L’intelligence artificielle à la rescousse des agriculteurs indiens

Dès le réveil, R Murali, un agriculteur indien, vérifie d’un simple coup d’oeil sur une application de son téléphone si ses grenadiers ont besoin d’être arrosés, fertilisés ou si des parasites les menacent. “C’est devenu une routine”, un peu comme “prier tous les jours”, explique à l’AFP le cultivateur de 51 ans, dans sa ferme de l’Etat de Karnataka, dans le sud de l’Inde. Une grande partie de la vaste économie agricole de l’Inde, qui demeure très traditionnelle, est affectée par des conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique. M. Murali fait partie des fermiers de plus en plus nombreux à recourir aux outils d’intelligence artificielle (IA) pour cultiver “plus efficacement”. “L’application est la première chose que je vérifie au réveil”, souligne le cultivateur, dont l’exploitation est équipée de capteurs qui fournissent des mises à jour constantes sur le taux d’humidité du sol, les niveaux de nutriments et les prévisions météorologiques à l’échelle de la ferme. Selon lui, le système d’IA mis au point par la startup indienne Fasal, qui indique les quantités exactes d’eau, d’engrais et de pesticides nécessaires – et le moment où il faut les utiliser – lui a permis de réduire ses coûts de 20% sans diminuer les rendements. “Ce que nous avons construit, c’est une technologie qui permet aux cultures de parler à leurs agriculteurs”, explique Ananda Verma, fondateur de Fasal, qui fournit ses services à quelque 12.000 fermiers. – “Prendre de meilleures décisions” -C’est en voulant comprendre l’humidité du sol, que M. Verma, 35 ans, a commencé en 2017 à “bricoler” ce système pour la ferme de son père, dans l’objectif d’aider les agriculteurs à “prendre de meilleures décisions”. Installer les produits proposés par cette société coûte de 55 à 276 euros, un prix relativement élevé dans un pays où le revenu mensuel moyen des agriculteurs est de 112 euros et où plus de 85% des exploitations agricoles ont une superficie inférieure à deux hectares, selon les chiffres du gouvernement.Le gouvernement affiche sa volonté de soutenir le développement d’une IA locale et peu coûteuse. La Premier ministre indien Narendra Modi co-présidera le sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle lundi à Paris. L’agriculture, qui représente environ 15% de l’économie indienne, est un secteur prêt à bénéficier de la technologie de l’IA, les exploitations agricoles ayant besoin d’investissements et de modernisation au plus vite. Les pénuries d’eau, les inondations et les conditions météorologiques de plus en plus irrégulières, ainsi que l’endettement, ont fait payer un lourd tribut à l’agriculture qui emploie environ deux tiers des 1,4 milliard d’habitants du pays le plus peuplé de la planète. L’Inde compte déjà plus de 450 startups dans le domaine de l’agritech qui pèsent 23 milliards d’euros, selon un rapport du groupe de réflexion gouvernemental NITI Aayog pour l’année 2023. Cette étude pointe cependant un manque de culture numérique, qui se traduit souvent par une faible adoption des solutions agritech. – Un lent déploiement -Parmi ces sociétés, Niqo Robotics, a mis au point un système utilisant des caméras d’intelligence artificielle attachées à des machines de pulvérisation de produits chimiques ciblés. Montés sur des tracteurs, des pulvérisateurs évaluent chaque plante pour leur fournir la quantité idéale de produits chimiques, ce qui permet de réduire les coûts d’intrants et de limiter les dommages environnementaux, selon l’entreprise. Niqo affirme que ses utilisateurs dans les Etats du Maharashtra (ouest) et de l’Andhra Pradesh (est) ont réduit leurs dépenses en produits chimiques de 90%.Une autre startup, BeePrecise, a mis au point une surveillance IA mesurant la santé des ruches, notamment le taux d’humidité, la température et même le son des abeilles – pour suivre les activités de la reine des abeilles. Selon Rishina Kuruvilla, salariée de cette société, cet outil permet aux apiculteurs de récolter un miel “un peu plus biologique et meilleur pour la consommation”.Si les technologies de l’IA sont en plein essor, les leur déploiement est lent, beaucoup d’agriculteurs n’ayant pas les moyens de les acheter. L’économiste spécialisé dans le domaine de l’agriculture RS Deshpande, professeur invité à l’Institut pour les changements sociaux et économique de Bangalore, estime que le gouvernement doit prendre en charge les coûts de modernisation. De nombreux agriculteurs “survivent” uniquement parce qu’ils mangent ce qu’ils cultivent, souligne-t-il, mais “si le gouvernement est prêt, l’Inde est prête”. 

L’intelligence artificielle à la rescousse des agriculteurs indiens

Dès le réveil, R Murali, un agriculteur indien, vérifie d’un simple coup d’oeil sur une application de son téléphone si ses grenadiers ont besoin d’être arrosés, fertilisés ou si des parasites les menacent. “C’est devenu une routine”, un peu comme “prier tous les jours”, explique à l’AFP le cultivateur de 51 ans, dans sa ferme de l’Etat de Karnataka, dans le sud de l’Inde. Une grande partie de la vaste économie agricole de l’Inde, qui demeure très traditionnelle, est affectée par des conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique. M. Murali fait partie des fermiers de plus en plus nombreux à recourir aux outils d’intelligence artificielle (IA) pour cultiver “plus efficacement”. “L’application est la première chose que je vérifie au réveil”, souligne le cultivateur, dont l’exploitation est équipée de capteurs qui fournissent des mises à jour constantes sur le taux d’humidité du sol, les niveaux de nutriments et les prévisions météorologiques à l’échelle de la ferme. Selon lui, le système d’IA mis au point par la startup indienne Fasal, qui indique les quantités exactes d’eau, d’engrais et de pesticides nécessaires – et le moment où il faut les utiliser – lui a permis de réduire ses coûts de 20% sans diminuer les rendements. “Ce que nous avons construit, c’est une technologie qui permet aux cultures de parler à leurs agriculteurs”, explique Ananda Verma, fondateur de Fasal, qui fournit ses services à quelque 12.000 fermiers. – “Prendre de meilleures décisions” -C’est en voulant comprendre l’humidité du sol, que M. Verma, 35 ans, a commencé en 2017 à “bricoler” ce système pour la ferme de son père, dans l’objectif d’aider les agriculteurs à “prendre de meilleures décisions”. Installer les produits proposés par cette société coûte de 55 à 276 euros, un prix relativement élevé dans un pays où le revenu mensuel moyen des agriculteurs est de 112 euros et où plus de 85% des exploitations agricoles ont une superficie inférieure à deux hectares, selon les chiffres du gouvernement.Le gouvernement affiche sa volonté de soutenir le développement d’une IA locale et peu coûteuse. La Premier ministre indien Narendra Modi co-présidera le sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle lundi à Paris. L’agriculture, qui représente environ 15% de l’économie indienne, est un secteur prêt à bénéficier de la technologie de l’IA, les exploitations agricoles ayant besoin d’investissements et de modernisation au plus vite. Les pénuries d’eau, les inondations et les conditions météorologiques de plus en plus irrégulières, ainsi que l’endettement, ont fait payer un lourd tribut à l’agriculture qui emploie environ deux tiers des 1,4 milliard d’habitants du pays le plus peuplé de la planète. L’Inde compte déjà plus de 450 startups dans le domaine de l’agritech qui pèsent 23 milliards d’euros, selon un rapport du groupe de réflexion gouvernemental NITI Aayog pour l’année 2023. Cette étude pointe cependant un manque de culture numérique, qui se traduit souvent par une faible adoption des solutions agritech. – Un lent déploiement -Parmi ces sociétés, Niqo Robotics, a mis au point un système utilisant des caméras d’intelligence artificielle attachées à des machines de pulvérisation de produits chimiques ciblés. Montés sur des tracteurs, des pulvérisateurs évaluent chaque plante pour leur fournir la quantité idéale de produits chimiques, ce qui permet de réduire les coûts d’intrants et de limiter les dommages environnementaux, selon l’entreprise. Niqo affirme que ses utilisateurs dans les Etats du Maharashtra (ouest) et de l’Andhra Pradesh (est) ont réduit leurs dépenses en produits chimiques de 90%.Une autre startup, BeePrecise, a mis au point une surveillance IA mesurant la santé des ruches, notamment le taux d’humidité, la température et même le son des abeilles – pour suivre les activités de la reine des abeilles. Selon Rishina Kuruvilla, salariée de cette société, cet outil permet aux apiculteurs de récolter un miel “un peu plus biologique et meilleur pour la consommation”.Si les technologies de l’IA sont en plein essor, les leur déploiement est lent, beaucoup d’agriculteurs n’ayant pas les moyens de les acheter. L’économiste spécialisé dans le domaine de l’agriculture RS Deshpande, professeur invité à l’Institut pour les changements sociaux et économique de Bangalore, estime que le gouvernement doit prendre en charge les coûts de modernisation. De nombreux agriculteurs “survivent” uniquement parce qu’ils mangent ce qu’ils cultivent, souligne-t-il, mais “si le gouvernement est prêt, l’Inde est prête”. 

L’intelligence artificielle à la rescousse des agriculteurs indiens

Dès le réveil, R Murali, un agriculteur indien, vérifie d’un simple coup d’oeil sur une application de son téléphone si ses grenadiers ont besoin d’être arrosés, fertilisés ou si des parasites les menacent. “C’est devenu une routine”, un peu comme “prier tous les jours”, explique à l’AFP le cultivateur de 51 ans, dans sa ferme de l’Etat de Karnataka, dans le sud de l’Inde. Une grande partie de la vaste économie agricole de l’Inde, qui demeure très traditionnelle, est affectée par des conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique. M. Murali fait partie des fermiers de plus en plus nombreux à recourir aux outils d’intelligence artificielle (IA) pour cultiver “plus efficacement”. “L’application est la première chose que je vérifie au réveil”, souligne le cultivateur, dont l’exploitation est équipée de capteurs qui fournissent des mises à jour constantes sur le taux d’humidité du sol, les niveaux de nutriments et les prévisions météorologiques à l’échelle de la ferme. Selon lui, le système d’IA mis au point par la startup indienne Fasal, qui indique les quantités exactes d’eau, d’engrais et de pesticides nécessaires – et le moment où il faut les utiliser – lui a permis de réduire ses coûts de 20% sans diminuer les rendements. “Ce que nous avons construit, c’est une technologie qui permet aux cultures de parler à leurs agriculteurs”, explique Ananda Verma, fondateur de Fasal, qui fournit ses services à quelque 12.000 fermiers. – “Prendre de meilleures décisions” -C’est en voulant comprendre l’humidité du sol, que M. Verma, 35 ans, a commencé en 2017 à “bricoler” ce système pour la ferme de son père, dans l’objectif d’aider les agriculteurs à “prendre de meilleures décisions”. Installer les produits proposés par cette société coûte de 55 à 276 euros, un prix relativement élevé dans un pays où le revenu mensuel moyen des agriculteurs est de 112 euros et où plus de 85% des exploitations agricoles ont une superficie inférieure à deux hectares, selon les chiffres du gouvernement.Le gouvernement affiche sa volonté de soutenir le développement d’une IA locale et peu coûteuse. La Premier ministre indien Narendra Modi co-présidera le sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle lundi à Paris. L’agriculture, qui représente environ 15% de l’économie indienne, est un secteur prêt à bénéficier de la technologie de l’IA, les exploitations agricoles ayant besoin d’investissements et de modernisation au plus vite. Les pénuries d’eau, les inondations et les conditions météorologiques de plus en plus irrégulières, ainsi que l’endettement, ont fait payer un lourd tribut à l’agriculture qui emploie environ deux tiers des 1,4 milliard d’habitants du pays le plus peuplé de la planète. L’Inde compte déjà plus de 450 startups dans le domaine de l’agritech qui pèsent 23 milliards d’euros, selon un rapport du groupe de réflexion gouvernemental NITI Aayog pour l’année 2023. Cette étude pointe cependant un manque de culture numérique, qui se traduit souvent par une faible adoption des solutions agritech. – Un lent déploiement -Parmi ces sociétés, Niqo Robotics, a mis au point un système utilisant des caméras d’intelligence artificielle attachées à des machines de pulvérisation de produits chimiques ciblés. Montés sur des tracteurs, des pulvérisateurs évaluent chaque plante pour leur fournir la quantité idéale de produits chimiques, ce qui permet de réduire les coûts d’intrants et de limiter les dommages environnementaux, selon l’entreprise. Niqo affirme que ses utilisateurs dans les Etats du Maharashtra (ouest) et de l’Andhra Pradesh (est) ont réduit leurs dépenses en produits chimiques de 90%.Une autre startup, BeePrecise, a mis au point une surveillance IA mesurant la santé des ruches, notamment le taux d’humidité, la température et même le son des abeilles – pour suivre les activités de la reine des abeilles. Selon Rishina Kuruvilla, salariée de cette société, cet outil permet aux apiculteurs de récolter un miel “un peu plus biologique et meilleur pour la consommation”.Si les technologies de l’IA sont en plein essor, les leur déploiement est lent, beaucoup d’agriculteurs n’ayant pas les moyens de les acheter. L’économiste spécialisé dans le domaine de l’agriculture RS Deshpande, professeur invité à l’Institut pour les changements sociaux et économique de Bangalore, estime que le gouvernement doit prendre en charge les coûts de modernisation. De nombreux agriculteurs “survivent” uniquement parce qu’ils mangent ce qu’ils cultivent, souligne-t-il, mais “si le gouvernement est prêt, l’Inde est prête”. 

L’intelligence artificielle à la rescousse des agriculteurs indiens

Dès le réveil, R Murali, un agriculteur indien, vérifie d’un simple coup d’oeil sur une application de son téléphone si ses grenadiers ont besoin d’être arrosés, fertilisés ou si des parasites les menacent. “C’est devenu une routine”, un peu comme “prier tous les jours”, explique à l’AFP le cultivateur de 51 ans, dans sa ferme de l’Etat de Karnataka, dans le sud de l’Inde. Une grande partie de la vaste économie agricole de l’Inde, qui demeure très traditionnelle, est affectée par des conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique. M. Murali fait partie des fermiers de plus en plus nombreux à recourir aux outils d’intelligence artificielle (IA) pour cultiver “plus efficacement”. “L’application est la première chose que je vérifie au réveil”, souligne le cultivateur, dont l’exploitation est équipée de capteurs qui fournissent des mises à jour constantes sur le taux d’humidité du sol, les niveaux de nutriments et les prévisions météorologiques à l’échelle de la ferme. Selon lui, le système d’IA mis au point par la startup indienne Fasal, qui indique les quantités exactes d’eau, d’engrais et de pesticides nécessaires – et le moment où il faut les utiliser – lui a permis de réduire ses coûts de 20% sans diminuer les rendements. “Ce que nous avons construit, c’est une technologie qui permet aux cultures de parler à leurs agriculteurs”, explique Ananda Verma, fondateur de Fasal, qui fournit ses services à quelque 12.000 fermiers. – “Prendre de meilleures décisions” -C’est en voulant comprendre l’humidité du sol, que M. Verma, 35 ans, a commencé en 2017 à “bricoler” ce système pour la ferme de son père, dans l’objectif d’aider les agriculteurs à “prendre de meilleures décisions”. Installer les produits proposés par cette société coûte de 55 à 276 euros, un prix relativement élevé dans un pays où le revenu mensuel moyen des agriculteurs est de 112 euros et où plus de 85% des exploitations agricoles ont une superficie inférieure à deux hectares, selon les chiffres du gouvernement.Le gouvernement affiche sa volonté de soutenir le développement d’une IA locale et peu coûteuse. La Premier ministre indien Narendra Modi co-présidera le sommet pour l’action sur l’Intelligence artificielle lundi à Paris. L’agriculture, qui représente environ 15% de l’économie indienne, est un secteur prêt à bénéficier de la technologie de l’IA, les exploitations agricoles ayant besoin d’investissements et de modernisation au plus vite. Les pénuries d’eau, les inondations et les conditions météorologiques de plus en plus irrégulières, ainsi que l’endettement, ont fait payer un lourd tribut à l’agriculture qui emploie environ deux tiers des 1,4 milliard d’habitants du pays le plus peuplé de la planète. L’Inde compte déjà plus de 450 startups dans le domaine de l’agritech qui pèsent 23 milliards d’euros, selon un rapport du groupe de réflexion gouvernemental NITI Aayog pour l’année 2023. Cette étude pointe cependant un manque de culture numérique, qui se traduit souvent par une faible adoption des solutions agritech. – Un lent déploiement -Parmi ces sociétés, Niqo Robotics, a mis au point un système utilisant des caméras d’intelligence artificielle attachées à des machines de pulvérisation de produits chimiques ciblés. Montés sur des tracteurs, des pulvérisateurs évaluent chaque plante pour leur fournir la quantité idéale de produits chimiques, ce qui permet de réduire les coûts d’intrants et de limiter les dommages environnementaux, selon l’entreprise. Niqo affirme que ses utilisateurs dans les Etats du Maharashtra (ouest) et de l’Andhra Pradesh (est) ont réduit leurs dépenses en produits chimiques de 90%.Une autre startup, BeePrecise, a mis au point une surveillance IA mesurant la santé des ruches, notamment le taux d’humidité, la température et même le son des abeilles – pour suivre les activités de la reine des abeilles. Selon Rishina Kuruvilla, salariée de cette société, cet outil permet aux apiculteurs de récolter un miel “un peu plus biologique et meilleur pour la consommation”.Si les technologies de l’IA sont en plein essor, les leur déploiement est lent, beaucoup d’agriculteurs n’ayant pas les moyens de les acheter. L’économiste spécialisé dans le domaine de l’agriculture RS Deshpande, professeur invité à l’Institut pour les changements sociaux et économique de Bangalore, estime que le gouvernement doit prendre en charge les coûts de modernisation. De nombreux agriculteurs “survivent” uniquement parce qu’ils mangent ce qu’ils cultivent, souligne-t-il, mais “si le gouvernement est prêt, l’Inde est prête”. 

Disgraced ‘Emilia Perez’ star vows to remain ‘silent’

Actor Karla Sofia Gascon appeared to step back Friday from the Oscar campaign for her hit Netflix narco-musical “Emilia Perez” after her offensive past social media posts hit its chances of glory.Gascon, the first transgender woman nominated for best actress, plays a Mexican cartel boss in the movie, which won a record number of Oscar nominations for a foreign-language film.The 52-year-old said she hoped “my silence will allow the film to be appreciated for what it is, a beautiful ode to love and difference.”Last week’s unearthing of old posts by the Spanish star denigrating Islam and African American George Floyd has unleashed a scandal that has harmed her reputation and the film.Gascon said she made the decision after the movie’s French director Jacques Audiard this week called the posts “inexcusable” and “absolutely hateful”.”I decided, for the film, for Jacques, for the cast, for the incredible crew who deserves it, for the beautiful adventure we all had together, to let the work talk for itself,” Gascon wrote on Instagram.”I sincerely apologize to everyone who has been hurt along the way,” added the Spaniard, who was writing in English.Gascon stars as a drug cartel boss who transitions to life as a woman and turns her back on crime in the highly unusual musical thriller.The mostly Spanish-language movie filmed in France and set in Mexico was nominated for 13 Oscars, 11 BAFTAs — Britain’s equivalent to the Oscars — and 12 Cesars in France.It picked up four Golden Globes in January, including for best comedy or musical, and won multiple prizes at last year’s Cannes Film Festival.Before the scandal broke, Gascon was considered a frontrunner for best actress at the Oscars and pundits viewed the film as a strong contender for the best picture award.Hollywood trade outlets had reported that distributor Netflix, which was banking on “Emilia Perez” for its first best picture Oscar, had dropped her from its campaign and distanced itself from the best actress nominee.

Après la tuerie, la Suède veut limiter l’accès aux carabines semi-automatiques

L’accès à certaines armes semi-automatiques, tel que le AR-15, va être limité en Suède, a annoncé vendredi le gouvernement en réaction à la pire tuerie de masse de l’histoire du pays nordique.La fusillade d’Örebro (centre) a fait 10 morts, dont plusieurs personnes d’origine étrangère, mardi dans un centre d’enseignement pour adultes. Selon la police, l’auteur des tirs, identifié par la presse suédoise comme Rickard Andersson, 35 ans, a vraisemblablement agi seul et s’est suicidé après son geste. “Il existe certains types d’armes si dangereuses qu’elles ne devraient être autorisées à des fins civiles qu’à titre exceptionnel”, a déclaré dans un communiqué le gouvernement de centre-droit, soutenu par le parti d’extrême droite Démocrates de Suède.- “Lourds dégâts en peu de temps” -“L’AR-15 en est un exemple, car elle est compatible avec de grands chargeurs de type militaire et peut causer de lourds dégâts en peu de temps”, a-t-il ajouté.Trois “armes longues, c’est-à-dire des fusils”, ont été retrouvées aux côtés du tueur, a indiqué la police, sans plus de précisions. Les enquêteurs ont révélé que l’assaillant détenait un permis pour quatre armes de chasse. “La terrible attaque à Örebro remet sur la table plusieurs questions centrales sur la législation sur les armes”, écrit le gouvernement sur son site.Les règles d’évaluation de l’aptitude d’une personne à détenir ce type de carabines automatiques vont par conséquent être clarifiées.Dans la réglementation actuelle, “plusieurs des critères” (d’aptitude) pris en compte lors de cet examen “ne sont pas suffisamment explicites”, estime le ministère de la Justice.La coalition gouvernementale a également chargé la police et les services sociaux de renforcer leur coopération pour signaler les personnes médicalement inaptes à posséder une arme à feu.En août 2023, l’Agence pour la protection de l’environnement avait modifié sa réglementation afin d’autoriser l’usage de certaines armes semi-automatiques, comme l’AR-15 ou l’AR-10, pour la chasse. – Permis de chasse -Le projet de loi souhaite revenir sur ce changement et rétablir les restrictions en vigueur pour ce type de carabines avant août 2023.”Il ne peut être exclu” que des individus violents “abusent de la possibilité de passer l’examen (du permis) de chasse, dans le but d’obtenir légalement et relativement facilement des fusils semi-automatiques” équipés de grands chargeurs, relève la commission d’enquête dans ses conclusions de mai 2024.Les sociaux-démocrates (S), qui sont dans l’opposition, veulent aller plus loin. Le nombre d’armes actuellement en circulation doit impérativement diminuer, a souligné lors d’une conférence de presse Teresa Carvalho, porte-parole du parti en matière de politique judiciaire.Les sociaux-démocrates souhaitent en outre passer au peigne fin tous les permis d’armes à feu déjà octroyés. Les motivations du tueur restent inconnues à ce stade mais les enquêteurs parlent d’un homme “motivé”, “inconnu” de leurs services, et très violent.”Les techniciens ont trouvé dix chargeurs vides à l’intérieur. Ils ont récupéré énormément de douilles”, a dit à la presse jeudi Anna Bergqvist, policière chargée de l’enquête. “Il y a eu un nombre incroyable de tirs à l’intérieur, et il lui restait même des munitions qui n’ont pas été utilisées”.Sur une vidéo filmée par un étudiant qui se cachait dans les toilettes – et diffusée par la chaîne TV4 -, on  entend des coups de feu à l’extérieur, et une personne crier “Vous allez quitter l’Europe!”. Les victimes sont de “plusieurs nationalités, différents sexes et âges”, a précisé à l’AFP Anna Bergvist.L’ambassade de Syrie à Stockholm a indiqué avoir exprimé ses “condoléances” à deux familles syriennes, sans plus de détails.Une ressortissante de Bosnie-Herzégovine a aussi été tuée et un ressortissant de ce pays des Balkans a été blessé, selon le ministère bosnien des Affaires étrangères, qui dit s’appuyer sur des informations données par les familles vivant à Örebro.

Après la tuerie, la Suède veut limiter l’accès aux carabines semi-automatiques

L’accès à certaines armes semi-automatiques, tel que le AR-15, va être limité en Suède, a annoncé vendredi le gouvernement en réaction à la pire tuerie de masse de l’histoire du pays nordique.La fusillade d’Örebro (centre) a fait 10 morts, dont plusieurs personnes d’origine étrangère, mardi dans un centre d’enseignement pour adultes. Selon la police, l’auteur des tirs, identifié par la presse suédoise comme Rickard Andersson, 35 ans, a vraisemblablement agi seul et s’est suicidé après son geste. “Il existe certains types d’armes si dangereuses qu’elles ne devraient être autorisées à des fins civiles qu’à titre exceptionnel”, a déclaré dans un communiqué le gouvernement de centre-droit, soutenu par le parti d’extrême droite Démocrates de Suède.- “Lourds dégâts en peu de temps” -“L’AR-15 en est un exemple, car elle est compatible avec de grands chargeurs de type militaire et peut causer de lourds dégâts en peu de temps”, a-t-il ajouté.Trois “armes longues, c’est-à-dire des fusils”, ont été retrouvées aux côtés du tueur, a indiqué la police, sans plus de précisions. Les enquêteurs ont révélé que l’assaillant détenait un permis pour quatre armes de chasse. “La terrible attaque à Örebro remet sur la table plusieurs questions centrales sur la législation sur les armes”, écrit le gouvernement sur son site.Les règles d’évaluation de l’aptitude d’une personne à détenir ce type de carabines automatiques vont par conséquent être clarifiées.Dans la réglementation actuelle, “plusieurs des critères” (d’aptitude) pris en compte lors de cet examen “ne sont pas suffisamment explicites”, estime le ministère de la Justice.La coalition gouvernementale a également chargé la police et les services sociaux de renforcer leur coopération pour signaler les personnes médicalement inaptes à posséder une arme à feu.En août 2023, l’Agence pour la protection de l’environnement avait modifié sa réglementation afin d’autoriser l’usage de certaines armes semi-automatiques, comme l’AR-15 ou l’AR-10, pour la chasse. – Permis de chasse -Le projet de loi souhaite revenir sur ce changement et rétablir les restrictions en vigueur pour ce type de carabines avant août 2023.”Il ne peut être exclu” que des individus violents “abusent de la possibilité de passer l’examen (du permis) de chasse, dans le but d’obtenir légalement et relativement facilement des fusils semi-automatiques” équipés de grands chargeurs, relève la commission d’enquête dans ses conclusions de mai 2024.Les sociaux-démocrates (S), qui sont dans l’opposition, veulent aller plus loin. Le nombre d’armes actuellement en circulation doit impérativement diminuer, a souligné lors d’une conférence de presse Teresa Carvalho, porte-parole du parti en matière de politique judiciaire.Les sociaux-démocrates souhaitent en outre passer au peigne fin tous les permis d’armes à feu déjà octroyés. Les motivations du tueur restent inconnues à ce stade mais les enquêteurs parlent d’un homme “motivé”, “inconnu” de leurs services, et très violent.”Les techniciens ont trouvé dix chargeurs vides à l’intérieur. Ils ont récupéré énormément de douilles”, a dit à la presse jeudi Anna Bergqvist, policière chargée de l’enquête. “Il y a eu un nombre incroyable de tirs à l’intérieur, et il lui restait même des munitions qui n’ont pas été utilisées”.Sur une vidéo filmée par un étudiant qui se cachait dans les toilettes – et diffusée par la chaîne TV4 -, on  entend des coups de feu à l’extérieur, et une personne crier “Vous allez quitter l’Europe!”. Les victimes sont de “plusieurs nationalités, différents sexes et âges”, a précisé à l’AFP Anna Bergvist.L’ambassade de Syrie à Stockholm a indiqué avoir exprimé ses “condoléances” à deux familles syriennes, sans plus de détails.Une ressortissante de Bosnie-Herzégovine a aussi été tuée et un ressortissant de ce pays des Balkans a été blessé, selon le ministère bosnien des Affaires étrangères, qui dit s’appuyer sur des informations données par les familles vivant à Örebro.

Stock markets, dollar mixed before key US jobs data

Global stock markets and the dollar diverged Friday as investors awaited US jobs data for signs of possible cuts to interest rates in the world’s biggest economy.It comes at the end of a volatile week for assets caused by US President Donald Trump’s move to impose tariffs on key trading partners China, Canada and Mexico.“All eyes will be on US jobs figures later today,” said Russ Mould, investment director at AJ Bell. “The market is expecting a big drop in non-farm payrolls in January… likely impacted by the LA fires and cold weather,” he added.A below forecast reading could rekindle hopes of further US interest rate cuts, analysts said, after the Federal Reserve kept borrowing costs steady last week.The latest figures will be looked at particularly closely as they contain annual revisions for “the previous five years of payrolls”, noted Jim Reid, managing director at Deutsche Bank. Wall Street provided a broadly positive lead Thursday, despite a disappointing earnings release from Amazon — a day after a similar result from Google-Parent Alphabet.On Friday, European stock markets performed steadily having recovered from heavy losses at the start of the week.London’s benchmark FTSE 100 index hit a fresh record high Thursday, as listed multinationals earning in dollars benefited from a slump in the pound.Sterling had retreated sharply after the Bank of England halved its forecast for UK economic growth this year, citing the possibility of Trump imposing tariffs on British imports. The BoE also cut its main interest rate amid deteriorating business confidence in the UK — and forecast that the country would experience higher-than-expected inflation in the coming months owing to elevated energy bills.The FTSE 100 fell overall Friday in morning deals but there were some bright spots.Insurer Legal & General saw its share price jump five percent after the group announced the sale of its US insurance arm for $2.3 billion. In Frankfurt, which has also hit new heights this week, Porsche slid more five percent after the luxury carmaker’s forecasts for the year ahead disappointed expectations.Gold was another shining performer this week, reaching a new all-time peak as the precious metal profits from its status as a haven investment. Hong Kong and Shanghai stock markets closed solidly higher Friday thanks to gains across technology firms. Chinese startup Deepseek has shaken up the race for AI supremacy, spooking US tech companies. Tokyo stocks were weighed by a stronger yen, which picked up this week after Bank of Japan board member, Naoki Tamura, said he wanted borrowing costs to increase.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,701.83Paris – CAC 40: DOWN 0.1 percent at 7,998.01Frankfurt – DAX: UP 0.1 percent at 21,922.26Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.7 percent to 38,787.02 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.2 percent to 21,133.54 (close)Shanghai – Composite: UP 1.0 percent to 3,303.67 (close)New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,747.63 (close) Euro/dollar: DOWN at $1.0379 from $1.0387 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.2451 from $1.2436Dollar/yen: UP at 152.16 yen from 151.47 yenEuro/pound: DOWN at 83.36 pence from 83.50 pence Brent North Sea Crude: UP 0.7 percent at $74.84 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.7 percent at $71.12 per barrelburs-ajb/bcp/cw