Asian markets track Wall St record after Fed cut

Asian equities rose Friday as investors tracked a record day on Wall Street in the wake of the Federal Reserve’s latest interest rate cut.The gains came despite renewed concerns about tech valuations after disappointing earnings from sector giants Oracle and Broadcom.Markets ended a mixed week on a strong note, with eyes now on the release of delayed US jobs data next week, which could provide an insight into the central bank’s plans for next year.Figures released Thursday showed initial jobless claims rose more than expected in the week ended December 6, marking their biggest increase for five and a half years and reinforcing the view of a softening labour market.Traders welcomed Fed boss Jerome Powell’s post-meeting comments Wednesday — which were seen as less hawkish than feared — but the policy board’s statement suggested it could hold off a fourth straight cut in January.And analysts said the fact that three decision-makers unusually dissented complicated the policy outlook.Still, investors in New York continued to look at the positives, pencilling in more cuts next year and pushing the S&P 500 and Dow to fresh records.Asia followed suit, with Tokyo, Hong Kong, Sydney, Singapore and Seoul up more than one percent, while Shanghai, Wellington, Taipei, Mumbai and Manila also rose.London edged up at the open even as data showed the UK economy unexpectedly shrunk in October. Paris and Frankfurt also rose.Jakarta slipped, while Bangkok was barely moved as investors brushed off news that Thailand’s prime minister had dissolved parliament, paving the way for general elections early next year.”So, (the Fed being) not as hawkish as it could have been and despite only one cut next year pencilled in, a new Fed chair and cooling jobs market means markets think there is more to come,” said Neil Wilson at Saxo Markets. The gains came despite worries about an AI-led tech rally that has seen many firms chalk up eye-watering gains, with chip giant Nvidia becoming the first to break a $5 trillion valuation in October.With warnings that the hundreds of billions of dollars pumped into AI may have been overdone — and investors might have to wait some time before seeing any returns — analysts say valuations could be overstretched and a bubble forming.Those worries were compounded Thursday as earnings from chip titan Broadcom failed to meet investors’ lofty expectations and its outlook for AI sales disappointed. Its shares fell more than four percent in after-hours trade.The news came a day after software firm Oracle reported quarterly revenue had fallen short of forecasts and revealed a surge in spending on data centers to boost AI capacity.Shares in Oracle ended down 10.8 percent in New York.In corporate news, tech investment giant SoftBank jumped 3.9 percent as Bloomberg reported that the firm is looking a more acquisitions including data centre operator Switch as it looks to build its influence in the AI sector.- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 1.4 percent at 50,836.55 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.8 percent at 25,976.79 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,889.35 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,726.26Dollar/yen: UP at 155.69 yen from 155.58 yen on ThursdayEuro/dollar: DOWN at $1.1737 from $1.1741Pound/dollar: DOWN at $1.3383 from $1.3394Euro/pound: UP at 87.70 pence from 87.65 penceWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $57.95 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.5 percent at $61.61 per barrelNew York – Dow: UP 1.3 percent at 48,704.01 (close)

Brandt: le gouvernement “ne laisse pas tomber” et veut “un nouveau projet”

Le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin, affirme vendredi qu’il “ne laisse pas tomber” Brandt et estime qu’il est possible “d’imaginer un nouveau projet”, au lendemain d’une décision de justice ordonnant la liquidation judiciaire du groupe d’électroménager.”Je ne laisse pas tomber le sujet Brandt”, a déclaré le ministre, soulignant qu'”il y a un site industriel qui est présent, il y a des savoirs-faire qui sont présents et donc la capacité d’imaginer un nouveau projet industriel sur ce site”, vendredi sur TF1.Le tribunal des activités économiques de Nanterre a prononcé jeudi la liquidation judiciaire du groupe centenaire d’électroménager Brandt, qui employait quelque 700 personnes, notamment près d’Orléans, où se trouve le principal site industriel du groupe, avec 350 salariés.La justice a ainsi rejeté un projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, qui devait permettre de sauver au moins 370 emplois.”D’ici la fin de l’année, on va se revoir avec les acteurs locaux pour essayer de rebâtir un projet. Un autre projet peut-être, un projet sérieux, tout aussi sérieux que celui-ci, avec plus d’investisseurs privés sans doute aussi”, a ajouté M. Martin. Il n’a cependant pas écarté, dans un premier temps, l’échéance du plan social: “on accompagnera les salariés pour faire en sorte que ce plan social soit bien construit”, a-t-il assuré, ajoutant compter sur les entreprises “dynamiques” du bassin d’emploi d’Orléans, pour permettre à des salariés de Brandt de retrouver un emploi.  A l’annonce de la décision du tribunal, jeudi, le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, et Sébastien Martin, ont rappelé que l’Etat et les collectivités avaient mobilisé une vingtaine de millions d’euros, et déploré que “les autres acteurs indispensables” n’aient “pas souhaité se positionner pour sauver Brandt”, désignant, sans les nommer, les banques.”Il y a eu peu de partenaires bancaires, c’est vrai”, a déclaré vendredi Sébastien Martin, qui aurait souhaité que, “face à l’urgence de la situation, on se dise que les procédures habituelles, on pouvait faire un peu mieux, un peu plus vite”.”Je suis prudent, mais il reste encore une possibilité après la liquidation judiciaire”, a renchéri Serge Papin, ministre des Petites et Moyennes entreprises, du Commerce, de l’Artisanat, du Tourisme et du Pouvoir d’achat, dans le même temps vendredi, sur Europe 1. “Les banques qui font défaut actuellement, (…) en voyant le sérieux et la robustesse d’un projet alternatif pourraient peut-être s’engager”, a-t-il ajouté. 

Brandt: le gouvernement “ne laisse pas tomber” et veut “un nouveau projet”

Le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin, affirme vendredi qu’il “ne laisse pas tomber” Brandt et estime qu’il est possible “d’imaginer un nouveau projet”, au lendemain d’une décision de justice ordonnant la liquidation judiciaire du groupe d’électroménager.”Je ne laisse pas tomber le sujet Brandt”, a déclaré le ministre, soulignant qu'”il y a un site industriel qui est présent, il y a des savoirs-faire qui sont présents et donc la capacité d’imaginer un nouveau projet industriel sur ce site”, vendredi sur TF1.Le tribunal des activités économiques de Nanterre a prononcé jeudi la liquidation judiciaire du groupe centenaire d’électroménager Brandt, qui employait quelque 700 personnes, notamment près d’Orléans, où se trouve le principal site industriel du groupe, avec 350 salariés.La justice a ainsi rejeté un projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, qui devait permettre de sauver au moins 370 emplois.”D’ici la fin de l’année, on va se revoir avec les acteurs locaux pour essayer de rebâtir un projet. Un autre projet peut-être, un projet sérieux, tout aussi sérieux que celui-ci, avec plus d’investisseurs privés sans doute aussi”, a ajouté M. Martin. Il n’a cependant pas écarté, dans un premier temps, l’échéance du plan social: “on accompagnera les salariés pour faire en sorte que ce plan social soit bien construit”, a-t-il assuré, ajoutant compter sur les entreprises “dynamiques” du bassin d’emploi d’Orléans, pour permettre à des salariés de Brandt de retrouver un emploi.  A l’annonce de la décision du tribunal, jeudi, le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, et Sébastien Martin, ont rappelé que l’Etat et les collectivités avaient mobilisé une vingtaine de millions d’euros, et déploré que “les autres acteurs indispensables” n’aient “pas souhaité se positionner pour sauver Brandt”, désignant, sans les nommer, les banques.”Il y a eu peu de partenaires bancaires, c’est vrai”, a déclaré vendredi Sébastien Martin, qui aurait souhaité que, “face à l’urgence de la situation, on se dise que les procédures habituelles, on pouvait faire un peu mieux, un peu plus vite”.”Je suis prudent, mais il reste encore une possibilité après la liquidation judiciaire”, a renchéri Serge Papin, ministre des Petites et Moyennes entreprises, du Commerce, de l’Artisanat, du Tourisme et du Pouvoir d’achat, dans le même temps vendredi, sur Europe 1. “Les banques qui font défaut actuellement, (…) en voyant le sérieux et la robustesse d’un projet alternatif pourraient peut-être s’engager”, a-t-il ajouté. 

Congo refugees recount death and chaos as war reignitesFri, 12 Dec 2025 08:09:21 GMT

Congolese refugees described neighbours being massacred and losing children in the chaos as they fled into Rwanda to escape a surge in fighting despite a peace deal brokered by US President Donald Trump.”I have 10 kids, but I’m here with only three. I don’t know what happened to the other seven, or their father,” Akilimali …

Congo refugees recount death and chaos as war reignitesFri, 12 Dec 2025 08:09:21 GMT Read More »

Trump ‘pardons’ jailed US election denier

US President Donald Trump said Thursday he would “pardon” a Colorado official jailed on charges linked to efforts to overturn the 2020 presidential election. Tina Peters, a former official in Colorado’s Mesa County, was sentenced in October 2024 for allowing an unauthorized Trump supporter to access confidential voting information several months after the 2020 election won by Democrat Joe Biden. The man was seeking to prove election fraud as part of a conspiracy theory touted by Trump that the vote was rigged. “Democrats have been relentless in their targeting of TINA PETERS, a Patriot who simply wanted to make sure that our Elections were Fair and Honest,” Trump said in a post on social media Thursday. “I am granting Tina a full Pardon for her attempts to expose Voter Fraud in the Rigged 2020 Presidential Election!” Peters is jailed under state charges, making her ineligible for a presidential pardon. She was sentenced to nine years in prison. Democratic Colorado Governor Jared Polis criticized the move saying Peters “was convicted by a jury of her peers, prosecuted by a Republican District Attorney, and found guilty of violating Colorado state laws, including criminal impersonation.” “No President has jurisdiction over state law nor the power to pardon a person for state convictions,” Polis said in a social media post Thursday. “This is a matter for the courts to decide, and we will abide by court orders.” Shortly after his inauguration in January, Trump offered pardons to everybody convicted in the Capitol riot of January 6, 2021.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

A Rio de Janeiro, des palmiers fleurissent pour la première fois avant de mourir

Un spectacle botanique hors du commun captive les habitants de Rio de Janeiro : plusieurs palmiers talipot, plantés il y a plus de six décennies, fleurissent pour la première et dernière fois de leur vie.Ces arbres, âgés d’environ 65 ans et qui poussent dans l’immense parc de l’Aterro do Flamengo et au Jardin botanique, ont été introduits dans les années 1960 par l’architecte paysagiste Roberto Burle Marx.Le palmier talipot (Corypha umbraculifera), originaire du sud de l’Inde et du Sri Lanka, est l’une des plus grandes espèces de palmiers au monde, dont les spécimens les plus hauts dépassent 30 mètres.Sa caractéristique la plus emblématique est qu’il ne fleurit qu’une seule fois au cours de sa vie, entre 40 et 70 ans.”Le palmier talipot ne fructifie qu’une fois dans sa vie et peut produire jusqu’à 5 millions de fruits”, a expliqué à l’AFP Marcus Nadruz, de l’Institut de recherche du Jardin botanique de Rio de Janeiro.Les grappes de fleurs portées par des tiges ont commencé à se déployer en octobre, formant d’énormes couronnes au sommet des palmiers, grouillant de millions de minuscules fleurs jaunâtres.L’ensemble du processus, de l’ouverture des premières fleurs à la maturation des fruits, prendra environ un an, explique M. Nadruz.Et une fois les fruits tombés, les palmiers entreront dans un processus irréversible de mort.”Je suis née en 1961, donc il a mon âge et il est dans la fleur de l’âge”, s’enthousiasme Deborah Faride, qui vit à São Paulo et a fait le voyage spécialement pour assister au phénomène.Le Jardin botanique prévoit de collecter les graines pour cultiver de nouveaux plants afin de remplacer ces sujets plus âgés et les distribuera également pour des projets d’aménagement paysager dans les espaces publics.

Dermatose: les gendarmes contrôlent la ferme d’Ariège, abattage du troupeau à venir

Après deux jours de mobilisation d’agriculteurs contre la stratégie d’abattage du gouvernement, des gendarmes sont stationnés vendredi autour d’une ferme d’Ariège, où doit être abattu un troupeau de vaches en raison d’un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC), a constaté l’AFP.Faisant usage de gaz lacrymogène, les gendarmes mobiles ont pris le contrôle de cette exploitation, située dans le village des Bordes-sur-Arize, jeudi en fin de soirée. Plusieurs centaines d’agriculteurs y étaient rassemblés depuis mercredi matin pour s’opposer à l’euthanasie des 207 bovins et bloquer l’accès aux services vétérinaires.Vendredi matin, il n’y avait plus qu’une dizaine de manifestants mais plus de tracteurs à proximité de la ferme, dont l’accès est toujours bloqué par plusieurs véhicules de la gendarmerie mobile.L’abattage des bovins devrait avoir lieu vendredi, l’accès aux services vétérinaire étant désormais possible. A 7h30, certaines des vaches de l’exploitation étaient toujours en vie, a observé un journaliste de l’AFP.Le préfet de l’Ariège a assuré jeudi que les deux frères propriétaires du troupeau lui avaient donné leur accord pour l’abattage, conformément au protocole sanitaire de lutte contre la DNC.Cette affirmation a été démentie par Pierre-Guillaume Mercadal, dirigeant de la CR du Tarn-et-Garonne, venu sur place. “Ils sont deux frères, un a cédé, l’autre non. Ils sont en train de déchirer cette famille, en plus de l’accabler du deuil de leurs vaches”, a-t-il répondu au préfet.L’abattage, seule méthode efficace pour éviter que “la maladie se diffuse dans l’ensemble du cheptel français”, se fera “dès que possible” puis une campagne de vaccination sera lancée dans le département, a annoncé jeudi le représentant de l’État.Les syndicats agricoles locaux et la chambre d’agriculture ont proposé en vain un protocole expérimental au ministère de l’Agriculture, demandant notamment que seules les vaches contaminées soient abattues et qu’une campagne de vaccination massive soit lancée.