Stocks head for positive end to week, Tokyo struggles ahead of vote

Markets headed into the weekend on a broadly positive note Friday, as investors took up New York’s latest record highs sparked by healthy US retail data and upbeat earnings from some of Wall Street’s big names.The readings helped divert attention away from Donald Trump’s tariffs saga, with dozens of countries yet to cut deals with the US president two weeks before his August 1 deadline.However, Japanese investors were a little more anxious after news that rice prices once again doubled in June, compounding problems for Prime Minister Shigeru Ishiba ahead of weekend elections in which the grain has been a hot topic.The Nasdaq and S&P scaled fresh peaks Thursday after figures showed US retail sales rose more than expected last month and reversed May’s decline, indicating the world’s top economy remains in good health. Another modest jobless claims report provided extra assurance.That came on top of forecast-topping earnings from streaming behemoth Netflix, which further fanned buying in tech firms that followed Trump’s decision to allow chip giant Nvidia to export its H20 semiconductors to China. Hong Kong stocks were among the biggest winners thanks to tech leaders, while there were also gains in Shanghai, Sydney, Singapore, Taipei, Manila, Bangkok and Jakarta. London, Paris and Frankfurt extended Thursday’s gains, but Seoul, Mumbai and Wellington dropped.Tokyo was also in the red as nervous investors eyed Sunday’s vote, with opinion polls suggesting Ishiba’s ruling coalition could lose its majority in the upper house, having lost control of the lower house last year.A poor show for the premier — who has been battered by a cost-of-living crisis — could put pressure on him to step down and likely usher in a period of uncertainty in the world’s number four economy.”Cost-of-living concerns have dominated the campaign for this weekend’s upper house election,” wrote Stefan Angrick, head of Japan and frontier markets economics at Moody’s Analytics.”Ishiba’s government has boxed itself in, promising only some belated and half-hearted financial support that will do little to improve the demand outlook.”Adding to the premier’s problems was news that rice prices had soared 99.2 percent in June year-on-year, having rocketed 101 percent in May and 98.4 percent in April.Public support for his administration has tumbled to its lowest level since he took office in October, with people also angry at his failure to reach a deal to avoid the worst of Trump’s tariffs.”While Ishiba’s base applauds his refusal to bow to Trump’s every tweet, the unwillingness to give even an inch on low-hanging fruit like a partial tariff rollback or mild defense spending boost suggests a man more committed to defiance than diplomacy,” said SPI Asset Management’s Stephen Innes.”It’s tempting to say the trade friction was out of Ishiba’s control… But markets, like politics, don’t reward stubborn idealism. They reward adaptability. And on that score, Ishiba has failed to hedge his leadership risks.”- Key figures at around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.2 percent at 39,819.11 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.3 percent at 24,825.66 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,534.48 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,992.54Euro/dollar: UP at $1.1637 from $1.1600 on ThursdayPound/dollar: UP at $1.3438 from $1.3415Dollar/yen: UP at 148.65 yen from 148.60 yenEuro/pound: UP at 86.59 pence from 86.43 penceWest Texas Intermediate: UP 0.5 percent at $67.86 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $69.79 per barrelNew York – Dow: UP 0.5 percent at 44,484.49 (close)

Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie, est sorti de prison après 20 ans de détention

La liberté, après vingt ans de détention dont dix-huit dans le couloir de la mort: Serge Atlaoui, ex-condamné à la peine capitale en Indonésie pour trafic de drogue, transféré et incarcéré en février en France, est sorti de prison ce vendredi.Vêtu d’un pantalon gris et d’un tee-shirt blanc, il a été accueilli à sa sortie de la prison de Meaux (Seine-et-Marne) par son avocat, Me Richard Sédillot, à qui il a fait une longue accolade, a constaté une journaliste de l’AFP. “Jamais je n’aurais cru que ça arriverait (…), il était temps, après 20 ans”, a déclaré Serge Atlaoui devant les quelques médias présents. “C’est une journée exceptionnelle aujourd’hui pour ma famille, mes proches, tous ceux qui m’ont soutenu”, a-t-il ajouté, racontant que “l’éloignement et la solitude” avaient été “le plus dur à supporter” durant toutes ces années.La voix légèrement teintée d’émotion et les yeux brillants, il a raconté avoir dit “au revoir et à jamais” aux surveillants pénitentiaires avant de sortir.”Il va respirer une liberté attendue, espérée depuis tant d’années”, avait annoncé sa femme Sabine Atlaoui vendredi matin sur RTL, ajoutant ne pas vouloir dévoiler le lieu et le moment où elle retrouvera son mari qui avait été condamné en Indonésie pour narcotrafic et était détenu depuis 2005. “Se dire qu’il est de retour, qu’il va être auprès de nous à nouveau dans notre quotidien, c’est tellement incroyable que je le réalise sans le réaliser”, a raconté Mme Atlaoui, très émue. – “Se reconstruire” -“Je vais redécouvrir mon mari et à l’inverse, il va me redécouvrir. Il y a 20 ans quand même, donc on va se reconstruire. Tout le monde va devoir apprendre à vivre normalement”, a-t-elle confié. La peine de Serge Atlaoui, 61 ans, ayant été commuée en droit français en 30 années de réclusion criminelle par le tribunal de Pontoise en février, l’artisan-soudeur était théoriquement éligible à la libération conditionnelle depuis 2011 selon les règles françaises.”Imaginer qu’il y a quelques années, il était au bord de la mort, que son cercueil avait été fabriqué, qu’on nous annonçait déjà qu’il allait être exécuté (…), je me dis aujourd’hui que la persévérance et le travail payent”, a réagi Me Richard Sédillot, se disant “très heureux”. Originaire de Metz, Serge Atlaoui avait été arrêté en 2005 dans une usine près de Jakarta où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts. Les autorités indonésiennes l’avaient accusé d’être un “chimiste”.Le Français s’est toujours défendu d’être un trafiquant de drogue, affirmant qu’il n’avait fait qu’installer des machines industrielles dans ce qu’il croyait être une usine d’acrylique.Initialement condamné à la prison à vie, il avait vu la Cour suprême indonésienne alourdir la sentence et le condamner à la peine capitale en appel en 2007.- Dernière minute -L’affaire avait fait grand bruit en Indonésie, où la législation antidrogue est l’une des plus sévères du monde. Mais aussi en France où des personnalités s’étaient mobilisées pour le soutenir, en faisant un symbole de la lutte contre la peine de mort.Serge Atlaoui devait être exécuté aux côtés de neuf autres condamnés en 2015, mais avait obtenu un sursis de dernière minute après une pression diplomatique intense de la part des autorités françaises.”Très clairement, le travail diplomatique durant toutes ces années a fait revenir mon mari et a pu faire en sorte qu’en France, on puisse avoir une issue de liberté pour nous”, a souligné Mme Atlaoui sur RTL. M. Atlaoui et la Philippine Mary Jane Veloso, également condamnée à mort pour trafic de drogue, figuraient tous deux sur une liste de 10 détenus qui devaient passer devant le peloton d’exécution le même jour d’avril 2015: huit furent exécutés, mais leurs deux noms ont été retirés de la liste au dernier moment.Sous la houlette du nouveau président Prabowo Subianto, Jakarta avait ouvert la voie début novembre 2024 à de possibles rapatriements de prisonniers, indiquant être également en discussion avec les Philippines et l’Australie. Mary Jane Veloso a ainsi été rapatriée à Manille le 18 décembre, et Serge Atlaoui a finalement été transféré en France en février dernier. Son retour avait confronté la justice au cas inédit d’adaptation en droit français d’une peine capitale, abolie dans le pays depuis 1981. La justice française n’était pas compétente sur le fond de l’affaire, définitivement jugée en Indonésie, et pouvait seulement se prononcer sur la peine de Serge Atlaoui. Le parquet de Pontoise avait alors requis à son encontre une réclusion criminelle à perpétuité, en estimant que la peine de mort étant la plus haute peine possible, il fallait lui substituer celle qui était la plus “rigoureuse” dans la législation française.Le tribunal lui avait finalement infligé la peine maximale encourue pour la fabrication et la production de stupéfiants en bande organisée, 30 ans de réclusion criminelle.

Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie, est sorti de prison après 20 ans de détention

La liberté, après vingt ans de détention dont dix-huit dans le couloir de la mort: Serge Atlaoui, ex-condamné à la peine capitale en Indonésie pour trafic de drogue, transféré et incarcéré en février en France, est sorti de prison ce vendredi.Vêtu d’un pantalon gris et d’un tee-shirt blanc, il a été accueilli à sa sortie de la prison de Meaux (Seine-et-Marne) par son avocat, Me Richard Sédillot, à qui il a fait une longue accolade, a constaté une journaliste de l’AFP. “Jamais je n’aurais cru que ça arriverait (…), il était temps, après 20 ans”, a déclaré Serge Atlaoui devant les quelques médias présents. “C’est une journée exceptionnelle aujourd’hui pour ma famille, mes proches, tous ceux qui m’ont soutenu”, a-t-il ajouté, racontant que “l’éloignement et la solitude” avaient été “le plus dur à supporter” durant toutes ces années.La voix légèrement teintée d’émotion et les yeux brillants, il a raconté avoir dit “au revoir et à jamais” aux surveillants pénitentiaires avant de sortir.”Il va respirer une liberté attendue, espérée depuis tant d’années”, avait annoncé sa femme Sabine Atlaoui vendredi matin sur RTL, ajoutant ne pas vouloir dévoiler le lieu et le moment où elle retrouvera son mari qui avait été condamné en Indonésie pour narcotrafic et était détenu depuis 2005. “Se dire qu’il est de retour, qu’il va être auprès de nous à nouveau dans notre quotidien, c’est tellement incroyable que je le réalise sans le réaliser”, a raconté Mme Atlaoui, très émue. – “Se reconstruire” -“Je vais redécouvrir mon mari et à l’inverse, il va me redécouvrir. Il y a 20 ans quand même, donc on va se reconstruire. Tout le monde va devoir apprendre à vivre normalement”, a-t-elle confié. La peine de Serge Atlaoui, 61 ans, ayant été commuée en droit français en 30 années de réclusion criminelle par le tribunal de Pontoise en février, l’artisan-soudeur était théoriquement éligible à la libération conditionnelle depuis 2011 selon les règles françaises.”Imaginer qu’il y a quelques années, il était au bord de la mort, que son cercueil avait été fabriqué, qu’on nous annonçait déjà qu’il allait être exécuté (…), je me dis aujourd’hui que la persévérance et le travail payent”, a réagi Me Richard Sédillot, se disant “très heureux”. Originaire de Metz, Serge Atlaoui avait été arrêté en 2005 dans une usine près de Jakarta où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts. Les autorités indonésiennes l’avaient accusé d’être un “chimiste”.Le Français s’est toujours défendu d’être un trafiquant de drogue, affirmant qu’il n’avait fait qu’installer des machines industrielles dans ce qu’il croyait être une usine d’acrylique.Initialement condamné à la prison à vie, il avait vu la Cour suprême indonésienne alourdir la sentence et le condamner à la peine capitale en appel en 2007.- Dernière minute -L’affaire avait fait grand bruit en Indonésie, où la législation antidrogue est l’une des plus sévères du monde. Mais aussi en France où des personnalités s’étaient mobilisées pour le soutenir, en faisant un symbole de la lutte contre la peine de mort.Serge Atlaoui devait être exécuté aux côtés de neuf autres condamnés en 2015, mais avait obtenu un sursis de dernière minute après une pression diplomatique intense de la part des autorités françaises.”Très clairement, le travail diplomatique durant toutes ces années a fait revenir mon mari et a pu faire en sorte qu’en France, on puisse avoir une issue de liberté pour nous”, a souligné Mme Atlaoui sur RTL. M. Atlaoui et la Philippine Mary Jane Veloso, également condamnée à mort pour trafic de drogue, figuraient tous deux sur une liste de 10 détenus qui devaient passer devant le peloton d’exécution le même jour d’avril 2015: huit furent exécutés, mais leurs deux noms ont été retirés de la liste au dernier moment.Sous la houlette du nouveau président Prabowo Subianto, Jakarta avait ouvert la voie début novembre 2024 à de possibles rapatriements de prisonniers, indiquant être également en discussion avec les Philippines et l’Australie. Mary Jane Veloso a ainsi été rapatriée à Manille le 18 décembre, et Serge Atlaoui a finalement été transféré en France en février dernier. Son retour avait confronté la justice au cas inédit d’adaptation en droit français d’une peine capitale, abolie dans le pays depuis 1981. La justice française n’était pas compétente sur le fond de l’affaire, définitivement jugée en Indonésie, et pouvait seulement se prononcer sur la peine de Serge Atlaoui. Le parquet de Pontoise avait alors requis à son encontre une réclusion criminelle à perpétuité, en estimant que la peine de mort étant la plus haute peine possible, il fallait lui substituer celle qui était la plus “rigoureuse” dans la législation française.Le tribunal lui avait finalement infligé la peine maximale encourue pour la fabrication et la production de stupéfiants en bande organisée, 30 ans de réclusion criminelle.

Emballages: Bruxelles attaque la France pour son logo “Triman”

La Commission européenne a assigné la France devant la Cour de justice de l’UE pour contester son étiquetage obligatoire “Triman”, un logo de tri qui figure sur les produits recyclables et que Bruxelles considère comme un obstacle à la libre circulation des marchandises.Instauré en 2015, le logo “Triman” est ce personnage à trois flèches qui indique aux consommateurs qu’un produit ou un emballage ne doit pas être jeté avec les ordures ménagères, mais dans la poubelle jaune ou rapporté dans un point de collecte pour être recyclé.Mais l’Union européenne combat la multiplication des étiquetages nationaux, que Bruxelles considère comme un frein pour bâtir un marché intérieur européen puissant face à la Chine ou aux Etats-Unis.Il y a quelques semaines, devant la presse, le commissaire européen Stéphane Séjourné avait spécifiquement visé l’obligation française du logo Triman, y voyant une “barrière au marché intérieur”, car “l’étiquetage enferme le produit dans le marché français”.La Commission européenne a indiqué jeudi avoir saisi la Cour de justice de l’Union européenne contre la France, estimant “disproportionnées” les “exigences françaises” de cette signalétique, “un obstacle à la libre circulation des marchandises”. D’autres possibilités, “moins restrictives pour les échanges (commerciaux) entre les États membres, existent pour informer les consommateurs”, affirme la Commission. L’Union européenne prévoit par ailleurs une signalétique harmonisée d’ici août 2026 et qui devra être affichée sur tous les emballages à partir du 12 août 2028.

La Bourse de Paris en hausse, profite des records de Wall Street

La Bourse de Paris se laisse porter vendredi par les records de Wall Street la veille, après la publication de données rassurantes sur la santé économique des Etats-Unis, qui retardent toutefois la perspective d’une prochaine baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed).L’indice vedette CAC 40 prenait 45,50 points (+0,58%) vers 09H40, à 7.867,50 points. La veille, il a bondi de 99,91 points (+1,29%).Les Bourses “européennes progressent, indiquant que la hausse spectaculaire des marchés actions mondiaux pourrait se poursuivre, les solides données économiques apaisant les inquiétudes sur la santé de l’économie américaine”, a commenté Patrick Munnelly, analyste de Tickmill Group.La publication jeudi aux Etats-Unis d’une baisse la semaine dernière du nombre hebdomadaire de demandeurs d’emploi et d’une hausse en juin des ventes au détail, baromètre de la consommation des ménages, a été un facteur d’optimisme permettant à Wall Street de franchir de nouveaux records.”Avec des données économiques plus solides et une hausse continue des anticipations d’inflation, les investisseurs ont réduit leurs attentes de baisses de taux de la banque centrale américaine (Fed)”, a cependant souligné Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.Les taux directeurs de la Fed – qui guident les coûts d’emprunt des particuliers et des entreprises – sont compris entre 4,25% et 4,50% depuis décembre.L’un des gouverneurs de la Fed, Christopher Waller, a de nouveau défendu, jeudi soir lors d’un discours à New York, “sa préférence pour une baisse de 25 points de base lors de la réunion de fin juillet” du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), a retenu Jim Reid.”Avec une inflation proche de la cible (de 2% de la Fed, NDLR) et des risques de hausse limités, nous ne devrions pas attendre que le marché du travail se détériore pour baisser les taux”, a déclaré Christopher Waller, estimant que toute poussée d’inflation liée aux droits de douane serait temporaire selon lui.”Il est toutefois peu probable que Waller n’obtienne le soutien du FOMC en juillet et c’est pourquoi les mouvements sur le marché obligataire sont modestes”, explique Jim Reid.Sanofi acquiert BlueprintLe géant pharmaceutique Sanofi (+0,07% à 83,60 euros vers 10H05) a annoncé vendredi la “finalisation de l’acquisition de Blueprint Medicines”, une biotech américaine. L’opération permet au groupe français de se renforcer dans les maladies immunologiques rares, en ligne avec sa stratégie actuelle visant à devenir un leader mondial en immunologie.

Pakistan bans new hotel construction around tourist lakes

Pakistan will ban for five years the construction of new hotels around picturesque lakes in the north that attract tens of thousands of tourists each year, a government agency said.Unregulated construction of hotels and guest houses in Gilgit-Baltistan — which boasts around 13,000 glaciers, more than any other country on Earth outside the polar regions — has sparked major concerns about environmental degradation.The natural beauty of the region has made it a top tourist destination, with towering peaks looming over the Old Silk Road, and a highway transporting tourists between cherry orchards, glaciers, and ice-blue lakes.However, in recent years construction has exploded led by companies from outside the region, straining water and power resources, and increasing waste.”If we let them construct hotels at such pace, there will be a forest of concrete,” Khadim Hussain, a senior official at the Gilgit-Baltistan Environmental Protection Authority told AFP on Friday.”People don’t visit here to see concrete; people come here to enjoy natural beauty,” he added.Last month, a foreign tourist posted a video on Instagram — which quickly went viral — alleging wastewater was being discharged by a hotel into Lake Attabad, which serves as a freshwater source for Hunza.The next day, authorities fined the hotel more than $5,000.Asif Sakhi, a political activist and resident of the Hunza Valley, welcomed the ban.”We have noticed rapid changes in the name of tourism and development,” he said, adding hotel construction was “destroying our natural lakes and rivers”.Shah Nawaz, a hotel manager and local resident of the valley, also praised the ban, saying he believes “protecting the environment and natural beauty is everyone’s responsibility”.

Trump’s budget hacksaw leaves public broadcasting on precipice

Hundreds of television and radio stations across the United States risk seeing their resources evaporate, after President Donald Trump prevailed Friday in scrapping federal funding for public broadcasting.The cuts follow Trump’s accusations of ideological bias and will deal a bitter blow to information dissemination nationwide, including rural areas with limited news resources. At the Republican president’s urging, lawmakers along party lines approved the clawback of $1.1 billion in funding already allocated by Congress over the next two years to the Corporation for Public Broadcasting.Created in 1967 by president Lyndon Johnson, the non-profit CPB finances a minority share of the budgets of national radio and television mainstays NPR and PBS.But the unprecedented rescission will also critically impact some 1,500 local radio and TV stations, from the East Coast to Alaska, that air part of the public broadcasters’ content.”Without federal funding, many local public radio and television stations will be forced to shut down,” warned CPB president Patricia Harrison.- Connection -Stations have been sounding the alarm for months. Prairie Public Broadcasting, which has served North Dakota for 60 years, estimates it could lose 26 percent of its budget between combined cuts in state and CPB funding. For Vermont Public, a broadcaster in the US Northeast, $4 million in funding is at stake.”We’re going to be forced to make some really difficult decisions about what local programming stays and what local programming we have to cut,” said Ryan Howlett, who heads the financial arm of South Dakota Public Broadcasting, which oversees a dozen local radio stations and as many local TV stations.In this rural and conservative state, “you’re going to lose a connection point that binds us together,” he told AFP.Trump has made very public his hostility to the media, which he often brands “fake news” and the “enemy of the people,” a driving force behind his political rhetoric. In early May, Trump issued an executive order requiring an end to the subsidization of NPR and PBS, saying “neither entity presents a fair, accurate, or unbiased portrayal of current events to taxpaying citizens.””These are partisan, leftwing outlets that are funded by the taxpayers, and this administration does not believe it’s a good use of the taxpayers’ time and money,” White House Press Secretary Karoline Leavitt said Thursday.Howlett emphasized that there is little such criticism in local communities in South Dakota. “We’re part of people’s everyday lives,” he said.- Turning point -The elimination of CPB funding, advocated by the “Project 2025” blueprint of the conservative Heritage Foundation think tank, marks a turning point. Other attempts in the past had met with opposition from lawmakers, including Republicans in rural areas.Dan Kennedy, a journalism professor at Northeastern University in Boston, stressed it is in those very areas where the funding cuts are likely to have “a devastating effect.”For remote communities, “these stations are an absolute lifeline,” he said. “This is where people go to find out a tornado is coming,” or about other emergency news.Such arguments were rejected by Heritage Foundation fellow Mike Gonzalez, who wrote the chapter on public broadcasting in the Project 2025 blueprint.For him, “state and local governments can devise and set up systems that take care of the problem, on a much cheaper basis than the entire public broadcasting apparatus, and without the attendant ills that accompany the present system.”The end of the federal funding is undoubtedly a blow to local news in the United States.Due to declining readership and the consolidation of titles under larger corporations, more than a third of the nation’s newspapers have shuttered since 2005, a loss of 3,300 titles, according to a report from the Medill School at Northwestern University.According to a recent map drawn by analysis firm Muck Rack and the Rebuild Local News coalition, there are now only 8.2 journalists per 100,000 Americans, down from 40 in the early 2000s.