Debate rages over damage inflicted by US strikes on Iran

One week after the US strikes on three Iranian nuclear sites, there is no consensus as to how effective they were.With those strikes, Washington joined Israel’s bombardments of Iran’s nuclear programme in the 12-day conflict launched on June 13.Israel said its campaign was aimed at ending Iran’s nuclear programme, which Tehran insists is for civilian purposes but which Washington and other powers insist is aimed at acquiring atomic weapons.Here is an overview of the different positions on the strikes.- US hails ‘historic success’ -The Trump administration on Thursday insisted the operation had been a total success, berating journalists for having reported on an intelligence assessment that took a more conservative line.President Donald Trump “created the conditions to end the war, decimating — choose your word — obliterating, destroying Iran’s nuclear capabilities”, Defense Secretary Pete Hegseth told journalists at the Pentagon.Trump himself has called the strikes a “spectacular military success”, insisting they “obliterated” the nuclear sites, setting Iran’s programme back by “decades”.Earlier this week however, US media reported on a leaked preliminary US intelligence assessment that said the strikes had only set back Iran’s nuclear programme by months — coverage sharply criticized by Hegseth and others.The document was “leaked because someone had an agenda to try to muddy the waters and make it look like this historic strike wasn’t successful”, Hegseth said.He also highlighted a statement by CIA chief John Ratcliffe, who pointed to a “historically reliable and accurate” source of information indicating that “several key Iranian nuclear facilities were destroyed and would have to be rebuilt over the course of years”.- Israel claims ‘significant hit’ -The Israeli military has said it had delivered a “significant hit” to Iran’s nuclear programme.While it said its attacks had delayed the programme “by several years” it also said it was “still early to assess the results of the operation”.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu on Tuesday hailed a “historic victory” in the 12-day conflict and vowed to thwart “any attempt” by Iran to rebuild its nuclear programme.- ‘Nothing significant’: Khamenei -Iran’s supreme leader Ayatollah Ali Khamenei has hailed what he described as Iran’s “victory” over Israel.”The American president exaggerated events in unusual ways,” Khamenei said, insisting the strikes had done “nothing significant” to Iran’s nuclear infrastructure.Iran’s Foreign Minister Abbas Araghchi however called the damage “serious” and said a detailed assessment was under way.Doubts remain about whether Iran quietly removed more than 400 kilogrammes (880 pounds) of uranium enriched to 60 percent from its most sensitive sites before the strikes — to hide it elsewhere in the country.The stockpile could in theory produce more than nine atomic bombs — if the enrichment level were raised to 90 percent.A Khamenei adviser, Ali Shamkhani, has said that the country still had its stockpile.”Even if nuclear sites are destroyed, game isn’t over, enriched materials, indigenous knowledge, political will remain,” he said in a post on X.UN nuclear watchdog the International Atomic Energy Agency (IAEA), has called for its inspectors to be able to return to Iran’s nuclear sites in a bid to account for the stockpiles.But on Thursday, the Iranian body tasked with vetting legislation approved a bill passed by lawmakers suspending cooperation with the IAEA. That will go to Iran’s president for final ratification.- ‘Enormous damage’ IAEA -All sides, even some voices in Tehran, agree the strikes on Fordo, Natanz and Isfahan caused major damage.”I believe annihilated is too strong. But it (Iran’s nuclear programme) has suffered enormous damage,” IAEA head Rafael Grossi told French radio RFI.”It is true that, with its reduced capacities, it will be much more difficult for Iran to continue the pace it had.”Thousands of centrifuges — the machines used to enrich uranium — were no longer operational, he said, “given the explosive payload utilised and the extreme vibration-sensitive nature” of the equipment.Experts say that some centrifuges were stored in unknown locations in recent years, as Iran’s cooperation with the UN agency deteriorated.Other sites of the nuclear programme remain intact.

Déserts médicaux: des généralistes en septembre dans 151 zones rouges

Le ministre de la Santé Yannick Neuder a dévoilé vendredi les 151 zones rouges, principalement au centre et sud-ouest hors littoral de la France, qui bénéficieront dès septembre du soutien de médecins généralistes, jusqu’à deux jours par mois, pour lutter contre les déserts médicaux.Avec cette carte, qui identifie 151 intercommunalités prioritaires pour l’accès aux soins, “on ne règle pas les déserts médicaux” puisqu’ils concernent “87% du pays”, a indiqué le ministre interrogé sur BFMTV, mais “c’est une première étape” qui va bénéficier à plus de 2,5 millions de patients, a-t-il précisé.Ce découpage est le fruit d’un travail “réalisé avec les préfets, les agences régionales de santé, les élus locaux, et également les professionnels de santé, pour identifier les secteurs particulièrement désertiques”, a-t-il détaillé.Il permet, selon lui, d'”identifier et de provoquer sur ces territoires-là une solidarité collective, un engagement collectif au 1er septembre”.Le 25 avril, une mesure gouvernementale a été adoptée pour instaurer une “mission de solidarité territoriale obligatoire”, revenant à imposer à tous les médecins exerçant en zone bien pourvue de se “projeter” dans les zones prioritaires, jusqu’à deux jours par mois.”On va inciter les médecins, et après, il faut rôder aussi le système, trouver les lieux, ces maisons médicales, ces bureaux qui sont disponibles pour accueillir les patients”, a indiqué M. Neuder.Dans “l’attente de l’adoption des dispositions législatives actuellement examinées par le Parlement, cette mesure permettra à tous les médecins généralistes volontaires de venir renforcer, sur une partie de leur temps, l’offre de soins dans 151 zones dites +zones rouges+”, peut lire dans le communiqué du ministère de la Santé.- “Volontaires” -Le mot “volontaires” est important pour les médecins, car l’entourage de François Bayrou évoquait fin avril des contreparties financières pour les praticiens partants, alors que “les médecins qui refuseraient se verraient pénalisés”.”Il ne faut pas que ce soit l’idée de contrainte, d’obligation”, avait insisté fin avril à l’AFP Agnès Giannotti, présidente de Médecins généralistes (MG France, majoritaire chez les libéraux). “Ces cartes permettent aussi de travailler les lieux où vont pouvoir s’installer 3.700 docteurs juniors, des médecins nouveaux” qui “n’arriveront qu’en novembre 2026”, a développé M. Neuder sur BFMTV.Sans surprise, le centre de la France et le sud-ouest, hors littoral, ont le plus de zones rouges sur la carte du ministère. “Les départements du centre de la métropole sont les plus affectés” par la faible densité médicale, relevait déjà en mars l’Ordre des médecins dans son atlas 2025 de la démographie médicale en France.”Pour les spécialistes chirurgicaux et les spécialistes médicaux en activité, une diagonale du nord-est à l’intérieur du sud-ouest de la France” se dessine pour les faibles densités médicales, poursuivait l’Ordre.En outremer, c’est là encore sans surprise que la Guyane et Mayotte sont les plus mal lotis.Face à la pénurie de médecins, une réforme de l’accès en deuxième année de médecine a été adoptée le 18 juin pour permettre de former plus de professionnels.Le gouvernement entend aussi “récupérer les étudiants français qui sont partis à l’étranger, en Roumanie, en Espagne” pour étudier la médecine, a rappelé M. Neuder, prévoyant ainsi “plus 20% de médecins d’ici 2027, soit près de 50.000 médecins”.

Commerce: la Chine confirme les modalités de l’accord avec les États-Unis

La Chine a annoncé vendredi avoir “confirmé” avec les États-Unis le cadre de leur accord commercial, assurant que Washington lèverait des restrictions à son encontre et que Pékin pourrait valider l’exportation de plus d’articles soumis à contrôle.Après des pourparlers à Genève (Suisse) en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu’ils imposaient sur leurs produits respectifs.La Chine s’était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l’accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d’exportation de terres rares.Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l’économie mondiale moderne.Mi-juin, Washington et Pékin s’étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, sur un “cadre général” pour lisser leurs différends commerciaux.La Maison Blanche a fait état jeudi d’avancées en matière d’échanges commerciaux avec la Chine, un responsable précisant que les deux parties avaient validé un accord qui porte notamment sur l’accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis. – “Mesures restrictives” -Le président américain Donald Trump a déclaré lors d’un événement que Washington “venait de signer” un accord concernant le commerce avec la Chine.Interrogé sur la brève déclaration de M. Trump, le secrétaire américain au Commerce Howard Lutnick a ensuite fait référence sur Bloomberg TV aux négociations de Londres, affirmant que l’accord-cadre, qui nécessitait une approbation au plus haut niveau, avait maintenant été “signé et scellé”.Pékin a confirmé vendredi qu’un consensus avait été trouvé.”La Chine espère que les États-Unis avanceront dans le même sens qu’elle”, a indiqué dans un communiqué un porte-parole du ministère chinois du Commerce.”Récemment, après approbation, les deux parties ont confirmé les détails du cadre d’application”, a-t-il ajouté.”La Chine procédera en vertu de la loi à l’examen et à l’approbation des demandes d’exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences”, a indiqué le ministère du Commerce.”Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l’égard de la Chine”, a-t-il ajouté.Aucune précision supplémentaire n’a été apportée dans l’immédiat.- Date butoir -La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l’obtention d’un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares. La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.La Maison Blanche a également annoncé jeudi un possible report de la date butoir du 9 juillet, à partir de laquelle des droits de douane plus élevés sur les importations en provenance de dizaines de pays devraient entrer en vigueur aux États-Unis.Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels, comme sur l’acier et l’aluminium. Mais il a aussi ciblé depuis avril des dizaines de partenaires commerciaux des États-Unis avec des taux prohibitifs, avant de se raviser en les mettant en pause jusqu’au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.

Commerce: la Chine confirme les modalités de l’accord avec les États-Unis

La Chine a annoncé vendredi avoir “confirmé” avec les États-Unis le cadre de leur accord commercial, assurant que Washington lèverait des restrictions à son encontre et que Pékin pourrait valider l’exportation de plus d’articles soumis à contrôle.Après des pourparlers à Genève (Suisse) en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu’ils imposaient sur leurs produits respectifs.La Chine s’était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l’accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d’exportation de terres rares.Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l’économie mondiale moderne.Mi-juin, Washington et Pékin s’étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, sur un “cadre général” pour lisser leurs différends commerciaux.La Maison Blanche a fait état jeudi d’avancées en matière d’échanges commerciaux avec la Chine, un responsable précisant que les deux parties avaient validé un accord qui porte notamment sur l’accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis. – “Mesures restrictives” -Le président américain Donald Trump a déclaré lors d’un événement que Washington “venait de signer” un accord concernant le commerce avec la Chine.Interrogé sur la brève déclaration de M. Trump, le secrétaire américain au Commerce Howard Lutnick a ensuite fait référence sur Bloomberg TV aux négociations de Londres, affirmant que l’accord-cadre, qui nécessitait une approbation au plus haut niveau, avait maintenant été “signé et scellé”.Pékin a confirmé vendredi qu’un consensus avait été trouvé.”La Chine espère que les États-Unis avanceront dans le même sens qu’elle”, a indiqué dans un communiqué un porte-parole du ministère chinois du Commerce.”Récemment, après approbation, les deux parties ont confirmé les détails du cadre d’application”, a-t-il ajouté.”La Chine procédera en vertu de la loi à l’examen et à l’approbation des demandes d’exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences”, a indiqué le ministère du Commerce.”Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l’égard de la Chine”, a-t-il ajouté.Aucune précision supplémentaire n’a été apportée dans l’immédiat.- Date butoir -La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l’obtention d’un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares. La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.La Maison Blanche a également annoncé jeudi un possible report de la date butoir du 9 juillet, à partir de laquelle des droits de douane plus élevés sur les importations en provenance de dizaines de pays devraient entrer en vigueur aux États-Unis.Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels, comme sur l’acier et l’aluminium. Mais il a aussi ciblé depuis avril des dizaines de partenaires commerciaux des États-Unis avec des taux prohibitifs, avant de se raviser en les mettant en pause jusqu’au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.

Commerce: la Chine confirme les modalités de l’accord avec les États-Unis

La Chine a annoncé vendredi avoir “confirmé” avec les États-Unis le cadre de leur accord commercial, assurant que Washington lèverait des restrictions à son encontre et que Pékin pourrait valider l’exportation de plus d’articles soumis à contrôle.Après des pourparlers à Genève (Suisse) en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu’ils imposaient sur leurs produits respectifs.La Chine s’était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l’accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d’exportation de terres rares.Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l’économie mondiale moderne.Mi-juin, Washington et Pékin s’étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, sur un “cadre général” pour lisser leurs différends commerciaux.La Maison Blanche a fait état jeudi d’avancées en matière d’échanges commerciaux avec la Chine, un responsable précisant que les deux parties avaient validé un accord qui porte notamment sur l’accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis. – “Mesures restrictives” -Le président américain Donald Trump a déclaré lors d’un événement que Washington “venait de signer” un accord concernant le commerce avec la Chine.Interrogé sur la brève déclaration de M. Trump, le secrétaire américain au Commerce Howard Lutnick a ensuite fait référence sur Bloomberg TV aux négociations de Londres, affirmant que l’accord-cadre, qui nécessitait une approbation au plus haut niveau, avait maintenant été “signé et scellé”.Pékin a confirmé vendredi qu’un consensus avait été trouvé.”La Chine espère que les États-Unis avanceront dans le même sens qu’elle”, a indiqué dans un communiqué un porte-parole du ministère chinois du Commerce.”Récemment, après approbation, les deux parties ont confirmé les détails du cadre d’application”, a-t-il ajouté.”La Chine procédera en vertu de la loi à l’examen et à l’approbation des demandes d’exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences”, a indiqué le ministère du Commerce.”Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l’égard de la Chine”, a-t-il ajouté.Aucune précision supplémentaire n’a été apportée dans l’immédiat.- Date butoir -La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l’obtention d’un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares. La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.La Maison Blanche a également annoncé jeudi un possible report de la date butoir du 9 juillet, à partir de laquelle des droits de douane plus élevés sur les importations en provenance de dizaines de pays devraient entrer en vigueur aux États-Unis.Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels, comme sur l’acier et l’aluminium. Mais il a aussi ciblé depuis avril des dizaines de partenaires commerciaux des États-Unis avec des taux prohibitifs, avant de se raviser en les mettant en pause jusqu’au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.

MSF slams US-backed Gaza aid scheme as ‘slaughter masquerading’ as aid

Medical charity Doctors Without Borders (MSF) called on Friday for a controversial Israel- and US-backed relief effort in Gaza to be halted, branding it “slaughter masquerading as humanitarian aid”.The Gaza Humanitarian Foundation, which began operating last month, “is degrading Palestinians by design, forcing them to choose between starvation or risking their lives for minimal supplies”, MSF said in a statement.It said more than 500 people have been killed in the Gaza Strip while seeking food in recent weeks.Starting in March, Israel blocked deliveries of food and other crucial supplies into Gaza for more than two months, leading to warnings of that the entire population of the occupied Palestinian territory is at risk of famine.The United Nations sas Israel’s occupation of the West Bank and Gaza is illegal under international law.The densely populated Gaza Strip has been largely flattened by Israeli bombing since the October 7, 2023, attack on Israel by Hamas.Israel began allowing food supplies to trickle in at the end of May, using GHF — backed by armed US contractors, with Israeli troops on the perimeter — to run operations.The latter have been marred by chaotic scenes and near-daily reports of Israeli forces firing on people desperate to get food.There are also concerns about the neutrality of GHF, officially a private group with opaque funding. The UN and major aid groups have refused to work with it, citing concerns it serves Israeli military goals and that it violates basic humanitarian principles.The Gaza health ministry says that since late May, nearly 550 people have been killed near aid centres while seeking scarce food supplies. “With over 500 people killed and nearly 4,000 wounded while seeking food, this scheme is slaughter masquerading as humanitarian aid and must be immediately dismantled,” MSF said.- Surge in gunshot wounds -GHF has denied that fatal shootings have occurred in the immediate vicinity of its aid points.On Tuesday, the United Nations condemned what it said was Israel’s “weaponisation of food” in Gaza and called it a war crime.MSF said the way GHF distributes food aid supplies “forces thousands of Palestinians, who have been starved by an over 100 day-long Israeli siege, to walk long distances to reach the four distribution sites and fight for scraps of food supplies”. “These sites hinder women, children, the elderly and people with disabilities from accessing aid, and people are killed and wounded in the chaotic process,” it said.Aitor Zabalgogeazkoa, MSF’s emergency coordinator in Gaza, said the four sites were all under the full control of Israeli forces, surrounded by watch points and barbed wire.”If people arrive early and approach the checkpoints, they get shot. If they arrive on time but there is an overflow and they jump over the mounds and the wires, they get shot,” he said in the statement.”If they arrive late, they shouldn’t be there because it is an ‘evacuated zone’ — they get shot.”MSF said that its teams in Gaza were seeing patients every day who had been killed or wounded trying to get food at one of the sites.It pointed to “a stark increase in the number of patients with gunshot wounds”.MSF urged “the Israeli authorities and their allies to lift the siege on food, fuel, medical and humanitarian supplies and to revert to the pre-existing principled humanitarian system coordinated by the UN”.

Booking supprime 4.000 annonces de logements en Espagne à la demande du gouvernement

La plateforme de réservations d’hôtels Booking.com a indiqué vendredi avoir supprimé près de 2% de ses 200.000 annonces en Espagne à la demande du gouvernement, qui accusait les logements concernés de ne pas disposer de licences valides.”A la demande du ministère de la Consommation, nous avons supprimé un nombre très réduit d’annonces en Espagne”, soit “2%” des logements présents dans son catalogue dans le pays, a assuré la plateforme néerlandaise dans une déclaration transmise à l’AFP.Selon Booking, qui précise disposer d’environ 200.000 logements en Espagne, cette décision a été prise parce que les logements concernés n’avaient pas “fourni de licence valide” pour permettre une location a des fins touristiques.”Nous avons toujours collaboré – et continuerons de le faire – avec les différentes administrations, tant au niveau national que régional, dans le cadre de nos efforts continus pour contribuer à une réglementation claire et transparente du secteur de la location courte durée”, ajoute le groupe.Le ministère de la Consommation du gouvernement de gauche espagnol s’était félicité jeudi dans un communiqué de la suppression de ces annonces, en évoquant un total de “4.093 annonces illégales” supprimées à la demande des autorités.L’essor des logements touristiques est “une des causes des difficultés d’accès au logement rencontrées par des milliers de personnes actuellement en Espagne, notamment dans les zones qui reçoivent le plus grand afflux de touristes”, a justifié le ministère.Selon lui, la majorité des annonces supprimées l’ont été dans les îles Canaries, l’une des régions d’Espagne qui attire le plus de touristes.En mai, le ministère avait demandé à la plateforme Airbnb de retirer 65.000 annonces de logements touristiques, estimant qu’elles enfreignaient la réglementation relative à la publicité de ce type de résidences.Airbnb avait contre-attaqué en assurant dans un communiqué que le ministère “n’était pas compétent pour faire respecter des régulations en matière d’hébergements touristiques” et en promettant de contester cette décision en justice.Jusqu’à présent, cependant, la justice a rejeté deux recours d’Airbnb contre ces demandes.Selon l’Institut national des statistiques (INE), l’Espagne compte actuellement 368.000 hébergements touristiques.

Liberia holds funeral for ex-leader Doe decades after assassinationFri, 27 Jun 2025 12:39:50 GMT

Hundreds of people gathered Friday in rural Liberia for the state funeral of authoritarian former president Samuel Doe 35 years after his assassination, part of the country’s ongoing reconciliation efforts over its violent past.Doe’s brutal 1990 torture and murder were an early turning point in the two civil wars that killed around 250,000 people and …

Liberia holds funeral for ex-leader Doe decades after assassinationFri, 27 Jun 2025 12:39:50 GMT Read More »