Hong Kong stocks lifted by Nvidia rally on mixed day in Asia

Tech firms led another rally in Hong Kong stocks Wednesday after US titan Nvidia said it would resume exports of key chips to China after Washington pledged to remove licensing curbs.However, other Asian markets were mixed as they weighed Indonesia’s trade deal with Washington and a spike in US inflation that saw investors pare their bets on Federal Reserve interest rate cuts.California-based Nvidia, one of the world’s most valuable companies, said Tuesday it will restart sales of its H20 artificial intelligence semiconductors to China, having been stopped by US President Donald Trump’s tightened export licensing requirements in April.CEO Jensen Huang said they would be shipping “very soon”.The news boosted tech firms around the world, with Wall Street’s Nasdaq rising to another record higher, while the S&P 500 and Dow fell.In Hong Kong, Chinese tech giants Alibaba, JD.com and Tencent jumped to push the Hang Seng Index up around one percent.However, the rest of Asia was mixed, with Tokyo, Shanghai, Sydney, Seoul and Manila falling, while Singapore, Wellington, Taipei and Jakarta rose.The gains in Indonesia came after Trump said a trade deal had been struck with the Southeast Asian country that will see Washington impose tariffs of 19 percent on its goods, below the 32 percent previously threatened. US shipments will not be taxed.The news means the Trump administration has now announced deals with three countries but around two dozen are still in the pipeline just over two weeks ahead of the president’s August 1 deadline.Some have suggested that a healthy run-up on Wall Street over the past few weeks could be giving him confidence to keep the threats up.The president also warned Tuesday that he could begin imposing tolls on imports of semiconductors and pharmaceuticals from August 1.Investor confidence was dented by data showing US inflation jumped to 2.7 percent last month, sharply up from 2.4 percent in May and more than forecast as Trump’s tariffs began to kick in.The data saw the probability of a Fed rate cut in September slip to just a little higher than 50 percent.That came as Dallas Fed president Lorie Logan said “monetary policy needs to hold tight for a while longer to bring inflation sustainably back to target — and in this base case, we can sustain maximum employment even with modestly restrictive policy”.Still, she added in prepared remarks that: “It’s also possible that some combination of softer inflation and a weakening labour market will call for lower rates fairly soon.”While markets are generally on an uptrend, Vincenzo Vedda, global chief investment officer at DWS, warned of possible bumps in the road.”The short-term future could… hold a significant market correction, since prevailing risk factors have not suddenly disappeared after all,” he wrote in a commentary. “Trump’s Beautiful Big Bill will inflate the US budget deficit, and long-term interest rates are set to rise. Tariffs are not completely off the table, either driving or containing inflation — the latter if economic growth is dampened.”Substantial geopolitical risks are an additional factor.”- Key figures at around 0230 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.1 percent at 39,642.40 (break)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.0 percent at 24,829.23Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,501.04Euro/dollar: UP at $1.1615 from $1.1606 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.3398 from $1.3383Dollar/yen: DOWN at 148.83 yen from 148.85 yenEuro/pound: DOWN at 86.68 pence from 86.69 penceWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $66.91 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $69.00 per barrelNew York – Dow: DOWN 1.0 percent at 44,023.29 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.7 percent at 8,938.32 (close) 

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Le taux du Livret A devrait baisser drastiquement à partir du 1er août

La Banque de France et le ministre de l’Economie Eric Lombard doivent se prononcer mercredi sur le nouveau taux de rémunération du Livret A, attendu autour de 1,7% à partir du 1er août selon les spécialistes de l’épargne, en nette baisse par rapport aux 2,4% actuels.Ce repli, inédit par son ampleur depuis 2009, serait le deuxième de l’année après une première diminution de 3% à 2,4% le 1er février.Les Français cumulent plus de 600 milliards d’euros d’épargne sur les Livrets A et les LDDS, plafonnés respectivement à 22.950 euros et 12.000 euros. Ces livrets leur permettent de conserver une épargne garantie, disponible et défiscalisée. Les Français en sont particulièrement friands.Le taux du Livret A est calculé tous les six mois, mi-janvier et mi-juillet, à partir du taux moyen d’inflation (hors tabac) et d’un taux moyen d’intérêt interbancaire dépendant de la politique monétaire européenne, sur le semestre qui vient de s’écouler. Or ces deux éléments sont en baisse depuis le début de l’année.L’estimation de 1,7% a été faite vendredi par Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne, et Éric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management. Un tel taux resterait supérieur à celui de l’inflation de juin, mesurée à 1% sur un an, selon la dernière publication de l’Insee.Cette baisse à 1,7% offrirait un bol d’air aux acteurs du logement social, qui empruntent au taux du Livret A, et aux banques, qui auront moins d’intérêts à verser aux épargnants en fin d’année.Eminemment politique, le taux du Livret A a fait l’objet de fréquentes dérogations ces dernières années – principalement au désavantage des épargnants.- Ménages modestes et nucléaire -Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, et M. Lombard accorderont-ils cependant un “coup de pouce” au taux du Livret d’épargne populaire (LEP), placement réservé aux ménages modestes, dont le taux doit également être annoncé mercredi ? Sa règle de calcul le fixerait en l’état à 2,2%, significativement moins que les 3,5% actuels.L’argent placé sur les Livrets A et les LDDS est réparti entre les banques (40,5%) et la Caisse des dépôts et consignations (59,5%). Les banques le transforment principalement en crédits à destination des PME et des TPE.La Caisse des dépôts et consignations (CDC), bras financier de l’Etat, scinde, au sein du Fonds d’épargne, son enveloppe en deux. Une moitié est dédiée à des prêts de long terme au logement social et à destination de la politique de la ville. L’autre moitié est investie dans des titres de dette (principalement d’Etat) et dans des actions de sociétés cotées.La CDC a été critiquée cette année pour l’opacité de ses placements, dont certains dans des entreprises engagées dans la production de pétrole. Face à ces critiques, elle répond que son exposition aux énergies fossiles “demeure inférieure à 5 milliards d’euros”.Depuis fin 2024, l’argent du Fonds d’épargne est aussi fléché, via les banques, vers des prêts dédiés à la transition énergétique et écologique. Il pourrait également être mis à contribution pour financer la relance du nucléaire en France. Et “même si nous finançons les (réacteurs nucléaires) EPR, on aura toujours assez d’argent pour financer le logement social ou les collectivités locales”, expliquait le 19 juin sur franceinfo le nouveau directeur général de la “Caisse”, Olivier Sichel. 

Le taux du Livret A devrait baisser drastiquement à partir du 1er août

La Banque de France et le ministre de l’Economie Eric Lombard doivent se prononcer mercredi sur le nouveau taux de rémunération du Livret A, attendu autour de 1,7% à partir du 1er août selon les spécialistes de l’épargne, en nette baisse par rapport aux 2,4% actuels.Ce repli, inédit par son ampleur depuis 2009, serait le deuxième de l’année après une première diminution de 3% à 2,4% le 1er février.Les Français cumulent plus de 600 milliards d’euros d’épargne sur les Livrets A et les LDDS, plafonnés respectivement à 22.950 euros et 12.000 euros. Ces livrets leur permettent de conserver une épargne garantie, disponible et défiscalisée. Les Français en sont particulièrement friands.Le taux du Livret A est calculé tous les six mois, mi-janvier et mi-juillet, à partir du taux moyen d’inflation (hors tabac) et d’un taux moyen d’intérêt interbancaire dépendant de la politique monétaire européenne, sur le semestre qui vient de s’écouler. Or ces deux éléments sont en baisse depuis le début de l’année.L’estimation de 1,7% a été faite vendredi par Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne, et Éric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management. Un tel taux resterait supérieur à celui de l’inflation de juin, mesurée à 1% sur un an, selon la dernière publication de l’Insee.Cette baisse à 1,7% offrirait un bol d’air aux acteurs du logement social, qui empruntent au taux du Livret A, et aux banques, qui auront moins d’intérêts à verser aux épargnants en fin d’année.Eminemment politique, le taux du Livret A a fait l’objet de fréquentes dérogations ces dernières années – principalement au désavantage des épargnants.- Ménages modestes et nucléaire -Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, et M. Lombard accorderont-ils cependant un “coup de pouce” au taux du Livret d’épargne populaire (LEP), placement réservé aux ménages modestes, dont le taux doit également être annoncé mercredi ? Sa règle de calcul le fixerait en l’état à 2,2%, significativement moins que les 3,5% actuels.L’argent placé sur les Livrets A et les LDDS est réparti entre les banques (40,5%) et la Caisse des dépôts et consignations (59,5%). Les banques le transforment principalement en crédits à destination des PME et des TPE.La Caisse des dépôts et consignations (CDC), bras financier de l’Etat, scinde, au sein du Fonds d’épargne, son enveloppe en deux. Une moitié est dédiée à des prêts de long terme au logement social et à destination de la politique de la ville. L’autre moitié est investie dans des titres de dette (principalement d’Etat) et dans des actions de sociétés cotées.La CDC a été critiquée cette année pour l’opacité de ses placements, dont certains dans des entreprises engagées dans la production de pétrole. Face à ces critiques, elle répond que son exposition aux énergies fossiles “demeure inférieure à 5 milliards d’euros”.Depuis fin 2024, l’argent du Fonds d’épargne est aussi fléché, via les banques, vers des prêts dédiés à la transition énergétique et écologique. Il pourrait également être mis à contribution pour financer la relance du nucléaire en France. Et “même si nous finançons les (réacteurs nucléaires) EPR, on aura toujours assez d’argent pour financer le logement social ou les collectivités locales”, expliquait le 19 juin sur franceinfo le nouveau directeur général de la “Caisse”, Olivier Sichel. 

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Le taux du Livret A devrait baisser drastiquement à partir du 1er août

La Banque de France et le ministre de l’Economie Eric Lombard doivent se prononcer mercredi sur le nouveau taux de rémunération du Livret A, attendu autour de 1,7% à partir du 1er août selon les spécialistes de l’épargne, en nette baisse par rapport aux 2,4% actuels.Ce repli, inédit par son ampleur depuis 2009, serait le deuxième de l’année après une première diminution de 3% à 2,4% le 1er février.Les Français cumulent plus de 600 milliards d’euros d’épargne sur les Livrets A et les LDDS, plafonnés respectivement à 22.950 euros et 12.000 euros. Ces livrets leur permettent de conserver une épargne garantie, disponible et défiscalisée. Les Français en sont particulièrement friands.Le taux du Livret A est calculé tous les six mois, mi-janvier et mi-juillet, à partir du taux moyen d’inflation (hors tabac) et d’un taux moyen d’intérêt interbancaire dépendant de la politique monétaire européenne, sur le semestre qui vient de s’écouler. Or ces deux éléments sont en baisse depuis le début de l’année.L’estimation de 1,7% a été faite vendredi par Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’épargne, et Éric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management. Un tel taux resterait supérieur à celui de l’inflation de juin, mesurée à 1% sur un an, selon la dernière publication de l’Insee.Cette baisse à 1,7% offrirait un bol d’air aux acteurs du logement social, qui empruntent au taux du Livret A, et aux banques, qui auront moins d’intérêts à verser aux épargnants en fin d’année.Eminemment politique, le taux du Livret A a fait l’objet de fréquentes dérogations ces dernières années – principalement au désavantage des épargnants.- Ménages modestes et nucléaire -Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, et M. Lombard accorderont-ils cependant un “coup de pouce” au taux du Livret d’épargne populaire (LEP), placement réservé aux ménages modestes, dont le taux doit également être annoncé mercredi ? Sa règle de calcul le fixerait en l’état à 2,2%, significativement moins que les 3,5% actuels.L’argent placé sur les Livrets A et les LDDS est réparti entre les banques (40,5%) et la Caisse des dépôts et consignations (59,5%). Les banques le transforment principalement en crédits à destination des PME et des TPE.La Caisse des dépôts et consignations (CDC), bras financier de l’Etat, scinde, au sein du Fonds d’épargne, son enveloppe en deux. Une moitié est dédiée à des prêts de long terme au logement social et à destination de la politique de la ville. L’autre moitié est investie dans des titres de dette (principalement d’Etat) et dans des actions de sociétés cotées.La CDC a été critiquée cette année pour l’opacité de ses placements, dont certains dans des entreprises engagées dans la production de pétrole. Face à ces critiques, elle répond que son exposition aux énergies fossiles “demeure inférieure à 5 milliards d’euros”.Depuis fin 2024, l’argent du Fonds d’épargne est aussi fléché, via les banques, vers des prêts dédiés à la transition énergétique et écologique. Il pourrait également être mis à contribution pour financer la relance du nucléaire en France. Et “même si nous finançons les (réacteurs nucléaires) EPR, on aura toujours assez d’argent pour financer le logement social ou les collectivités locales”, expliquait le 19 juin sur franceinfo le nouveau directeur général de la “Caisse”, Olivier Sichel. 

Budget et PAC: Bruxelles donne le coup d’envoi de deux ans de négociations

La Commission européenne va mettre sur la table mercredi sa proposition de budget de 2028 à 2034, donnant le coup d’envoi de deux ans de négociations tendues, notamment sur l’avenir de la politique agricole commune.Le Copa-Cogeca, lobby des agriculteurs européens, a déjà promis durant la journée une “marche symbolique” à Bruxelles, sans tracteurs, pour protester.L’équation budgétaire de l’Union européenne relève du casse-tête.Déjà exsangues, les Etats ne veulent pas mettre davantage dans le pot commun, tandis que la liste des dépenses ne cesse de s’allonger: investissements dans la défense, remboursement de l’emprunt européen contracté pendant la pandémie de Covid, soutien à l’industrie…Le tout au moment où les négociations commerciales sont difficiles avec les Etats-Unis de Donald Trump.Quels seront les montants proposés pour la nouvelle feuille de route budgétaire de l’Union européenne? Et avec quelles ressources?Le “cadre financier pluriannuel” actuel, en 2021-2027, représentait environ 1.200 milliards d’euros. Il était financé par les contributions nationales — soit environ 1% du revenu national brut des Etats membres — et par des ressources propres de l’UE comme les droits de douane.Volontariste, le Parlement européen réclame un budget “plus ambitieux” pour la période à venir.”L’Union ne peut pas faire plus avec le même montant, ni avec moins. Au final, une augmentation de budget est indispensable”, martèle ainsi l’eurodéputé roumain Siegfried Muresan (PPE, droite), l’un des rapporteurs de cette feuille de route budgétaire.Mais les vœux des parlementaires seront difficiles à exaucer.Notamment pour un sujet hautement inflammable: la politique agricole commune. La PAC est le premier poste de dépenses de l’UE jusqu’ici, avec 387 milliards d’euros sur sept ans de 2021 à 2027, dont 270 milliards d’aides directes aux agriculteurs.- “Ni stable, ni suffisant” -Selon un document qui a fuité lundi, Bruxelles s’apprête à proposer une réforme de l’architecture budgétaire de sa politique agricole, qui serait intégrée à un fonds beaucoup plus vaste de “partenariat national et régional”, ce que redoutaient les agriculteurs.”Centraliser les financements de l’UE dans un fonds unique (…) risque de dissoudre la politique agricole commune”, avec “moins de garanties”, fustige le lobby Copa-Cogeca.Et le Parlement s’y oppose également, selon l’eurodéputé Siegfried Muresan.La Commission se veut pourtant rassurante. La PAC continuera de fonctionner avec des règles propres et de moyens financiers fléchés, assure-t-elle, en particulier pour les aides directes aux agriculteurs.Au moins deux dispositifs sur le soutien aux régions rurales défavorisées et l’innovation agricole quitteraient cependant le giron des financements PAC pour rejoindre ceux destinés à la cohésion des territoires.La Commission voudrait aussi revoir le mode de calcul des versements de la PAC, afin de mieux cibler ses bénéficiaires.Pour éviter de trop financer les plus grandes exploitations, Bruxelles voudrait plafonner à 100.000 euros les aides à l’hectare et introduire une dégressivité. Mais là encore, le bras de fer s’annonce difficile.Autre sujet, les enjeux climatiques, au moment où les Verts craignent que les contraintes budgétaires poussent à sacrifier les crédits consacrés à la protection de l’environnement.Dans ce domaine comme dans d’autres, la Commission cherche de nouvelles ressources. Elle devrait par exemple proposer un prélèvement forfaitaire sur le chiffre d’affaires des grandes entreprises, une taxation supplémentaire sur le tabac ou une nouvelle taxe sur les déchets électroniques non recyclés.”Ce n’est ni stable, ni suffisant”, estime la centriste Fabienne Keller. “On continue de confier de nouvelles missions à l’UE sans lui donner les moyens nécessaires pour les accomplir”, regrette cette eurodéputée française.La proposition de la Commission fera l’objet de négociations avec les Etats membres et le Parlement pendant de longs mois.Mais “comme d’habitude, tout se finira par cinq jours de négociations” entre les 27, prédit un fonctionnaire européen.En juillet 2020, lors des ultimes tractations sur le précédent budget, la Première ministre danoise Mette Frederiksen avait dû décaler son mariage pour participer à un sommet décisif à Bruxelles.

‘Epstein files’ explained: Why Trump is under pressure

A perceived lack of transparency over the US investigations into notorious sex offender Jeffrey Epstein has carved a rare chasm between President Donald Trump and his typically loyal Republican base.As Trump struggles to quell his supporters’ obsessions with the case — one long surrounded by conspiracy theories — AFP outlines its history and why it has caused so much outrage.- Origins of the Epstein case -Jeffrey Epstein, a wealthy American financier, was first charged with sex offenses in 2006 after the parents of a 14-year-old girl told police that he had molested their daughter at his Florida home.He avoided federal charges — which could have seen him face life in prison — due to a controversial plea deal with prosecutors that saw him jailed for just under 13 months.In July 2019, he was arrested again in New York and charged with trafficking dozens of teenage girls and engaging in sex acts with them in exchange for money. Prosecutors said he worked with employees and associates to ensure a “steady supply of minor victims to abuse.”Epstein pleaded not guilty to the charges against him. On August 10, 2019, while in custody awaiting trial, authorities said he was found dead in his prison cell after hanging himself.A separate case against Epstein’s girlfriend Ghislaine Maxwell, who was jailed in 2022 for helping him abuse girls, detailed Epstein’s connections with high-profile figures like Britain’s Prince Andrew and former US president Bill Clinton. Both have denied any wrongdoing.- Why are there conspiracy theories? -Some people believe that authorities are concealing details about the Epstein case to protect rich and powerful elites who associated with him, including Trump.Those ideas have gripped Trump’s “Make America Great Again” (MAGA) movement — but demands for more transparency have crossed the political aisle.  One key theory centers on a rumored client list of individuals who committed sex offenses alongside Epstein. The Trump administration has insisted that no such list exists.Skeptics also allege suspicious circumstances in Epstein’s death such as the security cameras around his cell apparently malfunctioning on the night he died, alongside other irregularities.- Trump and the Epstein case -Trump, who as a New York property magnate rubbed shoulders with Epstein, said when re-running for president that he would “probably” release files related to the case.But since taking office, many of Trump’s supporters have been disappointed by what they see as a failure to deliver. The 79-year-old himself was dragged into the conspiracy theories after his former advisor Elon Musk claimed in June — in a now-deleted X post — that Trump was “in the Epstein files.”The Trump administration’s efforts to appease demands for a full disclosure of the so-called Epstein files have largely fallen short.A bundle released in February that promised to shed light on the Epstein case contained little new information. Meanwhile, an almost 11-hour video published this month to dispel theories Epstein was murdered fell flat. The camera angle showed a section of the New York prison on the night Epstein died, but appeared to be missing a minute of footage, fueling more speculation online.And a memo from the Justice Department and FBI last week saying the Epstein files did not contain evidence that would justify further investigation was met by calls for the heads of each agency to resign.- What comes next? -Trump has been towing a delicate line — saying he supports the release of any “credible” files related to Epstein while dismissing the case as “pretty boring stuff.”But even the normally authoritative president seems unable to arrest the disruption, as critics and even key allies call for more transparency.Mike Johnson, the Republican speaker of the House, has not followed Trump’s line on the issue and has instead urged the Justice Department to make public any documents linked to Epstein.Meanwhile, Democrats have seized on the rift between Trump and his party by demanding his administration publish the full evidence held by prosecutors in their case against Epstein.

Brésil: le parquet réclame la condamnation de Bolsonaro pour “coup d’Etat”

Le parquet brésilien a demandé mardi à la Cour suprême de condamner pour “coup d’Etat” l’ancien président Jair Bolsonaro, qui clame son innocence et dont le procès a provoqué une crise diplomatique entre le Brésil et les Etats-Unis.Après plusieurs journées d’audience, le parquet s’en est tenu à la thèse selon laquelle l’ex-chef de l’Etat d’extrême droite et sept de ses collaborateurs de l’époque ont essayé d’assurer leur “maintien autoritaire au pouvoir par des tentatives de perturber violemment l’ordre démocratique”, peut-on lire dans son communiqué.Jugé pour tentative de coup d’Etat, M. Bolsonaro, qui a exercé la fonction suprême de 2019 à 2022, encourt jusqu’à 40 ans de prison.Il est accusé d’être le “leader d’une organisation criminelle” ayant conspiré pour son maintien au pouvoir quel que soit le résultat de l’élection présidentielle d’octobre 2022, remportée par l’actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.Mardi, M. Bolsonaro a aussitôt nié les faits qui lui sont reprochés et dénoncé une persécution politique. “Il n’y pas d’intérêt à m’emprisonner, ils veulent m’éliminer”, a-t-il déclaré au site Poder360.- Menaces américaines -“Après avoir vérifié l’implication des individus dans les faits”, le procureur général a conclu qu’il était “nécessaire qu’ils soient condamnés (…) pour organisation criminelle armée”, “tentative d’abolition de l’Etat démocratique”, “coup d’Etat” ainsi que pour d’autres délits en lien avec des dommages causés aux biens publics, a précisé le parquet.Le sort de M. Bolsonaro et de ses anciens associés est entre les mains du juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes, menacé de sanctions par Washington pour ses décisions contre des plateformes américaines de réseaux sociaux.Le procès intenté à l’ex-chef de l’Etat a en outre provoqué la colère de Donald Trump – allié de M. Bolsonaro – qui accuse le Brésil de “chasse aux sorcières”.Le président américain a annoncé la semaine dernière des droits de douane de 50% à partir du 1er août sur les produits brésiliens importés et, mardi, les Etats-Unis ont dit avoir lancé une enquête contre Brasilia pour “pratiques commerciales déloyales” – ce qui pourrait conduire à des mesures de représailles américaines comme des surtaxes douanières punitives.Une enquête ouverte “sur instruction” de M. Trump, a précisé le représentant américain au Commerce Jamieson Greer.Par ailleurs, le député brésilien Eduardo Bolsonaro, un des fils de ce dernier, s’est installé aux Etats-Unis, où il cultive d’étroites relations avec le camp républicain. Il y encourage le gouvernement à sévir contre les autorités brésiliennes, juges compris.- “Attaquer les institutions publiques” -De son côté, Jair Bolsonaro affirme qu’il est victime d’une “persécution politique” destinée à l’empêcher de se représenter à la présidentielle de l’an prochain, bien qu’il soit inéligible jusqu’en 2030 pour avoir diffusé des fausses informations sur le système électoral.Devant la Cour, M. Bolsonaro, qui se dit innocent des faits lui étant reprochés, a simplement reconnu avoir envisagé “un dispositif constitutionnel” pour empêcher l’investiture de Lula.L’ancien président a “instrumentalisé l’appareil d’Etat et délibérément mis en œuvre un plan visant à attaquer les institutions publiques et le processus de succession” à l’élection présidentielle, a en revanche conclu le parquet.Ce plan a échoué faute de soutien de la part des commandants des forces armées.Lula a quant à lui affirmé qu’il chercherait à négocier avec Washington pour éviter les droits de douane, tout en condamnant “l’ingérence” de M. Trump dans le système judiciaire brésilien.Il a également annoncé que le Brésil pouvait décider d’opter pour la “réciprocité” face à “toute mesure de hausse des droits de douane de manière unilatérale”.