Les Bourses européennes terminent en recul

Les marchés boursiers européens ont terminé en repli mercredi, avant l’annonce, attendue dans la soirée, des hausses massives de droits de douane aux Etats-Unis promises par Donald Trump, qui pourraient faire chavirer l’économie mondiale.Paris a perdu 0,22%, Francfort 0,66%, Londres 0,30% et Milan 0,27%.

Cacao: le prix d’achat aux planteurs ivoiriens relevé de 22,2%, nouveau record

Le prix d’achat du cacao aux planteurs de Côte d’Ivoire, premier producteur mondial, a été relevé de 22,2%, à un montant record de 2.200 francs CFA (3,35 euros) le kilo, pour la récolte intermédiaire, après les niveaux historiques des cours mondiaux en 2024. La Côte d’Ivoire vend ses fèves de cacao par anticipation et le prix d’achat est fixé par l’Etat. Il est ainsi moins sensible aux fluctuations du marché – à la hausse comme à la baisse – que dans d’autres pays comme le Cameroun, producteur plus modeste, où le système est libéralisé.En septembre 2024, le prix d’achat pour la récolte principale avait été fixé à 1.800 francs CFA (2,7 euros), un montant déjà historique. En 2023, le prix était de 1.000 francs CFA (1,5 euro) le kilo. “Après analyse des composantes de la vente anticipée du cacao, le prix du kilogramme du cacao bien fermenté, bien grillé et bien séché a augmenté de 22,2% et est fixé à un prix record”, a annoncé le ministre de l’Agriculture Kobenan Kouassi Adjoumani, lors d’une cérémonie à Abidjan.”Je voudrais vous annoncer au nom du Président de la République que le kilogramme du cacao (…) est fixé à 2.200 francs CFA”, pour la récolte intermédiaire qui dure jusqu’à octobre, a-t-il ajouté.Par ailleurs le ministre Adjoumani a annoncé la mise en place effective de la couverture maladie universelle (CMU) pour les producteurs. Sur les 1.105.000 producteurs de cacao et de café recensés, 700.000 seront d’abord concernés par l’opération, car déjà inscrits auprès de l’Assurance maladie.A un peu plus de six mois de la prochaine présidentielle, Estelle Konan, porte-parole des producteurs a remercié le président Ouattara et s’est dite “soulagée” par ces annonces. Elle a toutefois pointé des problèmes qui ne sont “pas résolus”, sans donner davantage de détails. Les cours mondiaux du cacao ont flambé sur un an, dépassant en début d’année 2024 les 10.000 dollars la tonne, à New York. A Londres, le cours pour livraison en septembre 2024 a augmenté d’environ 170% sur un an. Ces cours sont très dépendants de la production de la Côte d’Ivoire et de son voisin le Ghana et les intempéries en 2024 avaient fait peser des craintes sur les récoltes poussant les cours à la hausse. Les prix ont atteint de tels sommets que la demande a été freinée. Et avec de meilleures perspectives de productions à venir, les cours ont légèrement reflué ces dernières semaines autour de 8.000 dollars la tonne à New York.Le cacao ivoirien représente 45% de la production mondiale (soit plus de 2 millions de tonnes) et compte pour 14% du PIB de ce pays d’Afrique de l’Ouest.

Le Pen: Macron et Bayrou apportent un soutien ferme à l’indépendance de la justice

Le président Emmanuel Macron et le Premier ministre François Bayrou ont apporté mercredi un soutien ferme à l’indépendance de la justice après la condamnation de Marine Le Pen qui a suscité des attaques du RN contre les juges, le calendrier étant accéléré pour permettre une décision en appel à l’été 2026. Lors du Conseil des ministres, le chef de l’Etat, qui ne s’était pas encore exprimé depuis la condamnation de lundi, s’est placé en “garant des institutions” en “rappelant” que “l’autorité judiciaire est indépendante” et que “les magistrats doivent être protégés et ont le droit d’être respectés”, selon son entourage. Il a également affirmé que “tous les justiciables ont droit au recours”, selon des participants, alors que la justice a déjà fait savoir qu’un nouveau procès en appel pourrait se tenir dans des délais qui laissent une porte ouverte à une éventuelle candidature présidentielle en 2027 de la leader du parti d’extrême droite.Pour sa part, François Bayrou a précisé devant les députés le fond de sa pensée sur le jugement de Marine Le Pen. Selon son entourage, il s’était dit “troublé” de la décision, en affirmant que ses “interrogations” portaient sur l’application immédiate (exécution provisoire) de la peine d’inéligibilité et non sur la peine elle-même.”S’il y a interrogation, c’est le Parlement qui doit s’en saisir” car cette disposition “c’est la loi”, a-t-il affirmé.Plusieurs membres du Rassemblement national ont salué l’annonce la veille par la cour d’appel de Paris qu’elle examinerait le dossier “dans des délais qui devraient permettre de rendre une décision à l’été 2026″, soit de longs mois avant la présidentielle.”C’est une très bonne nouvelle dans laquelle je veux voir le trouble qu’a créé le jugement”, a aussitôt réagi dans Le Parisien Marine Le Pen, condamnée en première instance à cinq ans d’inéligibilité immédiate, quatre ans d’emprisonnement, dont deux ferme aménagés sous bracelet électronique (elle n’ira pas en prison), et à une amende de 100.000 euros.”Au plus vite la décision sera définitive, plus vite on sera fixé, mieux c’est pour notre débat démocratique”, a de son côté commenté le chef des députés LR Laurent Wauquiez sur TF1.Pour Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, cette décision prouve qu'”il n’y a aucun complot contre Madame Le Pen” qui va pouvoir “épuiser les voies de recours”.- “Désaveu” -L’avocat de Mme Le Pen a pour sa part estimé que la décision de la cour d’appel de Paris d’accélérer son calendrier, “totalement exceptionnelle”, constituait un “désaveu” du jugement en première instance.”La première décision est tellement difficilement défendable en ce qu’elle a été disproportionnée, que l’institution judiciaire éprouve le besoin de tenter de réparer en obtenant un audiencement absolument hors normes”, a déclaré Me Rodolphe Bosselut sur BFMTV.Les délais à Paris pour organiser les procès en appel sont habituellement plutôt de 18 mois à deux ans.Rien ne garantit toutefois que la cour d’appel rende une décision différente de celle du tribunal, qui a considéré qu’il y avait bien eu un “système” entre 2004 et 2016 pour faire des “économies” au RN en payant avec l’argent du Parlement européen des assistants d’eurodéputés travaillant pour le parti. Le préjudice total est évalué à 4,1 millions d’euros.Outre Marine Le Pen et le parti, 23 personnes ont été condamnées lundi dans ce dossier.- L’exécution provisoire dans le viseur -Dans ce contexte, le RN veut s’en prendre au principe de l'”exécution provisoire” pour les peines d’inéligibilité, qui rend celles-ci immédiatement applicables, sans attendre que les recours soient épuisés.Dans Le Parisien, Marine Le Pen a annoncé vouloir “saisir le Conseil constitutionnel par une question prioritaire de constitutionnalité (QPC)” sur “l’incompatibilité qu’il y a entre une décision d’inéligibilité avec exécution provisoire et la liberté des électeurs qui est inscrite dans la Constitution”. Elle a aussi dit vouloir saisir la Cour européenne des droits de l’Homme “en référé” pour faire valoir que le jugement “crée un préjudice irréparable”.Mais le parti d’extrême droite compte aussi sur une proposition de loi que compte déposer Eric Ciotti, patron des députés UDR à l’Assemblée et allié du RN, pour supprimer cette exécution provisoire.Le RN organise dimanche à Paris une manifestation de soutien à Marine le Pen. “Ce n’est pas un coup de force, c’est au contraire une défense très claire et très profonde de l’état de droit et de la démocratie française”, a assuré mercredi le président du parti Jordan Bardella à des journalistes au Parlement européen à Strasbourg.

Le Pen: Macron et Bayrou apportent un soutien ferme à l’indépendance de la justice

Le président Emmanuel Macron et le Premier ministre François Bayrou ont apporté mercredi un soutien ferme à l’indépendance de la justice après la condamnation de Marine Le Pen qui a suscité des attaques du RN contre les juges, le calendrier étant accéléré pour permettre une décision en appel à l’été 2026. Lors du Conseil des ministres, le chef de l’Etat, qui ne s’était pas encore exprimé depuis la condamnation de lundi, s’est placé en “garant des institutions” en “rappelant” que “l’autorité judiciaire est indépendante” et que “les magistrats doivent être protégés et ont le droit d’être respectés”, selon son entourage. Il a également affirmé que “tous les justiciables ont droit au recours”, selon des participants, alors que la justice a déjà fait savoir qu’un nouveau procès en appel pourrait se tenir dans des délais qui laissent une porte ouverte à une éventuelle candidature présidentielle en 2027 de la leader du parti d’extrême droite.Pour sa part, François Bayrou a précisé devant les députés le fond de sa pensée sur le jugement de Marine Le Pen. Selon son entourage, il s’était dit “troublé” de la décision, en affirmant que ses “interrogations” portaient sur l’application immédiate (exécution provisoire) de la peine d’inéligibilité et non sur la peine elle-même.”S’il y a interrogation, c’est le Parlement qui doit s’en saisir” car cette disposition “c’est la loi”, a-t-il affirmé.Plusieurs membres du Rassemblement national ont salué l’annonce la veille par la cour d’appel de Paris qu’elle examinerait le dossier “dans des délais qui devraient permettre de rendre une décision à l’été 2026″, soit de longs mois avant la présidentielle.”C’est une très bonne nouvelle dans laquelle je veux voir le trouble qu’a créé le jugement”, a aussitôt réagi dans Le Parisien Marine Le Pen, condamnée en première instance à cinq ans d’inéligibilité immédiate, quatre ans d’emprisonnement, dont deux ferme aménagés sous bracelet électronique (elle n’ira pas en prison), et à une amende de 100.000 euros.”Au plus vite la décision sera définitive, plus vite on sera fixé, mieux c’est pour notre débat démocratique”, a de son côté commenté le chef des députés LR Laurent Wauquiez sur TF1.Pour Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, cette décision prouve qu'”il n’y a aucun complot contre Madame Le Pen” qui va pouvoir “épuiser les voies de recours”.- “Désaveu” -L’avocat de Mme Le Pen a pour sa part estimé que la décision de la cour d’appel de Paris d’accélérer son calendrier, “totalement exceptionnelle”, constituait un “désaveu” du jugement en première instance.”La première décision est tellement difficilement défendable en ce qu’elle a été disproportionnée, que l’institution judiciaire éprouve le besoin de tenter de réparer en obtenant un audiencement absolument hors normes”, a déclaré Me Rodolphe Bosselut sur BFMTV.Les délais à Paris pour organiser les procès en appel sont habituellement plutôt de 18 mois à deux ans.Rien ne garantit toutefois que la cour d’appel rende une décision différente de celle du tribunal, qui a considéré qu’il y avait bien eu un “système” entre 2004 et 2016 pour faire des “économies” au RN en payant avec l’argent du Parlement européen des assistants d’eurodéputés travaillant pour le parti. Le préjudice total est évalué à 4,1 millions d’euros.Outre Marine Le Pen et le parti, 23 personnes ont été condamnées lundi dans ce dossier.- L’exécution provisoire dans le viseur -Dans ce contexte, le RN veut s’en prendre au principe de l'”exécution provisoire” pour les peines d’inéligibilité, qui rend celles-ci immédiatement applicables, sans attendre que les recours soient épuisés.Dans Le Parisien, Marine Le Pen a annoncé vouloir “saisir le Conseil constitutionnel par une question prioritaire de constitutionnalité (QPC)” sur “l’incompatibilité qu’il y a entre une décision d’inéligibilité avec exécution provisoire et la liberté des électeurs qui est inscrite dans la Constitution”. Elle a aussi dit vouloir saisir la Cour européenne des droits de l’Homme “en référé” pour faire valoir que le jugement “crée un préjudice irréparable”.Mais le parti d’extrême droite compte aussi sur une proposition de loi que compte déposer Eric Ciotti, patron des députés UDR à l’Assemblée et allié du RN, pour supprimer cette exécution provisoire.Le RN organise dimanche à Paris une manifestation de soutien à Marine le Pen. “Ce n’est pas un coup de force, c’est au contraire une défense très claire et très profonde de l’état de droit et de la démocratie française”, a assuré mercredi le président du parti Jordan Bardella à des journalistes au Parlement européen à Strasbourg.

Le Pen: Macron et Bayrou apportent un soutien ferme à l’indépendance de la justice

Le président Emmanuel Macron et le Premier ministre François Bayrou ont apporté mercredi un soutien ferme à l’indépendance de la justice après la condamnation de Marine Le Pen qui a suscité des attaques du RN contre les juges, le calendrier étant accéléré pour permettre une décision en appel à l’été 2026. Lors du Conseil des ministres, le chef de l’Etat, qui ne s’était pas encore exprimé depuis la condamnation de lundi, s’est placé en “garant des institutions” en “rappelant” que “l’autorité judiciaire est indépendante” et que “les magistrats doivent être protégés et ont le droit d’être respectés”, selon son entourage. Il a également affirmé que “tous les justiciables ont droit au recours”, selon des participants, alors que la justice a déjà fait savoir qu’un nouveau procès en appel pourrait se tenir dans des délais qui laissent une porte ouverte à une éventuelle candidature présidentielle en 2027 de la leader du parti d’extrême droite.Pour sa part, François Bayrou a précisé devant les députés le fond de sa pensée sur le jugement de Marine Le Pen. Selon son entourage, il s’était dit “troublé” de la décision, en affirmant que ses “interrogations” portaient sur l’application immédiate (exécution provisoire) de la peine d’inéligibilité et non sur la peine elle-même.”S’il y a interrogation, c’est le Parlement qui doit s’en saisir” car cette disposition “c’est la loi”, a-t-il affirmé.Plusieurs membres du Rassemblement national ont salué l’annonce la veille par la cour d’appel de Paris qu’elle examinerait le dossier “dans des délais qui devraient permettre de rendre une décision à l’été 2026″, soit de longs mois avant la présidentielle.”C’est une très bonne nouvelle dans laquelle je veux voir le trouble qu’a créé le jugement”, a aussitôt réagi dans Le Parisien Marine Le Pen, condamnée en première instance à cinq ans d’inéligibilité immédiate, quatre ans d’emprisonnement, dont deux ferme aménagés sous bracelet électronique (elle n’ira pas en prison), et à une amende de 100.000 euros.”Au plus vite la décision sera définitive, plus vite on sera fixé, mieux c’est pour notre débat démocratique”, a de son côté commenté le chef des députés LR Laurent Wauquiez sur TF1.Pour Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, cette décision prouve qu'”il n’y a aucun complot contre Madame Le Pen” qui va pouvoir “épuiser les voies de recours”.- “Désaveu” -L’avocat de Mme Le Pen a pour sa part estimé que la décision de la cour d’appel de Paris d’accélérer son calendrier, “totalement exceptionnelle”, constituait un “désaveu” du jugement en première instance.”La première décision est tellement difficilement défendable en ce qu’elle a été disproportionnée, que l’institution judiciaire éprouve le besoin de tenter de réparer en obtenant un audiencement absolument hors normes”, a déclaré Me Rodolphe Bosselut sur BFMTV.Les délais à Paris pour organiser les procès en appel sont habituellement plutôt de 18 mois à deux ans.Rien ne garantit toutefois que la cour d’appel rende une décision différente de celle du tribunal, qui a considéré qu’il y avait bien eu un “système” entre 2004 et 2016 pour faire des “économies” au RN en payant avec l’argent du Parlement européen des assistants d’eurodéputés travaillant pour le parti. Le préjudice total est évalué à 4,1 millions d’euros.Outre Marine Le Pen et le parti, 23 personnes ont été condamnées lundi dans ce dossier.- L’exécution provisoire dans le viseur -Dans ce contexte, le RN veut s’en prendre au principe de l'”exécution provisoire” pour les peines d’inéligibilité, qui rend celles-ci immédiatement applicables, sans attendre que les recours soient épuisés.Dans Le Parisien, Marine Le Pen a annoncé vouloir “saisir le Conseil constitutionnel par une question prioritaire de constitutionnalité (QPC)” sur “l’incompatibilité qu’il y a entre une décision d’inéligibilité avec exécution provisoire et la liberté des électeurs qui est inscrite dans la Constitution”. Elle a aussi dit vouloir saisir la Cour européenne des droits de l’Homme “en référé” pour faire valoir que le jugement “crée un préjudice irréparable”.Mais le parti d’extrême droite compte aussi sur une proposition de loi que compte déposer Eric Ciotti, patron des députés UDR à l’Assemblée et allié du RN, pour supprimer cette exécution provisoire.Le RN organise dimanche à Paris une manifestation de soutien à Marine le Pen. “Ce n’est pas un coup de force, c’est au contraire une défense très claire et très profonde de l’état de droit et de la démocratie française”, a assuré mercredi le président du parti Jordan Bardella à des journalistes au Parlement européen à Strasbourg.

Tesla first quarter sales sink amid anger over Musk politics

Tesla reported a 13 percent drop in first quarter auto sales Wednesday amid lower production during factory upgrades and blowback over CEO Elon Musk’s work for President Donald Trump’s administration.Musk’s electric vehicle company delivered 336,681 autos in the quarter ending March 31, missing analyst expectations, as it pointed to the “loss of several weeks of production” while it ramps up upgrades for its Model Y output.Tesla shares fell more than six percent in early trading but later partially rebounded.The weak car sales add to questions about Musk’s continued stewardship at the automaker, which has been targeted for consumer boycotts and vandalism as the billionaire has helped engineer thousands of job cuts across the US government.Wedbush’s Dan Ives, a prominent technology analyst who has been a longtime believer in Tesla’s growth potential, called the figures “a disaster on every metric,” according to a note.”It’s a fork in the road moment,” said Ives, who has called for Musk to publicly outline how he is balancing his Tesla commitments with his work for Trump.”The more political he gets… the more the brand suffers, there is no debate. This quarter was an example of the damage Musk is causing Tesla,” he added.”This continues to be a moment of truth for Musk to navigate this brand tornado crisis moment and get onto the other side of this dark chapter for Tesla.”Ives and other long-term Tesla bulls have viewed the company as poised for potentially massive growth, viewing Musk as a guru in state-of-the-art autonomous driving and artificial intelligence technology expected to play a growing role for the foreseeable future.While Tesla’s release Wednesday did not break out sales for the Cybertruck, the figures suggest anemic sales for the futuristic vehicle, which Musk has passionately embraced. In March, Tesla announced it was recalling essentially all of the Cybertrucks because of a defect that can lead an exterior panel to detach, posing a crash risk.Tesla also did not specify deliveries by country, but figures from national auto authorities have shown big drops across Europe, where Musk’s association with Trump has sparked criticism.In March alone, Tesla sales fell by more than one-third in France, and almost two-thirds in Sweden. Sales fell 56 percent in Denmark in the first quarter.Tesla shareholder Ross Gerber of Gerber Kawasaki Wealth and Investment Management, who has previously called for the board to remove Musk as CEO, slammed the figure on X, the former Twitter platform now owned by Musk.”These numbers suck,” Gerber posted. “The Cybertruck is basically not selling. The brand is broken and may not be fixable. The board of directors is 100 percent responsible.”Near 1440 GMT, Tesla shares were down 2.7 percent. 

Jeu vidéo: Nintendo sortira la console Switch 2 le 5 juin

La console Switch 2 sera disponible le 5 juin, a annoncé mercredi le géant japonais des jeux vidéo Nintendo lors d’une vidéo de présentation.Cette nouvelle machine, qui succède à la première Switch lancée en 2017 et écoulée à plus de 150 millions d’exemplaires dans le monde, conserve son concept de console hybride jouable aussi bien en déplacement que connectée à une télévision. Sur son site internet, le groupe a ensuite dévoilé son prix, fixé à 469,99 euros en Europe (449,99 dollars aux Etats-Unis), alors que sa devancière avait été lancée à 329,99 euros.”La Switch 2 représente la prochaine étape du jeu à domicile, accessible partout, grâce à huit années de jeu et de découvertes qui ont débuté avec la Nintendo Switch”, a assuré le président de Nintendo, Shuntaro Furukawa, dans un communiqué.La Switch 2 disposera notamment d’un écran plus grand, de manettes amovibles et magnétiques pouvant être utilisées comme une souris et d’une fonctionnalité, baptisée “Game Chat”, permettant de discuter avec d’autres joueurs en direct, a détaillé Nintendo lors d’un “Direct” suivi par près de 4 millions de personnes. Parmi les jeux disponibles à son lancement, on trouvera “Mario Kart World”, développé exclusivement pour la Switch 2 et qui ajoute un volet à une des séries les plus populaires du groupe.Avec plus de 75 millions d’exemplaires écoulés sur Wii U et Switch, son prédécesseur “Mario Kart 8” est en effet le deuxième jeu le plus vendu l’histoire de l’entreprise, s’approchant du record établi par Wii Sports (82 millions).Ont également été présentés “Donkey Kong Bananza”, jeu d’aventure en 3D avec le célèbre singe de l’univers Nintendo prévu pour le 17 juillet, “Kirby Air Riders”, par le créateur de la série “Smash Bros” et le nouveau “Hyrule Warriors”, série annexe à la saga Zelda.Les exemplaires physiques des jeux coûteront entre 80 et 90 euros, soit 10 euros de plus que leur version numérique.Cette nouvelle console ne signe pas une révolution pour Nintendo comme ce fut le cas en 2006, avec la reconnaissance des mouvements introduite par la Wii, ou, dans une moindre mesure, la manette-écran de la Wii U en 2012. -“Meilleure performance” – “Je pense que ce que (les joueurs) désirent avant tout, c’est simplement une meilleure performance”, a assuré Hideki Yasuda, analyste pour l’entreprise japonaise Toyo Securities.L’expert estime que 6 millions de consoles seront disponibles dès le lancement. A terme, Nintendo pourrait écouler 19 millions d’unités sur l’exercice fiscal 2025 et 21 millions l’année suivante, selon Toyo Securities.Réussir ce lancement est “fondamental” pour la survie du constructeur, a rappelé Piers Harding-Rolls, expert pour le cabinet britannique Ampere Analysis, car malgré une stratégie de diversification ces dernières années dans le cinéma et les parcs d’attractions, l’activité de Nintendo repose encore essentiellement sur les jeux vidéo.Par ailleurs, l’incertitude autour des tarifs douaniers américains inquiète, même si Nintendo a récemment renforcé sa production au Vietnam, dont les exportations vers les Etats-Unis sont soumis à des droits de douanes minimes.- Coup de fouet -Alors que l’industrie du jeu vidéo connait une crise de croissance à travers le monde, marquée par des vagues de licenciements, l’arrivée de la Switch 2 devrait redonner un coup de fouet aux ventes de consoles, en perte de vitesse.Celles-ci ont reculé de 35% en 2024 en France et aux Etats-Unis, selon les chiffres fournis par le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell) et le cabinet spécialisé américain Circana.L’annonce récente par la marque de la possibilité de prêter les versions numériques des titres Switch à son entourage via des “cartes de jeu virtuelles” pourrait également être un moyen d’inciter les consommateurs à investir dans une deuxième console en facilitant les échanges.Dès vendredi, de premiers joueurs tirés au sort pourront tester la nouvelle console au Grand Palais à Paris, dans le cadre d’une série d’événements organisés dans plusieurs villes à travers le monde, comme New York et Tokyo.

Jean-Marc Aveline, nouveau visage d’une Eglise de France aux nombreux défis

L’archevêque de Marseille Jean-Marc Aveline a été élu mercredi à la tête de la Conférence des évêques de France, devenant le nouveau visage d’une Église confrontée à de nombreux défis, entre lutte contre les violences sexuelles et déchristianisation de la société.Élu pour une durée de trois ans, Mgr Aveline, cardinal à la ligne proche du pape François et figure emblématique de la cité phocéenne, faisait figure de favori. Il a d’ailleurs été élu au premier tour par les évêques réunis à Lourdes en assemblée plénière, a précisé la CEF, ce qui signifie qu’il a très vite réuni sur son nom la majorité nécessaire des deux tiers des voix.Cet homme décrit comme “très apprécié” au sein de l’Église succèdera à partir du 1er juillet à Éric de Moulins-Beaufort qui arrive au terme de ses deux mandats.L’archevêque de Marseille prendra alors un poste exposé et délicat: visage de l’Église de France et interlocuteur des pouvoirs publics, le président de la CEF n’a pas autorité sur les autres évêques qui dépendent directement du Vatican.L’un de ses dossiers principaux restera la question des violences sexuelles dans l’Église, sujet toujours d’actualité comme l’ont rappelé les deux jours de colloque organisés lundi et mardi à Lourdes, émaillés d’interventions de victimes de Notre-Dame de Bétharram.”La question de l’enseignement catholique va nous occuper”, estime ainsi un évêque.Éric de Moulins-Beaufort, qui a mené une action volontariste contre les violences sexuelles, a assuré mardi n’avoir “pas d’inquiétude” sur la détermination de l’Église à continuer sur la même voie.L’assemblée plénière de la CEF doit d’ailleurs présenter vendredi une instance de réparation pour les victimes majeures. Deux instances existent déjà pour les victimes mineures.- Laïcité -Le prochain président de la CEF devra aussi piloter une Église qui est l’objet d’un regain d’intérêt, notamment chez les jeunes, avec une hausse des baptisés perceptible ces dernières années, d’autant plus remarquée que l’Église est en perte de vitesse structurelle.”On est à un moment de croisement des courbes, avec un effacement du catholicisme sociologique et une montée du catholicisme d’adhésion”, affirme un évêque.À charge pour le nouveau patron de la CEF de faire prospérer ce frémissement, l’engouement initial se heurtant souvent à un manque d’accompagnement des nouveaux venus.La crise des L’archevêque de Marseille vocations comme la question de l’organisation des diocèses restent aussi des questions à résoudre.Prenant ses fonctions en cette année marquant les 120 ans de la loi de 1905 sur la laïcité, l’archevêque de Marseille devra aussi porter la voix de l’Église dans les débats de société comme la fin de vie, et dans la période politique cruciale de l’élection présidentielle de 2027.Or Jean-Marc Aveline, qui a été fait cardinal par le pape dont il partage la ligne sur la question des migrants, a un agenda déjà chargé: outre son diocèse, important et éloigné de Paris, il est aussi membre de deux dicastères (l’équivalent d’un ministère pour le Saint-Siège), ce qui l’appelle très régulièrement à Rome. Il s’est même progressivement fait une place au Vatican, au point de rejoindre les listes – très aléatoires – de “papabile”.Cette configuration pourrait donner une importance accrue à ses deux vice-présidents, qui seront élus jeudi matin.Une conférence de presse de la présidence élue est prévue jeudi à 14H00.Par ailleurs mercredi matin, Christophe Le Sourt a été nommé secrétaire général de la CEF, en remplacement d’Hugues de Woillemont, nommé directeur général de L’Œuvre de l’Orient. Il était jusqu’ici délégué aux relations avec le judaïsme au sein de la CEF.Parmi tous les postes soumis au vote se trouvent ceux du Conseil pour l’enseignement catholique, fonctions très exposées alors que les révélations se succèdent sur Notre-Dame de Bétharram et d’autres établissement catholiques.

Gaza rescuers say nine children among dead in Israel strike on UN building

The Israeli army said it targeted Hamas militants in a strike on a UN building in Jabalia refugee camp Wednesday that Gaza’s civil defence agency said killed 19 people, nine of them children.The army said in a statement that it struck the militants “inside a command and control centre that was being used for coordinating terrorist activity”. It separately confirmed to AFP the building housed a UN clinic.Civil defence spokesman Mahmud Bassal said there were also dozens of people wounded in the strike which “targeted an UNRWA building housing a medical clinic”.The UN agency for Palestinian refugees (UNRWA) said in a statement that the strike hit “two rooms on the first floor of an UNRWA destroyed health centre” which had been used as a shelter for 160 displaced families.”Many displaced families have not left the site, simply because they have absolutely nowhere else to go,” the statement said.It added that UNRWA staff “were managing the shelter when it was hit today” at 10 am, and highlighted that the agency had shared the building’s coordinates with the army.The military said that “the compound was used by Hamas’s Jabalia Battalion to plan terror attacks”, and accused the Palestinian group of “exploiting the civilian population as a human shield”.The Ramallah-based Palestinian foreign ministry condemned the “massacre at the UNRWA clinic in Jabalia”, calling for “serious international pressure” to halt Israel’s widening offensive.The Islamic Jihad militant group, a Hamas ally, called the bombing a “blatant war crime”.Israel has on several occasions conducted strikes on UNRWA buildings housing displaced people in Gaza, where fighting has raged for most of the past 18 months.A strike on the United Nations-run Al-Jawni school in central Gaza on September 11 drew international outcry after UNRWA said six of its staff were among the 18 people reported killed.The Israeli military accuses Hamas of hiding in civilian buildings where thousands of Gazans have sought shelter — a charge the Palestinian militant group denies.Israel resumed major air strikes on the Palestinian territory on March 18, after talks on next steps in a six-week truce broke down.It conducted air strikes on southern and central Gaza on Wednesday that the civil defence agency said killed at least 15 people, including children, in the city of Khan Yunis and Nuseirat refugee camp.Since March 18, at least 1,042 people have been killed in Gaza, according to figures last updated by the Hamas-run health ministry on Tuesday.In total, 50,399 people have been killed since the start of the war triggered by Hamas’s October 2023 attack, according to the ministry’s figures, which the United Nations views as reliable.