Stocks rise as US inflation data boosts rate cut hopes

US and European stock markets rose on Wednesday after inflation data cemented expectations that the Federal Reserve will trim interest rates next month.Wall Street’s three main indexes snapped higher at the opening bell after November consumer inflation figures were in line with analyst expectations.The consumer price index (CPI) rose to 2.7 percent last month from a year ago, up slightly from 2.6 percent in October.”With the CPI numbers broadly in line, it is likely that the Fed will not be derailed and will cut rates again next week,” Jochen Stanzl, chief market analyst at CMC Markets.”The data is not a showstopper for the current bull run on Wall Street,” he added.Ahead of the data investors priced in a 86 percent chance the Fed will next week cut interest rates by a quarter of a percentage point. That rose to 98 percent after the CPI data was published.But with inflation already ticking higher, and the possibility that US president-elect Donald Trump’s planned policies could reignite price increases, analysts see the Fed likely taking a breather.”The Fed will likely await further jobs market and inflationary data before considering the third installment of this rate cutting cycle, allowing the latest rate cut to have its full effect,” said Srijan Katyal, chief strategist at ADSS brokerage.Paris and Frankfurt stocks rose ahead of the European Central Bank’s own interest rate announcement on Thursday, with analysts expecting another cut as it seeks to boost eurozone growth.Investors are also eyeing political developments in France, where officials said President Emmanuel Macron aims to name a new prime minister “within 48 hours” as he seeks to end political deadlock following the ouster of Michel Barnier.In company news, shares in German retail giant Zalando shed more than four percent on Frankfurt’s DAX index, after it acquired domestic rival About You in a deal worth around 1.1 billion euros ($1.2 billion).Shares in Zara owner Inditex slid six percent after a record quarterly profit for the group fell short of market estimates.Shares in Shanghai rose but Hong Kong gave up an early rally to end in the red.Traders were keeping tabs on China to see if it will announce further measures to support its struggling economy as leaders gather Wednesday for a conference to hammer out next year’s agenda.President Xi Jinping and other top leaders on Monday announced their first major shift in policy for more than a decade, saying they would “implement a more active fiscal policy and an appropriately relaxed” strategy.The remarks sparked hopes for more interest rate cuts and the freeing up of more cash for lending.The announcement comes as officials prepare for a second term for Trump, who has indicated he will reignite his hardball trade policies, fuelling fears of another standoff between the superpowers.- Key figures around 1430 GMT -New York – Dow: UP 0.2 percent at 44,328.42 pointsNew York – S&P 500: UP 0.5 percent at 6,063.82New York – Nasdaq Composite: UP 0.8 percent at 19,841.29London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,306.34 Paris – CAC 40: UP 0.4 percent at 7,427.64 Frankfurt – DAX: UP 0.1 percent at 20,349.08Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 39,372.23 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.8 percent at 20,155.05 (close)Shanghai – Composite: UP 0.3 percent at 3,432.49 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0510 from $1.0529 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.2759 from $1.2773Dollar/yen: UP at 152.09 yen from 151.92 yen Euro/pound: DOWN at 82.38 from 82.42 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $71.05 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.2 percent at $69.44 per barrelburs-rl/lth

Madagascar opposition battles for survival in city hall electionsWed, 11 Dec 2024 14:01:26 GMT

Madagascans voted on Wednesday in municipal elections, the final stage in an electoral year key for President Andry Rajoelina who seeks to consolidate his power and retain control of the capital.Tensions arose at the opening of some polling stations, with delays or irregularities such as the absence of the head of the voting booth, an …

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Somali federal and regional forces clash in JubalandWed, 11 Dec 2024 12:41:54 GMT

The Somali army and forces loyal to the semi-autonomous southern Jubaland region have clashed, Somali government and military officials said Wednesday.Conflict-weary Somalia is a federation of five semi-autonomous member states — Puntland, Jubaland, Galmudug, Hirshabelle and South West — and a central government in the capital Mogadishu.Tensions have been rising between the central authority and …

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Après son dernier Conseil des ministres, Barnier attend son successeur

Après avoir présidé mercredi matin un dernier Conseil des ministres avec Michel Barnier, Emmanuel Macron doit nommer d’ici jeudi son successeur, qui pourrait être François Bayrou et sera chargé de négocier a minima un accord pour éviter la censure et faire adopter un budget pour 2025.Le nom du chef centriste fait cependant l’objet de signaux contradictoires, en raison notamment de l’opposition d’une partie de la droite.Au lendemain d’une réunion inédite des chefs de parti hors LFI et RN autour du président de la République, Michel Barnier et son gouvernement se sont retrouvés mercredi matin une dernière fois à l’Elysée.Ce Conseil des ministres, exceptionnel pour une équipe démissionnaire, a permis de présenter le projet de “loi spéciale” qui sera soumis dans les prochains jours au Parlement pour éviter la paralysie, faute de budget après la censure.”Il s’agit d’assurer, à titre transitoire et exceptionnel, la continuité de la vie de la nation, le fonctionnement régulier des services publics et le respect de nos engagements financiers”, a résumé le ministre du Budget Laurent Saint-Martin. Après ce Conseil des ministres, la voie est désormais libre pour désigner un nouveau Premier ministre.- accord de non-censure ? -Mardi, devant les chefs des communistes, des socialistes, des écologistes, du camp présidentiel et des Républicains, M. Macron a promis de le nommer “dans les 48 heures”. Charge au nouveau locataire de Matignon de négocier avec ces partis une participation au gouvernement, ou leur soutien à certains textes dont le budget, ou encore, a minima, un accord de “non-censure”. Ensuite seulement, il composera son équipe.En Conseil des ministres, Emmanuel Macron a cependant constaté que le “socle” de partis qui soutenait Michel Barnier, réunissant le camp présidentiel et la droite, n’avait pu “en l’état” être élargi.La veille, il avait souligné devant les partis “sa volonté de ne pas dissoudre” l’Assemblée nationale à nouveau d’ici à 2027. Et il avait relevé “une unanimité des forces politiques pour ne plus dépendre du Rassemblement national”.La gauche réclame toujours que l’un des siens soit nommé à Matignon et s’est engagée à ne pas utiliser le 49.3 pour faire adopter des lois sans vote si, en échange, les opposants s’engagent à ne pas censurer.”Un engagement ahurissant, un contournement de la Constitution”, a réagi Marine Le Pen (RN), “pas mécontente” d’être mise à l’écart. A ce stade, les Français ne semblent pas lui en tenir rigueur si on en croit un sondage Ifop/Fudicial qui lui donne plus de 35% des intentions de vote au premier tour de la présidentielle.- Faure et Sarkozy contre Bayrou -Mais tous les responsables politiques suspendent leur décision au nom du nouveau Premier ministre.Le plus optimiste mardi soir était François Bayrou, qui a salué une réunion “positive de manière inespérée” pouvant aboutir à un “accord de coopération démocratique”.Son engouement est-il un hasard? Le président du MoDem semblait conserver sa place parmi les favoris pour Matignon, malgré l’hostilité à droite que lui voue l’ancien Président Nicolas Sarkozy. Mais pour le socialiste Olivier Faure, le nouveau Premier ministre “ne peut pas être François Bayrou” qui incarnerait une “continuité” du macronisme.Le socialiste est cependant resté évasif sur l’attitude de son parti si M. Macron nommait le centriste.”Il faudra que nous ayons ensuite une discussion avec celui ou celle qui sera nommé”, a-t-il dit car, “quelle que soit la situation”, il faut que “nous puissions arracher des victoires pour les Français”.De quoi alimenter le procès en trahison déjà lancé par Jean-Luc Mélenchon.”Pas d’accord de coalition! Pas de +non-censure+. Revenez à la raison et à la maison!”, a lancé le leader des Insoumis mardi soir. “Plus Jean-Luc Mélenchon crie, moins on l’entend”, a répondu Olivier Faure, accusant LFI d'”affaiblir le collectif” par sa “politique de la chaise vide”.Si ce n’est pas François Bayrou, les noms des ministres Catherine Vautrin et Sébastien Lecornu circulent aussi dans le camp présidentiel. Fumée blanche mercredi soir? Car M. Macron se rend jeudi en Pologne, ce qui limite la fenêtre de tir.- une loi spéciale consensuelle -Le nouveau Premier ministre aura pour tâche prioritaire de reprendre la difficile rédaction d’un budget pour 2025, laissé en suspens après l’adoption de la censure.La “loi spéciale”, présentée en conseil des ministres, n’est en effet composée que de trois articles pour principalement autoriser le gouvernement à lever les impôts et dépenser les crédits sur la base du budget 2024.Son adoption ne fait guère de doute après son examen lundi à l’Assemblée nationale, puis le 18 décembre au Sénat. La gauche entend toutefois l’amender pour s’assurer que le barème de l’impôt sur le revenu soit bien indexé sur l’inflation, afin d’éviter qu’un grand nombre de Français voient leur pression fiscale monter.Mais, dans “un avis très clair” selon Laurent Saint-Martin, le Conseil d’Etat a estimé mardi que cette disposition n’avait pas sa place dans une loi spéciale et devra donc être adopté dans le cadre du budget 2025, avant les déclarations de revenus faites au printemps.

Stocks struggle for direction before US inflation data

Stock markets struggled for direction Wednesday as traders awaited key US inflation data with the Federal Reserve expected to cut interest rates next week.Traders were also keeping tabs on China to see if it will announce further measures to support its struggling economy.Seoul extended Tuesday’s rebound, though political uncertainty after South Korean President Yoon Suk Yeol’s brief imposition of martial law kept the won around two-year lows against the dollar.All three main Wall Street indexes ended in the red Tuesday, with analysts pointing to profit-taking from a string of records, with the focus now on the consumer price index release due later in the day.”Today’s US CPI print for November is pivotal for markets,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB. The reading is expected to show a slight pick-up in inflation but there is still a strong expectation the US central bank will cut rates for a third straight meeting next week.Brooks added that higher-than-expected inflation could lead to questions over future rate cuts, especially with the possibility that US president-elect Donald Trump’s planned policies could reignite inflation.Beijing’s attempts to kickstart growth are also in view, with China’s leaders gathering for a conference aimed at hammering out next year’s agenda.President Xi Jinping and other top leaders on Monday announced their first major shift in policy for more than a decade, saying they would “implement a more active fiscal policy and an appropriately relaxed” strategy.The remarks sparked hopes for more interest rate cuts and the freeing up of more cash for lending.The announcement comes as officials prepare for a second term for Trump, who has indicated he will reignite his hardball trade policies, fuelling fears of another standoff between the superpowers.Shares in Shanghai rose Wednesday but Hong Kong gave up an early rally to end in the red.Paris and Frankfurt stocks edged up awaiting Thursday’s expected rate cut from the European Central Bank as it seeks to help boost eurozone growth.Investors are also eyeing political developments in France, where officials said President Emmanuel Macron aims to name a new prime minister “within 48 hours” as he seeks to end political deadlock following the ouster of Michel Barnier.In company news, shares in German retail giant Zalando shed around five percent on Frankfurt’s DAX index, after it acquired domestic rival About You in a deal worth around 1.1 billion euros ($1.2 billion).Shares in Zara owner Inditex slid six percent after a record quarterly profit for the group fell short of market estimates.Oil prices gained one percent on supply worries, as the US considers new sanctions against Russia, the world’s second largest oil producer.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: UP 0.1 at 8,285.07 pointsParis – CAC 40: UP 0.1 percent at 7,404.20 Frankfurt – DAX: UP 0.1 percent at 20,347.47Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 39,372.23 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.8 percent at 20,155.05 (close)Shanghai – Composite: UP 0.3 percent at 3,432.49 (close)Seoul – Kospi: UP 1.0 percent at 2,442.51 (close)New York – Dow: DOWN 0.4 percent at 44,247.83 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0497 from $1.0529 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.2724 from $1.2773Dollar/yen: UP at 152.63 yen from 151.92 yen Euro/pound: UP at 82.49 from 82.42 penceBrent North Sea Crude: UP 1.0 percent at $72.91 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $69.31 per barrel

Sudan militia chief ‘enthusiastically’ committed war crimes: prosecutorWed, 11 Dec 2024 10:19:08 GMT

A feared Sudanese militia chief “willingly and enthusiastically” participated in war crimes, the International Criminal Court’s chief prosecutor charged Wednesday, laying out searing accusations of rape, murder, and torture.Prosecutor Karim Khan was summing up in the case of Ali Muhammad Ali Abd-Al-Rahman, also known by the nom de guerre Ali Kushayb, facing 31 charges of …

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Un dernier Conseil des ministres avant la nomination du successeur de Barnier

Un dernier Conseil des ministres puis un nouveau chef du gouvernement: Emmanuel Macron a promis de nommer d’ici à jeudi, et potentiellement dès ce mercredi, le successeur de Michel Barnier à Matignon, qui pourrait être son allié historique François Bayrou et sera chargé de négocier a minima un accord pour éviter la censure.Au lendemain d’une réunion inédite des chefs de parti hors LFI et RN autour du président de la République, Michel Barnier et son gouvernement se retrouvent mercredi matin une dernière fois à l’Elysée, fait rarissime pour une équipe démissionnaire.Au menu de ce Conseil des ministres: un projet de “loi spéciale” pour assurer la continuité de l’Etat à compter de janvier dans l’attente qu’un budget soit adopté pour 2025.Après ce Conseil des ministres, la voie sera libre pour désigner un nouveau Premier ministre.- accord de non-censure ? -Mardi, devant les chefs des communistes, des socialistes, des écologistes, du camp présidentiel et du parti Les Républicains, M. Macron a promis de le nommer “dans les 48 heures”. Plusieurs proches tablent sur un choix dès mercredi soir.Charge au nouveau locataire de Matignon de négocier avec ces partis une participation au gouvernement, ou leur soutien à certains textes dont le budget, ou encore, a minima, un accord de “non-censure”. Ensuite seulement, il composera son équipe.Durant deux heures et demie mardi, à huis clos, chacun a avancé ses pions, affiné ses lignes rouges et esquissé ses concessions.M. Macron a souligné “sa volonté de ne pas dissoudre” l’Assemblée nationale à nouveau d’ici à 2027, selon son entourage. Il a aussi relevé “une unanimité des forces politiques pour ne plus dépendre du Rassemblement national”.La gauche a proposé, si l’un des siens était nommé à Matignon, de ne pas utiliser le 49.3 pour faire adopter des lois sans vote si, en échange, les opposants s’engagent à ne pas censurer.”Un engagement ahurissant, un contournement de la Constitution”, a réagi Marine Le Pen (RN), “pas mécontente” d’être mise à l’écart après une censure dont les Français ne semblent pas lui tenir rigueur si on en croit un sondage Ifop/Fudicial qui lui donne plus de 35% des intentions de vote au premier tour de la présidentielle.- Faure ne veut pas de Bayrou -Mais tous ces responsables suspendent leur décision au nom du nouveau Premier ministre.Le plus optimiste mardi soir était François Bayrou, qui a salué une réunion “positive de manière inespérée” pouvant aboutir à un “accord de coopération démocratique”.Son engouement est-il un hasard? Le président du MoDem semblait conserver sa place parmi les favoris pour Matignon. Mais pour le socialiste Olivier Faure, le nouveau Premier ministre “ne peut pas être François Bayrou” qui incarnerait une “continuité” du macronisme.Le socialiste est cependant resté évasif sur l’attitude de son parti si M. Macron nommait malgré tout le centriste.”Il faudra que nous ayons ensuite une discussion avec celui ou celle qui sera nommé à Matignon”, a-t-il dit car, “quelle que soit la situation”, il faut que “nous puissions arracher des victoires pour les Français”.De quoi alimenter le procès en trahison des socialistes déjà lancé par Jean-Luc Mélenchon.”Pas d’accord de coalition! Pas de +non-censure+. Revenez à la raison et à la maison!”, a lancé le leader des Insoumis mardi soir. “Plus Jean-Luc Mélenchon crie, moins on l’entend”, a répondu Olivier Faure, accusant LFI d'”affaiblir le collectif” par sa “politique de la chaise vide”.Si ce n’est pas François Bayrou, les noms des ministres démissionnaires Catherine Vautrin et Sébastien Lecornu circulent aussi dans le camp présidentiel. L’ex-ministre venu du PS Jean-Yves Le Drian a décliné, mais certains espéraient encore le convaincre. A droite, le maire de Troyes François Baroin est cité.Fumée blanche mercredi soir? Car M. Macron se rend jeudi en Pologne, ce qui limite la fenêtre de tir.- une loi spéciale consensuelle -Le nouveau Premier ministre aura pour première tâche de reprendre la difficile rédaction d’un budget pour 2025, laissé en suspens après l’adoption de la censure.La “loi spéciale”, présentée en conseil des ministres, n’est en effet composée que de trois articles pour principalement autoriser le gouvernement à lever les impôts et dépenser les crédits sur la base du budget 2024.Son adoption ne fait guère de doute après son examen lundi à l’Assemblée nationale, puis le 18 décembre au Sénat. La gauche entend toutefois l’amender pour s’assurer que le barème de l’impôt sur le revenu soit bien indexé sur l’inflation, afin d’éviter qu’un grand nombre de Français voient leur pression fiscale monter.Mais le Conseil d’Etat a estimé mardi que cette disposition n’avait pas sa place dans une loi spéciale mais devrait figurer dans le projet de budget 2025.Â