US judge denies govt request to release Maxwell transcripts

A federal judge on Monday rejected the Trump administration’s request to unseal grand jury transcripts from the criminal case against Ghislaine Maxwell, the convicted accomplice of sex offender Jeffrey Epstein.District Judge Paul Engelmayer said there is little in the transcripts that is not already in the public record, and they do not identify anyone other than Maxwell and Epstein as having had sexual contact with underage girls.The Justice Department had sought to release the transcripts to help defuse spiraling anger among President Donald Trump’s own supporters over what they have long seen as a cover-up of Epstein’s crimes and high-level connections.Engelmayer dismissed government arguments that the grand jury transcripts should be released because of “abundant public interest” in the case.”Its entire premise — that the Maxwell grand jury materials would bring to light meaningful new information about Epstein’s and Maxwell’s crimes, or the Government’s investigation into them — is demonstrably false,” he wrote.”Insofar as the motion to unseal implies that the grand jury materials are an untapped mine lode of undisclosed information about Epstein or Maxwell or confederates, they definitively are not that,” the judge said.”There is no ‘there’ there.”The Manhattan-based judge also cast doubt on the Trump administration’s motivation for seeking the public release of the Maxwell transcripts and suggested it was “disingenuous.””A member of the public, appreciating that the Maxwell grand jury materials do not contribute anything to public knowledge, might conclude that the Government’s motion for their unsealing was aimed not at ‘transparency’ but at diversion — aimed not at full disclosure but at the illusion of such,” he said.- Maxwell opposed release of transcripts-Maxwell, 63, is serving a 20-year sentence after being convicted in 2021 of recruiting underage girls for Epstein, who died in a New York jail in 2019 while awaiting trial for sex trafficking.Her lawyers had opposed releasing the transcripts, saying it could potentially impact her ongoing legal appeals of her conviction.The Justice Department is also seeking the release of the secret grand jury transcripts in Epstein’s case. That request is being handled by a different judge.Trump’s supporters have been obsessed with the Epstein case for years and have been up in arms since the FBI and Justice Department said last month that the wealthy financier had committed suicide while in jail, did not blackmail any prominent figures, and did not keep a “client list.”In a bid to calm the furor, the Justice Department asked for the release of the grand jury transcripts from the cases against Epstein and Maxwell.US Deputy Attorney General Todd Blanche — who is also Trump’s former personal lawyer — met recently with Maxwell but has not revealed what was discussed.She was later moved to a minimum security prison.Trump, 79, was once a friend of Epstein, and The Wall Street Journal reported last month that the president’s name was among hundreds found during a Justice Department review of the so-called “Epstein files,” though there has not been evidence of wrongdoing.Maxwell is the only former Epstein associate convicted in connection with his activities, which right-wing conspiracy theorists allege included trafficking young girls for VIPs and other elites.

Ukraine : Zelensky et les Européens parleront à Trump, “contrarié” par le refus de Kiev de céder des territoires

Volodymyr Zelensky et les dirigeants européens s’adresseront mercredi à Donald Trump, “contrarié” par le refus de son homologue ukrainien de céder des territoires, pour peser sur sa rencontre avec Vladimir Poutine, redoutant un accord aux dépens de l’Ukraine.Avant le sommet en Alaska, prévu pour vendredi et dont le président américain a déclaré lundi à la Maison Blanche s’attendre à ce qu’il soit “constructif”, les Européens s’efforcent de faire front commun et redoublent d’activité diplomatique.Lundi après-midi, l’Allemagne a annoncé que le chancelier Friedrich Merz avait “invité” les dirigeants de pays européens – France, Royaume-Uni, Italie, Pologne et Finlande – et de l’UE, ceux de l’Ukraine et de l’Otan mais aussi Donald Trump et son vice-président JD Vance à des “discussions” par visioconférence mercredi.Organisées par “groupes thématiques”, elles porteront sur d’éventuelles “actions supplémentaires” pour “exercer une pression sur la Russie” mais aussi sur “la préparation de possibles négociations de paix” et les questions “relatives aux revendications territoriales et aux garanties de sécurité” qui en découlent, a poursuivi Berlin.La présidence française a par la suite précisé que cette initiative avait été prise en commun par le chef de l’Etat français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et M. Merz.Selon le journal Bild, Volodymyr Zelensky, les Européens et le secrétaire général de l’Alliance atlantique Mark Rutte se réuniront d’abord sans les Américains, avant de leur communiquer les résultats de leurs consultations dans un deuxième temps.Les ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l’Union européenne se retrouvent déjà lundi d’urgence pour éviter un accord entre Washington et Moscou au détriment de l’Ukraine.En Alaska, il doit être question, selon le président américain, d’un possible accord prévoyant “des échanges de territoires” pour mettre fin au conflit déclenché par la Russie en Ukraine le 24 février 2022.En l’état, la présence de Volodymyr Zelensky n’est pas programmée, même si les Etats-Unis ne l’excluent pas.M. Zelensky a une nouvelle fois appelé à ne pas céder aux exigences de Vladimir Poutine.”La Russie refuse d’arrêter les massacres et ne doit donc pas recevoir de récompenses ou d’avantages. Et ce n’est pas seulement une position morale, c’est une position rationnelle”, a écrit le président ukrainien sur Facebook.Pour la cheffe de la diplomatie de l’Union européenne, Kaja Kallas, tout accord entre les Etats-Unis et la Russie “doit inclure l’Ukraine et l’UE” car “c’est une question de sécurité pour l’Ukraine et pour l’ensemble de l’Europe”.- Poussée russe -Le chef de l’Etat ukrainien, qui s’est entretenu ces derniers jours avec une douzaine de dirigeants européens, a souligné que Kiev travaillait “bien sûr” avec les Etats-Unis.Vladimir Poutine a pour sa part conversé avec neuf chefs d’Etat ou de gouvernement en trois jours dont Xi Jinping, Narendra Modi et Inacio Lula da Silva.Donald Trump, qui avait promis de régler le conflit ukrainien en 24 heures à son retour à la Maison Blanche, a entamé un spectaculaire rapprochement avec le président russe. Mais il a montré une frustration grandissante, la Russie ayant intensifié ses bombardements de l’Ukraine ces derniers mois.L’annonce du sommet en Alaska est intervenue vendredi, le jour-même de l’expiration d’un ultimatum lancé au Kremlin pour mettre un terme au pire conflit armé en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale.Les affrontements ont depuis continué avec six morts recensés dans des frappes russes dimanche en Ukraine.Vingt personnes ont en outre été blessées quand une bombe planante russe a atteint, le même jour, la gare routière centrale, très fréquentée, de Zaporijjia (est).Le ministère russe de la Défense a revendiqué lundi la prise d’un nouveau village dans la région ukrainienne de Donetsk (est), celui de Fedorivka, situé au nord-est de Pokrovsk et de Myrnograd, des villes menacées d’encerclement du fait de l’avancée continue des troupes russes dans ce secteur depuis plus d’un mois.L’armée russe contrôle actuellement environ 20% du territoire ukrainien.Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.

Ukraine : Zelensky et les Européens parleront à Trump, “contrarié” par le refus de Kiev de céder des territoires

Volodymyr Zelensky et les dirigeants européens s’adresseront mercredi à Donald Trump, “contrarié” par le refus de son homologue ukrainien de céder des territoires, pour peser sur sa rencontre avec Vladimir Poutine, redoutant un accord aux dépens de l’Ukraine.Avant le sommet en Alaska, prévu pour vendredi et dont le président américain a déclaré lundi à la Maison Blanche s’attendre à ce qu’il soit “constructif”, les Européens s’efforcent de faire front commun et redoublent d’activité diplomatique.Lundi après-midi, l’Allemagne a annoncé que le chancelier Friedrich Merz avait “invité” les dirigeants de pays européens – France, Royaume-Uni, Italie, Pologne et Finlande – et de l’UE, ceux de l’Ukraine et de l’Otan mais aussi Donald Trump et son vice-président JD Vance à des “discussions” par visioconférence mercredi.Organisées par “groupes thématiques”, elles porteront sur d’éventuelles “actions supplémentaires” pour “exercer une pression sur la Russie” mais aussi sur “la préparation de possibles négociations de paix” et les questions “relatives aux revendications territoriales et aux garanties de sécurité” qui en découlent, a poursuivi Berlin.La présidence française a par la suite précisé que cette initiative avait été prise en commun par le chef de l’Etat français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et M. Merz.Selon le journal Bild, Volodymyr Zelensky, les Européens et le secrétaire général de l’Alliance atlantique Mark Rutte se réuniront d’abord sans les Américains, avant de leur communiquer les résultats de leurs consultations dans un deuxième temps.Les ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l’Union européenne se retrouvent déjà lundi d’urgence pour éviter un accord entre Washington et Moscou au détriment de l’Ukraine.En Alaska, il doit être question, selon le président américain, d’un possible accord prévoyant “des échanges de territoires” pour mettre fin au conflit déclenché par la Russie en Ukraine le 24 février 2022.En l’état, la présence de Volodymyr Zelensky n’est pas programmée, même si les Etats-Unis ne l’excluent pas.M. Zelensky a une nouvelle fois appelé à ne pas céder aux exigences de Vladimir Poutine.”La Russie refuse d’arrêter les massacres et ne doit donc pas recevoir de récompenses ou d’avantages. Et ce n’est pas seulement une position morale, c’est une position rationnelle”, a écrit le président ukrainien sur Facebook.Pour la cheffe de la diplomatie de l’Union européenne, Kaja Kallas, tout accord entre les Etats-Unis et la Russie “doit inclure l’Ukraine et l’UE” car “c’est une question de sécurité pour l’Ukraine et pour l’ensemble de l’Europe”.- Poussée russe -Le chef de l’Etat ukrainien, qui s’est entretenu ces derniers jours avec une douzaine de dirigeants européens, a souligné que Kiev travaillait “bien sûr” avec les Etats-Unis.Vladimir Poutine a pour sa part conversé avec neuf chefs d’Etat ou de gouvernement en trois jours dont Xi Jinping, Narendra Modi et Inacio Lula da Silva.Donald Trump, qui avait promis de régler le conflit ukrainien en 24 heures à son retour à la Maison Blanche, a entamé un spectaculaire rapprochement avec le président russe. Mais il a montré une frustration grandissante, la Russie ayant intensifié ses bombardements de l’Ukraine ces derniers mois.L’annonce du sommet en Alaska est intervenue vendredi, le jour-même de l’expiration d’un ultimatum lancé au Kremlin pour mettre un terme au pire conflit armé en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale.Les affrontements ont depuis continué avec six morts recensés dans des frappes russes dimanche en Ukraine.Vingt personnes ont en outre été blessées quand une bombe planante russe a atteint, le même jour, la gare routière centrale, très fréquentée, de Zaporijjia (est).Le ministère russe de la Défense a revendiqué lundi la prise d’un nouveau village dans la région ukrainienne de Donetsk (est), celui de Fedorivka, situé au nord-est de Pokrovsk et de Myrnograd, des villes menacées d’encerclement du fait de l’avancée continue des troupes russes dans ce secteur depuis plus d’un mois.L’armée russe contrôle actuellement environ 20% du territoire ukrainien.Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.

Trump deploys National Guard in Washington crime crackdown

Donald Trump on Monday deployed military and federal law enforcement to curb violent crime in Washington, as he seeks to make good on his campaign pledge to be a “law and order” president.The Republican leader said he would place the city’s Metropolitan Police under federal government control while also sending the National Guard onto the streets of the US capital.The overwhelmingly Democratic city faces allegations from Republican politicians that it is overrun by crime, plagued by homelessness and financially mismanaged — although violent offenses are down.”This is Liberation Day in DC, and we’re going to take our capital back,” Trump said.Trump — a convicted felon who granted blanket clemency to nearly 1,600 people involved in the 2021 US Capitol riot in Washington — has complained that local police and prosecutors aren’t tough enough. He said 800 DC National Guardsmen — “and much more if necessary” — would be deployed to the city of 700,000.As Trump was speaking at the White House, several dozen demonstrators gathered outside.”There is absolutely no need for the National Guard here,” said 62-year-old retiree Elizabeth Critchley, who brandished a sign with the slogan “DC says freedom not fascism.””It’s all for show. It’s just a big theater,” she said.Defense Secretary Pete Hegseth, who was among several cabinet officials flanking Trump, said “other specialized” National Guard units could also be deployed.”They will be strong, they will be tough, and they will stand with their law enforcement partners,” he said.The new approach echoes Trump’s immigration policies that have effectively sealed the southern border amid mass deportations while deploying active-duty troops against protesters in Los Angeles.- New York, Chicago next? -The president told reporters he planned to roll out the policy to other cities, spotlighting New York and Chicago.Unlike the 50 states, Washington operates under a unique relationship with the federal government that limits its autonomy and grants Congress extraordinary control over local matters.Since the mid-1970s, the Home Rule Act has allowed residents to elect a mayor and a city council, although Congress still controls the city’s budget.Data from Washington police show significant drops in violent crime between 2023 and 2024, although that was coming off the back of a post-pandemic surge.Trump posted on social media ahead of the news conference that he also wants to tackle homeless encampments, after signing an order last month making it easier to arrest homeless people.  He promised individuals “places to stay,” but “FAR from the Capital.” Trump said criminals would be jailed and that it would all happen “very fast.”Federal law enforcement have already increased their presence after a former Department of Government Efficiency staffer was beaten during an attempted carjacking. “Last week my administration surged 500 federal agents into the district including from the FBI, ATF, DEA, Park Police, the US Marshals Service, the Secret Service, and the Department of Homeland Security,” Trump said.”You know a lot of nations, they don’t have anything like that… They made dozens of arrests.”A Gallup poll in October found that 64 percent of Americans believed crime had risen in 2024, although FBI data shows the lowest levels of violent crime nationwide in more than half a century.”Let me be crystal clear — crime in DC is ending, and it’s ending today,” said Attorney General Pam Bondi.

Stocks cautious before tariff updates, US inflation data

Equity markets moved little in cautious European and US trading Monday as investors await key US inflation data this week that could offer guidance on rate cuts long sought by President Donald Trump.Reports that chip giants Nvidia and AMD would give Washington a 15-percent cut of the revenue from AI sales to China also bolstered expectations of a new pause on Washington’s tariffs against China.”The market seems very relaxed ahead of tomorrow’s deadline on US-China trade talks, reflecting the assumption an extension is in the offing and a deal will eventually be reached,” said AJ Bell investment director Russ Mould.Also in view is a high-stakes summit between Trump and Russian President Vladimir Putin on Friday in Alaska, which could pave the way for a Ukraine ceasefire and ease tough Western sanctions against Moscow.London’s FTSE 100 index edged higher but Paris and Frankfurt closed lower, pulled down in particular by defence stocks as investors calculated the chances of an end to the Ukraine war.The key Wall Street indices came under moderate pressure after the Nasdaq climbed to another record high on Friday, bolstered by solid earnings from tech giants in particular.”Markets are bracing for a surprisingly busy week, with several key events and data releases likely to shape sentiment,” notably US inflation, said Jim Reid, managing director at Deutsche Bank.  The US consumer price index on Tuesday could provide grist for Trump’s campaign against Federal Reserve chief Jerome Powell.Powell has been in the president’s crosshairs over his refusal to cut interest rates while awaiting the impact of Trump’s tariffs blitz on the economy.But investors have ramped up their bets the Fed will lower borrowing costs at its September meeting following a series of reports — particularly on jobs — indicating the world’s biggest economy was slowing.Stocks in Hong Kong and Shanghai rose on Monday, while Tokyo was closed for a public holiday.Gold futures retreated after hitting a record high Friday following reports of an unexpected US tariff on gold bars from Switzerland.In company news, Nvidia and AMD advanced on the reports they had agreed to pay Washington 15 percent of AI chip sales to China.US officials had blocked the sale of the cutting-edge chips citing security concerns, which both companies had warned would deprive them of massive profits.Investors are betting that AI will transform the global economy, and last month Nvidia, the world’s largest semiconductor producer, became the first company to hit $4 trillion in market value.Elsewhere, shares in Danish renewable energy firm Orsted plunged 30 percent in Copenhagen as the company said it would raise $9.4 billion by selling new shares.The company added that it dropped plans to sell a stake in its Sunrise Wind project over Trump’s decision to freeze federal permitting and loans for all offshore and onshore wind projects.- Key figures at around 1600 GMT -New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,052.71 pointsNew York – S&P 500: FLAT at 6,392.60New York – Nasdaq: UP 0.2 percent at 21,496.75London – FTSE 100: UP 0.4 percent at 9,129.71 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,698.52 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.3 percent at 24,081.34 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.2 percent at 24,906.81 (close)Shanghai – Composite: UP 0.3 percent at 3,647.55 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.1608 from $1.1643Pound/dollar: DOWN at $1.3417 from $1.3451 on FridayDollar/yen: UP at 147.97 yen from 147.79 yenEuro/pound: DOWN at 86.52 pence from 86.54 penceBrent North Sea Crude: FLAT at $66.57 per barrelWest Texas Intermediate: FLAT percent at $63.88 per barrelburs-ajb/js/kjm