Ligue 1: Beye toujours en sursis après un nouveau nul de Rennes à Toulouse

Après le match nul concédé par le Stade rennais mercredi à Toulouse (2-2), alors que les Bretons menaient 2-0 lors de la 10e journée de Ligue 1, Habib Beye est toujours menacé mais sera bien sur le banc lors du prochain match dimanche.Après ce sixième match consécutif sans victoire, le président breton Arnaud Pouille a indiqué maintenir son entraîneur en poste en vue de la réception de Strasbourg dimanche au Roazhon Park (15h00).Dans ce match important pour continuer à espérer se mêler à la course à l’Europe mais surtout décisif pour l’avenir du technicien sénégalais, ce dernier avait choisi de se passer de deux cadres, Seko Fofana et Ludovic Blas, pas retenus pour le déplacement au Stadium. Avec 12 points, les Rennais sont toujours dixièmes, à deux longueurs de leur adversaire du soir, mais après des journées incertaines quant à l’avenir de Beye, une nouvelle sortie sans  victoire semblait pouvoir être fatale à Beye. “On va essayer d’avancer ensemble”, a affirmé Arnaud Pouille au micro du diffuseur Ligue 1+ quelques minutes après la fin de la rencontre.”C’est réconfortant, ça montre le soutien qu’il veut donner à ce staff, à ce groupe”, a déclaré Beye, soulagé, en conférence de presse.”J’espère que le déclic interviendra dimanche, où on pourra vivre un match où on mène, où on gagne”, a-t-il poursuivi, alors que sa formation a perdu dix points après avoir mené en cours de partie depuis le début de saison. – “traumatisme” -“Il y a un impact psychologique, il y a comme un traumatisme qui anime” les joueurs, selon Beye, qui évoque “une crainte qui fait qu’on n’arrive pas à maintenir les résultats”. Après une première mi-temps globalement maîtrisée par le TFC, pas payé malgré une superbe frappe enroulée de Gboho venue s’écraser sur la barre transversale (32e), Rennes a profité d’un cadeau de la maison pour ouvrir le score.Sur une passe en retrait ratée d’Abu Francis, le N.9 breton Esteban Lepaul a hérité du ballon et ne s’est pas fait prier pour tromper Restes (1-0, 50e).Quatre minutes plus tard, l’avant-centre s’est mué en passeur après une belle sortie de balle des Rouge et Noir, afin de trouver Al-Tamari, qui a remporté son face à face avec le portier des Violets. Devant plus de 25.000 personnes, les Toulousains ont vite réduit l’écart. Le défenseur anglais Charlie Cresswell, a bien conclu un beau travail de Yann Gboho (2-1, 58e).Les hommes de Carles Martinez Novell ont continué à pousser, récompensé par une égalisation obtenue par Aron Donnum sur pénalty, après une faute du jeune Mohamadou Nagida (2-2, 85e).Malgré plusieurs occasions, les Toulousains, qui ratent une opportunité de se rapprocher des places européennes, n’ont pas fait la différence.

‘Non-interventionist’ Trump flexes muscles in Latin America

In a speech in Riyadh in May, President Donald Trump denounced generations of US interventionism, saying the Middle East was only made worse by Americans who fly in “giving you lectures on how to live and how to govern your own affairs.”Those views apparently do not extend to Latin America, where he instead has been blatantly meddling in ways harkening back to an earlier era in US history.Trump has intervened directly to weaken the democratically elected leftist leaders of Colombia and Brazil and to bolster the right-wing president of Argentina.He has also put the United States on a war footing in the Caribbean, raising speculation he will forcefully depose Venezuela’s leftist firebrand Nicolas Maduro.Trump, who has put a top priority at home on mass deportation of mostly Latin American undocumented migrants and alleged gang members, has argued that the United States is in an armed conflict with narcotraffickers, likening them to “terrorists.” He has launched repeated deadly strikes on small boats, with murky public information available, and confirmed he authorized CIA operations in Venezuela.Democratic Senator Mark Kelly said in a recent ABC News interview: “You don’t move a battle group all the way from where it was to the Caribbean unless you’re planning on either to intimidate the country — which is rather intimidating — or you’re going to start conducting combat operations in Venezuela.”- Dividing friends and foes -The United States has treated Latin America as its sphere of influence under the 1823 Monroe Doctrine, when then president James Monroe said the hemisphere was closed to European powers.Washington has intervened aggressively over the past two centuries, sometimes with disastrous results — as in the failed 1961 Bay of Pigs invasion aimed at ousting Cuban communist revolutionary Fidel Castro.Trump has zeroed in from the start of his second term on a revitalization of the Monroe Doctrine, threatening to seize back the Panama Canal due to Chinese influence in the critical waterway.If not military force, Trump has turned to economic tools. At the start of his administration in January he imposed sweeping tariffs on Colombia to punish Gustavo Petro, the US ally’s first left-wing president, for defying Trump on migration.More recently the Treasury Department imposed sanctions personally on Petro, whom Secretary of State Marco Rubio, a Cuban-American and sworn critic of the region’s leftists, branded a “lunatic.”Trump has also targeted a top judge in Brazil for prosecuting former far-right president Jair Bolsonaro, who was convicted over a coup attempt with echoes of Trump supporters’ riot at the US Capitol on January 6, 2021.By contrast, Trump promised a $20 billion bailout to Argentina to boost President Javier Milei and has moved to reward Ecuador’s Daniel Noboa and El Salvador’s Nayib Bukele, who offered to help Trump’s deportation drive by taking in prisoners to his own maximum-security prison.- ‘MAGA’ Latin America -“I think definitely the goal of the Trump administration is to shape Latin American politics in the form of a MAGA agenda,” said Renata Segura, who heads the Latin America and Caribbean program at the International Crisis Group, which promotes conflict resolution.But Trump’s MAGA, or Make America Great Again, movement is also deeply skeptical of jeopardizing US lives and resources in foreign wars.Rubio has been seen as the architect of the hawkish turn on Venezuela, hoping a downfall of Maduro could set off a domino effect that could even bring down Cuba’s 66-year-old communist government.With the military deployment, the United States is sending a clear message not only to Venezuela, Segura said.”They’re sending a message to the entire region that they will act unilaterally when they decide that that is appropriate,” she said.Trump, however, already tried during his 2017-2021 term to oust Maduro, including by building a coalition of major Latin American and European powers.Maduro remained entrenched, enjoying his own support base as well as backing by Cuba, China and Russia.”If there is this goal of using militarization pressure to produce some internal break that leads to Maduro’s departure, my concern is that what was tried in Trump One,” said Roxanna Vigil, a fellow at the Council on Foreign Relations.”It didn’t work,” she said.

“Jamais rien vu de tel”: au lendemain de Melissa, la Jamaïque stupéfiée par les dégâts

Maisons soufflées, toits envolés, routes coupées, inondées et jonchées de débris: au lendemain du passage de Melissa, la Jamaïque découvre avec stupéfaction mercredi l’ampleur des dégâts causés par l’un des plus puissants ouragans jamais recensés.Vingt-quatre heures après que Melissa a traversé l’île caribéenne avec ses vents dévastateurs autour de 300 km/h, le bilan humain est encore inconnu.Les dégâts matériels sont eux bien visibles, en particulier dans l’ouest du pays.”J’ai vécu trois ou quatre ouragans ici. Je n’ai jamais rien vu de tel. Ca n’a jamais été aussi grave”, peine encore à réaliser auprès de l’AFP Andrew Houston Moncure, propriétaire d’un complexe touristique en bord de mer à Bluefields, sur la côte sud-ouest, là où Melissa a touché terre.”Chacune de nos six villas a perdu son toit, et il n’y a plus qu’un trou” à la place, se désole-t-il. “La cuisine de notre hôtel a été détruite. Un arbre est tombé sur notre générateur.””Les arbres encore debout ne sont plus que des troncs. Il n’y a plus de branches. Tout est à terre. Les lignes électriques sont couchées. Il y a des pierres sur la route. Il faudra probablement des jours avant que la route ne soit accessible”, observe l’hôtelier, seulement relié au reste du monde par un rare kit portable de connexion à internet Starlink qu’il recharge comme ses batteries à son pick-up.- Champs de bananiers aplatis -A l’évocation des heures où Melissa s’est déchaînée au-dessus de l’île, et de la maison habituée aux ouragans dans laquelle il s’est replié avec son fils de vingt mois et sa femme, le père de famille est à fleur de peau.Des chambres en sous-sol, “on a fini par se réfugier dans la douche, encore plus à l’intérieur de la maison, avec des oreillers et des couvertures. Ca a été l’expérience la plus effrayante”, dit-il avec des sanglots dans la voix. “La pression est tellement basse que vous avez du mal à respirer, et le bruit, c’est comme si un train de marchandises vous roulait dessus.”Le quadragénaire se considère néanmoins “chanceux” à la vue des “maisons en bois effondrées dans les collines”. “Des gens de nos équipes et du voisinage ont dû trouver le moyen de s’extraire des décombres.”Du restaurant de Christopher Hacker, à Seaford Town, haut dans les terres de l’ouest, ne reste qu’un squelette de structure en bois, quasi sans toit ni cloisons, avec quelques plaques de tôle ondulée brinquebalantes. “Tout a disparu”, écrit-il à l’AFP, images à l’appui.”Il y a des dégâts structurels, sur des véhicules, sur la ferme…”, énumère-t-il. Ses champs de bananiers sont complètement aplatis.Depuis la capitale Kingston où elle vit, Lisa Sangster raconte à l’AFP “le toit en partie emporté par le vent, en partie effondré”, et “toute la maison” de ses parents “inondée” à Barbary Hall, entre montagnes et côte. “La cuisine extérieure, le chenil et les enclos pour les chèvres sont détruits. Le verger et le potager de ma mère sont rasés”, poursuit-elle.- Coupés du monde -Dans des images aériennes partagées par le gouvernement jamaïcain, filmées dans la province de Saint-Elizabeth, battue par les vents les plus violents, une mer de maisons au toit nu, de végétation rudoyée et à vif, de terrains inondés et de débris, défile sous le soleil revenu.A Black River, son chef-lieu, l’église anglicane St John n’a plus que sa tour carrée debout. L’hôpital aussi est “dévasté, faute d’autre mot”, lâche un ministre.”Catastrophique est un mot léger au regard de ce qu’on observe ici”, constatent les autorités locales mercredi. “Nous avons un besoin urgent d’aide.”Tôle, poutres, branches: dans des vidéos transmises à l’AFP, réalisées la veille après le passage du plus gros de l’ouragan par Warrell Nicholson, policier de la ville, on voit les rues inondées et jonchées de débris au fur et à mesure qu’il avance les pieds dans l’eau. Poteaux et lignes électriques sont à terre. Le vent souffle encore fort.Impossible à ce stade de mesurer l’ampleur de la catastrophe. “Le problème, c’est que nous n’avons pas pu avoir accès aux populations rurales, totalement coupées du monde en termes de communication. Les routes sont impraticables”, dit le policier.”Beaucoup de maisons ont été détruites”, note le gouvernement jamaïcain, et environ 600.000 foyers restent privés d’électricité.”La route de la reconstruction va être longue”, prévoit Andrew Houston Moncure.str-vid-ube-es/cyb/pno

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

“Jamais rien vu de tel”: au lendemain de Melissa, la Jamaïque stupéfiée par les dégâts

Maisons soufflées, toits envolés, routes coupées, inondées et jonchées de débris: au lendemain du passage de Melissa, la Jamaïque découvre avec stupéfaction mercredi l’ampleur des dégâts causés par l’un des plus puissants ouragans jamais recensés.Vingt-quatre heures après que Melissa a traversé l’île caribéenne avec ses vents dévastateurs autour de 300 km/h, le bilan humain est encore inconnu.Les dégâts matériels sont eux bien visibles, en particulier dans l’ouest du pays.”J’ai vécu trois ou quatre ouragans ici. Je n’ai jamais rien vu de tel. Ca n’a jamais été aussi grave”, peine encore à réaliser auprès de l’AFP Andrew Houston Moncure, propriétaire d’un complexe touristique en bord de mer à Bluefields, sur la côte sud-ouest, là où Melissa a touché terre.”Chacune de nos six villas a perdu son toit, et il n’y a plus qu’un trou” à la place, se désole-t-il. “La cuisine de notre hôtel a été détruite. Un arbre est tombé sur notre générateur.””Les arbres encore debout ne sont plus que des troncs. Il n’y a plus de branches. Tout est à terre. Les lignes électriques sont couchées. Il y a des pierres sur la route. Il faudra probablement des jours avant que la route ne soit accessible”, observe l’hôtelier, seulement relié au reste du monde par un rare kit portable de connexion à internet Starlink qu’il recharge comme ses batteries à son pick-up.- Champs de bananiers aplatis -A l’évocation des heures où Melissa s’est déchaînée au-dessus de l’île, et de la maison habituée aux ouragans dans laquelle il s’est replié avec son fils de vingt mois et sa femme, le père de famille est à fleur de peau.Des chambres en sous-sol, “on a fini par se réfugier dans la douche, encore plus à l’intérieur de la maison, avec des oreillers et des couvertures. Ca a été l’expérience la plus effrayante”, dit-il avec des sanglots dans la voix. “La pression est tellement basse que vous avez du mal à respirer, et le bruit, c’est comme si un train de marchandises vous roulait dessus.”Le quadragénaire se considère néanmoins “chanceux” à la vue des “maisons en bois effondrées dans les collines”. “Des gens de nos équipes et du voisinage ont dû trouver le moyen de s’extraire des décombres.”Du restaurant de Christopher Hacker, à Seaford Town, haut dans les terres de l’ouest, ne reste qu’un squelette de structure en bois, quasi sans toit ni cloisons, avec quelques plaques de tôle ondulée brinquebalantes. “Tout a disparu”, écrit-il à l’AFP, images à l’appui.”Il y a des dégâts structurels, sur des véhicules, sur la ferme…”, énumère-t-il. Ses champs de bananiers sont complètement aplatis.Depuis la capitale Kingston où elle vit, Lisa Sangster raconte à l’AFP “le toit en partie emporté par le vent, en partie effondré”, et “toute la maison” de ses parents “inondée” à Barbary Hall, entre montagnes et côte. “La cuisine extérieure, le chenil et les enclos pour les chèvres sont détruits. Le verger et le potager de ma mère sont rasés”, poursuit-elle.- Coupés du monde -Dans des images aériennes partagées par le gouvernement jamaïcain, filmées dans la province de Saint-Elizabeth, battue par les vents les plus violents, une mer de maisons au toit nu, de végétation rudoyée et à vif, de terrains inondés et de débris, défile sous le soleil revenu.A Black River, son chef-lieu, l’église anglicane St John n’a plus que sa tour carrée debout. L’hôpital aussi est “dévasté, faute d’autre mot”, lâche un ministre.”Catastrophique est un mot léger au regard de ce qu’on observe ici”, constatent les autorités locales mercredi. “Nous avons un besoin urgent d’aide.”Tôle, poutres, branches: dans des vidéos transmises à l’AFP, réalisées la veille après le passage du plus gros de l’ouragan par Warrell Nicholson, policier de la ville, on voit les rues inondées et jonchées de débris au fur et à mesure qu’il avance les pieds dans l’eau. Poteaux et lignes électriques sont à terre. Le vent souffle encore fort.Impossible à ce stade de mesurer l’ampleur de la catastrophe. “Le problème, c’est que nous n’avons pas pu avoir accès aux populations rurales, totalement coupées du monde en termes de communication. Les routes sont impraticables”, dit le policier.”Beaucoup de maisons ont été détruites”, note le gouvernement jamaïcain, et environ 600.000 foyers restent privés d’électricité.”La route de la reconstruction va être longue”, prévoit Andrew Houston Moncure.str-vid-ube-es/cyb/pno

L1: l’OM coince encore et bute sur Angers (2-2)

Après deux défaites d’affilée entre championnat et Ligue des champions, l’OM n’a pas su faire mieux qu’un match nul 2-2 mercredi à domicile face à Angers, malgré un beau doublé du jeune Robinio Vaz, et se retrouve troisième du classement.Longtemps catastrophique et mené au score, l’OM a cru être sauvé par la fougue de Vaz, qui lui a permis de reprendre la tête. Mais les joueurs de Roberto De Zerbi ont aussi mal fini que commencé et ont laissé Angers et Ousmane Camara égaliser après six minutes de temps additionnel (2-2).Alors qu’ils auraient pu profiter du match nul du Paris SG à Lorient et prendre la tête du championnat, les Marseillais glissent donc finalement à la troisième place du classement et prolongent à domicile la mauvaise série débutée avec les défaites concédées à l’extérieur face au Sporting Portugal et à Lens.  Depuis huit jours, l’OM et son écosystème dissertent d’ailleurs sur ces défaites qui valaient mieux, celles contre le Sporting et Lens ayant conclu des prestations satisfaisantes, voire par moments brillantes.Mais la bronca réservée mercredi par le Vélodrome à ses joueurs quand l’arbitre a sifflé la pause était tout à fait claire: il n’y avait rien à discuter ni rien à sauver, car l’OM venait de livrer une première période calamiteuse, la plus pauvre certainement depuis le mois d’août, celui des mauvais souvenirs.Après un petit quart d’heure de vague domination marseillaise, Angers a en effet été la meilleure équipe sur le terrain, et d’assez loin, ce que confirmait la mine tout à fait dépitée de De Zerbi devant son banc.Dès la 13e minute, le très jeune (18 ans) et très bon Sidiki Cherif a ainsi failli marquer d’une tête piquée. Et un peu plus de dix minutes plus tard, il a pris le meilleur sur Nayef Aguerd à 40 mètres du but et l’a gardé jusqu’au bout pour placer Angers en tête (1-0, 25e).       – Vaz sans peur -Après le repos, trois Marseillais parmi les plus décevants — Amir Murillo, Angel Gomes et Arthur Vermeeren — ne sont pas revenus sur la pelouse et ont laissé leurs places à Benjamin Pavard, Matt O’Riley et Robinio Vaz.Le match a changé, mais pas tout de suite. Car l’OM a d’abord été sauvé de justesse du 2-0 et du désastre par un hors-jeu angevin sur un but contre-son-camp de CJ Egan-Riley, lui aussi longtemps en détresse.Mais ensuite, Robinio Vaz et ses 18 ans se sont chargés de tout. Déjà auteur avant le match de deux buts et deux passes décisives, l’attaquant marseillais a d’abord égalisé (1-1, 52e), bien servi par Pierre-Emerick Aubameyang au bout d’un contre qu’Angers n’aurait probablement jamais dû offrir à l’OM.Puis après une action marseillaise assez laborieuse, il a récupéré la balle et mis son équipe devant avec un crochet, une feinte et une frappe d’adolescent qui n’a peur de rien (2-1, 70e).L’énergie et la confiance de Vaz auraient dû suffire, d’autant qu’Aubameyang a eu une magnifique occasion de boucler définitivement l’affaire (78e).Mais alors que le public s’est inquiété pour Bilal Nadir, sorti sur une civière après s’être allongé sur la pelouse, l’OM n’a pas tenu et a donc cédé devant Ousmane Camara, au bout d’une action affreusement mal défendue.Les absences et les blessures pèsent, sans doute, mais le calendrier ne s’allège pas. A l’heure d’aller à Auxerre samedi puis de recevoir l’Atalanta Bergame mercredi prochain, l’OM n’est pas au mieux et doit réagir.