Azerbaijan defends fossil fuels at COP29 as big names skip summitTue, 12 Nov 2024 09:49:34 GMT

The host of the UN climate summit in Azerbaijan on Tuesday defended fossil fuels and the right of countries to exploit them as dozens of world leaders arrived for the COP29 conference.More than 75 leaders are expected but the heads of top polluting nations are skipping the crunch climate talks, where the impact of Donald …

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Les footballeurs et supporters israéliens sont “les bienvenus”, selon le ministre de l’Europe

Les footballeurs et les supporters israéliens “sont les bienvenus”, a assuré mardi le ministre français de l’Europe qui s’est aussi dit favorable à des mesures à l’échelle européenne pour lutter contre l’antisémitisme.Un match de football France-Israël aura lieu jeudi au Stade de France, à Saint-Denis (nord de Paris) avec la crainte de débordements après les violences contre des supporters juifs la semaine dernière à Amsterdam en marge du match entre l’Ajax d’Amsterdam et le Maccabi Tel-Aviv.”Les footballeurs et les supporters israéliens sont les bienvenus à Paris” comme c’était le cas des athlètes et supporters israéliens lors des Jeux olympiques à Paris l’été dernier, a déclaré Benjamin Haddad lors d’une interview à la chaîne française CNews retransmise également sur la radio Europe 1.Il s’est en outre félicité que la France n’ait “pas cédé à l’intimidation”, “au chantage” en maintenant le match France-Israël au stade de France et a souligné l’importance de la présence du président Emmanuel Macron et du Premier ministre Michel Barnier, en geste “d’amitié”.A Jérusalem, le Conseil national de sécurité a exhorté dimanche les ressortissants israéliens à “éviter d’assister à des matchs sportifs/événements culturels impliquant des Israéliens”, en mettant l’accent sur le prochain match de l’équipe nationale israélienne à Paris.Selon ce Conseil de sécurité, des organisations souhaitant attaquer Israël ont été identifiées dans un certain nombre de villes européennes, dont Paris. Il conseille à ses ressortissants de ne pas afficher de signes israéliens ou juifs reconnaissables.Revenant sur “l’explosion de violence et de haine antisémite partout en Europe”, Benjamin Haddad a estimé que le conflit israélo-palestinien était “utilisé comme un prétexte”, il est “instrumentalisé pour attaquer les Juifs en Europe”.”Quand on s’attaque à des juifs en France, on s’attaque à la France, on s’attaque à la République”, a-t-il également souligné, exhortant à sanctionner tout incident. S’agissant de mesures pour lutter contre l’antisémitisme, “je crois qu’il faut qu’on réfléchisse à cela au niveau européen”, a-t-il également estimé.Il a cité les initiatives “il y a quelques années pour faire la transparence sur les financements étrangers de l’islam radical, les moyens d’expulser des imams (radicaux) ou pour dissoudre des associations soupçonnées d’être en lien avec des mouvements radicaux”.”Pourquoi ne pas porter effectivement ce type de mesures au niveau européen? En tout cas c’est une réflexion qu’on a en ce moment avec le ministre de l’Intérieur”, a-t-il expliqué, ajoutant que “la lutte contre l’antisémitisme y compris la haine en ligne, c’est un combat que nous avons porté (au niveau français) mais il faut le faire aussi au niveau européen”.

Budget 2025: une version profondément remaniée soumise au vote des députés

Après la bataille des idées, place au vote: les députés sont appelés mardi à voter la partie “recettes” du projet de budget pour 2025, très largement remaniée dans l’hémicycle, et qui pourrait être rejetée avant de poursuivre sa route au Sénat.Le vote aura lieu à partir de 16H30, après la traditionnelle séance des questions au gouvernement. En cas de vote contre, l’ensemble du texte sera considéré comme rejeté, mettant fin à son examen.Un scénario à front renversé pourrait ainsi voir la coalition gouvernementale voter contre cette version remaniée, avec a priori le concours du RN, face à une gauche qui voudrait au contraire la faire adopter pour valider ses victoires dans l’hémicycle.S’il y a rejet, cela permettra au gouvernement de repartir au Sénat de sa propre copie, alors que celle-ci a été profondément réécrite dans l’hémicycle de la chambre basse par des coups de boutoir des oppositions, mais aussi des députés soutenant le gouvernement.Durant le long week-end, le gouvernement a anticipé déjà l’examen de ce texte, mais aussi du projet de budget de la Sécu, au Sénat, cherchant des compromis pour obtenir les faveurs de LR. D’une part, à la demande de la droite, les pensions de retraites, qui devaient être gelées, seront bien revalorisées au 1er janvier mais de la moitié seulement de l’inflation. D’autre part, a annoncé Laurent Saint-Martin mardi sur France 2, un compromis pourrait “aboutir dans les tout prochains jours” pour limiter la baisse des allègements de cotisations aux entreprises, un marqueur macroniste. “Il faut qu’il y ait moins d’économies faites sur les allègements généraux de charges”, a expliqué le ministre du Budget.- Lisibilité difficile -Mais mardi, c’est bien à l’Assemblée que se joue le vote. L’alliance de gauche du Nouveau Front populaire (NFP) a notamment assorti le projet de loi de finances (PLF) de nouvelles taxes sur les superprofits, les superdividendes, les rachats d’actions, le patrimoine des milliardaires, ou encore sur les “grandes sociétés du numérique”.Signe de la lisibilité difficile des débats, qui se sont terminés dans la nuit de vendredi à samedi, personne ne semblait avoir tout à fait la même calculatrice pour estimer les nouvelles recettes créées.M. Saint-Martin a dénoncé une “overdose fiscale” à “35 milliards d’euros qui n’épargnera personne”. Le rapporteur général du budget Charles de Courson (Liot) estimait les recettes à “12 milliards”, une fois retranchées les mesures “probablement euro-incompatibles, ou inconstitutionnelles”.Eric Coquerel, président LFI de la commission des Finances, a lui chiffré à “75 milliards” les recettes créées, “concentrées sur les très grandes entreprises et les plus riches de nos concitoyens”.- “Pas votable” -Dans un coup de billard initié par le groupe Rassemblement national, l’article prévoyant les prélèvements pour la contribution de la France à l’Union européenne a aussi été supprimé. Suffisant pour “invalider ce budget”, aux yeux du patron du groupe MoDem Marc Fesneau.”Évidemment que ce budget n’est pas votable en l’état”, a assuré samedi le député macroniste David Amiel (Ensemble pour la République, EPR).Mais la coalition gouvernementale à l’Assemblée (EPR, MoDem, Horizons, Droite républicaine) n’a pas non plus été tendre avec la copie du gouvernement, participant activement à la suppression de plusieurs mesures phares sur la hausse de la taxe sur l’électricité, l’alourdissement du malus automobile et la surtaxe sur les grandes entreprises.Elle devrait toutefois rejeter le texte pour que la copie initiale soit envoyée au Sénat, comme l’ont confirmé à l’AFP des sources chez EPR et DR (groupe de Laurent Wauquiez).”C’est un texte Frankenstein”, a raillé mardi Laurent Saint-Martin, qui “mêle l’enfer fiscal mais aussi énormément de dispositions qui sont contraires au droit”, notamment européen.  “Bien évidemment, on va le voter”, a assuré Eric Coquerel. Les différents groupes devraient arrêter leurs positions de vote mardi matin lors de leurs réunions hebdomadaires. “Je vais proposer un vote pour”, a indiqué Philippe Brun (PS), soucieux de “transmettre au Sénat les propositions adoptées par l’Assemblée”.Mais sauf accident de participation, la gauche devrait avoir du mal à faire adopter le texte face à la coalition gouvernementale et au RN qui semble se diriger vers un vote contre. “Ce qui est certain, c’est que nous n’allons pas le voter”, a déclaré mardi le député RN Julien Odoul sur franceinfo, sans préciser s’il s’agirait d’un feu rouge ou d’une abstention.Si le volet “recettes” était adopté, les députés enchaîneraient dans la foulée par l’examen de la partie “dépenses” du projet de loi de Finances, avec à l’horizon la date-butoir du 21 novembre pour examiner les quelque 1.500 amendements déposés, avant que le texte ne soit envoyé au Sénat.

“Pas de confirmation” de la venue du ministre israélien Smotrich à Paris, selon le chef de la diplomatie française

Le ministre français des Affaires étrangères a indiqué mardi qu’il n’avait pas eu la confirmation de la venue à Paris cette semaine du ministre israélien d’extrême droite, Bezalel Smotrich.”À ce stade, je n’ai pas de confirmation de sa venue en France”, a déclaré Jean-Noël Barrot, lors d’un entretien conjoint de la chaîne France 24 et la radio RFI.Bezalel Smotrich, ministre des Finances, est invité à participer mercredi à Paris au gala “Israël forever”, un événement de soutien à Israël organisé par plusieurs personnalités d’extrême droite.Le gala, dont des associations, syndicats et partis de gauche français ont en vain réclamé l’annulation, se tiendra à la veille du match de football France-Israël.Cette rencontre est jugée à “haut risque” par les autorités françaises après les violences qui se sont produites jeudi dernier à Amsterdam en marge d’un match impliquant le club israélien Maccabi Tel-Aviv.La venue de ce ministre aux positions extrêmes ajouterait de la tension et fait polémique alors que celui-ci a promis lundi une annexion en 2025 par Israël des colonies israéliennes en Cisjordanie occupée, disant voir “une occasion” dans le retour de Donald Trump au pouvoir aux États-Unis.Selon le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, le ministre israélien ne viendrait pas à Paris. “Je comprends que finalement, il ne sera pas là”, a-t-il dit. Il pourrait au lieu de cela intervenir par visioconférence, selon Le Parisien.Jean-Noël Barrot a par ailleurs été interrogé sur la convocation mardi au ministère des Affaires étrangères de Joshua Zarka, l’ambassadeur israélien à Paris en raison d’un incident diplomatique survenu la semaine dernière lors de son déplacement en Israël.”C’est l’occasion pour la France de rappeler qu’elle ne tolérera pas que des forces armées israéliennes entrent dans les domaines dont elle a la responsabilité, dont elle assure la protection et de réaffirmer avec force que cet incident ne doit plus jamais se reproduire”, a-t-il dit.Il a souligné que la convocation d’un ambassadeur était “le premier degré” de sanctions. Interrogé sur les autres sanctions possibles, le ministre n’a pas répondu.Jeudi dernier, la police israélienne était entrée “armée” et “sans autorisation” dans un domaine national français à Jérusalem-est, l’Eléona, que le chef de la diplomatie française s’apprêtait à visiter.Le ministère israélien des Affaires étrangères avait de son côté indiqué que “cette mesure a(vait) été prise afin d’assurer la sécurité du ministre, et la question avait été clarifiée à l’avance avec l’ambassade de France en Israël”. “Au cours de la visite, une dispute a éclaté entre les forces de sécurité israéliennes. Deux individus français ont refusé de s’identifier. Les deux hommes ont été arrêtés par la police israélienne et relâchés immédiatement après s’être identifiés comme diplomates”, avait-il également souligné.Des sources diplomatiques françaises avaient, elles, estimé que ces allégations étaient “mensongères”. “Il était parfaitement clair pour tout le monde qu’il s’agissait de gendarmes du consulat, et de personnel sous statut diplomatique”, avaient-elles réagi.

The women behind Zimbabwe’s striking hut painting artTue, 12 Nov 2024 07:59:35 GMT

The golden rays of the afternoon sun enhance the bold, hand-painted patterns on the mud walls of a round, thatched hut in Peggy Masuku’s village of Matobo in southwestern Zimbabwe.Outside, at a small table with two curved seats — all fashioned out of mud — Masuku shows visitors how she mixes soil pigments, charcoal and …

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Senegal ex-president makes political comeback from afarTue, 12 Nov 2024 07:47:45 GMT

Senegal’s former leader Macky Sall, who earlier this year sparked one of the worst crises in decades by delaying the presidential election, is seeking a controversial comeback in Sunday’s snap parliamentary elections.Sall left office in April after 12 years in power, handing over the reins to his successor Bassirou Diomaye Faye and departing Senegal for …

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La revalorisation des retraites en 2025 coûtera de 500 à 800 millions d’euros

La revalorisation de toutes les retraites de la moitié de l’inflation au 1er janvier 2025, puis des plus petites pensions en juillet, selon un compromis trouvé entre la droite et le gouvernement, coûtera jusqu’à 800 millions d’euros, a indiqué mardi le ministre du Budget.”Au 1er janvier, l’ensemble des retraites sera revalorisé à hauteur de 0,9(%) probablement, c’est-à-dire la moitié de l’inflation – on verra exactement quelle sera l’estimation sur l’inflation. (…) Et au 1er juillet 2025, il y aura un rattrapage pour toutes les retraites qui sont en dessous du niveau du Smic pour qu’il n’y ait pas justement de perte de pouvoir d’achat”, a déclaré Laurent Saint-Martin sur France 2.”En fonction de la réalité de l’inflation, cela peut varier et nous serons effectivement entre 500 et 800 millions d’euros de rendus aux petites retraites”, réduisant les économies espérées à 3 milliards, a-t-il précisé. Laurent Saint-Martin a également promis d’aboutir “dans les tout prochains jours”, avec le groupe EPR au Parlement, à “un compromis” pour “qu’il y ait moins d’économies faites sur les allégements de charges (des entreprises) que ce qui est proposé dans la copie initiale du gouvernement” pour le budget 2025.Laurent Wauquiez, président du groupe Droite républicaine (ex-LR) à l’Assemblée, avait assuré lundi avoir trouvé un compromis avec le gouvernement pour que “toutes les retraites” soient revalorisées de la “moitié de l’inflation” dès le 1er janvier, avec un second rattrapage pour les plus petites six mois plus tard. Laurent Saint-Martin a assuré sur France 2 qu’il savait que cette annonce serait faite par M. Wauquiez. “Le Premier ministre a dit depuis le début de ce gouvernement que nous voulions une méthode de concertation avec cette coalition qui est ce socle majoritaire à l’Assemblée nationale et au Sénat, et qu’il puisse y avoir des évolutions du texte”, a-t-il affirmé. “Nous avons aussi besoin de démontrer davantage que l’évolution de ce texte vient des compromis entre le gouvernement et les parlementaires du socle majoritaire”, a-t-il ajouté. Parmi ses pistes d’économies pour 2025, le gouvernement avait proposé dans le cadre de l’examen de son projet de loi de financement de la Sécurité sociale de décaler de six mois (du 1er janvier au 1er juillet) l’indexation des retraites sur l’inflation pour économiser environ quatre milliards d’euros. Une mesure critiquée y compris chez les soutiens de la coalition Barnier à l’Assemblée.

China planning to cut taxes on home buying: report 

China is looking to slash taxes on home purchases as the government strengthens fiscal support for its ailing real estate sector, a media report said on Tuesday. Regulators are preparing a proposal that would enable major cities such as Shanghai and Beijing to reduce the deed tax for buyers to as low as one percent from the current level of up to three percent, Bloomberg News said, citing people familiar with the matter.The property sector has long accounted for around a quarter of gross domestic product and experienced dazzling growth for two decades, but a years-long housing slump has battered growth as authorities eye a target of around five percent for 2024.China is trying to shore up the sector, and said in October that it would boost credit available for unfinished housing projects to more than $500 billion.  Beijing has in recent months also announced a raft of measures aimed at boosting economic activity, including rate cuts and the easing of some home purchasing restrictions. China last week unveiled an ambitious plan to relieve public debt, aiming to turn local governments away from belt-tightening practices that have exacerbated the domestic downturn.Policymakers approved a proposal to swap six trillion yuan ($840 billion) of hidden debt belonging to local governments for official loans with more favourable terms.Hidden debts are defined as borrowing for which a government is liable, but not disclosed to its citizens or to other creditors.This move would free up space for local governments to better develop the economy and protect people’s livelihoods, state broadcaster CCTV said.Lawmakers are also eyeing the possibility of escalating trade tensions following Donald Trump’s re-election, with China’s top economic planning body on Monday urging the government to bolster domestic demand.Trump has promised punishing tariffs on Chinese goods that threaten further grief for the world’s second-largest economy, which is already grappling with sluggish consumption on top of the prolonged housing crisis.”In the coming period, the dominance of the domestic market in the economic cycle will become increasingly apparent,” according to a commentary written by the National Development and Reform Commission (NDRC) in China’s Economic Daily.Focusing on lifting domestic demand is not only a “strategic necessity for national development but also mitigates the impact of external shocks and declining external demand”, the NDRC added.