Mali parties issue rare criticism of junta, call for electionsWed, 22 Jan 2025 20:04:38 GMT
Eleven political parties in Mali on Wednesday urged the ruling junta to confirm a timetable for elections and a return to civilian rule, in a rare display of dissent.The troubled west African state has been ruled by the military since back-to-back coups in 2020 and 2021, with the junta initially committing under international pressure to …
Trump menace la Russie de sanctions si elle ne trouve pas d’accord “maintenant” avec l’Ukraine
Si Moscou ne conclut pas d’accord avec l’Ukraine “maintenant”, Donald Trump a assuré mercredi qu’il n’aurait “pas d’autre choix que d’imposer de hauts niveaux de taxes, de droits de douane et de sanctions sur tout ce que la Russie vend aux Etats-Unis”.”Il est temps de TROUVER UN ACCORD”, a écrit le président américain sur son réseau Truth Social, en assurant: “Je ne cherche pas à faire du mal à la Russie. J’aime le peuple russe et j’ai toujours eu une très bonne relation avec le président Poutine.””Si nous ne parvenons pas à un accord, rapidement, je n’aurai pas d’autre choix que d’augmenter les taxes, droits de douane et sanctions contre tout ce qui peut être vendu par la Russie aux Etats-Unis, ainsi que dans les différents pays qui s’y associeront”, a insisté Donald Trump.Les Etats-Unis ont déjà imposé plusieurs salves de sanctions et embargos sur les importations depuis la Russie, qui se sont très nettement réduites, passant de 4,3 milliards de dollars de janvier à novembre 2023, à 2,9 milliards sur la même période l’an dernier, soit désormais moins de 0,1% des importations entrant dans le pays.Parmi les produits importés aux Etats-Unis figurent en particulier des engrais et des métaux.”Tout cela étant dit, je vais faire une énorme faveur à la Russie, dont l’économie s’effondre, et au président Poutine, une énorme FAVEUR. Réglons cela maintenant, et ARRETEZ cette guerre ridicule! CELA NE FERA QU’EMPIRER”, a continué le républicain.Pendant sa campagne, Donald Trump avait promis de mettre fin à la guerre en Ukraine “en 24 heures”, sans jamais expliquer comment.Depuis son investiture lundi, le républicain de 78 ans fait monter la pression sur son homologue russe.Quelques heures après avoir prêté serment, il avait assuré que le président ukrainien Volodymyr Zelensky “voulait passer un accord” et jugé qu’en s’y refusant, Vladimir Poutine était “en train de détruire la Russie”.Donald Trump a aussi affirmé à plusieurs reprises qu’il se préparait à rencontrer le président russe, mais sans donner de date.L’armée russe a avancé récemment dans le nord-est de l’Ukraine, tandis que les forces ukrainiennes occupent une petite partie de la région russe de Koursk.Les deux camps tentent de renforcer leurs positions en attendant d’en savoir plus sur les intentions réelles du président américain.Les Etats-Unis sont le premier soutien militaire de l’Ukraine. Donald Trump avait critiqué cette aide pendant sa campagne, mais depuis son investiture il n’a pas signifié clairement s’il entendait la maintenir ou y mettre fin.”Nous regardons ça, nous discutons avec (M.) Zelensky, et nous allons parler prochainement avec le président Poutine”, a assuré M. Trump lundi.La Russie fait déjà face à une série de sanctions, qui n’a cessé de s’élargir.Le Fonds monétaire international ne prévoit ainsi que 1,4% de croissance pour la Russie en 2025, sans réelle révision par rapport à ses premières estimations en octobre, contre 3,8% l’année écoulée et 3,6% en 2023, soutenu par la montée en puissance des dépenses publiques liées à la guerre.
Yémen: les Houthis libèrent l’équipage d’un bateau saisi il y a plus d’un an
Les rebelles houthis au Yémen ont annoncé mercredi avoir libéré les 25 membres d’équipage du navire Galaxy Leader capturé il y a plus d’un an, après l’entrée en vigueur de l’accord de trêve à Gaza.Les membres d’équipage -le capitaine et son adjoint bulgares, 17 Philippins, des Ukrainiens, des Roumains et des Mexicains- “ont été transférés de Sanaa à la capitale omanaise, Mascate, à bord d’un avion de la Royal Air Force of Oman, en vue de leur retour dans leurs pays respectifs”, ont indiqué les Affaires étrangères omanaises dans un communiqué en soirée.Saisi en novembre 2023, le Galaxy Leader, un cargo affrété par une firme japonaise pour le compte d’une société britannique appartenant à un homme d’affaires israélien, avait été le premier navire pris pour cible par les Houthis, après le début de leurs attaques contre les bateaux liés à Israël au large du Yémen.Soutenus par l’Iran, les Houthis ont affirmé mener leurs attaques “en solidarité” avec les Palestiniens, après le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée par une attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Le Conseil politique suprême des Houthis a annoncé plus tôt “la libération de l’équipage du Galaxy Leader, arrêté dans le cadre de la campagne de soutien à Gaza”, selon l’agence de presse des rebelles Saba.La décision de les libérer a été prise “en soutien à l’accord de cessez-le-feu”, entré en vigueur dimanche à Gaza, a-t-elle ajouté. Ils ont été relâchés “en coordination avec le Hamas” et avec l’aide du sultanat d’Oman. Entourés des 25 membres d’équipage, un représentant du Hamas et un autre des Houthis ont organisé une conférence de presse sur le tarmac avant leur départ. Le représentant du Hamas Moaad Abou Shamalah s’est félicité “de la coordination” entre les Houthis et son mouvement.”La libération de l’équipage du Galaxy Leader est une nouvelle réconfortante qui met fin à la détention arbitraire et à la séparation endurées par les membres d’équipage et leurs familles pendant plus d’un an”, a affirmé l’envoyé spécial de l’ONU pour le Yémen, Hans Grundberg, dans un communiqué. “C’est un pas dans la bonne direction”, a ajouté M. Grundberg, en exhortant les Houthis “à mettre fin aux attaques maritimes”.Le secrétaire général de l’Organisation maritime internationale (OMI), Arsenio DomÃnguez, a parlé d’un “profond soulagement”.Il s’est, dans un communiqué, félicité d’un retour du commerce maritime en mer Rouge et de “la liberté de navigation”.”Les deux marins bulgares détenus au Yémen, de l’équipage du Galaxy Leader, ont été libérés. Le Premier ministre a envoyé l’avion gouvernemental pour les ramener en Bulgarie”, a dit le ministère des Affaires étrangères bulgare dans un communiqué. Les rebelles, qui contrôlent de vastes pans du Yémen en guerre, ont annoncé mardi qu’ils ne viseraient plus que les navires liés à Israël durant la trêve à Gaza.Â
Does China control the Panama Canal, as Trump claims?
US President Donald Trump’s threat to seize the Panama Canal over alleged undue Chinese influence may really be aimed at limiting Beijing’s growing diplomatic and economic presence in Latin America, experts say.Actually using force to take the interoceanic waterway, which carries five percent of world maritime trade and 40 percent of US container traffic, seems an unlikely endeavor, they concur. Here’s what we know:Who owns the canal?Constructed by the United States mainly with Afro-Caribbean labor and opened in 1914, the canal was administered by America until 1977, when treaties were signed under then-US president Jimmy Carter for its handover to Panama.Since the handover in 1999, the canal has been managed by the Panama Canal Authority (ACP) — an autonomous entity whose board of directors is appointed by the legislature and president of Panama.The government has granted concessions to private company Hutchinson Ports — a subsidiary of Hong Kong-based conglomerate CK Hutchison Holdings — to operate ports on either extreme of the 82-kilometer (51-mile) waterway.According to Rebecca Bill Chavez of the Inter-American Dialogue think tank, “Panama has honored the canal treaties by maintaining the canal’s operations efficiently and ensuring its neutrality.”Yet Trump, in his inaugural address Monday, complained that “China is operating the Panama Canal, and we didn’t give it to China, we gave it to Panama.””China does not operate or control the Panama Canal,” said Chavez.- Could this change? -In the eye of the storm is Hutchinson Ports, which has operated the Balboa and Cristobal ports since 1997.Trump’s Secretary of State, Marco Rubio, has questioned whether Chinese companies could take control of the ports under orders of Beijing and “shut it down or impede our transit.”Panama’s President Jose Raul Mulino has insisted his country operates the canal on a principle of neutrality, as per the treaties.”There are reasonable concerns related to the presence of a Chinese company,” Benjamin Gedan, director of the Washington-based Wilson Center’s Latin America program, told AFP.”The channel is of enormous value to the United States, both commercially and strategically,” Gedan said, adding it is a potential target were China to exert influence over Hutchinson Ports, or even nationalize it.Beijing said Wednesday it has “never interfered” and “does not participate in the management and operation” of the canal, of which the United States is the biggest user, followed by China.Hutchinson Ports said audits a few years ago by the office of the comptroller, which oversees public spending, and the Panama Maritime Authority, found the company was in “full compliance” with its contractual obligations.The comptroller has announced another audit since Trump’s threats.- The art of the deal? -Trump has complained that American ships — including US Navy vessels —  are “severely overcharged” for using the port.But for Euclides Tapia, professor of international relations at the University of Panama, this appears to be “a false argument” to conceal Trump’s real goal: “for Panama to reduce its relations with China to a minimum.”Panama broke diplomatic ties with Taiwan in favor of Beijing in 2017, much to Washington’s dismay.Since then, China’s footprint has expanded greatly in Panama as in the rest of Latin America, mainly through infrastructure projects.The United States remains Panama’s main political and commercial partner, but subsidiaries of Chinese companies have in recent years built a $206-million port at the Pacific entrance to the canal, and are spending some $1.4 billion on a bridge over it.”He (Trump) is definitely trying to frighten Panama,” said University of Essex international relations expert Natasha Lindstaedt.She added that “this is a negotiation tool or a distraction, or both.”- Is force likely? -Under the 1977 treaties, Panama committed to ensuring the canal is open to all countries equally.Nothing “mentions, let alone authorizes, the United States recovering or reclaiming the canal,” said Julio Yao, a former government policy advisor who was part of the Panamanian team that negotiated the treaties.According to Tapia, the international relations professor, Washington introduced amendments to the treaties that allow for unilateral US military force to defend the canal against threat of closure.”Only the fabrication of a false flag operation… could justify the use of military force in Panama” under existing conditions, said Tapia.And that could only happen “to keep the channel open, not to take it and exploit it economically,” the analyst added.The Wilson Center’s Gedan sees a military intervention as “unlikely,” but noted Trump could put pressure on Panama through tariffs, for example.
Ligue des champions: au bord du gouffre, Paris reçoit City pour un choc vertigineux
Menacé d’une piteuse élimination dès la première phase de la Ligue des champions, le Paris SG reçoit le Manchester City de Pep Guardiola mercredi au Parc des Princes (21h00) pour un choc qui vaut cher entre clubs ambitieux mais mal classés.”J’aimerais bien jouer la Ligue des champions au mois de février”, a benoîtement souligné l’international français Ousmane Dembélé en référence au barrage aller-retour si le PSG se sort de l’ornière. Une élimination au premier tour de la compétition reine serait inédite depuis l’arrivée de Qatar Sports Investment en 2011.Dembélé, qui a déjà manqué les deux dernières rencontres à cause d’un virus, a été placé sur le banc des remplaçants, tout comme le milieu Warren Zaïre-Emery. “Je me sens beaucoup mieux. J’ai eu une petite grippe. Enfin, pas petite celle-là . J’ai été mal cinq ou six jours. Depuis samedi, ça va mieux”, déclarait mardi l’attaquant, qui a marqué lors de chacun de ses quatre derniers matches.Marquinhos et Achraf Hakimi, absents aussi lors des derniers matches, sont en revanche bien titulaires face aux “Cityzens”, emmenés par Erling Haaland, Phil Foden et Kevin De Bruyne. Pour l’heure, après les matches de mardi soir, le PSG a reculé à la 26e place de la C1 avec sept points. Seuls les 24 premiers poursuivront l’aventure. Le club de la capitale est tout sauf assuré d’en être après avoir grillé des cartouches à domicile contre le PSV Eindhoven (1-1) et l’Atlético Madrid (défaite 2-1 au Parc sur un but à la dernière seconde).En face, fort de 20 buts marqués sur ses quatre derniers matches en Premier League, City émerge d’une période très difficile qui a quasiment ruiné ses chances en championnat et compromis son avenir européen (le club anglais est actuellement 24e). “C’est un match qui arrive pour les deux équipes à un moment compliqué pour le classement. Mais en même temps elles vont essayer de déployer leurs meilleures armes”, a anticipé mardi l’entraîneur du PSG Luis Enrique.- La bataille de la possession -De son côté, Pep Guardiola voit en Paris “l’une des meilleures équipes du monde”. “Du peu que j’ai vu cette saison j’adore, c’est une équipe très jeune, avec beaucoup de qualité, très dynamique, c’est jamais facile de gagner ici”, a expliqué le coach star.La confrontation est d’autant plus singulière qu’elle marque aussi les retrouvailles de deux anciens coéquipiers du FC Barcelone reconvertis entraîneurs. Alors qu’il avait tiré la couverture à lui lorsqu’on l’avait comparé à l’ex-entraîneur du Barça Xavi la saison dernière, Luis Enrique a cette fois-ci rendu à Pep ce qui est à Pep. “C’est une grande joie de le revoir. (…) Pour moi le 4-3-3 parfait du Barça, c’est Guardiola. Il a innové, j’ai la chance d’être son ami, il a aussi ouvert une manière de jouer en Angleterre et a ouvert la porte à d’autres entraîneurs”.Guardiola a rendu la politesse à celui avec lequel il entretient une “relation incroyable”, balayant une question sur le modèle qu’il aurait été pour Luis Enrique: “J’ai juste débuté plus tôt, je suis un peu plus vieux. (…) Il n’est pas un copié-collé, ce succès lui appartient, cette manière de rendre ses équipes solidaires, de combattre.”Mercredi soir, la bataille pour la possession du ballon s’annonce intense puisque les deux équipes le chassent dès sa perte: “Tout part du ballon, nous faisons tout pour avoir le ballon, plus que l’adversaire, l’avoir dans la moitié adverse. C’est très difficile de prendre le ballon à un joueur du PSG mais aussi à un joueur de City”, a devisé Luis Enrique.”Paris sera toujours une des meilleures équipes, avec en ce moment un excellent entraîneur, ça va être un super match”, a dit pour sa part l’avant-centre vedette de City, Erling Haaland.Comme le club anglais, après sa mauvaise passe européenne, Paris s’est rassuré avec une victoire à Salzbourg 3-0, et des succès en Ligue 1, en Coupe de France et a remporté le Trophée des champions.Mais le PSG se montre parfois emprunté dans le jeu et maladroit devant le but, et Luis Enrique continue de ne pas titulariser d’avant-centre au profit d’un “faux 9”. Il va pouvoir compter sur la forme retrouvée de l’ailier Bradley Barcola.Le PSG ne pouvait pas aligner sa nouvelle recrue Khvicha Kvaratskhelia avant la fin de la première phase de Ligue des champions, en vertu des règles de l’UEFA. Pour que le Géorgien joue dans cette compétition cette saison, il va falloir que Paris se qualifie.
Ligue des champions: au bord du gouffre, Paris reçoit City pour un choc vertigineux
Menacé d’une piteuse élimination dès la première phase de la Ligue des champions, le Paris SG reçoit le Manchester City de Pep Guardiola mercredi au Parc des Princes (21h00) pour un choc qui vaut cher entre clubs ambitieux mais mal classés.”J’aimerais bien jouer la Ligue des champions au mois de février”, a benoîtement souligné l’international français Ousmane Dembélé en référence au barrage aller-retour si le PSG se sort de l’ornière. Une élimination au premier tour de la compétition reine serait inédite depuis l’arrivée de Qatar Sports Investment en 2011.Dembélé, qui a déjà manqué les deux dernières rencontres à cause d’un virus, a été placé sur le banc des remplaçants, tout comme le milieu Warren Zaïre-Emery. “Je me sens beaucoup mieux. J’ai eu une petite grippe. Enfin, pas petite celle-là . J’ai été mal cinq ou six jours. Depuis samedi, ça va mieux”, déclarait mardi l’attaquant, qui a marqué lors de chacun de ses quatre derniers matches.Marquinhos et Achraf Hakimi, absents aussi lors des derniers matches, sont en revanche bien titulaires face aux “Cityzens”, emmenés par Erling Haaland, Phil Foden et Kevin De Bruyne. Pour l’heure, après les matches de mardi soir, le PSG a reculé à la 26e place de la C1 avec sept points. Seuls les 24 premiers poursuivront l’aventure. Le club de la capitale est tout sauf assuré d’en être après avoir grillé des cartouches à domicile contre le PSV Eindhoven (1-1) et l’Atlético Madrid (défaite 2-1 au Parc sur un but à la dernière seconde).En face, fort de 20 buts marqués sur ses quatre derniers matches en Premier League, City émerge d’une période très difficile qui a quasiment ruiné ses chances en championnat et compromis son avenir européen (le club anglais est actuellement 24e). “C’est un match qui arrive pour les deux équipes à un moment compliqué pour le classement. Mais en même temps elles vont essayer de déployer leurs meilleures armes”, a anticipé mardi l’entraîneur du PSG Luis Enrique.- La bataille de la possession -De son côté, Pep Guardiola voit en Paris “l’une des meilleures équipes du monde”. “Du peu que j’ai vu cette saison j’adore, c’est une équipe très jeune, avec beaucoup de qualité, très dynamique, c’est jamais facile de gagner ici”, a expliqué le coach star.La confrontation est d’autant plus singulière qu’elle marque aussi les retrouvailles de deux anciens coéquipiers du FC Barcelone reconvertis entraîneurs. Alors qu’il avait tiré la couverture à lui lorsqu’on l’avait comparé à l’ex-entraîneur du Barça Xavi la saison dernière, Luis Enrique a cette fois-ci rendu à Pep ce qui est à Pep. “C’est une grande joie de le revoir. (…) Pour moi le 4-3-3 parfait du Barça, c’est Guardiola. Il a innové, j’ai la chance d’être son ami, il a aussi ouvert une manière de jouer en Angleterre et a ouvert la porte à d’autres entraîneurs”.Guardiola a rendu la politesse à celui avec lequel il entretient une “relation incroyable”, balayant une question sur le modèle qu’il aurait été pour Luis Enrique: “J’ai juste débuté plus tôt, je suis un peu plus vieux. (…) Il n’est pas un copié-collé, ce succès lui appartient, cette manière de rendre ses équipes solidaires, de combattre.”Mercredi soir, la bataille pour la possession du ballon s’annonce intense puisque les deux équipes le chassent dès sa perte: “Tout part du ballon, nous faisons tout pour avoir le ballon, plus que l’adversaire, l’avoir dans la moitié adverse. C’est très difficile de prendre le ballon à un joueur du PSG mais aussi à un joueur de City”, a devisé Luis Enrique.”Paris sera toujours une des meilleures équipes, avec en ce moment un excellent entraîneur, ça va être un super match”, a dit pour sa part l’avant-centre vedette de City, Erling Haaland.Comme le club anglais, après sa mauvaise passe européenne, Paris s’est rassuré avec une victoire à Salzbourg 3-0, et des succès en Ligue 1, en Coupe de France et a remporté le Trophée des champions.Mais le PSG se montre parfois emprunté dans le jeu et maladroit devant le but, et Luis Enrique continue de ne pas titulariser d’avant-centre au profit d’un “faux 9”. Il va pouvoir compter sur la forme retrouvée de l’ailier Bradley Barcola.Le PSG ne pouvait pas aligner sa nouvelle recrue Khvicha Kvaratskhelia avant la fin de la première phase de Ligue des champions, en vertu des règles de l’UEFA. Pour que le Géorgien joue dans cette compétition cette saison, il va falloir que Paris se qualifie.