Un déjà-vu angoissant pour les déplacés du conflit Thaïlande-Cambodge

Les dizaines de milliers de personnes à nouveau contraintes de fuir les combats à la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge, comme il y a cinq mois, n’aspirent qu’à une chose: “retrouver une vie normale”.Les courbes asphaltées du circuit international de Buriram, dans l’est de la Thaïlande, accueilleront d’ici moins de trois mois la …

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Accusé vraisemblablement à tort de l’enlèvement d’espions français, le retour triomphal d’un Somalien expulsé des Etats-Unis

Le 24 octobre, la Maison-Blanche prend à partie le Somalien Mahad Maxamud, “une ordure de criminel illégal” qui aurait selon elle participé à l’enlèvement de deux espions français à Mogadiscio. Des accusations très vraisemblablement fausses, pour un homme finalement expulsé, et accueilli en héros en Somalie.Le post sur X, accompagné d’une photo d’un individu portant …

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Feu vert de Trump à l’exportation de puces Nvidia vers la Chine

Donald Trump a annoncé lundi avoir autorisé, sous conditions, l’exportation par Nvidia de certaines de ses puces vers la Chine, après s’être entretenu avec le président chinois Xi Jinping, qui a également donné son feu vert, selon le chef de l’Etat américain.Ce dernier a indiqué, sur son réseau Truth Social, que Nvidia reverserait à l’Etat …

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Google visé par une enquête de Bruxelles sur l’utilisation de données pour l’IA

L’Union européenne a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur l’utilisation par Google de contenus en ligne pour ses services d’intelligence artificielle (IA), afin de vérifier si le groupe ne commet pas d’infractions aux règles de la concurrence.Cette enquête s’appuie sur une plainte qui “risque d’étouffer l’innovation dans un marché plus concurrentiel que jamais”, a …

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Stock markets downbeat on eve of Fed rate call

European and Asian stock markets were largely downbeat Tuesday on uncertainty over the US Federal Reserve’s plans for interest rates next year.With traders fully confident of a US rate reduction Wednesday, observers said they would be keeping a close eye on the central bank’s so-called “dot plot” of projections for monetary policy into 2026.They will pore over its post-meeting statement and Fed boss Jerome Powell’s news conference, looking for clues about the debate taking place among decision-makers.Wall Street closed lower Monday, while the dollar traded mixed Tuesday.”We expect solid growth, above-target inflation, and a slowing labour market to increase internal divisions at the (Fed policy board) and make 2026 a particularly challenging year for policymakers,” noted Xiao Cui, senior US economist at Pictet Wealth Management.”Downside risks to the labour market should lead the Committee to cut once more in December, before shifting to a quarterly pace of cuts in March and June.”She pointed also to “risks that Fed cuts are delayed into the second half of 2026”.Bets on a third successive cut — and more in 2026 — had surged on data pointing to a weakening jobs market, which has offset concerns about stubbornly high inflation.That optimism was boosted last month by reports that President Donald Trump’s top economic aide Kevin Hassett — a proponent of more cuts — was the frontrunner to take the Fed’s helm when Powell’s term ends.However, the excitement has calmed in recent days following slightly higher-than-expected US inflation.Bloomberg reported that markets are pricing two more rate reductions next year, down from the three expected last week.On the corporate front Tuesday, chipmakers traded mixed after Trump said he had reached an agreement with Chinese counterpart Xi Jinping to allow Nvidia to export advanced artificial intelligence chips to China.The announcement marks a significant shift in US export policy for advanced AI chips, which Trump’s predecessor Joe Biden had heavily restricted over national security concerns.Biden’s administration required chip companies to create modified, less powerful versions specifically for the Chinese market.Investors kept a close watch also over the bidding war for Warner Bros. Discovery after Paramount on Monday launched an all-cash tender offer for the Hollywood giant, in a challenge to Netflix’s offer.Paramount’s bid of $108.4 billion trumps Netflix’s offer of nearly $83 billion which targets, however, a smaller part of the company.Ahead of Wall Street reopening, Google meanwhile hit out at a European Union antitrust probe launched Tuesday into the tech giant’s use of online content to train and provide AI services. The aviation sector was in focus after a trade association for airlines said carriers expect to transport a record 5.2 billion passengers in 2026 despite global headwinds affecting the sector.Carriers are also now expecting higher profits than previously forecast for 2025, and predict earnings to come in at a comparable level next year, the International Air Transport Association (IATA) added.- Key figures at around 1045 GMT -London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,657.41 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.3 percent at 8,083.12Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 24,148.76Tokyo – Nikkei 225: UP 0.1 percent at 50,655.10 (close) Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.3 percent at 25,434.23 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.4 percent at 3,909.52 (close)New York – Dow: DOWN 0.5 percent at 47,739.32 (close)Euro/dollar: UP at $1.1642 from $1.1640 on MondayPound/dollar: UP at $1.3332 from $1.3328 Dollar/yen: UP at 156.09 yen from 155.86 yenEuro/pound: UP at 87.35 pence from 87.34 penceBrent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $62.68 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.3 percent at $59.05 per barrelburs-bcp/jh

Real Madrid: Mbappé absent de l’entraînement à la veille du choc contre City

L’attaquant français du Real Madrid Kylian Mbappé, qui s’est cassé un doigt pendant le match de Liga face au Celta Vigo dimanche (défaite 2-0), ne s’est pas entraîné mardi à la veille du choc face à Manchester City en Ligue des champions.Gêné par une fracture de l’annulaire de la main gauche survenue ce week-end, le buteur madrilène n’a pas pris part à l’entraînement collectif ouvert aux médias mardi, tout comme son coéquipier avec l’équipe de France Eduardo Camavinga.Interrogé par l’AFP, le club espagnol a confirmé que l’absence de Mbappé était due à cette blessure au doigt, mais qu’il avait également terminé la rencontre perdue contre le Celta Vigo avec des douleurs, sans en préciser la nature.Selon la presse espagnole, le capitaine des Bleus souffrirait d’une gêne musculaire et est donc incertain pour le choc face à Manchester City.Son forfait mercredi compliquerait grandement la mission de l’entraîneur merengue Xabi Alonso, qui doit absolument gagner pour conserver son poste.Kylian Mbappé, auteur d’un début de saison exceptionnel au niveau statistique avec 25 buts en 21 rencontres toutes compétitions confondues, porte le Real à bout de bras depuis l’arrivée du technicien basque cet été.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Environnement: les pays incapables de s’entendre sur un rapport de l’ONU

Les gouvernements du monde, appelés à s’entendre sur les questions environnementales, mais très divisés sur l’avenir des énergies fossiles, se sont montrés incapables de se mettre d’accord sur un texte de l’ONU.Le 7e rapport de l’ONU sur l’avenir de l’environnement, publié mardi, se veut une mise à jour scientifique des enjeux environnementaux dans le monde. La dernière édition de ce tour d’horizon publié par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) datait de 2019.Le “résumé pour les décideurs”, condensé politique de plus de 1.000 pages de texte, doit être normalement validé par les gouvernements, qui en négocient chaque ligne avant publication, en même temps que le rapport lui-même.Or, pour la première fois depuis le début des publications en 1997, les pays n’ont pas réussi à se mettre d’accord, selon l’ONU. “C’est regrettable”, a déclaré à l’AFP la directrice exécutive du PNUE, Inger Andersen.”Les États membres n’ont pas réussi à s’accorder sur un résumé du fait de discussions qui sont un peu difficiles”, a déploré une source diplomatique française.”On est sur un rapport qui traite de la triple crise, qui aborde tous les sujets, y compris des sujets qui aujourd’hui sont des sujets sur lesquels certains pays ont des problèmes sémantiques” et “pas seulement sémantiques”, a-t-elle observé.Cette “triple crise” fait référence au changement climatique, à la perte de la biodiversité et aux pollutions.- “Désaccords” -Des représentants des États étaient réunis fin octobre en amont de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement qui s’est ouverte lundi à Nairobi, siège du PNUE, pour approuver le résumé.Mais l’Arabie Saoudite et les États-Unis, deux gros producteurs d’hydrocarbures, se sont opposés aux références à la sortie des énergies fossiles, selon un compte rendu du PNUE. D’autres pays étaient opposés à des passages sur le genre ou les subventions néfastes pour l’environnement.Dans une déclaration conjointe à l’issue des négociations, l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni ont regretté des “tentatives de diversion” de la part de certains pays, sans en nommer aucun en particulier.Les pays avaient des “désaccords significatifs”, a reconnu Mme Andersen. “C’est ce qui fait que les Nations unies sont les Nations unies”, mais “on aimerait certainement espérer que cela ne crée pas un précédent pour d’autres processus”, a-t-elle dit.Ces nouvelles difficultés font suite à l’échec, jusqu’à présent, à parvenir à un traité pour limiter la pollution plastique, ainsi qu’à celui des négociations sur la décarbonation des navires à l’Organisation maritime internationale (OMI), sous la pression des États-Unis.La COP30 s’est pour sa part achevée le 22 novembre par un modeste consensus sur l’action climatique, mais sans la feuille de route de sortie des énergies fossiles espérée par certains pays.Le rapport publié mardi évalue à quelque 8.000 milliards de dollars par an les investissements nécessaires pour atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 et assurer des financements nécessaires pour conserver et restaurer la biodiversité.”Le coût de l’inaction est bien plus élevé”, notent les auteurs, qui chiffrent les bénéfices économiques attendus d’un changement de modèle plus respectueux de l’environnement.Ces bénéfices commenceraient à apparaître en 2050, pour atteindre 20.000 milliards de dollars annuels d’ici à 2070, puis jusqu’à 100.000 milliards annuels ensuite.La clef de ce changement réside dans une “transformation totale de notre système énergétique”, soulignait le coprésident du groupe d’experts auteurs, Robert Watson, lors d’une visioconférence de présentation du rapport.”Nous devons clairement éliminer l’utilisation des combustibles fossiles sur les prochaines décennies”, insistait-il, tout en reconnaissant “qu’en ce moment le multilatéralisme semble en difficulté”.

Environnement: les pays incapables de s’entendre sur un rapport de l’ONU

Les gouvernements du monde, appelés à s’entendre sur les questions environnementales, mais très divisés sur l’avenir des énergies fossiles, se sont montrés incapables de se mettre d’accord sur un texte de l’ONU.Le 7e rapport de l’ONU sur l’avenir de l’environnement, publié mardi, se veut une mise à jour scientifique des enjeux environnementaux dans le monde. La dernière édition de ce tour d’horizon publié par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) datait de 2019.Le “résumé pour les décideurs”, condensé politique de plus de 1.000 pages de texte, doit être normalement validé par les gouvernements, qui en négocient chaque ligne avant publication, en même temps que le rapport lui-même.Or, pour la première fois depuis le début des publications en 1997, les pays n’ont pas réussi à se mettre d’accord, selon l’ONU. “C’est regrettable”, a déclaré à l’AFP la directrice exécutive du PNUE, Inger Andersen.”Les États membres n’ont pas réussi à s’accorder sur un résumé du fait de discussions qui sont un peu difficiles”, a déploré une source diplomatique française.”On est sur un rapport qui traite de la triple crise, qui aborde tous les sujets, y compris des sujets qui aujourd’hui sont des sujets sur lesquels certains pays ont des problèmes sémantiques” et “pas seulement sémantiques”, a-t-elle observé.Cette “triple crise” fait référence au changement climatique, à la perte de la biodiversité et aux pollutions.- “Désaccords” -Des représentants des États étaient réunis fin octobre en amont de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement qui s’est ouverte lundi à Nairobi, siège du PNUE, pour approuver le résumé.Mais l’Arabie Saoudite et les États-Unis, deux gros producteurs d’hydrocarbures, se sont opposés aux références à la sortie des énergies fossiles, selon un compte rendu du PNUE. D’autres pays étaient opposés à des passages sur le genre ou les subventions néfastes pour l’environnement.Dans une déclaration conjointe à l’issue des négociations, l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni ont regretté des “tentatives de diversion” de la part de certains pays, sans en nommer aucun en particulier.Les pays avaient des “désaccords significatifs”, a reconnu Mme Andersen. “C’est ce qui fait que les Nations unies sont les Nations unies”, mais “on aimerait certainement espérer que cela ne crée pas un précédent pour d’autres processus”, a-t-elle dit.Ces nouvelles difficultés font suite à l’échec, jusqu’à présent, à parvenir à un traité pour limiter la pollution plastique, ainsi qu’à celui des négociations sur la décarbonation des navires à l’Organisation maritime internationale (OMI), sous la pression des États-Unis.La COP30 s’est pour sa part achevée le 22 novembre par un modeste consensus sur l’action climatique, mais sans la feuille de route de sortie des énergies fossiles espérée par certains pays.Le rapport publié mardi évalue à quelque 8.000 milliards de dollars par an les investissements nécessaires pour atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 et assurer des financements nécessaires pour conserver et restaurer la biodiversité.”Le coût de l’inaction est bien plus élevé”, notent les auteurs, qui chiffrent les bénéfices économiques attendus d’un changement de modèle plus respectueux de l’environnement.Ces bénéfices commenceraient à apparaître en 2050, pour atteindre 20.000 milliards de dollars annuels d’ici à 2070, puis jusqu’à 100.000 milliards annuels ensuite.La clef de ce changement réside dans une “transformation totale de notre système énergétique”, soulignait le coprésident du groupe d’experts auteurs, Robert Watson, lors d’une visioconférence de présentation du rapport.”Nous devons clairement éliminer l’utilisation des combustibles fossiles sur les prochaines décennies”, insistait-il, tout en reconnaissant “qu’en ce moment le multilatéralisme semble en difficulté”.

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Audience décisive jeudi pour la poursuite du chantier de l’A69

La poursuite du chantier de l’A69, autoroute contestée entre Toulouse et Castres, sera jeudi au cœur d’une audience décisive devant la cour administrative d’appel de Toulouse alors que les travaux doivent prochainement entrer dans leur phase terminale.Mardi matin, le rapporteur public, magistrat dont l’avis est généralement suivi par la justice administrative, a recommandé à la cour administrative d’appel d’annuler la décision du tribunal administratif de Toulouse qui, le 27 février, avait ordonné l’arrêt des travaux à la surprise générale.Le rapporteur s’est prononcé pour le “rejet au fond de la demande qui avait été présentée devant le tribunal administratif de Toulouse”. Examinant un recours des opposants à l’autoroute, le tribunal administratif avait alors stoppé le chantier jugeant que “le projet de liaison autoroutière entre Castres et Toulouse ne répond pas à une raison impérative d’intérêt public majeur”, justifiant des atteintes à l’environnement.Lors de l’audience jeudi, le rapporteur développera ses arguments. La cour administrative d’appel rendra ensuite sa décision début janvier.L’État avait fait appel de la décision du 27 février et s’il n’avait pas pu empêcher un arrêt des travaux pendant près de quatre mois, il avait obtenu en mai de la justice un “sursis à exécution”, en attendant le jugement sur le fond du dossier, permettant la reprise du chantier au cours de l’été.Aujourd’hui, près d’un millier de personnes travaillent sur ce vaste chantier. Sur le terrain, le ballet des tractopelles, niveleuses et autres bulldozers bat son plein: 82% des terrassements et 95% des ouvrages d’art (ponts, viaducs, structures de soutènement, etc.) sont désormais réalisés, affirme le maître d’œuvre Atosca, même si les opposants contestent ces chiffres.Le chantier s’apprête à rentrer dans sa phase ultime, avec la pose, à partir de janvier, des 500.000 tonnes du revêtement que les deux centrales d’enrobé à chaud, installées en novembre, se préparent à produire.- “Continuer sereinement” -Les opposants à ce projet devenu emblématique des luttes écologiques espèrent voir les juges de la cour confirmer le jugement du tribunal administratif de Toulouse.Dans le cas contraire, le pourvoi devant le Conseil d’État qu’ils ne manqueront pas de déposer ne sera examiné que dans quelques mois, à l’heure où la voie rapide de 53 km sera sans doute en passe d’être inaugurée.Fervent soutien du projet, le ministre des Transports, Philippe Tabarot, a répété à la mi-novembre qu’il souhaitait “mettre en route cette autoroute d’ici au mois d’octobre 2026”.Il a dit espérer que l’audience d’appel permettra de définitivement “clarifier” les choses, espérant voir le chantier “continuer sereinement pour tenir les délais”.Contacté par l’AFP, Atosca n’a pas souhaité s’exprimer sur ce rendez-vous devant la justice. Début septembre, son directeur général Martial Gerlinger avait déclaré: “je suis là pour respecter un contrat, pour livrer une autoroute attendue sur ce territoire, je suis là bien entendu pour respecter les décisions de justice et je n’ai rien d’autre à dire à ce sujet”.- Référé environnemental -La justice est “au pied du mur”, estime de son côté La Voie est libre (LVEL), le principal collectif d’opposants, qui appelle jeudi à un rassemblement devant la cour.Il espère une décision “en droit et rien qu’en droit”, s’inquiétant d’un risque de partialité de la cour.En effet, constatant que deux magistrats de la formation de jugement retenue – le président et un assesseur – ainsi que le rapporteur public, avaient participé en mai à l’audience sur le sursis à exécution, LVEL en avait demandé la récusation.Mais cette requête a été rejetée. Le maintien des magistrats visés “n’est pas de nature à priver les appelants des garanties d’impartialité auxquelles ils ont droit”, a estimé la juridiction qui par ailleurs a choisi une composition élargie de cinq juges (contre trois habituellement) pour statuer sur ce dossier, en raison de sa complexité.Parallèlement, LVEL lance une autre procédure, pénale, lié à des dépassements de l’emprise du chantier qu’il a dénoncés fin novembre.Une plainte devait être déposée en ce début de semaine, assortie d’un référé pénal environnemental, un outil juridique d’urgence pour demander, là encore, la suspension du chantier, a expliqué à l’AFP un de ses porte-parole.