Markets extend record run as trade dominates

Stock markets hit record highs Wednesday thanks to optimism over US trade deals, the AI sector and an expected interest-rate cut by the US Federal Reserve.On Wall Street both the S&P 500 and Nasdaq Composite set record highs as trading started, following fresh peaks set in London and some Asian markets as US President Donald Trump voiced optimism on the eve of crunch talks with China’s President Xi Jinping.Investors are looking ahead to a meeting of the Federal Reserve, which observers expect will unveil a quarter-percentage-point cut to borrowing costs, as well as earnings reports from tech heavyweights Meta, Microsoft and Google-parent Alphabet after trading closes in New York.”Risk appetite remained firm heading into a busy 48 hour period for markets, where major central banks decide on interest rates, technology companies will report their quarterly results, and more to the point, Trump will meet Xi Jinping in a meeting expected to last three hours,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.The European Central Bank and the Bank of Japan are expected to hold interest rates steady this week. Ahead of meeting Xi, Trump indicated that a trade deal had been reached with South Korea’s President Lee Jae Myung.Ahead of his arrival in South Korea, Trump told reporters he expects “a lot of problems are going to be solved” during his first in-person discussion with Xi since returning to the White House this year.The two leaders are set to meet Thursday in Busan, a southern port city not far from the APEC summit attended by Trump.Geopolitical hopes have added to an already jubilant atmosphere on Wall Street, where highlights during Tuesday’s record-breaking day included a five-percent leap for artificial intelligence giant Nvidia.The company’s shares climbed another 4.5 percent as trading got underway, with analysts saying the shares are benefitting from Trump saying he would talk about the company’s chips with Xi.Benchmark stocks indices in Tokyo and Seoul each reached record highs Wednesday.After Seoul closed, the United States and South Korea reached an agreement to maintain reciprocal tariffs at 15 percent and to reduce levies on automobiles and auto parts.Taipei gained more than one percent on the day and Shanghai tracked moderate gains, while Hong Kong was closed for a public holiday.In company news, shares in UK drugmaker GSK jumped 6.2 percent in London after it raised its full-year guidance on strong sales growth. Shares in Mercedes-Benz rose around six percent after the company reassured investors it faces no immediate production shutdowns due to microchip shortages, even though third quarter net profits plunged more than 30 percent due to Trump’s tariff blitz as well as slumping sales in China.The price of copper reached a record high Wednesday, with the metal boosted also by tight supply concerns.- Key figures at around 1330 GMT -New York – Dow: UP 0.2 percent at 47,813.81 pointsNew York – S&P 500: UP 0.3 percent at 6,908.52New York – Nasdaq Composite: UP 0.7 percent at 23,981.99London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 9,765.12 Paris – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 8,194.76Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 at 24,223.96Tokyo – Nikkei 225: UP 2.2 percent at 51,307.65 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: Closed for a holidayShanghai – Composite: UP 0.7 percent at 4,016.33 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1643 from $1.1656 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3214 from $1.3336Dollar/yen: DOWN at 151.91 yen from 152.06 yenEuro/pound: UP at 88.11 from 87.80 penceBrent North Sea Crude: FLAT $63.84 per barrelWest Texas Intermediate: FLAT at $60.13 per barrelburs-rl/tw

Mains rouges taguées sur le Mémorial de la Shoah: le procès de quatre Bulgares s’est ouvert à Paris

Le procès de quatre hommes de nationalité bulgare jugés dans l’affaire des “mains rouges” taguées en mai 2024 sur le Mémorial de la Shoah, sur laquelle plane le spectre d’une ingérence étrangère, s’est ouvert mercredi après-midi devant le tribunal correctionnel de Paris.Trois prévenus doivent répondre de dégradations en réunion et en raison de la prétendue appartenance à une race, ethnie ou religion, ainsi que pour association de malfaiteurs. Seuls deux d’entre eux comparaissent, le troisième étant en fuite.”Il fait l’objet d’un mandat d’arrêt et pourra être jugé en son absence”, avait précisé le parquet en juillet.Le quatrième, soupçonné d’avoir effectué les réservations d’hébergement et de transports des auteurs principaux, est poursuivi pour complicité dans les dégradations et association de malfaiteurs. Tous encourent sept ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende au terme d’une audience qui doit se tenir jusqu’à vendredi. Les quatre suspects avaient fui hors de France après les faits: les trois présents ont été extradés depuis la Croatie et la Bulgarie avant d’être placés en détention provisoire. Dans la nuit du 13 au 14 mai 2024, 35 tags représentant des mains rouges – symbole pouvant être lié au lynchage de soldats israéliens à Ramallah, en Cisjordanie, en 2000 – avaient été peints sur le Mur des Justes du Mémorial de la Shoah à Paris.Plusieurs dizaines de tags similaires avaient été découverts sur des murs dans les IVe et Ve arrondissements de la capitale.Au cours de l’information judiciaire s’est dessinée “l’hypothèse que cette action était susceptible de correspondre à une action de déstabilisation de la France orchestrée par les services de renseignement russes”, avait estimé le parquet.Le service Viginum, chargé de la lutte contre les ingérences numériques étrangères, avait observé “une instrumentalisation” de cette affaire sur X “par des acteurs liés à la Russie”.Ce dossier s’inscrit dans une série de tentatives de déstabilisation visant à “semer le trouble” et “créer des fractures” dans la population française, avait affirmé en septembre la procureure de Paris, Laure Beccuau.Elle citait neuf affaires au total liées à des ingérences étrangères, et parmi elles: les étoiles de David bleues taguées en région parisienne en octobre 2023; les cercueils déposés au pied de la tour Eiffel couverts du drapeau français et portant la mention “soldats français de l’Ukraine” en juin 2024; ou plus récemment, en septembre, les têtes de cochon déposées devant plusieurs mosquées de la région parisienne.

Foot: pas de progrès pour les Bleues

Après un énième échec mardi, cette fois en demi-finale de Ligue des nations, l’équipe de France féminine reste cantonnée au statut de sélection moyenne du football européen et voit les doutes qui l’entourent s’épaissir.Les déceptions s’accumulent pour les Bleues depuis la demi-finale de l’Euro en 2022, leur meilleure performance dans une grande compétition. Elles ont encore échoué contre le même adversaire, l’Allemagne.La France, toujours face à son plafond de verre, devra donc encore attendre pour remporter un premier titre. La Coupe du monde 2027 est la prochaine étape.Il y avait donc quelque chose de redondant à écouter les Bleues tenir un discours entendu des dizaines de fois mardi soir à Caen, après leur nouvelle désillusion en demi-finales de la Ligue des nations (défaite 1-0, 2-2). Ces paroles ont déjà été entendues chaque été, 2023 à la Coupe du monde, 2024 aux JO et 2025 à l’Euro, à chaque fois en quarts de finale.En comptant l’élimination par l’Allemagne en Suisse (1-1, 6 t.a.b. à 5), la France a échoué à remporter ses trois derniers matches toutes compétitions confondues, une première depuis 2018. Et elle n’enregistre qu’un seul succès en neuf rencontres de compétition officielle face à sa bête noire. – “Réaliste” et “lucide” -Ces paroles sonnent creux, en l’absence de résultats probants, hormis quelques succès de prestige dans des matches à moindre enjeu, comme contre l’Angleterre en phase de groupes de l’Euro (2-1) ou contre le Brésil (3-2) en amical en juin. Sans réelle solution, Laurent Bonadei – sous contrat jusqu’en 2027 – et ses joueuses préfèrent voir le verre à moitié plein à chaque fois.Comme cet été, le technicien de 55 ans a ainsi choisi de retenir des motifs d’espoirs: la jeunesse, la qualité de jeu et l’orgueil, mais en réalité les Bleues restent dans une impasse. Après avoir joué la finale de Ligue des nations en 2024, où elles avaient été surclassées par l’Espagne (2-0), elles ont régressé cette année.Désormais, elles mettent en avant leur “courage” face à l’Allemagne, alors qu’il y a deux ans les Bleues jouaient dans la même cour que leurs voisines.”Je vois beaucoup de signaux positifs dans la progression, notamment des jeunes, et l’état d’esprit. Y compris chez les remplaçantes. La déception de se faire éliminer est évidemment là. Je suis déçu pour elles car elles ont beaucoup donné et respecté le plan de jeu”, a expliqué mardi Laurent Bonadei, qui doit préparer dès le début de l’année prochaine les qualifications au Mondial.”Mais peut-être qu’il faut être réaliste, lucide, et se dire qu’on est à notre niveau. Nous ne sommes que 6es du classement Fifa, derrière l’Allemagne et l’Espagne, notamment”, a-t-il ajouté.Comme si la France se résignait à n’être plus vraiment invitée dans le top 5 et devait réaliser un exploit pour les battre, telle une équipe moyenne.Après avoir longtemps résisté dans l’opinion publique grâce à ses stars (Le Sommer, Henry, Renard, Majri), qui ont depuis passé l’âge selon le staff tricolore, cette équipe cherche son identité, oscillant entre beau jeu, comme la première mi-temps mardi et absence de combat et de fluidité, comme vendredi à Düsseldorf à l’aller.Fin novembre avec les deux matches contre la Suède, 3e du classement Fifa, elles verront si elles ont les moyens de terminer à la troisième place de la Ligue des nations face à un cador. Car il est désormais difficile de voir les progrès de la France, qui n’a pas vraiment profité de l’organisation de la Coupe du monde 2019 pour prendre le virage du foot féminin.Le prochain objectif, répété par Laurent Bonadei, est d’atteindre le dernier carré de la Coupe du monde 2027 au Brésil. Pas sûr avec le niveau de jeu inconstant et le mental friable affichés ces dernières années.

US Fed on track to cut rates again in penultimate decision of 2025

The US Federal Reserve is almost certain to cut interest rates for a second straight meeting on Wednesday, and could also shed light on what it will do next.  Analysts and traders expect most policymakers on the Fed’s rate-setting committee will back a quarter percentage-point cut, which would lower the bank’s benchmark lending rate to between 3.75 percent and 4.00 percent. The meeting began at 9:00 am in Washington (1300 GMT), as scheduled, the Fed said in a statement. A cut would boost a US economy still digesting the effects of President Donald Trump’s sweeping tariffs, and buy policymakers some more time as they wait for the end of the government shutdown.Republicans and Democrats remain politically gridlocked almost a month after the start of the shutdown, which has resulted in a suspension of publication of almost all official data. The Fed has a dual mandate to act independently to tackle both inflation and unemployment, which it does by either hiking, pausing, or cutting its key lending rate. Lower rates stimulate the economy and the labor market, typically feeding through into lower mortgage rates. Higher rates act to constrain activity and dampen inflation. Fed officials have in recent months flagged concerns that the labor market is cooling, causing them to shift their attention to bolstering hiring, even though inflation remains above the Fed’s target.”There’s definitely some weakening on the employment side of the mandate, and I think they’ll go ahead and take out another insurance cut against that risk,” former Cleveland Fed president Loretta Mester told AFP. “But it’s important that they not lose sight of the inflation part of the mandate,” added Mester, now an adjunct professor of finance at the University of Pennsylvania’s Wharton School of Business. “The inflation risks, I believe, remain to the upside,” she said.- December less clear-cut – Quarter-point cuts in both October and December are more-or-less baked into the financial markets, according to CME Group data, mirroring the median expectation of Fed policymakers at last month’s rate decision. But analysts widely expect Fed chair Jerome Powell to tell reporters during the bank’s post-decision press conference on Wednesday that the rate-setting Federal Open Market Committee (FOMC) is keeping an open mind about the following meeting. “I don’t think it’s a given that there will be a majority of FOMC voters that will favor easing in December,” EY chief economist Gregory Daco told AFP. Powell “has not made up his mind yet for one as to whether a December rate cut will be necessary,” added Daco, who nevertheless expects the Fed to make two quarter-point rate cuts this year. The Fed could also use Wednesday’s rate decision to announce an end date for its steps to reduce the size of its balance sheet, which ballooned in the early days of the Covid-19 pandemic. “I think they’re very cautious about stresses in the financial markets,” said Mester. “They could probably get the balance sheet down a little bit further,” she added. “But I don’t think there’s much appetite for that.” Also simmering in the background are Trump’s attempts to exert greater control over the management of the Federal Reserve, and Treasury Secretary Scott Bessent’s widely-publicized plans to find a replacement for Powell, whose term as Fed chair ends in May. But that is unlikely to feature in the actual discussions this week, with policymakers most likely remaining squarely focused on interest rate policy, according to Mester, a former voting member of the FOMC. “They’re really basing it on their best assessment… of where the economy is, where it’s likely (to) go, and how they can set monetary policy to achieve maximum employment and price stability,” she said. 

Jihadist fuel blockade makes daily life a struggle for Bamako residentsWed, 29 Oct 2025 13:17:38 GMT

In Bamako’s business district, hundreds of cars and motorcycles sit stranded day and night on a boulevard waiting for one of three side-by-side petrol stations to finally have fuel.Jihadists have rendered everyday life in the west African country increasingly impossible in recent weeks via a fuel blockade that has brought Mali to its knees.”I’ve been …

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A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Plus puissant ouragan en 90 ans, Melissa provoque des “dégâts considérables” à Cuba

L’ouragan Melissa, plus puissant à toucher terre en 90 ans, a causé des “dégâts considérables” à Cuba, selon le président de l’île où plus de 700.000 personnes ont été déplacées.”La nuit a été très complexe”, a déclaré le chef de l’État cubain Miguel Díaz-Canel sur son compte X, sans fournir plus de précisions concernant les dommages, mais en demandant aux Cubains “de rester bien à l’abri” en raison de l’ouragan toujours présent avec des vents très violents.Les rues de Santiago de Cuba, à l’est de l’île, sont inondées, jonchées de débris divers, des arbres sont à terre comme des poteaux électriques, constatent des journalistes de l’AFP sur place.Dans un hôtel de la ville où des vitres se sont brisées et des plafonds se sont écroulés, l’équipe de l’AFP ne peut encore sortir en raison de la force des vents et des nombreux débris qui tourbillonnent, mais a pu constater que de nombreuses maisons alentours sont inondées en raison de l’intensité des pluies accompagnant l’ouragan.La tempête évolue entre les catégories 3 et 5, la plus élevée sur l’échelle de Saffir-Simpson, avec des vents dépassant encore mercredi les 200 kilomètres heure, selon le Centre national américain des ouragans (NHC).”L’ouragan Melissa, extrêmement dangereux, touche la côte sud-est de Cuba”, a indiqué le NHC. Il doit ensuite toucher les Bahamas et les environs des Bermudes.- Record de 1935 -En frappant la Jamaïque mardi, Melissa a atteint le record de 1935 de l’ouragan le plus intense au moment de toucher terre, selon une analyse AFP des données météorologiques de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).Le record est détenu depuis 90 ans par l’ouragan Labor Day, qui a dévasté l’archipel des Keys, en Floride (sud-est des Etats-Unis), en 1935 avec des vents approchant également 300 km/h et une pression atmosphérique minimale de 892 millibars.Les autorités cubaines ont fait état de 735.000 personnes évacuées, notamment dans les provinces orientales de Santiago de Cuba, Holguín et Guantánamo. Elles ont déclaré “l’état d’alerte” dans six provinces de l’est de l’île. “Nous avons acheté du pain, des spaghettis, de la viande hachée. Ce cyclone est sérieux, mais nous allons nous en sortir”, a assuré à l’AFP Graciela Lamaison, à Santiago de Cuba.”Une maison s’est effondrée à Mariana de la Torre, mon Dieu, je vous en prie”, a pour sa part écrit un habitant de Santiago, la deuxième ville de l’île, sur Facebook. “Nous sommes tous en train d’être inondés”, a alerté une autre habitante de la ville.À El Cobre, (Santiago de Cuba), les secours tentaient de secourir 17 personnes bloquées par la montée des eaux et un glissement de terrain, selon les médias d’Etat.- “Les eaux emportent tout” -“Nous sommes à l’abri et essayons de rester calmes”, a déclaré, parmi les personnes isolées, le rhumatologue Lionnis Francos au site d’information officiel Cubadebate. Ce dernier n’a pas évoqué de pertes humaines.Deux enfants, cinq personnes âgées, des asthmatiques et des hypertendus figurent parmi les personnes bloquées. “Les secouristes sont arrivés rapidement. Ils nous ont appelés, mais n’ont pu traverser car la route est coupée”, a ajouté le médecin.Selon Cubadebate, “les eaux descendent en emportant tout sur leur passage” dans la chaîne montagneuse de la Sierra Maestra. Dans plusieurs autres communautés de la région, de vastes zones de basse altitude “sont inondées, mais l’obscurité et les limitations de mouvement empêchent de déterminer s’il y a des pertes”.En Haïti, à l’est de Cuba, les autorités ont ordonné la fermeture des écoles, commerces et administrations. Avant même de toucher terre en Jamaïque, l’ouragan y avait fait trois morts, ainsi que trois autres en Haïti et un en République dominicaine.Mardi, la Jamaïque avait été frappée de plein fouet, avec arbres et clôtures abattus, et routes défoncées. Selon Desmond McKenzie, ministre des collectivités locales, “plus de 530.000 Jamaïcains (…) sont privés d’électricité. Des travaux sont en cours pour rétablir notre service et donner la priorité aux (…) hôpitaux,  stations de pompage et stations de traitement des eaux”.Saint Elizabeth, paroisse du sud-ouest de l’île, peuplée par 150.000 personnes et “grenier à blé” de la Jamaïque, a été submergée. Les dégâts y “sont considérables (…), toute la Jamaïque a subi les effets dévastateurs de Melissa”, a ajouté le ministre. Plusieurs hôpitaux ont été endommagés.burs-cha-vla/dla/alv/thm