Tempête Eowyn: l’UE envoie des générateurs électriques à l’Irlande

L’Union européenne mobilise une aide d’urgence en faveur de l’Irlande afin de rétablir rapidement l’électricité après le passage de la tempête Eowyn, marquée par des vents d’une puissance inédite, a annoncé la Commission.L’UE va livrer 13 générateurs électriques provenant de la réserve stratégique de la Commission hébergée en Pologne. Quatre générateurs offerts par le Danemark devraient également bientôt arriver en Irlande et aider à fournir de l’électricité sur place, a annoncé l’exécutif européen dans un communiqué.Ce soutien a été mobilisé, à la demande de Dublin, grâce à l’activation du mécanisme européen de protection civile qui permet à l’UE de coordonner l’aide des pays membres face à une situation d’urgence.”Nos pensées vont à toutes les personnes touchées et aux premiers intervenants en Irlande qui font de leur mieux pour ramener la situation à la normale”, a déclaré Hadja Lahbib, commissaire européenne à la Gestion des crises.”Le Centre de coordination de la réaction d’urgence de l’UE continue de suivre de près la situation et reste en contact constant avec les autorités nationales, afin de garantir que de l’aide supplémentaire puisse être rapidement acheminée si nécessaire”, a précisé la Commission. Lundi soir, la société irlandaise ESB Networks estimait qu’environ 204.000 foyers restaient privés d’électricité.La tempête a battu des records historiques, avec des rafales mesurées à 183 km/h près de Galway, sur la côte ouest, au-delà du précédent record de 1945. 

Tempête Eowyn: l’UE envoie des générateurs électriques à l’Irlande

L’Union européenne mobilise une aide d’urgence en faveur de l’Irlande afin de rétablir rapidement l’électricité après le passage de la tempête Eowyn, marquée par des vents d’une puissance inédite, a annoncé la Commission.L’UE va livrer 13 générateurs électriques provenant de la réserve stratégique de la Commission hébergée en Pologne. Quatre générateurs offerts par le Danemark devraient également bientôt arriver en Irlande et aider à fournir de l’électricité sur place, a annoncé l’exécutif européen dans un communiqué.Ce soutien a été mobilisé, à la demande de Dublin, grâce à l’activation du mécanisme européen de protection civile qui permet à l’UE de coordonner l’aide des pays membres face à une situation d’urgence.”Nos pensées vont à toutes les personnes touchées et aux premiers intervenants en Irlande qui font de leur mieux pour ramener la situation à la normale”, a déclaré Hadja Lahbib, commissaire européenne à la Gestion des crises.”Le Centre de coordination de la réaction d’urgence de l’UE continue de suivre de près la situation et reste en contact constant avec les autorités nationales, afin de garantir que de l’aide supplémentaire puisse être rapidement acheminée si nécessaire”, a précisé la Commission. Lundi soir, la société irlandaise ESB Networks estimait qu’environ 204.000 foyers restaient privés d’électricité.La tempête a battu des records historiques, avec des rafales mesurées à 183 km/h près de Galway, sur la côte ouest, au-delà du précédent record de 1945. 

Australia’s Smith set to pass 10,000 Test runs in Sri Lanka

Australian batting great Steve Smith begins a tour of Sri Lanka just one short of entering the elite club of 10,000 Test runs ahead of Wednesday’s opening match in Galle.Smith, who will captain the team for the two-match series in the absence of Pat Cummins, has amassed 9,999 runs in 114 matches at an average of more than 55.The 35-year-old is all but assured of becoming the 15th batsman in the world — and fourth Australian after Ricky Ponting, Allan Border and Steve Waugh — to achieve the milestone.Smith said the landmark would not be on his mind when he walks out at the picturesque Galle stadium overlooking the Indian Ocean.”Honestly, I’m trying not to think about it too much,” he told reporters on Tuesday.Smith suggested it had played on his mind “a bit too much” during Australia’s fifth and final Test against India in Sydney this month, where his 33 and four left him agonisingly short.”Now it’s just about focusing on the job at hand,” he said.Travis Head will open the batting in place of 19-year-old Sam Konstas on a pitch that is expected to favour spinners and at a venue where Sri Lanka have won 27 of the 46 Tests played.”Travis will bat at the top, but we’ll finalise the XI after another look at the pitch tomorrow morning,” Smith said. “The wicket has changed a bit since yesterday, so we’ll weigh our options.”- Inglis debut? -Australia, who have already set up a World Test Championship (WTC) final with South Africa at Lord’s in June, will be looking to stamp their authority as the number-one Test team.Smith was coy on whether wicketkeeper Josh Inglis, 29, was in line for his Test debut.”He has solid defence, plays spin well, and scores all around the wicket,” Smith said. “If he gets his chance, I’m confident he’ll grab it with both hands.”Sri Lanka, led by Dhananjaya de Silva, will be looking to reclaim the Warne-Murali trophy, named after late Australia hero Shane Warne and Sri Lankan spin wizard Muttiah Muralitharan.Sri Lanka hammered the visiting Australians 3-0 in 2016 but the last series in 2022 ended 1-1, with both matches played in Galle.”The last time we won the Warne-Murali Trophy was in 2016, which was also my debut series. A lot of players from that campaign are still in the mix and we believe we have what it takes to repeat history,” de Silva told reporters.”Another incentive for us is the chance to finish third in the WTC standings if we win 2-0. That would be a tremendous achievement.”The hosts have injury worries, with opener Pathum Nissanka out due to a groin injury and de Silva struggling with a side strain.”Pathum is a key player and we’re hopeful he’ll be fit for the second Test. Whoever steps in will have a golden opportunity to make a mark,” de Silva said.Oshada Fernando, a seasoned campaigner with a knack for piling up runs in domestic cricket, is the frontrunner to replace Nissanka.

La ministre Pannier-Runacher défend l’écologie face aux “populismes”

La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a défendu mardi les politiques environnementales, “inévitable solution” face aux “populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux”. “2025 sera l’année de tous les dangers pour l’environnement. Danger, car nous sommes confrontés à la montée des populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux”, a-t-elle dit en présentant ses voeux aux acteurs de la transition écologique.”L’écologie n’est pas un luxe réservé à une élite de grandes villes” mais “la seule réponse viable dont nous disposons pour lutter contre trois menaces – le dérèglement climatique, la disparition de la biodiversité et les pollutions”. C’est l'”inévitable solution”, a-t-elle plaidé.Même si aucun responsable n’a été cité, ces propos interviennent après le retour au pouvoir aux Etats-Unis de Donald Trump, climatosceptique, mais aussi en France à des attaques d’une partie de la droite contre l’Office français de la biodiversité (OFB) ou des normes jugées trop contraignantes par exemple. La ministre a aussi défendu des politiques publiques parfois critiquées comme par exemple les zones à faibles émissions (ZFE), le zéro artificialisation nette (ZAN) et le diagnostic de performance énergétique (DPE) des bâtiments.”Je ne renoncerai pas”, a-t-elle lancé, tout en reconnaissant que ces dispositifs “ne sont pas parfaits” et que “des aménagements locaux sont nécessaires”.A l’heure ou le gouvernement cherche des économies et prône la simplification, la ministre a aussi défendu une “logique de résultat” et annoncé une mission “pour renforcer les actions et l’impact de (son) ministère et de (ses) opérateurs dans un contexte général hostile à la transition écologique”.

La ministre Pannier-Runacher défend l’écologie face aux “populismes”

La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a défendu mardi les politiques environnementales, “inévitable solution” face aux “populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux”. “2025 sera l’année de tous les dangers pour l’environnement. Danger, car nous sommes confrontés à la montée des populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux”, a-t-elle dit en présentant ses voeux aux acteurs de la transition écologique.”L’écologie n’est pas un luxe réservé à une élite de grandes villes” mais “la seule réponse viable dont nous disposons pour lutter contre trois menaces – le dérèglement climatique, la disparition de la biodiversité et les pollutions”. C’est l'”inévitable solution”, a-t-elle plaidé.Même si aucun responsable n’a été cité, ces propos interviennent après le retour au pouvoir aux Etats-Unis de Donald Trump, climatosceptique, mais aussi en France à des attaques d’une partie de la droite contre l’Office français de la biodiversité (OFB) ou des normes jugées trop contraignantes par exemple. La ministre a aussi défendu des politiques publiques parfois critiquées comme par exemple les zones à faibles émissions (ZFE), le zéro artificialisation nette (ZAN) et le diagnostic de performance énergétique (DPE) des bâtiments.”Je ne renoncerai pas”, a-t-elle lancé, tout en reconnaissant que ces dispositifs “ne sont pas parfaits” et que “des aménagements locaux sont nécessaires”.A l’heure ou le gouvernement cherche des économies et prône la simplification, la ministre a aussi défendu une “logique de résultat” et annoncé une mission “pour renforcer les actions et l’impact de (son) ministère et de (ses) opérateurs dans un contexte général hostile à la transition écologique”.

La ministre Pannier-Runacher défend l’écologie face aux “populismes”

La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a défendu mardi les politiques environnementales, “inévitable solution” face aux “populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux”. “2025 sera l’année de tous les dangers pour l’environnement. Danger, car nous sommes confrontés à la montée des populismes qui voudraient faire de l’écologie l’origine de tous nos maux”, a-t-elle dit en présentant ses voeux aux acteurs de la transition écologique.”L’écologie n’est pas un luxe réservé à une élite de grandes villes” mais “la seule réponse viable dont nous disposons pour lutter contre trois menaces – le dérèglement climatique, la disparition de la biodiversité et les pollutions”. C’est l'”inévitable solution”, a-t-elle plaidé.Même si aucun responsable n’a été cité, ces propos interviennent après le retour au pouvoir aux Etats-Unis de Donald Trump, climatosceptique, mais aussi en France à des attaques d’une partie de la droite contre l’Office français de la biodiversité (OFB) ou des normes jugées trop contraignantes par exemple. La ministre a aussi défendu des politiques publiques parfois critiquées comme par exemple les zones à faibles émissions (ZFE), le zéro artificialisation nette (ZAN) et le diagnostic de performance énergétique (DPE) des bâtiments.”Je ne renoncerai pas”, a-t-elle lancé, tout en reconnaissant que ces dispositifs “ne sont pas parfaits” et que “des aménagements locaux sont nécessaires”.A l’heure ou le gouvernement cherche des économies et prône la simplification, la ministre a aussi défendu une “logique de résultat” et annoncé une mission “pour renforcer les actions et l’impact de (son) ministère et de (ses) opérateurs dans un contexte général hostile à la transition écologique”.