Wall Street termine en ordre dispersé, le Nasdaq et S&P 500 atteignent de nouveaux records
La Bourse de New York a terminé sans direction claire jeudi, digérant les résultats de certains géants de la “tech” américaine, et dans l’attente de nouvelles sur le plan commercial.L’indice élargi S&P 500 (+0,07% à 6.363,35 points) et l’indice Nasdaq (+0,70% à 21.057,96 points) ont, une nouvelle fois, franchi des nouveaux sommets en clôture, tandis que le Dow Jones a perdu 0,70%.”Les actions atteignent de nouveaux records aujourd’hui, après que les résultats des entreprises ont été bien accueillis” et de bonnes “données économiques”, résume Jose Torres, d’Interactive Brokers.”Un peu plus de 20% des entreprises du S&P 500 ont publié leurs résultats” et “pour le moment, ils semblent assez bons”, avance pour sa part Thomas Shipp, de LPL Financial.Parmi les plus grosses capitalisations à avoir déjà partagé leurs performances, Alphabet, la maison mère de Google, a gagné du terrain (+1,02% à 192,17 dollars) après avoir vu son chiffre d’affaires au deuxième trimestre bondir de 14% sur un an à plus de 96 milliards de dollars.Cette croissance, largement supérieure aux attentes, est notamment portée par la forte demande en services d’intelligence artificielle (IA).Autre géant du secteur technologique, le spécialiste des véhicules électrique Tesla a nettement reculé (-8,20% à 305,30 dollars) après une baisse de 16% de son bénéfice net au deuxième trimestre.Le groupe a été affecté par un repli des ventes de véhicules, dans un contexte de concurrence accrue et de conséquences de l’implication de son patron Elon Musk dans la sphère politique américaine.Dans le même temps, “l’absence de développements sur le front commercial maintient les indices dans une fourchette relativement étroite”, selon les analystes de Briefing.com.Les investisseurs attendent en effet des nouvelles des négociations commerciales, avant la date butoir du 1er août, mais “l’optimisme reste de mise”, selon Adam Sarhan, de 50 Park Investments.L’administration Trump compte pour l’heure cinq accords à son actif, et les acteurs du marché espèrent qu’un compromis sera bientôt trouvé avec l’Union européenne et avec la Chine.Côté indicateurs, les inscriptions au chômage se sont établies à 217.000 la semaine passée, en baisse pour la sixième période d’affilée et en deçà des attentes des analystes.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt à dix ans se tendait, à 4,40% vers 20H15 GMT contre 4,38% à la clôture mercredi.Au tableau des valeurs, la chaîne de restauration rapide d’inspiration mexicaine Chipotle a glissé (-14,30% à 45,76 dollars) après avoir fait état pour le deuxième trimestre d’un recul des ventes dans ses restaurants.Le groupe informatique américain IBM a perdu du terrain (-7,62% à 260,51 dollars), malgré des résultats supérieurs aux attentes.L’entreprise a engrangé au deuxième trimestre un chiffre d’affaires de 16,98 milliards de dollars ce qui lui a permis de générer un bénéfice net par action de 2,80 dollars.La compagnie aérienne American Airlines a chuté (-9,62% à 11,46 dollars) à cause de l’abaissement de ses prévisions pour le troisième trimestre. Le groupe anticipe désormais une perte nette par action hors éléments exceptionnels comprise entre 10 et 60 cents (contre auparavant un bénéfice de 3 cents).
Trêve à Gaza: l’émissaire américain acte l’échec des pourparlers et accuse le Hamas
L’émissaire américain Steve Witkoff a acté jeudi l’échec des pourparlers menés à Doha en vue d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, mettant en cause la bonne foi du Hamas, en guerre contre Israël depuis plus de 21 mois. Alors que la pression internationale s’intensifie pour mettre fin à la guerre et aux souffrances des plus de deux millions de Palestiniens de Gaza, le président français Emmanuel Macron a annoncé que la France reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York. Dans le même élan, un “entretien d’urgence” entre Paris, Londres et Berlin sur la situation à Gaza est prévu vendredi, a indiqué le Premier ministre britannique Keir Starmer, réaffirmant le “droit inaliénable du peuple palestinien” à un Etat.Peu avant, Israël a annoncé le rappel pour consultation de ses négociateurs, engagés dans des pourparlers indirects avec le Hamas au Qatar. “Nous agissons pour obtenir un nouvel accord afin de libérer nos otages”, a néanmoins déclaré le Premier ministre Benjamin Netanyahu, malgré le retrait de son équipe.M. Witkoff a également annoncé le retrait de l’équipe américaine “pour consultation après la dernière réponse du Hamas, qui montre clairement un manque de volonté de parvenir à un cessez-le-feu à Gaza”.Il a ajouté que les Etats-Unis et leurs partenaires allaient “désormais envisager d’autres options pour ramener les otages chez eux et tenter de créer un environnement plus stable pour la population de Gaza”.Ces otages avaient été enlevés lors de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre. – “Entretien d’urgence” -Comme l’émissaire américain, M. Netanyahu a justifié le retrait israélien par la réponse transmise par le Hamas.Le mouvement islamiste palestinien avait annoncé la veille avoir répondu à une proposition de trêve de 60 jours assortie d’un échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens. “Nous agissons pour obtenir un nouvel accord afin de libérer nos otages. Mais si le Hamas considère notre intention d’y parvenir comme une faiblesse, comme une opportunité pour nous imposer des conditions de reddition qui mettraient en danger l’Etat d’Israël, il se trompe lourdement”, a prévenu M. Netanyahu jeudi.Pendant ce temps, les bombardements israéliens se poursuivent à Gaza, où au moins 40 personnes ont été tuées jeudi, selon la Défense civile locale.En Israël, le Forum des familles d’otages, principale association de proches des captifs retenus à Gaza, a fait part de sa “vive inquiétude”, estimant que “chaque jour qui passe réduit les chances de sauver les otages”. Selon une source palestinienne, la réponse du Hamas comprend des amendements proposés aux clauses sur l’entrée de l’aide humanitaire, des cartes des zones de Gaza d’où l’armée israélienne devrait se retirer, ainsi que des garanties sur la fin de la guerre. Israël refuse de donner des garanties sur un cessez-le-feu permanent.- “Les enfants tombent” -Début mars, Israël a imposé un blocus total sur Gaza, très partiellement assoupli fin mai, entraînant de graves pénuries de nourriture, médicaments et carburant.Youssef Hassouna, journaliste vidéo de l’AFP habitant à Gaza-ville, raconte qu'”il est extrêmement difficile d’obtenir de la nourriture” et de l’eau pour lui et sa famille.”Les enfants tombent en marchant par manque de nourriture”, relate une autre vidéaste de l’AFP, Salma Al-Qaddoumi, en évoquant ses trois neveux âgés de 4 à 12 ans.Les agences de presse AFP, AP et Reuters, ainsi que la BBC, ont appelé Israël à “autoriser l’entrée et la sortie des journalistes à Gaza”, se disant “profondément inquiets du fait que, désormais, la faim menace leur survie”.- Les gens “meurent de faim” -Selon le patron de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, une “grande proportion” de la population à Gaza “meurt de faim”.”Il n’y a pas de famine causée par Israël”, a affirmé le gouvernement israélien, accusant le Hamas d’empêcher la distribution de l’aide et de la piller. Le Hamas rejette ces accusations.Jeudi, les autorités israéliennes ont indiqué qu’environ 70 camions d’aide avaient été déchargés la veille aux points de passage et que plus de 150 “avaient déjà été récupérés par l’ONU et des organisations internationales à Gaza”.Les agences humanitaires soulignent que les autorisations accordées par Israël sont limitées et que la coordination pour acheminer les camions constitue un défi majeur en zone de guerre.L’attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 restent otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée.Les représailles israéliennes ont fait 59.587 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé à Gaza, jugées fiables par l’ONU.
Trêve à Gaza: l’émissaire américain acte l’échec des pourparlers et accuse le Hamas
L’émissaire américain Steve Witkoff a acté jeudi l’échec des pourparlers menés à Doha en vue d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, mettant en cause la bonne foi du Hamas, en guerre contre Israël depuis plus de 21 mois. Alors que la pression internationale s’intensifie pour mettre fin à la guerre et aux souffrances des plus de deux millions de Palestiniens de Gaza, le président français Emmanuel Macron a annoncé que la France reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York. Dans le même élan, un “entretien d’urgence” entre Paris, Londres et Berlin sur la situation à Gaza est prévu vendredi, a indiqué le Premier ministre britannique Keir Starmer, réaffirmant le “droit inaliénable du peuple palestinien” à un Etat.Peu avant, Israël a annoncé le rappel pour consultation de ses négociateurs, engagés dans des pourparlers indirects avec le Hamas au Qatar. “Nous agissons pour obtenir un nouvel accord afin de libérer nos otages”, a néanmoins déclaré le Premier ministre Benjamin Netanyahu, malgré le retrait de son équipe.M. Witkoff a également annoncé le retrait de l’équipe américaine “pour consultation après la dernière réponse du Hamas, qui montre clairement un manque de volonté de parvenir à un cessez-le-feu à Gaza”.Il a ajouté que les Etats-Unis et leurs partenaires allaient “désormais envisager d’autres options pour ramener les otages chez eux et tenter de créer un environnement plus stable pour la population de Gaza”.Ces otages avaient été enlevés lors de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre. – “Entretien d’urgence” -Comme l’émissaire américain, M. Netanyahu a justifié le retrait israélien par la réponse transmise par le Hamas.Le mouvement islamiste palestinien avait annoncé la veille avoir répondu à une proposition de trêve de 60 jours assortie d’un échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens. “Nous agissons pour obtenir un nouvel accord afin de libérer nos otages. Mais si le Hamas considère notre intention d’y parvenir comme une faiblesse, comme une opportunité pour nous imposer des conditions de reddition qui mettraient en danger l’Etat d’Israël, il se trompe lourdement”, a prévenu M. Netanyahu jeudi.Pendant ce temps, les bombardements israéliens se poursuivent à Gaza, où au moins 40 personnes ont été tuées jeudi, selon la Défense civile locale.En Israël, le Forum des familles d’otages, principale association de proches des captifs retenus à Gaza, a fait part de sa “vive inquiétude”, estimant que “chaque jour qui passe réduit les chances de sauver les otages”. Selon une source palestinienne, la réponse du Hamas comprend des amendements proposés aux clauses sur l’entrée de l’aide humanitaire, des cartes des zones de Gaza d’où l’armée israélienne devrait se retirer, ainsi que des garanties sur la fin de la guerre. Israël refuse de donner des garanties sur un cessez-le-feu permanent.- “Les enfants tombent” -Début mars, Israël a imposé un blocus total sur Gaza, très partiellement assoupli fin mai, entraînant de graves pénuries de nourriture, médicaments et carburant.Youssef Hassouna, journaliste vidéo de l’AFP habitant à Gaza-ville, raconte qu'”il est extrêmement difficile d’obtenir de la nourriture” et de l’eau pour lui et sa famille.”Les enfants tombent en marchant par manque de nourriture”, relate une autre vidéaste de l’AFP, Salma Al-Qaddoumi, en évoquant ses trois neveux âgés de 4 à 12 ans.Les agences de presse AFP, AP et Reuters, ainsi que la BBC, ont appelé Israël à “autoriser l’entrée et la sortie des journalistes à Gaza”, se disant “profondément inquiets du fait que, désormais, la faim menace leur survie”.- Les gens “meurent de faim” -Selon le patron de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, une “grande proportion” de la population à Gaza “meurt de faim”.”Il n’y a pas de famine causée par Israël”, a affirmé le gouvernement israélien, accusant le Hamas d’empêcher la distribution de l’aide et de la piller. Le Hamas rejette ces accusations.Jeudi, les autorités israéliennes ont indiqué qu’environ 70 camions d’aide avaient été déchargés la veille aux points de passage et que plus de 150 “avaient déjà été récupérés par l’ONU et des organisations internationales à Gaza”.Les agences humanitaires soulignent que les autorisations accordées par Israël sont limitées et que la coordination pour acheminer les camions constitue un défi majeur en zone de guerre.L’attaque du 7-Octobre a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 restent otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée.Les représailles israéliennes ont fait 59.587 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé à Gaza, jugées fiables par l’ONU.
Three quarters of UN states support Palestinian state
Three quarters of UN members recognise a state of Palestine, with major power France set to join them in September following an announcement Thursday by its President Emmanuel Macron.The Israel-Hamas war, raging in Gaza since the Palestinian militant group’s attack on October 7, 2023, has revived a global push for Palestinians to be given a state of their own.The action breaks with the long-held view of Western powers that Palestinians can only gain statehood as part of a negotiated peace with Israel.According to an AFP tally, at least 142 countries out of the 193 UN members have now recognised or plan to recognise a Palestinian state.They include most Middle Eastern, African, Latin American and Asian countries, but not the United States, Canada, most of western Europe, Australia, Japan or South Korea.Here is a quick recap of the Palestinians’ quest for statehood:- 1988: Arafat proclaims state -On November 15, 1988, during the first Palestinian intifada, or uprising against Israeli rule, Palestinian leader Yasser Arafat unilaterally proclaimed an independent Palestinian state with Jerusalem as its capital.He made the announcement in Algiers at a meeting of the exiled Palestinian National Council, which adopted the two-state solution as a goal, with independent Israeli and Palestinian states existing side-by-side.Minutes later, Algeria became the first country to officially recognise an independent Palestinian state.Within a week, dozens of other countries, including much of the Arab world, India, Turkey, most of Africa and several central and eastern European countries followed suit.The next wave of recognitions came in late 2010 and early 2011, at a time of crisis for the Middle East peace process.South American countries including Argentina, Brazil and Chile answered calls by the Palestinians to endorse their statehood claims.This came in response to Israel’s decision to end a temporary ban on Jewish settlement-building in the occupied West Bank.- 2011-2012: UN recognition -In 2011, with peace talks at a standstill, the Palestinians pushed ahead with a campaign for full UN membership for a state of Palestine.The quest failed but, in a groundbreaking move on October 31 of that year, the UN cultural agency UNESCO voted to accept the Palestinians as a full member, much to the dismay of Israel and the United States.In November 2012, the Palestinian flag was raised for the first time at the United Nations in New York after the General Assembly overwhelmingly voted to upgrade the status of the Palestinians to “non-member observer state”.Three years later, the International Criminal Court also accepted Palestine as a state party.- 2024: New push in Europe -Israel’s offensive in Gaza after the October 7, 2023 attack has boosted support for Palestinian statehood.Four Caribbean countries (Jamaica, Trinidad and Tobago, Barbados and the Bahamas) and Armenia took the diplomatic step in 2024.So did four European countries: Norway, Spain, Ireland and Slovenia, the latter three EU members.Within the European Union, this was a first in 10 years since Sweden’s move in 2014, which resulted in years of strained relations with Israel.Other member states such as Poland, Bulgaria and Romania had already done so in 1988, long before joining the EU.On the other hand, some former Eastern bloc countries such as Hungary and the Czech Republic do not or no longer recognise a state of Palestine.Britain’s Prime Minister Keir Starmer Thursday called for a ceasefire in Gaza, saying such a move could “put us on a path to the recognition of a Palestinian state and a two-state solution which guarantees peace and security for Palestinians and Israelis.”Among other countries that could also formally express recognition, Malta, Australia and Canada have raised the possibility.
US quits Gaza truce talks, blaming Hamas for failure
The United States joined Israel on Thursday in pulling its negotiators from Gaza ceasefire talks, with special envoy Steve Witkoff blaming Hamas for failing to reach a deal and saying Washington would “consider alternative options”.France meanwhile announced it would formally recognise a Palestinian state at the UN General Assembly in September, a move President Emmanuel Macron said can “contribute to the security of all in the Middle East”.In Qatar, mediators have been shuttling between Israeli and Hamas delegations for more than two weeks in a bid to secure a breakthrough in indirect talks for a ceasefire and the release of Israeli hostages after nearly two years of fighting.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said his government was still seeking a ceasefire despite recalling its negotiators from Doha, accusing Hamas of blocking an agreement.Pressure is mounting over the plight of the more than two million Palestinians in Gaza, where the fighting has triggered a dire humanitarian crisis and warnings that “mass starvation” was spreading.After Hamas submitted its response to mediators on the latest ceasefire proposal, Netanyahu’s office said Israeli negotiators were returning for consultations.”We are working to reach another deal for the release of our hostages,” Netanyahu said.”But if Hamas interprets our willingness to reach a deal as a weakness, as an opportunity to dictate surrender terms that would endanger the State of Israel, it is gravely mistaken.”Witkoff accused Hamas of not “acting in good faith”, and said the United States was bringing home its team.Hamas’s response “clearly shows a lack of desire to reach a ceasefire in Gaza,” Witkoff said on social media.Washington would now “consider alternative options to bring the hostages home and try to create a more stable environment for the people of Gaza,” he added.A Palestinian source familiar with the talks said Hamas’s response included proposed amendments to clauses on the entry of aid, maps of areas from which the Israeli army should withdraw, and guarantees on securing a permanent end to the war.- ‘Enough’ -In Khan Yunis, in Gaza’s south, Umm al-Abd Nassar urged Hamas to secure a truce after her son was killed in one of a series of Israeli strikes that the civil defence agency said claimed the lives of dozens of civilians.”They need to do something. Enough with this destruction and people dying,” she told AFP.Israel has rejected accusations it is responsible for Gaza’s deepening hunger crisis, which the World Health Organization has called “man-made” and France blamed on an Israeli “blockade”.Instead, it accuses Hamas of preventing supplies from being distributed, and says international relief agencies were failing to pick up aid.Aid agencies have said permissions from Israel are still limited, and coordination to safely move trucks to where they are needed is a major challenge in an active war zone.Announcing the decision to recognise a Palestinian state, Macron said that “the urgent priority today is to end the war in Gaza and rescue the civilian population”.Palestinian statehood is now recognised by more than 140 countries, though Israel and the United States strongly oppose recognition.France would be the most significant European power to recognise a Palestinian state.- ‘Self-determination’ -Palestinian vice president Hussein al-Sheikh welcomed France’s “support for… self-determination and the establishment of our independent state”.British Prime Minister Keir Starmer said he would hold an “emergency call” Friday with France and Germany on Gaza’s humanitarian crisis, urging a ceasefire and steps towards Palestinian statehood.”We will discuss what we can do urgently to stop the killing and get people the food they desperately need,” Starmer said.”A ceasefire will put us on a path to the recognition of a Palestinian state and a two-state solution which guarantees peace and security for Palestinians and Israelis.”Through more than 21 months of fighting, both Israel and Hamas have clung to long-held positions, preventing two short-lived truces from being converted into a lasting ceasefire.For Israel, dismantling Hamas’s military and governing capabilities is non-negotiable, while Hamas demands firm guarantees on a lasting truce, a full withdrawal of Israeli troops and the free flow of aid into Gaza.Israel’s military campaign in Gaza has killed 59,587 Palestinians, mostly civilians, according to the health ministry in the Hamas-run territory.Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel that triggeed the war resulted in the deaths of 1,219 people, most of them civilians, according to an AFP tally based on official figures.Of the 251 hostages taken during the attack, 49 are still being held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.
La France va reconnaître l’Etat de Palestine en septembre à l’ONU (Macron)
La France va reconnaître l’Etat de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux.”Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j’ai décidé que la France reconnaîtra l’État de Palestine. J’en ferai l’annonce solennelle à l’Assemblée générale des Nations unies, au mois de septembre prochain”, écrit le chef de l’Etat français sur X et Instagram.La France coprésidera alors avec l’Arabie saoudite une conférence internationale au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement visant à relancer la solution dite “à deux Etats”, palestinien et israélien.Cette conférence, initialement prévue en juin, avait été reportée à la dernière minute en raison de la guerre entre Israël et l’Iran. Dans l’intervalle, une réunion au niveau ministériel se tiendra les 28 et 29 juillet à New York.A ce jour, au moins 142 Etats ont reconnu un Etat palestinien, selon un décompte de l’AFP. Les Etats-Unis et Israël s’opposent fermement à un tel projet.”L’urgence est aujourd’hui que cesse la guerre à Gaza et que la population civile soit secourue”, a martelé le président français sur X.Dans ce contexte, “il faut enfin bâtir l’État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu’en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient”, a-t-il ajouté.En franchissant le pas de la reconnaissance, la France entend “apporter une contribution décisive à la paix au Proche-Orient” et “mobilisera tous ceux de ses partenaires internationaux qui souhaitent y prendre part”, écrit également Emmanuel Macron dans une lettre adressée au président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
La France va reconnaître l’Etat de Palestine en septembre à l’ONU (Macron)
La France va reconnaître l’Etat de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux.”Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j’ai décidé que la France reconnaîtra l’État de Palestine. J’en ferai l’annonce solennelle à l’Assemblée générale des Nations unies, au mois de septembre prochain”, écrit le chef de l’Etat français sur X et Instagram.La France coprésidera alors avec l’Arabie saoudite une conférence internationale au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement visant à relancer la solution dite “à deux Etats”, palestinien et israélien.Cette conférence, initialement prévue en juin, avait été reportée à la dernière minute en raison de la guerre entre Israël et l’Iran. Dans l’intervalle, une réunion au niveau ministériel se tiendra les 28 et 29 juillet à New York.A ce jour, au moins 142 Etats ont reconnu un Etat palestinien, selon un décompte de l’AFP. Les Etats-Unis et Israël s’opposent fermement à un tel projet.”L’urgence est aujourd’hui que cesse la guerre à Gaza et que la population civile soit secourue”, a martelé le président français sur X.Dans ce contexte, “il faut enfin bâtir l’État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu’en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient”, a-t-il ajouté.En franchissant le pas de la reconnaissance, la France entend “apporter une contribution décisive à la paix au Proche-Orient” et “mobilisera tous ceux de ses partenaires internationaux qui souhaitent y prendre part”, écrit également Emmanuel Macron dans une lettre adressée au président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.
La France va reconnaître l’Etat de Palestine en septembre à l’ONU (Macron)
La France va reconnaître l’Etat de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron sur ses réseaux sociaux.”Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j’ai décidé que la France reconnaîtra l’État de Palestine. J’en ferai l’annonce solennelle à l’Assemblée générale des Nations unies, au mois de septembre prochain”, écrit le chef de l’Etat français sur X et Instagram.La France coprésidera alors avec l’Arabie saoudite une conférence internationale au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement visant à relancer la solution dite “à deux Etats”, palestinien et israélien.Cette conférence, initialement prévue en juin, avait été reportée à la dernière minute en raison de la guerre entre Israël et l’Iran. Dans l’intervalle, une réunion au niveau ministériel se tiendra les 28 et 29 juillet à New York.A ce jour, au moins 142 Etats ont reconnu un Etat palestinien, selon un décompte de l’AFP. Les Etats-Unis et Israël s’opposent fermement à un tel projet.”L’urgence est aujourd’hui que cesse la guerre à Gaza et que la population civile soit secourue”, a martelé le président français sur X.Dans ce contexte, “il faut enfin bâtir l’État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu’en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient”, a-t-il ajouté.En franchissant le pas de la reconnaissance, la France entend “apporter une contribution décisive à la paix au Proche-Orient” et “mobilisera tous ceux de ses partenaires internationaux qui souhaitent y prendre part”, écrit également Emmanuel Macron dans une lettre adressée au président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas.







