Les Oscars quitteront ABC pour une diffusion en exclusivité sur YouTube à partir de 2029

La cérémonie des Oscars sera diffusée en exclusivité sur la plateforme YouTube à partir de 2029, a annoncé mercredi l’Académie qui décerne à Hollywood les plus prestigieuses récompenses du monde du cinéma.Ce sera la première fois que cette cérémonie, qui est retransmise depuis des dizaines d’années par la chaîne de télévision américaine ABC, sera disponible …

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Legrand-Cohen: la patronne de Radio France déplore une vidéo “instrumentalisée”

La présidente de Radio France, Sibyle Veil, a défendu mercredi devant les députés le “pluralisme” du groupe, en jugeant que la vidéo qui a déclenché l’affaire Legrand-Cohen avait été “instrumentalisée” pour accuser l’audiovisuel public de partialité pour la gauche.Entendue par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur la neutralité et le financement de l’audiovisuel public, …

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Billionaire Trump nominee confirmed to lead NASA amid Moon race

The US Senate on Wednesday approved President Donald Trump’s re-nomination of billionaire Jared Isaacman to head NASA, following months of backtracking and uncertainty over the space agency’s future.The 42-year-old businessman made his fortune in online payment processing and has a personal passion for space. He will take over as administrator of the US agency at a sensitive time — when it faces major budget cuts and pressure to travel to the Moon again and eventually reach Mars.The Trump administration wants to send a manned US mission to the Moon as soon as possible to outpace similar plans by China.During his second confirmation hearing in December, Isaacman pledged he would ensure the success of the Artemis lunar exploration program that began in 2017, during the first Trump administration. “America will return to the Moon before our great rival, and we will establish an enduring presence to understand and realize the scientific, economic and national security value on the lunar surface,” Isaacman said.NASA’s Artemis program, however, has faced numerous delays, and experts warned in September that the lunar lander developed by Elon Musk’s SpaceX might not be ready in time.Trump first nominated Isaacman after the president’s 2024 election victory, but withdrew the nomination in April 2025, before re-issuing it again in November.Musk had lobbied for Isaacman to get the job. The back-and-forth reflected the president’s on-again, off-again relationship with the SpaceX founder, who has been skeptical of the goal of returning to the Moon.While the Trump administration was open several months ago to revising the Artemis program in favor of Mars, this prospect now seems to be fading.Isaacman has emphasized that returning to the Moon is now the priority.The entrepreneur has flown twice with SpaceX, and in 2024 became the first private astronaut to perform a spacewalk.

New White House plaques echo Trump’s scathing attacks on Biden, Obama

US President Donald Trump, who has made no mystery of his enmity for his Democratic predecessors, recently took things a step further with unorthodox White House plaques repeating his long-standing grievances against the former leaders.The 79-year-old Republican had previously caused a stir by installing a gallery of former presidents’ portraits outside the Oval Office, but replacing Joe Biden’s photograph with an autopen.The substitution is a reference to Trump’s claim that Biden, who left office in January aged 82, was so senile that he did not know what was being signed in his name.On Wednesday, journalists allowed access to the famed West Colonnade noted that new plaques had been installed under the presidents’ photos.The descriptions for Biden and former president Barack Obama were strikingly negative.The inscription below Obama, the first Black president in US history, calls him “one of the most divisive political figures in American history.”It also includes his middle name, Hussein, as Trump often does when referring to his Democratic predecessor, after having stoked conspiracy theories about the 44th president’s birthplace.Biden is described as “by far, the worst President in American history.”The plaque also repeats Trump’s false claim that the 2020 election was stolen from him.As for the current officeholder, his bio is expectedly glowing.It states that he ended eight conflicts in eight months, a figure viewed as inaccurate, and that he attracted an unverifiable sum of trillions of dollars in investment to the United States.The new plaques are the latest White House alteration since Trump’s return in January.The billionaire real estate developer has torn down the entire East Wing to make way for an extravagant ballroom, added copious amounts of gold to the Oval Office and other rooms, and hung portraits of himself — contrary to the custom of the president’s image only being displayed after leaving office.

La grippe grimpe, la poussée de fièvre guette les hôpitaux pendant les congés de Noël

L’épidémie de grippe, en pleine ascension dans l’Hexagone, pourrait avoir un “fort impact” sur les hôpitaux pendant les fêtes, selon des projections inédites de l’Institut Pasteur et de Santé publique France, qui ont développé un nouvel outil pour éclairer la politique sanitaire.À quelques jours des vacances scolaires de Noël, “la carte de France hexagonale est complètement rouge” pour la grippe: l’ensemble des régions, Corse comprise, est en épidémie, a observé le Dr Bruno Coignard, directeur de la direction des maladies infectieuses à SpF, lors d’une conférence de presse.Consultations en médecine de ville, passages aux urgences, tests positifs: les différents indicateurs sanitaires liés à la grippe continuent à augmenter.Si l’épidémie hivernale, portée jusqu’ici principalement par des virus de type A (H1N1 et H3N2), a démarré un peu précocement, la dynamique est jusqu’ici similaire à celle des saisons précédentes, 2023-2024 et 2022-2023, a noté le Dr Coignard.En France, la saison 2024/2025 a été particulièrement sévère: plus de 17.000 décès, contre 9.000 à 10.000 en moyenne habituellement, 30.000 hospitalisations et une centaine de “plans blancs”, dispositif permettant de déprogrammer des opérations ou de rappeler des personnels en congés.Les plus de 65 ans, les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées ou avec des maladies chroniques restent les plus à risque de forme grave. L’ex-Premier ministre François Bayrou, 74 ans, a ainsi été hospitalisé ces derniers jours pour “une grippe très sévère”.Outre-Manche, le Royaume-Uni fait face à une “vague sans précédent de super grippe”, selon le service de santé public britannique.Nouveauté cette année dans l’Hexagone: un outil de modélisation, développé par l’Institut Pasteur et Santé publique France et réactualisé chaque semaine, pour aider les autorités sanitaires et les soignants à anticiper la trajectoire de l’épidémie.Cette combinaison de modèles fournit des scénarios sur la dynamique de circulation de la grippe, au niveau national et régional, à l’horizon de quatre semaines, mais aussi sur la période probable de survenue du pic de l’épidémie.La première version “anticipe une croissance des passages aux urgences pour syndrome grippal” à l’approche de Noël, avant une décroissance au tournant de l’année, notamment sous l’effet -décalé- d’une baisse de transmission liée à la fermeture des écoles pendant les vacances, ont résumé les deux institutions.- “Nouvel outil” -“La performance du modèle peut être variable”, a noté lors d’une conférence de presse Juliette Paireau, qui travaille sur la modélisation mathématique des maladies infectieuses à l’Institut Pasteur et à SpF: “pour des saisons qui ressemblent au passé, le modèle est le plus performant; pour des saisons très différentes, le modèle aura plus de difficultés à anticiper la dynamique”.Et ce modèle ne tient pas compte, pour l’instant, des taux de vaccination chez les personnes à risque de formes graves, ni du degré d’efficacité du vaccin de la saison -variable selon les souches virales dominantes-, ni des sous-types de virus circulant le plus.”C’est un nouvel outil” et “ça fait partie de nos pistes d’amélioration”, a précisé Simon Cauchemez, responsable de l’unité de modélisation à l’Institut Pasteur.Vu les prévisions et “malgré le degré d’incertitude élevé inhérent à la modélisation de l’activité grippale”, les deux institutions ont déjà prévenu d'”un fort impact à anticiper à l’hôpital durant la période des congés de fin d’année”.Le pic de l’épidémie grippale est, à ce stade, attendu plutôt dans la semaine de Noël, avec “15% de chance qu’il ait lieu en semaine 51, 70% en semaine 52 et 12% en semaine 1”, celle du 31 décembre, à cheval entre la fin 2025 et le début 2026.Mais “une grande incertitude” persiste sur son “ampleur”, a précisé Juliette Paireau.À ce stade, on ne peut pas exclure une reprise de l’épidémie après les vacances de Noël, comme dans la saison 2023-2024, ou plus tard comme en 2022-2023.À l’approche des fêtes, propices à des rassemblements, il encore temps de se faire vacciner et les gestes barrières (masques, etc.) restent recommandés, martèlent les autorités, comme la ministre de la Santé Stéphanie Rist mercredi soir sur BFMTV.

Grippe: “fort impact” anticipé sur les hôpitaux pendant les vacances de Noël, selon des projections inédites

L’épidémie de grippe dans l’Hexagone devrait augmenter le recours aux soins pendant les vacances de Noël avec “un fort impact” potentiel à l’hôpital, et son pic intervenir au tournant de l’année, selon des projections inédites publiées mercredi par Pasteur et Santé publique France.Dans une métropole où toutes les régions sont en épidémie, les différents indicateurs liés à la grippe ont continué à augmenter, pour toutes les classes d’âge, du 8 au 14 décembre, la 50e semaine de l’année, d’après le bilan hebdomadaire de l’agence de santé publique diffusé le même jour.Pour la première fois, Pasteur et Santé publique France communiquent des prévisions sur la dynamique de l’épidémie de grippe en France hexagonale, au niveau national et régional, à l’horizon de quatre semaines, et sur la période probable de survenue du pic.Objectif: fournir un outil d’anticipation de la trajectoire de l’épidémie pour aider les autorités sanitaires et les professionnels de santé.La première version de cette modélisation “anticipe une croissance des passages aux urgences pour syndrome grippal dans les deux prochaines semaines, suivie d’une décroissance” les deux premières semaines de 2026, notamment sous l’effet, décalé, d’une baisse de transmission liée à la fermeture des écoles pendant les vacances, ont résumé les deux institutions.”La performance du modèle peut être variable”, a noté lors d’une conférence de presse Juliette Paireau, qui travaille sur la modélisation mathématique des maladies infectieuses à Pasteur et à SpF: “pour des saisons qui ressemblent au passé, le modèle est le plus performant ; pour des saisons très différentes, le modèle aura plus de difficultés à anticiper la dynamique”.Le pic de l’épidémie grippale est, à ce stade, attendu plutôt dans la semaine de Noël, avec “15% de chance que le pic ait lieu en semaine 51, 70% en semaine 52 et 12% en semaine 1”.Mais “une grande incertitude” persiste “sur l’ampleur du pic”, a précisé Juliette Paireau.Vu les prévisions et “malgré le degré d’incertitude élevé inhérent à la modélisation de l’activité grippale, il est probable que le recours aux soins pour grippe s’accentue de façon importante au cours des deux prochaines semaines dans l’ensemble des régions hexagonales, avec un fort impact à anticiper à l’hôpital durant la période des congés de fin d’année”, ont prévenu Pasteur et SpF.Et, à ce stade, on ne peut pas exclure une reprise de l’épidémie après les vacances de Noël, comme observé l’année dernière, ou plus tard dans la saison comme en 2022-2023, selon les deux institutions.

Melania Trump steps into spotlight in Amazon film trailer

US First Lady Melania Trump made a rare foray onto center stage Wednesday with the first trailer for her Amazon documentary — fixing the camera with an unflinching gaze and summing up her husband’s comeback in four words: “Here we go again.”The teaser for “Melania” — out January 30 — follows the famously private Slovenian-American former model as she walks into the US Capitol for President Donald Trump’s second swearing-in.Reports put Amazon’s licensing deal for the film at around $40 million. The Wall Street Journal reported that Melania, who served as executive producer, will receive 70 percent of that sum — a figure that has raised eyebrows among her critics.Amazon MGM promises “unprecedented access” in the documentary which chronicles the 20 days leading up to Inauguration Day in January, from transition planning to closed-door meetings and off-stage moments. The brisk trailer oscillates between choreographed grandeur and scenes that feel intentionally awkward.The first lady glides through the White House and the couple’s Florida estate in sharply tailored looks — sunglasses, stilettos, a strapless inaugural ball gown — while stepping in to fine-tune her husband’s rhetoric as he rehearses a speech.”Peacemaker and unifier,” she interjects as Trump practices a line about his proudest legacy being that of a “peacemaker.”One exchange has already sparked intrigue for what it suggests about the couple’s dynamic.In a gilded high‑rise office, Melania calls to applaud her husband for the speech — “Hi Mr. President. Congratulations,” she says — and, when he asks, “Did you watch it?” replies: “I did not… I will see it on the news.”Elsewhere, the footage flashes through a January photo shoot in the White House, travel shots, and more intimate moments — including placing a white flower at a graveside.Amazon says the film offers a rare glimpse “inside Melania Trump’s world” as the first lady reenters public life, with “exclusive footage” of critical meetings and private conversations.The documentary will debut in theaters worldwide on January 30, followed by a three-part companion series and a streaming run on Prime Video.”Melania” is directed by Brett Ratner. It is his first major project since multiple women accused him of sexual misconduct in 2017, allegations he denies.

Mercosur: Paris et Rome contrarient les plans de l’UE, ultimatum de Lula

L’Italie a rejoint la France mercredi pour réclamer un report de l’accord commercial entre l’Union européenne et le Mercosur, ce qui risque d’empêcher Ursula von der Leyen de parapher ce traité en fin de semaine, au grand dam du Brésil.Une signature dans les prochains jours est “prématurée”, a lâché Giorgia Meloni à la veille d’un sommet européen à Bruxelles.La cheffe du gouvernement italien veut d’abord des garanties “suffisantes” pour le secteur agricole, et se dit “convaincue qu’au début de l’année prochaine, toutes ces conditions seront réunies”.Cette sortie est une douche froide pour la Commission européenne. Bruxelles n’a cessé de marteler ces derniers jours qu’une signature était indispensable avant la fin de l’année, pour la “crédibilité” de l’Union européenne et afin de ne pas contrarier les partenaires latino-américains.Prudent, l’exécutif européen fait mine d’y croire encore. “Les chefs d’Etat et de gouvernement vont en discuter au sommet européen” ce jeudi, a dit à l’AFP Olof Gill, porte-parole de la Commission.Au Brésil, le président Lula, qui avait appelé à la responsabilité Emmanuel Macron et Georgia Meloni, a posé une forme d’ultimatum.”Si on ne le fait pas maintenant, le Brésil ne signera plus l’accord tant que je serai président”, a-t-il menacé. “Si jamais ils disent non, nous serons désormais fermes avec eux, parce que nous avons cédé sur tout ce qu’il était possible de céder diplomatiquement”.- “Billet remboursable” -La prise de position de Rome sur ce dossier est potentiellement décisive. Avec la France, la Pologne et la Hongrie, l’Italie est en capacité de former une minorité de blocage au sein des Vingt-Sept, ce qui empêcherait un examen de l’accord durant la semaine.”Ca risque d’être très chaud”, convient un diplomate européen anonymement, alors que l’Allemagne comme l’Espagne insistent pour approuver ce traité de libre-échange le plus vite possible.Le chancelier allemand, Friedrich Merz, a promis d’exercer une pression “intensive” sur ses partenaires européens mercredi soir et jeudi matin, en appelant à ne pas “chipoter” avec les grands traités commerciaux.Emmanuel Macron a prévenu que “la France s’opposerait de manière très ferme” à un éventuel “passage en force” de l’Union européenne, a rapporté la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon. Paris ne considère pas encore comme “acquis” le report de la signature du traité, mais les déclarations de Giorgia Meloni sont la “preuve” que “la France n’est pas seule”, a-t-elle ajouté.La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, espérait parapher ce traité lors du sommet du Mercosur samedi dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu. Mais elle a besoin au préalable de l’aval d’une majorité qualifiée d’Etats membres à Bruxelles. “J’espère qu’elle a un billet (d’avion) remboursable”, glisse une source diplomatique européenne.- Manifestation à Bruxelles -Cet accord commercial avec l’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay permettrait à l’UE d’exporter davantage de véhicules, de machines, de vins et de spiritueux, tout en facilitant l’entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel ou soja sud-américains, ce qui inquiète les filières concernées.Les agriculteurs européens ne décolèrent pas et annoncent une dizaine de milliers de manifestants jeudi à Bruxelles contre ce traité. Pour rassurer la profession, l’UE a ajouté des mesures de sauvegarde: un suivi des produits agricoles sensibles et une promesse d’intervention en cas de déstabilisation du marché.Un compromis a été trouvé mercredi soir sur ce volet entre des eurodéputés et des représentants des États membres: les garanties pour les agriculteurs y sont supérieures à ce qu’avaient voté les Vingt-Sept en novembre, mais en deçà de la position adoptée par le Parlement européen mardi.Elles ne devraient toutefois pas suffire à la France. Le bras de fer avec Bruxelles s’inscrit dans un contexte de vaste mobilisation agricole dans l’Hexagone contre la gestion par les autorités de l’épidémie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC).Et au sein de l’Union européenne, une série d’États redoutent que Paris ne se contente pas d’un report du Mercosur mais essaye de faire échouer le traité, malgré plus de 25 ans de négociations.Allemands, Espagnols et Scandinaves comptent quant à eux sur cet accord pour relancer une économie européenne à la peine face à la concurrence chinoise et aux taxes douanières des États-Unis.

Oscars to stream exclusively on YouTube from 2029

The Oscars will be shown only on YouTube from 2029, the Academy said Wednesday, in a radical gambit for a movie industry that remains wary of streaming platforms even as viewing habits shift online.The new five-year deal means Hollywood’s most prestigious awards ceremony will be viewable exclusively online for the first time, ending a decades-long relationship with US broadcaster ABC.The decision will allow the Academy Awards to reach “the largest worldwide audience possible — which will be beneficial for our Academy members and the film community,” said Academy of Motion Picture Arts and Sciences CEO Bill Kramer and President Lynette Howell Taylor in a statement.The annual Oscars, which celebrate the year’s top achievements in film and draw the world’s biggest A-list stars, are regularly watched by around 20 million Americans, and millions more globally.ABC’s latest contract to broadcast the show had been due to end in 2028, with the 100th Academy Awards. The Disney-owned channel will continue to air the Oscars up until then.But the new deal with Google-owned YouTube represents a bold new direction for the show at a time when audiences increasingly watch all types of content online.Streamers owned by Silicon Valley firms have lured top talent away from traditional Hollywood studios with massive contracts — despite filmmakers’ concerns that they rarely show movies on the big screen in theaters for extended runs.Streamers have also gradually gained wider acceptance at the Academy Awards, where Apple won best picture for “CODA” in 2022.The SAG Awards, another important Hollywood awards gala which recently rebranded as The Actors Awards, have already moved to Netflix.YouTube accounts for the biggest share of television viewing time in the United States of any streaming platform, dwarfing even Netflix.”This collaboration will leverage YouTube’s vast reach and infuse the Oscars and other Academy programming with innovative opportunities for engagement while honoring our legacy,” said the Academy statement.Financial terms of the new Oscars deal were not disclosed.Industry website Deadline said “the amount that YouTube was willing to pay didn’t make sense for Disney,” citing anonymous insiders.- ‘Proud home’ -An ABC Entertainment spokesperson told AFP: “ABC has been the proud home to The Oscars for more than half a century.”We look forward to the next three telecasts, including the show’s centennial celebration in 2028, and wish the Academy of Motion Picture Arts and Sciences continued success.”Like Hollywood more broadly, the Oscars have endured a challenging time in recent years, as younger generations’ viewing habits shift.During the Covid-19 pandemic, Oscars ratings sank as low as 10.4 million.The most recent Oscars were viewed by 19.69 million people — the highest in five years — as the ceremony was shown live simultaneously on Disney’s streamer Hulu along with ABC.But the Hulu stream suffered technical glitches that left some viewers unable to see the final prizes.The Academy Awards telecast regularly topped 40 million just over a decade ago.