Espagne: Federico Valverde maintient le Real en vie en Liga

Une volée somptueuse de Federico Valverde a offert in extremis un précieux succès au Real Madrid dimanche contre l’Athletic Bilbao (1-0), maintenant le suspense en tête de la Liga.Après la 32e journée, les champions sortants comptent quatre points de retard sur le FC Barcelone, le leader qui a arraché un succès samedi contre le Celta Vigo (4-3), en toute fin de match là encore.Quatre jours après leur élimination en quart de finale de la Ligue des champions face à Arsenal (2-1, 3-0 à aller), les Madrilènes ont longtemps piétiné dimanche soir face à l’organisation défensive de Bilbao, un sérieux client. Le 4e de Liga a atteint le dernier carré de la Ligue Europa où il défiera en demi-finale Manchester United.Après de multiples mais vaines tentatives de leur trident offensif Bellingham-Vincius-Rodrygo, privés de Kylian Mbappé suspendu, la délivrance est venue pour les Merengues de Valverde à la 93e minute. Le milieu uruguayen a logé une reprise de volée dans la lucarne du portier basque Unai Simon, délivrant tout un stade qui restait sur deux défaites à domicile de leur équipe fétiche toutes compétitions confondues (contre Valence en Liga le 5 avril et Arsenal en C1).Pour le Real, les semaines à venir s’annoncent chargées mais sans doute un peu moins tendues qu’en cas de tout autre résultat qu’une victoire dimanche. Avant le Clasico retour du 11 mai à Barcelone, les deux grands rivaux s’affronteront samedi en finale de la Coupe à Séville. Mais le succès de dimanche devrait alléger un peu la pression sur les épaules de Carlo Ancelotti. Le contrat de l’entraîneur italien de 65 ans court jusqu’en 2026 mais l’élimination du Real Madrid en  Ligue des champions a lancé les spéculations autour d’un départ dans les prochaines semaines. Ancelotti a confié samedi qu’il discuterait de son avenir avec le club en fin de saison.

Israel cancels visas for French lawmakers

Israel’s government cancelled visas for 27 French left-wing lawmakers and local officials two days before they were to start a visit to Israel and the Palestinian territories on Sunday, the group said.The action came only days after Israel stopped two British members of parliament from the governing Labour party from entering the country.It also came amidst diplomatic tensions after President Emmanuel Macron said France would soon recognise a Palestinian state. Macron has in turn sought to pressure Netanyahu over conditions in Gaza amid the Israel-Hamas war.Israel’s interior ministry said visas for the 27 had been cancelled under a law that allows authorities to ban people who could act against the state of Israel.Seventeen members of the group, from France’s Ecologist and Communist parties, said they had been victims of “collective punishment” by Israel and called on Macron to intervene.They said in a statement that they had been invited on a five-day trip by the French consulate in Jerusalem.They had intended to visit Israel and the Palestinian territories as part of their mission to “strengthen international cooperation and the culture of peace”, they added. “For the first time, two days before our departure, the Israeli authorities cancelled our entry visas that had been approved one month ago,” they said.”We want to understand what led to this sudden decision, which resembles collective punishment,” said the group.- ‘Major rupture’ -The delegation included National Assembly deputies Francois Ruffin, Alexis Corbiere and Julie Ozenne from the Ecologist party, Communist deputy Soumya Bourouaha and Communist senator Marianne Margate.The other members were left-wing town mayors and local lawmakers.The statement denounced the ban as a “major rupture in diplomatic ties”.”Deliberately preventing elected officials and parliamentarians from travelling cannot be without consequences,” the group said, demanding a meeting with Macron and action by the government to ensure Israel let them into the country.The group said their parties had for decades called for recognition of a Palestinian state, which Macron said last week could come at an international conference in June.Israeli authorities this month detained British members of parliament Yuan Yang and Abtisam Mohamed at Tel Aviv airport and deported them, citing the same reason. Britain’s Foreign Secretary David Lammy called the action “unacceptable”.In February, Israel stopped two left-wing European parliament deputies, Franco-Palestinian Rima Hassan and Lynn Boylan from Ireland, from entering.Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu has reacted with fury to France’s possible recognition of a Palestinian state. He said establishing a Palestinian state next to Israel would be a “huge reward for terrorism”.

DR Congo authorities suspend party of ex-president KabilaSun, 20 Apr 2025 20:59:54 GMT

The Democratic Republic of Congo government said it had suspended the political party of former president Joseph Kabila, days after his properties were raided by security services.”This decision follows the overt activism” of Kabila, the interior ministry said in a statement dated Saturday.Kabila was president for 18 years up to 2019 and remains head of …

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L’Ukraine et la Russie s’accusent de violer la trêve, Trump espère un accord

L’Ukraine et la Russie se sont mutuellement accusées dimanche de poursuivre leurs attaques, malgré la trêve pascale de 30 heures annoncée la veille par Vladimir Poutine, tandis que Donald Trump a dit espérer un “accord” dans la semaine entre les deux pays. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui avait accepté la trêve annoncée par la Russie, a affirmé dans la soirée que les forces russes avaient violé ce cessez-le-feu “plus de 2.000 fois” depuis le début de la matinée, tout en soulignant qu’elles n’avaient procédé à aucun raid aérien “aujourd’hui”.Il a dans ce contexte émis l’idée d’une prolongation de 30 jours de la trêve sur les frappes de drones et de missiles de longue portée contre les infrastructures civiles.M. Zelensky avait auparavant signalé des “opérations russes” dans les secteurs de Pokrovsk et de Siversk, sur le front oriental, reprochant à l’armée russe de “continuer d’utiliser des armes lourdes”.Du côté de la Russie, le ministère de la Défense a fait état de tentatives infructueuses des soldats ukrainiens “d’attaquer les positions russes” dans les secteurs de Soukha Balka et de Bagatyr dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.Les autorités russes ont aussi évoqué des actions militaires ukrainiennes contre les régions russes frontalières de Briansk, Koursk et Belgorod, dans lesquelles “des civils ont été tués ou blessés”.Concernant le cessez-le-feu, qui expire à 21H00 GMT, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a précisé aux agences de presse russes que Vladimir Poutine n’avait “donné aucun ordre” pour le prolonger.- Plus calme qu’à l’ordinaire -Ces accusations croisées démontrent la difficulté d’imposer une cessation, même courte, des hostilités plus de trois ans après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.Une journaliste de l’AFP à Kramatorsk, près des lieux des combats dans la partie orientale de l’Ukraine, a entendu des explosions dimanche mais le front semblait plus calme qu’à l’ordinaire, aucune fumée ne s’élevant à l’horizon.”L’activité de l’ennemi a considérablement diminué dans les régions de Zaporijjia (sud) et de Kharkiv (nord-est), (dans les zones) où nous opérons en permanence”, a témoigné auprès de l’AFP le commandant d’une unité de drones ukrainienne sous couvert d’anonymat, n’évoquant que des “incidents isolés”.Serguiï, un officier ukrainien dans la région de Soumy (nord-est), a estimé que la nuit et la journée de dimanche avaient été “calmes” par rapport à l’habitude: “L’artillerie (russe) ne tire pas”.Le ministère ukrainien des Affaires étrangères a relevé “une légère diminution des combats hier et aujourd’hui”.Vladimir Poutine avait ordonné samedi aux soldats russes d’interrompre les hostilités jusqu’à minuit (21H00 GMT) dans la nuit de dimanche à lundi à l’occasion de Pâques, l’une des fêtes les plus importantes du calendrier chrétien.- Négociations dans l’impasse -Depuis Washington, Donald Trump a dit espérer “un accord cette semaine entre les deux pays”, dans un bref message qui ne précise pas sur quoi le président américain fonde son optimisme.Vendredi, M. Trump avait tout au contraire menacé de se retirer des négociations, faute de progrès rapides dans les discussions séparées que ses lieutenants ont engagées depuis plusieurs semaines avec Kiev et avec Moscou.A Kiev, des habitants interrogés par l’AFP assuraient ne pas croire à une trêve.Les Russes “ont déjà rompu leur promesse. Malheureusement, nous ne pouvons pas leur faire confiance”, commentait Olga Grachova, une commerçante de 38 ans.- “La paix pour toujours” -A Moscou, Svetlana, une retraitée de 61 ans qui n’a pas donné son nom de famille, a aussi dit penser que la trêve pascale n’aboutirait “à rien car l’Ukraine ne respectera de toute façon pas ces accords”, évoquant une “demi-mesure”.Des tentatives d’instaurer un cessez-le-feu ont déjà eu lieu à deux reprises depuis le début du conflit en Ukraine, en avril 2022 et en janvier 2023, mais elles ont échoué face au refus de Moscou pour la première et de Kiev pour la seconde de faire taire les armes.La trêve de ce week-end a été décrétée au moment où la Russie a revendiqué avoir repris la quasi-totalité – 99,5% – des territoires occupés par les Ukrainiens dans la région russe de Koursk depuis l’été 2024.Une progression qui replacerait à nouveau en totalité le front sur le sol ukrainien.burx-brw-pop/bds/bar/vla

L’Ukraine et la Russie s’accusent de violer la trêve, Trump espère un accord

L’Ukraine et la Russie se sont mutuellement accusées dimanche de poursuivre leurs attaques, malgré la trêve pascale de 30 heures annoncée la veille par Vladimir Poutine, tandis que Donald Trump a dit espérer un “accord” dans la semaine entre les deux pays. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui avait accepté la trêve annoncée par la Russie, a affirmé dans la soirée que les forces russes avaient violé ce cessez-le-feu “plus de 2.000 fois” depuis le début de la matinée, tout en soulignant qu’elles n’avaient procédé à aucun raid aérien “aujourd’hui”.Il a dans ce contexte émis l’idée d’une prolongation de 30 jours de la trêve sur les frappes de drones et de missiles de longue portée contre les infrastructures civiles.M. Zelensky avait auparavant signalé des “opérations russes” dans les secteurs de Pokrovsk et de Siversk, sur le front oriental, reprochant à l’armée russe de “continuer d’utiliser des armes lourdes”.Du côté de la Russie, le ministère de la Défense a fait état de tentatives infructueuses des soldats ukrainiens “d’attaquer les positions russes” dans les secteurs de Soukha Balka et de Bagatyr dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.Les autorités russes ont aussi évoqué des actions militaires ukrainiennes contre les régions russes frontalières de Briansk, Koursk et Belgorod, dans lesquelles “des civils ont été tués ou blessés”.Concernant le cessez-le-feu, qui expire à 21H00 GMT, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a précisé aux agences de presse russes que Vladimir Poutine n’avait “donné aucun ordre” pour le prolonger.- Plus calme qu’à l’ordinaire -Ces accusations croisées démontrent la difficulté d’imposer une cessation, même courte, des hostilités plus de trois ans après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.Une journaliste de l’AFP à Kramatorsk, près des lieux des combats dans la partie orientale de l’Ukraine, a entendu des explosions dimanche mais le front semblait plus calme qu’à l’ordinaire, aucune fumée ne s’élevant à l’horizon.”L’activité de l’ennemi a considérablement diminué dans les régions de Zaporijjia (sud) et de Kharkiv (nord-est), (dans les zones) où nous opérons en permanence”, a témoigné auprès de l’AFP le commandant d’une unité de drones ukrainienne sous couvert d’anonymat, n’évoquant que des “incidents isolés”.Serguiï, un officier ukrainien dans la région de Soumy (nord-est), a estimé que la nuit et la journée de dimanche avaient été “calmes” par rapport à l’habitude: “L’artillerie (russe) ne tire pas”.Le ministère ukrainien des Affaires étrangères a relevé “une légère diminution des combats hier et aujourd’hui”.Vladimir Poutine avait ordonné samedi aux soldats russes d’interrompre les hostilités jusqu’à minuit (21H00 GMT) dans la nuit de dimanche à lundi à l’occasion de Pâques, l’une des fêtes les plus importantes du calendrier chrétien.- Négociations dans l’impasse -Depuis Washington, Donald Trump a dit espérer “un accord cette semaine entre les deux pays”, dans un bref message qui ne précise pas sur quoi le président américain fonde son optimisme.Vendredi, M. Trump avait tout au contraire menacé de se retirer des négociations, faute de progrès rapides dans les discussions séparées que ses lieutenants ont engagées depuis plusieurs semaines avec Kiev et avec Moscou.A Kiev, des habitants interrogés par l’AFP assuraient ne pas croire à une trêve.Les Russes “ont déjà rompu leur promesse. Malheureusement, nous ne pouvons pas leur faire confiance”, commentait Olga Grachova, une commerçante de 38 ans.- “La paix pour toujours” -A Moscou, Svetlana, une retraitée de 61 ans qui n’a pas donné son nom de famille, a aussi dit penser que la trêve pascale n’aboutirait “à rien car l’Ukraine ne respectera de toute façon pas ces accords”, évoquant une “demi-mesure”.Des tentatives d’instaurer un cessez-le-feu ont déjà eu lieu à deux reprises depuis le début du conflit en Ukraine, en avril 2022 et en janvier 2023, mais elles ont échoué face au refus de Moscou pour la première et de Kiev pour la seconde de faire taire les armes.La trêve de ce week-end a été décrétée au moment où la Russie a revendiqué avoir repris la quasi-totalité – 99,5% – des territoires occupés par les Ukrainiens dans la région russe de Koursk depuis l’été 2024.Une progression qui replacerait à nouveau en totalité le front sur le sol ukrainien.burx-brw-pop/bds/bar/vla

Italie: l’Inter craque à Bologne et relance Naples dans la course au titre

L’Inter Milan n’a plus le droit à l’erreur s’il veut conserver son titre de champion d’Italie après sa défaite à Bologne (1-0) dimanche relance complètement la course pour le titre, en permettant à Naples de revenir à sa hauteur.A cinq journées du terme de la saison, l’Inter et le Napoli, vainqueur samedi chez la lanterne rouge Monza (1-0), sont dos à dos avec chacun 71 points.Les Nerazzurri, toujours en lice pour un retentissant triplé Championnat d’Italie-Ligue des champions-Coupe d’Italie, restent leaders de la Serie A grâce à leur différence de buts nettement favorable (+40, contre +27).Mais l’équipe de Simone Inzaghi, privée dimanche de Marcus Thuram, touché à une cuisse, a pris un sacré coup au moral à l’issue de son 50e match d’une saison déjà éreintante.Contre l’une des équipes les plus performantes de cette phase retour, l’Inter a vite semblé à court d’idées et fatigué.Alors que les champions d’Italie en titre semblaient vouloir se contenter d’un nul qui leur aurait donné un point d’avance sur Naples, ils ont craqué dans le temps additionnel.Sur une longue touche de Bologne dans la surface de réparation milanaise, Yann Bisseck et Benjamin Pavard se sont gênés et le ballon a été repris d’un spectaculaire ciseau par Riccardo Orsolini qui n’a laissé aucune chance à Yann Sommer (90+4).- “Une défaite qui fait mal” -“C’est une défaite qui fait mal, surtout dans son déroulement, mais le championnat ne se termine pas avec ce match contre Bologne”, a souligné Inzaghi, hors de lui, comme ses joueurs, au coup de sifflet final.”Le ballon était sorti au niveau de ma zone technique, mais Bologne a avancé de douze mètres avant de faire sa touche. Mais on aurait dû mieux défendre d’autant qu’on était en supériorité numérique”, a regretté l’entraîneur italien.L’Inter n’aura guère de temps pour digérer cette désillusion, car son calendrier ne lui aucun répit et toute sa saison pourrait se jouer dans les dix prochains jours.Mercredi, il retrouve l’AC Milan en demi-finale retour de la Coupe d’Italie (0-0 à l’aller), avant de recevoir l’AS Rome (6e) samedi en championnat, puis de défier le FC Barcelone en demi-finale aller de la Ligue des champions le 30 avril.Naples, en revanche, n’a plus qu’à se concentrer sur le championnat où il n’affrontera, contrairement au leader, que des équipes de la seconde partie du tableau.”Le calendrier a une importance très relative, a objecté Inzaghi. Chaque équipe de ce championnat est très organisée et a encore des objectifs à atteindre: cela ne sera facile ni pour Naples ni pour nous”.D’autant que le Napoli pourrait s’offrir une crise dont il a le secret: son entraîneur Antonio Conte, convoité par la Juventus Turin, a estimé samedi après la laborieuse victoire contre Monza que le club qu’il a rejoint en juillet dernier, manquait de moyens et d’ambitions.Bologne, de son côté, continue de rêver à la Ligue des champions et s’est emparé de la 4e place, la dernière qualificative pour la C1, avec un point d’avance sur la Juventus Turin (5e) qui se déplace lundi à Parme.L’Atalanta a conforté sa 3e place (64 pts) en s’imposant 1 à 0 à San Siro devant l’AC Milan, toujours aussi décevant (9e). Neuf jours après un traumatisme crânien suite à un choc avec un coéquipier, son gardien français Mike Maignan a disputé l’intégralité de la rencontre.

Salvadoran Catholic leader urges Bukele not to turn country into US prison

El Salvador’s top Catholic leader on Sunday urged President Nayib Bukele not to turn the country into a Guantanamo-style US prison, after Bukele made a deal with Washington to house deported migrants from the United States in a notorious jail.”We ask that our authorities not allow our country to become a big international prison,” Jose Luis Escobar, the archbishop of San Salvador, told reporters. Bukele’s visit Monday to the White House confirmed his growing alliance with like-minded US President Donald Trump. The Salvadoran leader has agreed to imprison hundreds of migrants, many of them Venezuelans, expelled by the United States. They are being held in an enormous mega-prison where rights groups have decried conditions as inhumane. Trump has invoked the little-known Alien Enemies Act of 1798, previously used only in times of war, as he moves to expel migrants who he says are mostly violent criminals.Families and lawyers of many of those expelled under the crackdown dispute that characterization, with some saying their family members were targeted largely on the basis of their tattoos.Escobar mentioned recent opinion articles warning that “El Salvador could become a new Guantanamo” — the sprawling Cuban territory leased by the United States to serve as a naval base. In recent decades it has seen use by Washington as a prison for detainees accused of terrorism but held without trial and for expelled migrants.Bukele has said he is eager to help with Trump’s effort to drastically reduce the number of undocumented migrants in the United States.But Escobar warned that El Salvador “could become a prison where the United States could send prisoners at a lower cost than what they spend in Guantanamo.””We ask the government not to allow it,” he added.Several of those expelled to El Salvador were first jailed in Guantanamo.