Rare migrants on US-Canada border at heart of Trump demands to Ottawa
Fresh footprints cut across the thick blanket of snow outside a small white house near the line dividing Canada and the United States.For Canadian border officer Keven Rouleau, it’s a clear sign of illegal migration.”They regularly run across the border,” he told AFP, which shadowed him on patrol.In 2024, these southbound migrants numbered 21,000 — a drop in the ocean compared to the 1.5 million intercepted on the US border with Mexico.Migrants who cross from Canada into the United States in the winter face dangerous conditions, with deep snow and high winds, and are often forced to abandon their vehicles to proceed on foot.They are sometimes only lightly dressed and wearing “simple sneakers in 20 centimeters (nearly eight inches) of snow,” Rouleau said of the migrants, who sometimes hide under trees to avoid detection.Canadian officers with bullhorns and powerful searchlights give chase, seeking to stop them from crossing the border, according to Rouleau.Since US President Donald Trump returned to the White House in a blaze of executive actions and rhetoric on immigration, the border has been thrust into the spotlight. On Saturday he made good on his threats to impose tariffs on Canada — and Mexico — over the flow of migrants, as well as the smuggling of lethal drugs.Canadian exports to the United States will now face a 25 percent tariff, although energy resources from Canada will have a lower 10 percent levy.The meandering border between the neighbors is the longest in the world at 5,525 miles (8,891 kilometers) long. It is largely open without significant fencing and crisscrossed by thousands of miles of dense forests and farmland, and only a few rural roads.- Drug smuggling -Rouleau patrols a 200-mile stretch of the border in the province of Quebec. Ten officers are on duty around the clock, either in vehicles to detect suspicious footprints in winter, or by monitoring feeds from surveillance cameras. They also field reports of suspicious activity from the local community.Since Trump started to rail against Ottawa’s handling of border security, Canada has been at pains to insist that its frontier is nothing like the US border with Mexico.Nonetheless Prime Minister Justin Trudeau quickly rolled out a Can$1.3 billion ($894 million) border security plan.To much fanfare, the Royal Canadian Mounted Police (RCMP) unveiled two Black Hawk helicopters, repainted in police colors from their former US Army camouflage, that will help with “rapid intervention.”An RCMP spokesman insisted there was no migration “crisis” and that “the situation is entirely under control.”Canadian authorities say the number of crossings from their side of the line to the United States has dropped 90 percent since last summer.US Customs and Border Protection stats show that 42 pounds (19 kilograms) of potentially deadly fentanyl was seized last year entering the country from Canada, compared to 21,160 pounds from Mexico.Rouleau, the Canadian border officer, said that while the concern of local people has been palpable since Trump’s reelection, his job has remained the same. “It’s the status quo,” he said.Jody Stone, mayor of Stanstead, a small Canadian town in Rouleau’s patch, said “the border is quiet.”Residents have become accustomed to the presence of surveillance cameras clandestinely fitted to utility poles, she said, allowing officers to detect and monitor illegal activity.
Inondations: “lente” décrue dans l’ouest, état de catastrophe naturelle “accéléré”
A Redon (Ille-et-Vilaine) et dans la “vingtaine” d’autres communes de l’ouest touchées par les inondations, la décrue se poursuit lentement dimanche matin, au lendemain de l’annonce d’un dispositif de reconnaissance d’état de catastrophe naturelle “accéléré”.”La reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle (…) c’est un dispositif qu’on va simplifier, accélérer”, a déclaré samedi à la presse le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, expliquant que les communes allaient pouvoir effectuer les démarches en ligne et qu’une première réunion se tiendrait “dès jeudi prochain”.En déplacement à Redon aux côtés de la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, et de la ministre déléguée à la Ruralité, Françoise Gatel, il a assuré que “toutes les communes qui sont touchées – le préfet de région en a relevé plus d’une vingtaine déjà – vont pouvoir avoir accès à ce dispositif”.Mais la décrue s’annonçant “lente”, M. Retailleau a aussi dit souhaiter “l’accélérer pour faire en sorte que les maisons d’habitation, les espaces publics puissent être libérés de l’eau le plus vite possible”.Sur les quais de Redon, où les trottoirs étaient de nouveau visibles samedi, des pompes de grande capacité tournaient à plein régime, en vrombissant. A Saint-Nicolas-de-Redon, de l’autre côté de la Vilaine, quatre pompes d’une capacité de 120 m3 par heure ont été mises en service par des plongeurs, a constaté un photographe de l’AFP.Au total, ces moyens supplémentaires en cours de déploiement seront capables de “vider une piscine olympique toutes les heures”, a indiqué Bruno Retailleau lors de sa visite.”Ça a bien baissé quand même. J’ai été voir sur le canal et le port, ça baisse dur. Pas autant sur la Vilaine”, observe Henri, interrogé par l’AFP dans le centre-ville samedi matin.Dans son dernier bulletin, Météo-France maintient en vigilance orange crues l’Ille-et-Vilaine, le Morbihan, la Loire-Atlantique, l’Eure, le Val-d’Oise et la Somme.Cette vigilance a toutefois été levée dans la Sarthe et l’Oise.Le tronçon de la Vilaine médiane est repassé en vigilance jaune et “l’amélioration des conditions météorologiques favorise les décrues en cours sur les tronçons de la Vilaine aval et de la Seiche”, précise Vigicrues. “Sur ces deux tronçons maintenus en vigilance orange, la tendance est à la baisse mais les niveaux resteront élevés et les décrues sont progressives”, prévient l’organisme de prévisions.- “Culture du risque” -“On n’a eu aucune victime parce que les choses ont été anticipées”, a souligné Bruno Retailleau, après avoir salué les pompiers, gendarmes et CRS mobilisés. Il s’agit d'”une séquence très traumatisante, notamment pour les habitants, quand on voit son habitation qui est inondée, quand on doit évacuer sa propre maison”, a-t-il ajouté.Depuis le début de cet épisode de crues dans l’ouest, qui a également touché plus en amont certains quartiers de Rennes le week-end dernier, quelque 1.108 personnes ont été évacuées en Ille-et-Vilaine, dont 150 à Redon, et 370 à Saint-Nicolas-de-Redon (Loire-Atlantique).”Aucun retour à domicile n’est autorisé pour les personnes évacuées dans la zone touchée par les inondations. Les arrêtés d’évacuation sont donc toujours effectifs”, souligne la mairie de Redon dans un communiqué samedi après-midi.”Avec le début très lent de la décrue, le retour des habitants commence à s’organiser dans certains secteurs des communes touchées”, a indiqué de son côté la préfecture de Loire-Atlantique. “La réintégration des habitants se fera progressivement, secteur par secteur, uniquement sur les zones accessibles”, souligne-t-elle.”C’est un phénomène qui est lié au dérèglement climatique”, a tenu à rappeler Agnès Pannier-Runacher, appelant à “accélérer cette culture du risque qui nous permet d’intervenir sereinement face à des événements qui vont se multiplier”. L’objectif étant, pour la ministre, d'”éviter des dommages qui finalement, on le voit, coûtent beaucoup plus cher que les investissements qu’on pourrait faire”.
Inondations: “lente” décrue dans l’ouest, état de catastrophe naturelle “accéléré”
A Redon (Ille-et-Vilaine) et dans la “vingtaine” d’autres communes de l’ouest touchées par les inondations, la décrue se poursuit lentement dimanche matin, au lendemain de l’annonce d’un dispositif de reconnaissance d’état de catastrophe naturelle “accéléré”.”La reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle (…) c’est un dispositif qu’on va simplifier, accélérer”, a déclaré samedi à la presse le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, expliquant que les communes allaient pouvoir effectuer les démarches en ligne et qu’une première réunion se tiendrait “dès jeudi prochain”.En déplacement à Redon aux côtés de la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, et de la ministre déléguée à la Ruralité, Françoise Gatel, il a assuré que “toutes les communes qui sont touchées – le préfet de région en a relevé plus d’une vingtaine déjà – vont pouvoir avoir accès à ce dispositif”.Mais la décrue s’annonçant “lente”, M. Retailleau a aussi dit souhaiter “l’accélérer pour faire en sorte que les maisons d’habitation, les espaces publics puissent être libérés de l’eau le plus vite possible”.Sur les quais de Redon, où les trottoirs étaient de nouveau visibles samedi, des pompes de grande capacité tournaient à plein régime, en vrombissant. A Saint-Nicolas-de-Redon, de l’autre côté de la Vilaine, quatre pompes d’une capacité de 120 m3 par heure ont été mises en service par des plongeurs, a constaté un photographe de l’AFP.Au total, ces moyens supplémentaires en cours de déploiement seront capables de “vider une piscine olympique toutes les heures”, a indiqué Bruno Retailleau lors de sa visite.”Ça a bien baissé quand même. J’ai été voir sur le canal et le port, ça baisse dur. Pas autant sur la Vilaine”, observe Henri, interrogé par l’AFP dans le centre-ville samedi matin.Dans son dernier bulletin, Météo-France maintient en vigilance orange crues l’Ille-et-Vilaine, le Morbihan, la Loire-Atlantique, l’Eure, le Val-d’Oise et la Somme.Cette vigilance a toutefois été levée dans la Sarthe et l’Oise.Le tronçon de la Vilaine médiane est repassé en vigilance jaune et “l’amélioration des conditions météorologiques favorise les décrues en cours sur les tronçons de la Vilaine aval et de la Seiche”, précise Vigicrues. “Sur ces deux tronçons maintenus en vigilance orange, la tendance est à la baisse mais les niveaux resteront élevés et les décrues sont progressives”, prévient l’organisme de prévisions.- “Culture du risque” -“On n’a eu aucune victime parce que les choses ont été anticipées”, a souligné Bruno Retailleau, après avoir salué les pompiers, gendarmes et CRS mobilisés. Il s’agit d'”une séquence très traumatisante, notamment pour les habitants, quand on voit son habitation qui est inondée, quand on doit évacuer sa propre maison”, a-t-il ajouté.Depuis le début de cet épisode de crues dans l’ouest, qui a également touché plus en amont certains quartiers de Rennes le week-end dernier, quelque 1.108 personnes ont été évacuées en Ille-et-Vilaine, dont 150 à Redon, et 370 à Saint-Nicolas-de-Redon (Loire-Atlantique).”Aucun retour à domicile n’est autorisé pour les personnes évacuées dans la zone touchée par les inondations. Les arrêtés d’évacuation sont donc toujours effectifs”, souligne la mairie de Redon dans un communiqué samedi après-midi.”Avec le début très lent de la décrue, le retour des habitants commence à s’organiser dans certains secteurs des communes touchées”, a indiqué de son côté la préfecture de Loire-Atlantique. “La réintégration des habitants se fera progressivement, secteur par secteur, uniquement sur les zones accessibles”, souligne-t-elle.”C’est un phénomène qui est lié au dérèglement climatique”, a tenu à rappeler Agnès Pannier-Runacher, appelant à “accélérer cette culture du risque qui nous permet d’intervenir sereinement face à des événements qui vont se multiplier”. L’objectif étant, pour la ministre, d'”éviter des dommages qui finalement, on le voit, coûtent beaucoup plus cher que les investissements qu’on pourrait faire”.
Inondations: “lente” décrue dans l’ouest, état de catastrophe naturelle “accéléré”
A Redon (Ille-et-Vilaine) et dans la “vingtaine” d’autres communes de l’ouest touchées par les inondations, la décrue se poursuit lentement dimanche matin, au lendemain de l’annonce d’un dispositif de reconnaissance d’état de catastrophe naturelle “accéléré”.”La reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle (…) c’est un dispositif qu’on va simplifier, accélérer”, a déclaré samedi à la presse le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, expliquant que les communes allaient pouvoir effectuer les démarches en ligne et qu’une première réunion se tiendrait “dès jeudi prochain”.En déplacement à Redon aux côtés de la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, et de la ministre déléguée à la Ruralité, Françoise Gatel, il a assuré que “toutes les communes qui sont touchées – le préfet de région en a relevé plus d’une vingtaine déjà – vont pouvoir avoir accès à ce dispositif”.Mais la décrue s’annonçant “lente”, M. Retailleau a aussi dit souhaiter “l’accélérer pour faire en sorte que les maisons d’habitation, les espaces publics puissent être libérés de l’eau le plus vite possible”.Sur les quais de Redon, où les trottoirs étaient de nouveau visibles samedi, des pompes de grande capacité tournaient à plein régime, en vrombissant. A Saint-Nicolas-de-Redon, de l’autre côté de la Vilaine, quatre pompes d’une capacité de 120 m3 par heure ont été mises en service par des plongeurs, a constaté un photographe de l’AFP.Au total, ces moyens supplémentaires en cours de déploiement seront capables de “vider une piscine olympique toutes les heures”, a indiqué Bruno Retailleau lors de sa visite.”Ça a bien baissé quand même. J’ai été voir sur le canal et le port, ça baisse dur. Pas autant sur la Vilaine”, observe Henri, interrogé par l’AFP dans le centre-ville samedi matin.Dans son dernier bulletin, Météo-France maintient en vigilance orange crues l’Ille-et-Vilaine, le Morbihan, la Loire-Atlantique, l’Eure, le Val-d’Oise et la Somme.Cette vigilance a toutefois été levée dans la Sarthe et l’Oise.Le tronçon de la Vilaine médiane est repassé en vigilance jaune et “l’amélioration des conditions météorologiques favorise les décrues en cours sur les tronçons de la Vilaine aval et de la Seiche”, précise Vigicrues. “Sur ces deux tronçons maintenus en vigilance orange, la tendance est à la baisse mais les niveaux resteront élevés et les décrues sont progressives”, prévient l’organisme de prévisions.- “Culture du risque” -“On n’a eu aucune victime parce que les choses ont été anticipées”, a souligné Bruno Retailleau, après avoir salué les pompiers, gendarmes et CRS mobilisés. Il s’agit d'”une séquence très traumatisante, notamment pour les habitants, quand on voit son habitation qui est inondée, quand on doit évacuer sa propre maison”, a-t-il ajouté.Depuis le début de cet épisode de crues dans l’ouest, qui a également touché plus en amont certains quartiers de Rennes le week-end dernier, quelque 1.108 personnes ont été évacuées en Ille-et-Vilaine, dont 150 à Redon, et 370 à Saint-Nicolas-de-Redon (Loire-Atlantique).”Aucun retour à domicile n’est autorisé pour les personnes évacuées dans la zone touchée par les inondations. Les arrêtés d’évacuation sont donc toujours effectifs”, souligne la mairie de Redon dans un communiqué samedi après-midi.”Avec le début très lent de la décrue, le retour des habitants commence à s’organiser dans certains secteurs des communes touchées”, a indiqué de son côté la préfecture de Loire-Atlantique. “La réintégration des habitants se fera progressivement, secteur par secteur, uniquement sur les zones accessibles”, souligne-t-elle.”C’est un phénomène qui est lié au dérèglement climatique”, a tenu à rappeler Agnès Pannier-Runacher, appelant à “accélérer cette culture du risque qui nous permet d’intervenir sereinement face à des événements qui vont se multiplier”. L’objectif étant, pour la ministre, d'”éviter des dommages qui finalement, on le voit, coûtent beaucoup plus cher que les investissements qu’on pourrait faire”.
Inondations: “lente” décrue dans l’ouest, état de catastrophe naturelle “accéléré”
A Redon (Ille-et-Vilaine) et dans la “vingtaine” d’autres communes de l’ouest touchées par les inondations, la décrue se poursuit lentement dimanche matin, au lendemain de l’annonce d’un dispositif de reconnaissance d’état de catastrophe naturelle “accéléré”.”La reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle (…) c’est un dispositif qu’on va simplifier, accélérer”, a déclaré samedi à la presse le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, expliquant que les communes allaient pouvoir effectuer les démarches en ligne et qu’une première réunion se tiendrait “dès jeudi prochain”.En déplacement à Redon aux côtés de la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, et de la ministre déléguée à la Ruralité, Françoise Gatel, il a assuré que “toutes les communes qui sont touchées – le préfet de région en a relevé plus d’une vingtaine déjà – vont pouvoir avoir accès à ce dispositif”.Mais la décrue s’annonçant “lente”, M. Retailleau a aussi dit souhaiter “l’accélérer pour faire en sorte que les maisons d’habitation, les espaces publics puissent être libérés de l’eau le plus vite possible”.Sur les quais de Redon, où les trottoirs étaient de nouveau visibles samedi, des pompes de grande capacité tournaient à plein régime, en vrombissant. A Saint-Nicolas-de-Redon, de l’autre côté de la Vilaine, quatre pompes d’une capacité de 120 m3 par heure ont été mises en service par des plongeurs, a constaté un photographe de l’AFP.Au total, ces moyens supplémentaires en cours de déploiement seront capables de “vider une piscine olympique toutes les heures”, a indiqué Bruno Retailleau lors de sa visite.”Ça a bien baissé quand même. J’ai été voir sur le canal et le port, ça baisse dur. Pas autant sur la Vilaine”, observe Henri, interrogé par l’AFP dans le centre-ville samedi matin.Dans son dernier bulletin, Météo-France maintient en vigilance orange crues l’Ille-et-Vilaine, le Morbihan, la Loire-Atlantique, l’Eure, le Val-d’Oise et la Somme.Cette vigilance a toutefois été levée dans la Sarthe et l’Oise.Le tronçon de la Vilaine médiane est repassé en vigilance jaune et “l’amélioration des conditions météorologiques favorise les décrues en cours sur les tronçons de la Vilaine aval et de la Seiche”, précise Vigicrues. “Sur ces deux tronçons maintenus en vigilance orange, la tendance est à la baisse mais les niveaux resteront élevés et les décrues sont progressives”, prévient l’organisme de prévisions.- “Culture du risque” -“On n’a eu aucune victime parce que les choses ont été anticipées”, a souligné Bruno Retailleau, après avoir salué les pompiers, gendarmes et CRS mobilisés. Il s’agit d'”une séquence très traumatisante, notamment pour les habitants, quand on voit son habitation qui est inondée, quand on doit évacuer sa propre maison”, a-t-il ajouté.Depuis le début de cet épisode de crues dans l’ouest, qui a également touché plus en amont certains quartiers de Rennes le week-end dernier, quelque 1.108 personnes ont été évacuées en Ille-et-Vilaine, dont 150 à Redon, et 370 à Saint-Nicolas-de-Redon (Loire-Atlantique).”Aucun retour à domicile n’est autorisé pour les personnes évacuées dans la zone touchée par les inondations. Les arrêtés d’évacuation sont donc toujours effectifs”, souligne la mairie de Redon dans un communiqué samedi après-midi.”Avec le début très lent de la décrue, le retour des habitants commence à s’organiser dans certains secteurs des communes touchées”, a indiqué de son côté la préfecture de Loire-Atlantique. “La réintégration des habitants se fera progressivement, secteur par secteur, uniquement sur les zones accessibles”, souligne-t-elle.”C’est un phénomène qui est lié au dérèglement climatique”, a tenu à rappeler Agnès Pannier-Runacher, appelant à “accélérer cette culture du risque qui nous permet d’intervenir sereinement face à des événements qui vont se multiplier”. L’objectif étant, pour la ministre, d'”éviter des dommages qui finalement, on le voit, coûtent beaucoup plus cher que les investissements qu’on pourrait faire”.
Mexico accuses US of ‘slander’ over cartel alliance claim
Mexican President Claudia Sheinbaum angrily rejected an accusation by the United States Saturday that her government has an alliance with drug cartels, and vowed to retaliate against Donald Trump’s sweeping tariffs.Tensions between the closely connected neighbors soared after the White House said Trump would slap 25-percent tariffs on Mexican as well as Canadian goods because of illegal immigration and drug smuggling.Sheinbaum said she had told her economy minister, Marcelo Ebrard, “to implement Plan B that we have been working on, which includes tariff and non-tariff measures in defense of Mexico’s interests.”Ebrard called Trump’s tariffs a “flagrant violation” of the United States’ free trade agreement with Mexico and Canada.Sheinbaum also hit back after Washington accused her government of having an “intolerable alliance” with drug trafficking groups.”We categorically reject the slander made by the White House against the Mexican government about alliances with criminal organizations,” Sheinbaum wrote on social media platform X.”If there is such an alliance anywhere, it is in the US gun shops that sell high-powered weapons to these criminal groups,” she added.”If the United States government and its agencies wanted to address the serious consumption of fentanyl in their country, they can combat the sale of narcotics on the streets of their main cities, which they don’t do, and the money laundering generated by this illegal activity that has done so much harm to their population,” Sheinbaum said.Although US politicians and analysts have previously alleged Mexican government collaboration with cartels, it is the first time that a formal accusation has been made, retired Mexican diplomat Agustin Gutierrez Canet said.”It’s really unprecedented that the US government has now formally linked the Mexican government to drug trafficking in an official document,” he told AFP.”Trump uses this rhetoric to pressure but it should never be taken lightly,” he added.- Mexican recession possible -Analysts said the tariffs imposed by Mexico’s biggest trade partner would deal a heavy blow to Latin America’s second-largest economy.The United States bought more than 80 percent of Mexico’s exports last year, according to official figures.”Since exports to the US account for around 20 percent of their GDP, today’s tariffs could plunge both the Canadian and Mexican economies into recession later this year,” the Capital Economics consultancy firm wrote in a note to clients.An across-the-board tariff of 25 percent could lead to a drop in Mexican exports of around 12 percent, according to Gabriela Siller, head of economic analysis for the financial group Banco BASE.Mexico’s gross domestic product “could fall by four percent in 2025, if the tariff remains in place all year,” she warned.”By the end of 2024, Mexico was on the verge of a recession. If this tariff lasts for several months, the Mexican economy will fall into a severe recession,” Siller added.
Cash-keen Taliban betting on Afghanistan’s mines
A miner in the mountains of eastern Afghanistan poured water over a block of jade, exposing the green stone that is part of the Taliban authorities’ push to capitalise on the country’s rich mineral resources.Touting the return of security, the Taliban government is rushing to court local and foreign investors to exploit the country’s underground wealth and secure a crucial revenue stream — though experts warn of the risks of cutting corners.Emeralds, rubies, marble, gold and lithium: the resources buried across Afghanistan’s rocky landscape are estimated to be worth a trillion dollars, according to US and UN assessments from 2010 and 2013.Though decades of war spared these reserves from large-scale exploitation, roughly 200 contracts — the majority with local companies — worth billions of dollars in total have been signed since the Taliban’s 2021 return to power, official figures show.”We want Afghanistan to be self-sufficient but there are obstacles,” Humayoun Afghan, the spokesman for the Ministry of Mines, told AFP.”We have no experts, no infrastructure, no knowledge.”The Taliban authorities will “welcome anyone who wants to invest, especially those with mining experience”, he added.Many of these contracts focus on mining exploration, a process that can take years and yield little results, while loosely regulated extraction can leave behind environmental scars, experts caution.The US Geological Survey (USGS) has noted the production of coal, talc and chromite, “sharply increased” in 2021 and 2022.The authorities are prioritising resources that could lose value before tackling others, such as lithium, the prices of which may still rise on global markets.The mines ministry regularly publishes tenders for exploration and extraction projects, sending their embassies lists of available mining projects to invite foreign companies to apply, according to documents reviewed by AFP.The World Bank says the results are already visible: a 6.9 percent expansion of mining and quarrying drove an industrial sector increase of 2.6 percent in 2023-2024.But while the government “has auctioned several small mining contracts to meet its cash requirements, many of these contracts have yet to commence operations”, it said in a December report. For mining sector expert Javed Noorani, authorities are tendering “maybe 10 times more than its own capacity to do things”.- ‘Country is stabilised’ -The Taliban fought a two decade insurgency against the US and NATO-backed Afghan government in Kabul, seizing power in a rapid military campaign in 2021 after foreign forces withdrew.Foreign investors had largely abandoned the country, but security has drastically improved and the country’s road network has opened up.Most now fear being associated with the “Islamic Emirate”, which remains unrecognised internationally and under Western sanctions.However, some countries that maintain diplomatic and economic ties with Kabul, such as Iran, Turkey, Uzbekistan and Qatar, have seized the opportunity, with China leading the way.”The first thing investors say when they meet with us is that the county has been stabilised so now they want to invest,” said Afghan, who estimates that 150,000 jobs have been created by the sector since 2021.Despite improved stability in the mountainous country, there have been sporadic attacks on foreigners claimed by the Islamic State group — including a Chinese mine worker killed while travelling in northern Takhar province in January.- China in the lead -The Chinese state-owned company MCC is already operating at the Mes Aynak copper deposit, the world’s second-largest, located 40 kilometres (25 miles) from Kabul, under a 2008 contract revived by the Taliban government.Chinese companies have secured at least three other major mining projects, particularly in gold and copper, Afghan said.At a mine carved out of a mountainside in Goshta in eastern Nangarhar province, jade is extracted to be used in jewellery.”The majority of our nephrite goes to China,” said Habibrahman Kawal, co-owner of the mine. Kawal is pleased with his thriving business, having never invested in mining before the Taliban takeover.Only 14 mining companies currently active were operating under the previous government, according to the Britain-based Centre for Information Resilience.”This suggests that a new set of companies dominates the mining sector in Afghanistan,” it said.The government declined to disclose revenue figures but it profits by taking stakes in some companies and collecting royalties.- Environmental risks -Shir Baz Kaminzada, president of the Afghanistan Chamber of Industries and Mines, said some investors disregard international sanctions knowing “they can make money”. In countries with strict regulations, “you’ll spend billions to start a mine”.”In a place like Afghanistan, where there’s very little experience with mining and very few, if any, regulations for mining, that’s an advantage to companies coming in,” said geophysicist David Chambers, president of a non-profit providing technical assistance in mining activities.This allows for faster work, but “could cause environmental or economic harm”, he said.The main danger lies in mine waste, as only one percent of what is excavated is removed.The rest may contain iron sulfide minerals that contaminate the ground if it comes into contact with water.The mines ministry claims to adhere to existing legislation to ensure that the mines are “cleaned” after extraction, without providing further details.”Every dollar you don’t spend in designing a safe tailings dam (to contain waste) or in cleaning up water, that’s profit,” said Chambers. “But again, that leads to potential longer term costs.”In Afghanistan, Kaminzada admitted, “people are not taking care of the long term”.
Cash-keen Taliban betting on Afghanistan’s mines
A miner in the mountains of eastern Afghanistan poured water over a block of jade, exposing the green stone that is part of the Taliban authorities’ push to capitalise on the country’s rich mineral resources.Touting the return of security, the Taliban government is rushing to court local and foreign investors to exploit the country’s underground wealth and secure a crucial revenue stream — though experts warn of the risks of cutting corners.Emeralds, rubies, marble, gold and lithium: the resources buried across Afghanistan’s rocky landscape are estimated to be worth a trillion dollars, according to US and UN assessments from 2010 and 2013.Though decades of war spared these reserves from large-scale exploitation, roughly 200 contracts — the majority with local companies — worth billions of dollars in total have been signed since the Taliban’s 2021 return to power, official figures show.”We want Afghanistan to be self-sufficient but there are obstacles,” Humayoun Afghan, the spokesman for the Ministry of Mines, told AFP.”We have no experts, no infrastructure, no knowledge.”The Taliban authorities will “welcome anyone who wants to invest, especially those with mining experience”, he added.Many of these contracts focus on mining exploration, a process that can take years and yield little results, while loosely regulated extraction can leave behind environmental scars, experts caution.The US Geological Survey (USGS) has noted the production of coal, talc and chromite, “sharply increased” in 2021 and 2022.The authorities are prioritising resources that could lose value before tackling others, such as lithium, the prices of which may still rise on global markets.The mines ministry regularly publishes tenders for exploration and extraction projects, sending their embassies lists of available mining projects to invite foreign companies to apply, according to documents reviewed by AFP.The World Bank says the results are already visible: a 6.9 percent expansion of mining and quarrying drove an industrial sector increase of 2.6 percent in 2023-2024.But while the government “has auctioned several small mining contracts to meet its cash requirements, many of these contracts have yet to commence operations”, it said in a December report. For mining sector expert Javed Noorani, authorities are tendering “maybe 10 times more than its own capacity to do things”.- ‘Country is stabilised’ -The Taliban fought a two decade insurgency against the US and NATO-backed Afghan government in Kabul, seizing power in a rapid military campaign in 2021 after foreign forces withdrew.Foreign investors had largely abandoned the country, but security has drastically improved and the country’s road network has opened up.Most now fear being associated with the “Islamic Emirate”, which remains unrecognised internationally and under Western sanctions.However, some countries that maintain diplomatic and economic ties with Kabul, such as Iran, Turkey, Uzbekistan and Qatar, have seized the opportunity, with China leading the way.”The first thing investors say when they meet with us is that the county has been stabilised so now they want to invest,” said Afghan, who estimates that 150,000 jobs have been created by the sector since 2021.Despite improved stability in the mountainous country, there have been sporadic attacks on foreigners claimed by the Islamic State group — including a Chinese mine worker killed while travelling in northern Takhar province in January.- China in the lead -The Chinese state-owned company MCC is already operating at the Mes Aynak copper deposit, the world’s second-largest, located 40 kilometres (25 miles) from Kabul, under a 2008 contract revived by the Taliban government.Chinese companies have secured at least three other major mining projects, particularly in gold and copper, Afghan said.At a mine carved out of a mountainside in Goshta in eastern Nangarhar province, jade is extracted to be used in jewellery.”The majority of our nephrite goes to China,” said Habibrahman Kawal, co-owner of the mine. Kawal is pleased with his thriving business, having never invested in mining before the Taliban takeover.Only 14 mining companies currently active were operating under the previous government, according to the Britain-based Centre for Information Resilience.”This suggests that a new set of companies dominates the mining sector in Afghanistan,” it said.The government declined to disclose revenue figures but it profits by taking stakes in some companies and collecting royalties.- Environmental risks -Shir Baz Kaminzada, president of the Afghanistan Chamber of Industries and Mines, said some investors disregard international sanctions knowing “they can make money”. In countries with strict regulations, “you’ll spend billions to start a mine”.”In a place like Afghanistan, where there’s very little experience with mining and very few, if any, regulations for mining, that’s an advantage to companies coming in,” said geophysicist David Chambers, president of a non-profit providing technical assistance in mining activities.This allows for faster work, but “could cause environmental or economic harm”, he said.The main danger lies in mine waste, as only one percent of what is excavated is removed.The rest may contain iron sulfide minerals that contaminate the ground if it comes into contact with water.The mines ministry claims to adhere to existing legislation to ensure that the mines are “cleaned” after extraction, without providing further details.”Every dollar you don’t spend in designing a safe tailings dam (to contain waste) or in cleaning up water, that’s profit,” said Chambers. “But again, that leads to potential longer term costs.”In Afghanistan, Kaminzada admitted, “people are not taking care of the long term”.