Starc bags five as Delhi beat Hyderabad in IPL

Australia’s Mitchell Starc claimed his first five-wicket haul in T20 cricket to help Delhi Capitals down Sunrisers Hyderabad for their second straight win in the Indian Premier League on Sunday.Starc, a left-arm quick, returned figures of 5-35 as Delhi bowled out Hyderabad for 163 in 18.4 overs in their second home at Visakhapatnam.South African veteran Faf du Plessis then smashed 50 off 27 balls and put on 81 runs for the first wicket with Australian batter Jake Fraser-McGurk, who hit 38, as Delhi achieved their target with four overs and seven wickets to spare.Hyderabad’s innings started badly as Abhishek Sharma was run out early for one when he was involved in a mix-up with fellow opener Travis Head.Starc then struck twice in one over to send back Ishan Kishan and Nitish Reddy and then got fellow Australian Head caught behind for 22 as Hyderabad slipped to 37-4 in 4.1 overs.Indian batter Aniket Verma, who top-scored with 74, and South African wicketkeeper-batsman Heinrich Klaasen then put on an attacking stand of 77 in an attempt to hit back.Klaasen fell on 32 off 19 balls to Mohit Sharma, but Aniket kept up the charge in an eye-catching 41-ball knock laced with five fours and six sixes.Fraser-McGurk ended Aniket’s blitz with a stunning catch at deep mid-wicket when he timed his jump to pluck a travelling ball out of the air and hand spinner Kuldeep Yadav a prized wicket.Kuldeep, a left-arm wrist spinner, claimed figures of 3-22 before Starc completed his five to wrap up the Hyderabad innings.In reply, Du Plessis came out firing as he smashed India fast bowler Mohammed Shami for a six and three fours in a 15-run third over to set up the chase.Du Plessis fell after his 50 to Indian leg-spinner Zeeshan Ansari who took a beating at the hands of Fraser-McGurk but hit back with his second wicket in the same over.Ansari later bowled KL Rahul round his legs before Abhishek Porel, on 34, and Tristan Stubbs, on 21, steered the team home in an unbeaten stand of 51.Delhi, under new skipper Axar Patel, have rebuilt the team in their hunt for a first IPL title and brought in England great Kevin Pietersen as mentor.Hyderabad, winners in 2016 under David Warner, have two losses and one victory in three outings this season.

Ukraine: à Poltava, haut lieu d’un “mythe russe”, opération décolonisation

La petite guide aux cheveux sombres parcourt les salles silencieuses du musée où elle a travaillé toute sa vie. Un calme trompeur y règne. À Poltava, en Ukraine, ravagée par l’invasion russe, son établissement est aussi tourmenté par la guerre des mémoires.Face à l’agression russe, les autorités ukrainiennes entreprennent de décoloniser l’histoire du pays et celle de Poltava, théâtre au XVIIIe siècle d’une bataille érigée par la Russie tsariste, puis l’URSS, en symbole de son emprise sur l’Ukraine.Cette politique suit celle de la “décommunisation” qui, à partir de l’annexion de la Crimée et le conflit avec les séparatistes du Donbass soutenus par Moscou en 2014, a entraîné le démantèlement des vestiges communistes.Mais avec l’attaque russe à grande échelle lancée il y a trois ans, Kiev veut remonter plus loin et a adopté en 2023 une loi sur la “décolonisation” qui concerne particulièrement Poltava.”En plus de 300 ans, un mythe complexe s’est créé autour de la bataille de Poltava : militaire, géopolitique, socio-culturel et religieux”, résume Lioudmyla Chendryk, qui depuis plus de 40 ans travaille dans le musée consacré à cet événement.En juin 1709, lors de la grande guerre du Nord (1700-1721), les troupes du tsar russe Pierre 1er remportent à Poltava une victoire décisive contre celles du roi suédois Charles XII allié à un chef cosaque ukrainien, l’hetman Ivan Mazepa.Dans les années qui suivent, l’empire russe prend d’importants territoires à la Suède, qui perd la guerre, et la Russie devient la nouvelle puissance dominante en Europe de l’Est.- Héros ou traître -Lioudmila Chendryk dit que Pierre 1er dépensa “sans compter” pour présenter sa victoire de Poltava comme l’oeuvre d’un “génie”, d’un élu de Dieu, quitte “à exagérer le nombre de troupes suédoises et à minimiser celui des Russes”.Le cosaque Mazepa, qui avait soutenu le tsar avant de rallier la Suède, est présenté par les Russes comme un traître ultime, alors que, à cette époque, d’autres Ukrainiens combattaient avec Pierre 1er.En 1828, dans un célèbre poème, Alexandre Pouchkine contribue à forger dans la culture russe la légende noire d’Ivan Mazepa, qu’il présente comme un vieil homme pitoyable et malfaisant.Sous Staline, explique Lioudmyla Chendryk, l’URSS reprend un “narratif impérial” : les “peuples frères” russe, ukrainien et bélarusse menèrent “une guerre de partisans” contre “les interventionnistes suédois” et “les exploiteurs mazépins”. Le musée a présenté cette interprétation soviétique jusqu’à l’indépendance de l’Ukraine en 1991. A partir de là, affirme M. Chendryk, il s’est transformé.Aujourd’hui, Ivan Mazepa, un polyglotte instruit en Europe et grand mécène dans son pays, y est présenté comme un héros national qui, comme l’attestent de multiples sources, voulait préserver l’indépendance de la cosaquerie ukrainienne face à l’expansionnisme de Moscou.En 2020, le musée a créé une installation qui dissèque “10 mythes russes” autour de la bataille de Poltava, dont celui de la “trahison” de Mazepa.”Mazepa n’était pas un traître pour son peuple”, tranche Volodymyr, 25 ans, un professeur d’histoire rencontré à Poltava. Mais, selon lui, la décolonisation ne réussira que si elle sort des bibliothèques et touche les jeunes sur Internet.- “Acte de génocide” -Depuis l’invasion de 2022 et la dévastation qu’elle entraîne, les esprits sont tendus.En 2024, le principal média en ligne du pays, Ukraïnska Pravda, a publié un article assassin accusant le musée de la bataille de Poltava de continuer à glorifier “les armes russes”.Le texte reproche notamment à l’établissement de ne pas détailler suffisamment le massacre par les Russes, en 1708, des milliers d’habitants de Batouryn, la capitale de Mazepa, un crime qualifié dans l’article “d’acte de génocide”.Il critique aussi la municipalité pour n’avoir pas retiré, dans un parc, une colonne célébrant la victoire de 1709. Une statue de Pierre 1er installée devant le musée de la bataille a été emballée dans du plastique noir dès juin 2022, avant d’être démontée en février dernier. La directrice des lieux, Natalia Bilan, ne cache pas son effarement face à ces attaques, tout en notant que la décolonisation implique, pour ses employés, “une profonde réinterprétation” des faits.Elle souligne que de nombreux soldats ukrainiens visitent le musée. Dans son vestibule, sur un drapeau signé par des militaires, un message remercie l’établissement de préserver “l’esprit de la cosaquerie”. La guide Lioudmyla Chendryk dit avoir pour mission d’analyser les causes de la “catastrophe” de Poltava pour qu’elle ne se reproduise plus.”Il faut être courageux, ne pas se taire, ni fermer les yeux sur les pages complexes et désagréables de notre histoire”, prône Mme Chendryk. “Et l’une de ces pages désagréables, c’est surtout notre manque d’unité.”

Dati commémore les 30 ans de la BnF, “gardienne de notre mémoire commune”

L’histoire de la Bibliothèque nationale de France (BnF) “démontre que la France, ça sera jamais fini”, a lancé dimanche à Paris Rachida Dati, ministre de la Culture, en commémorant les 30 ans du site François-Mitterrand, inauguré jour pour jour en 1995, a constaté une journaliste de l’AFP.”L”histoire de la Bibliothèque nationale de France c’est d’abord l’histoire d’une institution gardienne de notre mémoire commune, de notre patrimoine commun”, a déclaré la ministre devant un parterre d’invités dont plusieurs anciens ministres.”Cette histoire démontre que la France, ça sera jamais fini, bien au contraire et contrairement à tout ce que peuvent dire certains, y compris les oiseaux de mauvais augure”, a-t-elle ajouté, face aux critiques contre la politique gouvernementale et de l’Elysée sur le plan intérieur comme sur la scène internationale.Point d’orgue des grands travaux architecturaux réalisés sous la présidence de François Mitterrand, le site de la BnF qui porte le nom de l’ancien président socialiste et longe les bords de Seine, est constitué de quatre immenses tours de 80 mètres de hauteur se faisant face, sous forme de livres ouverts.Au coeur de cet espace de 200.000 m2, un vaste jardin, inspiré “de la forêt de Fontainebleau” et une immense esplanade, a rappelé son concepteur, l’architecte Dominique Perrault.”Institution unique au monde par la richesse et la diversité de ses collections”, le site François-Mitterrand de la BnF, abrite 14 millions de documents (sur les 40 millions conservés par la BnF dans son ensemble). Il a accueilli 23 millions de visiteurs depuis son ouverture en 1995. PLusieurs défis l’attendent, a-t-elle souligné, dont la réalisation de son futur pôle de conservation à Amiens et sa “transition énergétique” dans un bâtiment dont l’entretien “s’apparente à celui d’un site industriel”.Le futur pôle d’Amiens, qui abritera aussi le conservatoire national de la presse, vise à désengorger les réserves qui arrivent à “saturation”, selon la ministre. Ses travaux doivent débuter en 2026 pour une ouverture en 2029.Outre le site François-Mitterrand, la BnF gère d’autres sites majeurs dont celui de Richelieu, au coeur de Paris. Elle a numérisé des millions de documents accessibles aujourd’hui sur sa bibliothèque en ligne Gallica.

Gaza: Netanyahu appelle le Hamas à déposer les armes, propose l’exil à ses dirigeants

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé dimanche le Hamas à déposer les armes, assurant que ses dirigeants pourraient alors quitter Gaza, au moment où Israël poursuit ses bombardements meurtriers sur le territoire palestinien.Des frappes aériennes sur Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, ont tué au moins 17 personnes, “pour la plupart des enfants et des femmes”, selon l’hôpital Nasser.Une des frappes a visé une maison et une tente abritant des personnes déplacées dans le sud de la bande de Gaza, faisant huit morts, dont cinq enfants, au premier jour de l’Aïd al-Fitr, la fête musulmane qui marque la fin du mois de jeûne de ramadan, selon Mahmoud Bassal, porte-parole du service de secours de Gaza. Une trêve fragile, entrée en vigueur le 19 janvier après 15 mois de guerre, s’est effondrée le 18 mars lorsque Israël a repris ses bombardements aériens et son offensive terrestre dans le territoire palestinien.Le Hamas et Israël ont tous deux indiqué samedi avoir reçu une nouvelle proposition de trêve de la part des médiateurs, visant à rétablir le cessez-le-feu à Gaza, où la guerre avait été déclenchée par l’attaque sans précédent du 7 octobre 2023 du Hamas contre Israël.- La pression “fonctionne” -“En ce qui concerne le Hamas à Gaza, la pression militaire fonctionne (…) Nous pouvons voir des brèches commencer à apparaître” dans le cadre des négociations, a dit M. Netanyahu au début d’une réunion de son cabinet. “Le Hamas doit déposer les armes. Ses dirigeants seront (alors) autorisés à partir”, a-t-il ajouté.  Les médiateurs, Egypte, Qatar et Etats-Unis poursuivent leurs efforts pour rétablir le cessez-le-feu et obtenir la libération des otages israéliens toujours retenus à Gaza.Un haut responsable du Hamas, Khalil al-Haya, a indiqué samedi que le mouvement islamiste avait approuvé une nouvelle proposition de cessez-le-feu présentée par les médiateurs et a exhorté Israël à la soutenir. Il a affirmé toutefois que “les armes de résistance” étaient “une ligne rouge”.Le bureau du Premier ministre israélien a confirmé la réception de la proposition et a souligné qu’Israël avait soumis une contre-proposition en réponse, sans autre précision sur les détails de la médiation.En Israël, l’armée a indiqué avoir activé les sirènes d’alerte antiaériennes dans plusieurs régions du pays après le tir d’un missile depuis le Yémen, puis a annoncé l’avoir intercepté “avant de pénétrer en territoire israélien”.Les rebelles houthis du Yémen, soutenus par l’Iran, ont revendiqué plus tard le lancement d’un “missile balistique” vers l’aéroport Ben Gourion.Rapidement après le début de la guerre à Gaza, les rebelles yéménites, affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, ont mené des dizaines d’attaques de missiles contre Israël et, en mer Rouge – zone essentielle pour le commerce mondial – contre des navires auxquels ils reprochent des liens divers avec Israël.Ces attaques avaient cessé avec l’entrée en vigueur de la trêve, avant que les Houthis ne les reprennent lorsque le cessez-le-feu a volé en éclats.- Netanyahu attendu en Hongrie -A Gaza, la situation humanitaire est particulièrement dramatique depuis qu’Israël a fermé le 2 mars les points de passage pour l’aide humanitaire, espérant faire plier le Hamas pour qu’il rende les otages toujours entre ses mains. La quasi-totalité des 2,4 millions d’habitants du petit territoire côtier ont été déplacés.Visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l’humanité à Gaza, émis l’année dernière, M. Netanyahu doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé dimanche son bureau.Au cours de sa visite, M. Netanyahu devrait s’entretenir avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban et d’autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.La guerre à Gaza a entraîné la mort de 1.218 personnes, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes.Au cours de l’attaque, des mouvements armés palestiniens ont également enlevé 251 personnes, dont 58 sont toujours retenues à Gaza, parmi lesquelles 34 sont décédées selon l’armée.La campagne militaire d’Israël contre le mouvement islamiste palestinien a tué au moins 50.277 personnes à Gaza, dont la majorité sont des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas, dont les données sont jugées fiables par l’ONU. 

Gaza: Netanyahu appelle le Hamas à déposer les armes, propose l’exil à ses dirigeants

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé dimanche le Hamas à déposer les armes, assurant que ses dirigeants pourraient alors quitter Gaza, au moment où Israël poursuit ses bombardements meurtriers sur le territoire palestinien.Des frappes aériennes sur Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, ont tué au moins 17 personnes, “pour la plupart des enfants et des femmes”, selon l’hôpital Nasser.Une des frappes a visé une maison et une tente abritant des personnes déplacées dans le sud de la bande de Gaza, faisant huit morts, dont cinq enfants, au premier jour de l’Aïd al-Fitr, la fête musulmane qui marque la fin du mois de jeûne de ramadan, selon Mahmoud Bassal, porte-parole du service de secours de Gaza. Une trêve fragile, entrée en vigueur le 19 janvier après 15 mois de guerre, s’est effondrée le 18 mars lorsque Israël a repris ses bombardements aériens et son offensive terrestre dans le territoire palestinien.Le Hamas et Israël ont tous deux indiqué samedi avoir reçu une nouvelle proposition de trêve de la part des médiateurs, visant à rétablir le cessez-le-feu à Gaza, où la guerre avait été déclenchée par l’attaque sans précédent du 7 octobre 2023 du Hamas contre Israël.- La pression “fonctionne” -“En ce qui concerne le Hamas à Gaza, la pression militaire fonctionne (…) Nous pouvons voir des brèches commencer à apparaître” dans le cadre des négociations, a dit M. Netanyahu au début d’une réunion de son cabinet. “Le Hamas doit déposer les armes. Ses dirigeants seront (alors) autorisés à partir”, a-t-il ajouté.  Les médiateurs, Egypte, Qatar et Etats-Unis poursuivent leurs efforts pour rétablir le cessez-le-feu et obtenir la libération des otages israéliens toujours retenus à Gaza.Un haut responsable du Hamas, Khalil al-Haya, a indiqué samedi que le mouvement islamiste avait approuvé une nouvelle proposition de cessez-le-feu présentée par les médiateurs et a exhorté Israël à la soutenir. Il a affirmé toutefois que “les armes de résistance” étaient “une ligne rouge”.Le bureau du Premier ministre israélien a confirmé la réception de la proposition et a souligné qu’Israël avait soumis une contre-proposition en réponse, sans autre précision sur les détails de la médiation.En Israël, l’armée a indiqué avoir activé les sirènes d’alerte antiaériennes dans plusieurs régions du pays après le tir d’un missile depuis le Yémen, puis a annoncé l’avoir intercepté “avant de pénétrer en territoire israélien”.Les rebelles houthis du Yémen, soutenus par l’Iran, ont revendiqué plus tard le lancement d’un “missile balistique” vers l’aéroport Ben Gourion.Rapidement après le début de la guerre à Gaza, les rebelles yéménites, affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, ont mené des dizaines d’attaques de missiles contre Israël et, en mer Rouge – zone essentielle pour le commerce mondial – contre des navires auxquels ils reprochent des liens divers avec Israël.Ces attaques avaient cessé avec l’entrée en vigueur de la trêve, avant que les Houthis ne les reprennent lorsque le cessez-le-feu a volé en éclats.- Netanyahu attendu en Hongrie -A Gaza, la situation humanitaire est particulièrement dramatique depuis qu’Israël a fermé le 2 mars les points de passage pour l’aide humanitaire, espérant faire plier le Hamas pour qu’il rende les otages toujours entre ses mains. La quasi-totalité des 2,4 millions d’habitants du petit territoire côtier ont été déplacés.Visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des soupçons de crimes de guerre et contre l’humanité à Gaza, émis l’année dernière, M. Netanyahu doit se rendre en Hongrie le 2 avril, a annoncé dimanche son bureau.Au cours de sa visite, M. Netanyahu devrait s’entretenir avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban et d’autres hauts responsables hongrois avant de retourner en Israël le 6 avril.La guerre à Gaza a entraîné la mort de 1.218 personnes, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes.Au cours de l’attaque, des mouvements armés palestiniens ont également enlevé 251 personnes, dont 58 sont toujours retenues à Gaza, parmi lesquelles 34 sont décédées selon l’armée.La campagne militaire d’Israël contre le mouvement islamiste palestinien a tué au moins 50.277 personnes à Gaza, dont la majorité sont des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas, dont les données sont jugées fiables par l’ONU. 

Chacarra claims Indian Open for first DP World Tour win

Spain’s Eugenio Chacarra overcame a rocky start to clinch the Hero Indian Open by two strokes on Sunday for his maiden DP World Tour title.Chacarra, 25, came into the final round as overnight leader but slipped after carding a double bogey on the first and a bogey at the third round at the DLF Golf and Country Club near New Delhi.But a burst of birdies at the sixth, ninth, 11th, 12th and 14th holes saw bounce back to open up a four-shot lead.Chacarra finished on four under par, two shots clear of Japan’s Keita Nakajima, who won the title last year, in second place. Joost Luiten of the Netherlands was another stroke back in third.”Man it was a tough day,” Chacarra said after the win. “We knew it was going to be a long day, going be a lot of pressure and I didn’t have the start that I really wanted.”Chacarra survived a late scare on the 17th hole when he found himself near the long grass after his second shot but escaped with a bogey.He closed his round with a par for a comfortable win in the end as he raised his hands to a cheering crowd.Chacarra was playing on a tournament invitation this week.”It means everything, I stayed patient,” he said. “I know when I play my best, I’m one of the best players in the world. I already proved that a million times.””I surround myself with good guys, have a good team. They trust me. My family probably didn’t sleep tonight. It’s just awesome. It is going to need to sink in, but really proud and I’m just, just happy.”Italy’s Andrea Pavan made Sunday a memorable day with a hole-in-one at the par-three 12th from 189 yards.

Sudan paramilitary chief admits withdrawal from capitalSun, 30 Mar 2025 12:56:32 GMT

The head of the Sudanese paramilitary Rapid Support Forces admitted in a speech to fighters on Sunday that the group had withdrawn from the capital Khartoum which rival army forces have retaken.The comment from RSF commander Mohamed Hamdan Daglo came three days after the group said there would be “no retreat and no surrender” and …

Sudan paramilitary chief admits withdrawal from capitalSun, 30 Mar 2025 12:56:32 GMT Read More »

Sudan paramilitary chief admits withdrawal from capital

The head of the Sudanese paramilitary Rapid Support Forces admitted in a speech to fighters on Sunday that the group had withdrawn from the capital Khartoum which rival army forces have retaken.The comment from RSF commander Mohamed Hamdan Daglo came three days after the group said there would be “no retreat and no surrender” and that its forces had “repositioned”, despite the army’s declaration on Thursday that “the last pockets” of the RSF had been eliminated from Khartoum after nearly two years of war. “I confirm to you that we have indeed left Khartoum, but… we will return with even stronger determination,” Daglo said in the speech posted on social media.The war has created what the United Nations describes as the world’s worst hunger and displacement crises. More than 12 million people have been uprooted, tens of thousands killed, and a UN-backed assessment declared famine in parts of the country.”All those who think that there are negotiations or agreements in process with this diabolical movement are mistaken,” Daglo said, in reference to the army.”We have neither agreement nor discussion with them — only the language of arms.”Army chief Abdel Fattah al-Burhan on Saturday also vowed not to back down, after a decisive blitz in which the army reclaimed the presidential palace, the war-damaged airport and other key sites in the city centre where buildings are burned and bullet-scarred.”We will neither forgive, nor compromise, nor negotiate,” Burhan said, adding that victory would only be complete when “the last rebel has been eradicated from the last corner of Sudan”.Despite the military’s reclaiming of Khartoum, Africa’s third-largest country remains essentially divided in two by the war. The army holds sway in the east and north while the RSF controls most of the vast Darfur region in the west, where it is rooted, and parts of the south.Pope Francis, recovering from a life-threatening bout of pneumonia, on Sunday issued written prayers and urged new negotiations as soon as possible in Sudan.- Appeal for new talks -Early in the war the United States and Saudi Arabia conducted mediation but multiple ceasefires collapsed.US Secretary of State Marco Rubio on Thursday said Washington hoped to do more diplomatically to end the war.Rubio said he was “engaged” on Sudan and had discussed the war with international players including Kenyan President William Ruto and Ethiopian Prime Minister Abiy Ahmed.Rubio’s predecessor Antony Blinken tried extensively to broker an end to the war but ultimately voiced disappointment at the failure to do so.The United States has imposed sanctions on both sides. It accused the army of attacks on civilians and said the RSF had “committed genocide” in Darfur.Following a year and a half of defeats to the RSF, the army late last year began pushing through central Sudan to Khartoum.Analysts have blamed the RSF’s losses on strategic blunders, internal rifts and dwindling supplies.On Thursday night, however, witnesses in the Blue Nile state capital Damazin reported that both its airport and the nearby Roseires Dam came under drone attack by the paramilitaries and their allies for the first time in the war.The army later said it had shot down the RSF drones.Almost 500 kilometres (310 miles) to the northwest in El-Obeid city, a medical source on Sunday told AFP that an RSF strike killed a child and wounded eight other people.It is the latest such attack reported by medical sources since the military in February said it had broken an RSF siege of the North Kordofan state capital.In a January report, a United Nations panel of experts tasked with monitoring an arms embargo on Darfur found “credible” accusations that the United Arab Emirates was funnelling “military support” to the RSF through neighbouring Chad.Abu Dhabi has denied the allegations.

Pour Attal, “une erreur” de considérer que l’antisémitisme appartient au “passé” du RN

Gabriel Attal a estimé dimanche que c’était “une erreur” de “considérer que l’antisémitisme n’était qu’une “question de passé” pour le Rassemblement national, malgré la récente visite de Jordan Bardella en Israël.Comme Radio J lui demandait si cette visite du président du parti d’extrême droite et de l’eurodéputée Marion Maréchal en Israël pouvait être qualifiée d’historique, l’ancien Premier ministre a répondu: “non, je ne crois pas”.”Ils ont été invités par un ministre d’extrême droite dans un colloque organisé par un parti d’extrême droite en Israël. C’est ça la réalité”, a poursuivi M. Attal.M. Bardella et Mme Maréchal ont été conviés à une conférence pour la lutte contre l’antisémitisme à l’initiative du ministre des affaires de la diaspora du gouvernement de Benjamin Netanyahu, Amichai Chikli.”Considérer que l’antisémitisme n’est qu’une question de passé pour le RN, c’est une erreur”, a insisté Gabriel Attal.Le Rassemblement national est “un parti qui s’est construit dans la haine des juifs. Mais c’est pas seulement le passé, c’est aussi le présent. C’est ça qui me frappe, on ne le dit jamais. A l’Assemblée nationale, au sein du groupe RN, vous avez un député (…) qui, avant d’être député, a tenu une librairie négationniste”, a-t-il développé, visant sans le nommer l’élu du Var Frédéric Boccaletti.”Je rappelle que l’été dernier, au moment de la campagne de la dissolution et des législatives, on a vu se multiplier partout en France des candidats investis par le RN qui soit posaient avec une casquette nazie fièrement, soit tenaient ou avaient tenu des propos antisémites”, a-t-il ajouté.Le secrétaire général de Renaissance, qui s’est lui aussi récemment rendu en Israël, a également dénoncé “un nouvel antisémitisme qui se déploie à l’initiative de l’extrême gauche et de La France insoumise”.Gabriel Attal s’est justifié d’avoir appelé à voter pour des candidats LFI contre le RN au deuxième tour des législatives car, “après avoir empêché des députés LFI d’être élus au premier tour et donc qu’ils puissent avoir une majorité”, “le péril qui restait c’était une victoire du Rassemblement national”.”Je chercherai toujours dans toutes les élections qui viendront à barrer la route à LFI et au RN et je continuerai à le faire”, a-t-il dit.