US stocks fall on Trump tariff concerns, European defense firms soar

US stocks closed sharply lower Monday, after President Donald Trump slapped fresh sanctions against China and levies on Mexico and Canada neared imposition, while European defense shares soared as the European Union sought increased military spending over Ukraine.The White House said Trump had signed an executive order raising tariffs on China to 20 percent, shortly after Trump seemed to rule out any change to the planned 25 percent tariffs against Mexico and Canada. “The tariffs, you know, they’re all set, they go into effect tomorrow,” Trump said at the White House when a reporter asked whether the levies against the two US trading partners would come into force on Tuesday.The Dow Jones Industrial Average slipped 1.5 percent, while the broad-based S&P lost 1.8 percent, and the tech-rich Nasdaq took a harsher tumble, closing down 2.6 percent. The CBOE Volatility Index, or VIX — colloquially known as Wall Street’s “fear gauge” — surged, hitting its highest level since December.But despite the uncertainty, “the backdrop remains a favorable one,” Angelo Kourkafas from Edward Jones told AFP.Monday’s trading, he added, was “consistent with the choppiness we have seen over the past three months” in the financial markets.- European defense stocks surge -In Europe, BAE Systems surged 14 percent, helping London’s benchmark FTSE 100 index to a record high, the latest in a series over recent months.French defense group Thales won more than 16 percent and German peer Rheinmetall rallied 15 percent.”Europe is rallying round Ukraine and it’s hard to see defense stocks not enjoying years of orders,” noted Neil Wilson, analyst at TipRanks.European Commission chief Ursula von der Leyen warned on Sunday that “we urgently have to rearm Europe” as leaders from the continent met in London for crisis talks over Ukraine.”It’s important we prepare for the worst,” she said, a few days after British Prime Minister Keir Starmer pledged to boost UK defense spending to 2.5 percent of economic output by 2027.In Germany, the two parties hoping to form the next government are planning to invest hundreds of billions of euros into defense and infrastructure when in power, the Bild newspaper reported Sunday.The DAX jumped 2.6 percent, setting a record high, with shares in carmakers jumping after the EU signaled it will give them greater leeway in meeting lower CO2 emissions targets.Asian stock markets largely gained Monday, with investors eyeing a potential Chinese stimulus package while bracing for US tariffs.Hong Kong and Shanghai stock markets shed early gains ahead of the key Chinese parliamentary meeting that opens on Wednesday, while Tokyo closed up 1.7 percent.Chinese stocks had been boosted in part by data released on Saturday that showed manufacturing activity grew in February after a dip the previous month.Hong Kong was helped by the blockbuster IPO of bubble-tea and drinks giant Mixue Group, which saw its shares jump 40 percent.- Key figures around 2145 GMT -New York – Dow: DOWN 1.5 percent at 43,191.24 points (close) New York – S&P 500: DOWN 1.8 percent at 5,849.72 (close) New York – Nasdaq Composite: DOWN 2.6 percent at 18,350.19 (close) London – FTSE 100: UP 0.7 percent at 8,871.31 (close) Paris – CAC 40: UP 1.1 percent at 8,199.71 (close)Frankfurt – DAX: UP 2.6 percent at 23,147.02 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.7 percent at 37,785.47 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 23,006.27 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,316.93 (close)Euro/dollar: UP at $1.0485 from $1.0384 on FridayPound/dollar: UP at $1.2700 from $1.2584 Dollar/yen: DOWN at 149.47 from 149.52 yenEuro/pound: UP at 82.56 pence from 82.51 pence West Texas Intermediate: DOWN 2.0 percent at $68.37 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.1 percent at $71.62 per barrelburs-rl-da-tmc/jgc

Trump s’impatiente et accroît la pression sur Zelensky

Donald Trump a encore accentué lundi ses menaces contre Volodymyr Zelensky, qu’il suspecte de ne “pas vouloir la paix” avec la Russie, tout en assurant qu’un accord sur les minerais ukrainiens pouvait encore être conclu.Pour sa part, le président ukrainien a martelé qu’il voulait la fin de la guerre avec Moscou “le plus vite possible”, alors que les retombées de la spectaculaire altercation avec le président américain vendredi à la Maison Blanche se font toujours sentir.”Cela ne devrait pas être si difficile de trouver un accord. Et cet accord pourrait avoir lieu très vite”, a affirmé Donald Trump lors d’un bref échange lundi avec des journalistes.”Maintenant, peut-être qu’il y a quelqu’un qui ne veut pas trouver d’accord, et si ce quelqu’un ne veut pas d’accord, je pense que cette personne ne sera plus là très longtemps”, a-t-il ajouté.Le président américain a aussi jugé que son homologue ukrainien devrait être davantage “reconnaissant” pour l’aide des Etats-Unis.Mais il a aussi estimé que l’accord sur l’accès aux minerais ukrainiens, que Volodymyr Zelensky était censé signer à Washington vendredi, pouvait encore être conclu.De son côté, le chef de l’Etat ukrainien a estimé sur X qu’il était “très important que nous essayions de rendre notre diplomatie vraiment substantielle pour mettre fin à cette guerre le plus vite possible.”Et, dans une vidéo publiée lundi soir, il a réitéré son appel à fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité.”C’est l’absence de garanties de sécurité pour l’Ukraine il y a 11 ans qui a permis à la Russie de commencer l’occupation de la Crimée et la guerre dans le Donbass, puis l’absence de garanties de sécurité a permis à la Russie de lancer une invasion à grande échelle”, a-t-il dit.- “La pire chose” -Réagissant plus tôt à une déclaration faite dimanche à Londres, dans laquelle M. Zelensky estimait “qu’un accord mettant fin à la guerre (était) très très lointain”, Donald Trump l’a menacé de “ne plus tolérer très longtemps” cette position. “C’est la pire chose que Zelensky pouvait dire et l’Amérique ne va plus tolérer ça très longtemps”, a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social. “Ce gars ne veut pas de paix tant qu’il a le soutien de l’Amérique”, a déclaré Donald Trump, qui avait menacé vendredi de “laisser tomber” l’Ukraine s’il ne se faisait pas plus conciliant.Comme en écho aux propos du président américain, le Kremlin, qui avait ordonné en février 2022 l’invasion de l’Ukraine, a assuré lundi qu’il fallait “forcer Zelensky” car “il ne veut pas la paix”.Quant aux alliés européens de Kiev, le président français Emmanuel Macron a évoqué l’idée dimanche d’une première trêve d’un mois “dans les airs, sur les mers et les infrastructures énergétiques”, une initiative sur laquelle Londres a aussitôt souligné qu’il n’y avait “pas d’accord” à ce stade.Un sommet à Bruxelles jeudi sera consacré à l’Ukraine et aux questions de sécurité européenne.Mais “ce sera un échec pour tout le monde si l’Ukraine est forcée à un cessez-le-feu sans de sérieuses garanties de sécurité”, a souligné Volodymyr Zelensky dans la nuit de dimanche à lundi.- L’avancée des Russes ralentit -Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a de son côté souligné lundi que, plus de 35 ans après la chute des régimes communistes soutenus par Moscou en Europe, “jamais le risque d’une guerre sur le continent européen, dans l’Union européenne, n’a été aussi élevé”.Invités par le Premier ministre britannique Keir Starmer, quinze dirigeants européens, dont Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz, ont affiché dimanche leur engagement à soutenir Kiev et à se réarmer face à la Russie.Sur le terrain, la guerre continue de semer la mort et la dévastation.Le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, a indiqué lundi qu'”un missile balistique Iskander-M avec munitions à fragmentation” avait frappé samedi un centre d’entraînement de l’armée de terre dans la région de Dnipropetrovsk, à plus de 100 km de la ligne de front, faisant “des morts et des blessés”.Selon un blogueur militaire ukrainien, entre 30 et 40 soldats ont été tués et jusqu’à 90 ont été blessés.Par ailleurs, une infrastructure pétrolière a pris feu lundi soir dans la région russe de Rostov, frontalière de l’Ukraine, après une attaque de drones, a indiqué le gouverneur régional par intérim, Iouri Slioussar.Mais, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), l’avancée russe dans l’est de l’Ukraine a de nouveau ralenti, avec un gain de seulement 389 km2 en février, après 431 km2 en janvier, 476 km2 en décembre et un pic à 725 km2 en novembre.

Trump s’impatiente et accroît la pression sur Zelensky

Donald Trump a encore accentué lundi ses menaces contre Volodymyr Zelensky, qu’il suspecte de ne “pas vouloir la paix” avec la Russie, tout en assurant qu’un accord sur les minerais ukrainiens pouvait encore être conclu.Pour sa part, le président ukrainien a martelé qu’il voulait la fin de la guerre avec Moscou “le plus vite possible”, alors que les retombées de la spectaculaire altercation avec le président américain vendredi à la Maison Blanche se font toujours sentir.”Cela ne devrait pas être si difficile de trouver un accord. Et cet accord pourrait avoir lieu très vite”, a affirmé Donald Trump lors d’un bref échange lundi avec des journalistes.”Maintenant, peut-être qu’il y a quelqu’un qui ne veut pas trouver d’accord, et si ce quelqu’un ne veut pas d’accord, je pense que cette personne ne sera plus là très longtemps”, a-t-il ajouté.Le président américain a aussi jugé que son homologue ukrainien devrait être davantage “reconnaissant” pour l’aide des Etats-Unis.Mais il a aussi estimé que l’accord sur l’accès aux minerais ukrainiens, que Volodymyr Zelensky était censé signer à Washington vendredi, pouvait encore être conclu.De son côté, le chef de l’Etat ukrainien a estimé sur X qu’il était “très important que nous essayions de rendre notre diplomatie vraiment substantielle pour mettre fin à cette guerre le plus vite possible.”Et, dans une vidéo publiée lundi soir, il a réitéré son appel à fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité.”C’est l’absence de garanties de sécurité pour l’Ukraine il y a 11 ans qui a permis à la Russie de commencer l’occupation de la Crimée et la guerre dans le Donbass, puis l’absence de garanties de sécurité a permis à la Russie de lancer une invasion à grande échelle”, a-t-il dit.- “La pire chose” -Réagissant plus tôt à une déclaration faite dimanche à Londres, dans laquelle M. Zelensky estimait “qu’un accord mettant fin à la guerre (était) très très lointain”, Donald Trump l’a menacé de “ne plus tolérer très longtemps” cette position. “C’est la pire chose que Zelensky pouvait dire et l’Amérique ne va plus tolérer ça très longtemps”, a écrit M. Trump sur son réseau Truth Social. “Ce gars ne veut pas de paix tant qu’il a le soutien de l’Amérique”, a déclaré Donald Trump, qui avait menacé vendredi de “laisser tomber” l’Ukraine s’il ne se faisait pas plus conciliant.Comme en écho aux propos du président américain, le Kremlin, qui avait ordonné en février 2022 l’invasion de l’Ukraine, a assuré lundi qu’il fallait “forcer Zelensky” car “il ne veut pas la paix”.Quant aux alliés européens de Kiev, le président français Emmanuel Macron a évoqué l’idée dimanche d’une première trêve d’un mois “dans les airs, sur les mers et les infrastructures énergétiques”, une initiative sur laquelle Londres a aussitôt souligné qu’il n’y avait “pas d’accord” à ce stade.Un sommet à Bruxelles jeudi sera consacré à l’Ukraine et aux questions de sécurité européenne.Mais “ce sera un échec pour tout le monde si l’Ukraine est forcée à un cessez-le-feu sans de sérieuses garanties de sécurité”, a souligné Volodymyr Zelensky dans la nuit de dimanche à lundi.- L’avancée des Russes ralentit -Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a de son côté souligné lundi que, plus de 35 ans après la chute des régimes communistes soutenus par Moscou en Europe, “jamais le risque d’une guerre sur le continent européen, dans l’Union européenne, n’a été aussi élevé”.Invités par le Premier ministre britannique Keir Starmer, quinze dirigeants européens, dont Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz, ont affiché dimanche leur engagement à soutenir Kiev et à se réarmer face à la Russie.Sur le terrain, la guerre continue de semer la mort et la dévastation.Le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, a indiqué lundi qu'”un missile balistique Iskander-M avec munitions à fragmentation” avait frappé samedi un centre d’entraînement de l’armée de terre dans la région de Dnipropetrovsk, à plus de 100 km de la ligne de front, faisant “des morts et des blessés”.Selon un blogueur militaire ukrainien, entre 30 et 40 soldats ont été tués et jusqu’à 90 ont été blessés.Par ailleurs, une infrastructure pétrolière a pris feu lundi soir dans la région russe de Rostov, frontalière de l’Ukraine, après une attaque de drones, a indiqué le gouverneur régional par intérim, Iouri Slioussar.Mais, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), l’avancée russe dans l’est de l’Ukraine a de nouveau ralenti, avec un gain de seulement 389 km2 en février, après 431 km2 en janvier, 476 km2 en décembre et un pic à 725 km2 en novembre.

Wall Street chute après les nouvelles annonces de Trump sur les droits de douane

La Bourse de New York a terminé en forte baisse lundi, minée par les dernières annonces de Donald Trump sur l’entrée en vigueur de surtaxes visant le Canada, le Mexique et la Chine.Le Dow Jones a reculé de 1,48%, l’indice Nasdaq a chuté de 2,64% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 1,76%, sa plus grosse perte depuis décembre.La place américaine était déjà orientée à la baisse en début de journée, après la publication d’un indice de production industrielle montrant des inquiétudes grandissantes vis-à-vis des prix et de la demande.Les industries américaines sont en train d’affronter “le premier choc opérationnel” résultant de la mise en place de nouvelles taxes sur les importations, selon cette enquête de la fédération professionnelle ISM.Mais les principaux indices boursiers américains ont surtout chuté en fin de séance, après une conférence de presse de Donald Trump.Le président américain a notamment prévenu que le Canada et le Mexique n’avaient “plus de marge de manÅ“uvre” pour éviter l’entrée en vigueur dans la nuit de lundi à mardi des droits de douane sur l’ensemble de leurs produits aux Etats-Unis.Il a par ailleurs signé lundi le décret imposant désormais 20% de droits de douane sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis, contre 10% jusqu’ici.Donald Trump reproche au Canada, au Mexique et à la Chine de ne pas lutter assez efficacement contre le trafic de fentanyl, un puissant opioïde responsable de la mort de dizaines de milliers de personnes dans ce pays.Afin de les forcer à agir, il avait imposé début février 25% de droits de douane sur l’ensemble des produits canadiens et mexicains, pourtant théoriquement protégés par un accord de libre-échange signé durant son premier mandat, avant de les suspendre pour un mois, satisfait des premiers gestes consentis par Ottawa et Mexico.Dans le même temps, la Chine s’était vu imposer 10% de droits de douane supplémentaires, venant s’ajouter aux 10% déjà existants, une augmentation entrée en vigueur lundi.L’indice VIX – dit “indice de la peur” – qui mesure la nervosité des investisseurs, a évolué en nette hausse, à son plus haut niveau depuis décembre.Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans se détendait nettement à 4,16% contre 4,21% à la clôture vendredi. Son équivalent à deux ans suivait la même dynamique, à 3,95% contre 3,99% à la clôture précédente.Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Nvidia a chuté de 8,69% après que Singapour a annoncé enquêter sur un possible acheminement de ses puces sophistiquées vers des pays sous sanctions américaines par des intermédiaires. 

Wall Street chute après les nouvelles annonces de Trump sur les droits de douane

La Bourse de New York a terminé en forte baisse lundi, minée par les dernières annonces de Donald Trump sur l’entrée en vigueur de surtaxes visant le Canada, le Mexique et la Chine.Le Dow Jones a reculé de 1,48%, l’indice Nasdaq a chuté de 2,64% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 1,76%, sa plus grosse perte depuis décembre.La place américaine était déjà orientée à la baisse en début de journée, après la publication d’un indice de production industrielle montrant des inquiétudes grandissantes vis-à-vis des prix et de la demande.Les industries américaines sont en train d’affronter “le premier choc opérationnel” résultant de la mise en place de nouvelles taxes sur les importations, selon cette enquête de la fédération professionnelle ISM.”Les hausses de prix se sont accélérées en raison des droits de douane, ce qui a entraîné des retards dans la passation de nouvelles commandes, des arrêts de livraison de la part des fournisseurs et des répercussions sur les inventaires”, a décrit le responsable de l’enquête, Timothy Fiore.Mais les principaux indices boursiers américains ont surtout chuté en fin de séance, après une conférence de presse de Donald Trump.Le président américain a notamment prévenu que le Canada et le Mexique n’avaient “plus de marge de manÅ“uvre” pour éviter l’entrée en vigueur dans la nuit de lundi à mardi des droits de douane sur l’ensemble de leurs produits aux Etats-Unis.Il a par ailleurs signé lundi le décret imposant désormais 20% de droits de douane sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis, contre 10% jusqu’ici.Washington, Ottawa et Mexico négocient toujours afin d’interrompre durablement le flux vers les Etats-Unis de fentanyl, un puissant opioïde responsable de la mort de dizaines de milliers de personnes dans ce pays.Donald Trump reproche au Canada, au Mexique et à la Chine de ne pas lutter assez efficacement contre ce trafic.Afin de les forcer à agir, il avait imposé début février 25% de droits de douane sur l’ensemble des produits canadiens et mexicains, pourtant théoriquement protégés par un accord de libre-échange signé durant son premier mandat, avant de les suspendre pour un mois, satisfait des premiers gestes consentis par Ottawa et Mexico.Dans le même temps, la Chine s’était vu imposer 10% de droits de douane supplémentaires, venant s’ajouter aux 10% déjà existants, une augmentation entrée en vigueur lundi.L’indice VIX – dit “indice de la peur” – qui mesure la nervosité des investisseurs, a évolué en nette hausse, à son plus haut niveau depuis décembre.Toutefois, pour Angelo Kourkafas, d’Edward Jones, “la toile de fond reste favorable”, la place américaine restant relativement proche de ses records.”Nous allons d’abord obtenir les effets négatifs de la politique de la nouvelle administration avant de passer aux conséquences positives sur la croissance” aux Etats-Unis, estime l’analyste.Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans se détendait nettement à 4,16% contre 4,21% à la clôture vendredi. Son équivalent à deux ans suivait la même dynamique, à 3,95% contre 3,99% à la clôture précédente.Au tableau des valeurs, le géant des semi-conducteurs Nvidia a chuté de 8,69% après que Singapour a annoncé enquêter sur un possible acheminement de ses puces sophistiquées vers des pays sous sanctions américaines par des intermédiaires. Selon des informations de presse, des serveurs de Dell (-7,01%) et Super Micro Computer (-13,00%) contenant ces puces auraient été envoyées en Malaisie depuis Singapour, et les enquêteurs cherchent désormais à savoir si elles ont ensuite été acheminées vers d’autres pays, comme la Chine.

Trump warns will not ‘put up with’ Zelensky

US President Donald Trump warned Monday he would “not put up” much longer with Volodymyr Zelensky’s stance on the war with Russia, as the Ukrainian leader countered he wanted to end it “as soon as possible.”In a new sign of frayed ties following their White House blow-up last week, Trump called Zelensky’s assertion that an agreement to end the war remained distant “the worst statement that could have been made” by him.”America will not put up with it for much longer,” Trump said on social media.The comment came after the Ukrainian president accused Russia — which invaded Ukraine in 2014 and greatly expanded the conflict in 2022 — of not being serious about peace.Zelensky warned that tough security guarantees were the only way to end the conflict.But Trump’s attacks on Zelensky have upended US support for Ukraine, and Washington’s allies more broadly, and stoked concern about the United States pivoting to Russia.The US president stepped up his threats during an event at the White House later Monday, suggesting that Zelensky “won’t be around very long” without a ceasefire deal with Moscow.Trump said Zelensky should be “more appreciative” of the billions of dollars of military aid that Washington has contributed to Kyiv’s fight against Russia.But he offered hope that a minerals deal that fell through last week due to the row could be revived, and played down reports that he could halt military aid.- European support -“Now, maybe somebody doesn’t want to make a deal, and if somebody doesn’t want to make a deal, I think that person won’t be around very long,” Trump said.After weekend crisis talks in London, Britain and France are investigating how to propose a one-month truce “in the air, at sea and on energy infrastructure” — potentially backstopped by troops on the ground.Zelensky said discussions were still focusing on the “first steps,” adding: “An agreement on ending the war is very, very far away” — a comment that angered Trump.Zelensky added in a video statement Monday that “real, honest peace” would only come with security guarantees for Ukraine, which agreed to denuclearize in 1994 only in exchange for protection provided by the United States and Britain.”It was the lack of security guarantees for Ukraine 11 years ago that allowed Russia to start with the occupation of Crimea and the war in Donbas, then the lack of security guarantees allowed Russia to launch a full-scale invasion,” Zelensky said.Russia dismissed his comments, accusing him of not wanting peace — echoing US criticisms after he was shouted down in the Oval Office on Friday.On the ground, Ukrainian officials reported fatalities from a Russian missile strike on a military training facility, some 130 kilometers (80 miles) from the front line.A respected military blogger said between 30 and 40 soldiers were killed and 90 more wounded in the attack near Dnipro on Saturday.- ‘Deliberate escalation’? -Trump has previously called Zelensky, president since 2019, a “dictator” for not holding elections, even though martial law precludes any vote because of the war. Zelensky dismissed calls for him to resign, repeating his pledge to do so only if Ukraine were given NATO membership, which Russia — and now the United States under Trump — opposes.In Moscow, Kremlin spokesman Dmitry Peskov blamed Zelensky for Friday’s White House blow-up with Trump and Vice President JD Vance, saying he “demonstrated a complete lack of diplomatic abilities.””He doesn’t want peace,” Peskov told reporters.But Germany’s likely next chancellor, Friedrich Merz, said the astonishing clash was a “deliberate escalation” by Trump.US and Russian officials have held talks on ending the war, enraging Ukraine and Europe for being sidelined, and prompting fears in Kyiv and beyond that any deal could threaten the country’s future.Zelensky triggered Trump and Vance’s ire by questioning whether Russia could be trusted to uphold a truce.French President Emmanuel Macron told daily newspaper Le Figaro that a truce would not, initially at least, cover ground fighting, as the size of the meandering front line would make it hard to enforce.Macron met Trump in Washington last week, as did Britain’s Prime Minister Keir Starmer, who insisted Sunday that the United States was “not an unreliable ally,” despite Trump’s overtures to Putin.

Hanouna reprend du service sur sa webtélé

“On est là, rien n’a changé”: privé de la chaîne C8, l’animateur Cyril Hanouna a repris son émission “Touche pas à mon poste” (TPMP) lundi soir sur sa webtélé, avant d’intégrer le groupe M6 en septembre.Le plateau coloré de TPMP a accueilli l’animateur star et ses chroniqueurs en direct sur Zoubida TV, transmise sur Dailymotion, YouTube, Molotov, myCANAL et les bouquets des box internet.”Les chéris, sachez qu’on est déjà plus de 100.000 sur YouTube”, s’est réjoui M. Hanouna à son arrivée vers 18H40, prenant le relais de Pascale de La Tour du Pin qui avait lancé l’émission, devant son public, 20 minutes plus tôt.Ce maintien “à l’antenne, c’est une idée de génie de Vincent Bolloré, notre actionnaire”, avait-il déclaré dans la matinée au sujet du milliardaire conservateur qui contrôle le groupe Canal+, dont faisait partie C8.La chaîne a arrêté d’émettre vendredi après le non-renouvellement de sa fréquence par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel.C8 a été la sixième chaîne de France au mois de février, durant lequel elle a touché 44 millions de téléspectateurs, selon Médiamétrie.Validé par le Conseil d’État, l’arrêt de sa diffusion sur la télévision numérique terrestre (TNT) a largement été motivé par les “manquements réitérés” de C8, qui a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende à cause des dérapages de “Baba”, surnom de M. Hanouna.L’arrêt de la chaîne a été dénoncé par nombre de responsables de droite et d’extrême droite au nom de la “liberté d’expression”.Lundi soir, Cyril Hanouna, s’amusant de la fin des contraintes liées à la TNT, a cité de nombreuses marques et conclu son émission, entrecoupée de publicités, en criant “vive la liberté”.Au terme du dernier numéro de TPMP sur C8 jeudi, il avait annoncé qu’il quitterait le groupe Canal+ pour rejoindre en septembre son rival M6, sur la télé W9 et Fun Radio.Entretemps, “Baba” continue sur Internet, durant “quelques mois, peut-être jusqu’à fin avril”, selon lui.- Inquiétudes chez M6 -Face aux craintes suscitées en interne par son arrivée, M6 a affirmé à plusieurs reprises que l’animateur venait pour faire du “divertissement”, sans tonalité “politique”. La future émission ne s’appellera pas TPMP.Après avoir rencontré le président de M6, David Larramendy, lundi matin, les journalistes du groupe se sont réunis en début d’après-midi pour redire leur vigilance.M. Hanouna donne quelques gages. “C’est sûr qu’on ne va pas faire de politique sur Fun Radio et sur W9, je ne vais pas inviter Éric Ciotti ou Laurent Wauquiez”, a-t-il dit lundi dans l’émission de Pascal Praud sur CNews, autre chaîne de Canal+. Il a toutefois précisé qu’il aborderait des “sujets de société”.Lui-même s’est beaucoup aventuré sur le terrain politique depuis la crise des Gilets jaunes en 2018. Et n’exclut pas totalement une candidature à la présidentielle.Son nom a été testé dans une enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Le Figaro, publiée lundi, d’après laquelle 11% des sondés souhaitent le voir candidat en 2027. “C’est un chiffre énorme”, a commenté lundi dans TPMP le chroniqueur Gilles Verdez, aux côtés notamment de Jordan De Luxe, privé de son émission people sur C8.Tout en fustigeant le régulateur, Cyril Hanouna a assuré sur CNews que l’arrêt de la chaîne n’était “pas une décision de l’Arcom”.”Ça veut dire que c’est Emmanuel Macron?”, l’a relancé Pascal Praud. “Bien sûr! Vous croyez que c’est qui alors, c’est ma mère ?”, a-t-il répondu.Le 22 février, le président de la République avait souligné que l’arrêt de C8 et de NRJ12, qui a également perdu sa fréquence, n’était “pas une décision politique du tout”.M. Hanouna avait évoqué une prochaine procédure devant la Cour européenne des droits de l’Homme. Les décisions de l’Arcom et du Conseil d’État sont “contraires à des principes fondamentaux de notre droit et, évidemment, à la liberté d’expression”, a martelé son avocat, Stéphane Hasbanian, sur France Inter lundi. Sur la TNT, C8 et NRJ12 vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV, en septembre, par le groupe Ouest-France.

Hanouna reprend du service sur sa webtélé

“On est là, rien n’a changé”: privé de la chaîne C8, l’animateur Cyril Hanouna a repris son émission “Touche pas à mon poste” (TPMP) lundi soir sur sa webtélé, avant d’intégrer le groupe M6 en septembre.Le plateau coloré de TPMP a accueilli l’animateur star et ses chroniqueurs en direct sur Zoubida TV, transmise sur Dailymotion, YouTube, Molotov, myCANAL et les bouquets des box internet.”Les chéris, sachez qu’on est déjà plus de 100.000 sur YouTube”, s’est réjoui M. Hanouna à son arrivée vers 18H40, prenant le relais de Pascale de La Tour du Pin qui avait lancé l’émission, devant son public, 20 minutes plus tôt.Ce maintien “à l’antenne, c’est une idée de génie de Vincent Bolloré, notre actionnaire”, avait-il déclaré dans la matinée au sujet du milliardaire conservateur qui contrôle le groupe Canal+, dont faisait partie C8.La chaîne a arrêté d’émettre vendredi après le non-renouvellement de sa fréquence par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel.C8 a été la sixième chaîne de France au mois de février, durant lequel elle a touché 44 millions de téléspectateurs, selon Médiamétrie.Validé par le Conseil d’État, l’arrêt de sa diffusion sur la télévision numérique terrestre (TNT) a largement été motivé par les “manquements réitérés” de C8, qui a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende à cause des dérapages de “Baba”, surnom de M. Hanouna.L’arrêt de la chaîne a été dénoncé par nombre de responsables de droite et d’extrême droite au nom de la “liberté d’expression”.Lundi soir, Cyril Hanouna, s’amusant de la fin des contraintes liées à la TNT, a cité de nombreuses marques et conclu son émission, entrecoupée de publicités, en criant “vive la liberté”.Au terme du dernier numéro de TPMP sur C8 jeudi, il avait annoncé qu’il quitterait le groupe Canal+ pour rejoindre en septembre son rival M6, sur la télé W9 et Fun Radio.Entretemps, “Baba” continue sur Internet, durant “quelques mois, peut-être jusqu’à fin avril”, selon lui.- Inquiétudes chez M6 -Face aux craintes suscitées en interne par son arrivée, M6 a affirmé à plusieurs reprises que l’animateur venait pour faire du “divertissement”, sans tonalité “politique”. La future émission ne s’appellera pas TPMP.Après avoir rencontré le président de M6, David Larramendy, lundi matin, les journalistes du groupe se sont réunis en début d’après-midi pour redire leur vigilance.M. Hanouna donne quelques gages. “C’est sûr qu’on ne va pas faire de politique sur Fun Radio et sur W9, je ne vais pas inviter Éric Ciotti ou Laurent Wauquiez”, a-t-il dit lundi dans l’émission de Pascal Praud sur CNews, autre chaîne de Canal+. Il a toutefois précisé qu’il aborderait des “sujets de société”.Lui-même s’est beaucoup aventuré sur le terrain politique depuis la crise des Gilets jaunes en 2018. Et n’exclut pas totalement une candidature à la présidentielle.Son nom a été testé dans une enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Le Figaro, publiée lundi, d’après laquelle 11% des sondés souhaitent le voir candidat en 2027. “C’est un chiffre énorme”, a commenté lundi dans TPMP le chroniqueur Gilles Verdez, aux côtés notamment de Jordan De Luxe, privé de son émission people sur C8.Tout en fustigeant le régulateur, Cyril Hanouna a assuré sur CNews que l’arrêt de la chaîne n’était “pas une décision de l’Arcom”.”Ça veut dire que c’est Emmanuel Macron?”, l’a relancé Pascal Praud. “Bien sûr! Vous croyez que c’est qui alors, c’est ma mère ?”, a-t-il répondu.Le 22 février, le président de la République avait souligné que l’arrêt de C8 et de NRJ12, qui a également perdu sa fréquence, n’était “pas une décision politique du tout”.M. Hanouna avait évoqué une prochaine procédure devant la Cour européenne des droits de l’Homme. Les décisions de l’Arcom et du Conseil d’État sont “contraires à des principes fondamentaux de notre droit et, évidemment, à la liberté d’expression”, a martelé son avocat, Stéphane Hasbanian, sur France Inter lundi. Sur la TNT, C8 et NRJ12 vont être remplacées par T18, qui sera lancée en juin par le groupe CMI France du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, et par OFTV, en septembre, par le groupe Ouest-France.

LA Times adds AI-generated counterpoints to opinion pieces

The Los Angeles Times said Monday it was adding AI-generated counter-arguments to opinion pieces to help readers grasp differing points of view.The move comes as the Times struggles with plunging readership and heavy financial losses that have led to heavy job cuts.It also comes as some media owners seek greater control over their outlets’ coverage as President Donald Trump’s administration turns the screws on what it sees as unfavorable reporting.In a letter to readers, owner Patrick Soon-Shiong said every article containing any kind of opinion would now be labelled “Voices,” to “ensure readers can readily distinguish” it from news reporting.”Voices is not strictly limited to Opinion section content,” Soon-Shiong wrote.”It also includes news commentary, criticism, reviews, and more. If a piece takes a stance or is written from a personal perspective, it may be labeled Voices.”Computer-generated “Insights” will be appended to some of that content, identifying where on the political spectrum the view sits, he said.”The purpose of Insights is to offer readers an instantly accessible way to see a wide range of different AI-enabled perspectives alongside the positions presented in the article. “I believe providing more varied viewpoints supports our journalistic mission and will help readers navigate the issues facing this nation.”Readers soon weighed in with their own opinions on the idea, with the comments section of the article overwhelmingly negative about the initiative.”Readers don’t read the paper for AI written summaries. We can find that for free online. Just hire good journalists instead,” wrote self-described “longtime subscriber-reader” bkshyrock+1.”I pay cash to read well-reported stories written by, wait for it, humans. I don’t want this artificial slop anywhere near my journalism,” wrote pnukayapetra, adding: “Can we replace Soon-Shiong with AI instead?”Other commenters linked the move to an announcement last week by the Washington Post’s billionaire owner Jeff Bezos, who said his paper would only publish opinion pieces in support of “personal liberties and free markets,” in what was widely interpreted an effort to curry favor with Trump.”Welcome to Pravda on the Pacific,” quipped omt160, in a reference the official newspaper of the Soviet Union’s Communist Party.”Only those ideas approved by Dear Leader will be acceptable. Quite surprised that there is another fascist high tech billionaire competing with Bezos for the title of Most Subservient Media Tool.”The Times was once a giant on the US media stage, with correspondents around the globe.But years of retrenchments have seen it shrink, and last year mass layoffs further ruffled an already restless newsroom.Critics say the paper appears directionless, and while it still paints itself as a national title with a West Coast perspective, it has a much more parochial feel nowadays.