Trump a levé un montant record de 239 millions de dollars pour son investiture de 2025

Le président américain Donald Trump a recueilli un montant record de 239 millions de dollars pour sa deuxième investiture en janvier, selon une déclaration dimanche auprès de la Commission électorale fédérale.Ce montant représente plus du double de son précédent record de près de 107 millions de dollars établi lors de sa première investiture en janvier 2017.Parmi les centaines de donateurs du Trump Vance Inaugural Committee figurent des grandes entreprises comme AirBnB, McDonald’s, Microsoft, Amazon, Meta ou JP Morgan Chase, qui ont chacune fait don d’au moins un million de dollars.Le PDG d’OpenAI Sam Altman a également fait don d’un million de dollars pour l’investiture du 20 janvier, où des personnalités du monde de la technologie ont occupé le devant de la scène.Les fonds recueillis pour cette investiture dépassent de loin le montant moyen récolté par les présidents récents, le démocrate Joe Biden ayant reçu environ 61 millions de dollars de dons pour son investiture en 2021.Le montant de 239 millions de dollars ne comprend pas quelque 6 millions de dollars de dons ayant été remboursés.Les comités d’investiture sont tenus par la loi de communiquer les détails de chaque don d’une valeur égale ou supérieure à 200 dollars, les ressortissants étrangers n’ayant pas le droit d’apporter des fonds.Une douzaine de milliardaires étaient présents lors de la cérémonie d’investiture de M. Trump en janvier, pesant au total selon certains commentateurs sur les réseaux sociaux environ 1.000 milliards de dollars, soit approximativement le PIB de la Suisse.Le PDG d’Amazon, Jeff Bezos, le fondateur de Meta, Mark Zuckerberg, le directeur de Google, Sundar Pichai, le patron d’Apple, Tim Cook, et l’homme le plus riche du monde, Elon Musk, PDG de Tesla, étaient tous assis à proximité lors de la prestation de serment de M. Trump.

Guerre commerciale: Pékin s’agace des pays négociant avec Washington

La Chine a dénoncé lundi les pays qui pratiquent l'”apaisement” à l’égard des Etats-Unis dans les négociations sur les droits de douane américains, affirmant “s’opposer fermement” à tout accord nuisant à ses intérêts.Washington a imposé des droits de douane de 145% sur la plupart des produits chinois, pouvant grimper jusqu’à 245% dans certains cas – par exemple pour les véhicules électriques.En réponse, la Chine a imposé ses propres surtaxes de 125% sur les produits américains et a affirmé vouloir mener ce bras de fer commercial “jusqu’au bout”.Mais les autres partenaires commerciaux des Etats-Unis, certes frappés par une surtaxe plancher de 10%, ont bénéficié d’une suspension de 90 jours de droits de douane bien plus élevés. Nombre de ces pays ont engagé des discussions avec Washington.Pékin a réagi lundi en mettant en garde ces pays contre tout accord avec les États-Unis qui compromettrait ses propres intérêts.”L’apaisement n’apportera pas la paix et le compromis ne sera pas respecté”, a déclaré dans un communiqué un porte-parole du ministère du Commerce chinois.Ce dernier répondait à une question sur la possibilité que Washington demande à certains pays de limiter leurs échanges commerciaux avec la Chine en échange d’une exemption des droits de douane américain, selon le communiqué.Pékin “s’oppose fermement à ce que toute partie parvienne à un accord au détriment des intérêts de la Chine”, a averti le porte-parole. “Si une telle situation se produit, la Chine ne l’acceptera jamais et prendra résolument des contre-mesures réciproques”.”Chercher ses propres intérêts égoïstes temporaires au détriment des intérêts des autres (…) échouera en fin de compte des deux côtés et nuira aux autres”, a-t-il ajouté.- Négociations en cours -Ces déclarations chinoises ont lieu alors que plusieurs signes indiquent un progrès significatif des négociations entre Washington et ses partenaires commerciaux dans la région.La Corée du Sud doit envoyer cette semaine à Washington ses ministres des Finances et du Commerce pour des discussions commerciales de haut niveau, a annoncé Séoul.Le pays s’inquiète notamment de voir ses mastodontes nationaux Samsung Electronics et le constructeur automobile Hyundai durement touchés si la Maison Blanche met à exécution ses menaces.La semaine dernière, c’est l’émissaire japonais pour les droits de douane, Ryosei Akazawa, qui s’était rendu à Washington où il a rencontré le président américain Donald Trump.Le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba avait ensuite affirmé samedi que les discussions entre le Japon et les États-Unis pourraient être “un modèle pour le monde”.”Le fait que le président Trump soit personnellement intervenu pour négocier avec l’émissaire japonais montre qu’il accorde de l’importance au dialogue avec le Japon”, a-t-il ajouté lundi devant le Parlement.”Le Japon est leur allié, le plus grand investisseur et créateur d’emplois aux États-Unis”, a souligné M. Ishiba.Selon plusieurs médias japonais, Tokyo pourrait, en guise de concession, augmenter ses importations de soja et de riz américains, voire assouplir ses normes de sécurité automobile.Le Premier ministre japonais a toutefois affirmé lundi refuser d’accepter tout ce qui nuirait “à la sécurité”.Le vice-président américain JD Vance a également atterri lundi en Inde pour une visite officielle de quatre jours, sur fond de négociations sur un accord commercial bilatéral.Ces discussions contrastent avec le bras de fer tenace entre Pékin et Washington, qui a plongé les marchés financiers dans la tourmente et alimente les craintes d’une récession mondiale.Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a de nouveau condamné lundi “l’unilatéralisme et le protectionnisme commercial”, appelant à “l’ouverture” et au “bénéfice mutuel”, lors d’une déclaration en présence de son homologue indonésien en visite à Pékin.”L’abus des droits de douane portera gravement atteinte aux échanges économiques et commerciaux normaux entre les pays”, a-t-il ajouté. Le président américain Donald Trump avait pourtant déclaré jeudi que des pourparlers étaient en cours avec la Chine.”Je pense que nous allons conclure un très bon accord”, avait-il dit à des journalistes dans le Bureau ovale.Le pouvoir chinois n’a pour l’heure pas confirmé ces discussions, même s’il a appelé à de multiples reprises à un “dialogue” sur “un pied d’égalité”. 

Guerre commerciale: Pékin s’agace des pays négociant avec Washington

La Chine a dénoncé lundi les pays qui pratiquent l'”apaisement” à l’égard des Etats-Unis dans les négociations sur les droits de douane américains, affirmant “s’opposer fermement” à tout accord nuisant à ses intérêts.Washington a imposé des droits de douane de 145% sur la plupart des produits chinois, pouvant grimper jusqu’à 245% dans certains cas – par exemple pour les véhicules électriques.En réponse, la Chine a imposé ses propres surtaxes de 125% sur les produits américains et a affirmé vouloir mener ce bras de fer commercial “jusqu’au bout”.Mais les autres partenaires commerciaux des Etats-Unis, certes frappés par une surtaxe plancher de 10%, ont bénéficié d’une suspension de 90 jours de droits de douane bien plus élevés. Nombre de ces pays ont engagé des discussions avec Washington.Pékin a réagi lundi en mettant en garde ces pays contre tout accord avec les États-Unis qui compromettrait ses propres intérêts.”L’apaisement n’apportera pas la paix et le compromis ne sera pas respecté”, a déclaré dans un communiqué un porte-parole du ministère du Commerce chinois.Ce dernier répondait à une question sur la possibilité que Washington demande à certains pays de limiter leurs échanges commerciaux avec la Chine en échange d’une exemption des droits de douane américain, selon le communiqué.Pékin “s’oppose fermement à ce que toute partie parvienne à un accord au détriment des intérêts de la Chine”, a averti le porte-parole. “Si une telle situation se produit, la Chine ne l’acceptera jamais et prendra résolument des contre-mesures réciproques”.”Chercher ses propres intérêts égoïstes temporaires au détriment des intérêts des autres (…) échouera en fin de compte des deux côtés et nuira aux autres”, a-t-il ajouté.- Négociations en cours -Ces déclarations chinoises ont lieu alors que plusieurs signes indiquent un progrès significatif des négociations entre Washington et ses partenaires commerciaux dans la région.La Corée du Sud doit envoyer cette semaine à Washington ses ministres des Finances et du Commerce pour des discussions commerciales de haut niveau, a annoncé Séoul.Le pays s’inquiète notamment de voir ses mastodontes nationaux Samsung Electronics et le constructeur automobile Hyundai durement touchés si la Maison Blanche met à exécution ses menaces.La semaine dernière, c’est l’émissaire japonais pour les droits de douane, Ryosei Akazawa, qui s’était rendu à Washington où il a rencontré le président américain Donald Trump.Le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba avait ensuite affirmé samedi que les discussions entre le Japon et les États-Unis pourraient être “un modèle pour le monde”.”Le fait que le président Trump soit personnellement intervenu pour négocier avec l’émissaire japonais montre qu’il accorde de l’importance au dialogue avec le Japon”, a-t-il ajouté lundi devant le Parlement.”Le Japon est leur allié, le plus grand investisseur et créateur d’emplois aux États-Unis”, a souligné M. Ishiba.Selon plusieurs médias japonais, Tokyo pourrait, en guise de concession, augmenter ses importations de soja et de riz américains, voire assouplir ses normes de sécurité automobile.Le Premier ministre japonais a toutefois affirmé lundi refuser d’accepter tout ce qui nuirait “à la sécurité”.Le vice-président américain JD Vance a également atterri lundi en Inde pour une visite officielle de quatre jours, sur fond de négociations sur un accord commercial bilatéral.Ces discussions contrastent avec le bras de fer tenace entre Pékin et Washington, qui a plongé les marchés financiers dans la tourmente et alimente les craintes d’une récession mondiale.Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a de nouveau condamné lundi “l’unilatéralisme et le protectionnisme commercial”, appelant à “l’ouverture” et au “bénéfice mutuel”, lors d’une déclaration en présence de son homologue indonésien en visite à Pékin.”L’abus des droits de douane portera gravement atteinte aux échanges économiques et commerciaux normaux entre les pays”, a-t-il ajouté. Le président américain Donald Trump avait pourtant déclaré jeudi que des pourparlers étaient en cours avec la Chine.”Je pense que nous allons conclure un très bon accord”, avait-il dit à des journalistes dans le Bureau ovale.Le pouvoir chinois n’a pour l’heure pas confirmé ces discussions, même s’il a appelé à de multiples reprises à un “dialogue” sur “un pied d’égalité”. 

Guerre commerciale: Pékin s’agace des pays négociant avec Washington

La Chine a dénoncé lundi les pays qui pratiquent l'”apaisement” à l’égard des Etats-Unis dans les négociations sur les droits de douane américains, affirmant “s’opposer fermement” à tout accord nuisant à ses intérêts.Washington a imposé des droits de douane de 145% sur la plupart des produits chinois, pouvant grimper jusqu’à 245% dans certains cas – par exemple pour les véhicules électriques.En réponse, la Chine a imposé ses propres surtaxes de 125% sur les produits américains et a affirmé vouloir mener ce bras de fer commercial “jusqu’au bout”.Mais les autres partenaires commerciaux des Etats-Unis, certes frappés par une surtaxe plancher de 10%, ont bénéficié d’une suspension de 90 jours de droits de douane bien plus élevés. Nombre de ces pays ont engagé des discussions avec Washington.Pékin a réagi lundi en mettant en garde ces pays contre tout accord avec les États-Unis qui compromettrait ses propres intérêts.”L’apaisement n’apportera pas la paix et le compromis ne sera pas respecté”, a déclaré dans un communiqué un porte-parole du ministère du Commerce chinois.Ce dernier répondait à une question sur la possibilité que Washington demande à certains pays de limiter leurs échanges commerciaux avec la Chine en échange d’une exemption des droits de douane américain, selon le communiqué.Pékin “s’oppose fermement à ce que toute partie parvienne à un accord au détriment des intérêts de la Chine”, a averti le porte-parole. “Si une telle situation se produit, la Chine ne l’acceptera jamais et prendra résolument des contre-mesures réciproques”.”Chercher ses propres intérêts égoïstes temporaires au détriment des intérêts des autres (…) échouera en fin de compte des deux côtés et nuira aux autres”, a-t-il ajouté.- Négociations en cours -Ces déclarations chinoises ont lieu alors que plusieurs signes indiquent un progrès significatif des négociations entre Washington et ses partenaires commerciaux dans la région.La Corée du Sud doit envoyer cette semaine à Washington ses ministres des Finances et du Commerce pour des discussions commerciales de haut niveau, a annoncé Séoul.Le pays s’inquiète notamment de voir ses mastodontes nationaux Samsung Electronics et le constructeur automobile Hyundai durement touchés si la Maison Blanche met à exécution ses menaces.La semaine dernière, c’est l’émissaire japonais pour les droits de douane, Ryosei Akazawa, qui s’était rendu à Washington où il a rencontré le président américain Donald Trump.Le Premier ministre japonais Shigeru Ishiba avait ensuite affirmé samedi que les discussions entre le Japon et les États-Unis pourraient être “un modèle pour le monde”.”Le fait que le président Trump soit personnellement intervenu pour négocier avec l’émissaire japonais montre qu’il accorde de l’importance au dialogue avec le Japon”, a-t-il ajouté lundi devant le Parlement.”Le Japon est leur allié, le plus grand investisseur et créateur d’emplois aux États-Unis”, a souligné M. Ishiba.Selon plusieurs médias japonais, Tokyo pourrait, en guise de concession, augmenter ses importations de soja et de riz américains, voire assouplir ses normes de sécurité automobile.Le Premier ministre japonais a toutefois affirmé lundi refuser d’accepter tout ce qui nuirait “à la sécurité”.Le vice-président américain JD Vance a également atterri lundi en Inde pour une visite officielle de quatre jours, sur fond de négociations sur un accord commercial bilatéral.Ces discussions contrastent avec le bras de fer tenace entre Pékin et Washington, qui a plongé les marchés financiers dans la tourmente et alimente les craintes d’une récession mondiale.Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a de nouveau condamné lundi “l’unilatéralisme et le protectionnisme commercial”, appelant à “l’ouverture” et au “bénéfice mutuel”, lors d’une déclaration en présence de son homologue indonésien en visite à Pékin.”L’abus des droits de douane portera gravement atteinte aux échanges économiques et commerciaux normaux entre les pays”, a-t-il ajouté. Le président américain Donald Trump avait pourtant déclaré jeudi que des pourparlers étaient en cours avec la Chine.”Je pense que nous allons conclure un très bon accord”, avait-il dit à des journalistes dans le Bureau ovale.Le pouvoir chinois n’a pour l’heure pas confirmé ces discussions, même s’il a appelé à de multiples reprises à un “dialogue” sur “un pied d’égalité”.Â