Scinder les textes soins palliatifs et aide active à mourir est “une erreur” pour Braun-Pivet

Scinder le projet de loi fin de vie en deux textes, sur les soins palliatifs et sur l’aide active à mourir, comme l’a confirmé le Premier ministre François Bayrou est “une erreur”, a estimé mardi la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet. “Je crois que c’est une erreur”, a-t-elle déclaré sur BFMTV-RMC, appelant à ne pas “tergiverser” sur cette question. “Il ne faut pas distinguer” deux textes “parce que c’est bien souvent les mêmes personnes”, a-t-elle expliqué, “on ne peut pas savoir lorsqu’on sera peut-être confronté à cette situation très douloureuse ce que l’on souhaitera à ce moment-là”.”C’est un débat qu’il faut appréhender dans sa globalité”, a-t-elle insisté, “ce que je ne veux pas, c’est que l’on tergiverse”. Signataire lundi d’une tribune de plus de 200 socialistes et macronistes exhortant le Premier ministre à ne pas scinder le texte, Yaël Braun-Pivet a rappelé que “les Français se disent à longueur d’études extrêmement favorables à ce que l’on ouvre ce nouveau droit”. Mais lundi soir, François Bayrou qui est réticent à l’aide active à mourir, a répété qu’il souhaitait “deux textes” distincts. “Les soins palliatifs, pour moi ce n’est pas un droit, c’est un devoir”, a déclaré sur LCI le Premier ministre, qualifiant l’aide à mourir de “débat de conscience”.”Les personnes qui sont en fin de vie doivent pouvoir se voir proposer un accompagnement global (qui) comprendra évidemment la possibilité de faire des soins palliatifs, la possibilité d’avoir recours à une aide active à mourir”, lui a répondu Yaël Braun-Pivet. Scinder ce cadre revient à “diviser les gens et surtout les parcours”, a-t-elle estimé, prônant “de la souplesse”. Le projet de loi fin de vie était en cours d’examen à l’Assemblée nationale en juin et a été interrompu net par la dissolution. Le gouvernement n’entend pas le réinscrire au calendrier parlementaire avant l’adoption des budgets de l’État et de la Sécurité sociale. 

Trump veut bannir l'”idéologie transgenre” dans l’armée

Donald Trump a promis de bannir de l’armée américaine ce qu’il a qualifié d'”idéologie transgenre”, une décision qui apparaît comme un revers important pour la communauté LGBTQ.”Pour nous assurer que nous disposons de la force combattante la plus létale au monde, nous allons débarrasser notre armée de l’idéologie transgenre”, a affirmé le président américain devant des élus républicains réunis lundi en Floride, avant de préciser, dans l’avion du retour vers Washington, avoir signé un décret en ce sens.Dans ce décret, le républicain a affirmé que les forces armées “ont été affectées par une idéologie de genre radicale pour apaiser les militants” et que “de nombreux problèmes de santé mentale et physique sont incompatibles avec le service actif.”Le texte stipule que “l’adoption d’une identité de genre incompatible avec le sexe d’un individu contredit l’engagement d’un soldat envers un mode de vie honorable, véridique et discipliné, même dans la vie personnelle.”Un conseiller a précisé que le décret permettait d'”éliminer l’extrémisme de genre” dans l’armée, ajoutant que Donald Trump avait pris un autre décret supprimant les politiques de recrutement qui encouragaient la diversité dans les rangs militaires.Sous le gouvernement de son prédécesseur démocrate Joe Biden, les personnes transgenres étaient autorisées à servir dans l’armée.- “Délire transgenre” -Pendant la campagne présidentielle, le candidat républicain avait promis de restreindre les droits des personnes transgenres aux Etats-Unis, jurant de mettre fin “dès le premier jour” et d’un “simple trait de plume” à ce qu’il avait qualifié de “délire transgenre”.Selon le Williams Institute de l’université de Californie, environ 1,6 million de personnes de plus de 13 ans, dont 300.000 adolescents, s’identifient comme transgenre aux Etats-Unis. D’après le site Human Rights Campaign, 26 Etats américains interdisent des thérapies de transition pour les mineurs, une interdiction que Donald Trump a promis d’élargir au reste des Etats-Unis en supprimant toute aide fédérale.Environ la moitié des Etats, le plus souvent dirigés par des conservateurs, interdisent en outre l’accès des femmes transgenres aux compétitions sportives scolaires féminines. Une mesure que Donald Trump veut également faire appliquer au niveau fédéral.Le 20 janvier, jour de son investiture, le nouveau président avait promis de balayer les politiques en faveur des personnes transgenres, affirmant que les Etats-Unis ne reconnaîtraient plus que “deux sexes, masculin et féminin” définis à la naissance.Les traitements médicaux destinés aux mineurs pour changer de genre ou l’accès des femmes transgenres aux compétitions sportives féminines sont des sujets brûlants dans des Etats-Unis très polarisés.L’armée américaine a levé l’interdiction pour les transgenres de servir dans les forces armées en 2016, pendant le second mandat du président démocrate Barack Obama. En vertu de cette politique, les soldats transgenres déjà en service étaient autorisés à le faire ouvertement, et les recrues transgenres devaient commencer à être acceptées à partir du 1er juillet 2017.Le nombre de personnes transgenres dans l’armée américaine serait de quelque 15.000 sur environ deux millions de militaires, d’après les estimations.Le secrétaire à la Défense sortant de Joe Biden, Lloyd Austin, a semblé critiquer les projets de M. Trump lors de son discours d’adieu au début du mois, en déclarant: “Toute armée qui refuse des patriotes qualifiés désireux de servir ne fait que se réduire et s’affaiblir”.Les questions relatives aux transgenres ont agité la politique américaine ces dernières années, les Etats contrôlés par les démocrates et les républicains ayant adopté des positions opposées sur des politiques allant des traitements médicaux aux livres sur le sujet autorisés dans les bibliothèques publiques ou scolaires.- “empêcher l’endoctrinement” -Face aux élus de son parti, le président Trump a également assuré qu’il allait “empêcher l’endoctrinement” des militaires américains “par les idéologies d’extrême-gauche comme la théorie critique de la race”. Ce concept, qui désigne au départ un courant de recherche, est utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer les enseignements de sensibilisation au racisme.”Nous allons proposer une réintégration complète à chaque militaire écarté des forces armées à cause de la vaccination obligatoire contre le Covid-19, dans son grade et son niveau de traitement précédents”, a par ailleurs assuré Donald Trump à Doral, près de Miami.Le Sénat américain a approuvé de justesse vendredi la nomination de Pete Hegseth comme ministre de la Défense du gouvernement Trump. Sa nomination a été confirmée malgré les inquiétudes suscitées par son manque d’expérience et ses antécédents présumés en matière de consommation excessive d’alcool et de violence domestique.Par ailleurs, Donald Trump a ordonné lundi par décret la construction d’un bouclier antimissiles de type “Dôme de fer”, a confirmé un haut responsable de la Maison Blanche.”Nous devons commencer immédiatement la construction du bouclier anti-missiles +Dôme de fer+ le plus avancé technologiquement”, a dit M. Trump devant des élus républicains réunis en Floride.L’expression “Dôme de fer” fait référence à l’un des systèmes de défense d’Israël, mis en service en 2011, qui protège le pays des attaques par missiles et roquettes mais aussi par drones.Israël a d’abord développé seul le “Dôme de fer” après la guerre du Liban de 2006, avant d’être rejoint par les Etats-Unis, qui ont apporté leur savoir-faire en matière de défense et des milliards de dollars de soutien financier. 

Trump veut bannir l'”idéologie transgenre” dans l’armée

Donald Trump a promis de bannir de l’armée américaine ce qu’il a qualifié d'”idéologie transgenre”, une décision qui apparaît comme un revers important pour la communauté LGBTQ.”Pour nous assurer que nous disposons de la force combattante la plus létale au monde, nous allons débarrasser notre armée de l’idéologie transgenre”, a affirmé le président américain devant des élus républicains réunis lundi en Floride, avant de préciser, dans l’avion du retour vers Washington, avoir signé un décret en ce sens.Dans ce décret, le républicain a affirmé que les forces armées “ont été affectées par une idéologie de genre radicale pour apaiser les militants” et que “de nombreux problèmes de santé mentale et physique sont incompatibles avec le service actif.”Le texte stipule que “l’adoption d’une identité de genre incompatible avec le sexe d’un individu contredit l’engagement d’un soldat envers un mode de vie honorable, véridique et discipliné, même dans la vie personnelle.”Un conseiller a précisé que le décret permettait d'”éliminer l’extrémisme de genre” dans l’armée, ajoutant que Donald Trump avait pris un autre décret supprimant les politiques de recrutement qui encouragaient la diversité dans les rangs militaires.Sous le gouvernement de son prédécesseur démocrate Joe Biden, les personnes transgenres étaient autorisées à servir dans l’armée.- “Délire transgenre” -Pendant la campagne présidentielle, le candidat républicain avait promis de restreindre les droits des personnes transgenres aux Etats-Unis, jurant de mettre fin “dès le premier jour” et d’un “simple trait de plume” à ce qu’il avait qualifié de “délire transgenre”.Selon le Williams Institute de l’université de Californie, environ 1,6 million de personnes de plus de 13 ans, dont 300.000 adolescents, s’identifient comme transgenre aux Etats-Unis. D’après le site Human Rights Campaign, 26 Etats américains interdisent des thérapies de transition pour les mineurs, une interdiction que Donald Trump a promis d’élargir au reste des Etats-Unis en supprimant toute aide fédérale.Environ la moitié des Etats, le plus souvent dirigés par des conservateurs, interdisent en outre l’accès des femmes transgenres aux compétitions sportives scolaires féminines. Une mesure que Donald Trump veut également faire appliquer au niveau fédéral.Le 20 janvier, jour de son investiture, le nouveau président avait promis de balayer les politiques en faveur des personnes transgenres, affirmant que les Etats-Unis ne reconnaîtraient plus que “deux sexes, masculin et féminin” définis à la naissance.Les traitements médicaux destinés aux mineurs pour changer de genre ou l’accès des femmes transgenres aux compétitions sportives féminines sont des sujets brûlants dans des Etats-Unis très polarisés.L’armée américaine a levé l’interdiction pour les transgenres de servir dans les forces armées en 2016, pendant le second mandat du président démocrate Barack Obama. En vertu de cette politique, les soldats transgenres déjà en service étaient autorisés à le faire ouvertement, et les recrues transgenres devaient commencer à être acceptées à partir du 1er juillet 2017.Le nombre de personnes transgenres dans l’armée américaine serait de quelque 15.000 sur environ deux millions de militaires, d’après les estimations.Le secrétaire à la Défense sortant de Joe Biden, Lloyd Austin, a semblé critiquer les projets de M. Trump lors de son discours d’adieu au début du mois, en déclarant: “Toute armée qui refuse des patriotes qualifiés désireux de servir ne fait que se réduire et s’affaiblir”.Les questions relatives aux transgenres ont agité la politique américaine ces dernières années, les Etats contrôlés par les démocrates et les républicains ayant adopté des positions opposées sur des politiques allant des traitements médicaux aux livres sur le sujet autorisés dans les bibliothèques publiques ou scolaires.- “empêcher l’endoctrinement” -Face aux élus de son parti, le président Trump a également assuré qu’il allait “empêcher l’endoctrinement” des militaires américains “par les idéologies d’extrême-gauche comme la théorie critique de la race”. Ce concept, qui désigne au départ un courant de recherche, est utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer les enseignements de sensibilisation au racisme.”Nous allons proposer une réintégration complète à chaque militaire écarté des forces armées à cause de la vaccination obligatoire contre le Covid-19, dans son grade et son niveau de traitement précédents”, a par ailleurs assuré Donald Trump à Doral, près de Miami.Le Sénat américain a approuvé de justesse vendredi la nomination de Pete Hegseth comme ministre de la Défense du gouvernement Trump. Sa nomination a été confirmée malgré les inquiétudes suscitées par son manque d’expérience et ses antécédents présumés en matière de consommation excessive d’alcool et de violence domestique.Par ailleurs, Donald Trump a ordonné lundi par décret la construction d’un bouclier antimissiles de type “Dôme de fer”, a confirmé un haut responsable de la Maison Blanche.”Nous devons commencer immédiatement la construction du bouclier anti-missiles +Dôme de fer+ le plus avancé technologiquement”, a dit M. Trump devant des élus républicains réunis en Floride.L’expression “Dôme de fer” fait référence à l’un des systèmes de défense d’Israël, mis en service en 2011, qui protège le pays des attaques par missiles et roquettes mais aussi par drones.Israël a d’abord développé seul le “Dôme de fer” après la guerre du Liban de 2006, avant d’être rejoint par les Etats-Unis, qui ont apporté leur savoir-faire en matière de défense et des milliards de dollars de soutien financier. 

Les Bourses européennes prudentes à l’ouverture

Les Bourses européennes évoluent prudemment à l’ouverture mardi, focalisées sur les nouvelles menaces douanières de Donald Trump et la saison des résultats d’entreprises, au lendemain du choc provoqué par l’IA chinoise DeepSeek sur les marchés mondiaux.Vers 8H10 GMT, dans les premiers échanges, Londres prenait 0,29%, Milan 0,14% et Paris était à l’équilibre (-0,10%). Francfort prenait 0,37%, porté par son poids lourd SAP qui a présenté ses résultats avant Bourse.

Trump warns of ‘wake-up call’ as low-cost Chinese AI jolts sector

Fears of upheaval in the AI gold rush rocked Wall Street on Monday following the emergence of a popular ChatGPT-like model from China, with US President Donald Trump saying it was a “wake-up call” for Silicon Valley.Last week’s release of the latest DeepSeek model initially received limited attention, overshadowed by the inauguration of Trump on the same day.However, over the weekend, the Chinese artificial intelligence startup’s chatbot surged to become the most downloaded free app on Apple’s US App Store, displacing OpenAI’s ChatGPT.What truly rattled the industry was DeepSeek’s claim that it developed its latest model, the R1, at a fraction of the cost that major companies are investing in AI development, primarily on expensive Nvidia chips and software.The development is significant given the AI boom, ignited by ChatGPT’s release in late 2022, has propelled Nvidia to become one of the world’s most valuable companies.The news sent shockwaves through the US tech sector, exposing a critical concern: should tech giants continue to pour hundreds of billions of dollars into AI investment when a Chinese company can apparently produce a comparable model so economically?DeepSeek’s apparent advances were a poke in the eye to Washington and its priority of thwarting China by maintaining US technological dominance.Trump reacted quickly on Monday, saying the DeepSeek release “should be a wake-up call for our industries that we need to be laser-focused on competing to win.”He argued it could be a “positive” for US tech giants, adding: “instead of spending billions and billions, you’ll spend less, and you’ll come up with hopefully the same solution.”OpenAI chief executive Sam Altman said in a post on X that it was “legit invigorating to have a new competitor.”He called DeepSeek’s R1 “an impressive model, particularly around what they’re able to deliver for the price,” and pledged to speed up some OpenAI releases.The development comes against the background of a US government push to ban Chinese-owned TikTok in the United States or force its sale.David Sacks, Trump’s AI advisor and prominent tech investor, said DeepSeek’s success justified the White House’s decision to reverse executive orders, issued under Joe Biden, that established safety standards for AI development.The regulations “would have hamstrung American AI companies without any guarantee that China would follow suit,” Sacks wrote on X.Adam Kovacevich, CEO of the tech industry trade group Chamber of Progress, echoed the sentiment: “Now the top AI concern has to be ensuring (the United States) wins.”Tech investor and Trump ally Marc Andreessen declared “Deepseek R1 is AI’s Sputnik moment,” referencing the 1957 launch of Earth’s first artificial satellite by the Soviet Union that stunned the Western world.”If China is catching up quickly to the US in the AI race, then the economics of AI will be turned on its head,” warned Kathleen Brooks, research director at XTB, in a note to clients.Microsoft CEO Satya Nadella took to social media hours before markets opened to argue less expensive AI was good for everyone.But last week at the World Economic Forum in Davos, Nadella warned: “We should take the developments out of China very, very seriously.”Australia’s Science Minister Ed Husic raised privacy concerns, urging users to think carefully before downloading the chatbot.”There are a lot of questions that will need to be answered in time on quality, consumer preferences, data and privacy management,” Husic told national broadcaster ABC.”I would be very careful about that. These type of issues need to be weighed up carefully.” Microsoft, an eager adopter of generative AI, plans to invest $80 billion in AI this year, while Meta announced at least $60 billion in investments on Friday.- ‘Outplayed’ -Much of that investment goes into the coffers of Nvidia, whose shares plunged a staggering 17 percent on Monday.The situation is particularly remarkable since DeepSeek, as a Chinese company, lacks easy access to Nvidia’s state-of-the-art chips after the US government placed export restrictions on them.The export controls are “driving startups like DeepSeek to innovate in ways that prioritize efficiency, resource-pooling, and collaboration,” wrote the MIT Technology Review.Elon Musk, who has invested heavily in Nvidia chips for his company xAI, suspects DeepSeek of secretly accessing banned H100 chips — an accusation also made by the CEO of ScaleAI, a prominent Silicon Valley startup backed by Amazon and Meta.But such accusations “sound like a rich kids team got outplayed by a poor kids team,” wrote Hong Kong-based investor Jen Zhu Scott on X.In a statement, Nvidia said DeepSeek’s technology was “fully export control compliant.” 

Trump warns of ‘wake-up call’ as low-cost Chinese AI jolts sector

Fears of upheaval in the AI gold rush rocked Wall Street on Monday following the emergence of a popular ChatGPT-like model from China, with US President Donald Trump saying it was a “wake-up call” for Silicon Valley.Last week’s release of the latest DeepSeek model initially received limited attention, overshadowed by the inauguration of Trump on the same day.However, over the weekend, the Chinese artificial intelligence startup’s chatbot surged to become the most downloaded free app on Apple’s US App Store, displacing OpenAI’s ChatGPT.What truly rattled the industry was DeepSeek’s claim that it developed its latest model, the R1, at a fraction of the cost that major companies are investing in AI development, primarily on expensive Nvidia chips and software.The development is significant given the AI boom, ignited by ChatGPT’s release in late 2022, has propelled Nvidia to become one of the world’s most valuable companies.The news sent shockwaves through the US tech sector, exposing a critical concern: should tech giants continue to pour hundreds of billions of dollars into AI investment when a Chinese company can apparently produce a comparable model so economically?DeepSeek’s apparent advances were a poke in the eye to Washington and its priority of thwarting China by maintaining US technological dominance.Trump reacted quickly on Monday, saying the DeepSeek release “should be a wake-up call for our industries that we need to be laser-focused on competing to win.”He argued it could be a “positive” for US tech giants, adding: “instead of spending billions and billions, you’ll spend less, and you’ll come up with hopefully the same solution.”OpenAI chief executive Sam Altman said in a post on X that it was “legit invigorating to have a new competitor.”He called DeepSeek’s R1 “an impressive model, particularly around what they’re able to deliver for the price,” and pledged to speed up some OpenAI releases.The development comes against the background of a US government push to ban Chinese-owned TikTok in the United States or force its sale.David Sacks, Trump’s AI advisor and prominent tech investor, said DeepSeek’s success justified the White House’s decision to reverse executive orders, issued under Joe Biden, that established safety standards for AI development.The regulations “would have hamstrung American AI companies without any guarantee that China would follow suit,” Sacks wrote on X.Adam Kovacevich, CEO of the tech industry trade group Chamber of Progress, echoed the sentiment: “Now the top AI concern has to be ensuring (the United States) wins.”Tech investor and Trump ally Marc Andreessen declared “Deepseek R1 is AI’s Sputnik moment,” referencing the 1957 launch of Earth’s first artificial satellite by the Soviet Union that stunned the Western world.”If China is catching up quickly to the US in the AI race, then the economics of AI will be turned on its head,” warned Kathleen Brooks, research director at XTB, in a note to clients.Microsoft CEO Satya Nadella took to social media hours before markets opened to argue less expensive AI was good for everyone.But last week at the World Economic Forum in Davos, Nadella warned: “We should take the developments out of China very, very seriously.”Australia’s Science Minister Ed Husic raised privacy concerns, urging users to think carefully before downloading the chatbot.”There are a lot of questions that will need to be answered in time on quality, consumer preferences, data and privacy management,” Husic told national broadcaster ABC.”I would be very careful about that. These type of issues need to be weighed up carefully.” Microsoft, an eager adopter of generative AI, plans to invest $80 billion in AI this year, while Meta announced at least $60 billion in investments on Friday.- ‘Outplayed’ -Much of that investment goes into the coffers of Nvidia, whose shares plunged a staggering 17 percent on Monday.The situation is particularly remarkable since DeepSeek, as a Chinese company, lacks easy access to Nvidia’s state-of-the-art chips after the US government placed export restrictions on them.The export controls are “driving startups like DeepSeek to innovate in ways that prioritize efficiency, resource-pooling, and collaboration,” wrote the MIT Technology Review.Elon Musk, who has invested heavily in Nvidia chips for his company xAI, suspects DeepSeek of secretly accessing banned H100 chips — an accusation also made by the CEO of ScaleAI, a prominent Silicon Valley startup backed by Amazon and Meta.But such accusations “sound like a rich kids team got outplayed by a poor kids team,” wrote Hong Kong-based investor Jen Zhu Scott on X.In a statement, Nvidia said DeepSeek’s technology was “fully export control compliant.” 

Bayrou sur “le sentiment de submersion” migratoire: Braun-Pivet n’aurait “jamais tenu ces propos”

La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet n’aurait “jamais tenu les propos” du Premier ministre François Bayrou qui a évoqué lundi soir “un sentiment de submersion” migratoire en France. “Je n’aurais jamais tenu ces propos et ils me gênent. On parle d’hommes et de femmes, on parle de notre pays, la France, qui, de par son histoire, de par sa géographie, de par sa culture, a toujours accueilli et s’est construite avec cette tradition-là”, a-t-elle déclaré mardi sur BFMTV/RMC. La France “approche” d’un “sentiment de submersion” en matière d’immigration, a estimé lundi François Bayrou.”Je pense que les apports étrangers sont positifs pour un peuple, à condition qu’ils ne dépassent pas une proportion”, a déclaré le Premier ministre sur LCI.”Mais dès l’instant que vous avez le sentiment d’une submersion, de ne plus reconnaître votre pays, les modes de vie ou la culture, dès cet instant-là vous avez rejet”, a-t-il ajouté, en estimant “qu’on approche” de ce seuil.”Evidemment qu’il faut réguler l’immigration, évidemment qu’il faut être très ferme sur nos valeurs, sur les conditions et nos exigences d’intégration (…) Mais je n’utilise pas ces mots et je ne les utiliserai jamais parce que je crois que c’est contraire à ce que nous sommes profondément”, a ajouté Mme Braun-Pivet. “Il faut regarder le sujet migratoire en face. Mais moi ce que je souhaiterais, c’est que l’on arrête de le regarder uniquement par le prisme du ministère de l’Intérieur (…) c’est un sujet beaucoup plus large que cela”, a-t-elle dit.

Crues: après l’Ille-et-Vilaine, la vigilance rouge s’étend au Morbihan et à la Loire-Atlantique

La Loire-Atlantique et le Morbihan, en plus de l’Ille-et-Vilaine, sont placés en vigilance rouge pour crues après le passage de la dépression Herminia, a annoncé mardi Météo-France, qui maintient quatre autres départements de l’ouest du pays en alerte orange pour le même motif.La vigilance rouge concerne “les cours d’eau de la Seiche et de la Vilaine”, a précisé l’institut météorologique dans son dernier bulletin publié peu après 06H00, qui maintient son alerte rouge pour l’Ille-et-Vilaine depuis lundi.Le Calvados, l’Orne, la Mayenne et le Maine-et-Loire ont été maintenus en vigilance orange crues alors que le département de l’Eure a été rétrogradé en vigilance jaune.Ces crues compliquent mardi les déplacements. Le trafic ferroviaire est toujours perturbé “sur les lignes Rennes-Redon et Rennes- Saint-Malo dans les deux sens de circulation, en raison de l’inondation du souterrain de Messac et de la présence d’un arbre sur les voies à Montreuil-sur-Ille”, indique sur X le réseau ferroviaire régional BreizhGo.La circulation est aussi difficile sur de nombreux axes routiers du secteur, selon Bison futé. A 7h30, environ 2.300 clients étaient toujours privés d’électricité en Bretagne, selon Enedis. A Guichen, au sud de Rennes, le maire Dominique Delamarre a indiqué que la Vilaine a atteint 4,74 m après avoir dépassé son niveau historique de 4,71 m. “Ca ne monte plus ce matin, tout en sachant qu’on reste prudent parce qu’on est très inquiet pour demain, car on nous annonce encore une pluviométrie importante”, a déclaré mardi à l’AFP M. Delamarre. “On a contacté les propriétaires et les locataires de 314 logements: 150 logements ont été libérés de leurs occupants” et les personnes ont été relogées chez des amis ou dans une salle mise à disposition, a-t-il ajouté.Le département breton et notamment sa préfecture, Rennes, traversé par deux rivières, l’Ille et la Vilaine, subit des crues inédites depuis plus de 40 ans depuis le passage dimanche de la dépression Herminia, qui a succédé à la tempête Eowyn. Les sapeurs-pompiers d’Ille-et-Vilaine ont réalisé “plus de 200 interventions” permettant “la mise en sécurité de plus de 100 personnes”, selon un tweet de la Sécurité civile. Sur l’ensemble du département, aucune victime n’est à déplorer, a indiqué lundi soir la préfecture dans un communiqué.D’après Météo-France, à Rennes, “il n’avait jamais autant plu en janvier sur cette station ouverte en 1944 (169,6 mm en janvier 1995). Depuis le début du mois, il a plu trois fois plus que la moyenne sur cette période”.La mairie de Rennes a maintenu lundi soir une vigilance “très forte” dans un communiqué. Une nouvelle distribution de parpaings est prévue mardi pour les riverains les plus exposés à la montée des eaux et un gymnase est resté ouvert dans la nuit de lundi à mardi pour accueillir les sinistrés sans solution d’hébergement. Des dizaines de Brétiliens ont dû évacuer leur logement devant l’inexorable montée des eaux entamée ce week-end.Lundi soir, l’Ehpad René Cassin, à Bruz au sud de Rennes, qui accueille 73 personnes, a été évacué, selon la préfecture.- “Niveaux exceptionnels” -“Sur la Seiche et la Vilaine médiane, les niveaux se stabilisent et s’orienteront légèrement à la baisse” mardi en fin de journée, prévoit Vigicrues dans son bulletin publié vers 06H00.”En revanche, sur la Vilaine aval, compte tenu de la propagation de la crue, des niveaux exceptionnels sont attendus à partir de la nuit de mardi à mercredi sur le secteur de Redon”, au sud de l’Ille-et-Vilaine.”En Normandie et sur les Pays de la Loire, les crues de l’Orne et de l’Oudon se propagent, mais il n’est pas attendu d’aggravations significatives dans ces secteurs”, note également Vigicrues.Les pompiers de Loire-Atlantique ont indiqué mardi matin avoir participé à des évacuations dans plusieurs villages (Massérac, Guéméné, Penfao) notamment au moyen de barques et avoir effectué “63 interventions” pour des opérations diverses (épuisement, reconnaissance,…) depuis lundi matin.bur-alh-mb-mas/pta

Crues: après l’Ille-et-Vilaine, la vigilance rouge s’étend au Morbihan et à la Loire-Atlantique

La Loire-Atlantique et le Morbihan, en plus de l’Ille-et-Vilaine, sont placés en vigilance rouge pour crues après le passage de la dépression Herminia, a annoncé mardi Météo-France, qui maintient quatre autres départements de l’ouest du pays en alerte orange pour le même motif.La vigilance rouge concerne “les cours d’eau de la Seiche et de la Vilaine”, a précisé l’institut météorologique dans son dernier bulletin publié peu après 06H00, qui maintient son alerte rouge pour l’Ille-et-Vilaine depuis lundi.Le Calvados, l’Orne, la Mayenne et le Maine-et-Loire ont été maintenus en vigilance orange crues alors que le département de l’Eure a été rétrogradé en vigilance jaune.Ces crues compliquent mardi les déplacements. Le trafic ferroviaire est toujours perturbé “sur les lignes Rennes-Redon et Rennes- Saint-Malo dans les deux sens de circulation, en raison de l’inondation du souterrain de Messac et de la présence d’un arbre sur les voies à Montreuil-sur-Ille”, indique sur X le réseau ferroviaire régional BreizhGo.La circulation est aussi difficile sur de nombreux axes routiers du secteur, selon Bison futé. A 7h30, environ 2.300 clients étaient toujours privés d’électricité en Bretagne, selon Enedis. A Guichen, au sud de Rennes, le maire Dominique Delamarre a indiqué que la Vilaine a atteint 4,74 m après avoir dépassé son niveau historique de 4,71 m. “Ca ne monte plus ce matin, tout en sachant qu’on reste prudent parce qu’on est très inquiet pour demain, car on nous annonce encore une pluviométrie importante”, a déclaré mardi à l’AFP M. Delamarre. “On a contacté les propriétaires et les locataires de 314 logements: 150 logements ont été libérés de leurs occupants” et les personnes ont été relogées chez des amis ou dans une salle mise à disposition, a-t-il ajouté.Le département breton et notamment sa préfecture, Rennes, traversé par deux rivières, l’Ille et la Vilaine, subit des crues inédites depuis plus de 40 ans depuis le passage dimanche de la dépression Herminia, qui a succédé à la tempête Eowyn. Les sapeurs-pompiers d’Ille-et-Vilaine ont réalisé “plus de 200 interventions” permettant “la mise en sécurité de plus de 100 personnes”, selon un tweet de la Sécurité civile. Sur l’ensemble du département, aucune victime n’est à déplorer, a indiqué lundi soir la préfecture dans un communiqué.D’après Météo-France, à Rennes, “il n’avait jamais autant plu en janvier sur cette station ouverte en 1944 (169,6 mm en janvier 1995). Depuis le début du mois, il a plu trois fois plus que la moyenne sur cette période”.La mairie de Rennes a maintenu lundi soir une vigilance “très forte” dans un communiqué. Une nouvelle distribution de parpaings est prévue mardi pour les riverains les plus exposés à la montée des eaux et un gymnase est resté ouvert dans la nuit de lundi à mardi pour accueillir les sinistrés sans solution d’hébergement. Des dizaines de Brétiliens ont dû évacuer leur logement devant l’inexorable montée des eaux entamée ce week-end.Lundi soir, l’Ehpad René Cassin, à Bruz au sud de Rennes, qui accueille 73 personnes, a été évacué, selon la préfecture.- “Niveaux exceptionnels” -“Sur la Seiche et la Vilaine médiane, les niveaux se stabilisent et s’orienteront légèrement à la baisse” mardi en fin de journée, prévoit Vigicrues dans son bulletin publié vers 06H00.”En revanche, sur la Vilaine aval, compte tenu de la propagation de la crue, des niveaux exceptionnels sont attendus à partir de la nuit de mardi à mercredi sur le secteur de Redon”, au sud de l’Ille-et-Vilaine.”En Normandie et sur les Pays de la Loire, les crues de l’Orne et de l’Oudon se propagent, mais il n’est pas attendu d’aggravations significatives dans ces secteurs”, note également Vigicrues.Les pompiers de Loire-Atlantique ont indiqué mardi matin avoir participé à des évacuations dans plusieurs villages (Massérac, Guéméné, Penfao) notamment au moyen de barques et avoir effectué “63 interventions” pour des opérations diverses (épuisement, reconnaissance,…) depuis lundi matin.bur-alh-mb-mas/pta

Crues: après l’Ille-et-Vilaine, la vigilance rouge s’étend au Morbihan et à la Loire-Atlantique

La Loire-Atlantique et le Morbihan, en plus de l’Ille-et-Vilaine, sont placés en vigilance rouge pour crues après le passage de la dépression Herminia, a annoncé mardi Météo-France, qui maintient quatre autres départements de l’ouest du pays en alerte orange pour le même motif.La vigilance rouge concerne “les cours d’eau de la Seiche et de la Vilaine”, a précisé l’institut météorologique dans son dernier bulletin publié peu après 06H00, qui maintient son alerte rouge pour l’Ille-et-Vilaine depuis lundi.Le Calvados, l’Orne, la Mayenne et le Maine-et-Loire ont été maintenus en vigilance orange crues alors que le département de l’Eure a été rétrogradé en vigilance jaune.Ces crues compliquent mardi les déplacements. Le trafic ferroviaire est toujours perturbé “sur les lignes Rennes-Redon et Rennes- Saint-Malo dans les deux sens de circulation, en raison de l’inondation du souterrain de Messac et de la présence d’un arbre sur les voies à Montreuil-sur-Ille”, indique sur X le réseau ferroviaire régional BreizhGo.La circulation est aussi difficile sur de nombreux axes routiers du secteur, selon Bison futé. A 7h30, environ 2.300 clients étaient toujours privés d’électricité en Bretagne, selon Enedis. A Guichen, au sud de Rennes, le maire Dominique Delamarre a indiqué que la Vilaine a atteint 4,74 m après avoir dépassé son niveau historique de 4,71 m. “Ca ne monte plus ce matin, tout en sachant qu’on reste prudent parce qu’on est très inquiet pour demain, car on nous annonce encore une pluviométrie importante”, a déclaré mardi à l’AFP M. Delamarre. “On a contacté les propriétaires et les locataires de 314 logements: 150 logements ont été libérés de leurs occupants” et les personnes ont été relogées chez des amis ou dans une salle mise à disposition, a-t-il ajouté.Le département breton et notamment sa préfecture, Rennes, traversé par deux rivières, l’Ille et la Vilaine, subit des crues inédites depuis plus de 40 ans depuis le passage dimanche de la dépression Herminia, qui a succédé à la tempête Eowyn. Les sapeurs-pompiers d’Ille-et-Vilaine ont réalisé “plus de 200 interventions” permettant “la mise en sécurité de plus de 100 personnes”, selon un tweet de la Sécurité civile. Sur l’ensemble du département, aucune victime n’est à déplorer, a indiqué lundi soir la préfecture dans un communiqué.D’après Météo-France, à Rennes, “il n’avait jamais autant plu en janvier sur cette station ouverte en 1944 (169,6 mm en janvier 1995). Depuis le début du mois, il a plu trois fois plus que la moyenne sur cette période”.La mairie de Rennes a maintenu lundi soir une vigilance “très forte” dans un communiqué. Une nouvelle distribution de parpaings est prévue mardi pour les riverains les plus exposés à la montée des eaux et un gymnase est resté ouvert dans la nuit de lundi à mardi pour accueillir les sinistrés sans solution d’hébergement. Des dizaines de Brétiliens ont dû évacuer leur logement devant l’inexorable montée des eaux entamée ce week-end.Lundi soir, l’Ehpad René Cassin, à Bruz au sud de Rennes, qui accueille 73 personnes, a été évacué, selon la préfecture.- “Niveaux exceptionnels” -“Sur la Seiche et la Vilaine médiane, les niveaux se stabilisent et s’orienteront légèrement à la baisse” mardi en fin de journée, prévoit Vigicrues dans son bulletin publié vers 06H00.”En revanche, sur la Vilaine aval, compte tenu de la propagation de la crue, des niveaux exceptionnels sont attendus à partir de la nuit de mardi à mercredi sur le secteur de Redon”, au sud de l’Ille-et-Vilaine.”En Normandie et sur les Pays de la Loire, les crues de l’Orne et de l’Oudon se propagent, mais il n’est pas attendu d’aggravations significatives dans ces secteurs”, note également Vigicrues.Les pompiers de Loire-Atlantique ont indiqué mardi matin avoir participé à des évacuations dans plusieurs villages (Massérac, Guéméné, Penfao) notamment au moyen de barques et avoir effectué “63 interventions” pour des opérations diverses (épuisement, reconnaissance,…) depuis lundi matin.bur-alh-mb-mas/pta