Discothèque de Saint-Domingue: vers la fin des opérations de recherche, le bilan dépasse les 200 morts

Le bilan de l’effondrement d’une discothèque à Saint-Domingue dépasse désormais les 200 morts (221 morts), selon les secouristes qui n’ont plus d’espoir de trouver des survivants et devraient jeudi clôturer officiellement les opérations de recherche. Il n’y a “plus d’espoir raisonnable de retrouver des survivants” à la tragédie survenue mardi matin sur laquelle une enquête sera ouverte dès la fin des fouilles, ont indiqué les autorités.Aucune personne vivante n’a été sortie des décombres depuis mardi après-midi.Jeudi, le directeur du Centre d’opérations d’urgence (COE), Juan Manuel Méndez a fait état du dernier bilan devant la presse : “Malheureusement, nous avons un bilan de 221 personnes jusqu’à présent”, a-t-il dit. Selon le ministre de la Santé, Victor Atallah, il y aurait “possiblement encore” des morts sous les décombres. “Personne ne sera laissé sans identification et personne ne sera laissé sans réponse”, a-t-il déclaré à la presse. “Nous allons déplacer la dernière pierre qu’il faudra déplacer et chercher tout ce qu’il faudra chercher.”Un bilan consolidé de toutes les victimes devrait être publié dans les prochaines heures, “nos équipes de sauveteurs concluent déjà les travaux” de recherche, a déclaré plus tôt M. Méndez, selon lequel 189 personnes ont été “secourues”.- Photos et prières -Des dizaines de personnes s’agglutinaient avec angoisse autour de la discothèque, des hôpitaux et de la morgue en attendant des nouvelles ou l’identification de leurs proches.L’un brandit une photo, d’autres se tiennent dans les bras et pleurent. Une liste de noms des tués a été placée sur la bâche d’une tente à côté de l’endroit où les corps arrivent. Jose Santana a perdu quatre membres de sa famille. “Hier nous avons passé la journée (à aller) de clinique en clinique, d’hôpital en hôpital et devant le Jet Set, à la recherche de nos frères, espérant les retrouver vivants”. “Malheureusement, ce (mercredi) matin, on nous a annoncé qu’ils étaient tous morts”.”Ma sÅ“ur est en soins intensifs”, déclare pour sa part Juan Francisco Rosario. “J’ai aussi un neveu dans un état grave, et une nièce qui est décédée et dont nous n’avons pas encore reçu le corps. Nous sommes totalement choqués, attristés, déchirés par ce désastre, cette tragédie, qui a touché l’ensemble du peuple dominicain.”- Obsèques de Rubby Pérez -Cette catastrophe dépasse désormais, en termes de bilan humain, l’incendie en 2005 d’une prison à Higuey (est) qui avait coûté la vie à 136 détenus.Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on peut voir le toit s’effondrer alors que le très populaire chanteur de merengue Rubby Pérez se produisait sur scène et sera retrouvé mort. D’autres vidéos sur les réseaux sociaux montrent des employés balayer l’établissement avant le drame pour enlever cailloux et petits débris tombés du plafond.Des images aériennes montrent un trou béant à la place du toit de l’établissement qui s’est écroulé à 00H44 (04H44 GMT) mardi alors qu’entre 500 et 1.000 personnes assistaient au concert de Rubby Pérez, dont de nombreux fans et célébrités. La gouverneure de la province de Monte Cristi, Nelsy Cruz, est décédée dans l’accident, comme les anciens joueurs de baseball des Ligues majeures Octavio Dotel et Tony Blanco. Au moins un Américain figure parmi les victimes, a annoncé le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio dans un communiqué en adressant ses pensées “aux familles et aux proches touchés par cet événement dévastateur”.Le président Luis Abinader, qui a décrété trois jours de deuil national, a dirigé jeudi un vibrant hommage à Rubby Pérez au Théâtre national, qui sera suivi d’une chapelle ardente.Sur son cercueil accompagné de nombreuses couronnes de fleurs blanches, ont été déposés des lunettes et un chapeau qui le caractérisaient. La musique de celui qui était surnommé “la voix la plus aiguë du merengue”, a fait le tour de l’Amérique latine et caribéenne et de la planète.De nombreux artistes ont honoré sa mémoire sur les réseaux sociaux.Le pape François a envoyé un message aux Dominicains se disant “très peiné” par le “tragique effondrement” et présentant “ses sincères condoléances aux familles”.

Droits de douane: Trump promet un happy end

Le président Donald Trump a une nouvelle fois défendu jeudi son offensive douanière visant à rapatrier de la production aux Etats-Unis, même si elle s’accompagne d’un “coût”, de “problèmes” et de marchés en berne.”La transition aura un coût et posera des problèmes, mais en fin de compte, ça sera une bonne chose”, a assuré le président américain en Conseil des ministres. Le ministre des Finances Scott Bessent a affirmé quelques minutes plus tard, lors de cette même réunion, qu’il ne voyait “rien d’inhabituel aujourd’hui” sur les marchés.Wall Street, qui avait ouvert dans le rouge, s’est enfoncée dans la journée (avec des indices en baisse d’environ -4% vers 18H00 GMT) après l’annonce par la Maison Blanche que sa surtaxe sur les produits chinois était désormais de 145%, douchant une partie des espoirs de désescalade dans la guerre commerciale lancée par Donald Trump.Le pétrole et le dollar ont aussi reculé franchement face aux craintes de ralentissement mondial de l’activité. L’or a franchi un nouveau record.Mercredi, le président américain a opéré un revirement spectaculaire en concentrant toutes ses flèches sur la Chine et en offrant un peu de répit aux autres partenaires commerciaux des Etats-Unis. Ceux-ci restent toutefois toujours visés depuis samedi par 10% de droits de douane additionnels sur leurs exportations vers la première puissance mondiale.Face à la détermination de Pékin à rendre quasiment coup pour coup, Donald Trump a frappé les produits chinois de 125% de droits de douane additionnels. La Maison Blanche a précisé jeudi, via un décret présidentiel, que cela porterait en fait la surtaxe sur le “made in China” à 145%, en tenant compte d’autres droits de douane – de 20% – mis en place par le milliardaire républicain pour punir la Chine d’héberger sur son sol des ateliers jouant un rôle dans la production de fentanyl, un opioïde à l’origine d’une grave crise sanitaire aux Etats-Unis.Autres subtilités: cette surtaxe touchera la majorité des produits chinois mais pas tous (les semiconducteurs sont exemptés par exemple), et arrive en supplément des droits de douane qui existaient avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.- “Très intelligente” -Désormais isolées dans leur combat face à l’administration américaine, les autorités chinoises ont continué jeudi de tenir tête à Washington, promettant de “se battre jusqu’au bout” tout en se montrant disposées à rechercher un compromis.”La porte est ouverte pour des négociations, mais ce dialogue doit être mené sur un pied d’égalité et basé sur le respect mutuel”, a prévenu le ministère chinois du Commerce.Les autres pays ont préféré faire profil bas. Les pays de l’Asean, bloc régional regroupant dix pays d’Asie du Sud-Est, dont le Vietnam et le Cambodge, se sont engagés jeudi à “ne pas imposer de mesures de rétorsion” contre les Etats-Unis.L’Union européenne a de son côté suspendu sa riposte pour “donner une chance aux négociations”, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.”Si les négociations ne sont pas satisfaisantes, nos contre-mesures [sur les produits américains] entreront en vigueur”, a-t-elle cependant prévenu.La décision de l’UE a été qualifiée de “très intelligente” jeudi par Donald Trump. – “Un autre monde” -Son principal conseiller économique, Kevin Hassett, a assuré sur le média CNBC qu’il fallait “créer la pression suffisante” sur les partenaires de Washington pour rapatrier des activités industrielles aux Etats-Unis.D’après Donald Trump, plus de 75 pays se sont d’ores et déjà manifestés pour négocier avec les Etats-Unis. Mais, selon le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, les pays ne savent pas “comment négocier” avec les Etats-Unis car “il n’y a pas de théorie économique derrière ce qu’il [Donald Trump] fait”.”C’est un autre monde”, a-t-il déclaré dans une interview avec l’émission indépendante Democracy Now!Autre conséquence de l’offensive douanière américaine: l’accélération de la recomposition des relations commerciales. L’UE a ainsi annoncé jeudi que les Vingt-Sept allaient démarrer des négociations avec les Emirats arabes unis en vue d’un accord de libre-échangeburs-myl/els/ev

Droits de douane: Trump promet un happy end

Le président Donald Trump a une nouvelle fois défendu jeudi son offensive douanière visant à rapatrier de la production aux Etats-Unis, même si elle s’accompagne d’un “coût”, de “problèmes” et de marchés en berne.”La transition aura un coût et posera des problèmes, mais en fin de compte, ça sera une bonne chose”, a assuré le président américain en Conseil des ministres. Le ministre des Finances Scott Bessent a affirmé quelques minutes plus tard, lors de cette même réunion, qu’il ne voyait “rien d’inhabituel aujourd’hui” sur les marchés.Wall Street, qui avait ouvert dans le rouge, s’est enfoncée dans la journée (avec des indices en baisse d’environ -4% vers 18H00 GMT) après l’annonce par la Maison Blanche que sa surtaxe sur les produits chinois était désormais de 145%, douchant une partie des espoirs de désescalade dans la guerre commerciale lancée par Donald Trump.Le pétrole et le dollar ont aussi reculé franchement face aux craintes de ralentissement mondial de l’activité. L’or a franchi un nouveau record.Mercredi, le président américain a opéré un revirement spectaculaire en concentrant toutes ses flèches sur la Chine et en offrant un peu de répit aux autres partenaires commerciaux des Etats-Unis. Ceux-ci restent toutefois toujours visés depuis samedi par 10% de droits de douane additionnels sur leurs exportations vers la première puissance mondiale.Face à la détermination de Pékin à rendre quasiment coup pour coup, Donald Trump a frappé les produits chinois de 125% de droits de douane additionnels. La Maison Blanche a précisé jeudi, via un décret présidentiel, que cela porterait en fait la surtaxe sur le “made in China” à 145%, en tenant compte d’autres droits de douane – de 20% – mis en place par le milliardaire républicain pour punir la Chine d’héberger sur son sol des ateliers jouant un rôle dans la production de fentanyl, un opioïde à l’origine d’une grave crise sanitaire aux Etats-Unis.Autres subtilités: cette surtaxe touchera la majorité des produits chinois mais pas tous (les semiconducteurs sont exemptés par exemple), et arrive en supplément des droits de douane qui existaient avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.- “Très intelligente” -Désormais isolées dans leur combat face à l’administration américaine, les autorités chinoises ont continué jeudi de tenir tête à Washington, promettant de “se battre jusqu’au bout” tout en se montrant disposées à rechercher un compromis.”La porte est ouverte pour des négociations, mais ce dialogue doit être mené sur un pied d’égalité et basé sur le respect mutuel”, a prévenu le ministère chinois du Commerce.Les autres pays ont préféré faire profil bas. Les pays de l’Asean, bloc régional regroupant dix pays d’Asie du Sud-Est, dont le Vietnam et le Cambodge, se sont engagés jeudi à “ne pas imposer de mesures de rétorsion” contre les Etats-Unis.L’Union européenne a de son côté suspendu sa riposte pour “donner une chance aux négociations”, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.”Si les négociations ne sont pas satisfaisantes, nos contre-mesures [sur les produits américains] entreront en vigueur”, a-t-elle cependant prévenu.La décision de l’UE a été qualifiée de “très intelligente” jeudi par Donald Trump. – “Un autre monde” -Son principal conseiller économique, Kevin Hassett, a assuré sur le média CNBC qu’il fallait “créer la pression suffisante” sur les partenaires de Washington pour rapatrier des activités industrielles aux Etats-Unis.D’après Donald Trump, plus de 75 pays se sont d’ores et déjà manifestés pour négocier avec les Etats-Unis. Mais, selon le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, les pays ne savent pas “comment négocier” avec les Etats-Unis car “il n’y a pas de théorie économique derrière ce qu’il [Donald Trump] fait”.”C’est un autre monde”, a-t-il déclaré dans une interview avec l’émission indépendante Democracy Now!Autre conséquence de l’offensive douanière américaine: l’accélération de la recomposition des relations commerciales. L’UE a ainsi annoncé jeudi que les Vingt-Sept allaient démarrer des négociations avec les Emirats arabes unis en vue d’un accord de libre-échangeburs-myl/els/ev

Droits de douane: Trump promet un happy end

Le président Donald Trump a une nouvelle fois défendu jeudi son offensive douanière visant à rapatrier de la production aux Etats-Unis, même si elle s’accompagne d’un “coût”, de “problèmes” et de marchés en berne.”La transition aura un coût et posera des problèmes, mais en fin de compte, ça sera une bonne chose”, a assuré le président américain en Conseil des ministres. Le ministre des Finances Scott Bessent a affirmé quelques minutes plus tard, lors de cette même réunion, qu’il ne voyait “rien d’inhabituel aujourd’hui” sur les marchés.Wall Street, qui avait ouvert dans le rouge, s’est enfoncée dans la journée (avec des indices en baisse d’environ -4% vers 18H00 GMT) après l’annonce par la Maison Blanche que sa surtaxe sur les produits chinois était désormais de 145%, douchant une partie des espoirs de désescalade dans la guerre commerciale lancée par Donald Trump.Le pétrole et le dollar ont aussi reculé franchement face aux craintes de ralentissement mondial de l’activité. L’or a franchi un nouveau record.Mercredi, le président américain a opéré un revirement spectaculaire en concentrant toutes ses flèches sur la Chine et en offrant un peu de répit aux autres partenaires commerciaux des Etats-Unis. Ceux-ci restent toutefois toujours visés depuis samedi par 10% de droits de douane additionnels sur leurs exportations vers la première puissance mondiale.Face à la détermination de Pékin à rendre quasiment coup pour coup, Donald Trump a frappé les produits chinois de 125% de droits de douane additionnels. La Maison Blanche a précisé jeudi, via un décret présidentiel, que cela porterait en fait la surtaxe sur le “made in China” à 145%, en tenant compte d’autres droits de douane – de 20% – mis en place par le milliardaire républicain pour punir la Chine d’héberger sur son sol des ateliers jouant un rôle dans la production de fentanyl, un opioïde à l’origine d’une grave crise sanitaire aux Etats-Unis.Autres subtilités: cette surtaxe touchera la majorité des produits chinois mais pas tous (les semiconducteurs sont exemptés par exemple), et arrive en supplément des droits de douane qui existaient avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.- “Très intelligente” -Désormais isolées dans leur combat face à l’administration américaine, les autorités chinoises ont continué jeudi de tenir tête à Washington, promettant de “se battre jusqu’au bout” tout en se montrant disposées à rechercher un compromis.”La porte est ouverte pour des négociations, mais ce dialogue doit être mené sur un pied d’égalité et basé sur le respect mutuel”, a prévenu le ministère chinois du Commerce.Les autres pays ont préféré faire profil bas. Les pays de l’Asean, bloc régional regroupant dix pays d’Asie du Sud-Est, dont le Vietnam et le Cambodge, se sont engagés jeudi à “ne pas imposer de mesures de rétorsion” contre les Etats-Unis.L’Union européenne a de son côté suspendu sa riposte pour “donner une chance aux négociations”, selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.”Si les négociations ne sont pas satisfaisantes, nos contre-mesures [sur les produits américains] entreront en vigueur”, a-t-elle cependant prévenu.La décision de l’UE a été qualifiée de “très intelligente” jeudi par Donald Trump. – “Un autre monde” -Son principal conseiller économique, Kevin Hassett, a assuré sur le média CNBC qu’il fallait “créer la pression suffisante” sur les partenaires de Washington pour rapatrier des activités industrielles aux Etats-Unis.D’après Donald Trump, plus de 75 pays se sont d’ores et déjà manifestés pour négocier avec les Etats-Unis. Mais, selon le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, les pays ne savent pas “comment négocier” avec les Etats-Unis car “il n’y a pas de théorie économique derrière ce qu’il [Donald Trump] fait”.”C’est un autre monde”, a-t-il déclaré dans une interview avec l’émission indépendante Democracy Now!Autre conséquence de l’offensive douanière américaine: l’accélération de la recomposition des relations commerciales. L’UE a ainsi annoncé jeudi que les Vingt-Sept allaient démarrer des négociations avec les Emirats arabes unis en vue d’un accord de libre-échangeburs-myl/els/ev

L’influenceur masculiniste Andrew Tate accusé d’avoir menacé une femme avec un pistolet

L’influenceur masculiniste britannico-américain Andrew Tate, poursuivi au Royaume-Uni pour viols et violences sexuelles et verbales, est accusé d’avoir menacé une femme avec un pistolet, selon des documents judiciaires dont l’AFP a obtenu copie jeudi.Au total, quatre femmes poursuivent Andrew Tate au civil devant la Haute cour de Londres pour des faits qui auraient été commis entre 2012 et 2015. Elles réclament des dommages et intérêts pour les agressions qu’elles disent avoir subies.Dans une déclaration écrite à la Haute cour publiée par la BBC à l’origine des dernières révélations, Andrew Tate a rejeté en bloc ces accusations, les qualifiant de “tissu de mensonges” et d'”affabulations grossières”.Une audience préliminaire doit se tenir le 15 avril à Londres.Trois de ces femmes avaient déposé plainte auprès de la police mais le Crown Prosecution Service (CPS), service chargé des poursuites pénales en Angleterre, avait décidé de classer l’affaire en 2019.Selon les documents judiciaires dans l’affaire au civil, deux d’entre elles travaillaient pour l’entreprise de webcams en ligne de Tate en 2015, tandis que les deux autres entretenaient des relations avec lui en 2013 et 2014. Une femme affirme que Tate a menacé de la tuer, une autre qu’il a clairement indiqué qu’il tuerait toute personne à qui elle parlerait, et une troisième qu’Andrew Tate lui avait affirmé qu’il avait tué des personnes.Présentée comme première requérante dans la plainte, une des femmes raconte avoir été menacée avec un pistolet.L’influenceur “a menacé la première requérante quotidiennement, y compris à une occasion en lui mettant un pistolet sous le nez alors qu’elle se tenait à côté de la porte d’entrée et ensuite en le pointant sur elle” tout en disant des choses comme “+Tu vas faire ce que je dis ou tu vas le payer cher+”, selon le document.Lors d’un autre épisode rapporté dans la plainte, Andrew Tate l’aurait traitée de “salope paresseuse”, tout en l’empoignant par le cou. Cette femme dit avoir été violée à plusieurs reprises.Andrew Tate et son frère Tristan, qui font aussi l’objet de poursuites en Roumanie, sont soupçonnés d’avoir dupé plusieurs femmes à des fins d’exploitation sexuelle, y compris des mineures. D’après les procureurs roumains, les victimes étaient piégées par les frères qui simulaient des sentiments à leur égard, avant d’être forcées à la production de films pornographiques. Andrew Tate doit également répondre de faits présumés de viol.

Rahul shines as Delhi bag fourth straight win in IPL

KL Rahul smashed an unbeaten 93 as Delhi Capitals beat Royal Challengers Bengaluru by six wickets to maintain their winning streak in the Indian Premier League on Thursday.Rahul, 32, hit six sixes and seven fours in his scintillating 53-ball knock to help Delhi overhaul Bengaluru’s 163-7 with 13 balls to spare at the M.Chinnaswamy Stadium in Bengaluru.Tristan Stubbs chipped in with 38 not out and shared 111 runs with Rahul off just 56 balls to steer Delhi to their fourth consecutive win.Delhi now sit second in the table while Bengaluru are third in the 10-team competition.  Bengaluru bowlers picked some early wickets but ran into the in-form Rahul who batted with composure and ease.Delhi had a wobbly start, losing openers Faf du Plessis and Jake Fraser-McGurk cheaply with just 10 runs on the board.Captain Axar Patel tried to steady the innings but holed out to Tim David off impact sub Suyash Sharma for 15.Stubbs said the win was “really satisfying”.”I came in a tricky situation, but the run-rate never got out of hand,” he said. “I did not need to do much — KL played the way he did.”  Earlier, Bengaluru were off to a flier, with openers Virat Kohli and Phil Salt taking the attack to the opposition.The duo smashed 30 runs in the third over off Mitchell Starc before guiding Bengaluru to the fastest team 50 of the season.The batting assault ended when Salt (37) was run-out after a mix-up and Kohli (22) lobbed a catch to Starc who dived forward to take a fine catch at long-off.Salt hit three sixes and four fours in his 17-ball knock.Bengaluru lost regular wickets after the twin setbacks, with Delhi left-arm spinner Kuldeep Yadav picking two, including the scalp of captain Rajat Patidar for 25.David provided a late flourish with an unbeaten 20-ball 37, studded with four sixes and two fours.Patidar conceded his team did not bat well despite showing “nice intent”.”We were lacking in assessing the conditions and the situation. (But) the way David accelerated at the end, it was really amazing,” he said.  

Hamas says France plan to recognise Palestinian state ‘important step’

Hamas said on Thursday the announcement by President Emmanuel Macron that France could recognise a Palestinian state by June was an “important step”, after Israel’s foreign minister slammed the plan.”We welcome the statements made by French President Emmanuel Macron regarding his country’s readiness to recognise the State of Palestine,” Hamas official Mahmud Mardawi told AFP.He called the announcement “an important step that, if implemented, would constitute a positive shift in the international position towards the legitimate national rights of our Palestinian people”.On Wednesday, Macron said France plans to recognise a Palestinian state within months and could make the move at a UN conference in New York in June.”We must move towards recognition, and we will do so in the coming months,” Macron, who this week visited Egypt, told France 5 television.Mardawi said France’s move was important because it is a veto-wielding permanent member of the UN Security Council.”France, as a country with political weight and a permanent member of the (UN) Security Council, has the ability to influence the course of fair solutions and push towards ending the occupation and achieving the aspirations of the Palestinian people,” Mardawi said.He said those aspirations were “freedom, independence and the establishment of their state on their land, with Jerusalem as its capital”.Gaza City resident Ibrahim Musa told AFP he “felt very relieved” when he heard the news.”We are a suffering people and we are still suffering, and we hope that the Western world will take positive steps to stop this war with all the strength it can,” he said.But for fellow Gaza City resident Salwa Al-Shandaghli, “this pressure is not enough”.”We need other countries and stronger backing… in order to exert greater pressure on the Israeli occupation,” she said.Palestinian minister of state for foreign affairs Varsen Aghabekian Shahin, who is based in the West Bank city of Ramallah, told AFP France’s recognition of Palestinian statehood “would be a step in the right direction in line with safeguarding the rights of the Palestinian people and the two-state solution”. Israeli Foreign Minister Gideon Saar denounced Macron’s announcement as a “prize for terror and a boost for Hamas”.”These kind of actions will not bring peace, security and stability in our region closer — but the opposite: they only push them further away,” he said on X late on Wednesday.Nearly 150 countries recognise a Palestinian state.In May 2024, Ireland, Norway and Spain announced recognition, followed by Slovenia in June.Their moves were partly fuelled by anger at the high civilian death toll in Israel’s devastating offensive in Gaza which was triggered by Hamas’s October 2023 attack on southern Israel.