Five things to know about Namibia’s first woman presidentFri, 21 Mar 2025 11:01:28 GMT

Netumbo Nandi-Ndaitwah was sworn in Friday as the first woman president of Namibia, which became independent 35 years ago.Here are five things to know about the leader of this stable and mineral-rich country of around three million people in the south of the continent. – Ruling party veteran – NNN, as she is popularly known, is a …

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Nawaz smacks record-breaking maiden ton as Pakistan win 3rd NZ T20

Opener Hasan Nawaz struck a record-breaking maiden century Friday as Pakistan crushed New Zealand by nine wickets in the third Twenty20 to keep the series alive.After scoring a duck in each of the two opening games — the first innings’ of his international career – Nawaz rebounded with a stunning 105 not out in Auckland as the tourists raced to 207-1 in response to New Zealand’s 204.The 23-year-old’s ton came off 44 balls, the fastest by any Pakistan player in a T20 international.It ensured his team reached the target with four full overs to spare, in a stark reversal of form after heavy losses in Christchurch and Dunedin.Nawaz put his early failures behind him with a sparkling knock featuring shots all around the wicket, including a series of audacious ramp shots.He admitted he was worried about his selection prospects after two failures and thanked captain Salman Agha and vice-captain Shadab Khan for showing faith in his ability.”The way I got out in the first two matches, I was very disheartened, but the captain and Shadab supported me, told me I am a match-winning player and that helped me,” he said.”I wanted to score my first run in international cricket, that’s what I was thinking. After I scored one run, the pressure was released and I wanted to win the game.”The right-hander peppered the short Eden Park boundaries with 10 fours and seven sixes, bringing up victory with successive fours off Kyle Jamieson in the 16th over.The first of those shots took Nawaz to 100, five balls faster than the previous Pakistan record-holder – Babar Azam against South Africa in 2021.Fellow opener Mohammad Haris scored 41 off 20 while captain Salman Agha was unbeaten on 51 off 31.New Zealand captain Michael Bracewell conceded they had few answers to halt Nawaz.”You’ve got to tip your hat to Nawaz there, the way that he played was unbelievable,” Bracewell said.”It’s pretty tough to defend out here but when a guy plays like that, it’s really tough.”Earlier, New Zealand looked well placed after Mark Chapman hit a rapid 94 before they were dismissed in their final over.Chapman dominated after New Zealand were asked to bat, tallying 11 fours and four sixes from just 44 balls faced.The rest of the home side’s batsmen struggled to get going, aside from Bracewell’s 31.Experienced seamer Haris Rauf bowled Bracewell and finished with Pakistan’s best figures of 3-29.Game four of the five-match series is in Mount Maunganui on Sunday.

Un nombre record d’au moins 8.938 personnes sont mortes sur les routes migratoires en 2024, selon l’ONU

Un nombre record d’au moins 8.938 personnes sont mortes sur les routes migratoires dans le monde en 2024, a annoncé vendredi l’ONU, soulignant que le bilan réel est “probablement bien plus élevé” car de nombreux décès ne sont pas documentés.”Le nombre croissant de migrants morts dans le monde est une tragédie qui est inacceptable et que l’on peut éviter”, a commenté la directrice générale adjointe de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Ugochi Daniels, dans un communiqué.Selon les données recueillies par cette agence de l’ONU, au moins 8.938 personnes sont mortes sur les routes migratoires à travers le monde en 2024, “ce qui en fait l’année la plus meurtrière jamais enregistrée”.C’est la cinquième année consécutive que l’OIM enregistre une hausse, indique-t-elle.”L’augmentation du nombre de décès dans de nombreuses régions du monde montre pourquoi nous avons besoin d’une réponse internationale et holistique pour empêcher d’autres pertes tragiques de vies humaines”, a indiqué Mme Daniels .Selon l’OIM, “2024 a été l’année la plus meurtrière jamais enregistrée dans la plupart des régions du monde, y compris en Asie (2.778 décès enregistrées), en Afrique (2.242) et en Europe (233)”. Les 2.452 décès documentés en mer Méditerranée en 2024 ne constituent pas un record, selon l’OIM, qui souligne toutefois que ce “nombre élevé montre la nécessité de systèmes de recherche et de sauvetage adéquats ainsi que la nécessité de routes de migration sûres et régulières”. L’OIM explique aussi que les données finales ne sont pas encore disponibles pour la région des Amériques, mais les données actuelles font état d’au moins 1.233 décès, dont des nombres record de 341 morts dans les Caraïbes et de 174 autres dans la jungle du Darien, située à cheval entre Panama et Colombie.L’OIM estime que “le nombre réel de décès et de disparitions de migrants est probablement beaucoup plus élevé, car beaucoup n’ont pas été documentés en raison du manque de sources officielles”. De plus, l’identité et l’origine de la majorité des migrants qui sont décédés ou portés disparus sont inconnues.”La hausse des décès est terrible en soi, mais le fait que des milliers de personnes restent non identifiées chaque année est encore plus tragique”, a commenté Julia Black, qui coordonne le projet “Migrants disparus” de l’OIM. “Au-delà du désespoir et des questions non résolues rencontrées par les familles qui ont perdu un être cher, le manque de données plus complètes sur les risques auxquels les migrants sont confrontés entrave les réponses qui sauvent des vies”, a-t-elle ajouté.

South Cascade, “glacier de l’année” et référence mondiale de l’étude sur les glaciers

Impressionnante masse dans le nord-ouest des Etats-Unis, le glacier South Cascade a inspiré des générations de scientifiques qui l’ont étudié de près, développant et affinant des méthodes aujourd’hui utilisées dans le monde entier.Figurant parmi les cinq glaciers dits “de référence” dans le pays, et nommé vendredi “glacier de l’année” par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) en l’honneur des scientifiques qui le suivent depuis des décennies, son évolution est particulièrement scrutée à mesure que l’activité humaine réchauffe la Terre. Voici quelques éléments marquants à son sujet.- Technologie du radar -Les eaux de fonte du glacier, situé dans l’Etat de Washington, s’écoulent directement dans le lac South Cascade qui alimente le fleuve Cascade, lequel se jette dans le Puget Sound, un bras de mer qui longe notamment la ville de Seattle.Si les glaciers sont étudiés en Europe depuis au moins le 19e siècle, “une grande partie des méthodes scientifiques que nous utilisons pour mesurer les glaciers ont été développées ici”, explique Andrew Fountain, universitaire spécialisé dans la recherche sur les glaciers et le changement climatique. La technologie du radar a notamment permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de la glace à un endroit où un glacier existe probablement depuis plus d’un million d’années.Les mesures ont commencé sur le site en 1958, selon l’USGS, l’organisme gouvernemental qui étudie l’environnement et les ressources naturelles.- Historique de mesures -L’année suivante, l’USGS a lancé un projet de mesures dit “bilan de masse continu”, qui comptabilise le débit des cours d’eau, les précipitations, la température de l’air, la pression atmosphérique, l’épaisseur, la densité de la neige ou encore l’ablation de la glace.”Ce glacier possède le plus grand historique de mesures scientifiques dans le continent américain”, souligne M. Fountain. Les glaciologues ont ainsi pu “suivre la façon dont le glacier réagit au climat”. “Comme vous pouvez l’imaginer, il a reculé de manière spectaculaire”, tombant aujourd’hui à environ la moitié de la taille qu’il avait lorsque les mesures ont commencé, ajoute le scientifique qui blâme l’augmentation des températures.Une atmosphère plus chaude réduit la quantité de précipitations sous forme de neige et augmente la température de l’air ambiant.- Recherche menacée par Trump -La recherche subit le retour de Donald Trump à la tête des Etats-Unis. Le milliardaire Elon Musk a entrepris de réduire fortement les dépenses publiques, supprimant de nombreux emplois et subventions, y compris dans la recherche. L’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) compte notamment supprimer son Bureau de recherche et développement et limoger la majorité de ses effectifs, selon un plan dont des extraits ont été transmis à l’AFP.M. Fountain tire la sonnette d’alarme: environ 2% de l’eau de la planète est stockée dans les glaciers et, s’ils fondent tous, elle finira par s’écouler dans les océans, ce qui fera monter le niveau des mers et mettra en péril des dizaines de milliers de kilomètres de côtes à travers le monde. Toutes les régions glaciaires ont enregistré une perte de masse nette en 2024, pour la troisième année consécutive, a annoncé vendredi l’OMM.C’est pour cette raison, entre autres, que la science de la glaciologie née à South Cascade est indispensable, insiste le chercheur américain. “Ce n’est pas parce que nous ne voulons pas entendre parler d’une chose qu’elle n’est pas en train d’arriver”, prévient-il.

Ouganda: 18 journalistes battus par les forces de sécurité pendant une élection, dénonce RSF

Dix-huit journalistes ont été violemment frappés par des militaires et des membres d’une unité antiterroriste ougandaise alors qu’ils couvraient une élection locale à Kampala la semaine dernière, a dénoncé Reporters sans frontières (RSF), qui s’inquiète d’une répression accrue à un an de la présidentielle.”Au moins 13 journalistes couvrant les élections partielles du 13 mars à Kawempe North, un district du nord de Kampala, ont été sévèrement battus par les forces de sécurité ougandaises”, affirme RSF dans un communiqué publié jeudi soir, précisant que tous les journalites étaient clairement identifiables.Cinq autres journalistes avaient déjà été agressés trois semaines plus tôt dans le cadre de la campagne pour ce scrutin, l’un d’eux ayant “failli perdre l’Å“il gauche”, ajoute l’ONG. Un reporter de la chaîne de télévision privée NTV Uganda a notamment raconté s’être vu confisquer le 13 mars, avec deux autres journalistes, leur matériel ainsi que leurs chaussures et montres, avant d’être frappés dans un véhicule aux fenêtres couvertes pendant plus d’une heure. “Ils nous ont demandé de nous allonger dans la camionnette, puis de faire semblant de dormir, de ronfler. Ils nous ont forcés à compter jusqu’à 15 et nous ont frappés à chaque chiffre” prononcé, a témoigné Raymond Tamale, de NTV.Au total, au moins dix journalistes ont dû être hôpitalisés le 13 mars, déplore RSF.Le porte-parole de l’armée Chris Magezi a affirmé dans un communiqué que ces violences résultaient “d’une incompréhension et d’une mauvaise coordination”, les journalistes ayant “probablement été confondus avec des partisans violents.”L’Ouganda occupait la 128e position sur 180 pays du classement RSF de la liberté de la presse en 2024.”Un tel traitement (…) est inacceptable”, dénonce Sadibou Marong, directeur de RSF pour l’Afrique subsaharienne. A un an de la présidentielle ougandaise, “il est essentiel que les journalistes puissent travailler en toute sécurité”, souligne-t-il.L’ONU et plusieurs organisations de défense des droits humains ont exprimé leur inquiétude concernant la répression de l’opposition en Ouganda à l’approche de l’élection présidentielle de 2026.A Kawempe North, le candidat soutenu par le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986, a perdu l’élection partielle face à celui du parti rival, de l’opposant et ancien chanteur de reggae Bobi Wine.

“Raconter mon histoire avec mes mots”: Gisèle Pelicot va publier ses mémoires

La Française Gisèle Pelicot, devenue un symbole des victimes de viols après un procès historique contre son ex-mari qui l’avait droguée afin de la faire violer par des inconnus, va publier ses mémoires, a annoncé jeudi son éditeur britannique.Cet éditeur, The Bodley Head (groupe Penguin), donne dans un communiqué le titre en anglais, “A Hymn to Life” (“Un hymne à la vie”). Le livre doit paraître le 27 janvier 2026, et en vingt langues.Flammarion, en France, a précisé vendredi qu’il publierait le livre le 28 janvier, sans donner de titre français.”Je suis immensément reconnaissante du soutien extraordinaire que j’ai reçu depuis le début du procès”, a déclaré Gisèle Pelicot, citée dans le communiqué des maisons d’édition.”Aujourd’hui, je souhaite raconter mon histoire avec mes propres mots. En partageant ce récit, j’espère transmettre un message d’espoir et de courage à tous ceux qui traversent des épreuves difficiles au cours de leur existence. En espérant qu’ils ne ressentent jamais de honte”, a-t-elle poursuivi. L’ouvrage est actuellement écrit en collaboration avec la journaliste et romancière Judith Perrignon, a précisé Flammarion.Gisèle Pelicot, droguée et violée pendant des années par son mari et des dizaines d’hommes que ce dernier recrutait sur internet, est devenue une icône féministe au cours du procès des viols de Mazan (sud-est de la France) qui s’est tenu entre septembre et décembre 2024 et a connu un retentissement mondial.Gisèle Pelicot a refusé que le procès de ses violeurs se déroule à huis clos, pour que “la honte” change de camp.Son ex-mari Dominique Pelicot a été condamné en décembre à 20 ans de réclusion criminelle. Il n’a pas fait appel. Ses 50 co-accusés, reconnus pour la plupart coupables de viols, âgés de 27 à 74 ans, ont été condamnés à des peines s’échelonnant entre trois ans de prison dont deux avec sursis, et 15 ans de réclusion criminelle. Certains ont fait appel.En décembre, les mémoires de Caroline Darian, la fille de Gisèle Pelicot, “I’ll Never Call Him Dad Again” ont été publiées en langue anglaise. La version française “Et j’ai cessé de t’appeler papa” avait été publiée en français en 2022.