Sean ‘Diddy’ Combs used ‘power, violence and fear’: prosecutor

Sean “Diddy” Combs used “power, violence, and fear” as the head of a decades-old criminal enterprise, a prosecutor said Thursday in closing arguments in his high-profile trial.”He counted on silence and shame to keep his crimes hidden,” Christy Slavik told the jury as the government began wrapping up its case against the once-powerful music mogul.The 55-year-old Combs was seated behind the prosecutor as she delivered her closing arguments, passing an occasional message to his lawyers.Slavik methodically walked the jury through the charges against Combs, which include racketeering and sex trafficking. “He used power, violence and fear to get what he wanted,” she said, and relied on a network of “loyal lieutenants” — none of whom testified at his trial — to cover up his crimes, which included forced labor, bribery and witness tampering.”He became more powerful and more dangerous because of the support of his inner circle and his businesses,” she said. “This is Mr Combs’s kingdom.”Slavik told the jury the case was not about criminalizing unorthodox sex.”It’s not about free choices at all,” she said.The women involved were “drugged, covered in oil, sore, exhausted” as Combs made them have sex with escorts for hours, she said.The famed producer coerced two women — the singer Casandra Ventura and later a woman who testified under the pseudonym Jane — into years of drug-addled sex with paid escorts, prosecutors say.- Potential life sentence -The most serious charge, racketeering — which includes the existence of a criminal enterprise that committed a pattern of offenses — could send Combs to prison for life.He faces two charges of sex trafficking and two more for transportation for purposes of prostitution.Combs denies it all. His lawyers have argued that the artist’s relationships were consensual and have sought to convince jurors that many of the witnesses who testified were doing so for financial gain or jealousy.Along with alleged victims, government witnesses included former assistants and other employees, as well as escorts, friends and family of Ventura, and a hotel security guard who said he was bribed with $100,000 in a paper bag.Combs opted against testifying on his own behalf, a common strategy of defense teams who are not required to prove innocence, only to cast doubt on government allegations of guilt.The government’s evidence included thousands of pages of phone and text records, and hours of testimony involved meticulous readings of some of the most explicit and wrenching exchanges.Many of those records appear to indicate distress on the part of the alleged victims. But a lot of the messages also show affection and desire — texts the defense underscored again and again.- Sex parties -Jurors have seen video evidence of the sex parties prosecutors say were criminal, while the defense has exhibited exchanges they say imply consent.Also in evidence are reams of financial records — including CashApp payments to escorts — as well as flight and hotel records.Since early May the proceedings have gripped the Manhattan federal courthouse where they’re taking place. And though electronics are barred from the building, dozens of influencers and content creators have buzzed around the courthouse’s exterior every day, delivering hot takes to eager social media fans.Combs is incarcerated and does not enter or exit the courthouse publicly. But some of the high-profile attendees and witnesses do, including members of the music mogul’s family and figures like Kid Cudi, the rapper who testified that Combs’s entourage torched his car.The closing arguments by the prosecution are expected to wrap up on Thursday and the defense is likely to start its closing on Friday.The jury of 12 New Yorkers could get the case as early as Friday afternoon.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Yvelines: la fin des chalets flottants confirmée par le tribunal administratif

Les occupants des chalets flottants de l’étang de la Galiotte à Carrières-sous-Poissy (Yvelines) vont devoir quitter leurs logements avant la fin de l’année, a décidé jeudi le tribunal administratif de Versailles, donnant raison au conseil départemental.Dans cet étang au cœur du parc du Peuple de l’Herbe, 37 cabanons de pêche construits par d’anciens ouvriers ont au fil des années été transformés en des lieux de villégiature.Mais le conseil départemental des Yvelines, propriétaire du parc, “a finalement jugé que les objectifs qu’il poursuivait en termes de protection des écosystèmes et d’ouverture à un large public étaient désormais incompatibles avec l’occupation privative des berges de l’étang de la Galiotte, l’amarrage des chalets flottants faisant en outre obstacle à sa volonté de renaturation des berges”, note le tribunal administratif dans sa décision.L’association de la Galiotte avait recueilli plus de 4.000 signatures dans une pétition pour sauver les chalets flottants et insiste sur la valeur patrimoniale des constructions.”C’est un très bel exemple d’architecture populaire avec un ensemble de maisons disparates, qui ont chacune leur caractère”, avait décrit à l’AFP son président, Emmanuel Soyer.

Irish legend O’Mahony to lead BaaBaas in South AfricaThu, 26 Jun 2025 17:39:36 GMT

Ireland rugby legend Peter O’Mahony will captain the Barbarians against world champions South Africa in a non-cap exhibition match at Cape Town Stadium on Saturday. The 35-year-old retired as a Test flanker after the 2025 Six Nations Championship having made 114 appearances and played his final match for Munster in the United Rugby Championship last month. O’Mahony …

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Kylian Mbappé accuse le PSG de harcèlement moral, deux juges d’instruction saisis

Une information judiciaire a été ouverte mardi pour harcèlement moral après la plainte déposée par Kylian Mbappé contre le Paris Saint-Germain, son ancien club. Dans le viseur: la pratique du “loft”, déjà dénoncée par d’autres joueurs.Le parquet de Paris a indiqué jeudi à l’AFP avoir ouvert une information judiciaire contre X, pour harcèlement moral. Deux juges d’instruction ont été saisis, a précisé une source proche du dossier pour enquêter sur les accusations du joueur, qui évolue au Real Madrid depuis l’été dernier.Kylian Mbappé, capitaine de l’équipe de France, a déposé plainte à Paris le 16 mai pour harcèlement moral et tentative d’extorsion de signature, dénonçant notamment son placement à l’été 2023 dans le “loft” du PSG, comme ses avocats l’avaient annoncé en avril lors d’une conférence de presseCette pratique, récurrente dans les clubs de football, consiste à mettre des joueurs à l’écart de l’effectif et fait déjà l’objet de plusieurs enquêtes à Paris.- “Maximiser” les transferts -Une autre procédure est ainsi confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP), après la plainte déposée en mai par la joueuse Kheira Hamraoui visant le PSG.Dans ce dossier, la milieu de terrain, qui avait été agressée, affirme que le club l’a mise à l’écart après sa convalescence afin de l’inciter à partir, selon une source proche du dossier.Le PSG n’est pas le seul club visé par des accusations.Dès janvier 2024, le syndicat des footballeurs et footballeuses professionnels UNFP avait porté plainte contre X, s’appuyant sur une liste d’une cinquantaine de joueurs placés en “loft” (mais qui n’ont pas été associés à la préparation de la plainte).Le syndicat accuse de harcèlement moral et d’extorsion les différents clubs mettant en place ces “lofts” pour mettre délibérément à l’écart certains joueurs afin, selon le syndicat, de “maximiser le prix des transferts”. Une enquête a été ouverte, dirigée par le parquet.Début juin, les avocats de l’UNFP, Léon Del Forno et Julia Minkowski, ont déposé une nouvelle plainte pour obtenir qu’un juge d’instruction soit saisi des investigations.- Placard sur gazon -Que reprochent les joueurs à leurs clubs ? Concrètement, lors de la période estivale des transferts, encadrée par la convention collective des footballeurs professionnels, des clubs peuvent placer les joueurs dont ils veulent se séparer dans un “loft”, sorte de mise au placard adaptée au gazon: plus d’entraînements avec le groupe professionnel, plus de déplacements, ni de matches…Selon l’article 507 de la Charte du football français, qui fait office de convention collective, les clubs ont toutefois des devoirs envers ces joueurs: leur permettre d’accéder aux vestiaires, aux infrastructures d’entraînement, à des soins médicaux “éventuellement différents, mais de qualité identique”…Ils doivent aussi leur fournir les équipements “prévus pour tous les joueurs professionnels” et leur proposer des horaires d’entraînement “compatibles avec les autres conditions de préparation et d’entraînement du groupe principal des professionnels, ainsi que respectueuses de la santé des joueurs”.Ce “loft” doit se terminer le 1er septembre, date de clôture du marché des transferts. Mais ces pratiques connaissent de nombreuses dérives, selon ses pourfendeurs.Cette mise à l’écart, jugée alors abusive, pousse les joueurs à prolonger leur contrat au club ou, à l’inverse, à accepter un transfert – une façon pour leur employeur de se séparer d’eux en s’assurant de toucher des indemnités – voire à résilier leur contrat.Sollicités jeudi, l’avocat pénaliste de Kylian Mbappé, Pierre-Olivier Sur, et son entourage n’ont pas souhaité commenter l’ouverture de l’information judiciaire, tout comme le PSG.Outre le volet pénal, Kylian Mbappé est également en litige financier avec le PSG. Ses avocats ont tenu leur première conférence de presse depuis le début du conflit, pour “passer à l’attaque” après un long bras de fer devant les instances sportives, comme la Fédération française de football et la Ligue de football professionnel.En somme, Kylian Mbappé, parti libre au Real Madrid à l’été 2024, réclame 55 millions d’euros de primes et salaires impayés car aucun accord n’a existé entre lui et le club, selon son entourage. Un “récit fantasque”, affirme le PSG.Dans ce dossier, le joueur avait obtenu en avril la saisie conservatoire de cette somme sur les comptes du PSG, mais cette décision a ensuite été annulée le 26 mai par la justice. Selon une source proche du dossier, les 55 millions d’euros restent saisis jusqu’à l’audience d’appel, dont la date n’est pas connue. 

16 dead, thousands of businesses destroyed after Kenya protestsThu, 26 Jun 2025 17:32:11 GMT

Kenya’s under-fire government on Thursday condemned protests across the country during which at least 16 people were killed and thousands of businesses ruined as “terrorism disguised as dissent”.The marches on Wednesday were called to mark the one-year anniversary of anti-tax demonstrations that peaked when a huge crowd stormed parliament and dozens were killed by security …

16 dead, thousands of businesses destroyed after Kenya protestsThu, 26 Jun 2025 17:32:11 GMT Read More »

G20 president S.Africa warns global turmoil hurts poorer nationsThu, 26 Jun 2025 17:24:17 GMT

Global fragmentation is fuelling unprecedented turmoil and disproportionately harming poorer nations, South Africa’s foreign minister warned Thursday, urging a united G20 response for peace. Ronald Lamola made the remarks to dozens of diplomats from the G20 group of the world’s leading economies meeting to prepare for its summit in November under South Africa’s presidency. “State rivalries are …

G20 president S.Africa warns global turmoil hurts poorer nationsThu, 26 Jun 2025 17:24:17 GMT Read More »