annoncé Météo-France qui prévoit des phénomènes “violents sur un très large axe central du pays”.En plus du Rhône et de l’Isère en vigilance orange pour canicule (36 autres départements sont placés en vigilance jaune canicule), 57 départements sont placés en vigilance orange pour les orages (24 en vigilance jaune) sur une large ligne qui traverse la France du nord au sud.Météo-France met en garde face à cet “épisode orageux nécessitant une vigilance particulière compte-tenu du risque de phénomènes violents associés (grêle, rafales, fortes pluies et forte activité électrique)”.L’organisme de prévisions anticipe de fortes pluies (30 à 50 mm en une à deux heures), localement des chutes de grêle de taille moyenne à grosse (jusqu’à deux à cinq cm, voire plus), et des rafales pouvant dépasser les 100 km/h, “possiblement 100/120 km/h voire localement plus”.L’événement doit débuter sur le sud-ouest et le centre-est du pays avant de se décaler “vers l’est en restant très organisés”. Les orages concerneront “plutôt en soirée le Bassin parisien puis le nord et le nord-est du pays”, prévient l’organisme de prévision.Sept départements du Nord et du Nord-Est ont été ajoutés à cette vigilance jusqu’alors prévue pour 50 départements. Ces nouveaux départements seront concernés par l’événement à partir de 22H00, précise Météo-France.- “Fortes pluies” et “grêle” -Les orages vont ensuite s’atténuer “en cours de nuit de mercredi à jeudi en s’évacuant par les frontières du nord et du nord-est”.La vigilance orange orages sera levée mercredi à minuit pour 50 départements. Mais sept autres départements resteront en vigilance selon Météo-France: Ardennes, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Pas-de-Calais et Vosges.Météo-France attend “une baisse notable des températures jeudi, après cet épisode pluvio-orageux”. “Les fortes chaleurs ne concerneront plus alors que le pourtour méditerranéen”, précise l’organisme.- Pic caniculaire -Ce mercredi, Météo-France prévoit un “nouveau pic caniculaire, avec un vent très chaud qui repasse au sud”.”Les températures maximales atteignant 36 à 38°C, notamment sur le sud du Rhône et le nord de l’Isère. On attend 38°C dans les agglomérations de Lyon et Grenoble”, précise Météo-France.”La nuit prochaine, il devrait continuer de faire très chaud. Les minimales jeudi matin resteront tropicales, de l’ordre de 20 à 22°C sur les agglomérations de Lyon et Grenoble. Toutefois, en journée de jeudi, une baisse très significative des maximales est attendue, avec un retour à des températures voisines des 30°C”, ajoute l’organisme.La France est traversée depuis le 21 juin par sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, dont la moitié ont été subies au 21e siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.cca-bl-jpa-gvy/ib

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Orages: 57 départements en vigilance orange mercredi

Cinquante-sept départements sont mercredi en vigilance orange pour les orages, a annoncé Météo-France qui prévoit des phénomènes “violents sur un très large axe central du pays”.En plus du Rhône et de l’Isère en vigilance orange pour canicule (36 autres départements sont placés en vigilance jaune canicule), 57 départements sont placés en vigilance orange pour les orages (24 en vigilance jaune) sur une large ligne qui traverse la France du nord au sud.Météo-France met en garde face à cet “épisode orageux nécessitant une vigilance particulière compte-tenu du risque de phénomènes violents associés (grêle, rafales, fortes pluies et forte activité électrique)”.L’organisme de prévisions anticipe de fortes pluies (30 à 50 mm en une à deux heures), localement des chutes de grêle de taille moyenne à grosse (jusqu’à deux à cinq cm, voire plus), et des rafales pouvant dépasser les 100 km/h, “possiblement 100/120 km/h voire localement plus”.L’événement doit débuter sur le sud-ouest et le centre-est du pays avant de se décaler “vers l’est en restant très organisés”. Les orages concerneront “plutôt en soirée le Bassin parisien puis le nord et le nord-est du pays”, prévient l’organisme de prévision.Sept départements du Nord et du Nord-Est ont été ajoutés à cette vigilance jusqu’alors prévue pour 50 départements. Ces nouveaux départements seront concernés par l’événement à partir de 22H00, précise Météo-France.- “Fortes pluies” et “grêle” -Les orages vont ensuite s’atténuer “en cours de nuit de mercredi à jeudi en s’évacuant par les frontières du nord et du nord-est”.La vigilance orange orages sera levée mercredi à minuit pour 50 départements. Mais sept autres départements resteront en vigilance selon Météo-France: Ardennes, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Pas-de-Calais et Vosges.Météo-France attend “une baisse notable des températures jeudi, après cet épisode pluvio-orageux”. “Les fortes chaleurs ne concerneront plus alors que le pourtour méditerranéen”, précise l’organisme.- Pic caniculaire -Ce mercredi, Météo-France prévoit un “nouveau pic caniculaire, avec un vent très chaud qui repasse au sud”.”Les températures maximales atteignant 36 à 38°C, notamment sur le sud du Rhône et le nord de l’Isère. On attend 38°C dans les agglomérations de Lyon et Grenoble”, précise Météo-France.”La nuit prochaine, il devrait continuer de faire très chaud. Les minimales jeudi matin resteront tropicales, de l’ordre de 20 à 22°C sur les agglomérations de Lyon et Grenoble. Toutefois, en journée de jeudi, une baisse très significative des maximales est attendue, avec un retour à des températures voisines des 30°C”, ajoute l’organisme.La France est traversée depuis le 21 juin par sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, dont la moitié ont été subies au 21e siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.cca-bl-jpa-gvy/ib

Orages: 57 départements en vigilance orange mercredi

Cinquante-sept départements sont mercredi en vigilance orange pour les orages, a annoncé Météo-France qui prévoit des phénomènes “violents sur un très large axe central du pays”.En plus du Rhône et de l’Isère en vigilance orange pour canicule (36 autres départements sont placés en vigilance jaune canicule), 57 départements sont placés en vigilance orange pour les orages (24 en vigilance jaune) sur une large ligne qui traverse la France du nord au sud.Météo-France met en garde face à cet “épisode orageux nécessitant une vigilance particulière compte-tenu du risque de phénomènes violents associés (grêle, rafales, fortes pluies et forte activité électrique)”.L’organisme de prévisions anticipe de fortes pluies (30 à 50 mm en une à deux heures), localement des chutes de grêle de taille moyenne à grosse (jusqu’à deux à cinq cm, voire plus), et des rafales pouvant dépasser les 100 km/h, “possiblement 100/120 km/h voire localement plus”.L’événement doit débuter sur le sud-ouest et le centre-est du pays avant de se décaler “vers l’est en restant très organisés”. Les orages concerneront “plutôt en soirée le Bassin parisien puis le nord et le nord-est du pays”, prévient l’organisme de prévision.Sept départements du Nord et du Nord-Est ont été ajoutés à cette vigilance jusqu’alors prévue pour 50 départements. Ces nouveaux départements seront concernés par l’événement à partir de 22H00, précise Météo-France.- “Fortes pluies” et “grêle” -Les orages vont ensuite s’atténuer “en cours de nuit de mercredi à jeudi en s’évacuant par les frontières du nord et du nord-est”.La vigilance orange orages sera levée mercredi à minuit pour 50 départements. Mais sept autres départements resteront en vigilance selon Météo-France: Ardennes, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Moselle, Nord, Pas-de-Calais et Vosges.Météo-France attend “une baisse notable des températures jeudi, après cet épisode pluvio-orageux”. “Les fortes chaleurs ne concerneront plus alors que le pourtour méditerranéen”, précise l’organisme.- Pic caniculaire -Ce mercredi, Météo-France prévoit un “nouveau pic caniculaire, avec un vent très chaud qui repasse au sud”.”Les températures maximales atteignant 36 à 38°C, notamment sur le sud du Rhône et le nord de l’Isère. On attend 38°C dans les agglomérations de Lyon et Grenoble”, précise Météo-France.”La nuit prochaine, il devrait continuer de faire très chaud. Les minimales jeudi matin resteront tropicales, de l’ordre de 20 à 22°C sur les agglomérations de Lyon et Grenoble. Toutefois, en journée de jeudi, une baisse très significative des maximales est attendue, avec un retour à des températures voisines des 30°C”, ajoute l’organisme.La France est traversée depuis le 21 juin par sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, dont la moitié ont été subies au 21e siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules.cca-bl-jpa-gvy/ib

Bayrou tire les conclusions sur les retraites, le RN redevient l’arbitre

François Bayrou tirera jeudi les conclusions de ses ultimes discussions avec les partenaires sociaux sur les retraites après l’échec de quatre mois de concertations, qui a conduit les socialistes à déposer une motion de censure et remis le Rassemblement national au centre du jeu.Le Premier ministre tiendra une conférence de presse jeudi à 17h00 à Matignon pour donner le résultat de ses échanges avec les organisations syndicales et patronales.”Je vais continuer à travailler avec eux jusque demain après-midi. Et demain après-midi, je dirai aux Français ce que nous pouvons trouver comme accord. Et s’il demeure des points de désaccord, le gouvernement les tranchera”, a affirmé devant le Sénat François Bayrou.Il n’y aura pas pour autant de nouvelle rencontre avant la conférence de presse, selon Matignon. François Bayrou, qui considère que les partenaires sociaux étaient “à quelques centimètres de la réussite du conclave”, a promis que si un accord éventuel entraînait des dispositions législatives, “elles seraient soumises au Parlement”. “Et le gouvernement prendra ses responsabilités”, “ce travail ne sera pas oublié, il ne sera pas annulé”, a insisté ce grand défenseur du dialogue social.- Sceptique -Le chef du gouvernement devrait notamment exposer les points de blocage et de consensus des partenaires sociaux qui devaient les lui faire remonter.Syndicats et organisations patronales s’opposent notamment sur la prise en compte de la pénibilité et le financement des mesures qui seraient adoptées pour aménager la réforme de 2023.Le Premier ministre “veut obtenir des accords (…) sur les points de la retraite des femmes ou l’âge de départ à plein droit à la retraite (à 66,5 ans au lieu de 67)”, a précisé la porte-parole du gouvernement Sophie Primas mercredi matin sur franceinfo.Mais un éventuel accord sur ces points ne suffirait pas aux socialistes qui veulent pouvoir discuter de “tout” au Parlement, et en particulier revenir sur l’âge de départ à 64 ans, ce que refuse le Premier ministre.Cette poursuite des discussions ne convainc pas tout le monde non plus au sein du camp présidentiel. Sceptique, le patron d’Horizons et prétendant à l’Elysée, Edouard Philippe, a jugé sur RTL “qu’on ne règlera pas cette question par des éléments techniques, on la règlera par un vrai débat politique au moment de la présidentielle”.François Bayrou avait lancé ces concertations en février en échange de la neutralité des socialistes à son égard, ce qui lui avait permis d’échapper à la censure sur le budget.Mais sans attendre l’issue de ces discussions de la dernière chance, les socialistes ont annoncé mardi qu’ils allaient déposer une motion de censure contre le gouvernement. – “Pas de gain” -François Bayrou se retrouve donc à la merci du Rassemblement national, premier groupe numériquement de l’Assemblée nationale, comme son prédécesseur Michel Barnier, censuré au bout de trois mois à Matignon.Mais il peut encore respirer: le parti à la flamme ne le censurera pas la semaine prochaine, quand sera débattue la motion de censure du PS. Il lui donne “rendez-vous” sur le budget à l’automne.La motion de censure ne peut être adoptée sans les voix de l’extrême droite en l’état des forces à l’Assemblée nationale.”Si nous censurons dans les jours qui viennent François Bayrou, la réforme des retraites demeure, c’est un coup pour rien (…). Quel est le gain politique que nous avons ? A part mettre le bazar avant l’été, il n’y a pas de gain”, a justifié sur France Inter le vice-président du RN Sébastien Chenu. “Le RN, assurance vie de la macronie”, a aussitôt réagi le coordinateur de la France insoumise Manuel Bompard.De fait, François Bayrou, qui avait à son arrivée en décembre fait le pari de miser sur les socialistes pour faire adopter le budget et ne pas être dans la main du RN comme son prédécesseur, va se retrouver six mois après dans la même situation si la gauche reste unie pour le censurer à l’automne.Alors qu’il doit présenter mi-juillet les grandes lignes de son budget, et notamment les 40 milliards d’euros d’économies promises, le RN l’a bien compris.”Les premières pistes évoquées par M. Bayrou pour son prochain budget me font dire qu’il emprunte le même chemin que son prédécesseur: demander des efforts toujours aux mêmes, ceux qui travaillent (…) tout en refusant de s’attaquer à nos dépenses liées à notre modèle migratoire ou à nos dépenses publiques”, a averti Marine Le Pen dans Valeurs Actuelles mercredi.