Venezuela denounces ‘abduction’ of girl, 2, whose parents were deported by US

Venezuela accused Washington Monday of “abduction” in the case of a two-year-old girl separated from her migrant parents, who were deported from the United States without her.The US Department of Homeland Security (DHS) has said the girl was placed in foster care to protect her from her parents, who it claimed were members of Venezuela’s Tren de Aragua drug gang.In a statement Monday, the foreign ministry in Caracas denounced “the abduction by US authorities of the young Venezuelan Maikelys Antonella Espinoza Bernal, aged two” and called for her “immediate” return to her parents.Under US President Donald Trump, the DHS has carried out a crackdown on immigration, deporting thousands of primarily Latin American migrants that it says are undocumented and cancelling the legal status of others.The administration has said that many of those it has deported are members of criminal gangs, including Tren de Aragua, but has provided limited evidence to back that claim. Lawyers and family members of many deportees deny the allegations.The DHS did not say where it deported the girl’s parents to, but Venezuela believes her father was among about 250 men sent to El Salvador’s notorious CECOT prison for the country’s most violent criminals.In a statement Saturday, the DHS claimed the father, Maiker Espinoza-Escalona, was a Tren de Aragua “lieutenant” who “oversees homicides, drug sales, kidnappings, extortion, sex trafficking and operates a torture house.”The girl’s mother, Yorely Escarleth Bernal Inciarte, “oversees recruitment of young women for drug smuggling and prostitution,” the DHS said.It said the girl was “taken off the deportation flight manifest for her safety and welfare. The child remains in the care and custody of the Office of Refugee Resettlement and is currently placed with a foster family.”The department branded both parents “criminal illegal aliens” and said their expulsion had been approved by a judge.Tren de Aragua has been designated a “foreign terrorist organization” by the Trump administration, which has paid El Salvador millions of dollars to lock up nearly 300 deported migrants it claims are criminals and gang members.At least one of them, Salvadoran Kilmar Abrego Garcia, was found to have been wrongly deported, but both Trump and El Salvador’s President Nayib Bukele have washed their hands of his case.Last week, Venezuelan prosecutors said they were investigating the “forced disappearance” of a citizen detained in the United States in January, but whose whereabouts are now “unknown.”

US warplane went overboard into Red Sea: Navy

A US warplane went overboard into the Red Sea as a result of a Monday accident on the USS Harry S. Truman aircraft carrier, the country’s Navy said.”The F/A-18E was actively under tow in the hangar bay when the move crew lost control of the aircraft. The aircraft and tow tractor were lost overboard,” the Navy said in a statement.”All personnel are accounted for, with one sailor sustaining a minor injury,” it said, adding that the carrier and its air wing remain mission capable and that the incident is under investigation.The F/A-18E reached initial operating capability in the early 2000s and had a unit cost of more than $67 million as of fiscal year 2021, according to a Navy fact sheet.The Truman is one of two US aircraft carriers currently operating in the Middle East, where Washington’s forces have been hammering Yemen’s Huthi rebels with strikes since mid-March in an attempt to end the threat they pose to ships in the region.

US warplane went overboard into Red Sea: Navy

A US warplane went overboard into the Red Sea as a result of a Monday accident on the USS Harry S. Truman aircraft carrier, the country’s Navy said.”The F/A-18E was actively under tow in the hangar bay when the move crew lost control of the aircraft. The aircraft and tow tractor were lost overboard,” the Navy said in a statement.”All personnel are accounted for, with one sailor sustaining a minor injury,” it said, adding that the carrier and its air wing remain mission capable and that the incident is under investigation.The F/A-18E reached initial operating capability in the early 2000s and had a unit cost of more than $67 million as of fiscal year 2021, according to a Navy fact sheet.The Truman is one of two US aircraft carriers currently operating in the Middle East, where Washington’s forces have been hammering Yemen’s Huthi rebels with strikes since mid-March in an attempt to end the threat they pose to ships in the region.

Explosion dans un port en Iran: le ministre de l’Intérieur pointe la “négligence”, 70 morts

“Des manquements et de la négligence” sont à l’origine de l’explosion qui a dévasté le plus grand port commercial d’Iran, faisant au moins 70 morts selon un bilan qui ne cesse de s’alourdir, a pointé lundi le ministre iranien de l’Intérieur.Plus de 48 heures après la catastrophe, le gigantesque incendie semble être en passe d’être éteint par les pompiers : “Les opérations de lutte contre l’incendie sont presque terminées”, a déclaré Mehrdad Hassanzadeh, directeur de la gestion de crises pour la province de Hormozgan, à la télévision d’Etat, lundi dans la soirée. Mais “le bilan est monté à 70 morts”, a-t-il précisé. Le précédent bilan faisait état de 65 morts.La déflagration, entendue à des dizaines de kilomètres à la ronde, s’est produite samedi vers midi sur un quai du port Shahid Rajaï, par où transitent un cinquième de la production mondiale de pétrole et 85% des marchandises en Iran.Les autorités ont indiqué que plus d’un millier de personnes avaient été blessées. La plupart d’entre elles ont quitté l’hôpital après avoir y été soignées, a dit M. Hassanzadeh.Seuls “120 blessés sont encore hospitalisés”, a déclaré pour sa part le ministre de l’intérieur, Eskandar Momeni, en visite dans la région.”Certains coupables ont été identifiés et convoqués (…). Il y a eu des manquements, notamment le non-respect des mesures de sécurité et la négligence”, a-t-il ajouté.Lundi, les pompiers tentent toujours de venir à bout de l’incendie qui ravage le site depuis samedi. Une épaisse fumée noire continue de s’élever au-dessus des conteneurs empilés au port Shahid Rajaï, selon des images de la télévision d’Etat diffusées lundi en direct.Après la maîtrise du feu, “nous entrerons dans la phase de nettoyage du site et d’évaluation des dégâts”, a indiqué la télévision d’Etat.Ce port stratégique est proche de la grande ville côtière de Bandar Abbas, sur le détroit d’Ormuz, à un millier de kilomètres au sud de Téhéran.Le ministère de la Santé a appelé les quelque 650.000 habitants de la ville à rester chez eux “jusqu’à nouvel ordre” en raison de possibles fumées toxiques. Un appel aux dons de sang a été lancé pour les blessés.- Matières dangereuses -Le porte-parole des secours, Hossein Zafari, a déploré lundi les “vents violents” qui rendent l’opération “difficile” pour les pompiers.La cause de l’explosion n’a pas été déterminée dans l’immédiat, mais les douanes du port ont indiqué qu’un incendie dans le dépôt de stockage de matières dangereuses et chimiques pourrait être la raison.Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a ordonné l’ouverture d’une enquête sur l’incident, afin de déterminer si le drame a été causé par une “négligence” ou s’il était “intentionnel”.Le New York Times, citant une source anonyme proche des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran, avait auparavant affirmé que l’explosion avait été provoquée par du perchlorate de sodium, une substance entrant dans la composition de carburants solides pour missiles.Le ministère de la Défense a affirmé qu’il n’y avait “aucune cargaison (…) pour un usage militaire dans la zone de l’incendie” au moment de l’explosion.Selon le Washington Post, Israël avait lancé en 2020 une cyberattaque contre le port Shahid Rajaï. La thèse d’un sabotage n’a toutefois pour l’heure pas été évoquée par Téhéran pour l’explosion de samedi.L’explosion a coïncidé avec la tenue à Oman de pourparlers cruciaux sur le programme nucléaire de Téhéran entre l’Iran et les Etats-Unis, ennemis depuis quatre décennies.

Explosion dans un port en Iran: le ministre de l’Intérieur pointe la “négligence”, 70 morts

“Des manquements et de la négligence” sont à l’origine de l’explosion qui a dévasté le plus grand port commercial d’Iran, faisant au moins 70 morts selon un bilan qui ne cesse de s’alourdir, a pointé lundi le ministre iranien de l’Intérieur.Plus de 48 heures après la catastrophe, le gigantesque incendie semble être en passe d’être éteint par les pompiers : “Les opérations de lutte contre l’incendie sont presque terminées”, a déclaré Mehrdad Hassanzadeh, directeur de la gestion de crises pour la province de Hormozgan, à la télévision d’Etat, lundi dans la soirée. Mais “le bilan est monté à 70 morts”, a-t-il précisé. Le précédent bilan faisait état de 65 morts.La déflagration, entendue à des dizaines de kilomètres à la ronde, s’est produite samedi vers midi sur un quai du port Shahid Rajaï, par où transitent un cinquième de la production mondiale de pétrole et 85% des marchandises en Iran.Les autorités ont indiqué que plus d’un millier de personnes avaient été blessées. La plupart d’entre elles ont quitté l’hôpital après avoir y été soignées, a dit M. Hassanzadeh.Seuls “120 blessés sont encore hospitalisés”, a déclaré pour sa part le ministre de l’intérieur, Eskandar Momeni, en visite dans la région.”Certains coupables ont été identifiés et convoqués (…). Il y a eu des manquements, notamment le non-respect des mesures de sécurité et la négligence”, a-t-il ajouté.Lundi, les pompiers tentent toujours de venir à bout de l’incendie qui ravage le site depuis samedi. Une épaisse fumée noire continue de s’élever au-dessus des conteneurs empilés au port Shahid Rajaï, selon des images de la télévision d’Etat diffusées lundi en direct.Après la maîtrise du feu, “nous entrerons dans la phase de nettoyage du site et d’évaluation des dégâts”, a indiqué la télévision d’Etat.Ce port stratégique est proche de la grande ville côtière de Bandar Abbas, sur le détroit d’Ormuz, à un millier de kilomètres au sud de Téhéran.Le ministère de la Santé a appelé les quelque 650.000 habitants de la ville à rester chez eux “jusqu’à nouvel ordre” en raison de possibles fumées toxiques. Un appel aux dons de sang a été lancé pour les blessés.- Matières dangereuses -Le porte-parole des secours, Hossein Zafari, a déploré lundi les “vents violents” qui rendent l’opération “difficile” pour les pompiers.La cause de l’explosion n’a pas été déterminée dans l’immédiat, mais les douanes du port ont indiqué qu’un incendie dans le dépôt de stockage de matières dangereuses et chimiques pourrait être la raison.Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a ordonné l’ouverture d’une enquête sur l’incident, afin de déterminer si le drame a été causé par une “négligence” ou s’il était “intentionnel”.Le New York Times, citant une source anonyme proche des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran, avait auparavant affirmé que l’explosion avait été provoquée par du perchlorate de sodium, une substance entrant dans la composition de carburants solides pour missiles.Le ministère de la Défense a affirmé qu’il n’y avait “aucune cargaison (…) pour un usage militaire dans la zone de l’incendie” au moment de l’explosion.Selon le Washington Post, Israël avait lancé en 2020 une cyberattaque contre le port Shahid Rajaï. La thèse d’un sabotage n’a toutefois pour l’heure pas été évoquée par Téhéran pour l’explosion de samedi.L’explosion a coïncidé avec la tenue à Oman de pourparlers cruciaux sur le programme nucléaire de Téhéran entre l’Iran et les Etats-Unis, ennemis depuis quatre décennies.