Bangladesh to airlift wounded uprising leader after election shooting
Bangladesh’s interim government said it would fly a leader of the 2024 uprising, a candidate in upcoming elections, for treatment in Singapore after he was critically wounded in an assassination attempt.Masked attackers shot student leader Sharif Osman Hadi on Friday as he left a mosque in the capital Dhaka, wounding him in the ear.The shooting took place one day after authorities announced a date for the first elections since the student-led uprising that overthrew the autocratic government of Sheikh Hasina.In a statement late Sunday, the interim government said it will pay for Hadi to “be flown to Singapore for better treatment”, and that an “air ambulance and a team of doctors are on standby.”Hadi is a senior leader of the student protest group Inqilab Mancha and has been an outspoken critic of India — Hasina’s old ally where the ousted prime minister remains in self-imposed exile.Hundreds of protesters gathered in Dhaka on Monday to condemn the shooting.”It’s an attack on our political solidarity,” Gazi Sadia, a 21-year-old student, told AFP.Hadi’s Inqilab Mancha was represented at the rally alongside supports of Bangaldesh’s largest Islamist party, Jamaat-e-Islami, and the National Citizen Party (NCP), which was formed by others students who spearheaded last year’s uprising.Police said they had launched a manhunt for the attackers who shot Hadi, releasing photographs of two key suspects and offering a reward of five million taka (about $42,000) for information leading to their arrest.Dhaka police spokesman Muhammad Talebur Rahman also said that “border security has been put on high alert.”- ‘Derail the election’ -Interim leader Muhammad Yunus, the 85-year-old Nobel Peace Prize winner leading Bangladesh until the February 12 elections, said on Saturday that the shooting was a premeditated attack carried out by a powerful network, without providing a name.”The objective of the conspirators is to derail the election. This attack is symbolic — meant to demonstrate their strength and sabotage the entire electoral process,” he said.”We must resist such attempts”.The government on Sunday said it would bolster security for all candidates, ordering that “all political leaders, candidates, their residences, offices, movements, rallies and online spaces will be protected.”The Muslim-majority country of 170 million will directly vote for 300 lawmakers for its parliament, with another 50 selected on a women’s list.A referendum on a landmark democratic reform package will be held on the same day.Tensions are high as parties gear up for the polls, and the country remains volatile.Hasina, convicted in absentia last month and sentenced to death, refused to return to attend her trial. She remains in hiding in India, despite Dhaka’s repeated requests for New Delhi to hand her over.Veteran journalist Anis Alamgir was arrested on Monday for alleged “anti-state activities”, accused of promoting Hasina’s now-banned Awami League party.Rights organisation Ain o Salish Kendra condemned the arrest as “an attack on freedom of expression”.The last elections, held in January 2024, gave Hasina a fourth straight term and her Awami League 222 seats, but were decried by opposition parties as a sham.The Bangladesh Nationalist Party (BNP), led by three-time former prime minister Khaleda Zia, is widely tipped to win the upcoming vote.Zia is in intensive care in Dhaka, and her son and political heir Tarique Rahman is set to return from exile in Britain after 17 years on December 25.
En Iran, les motardes à l’assaut du bitume malgré les restrictions
Elle a appris la moto la nuit incognito dans les rues désertes de Téhéran, elle forme désormais de nombreuses femmes: Maryam Ghelich, devenue monitrice certifiée, salue le nouvel engouement des Iraniennes pour les deux-roues.Conduisant scooters ou grosses cylindrées, elles sont de plus en plus nombreuses à circuler dans la capitale embouteillée, coiffées de casques colorés, signe d’un changement subtil mais réel survenu en l’espace de quelques mois.”Les mentalités ont vraiment changé. Avant, ce n’était pas du tout accepté”, raconte Mme Ghelich à l’AFP, se réjouissant de voir affluer les femmes pour la conduite en ville ou la compétition. Malgré le code vestimentaire strict et l’absence de permis officiel, elles sont désormais plusieurs dizaines à suivre ses cours. Un chiffre sans comparaison avec ses débuts de monitrice il y a 15 ans quand les motardes se comptaient sur les doigts de la main dans le pays.”J’ai tenté de prouver que les femmes pouvaient elles aussi réussir dans ce domaine”, longtemps jugé “réservé aux hommes”, explique cette passionnée de 49 ans, jean, lunettes de soleil et queue de cheval, dans un centre d’entraînement du nord de Téhéran.- “Longues combinaisons” -Avec l’avènement de la Révolution islamique de 1979, la pratique de certaines activités a été un temps inaccessible à la gent féminine, et surtout mal perçue par la société.Les restrictions vestimentaires ont particulièrement posé un défi aux motardes, les Iraniennes devant se couvrir les cheveux avec un voile (hijab) en public et porter des vêtements sobres et amples. Maryam Ghelich, membre de la Fédération iranienne de motocyclisme et d’automobile, se souvient de courses où les participantes étaient obligées de revêtir de “longues combinaisons” par-dessus leurs tenues en cuir – une règle qui, selon elle, “gênait vraiment” la conduite.Les conditions se sont assouplies avec le temps, dit-elle, ajoutant que même quand la police intervient aujourd’hui, les agents laissent les conductrices “repartir plus facilement”.Même si des réticences persistent. “Certaines conduisent des motos sans hijab, avec un hijab incorrect ou mal couvertes (…), un tel comportement est contraire à la loi islamique”, a récemment souligné le religieux Abdolhossein Khosropanah, à la tête d’un organisme d’Etat supervisant les politiques culturelles et éducatives islamiques. Ces dernières années, les femmes ont bravé de plus en plus les règles strictes de la République islamique.Cette tendance s’est accélérée après la mort, en 2022, de Mahsa Amini, décédée en détention après avoir été arrêtée pour avoir prétendument enfreint le code vestimentaire. Son décès avait déclenché des manifestations à travers le pays lors desquelles les nombreuses femmes qui y participaient réclamaient davantage de libertés.- Pas de permis -Reste un obstacle de taille pour les amatrices de deux-roues: si le permis de conduire moto n’est pas interdit aux femmes par la loi, les autorités ne le leur délivrent jamais, malgré la hausse du nombre de motardes sur les routes.Pour Niloufar, créatrice de mode de 43 ans qui s’est récemment inscrite aux cours de Maryam Ghelich, c’est une vraie source d’inquiétude.”Même si une femme conduit de manière très professionnelle, sans permis elle sera légalement tenue pour responsable en cas d’accident, même si elle en est la victime”, dit-elle, préférant ne pas donner son nom de famille.Officiellement, les autorités assurent que les femmes peuvent conduire des motos.La porte-parole du gouvernement, Fatemeh Mohajerani, affirme qu’il n’existe “aucune interdiction légale”. Et en septembre, le chef de la police routière, Teymour Hosseini, a déclaré que ses agents n’avaient pas l’autorisation d’interpréter la loi selon des critères religieux ou autres.Mona Nasehi, une gérante de salon de beauté de 33 ans qui s’est mise à la moto cette année, raconte que la police a tenté de l’arrêter une fois, probablement parce qu’elle roulait seule, mais elle a eu trop peur pour obtempérer.”J’ai entendu que la police ne maltraite généralement pas les conductrices, mais nous avons toutes cette crainte qu’ils puissent nous insulter ou nous confisquer notre moto”, explique-t-elle.Nayereh Chitsazian, 53 ans, toute nouvelle propriétaire d’une moto, est confiante malgré l’absence de permis, tous ses documents étant en règle. “Les véhicules sont enregistrés, assurés, donc la police n’a aucune raison de nous arrêter”, insiste-t-elle.
Brandt: après le “traumatisme”, élus et salariés évoquent l’avenir
“Aller de l’avant”: quatre jours après la décision de liquidation du groupe Brandt, environ 200 salariés se sont réunis lundi près d’Orléans, en présence d’élus locaux, pour évoquer leurs perspectives d’avenir.”Vous avez espéré donner une nouvelle vie à Brandt (…) maintenant, il faut aller de l’avant”, a déclaré la préfète du Loiret et de la région Centre-Val de Loire, Sophie Brocas devant une salle comble, à quelques centaines de mètres du principal site industriel de Brandt qui compte 350 salariés.Après la décision jeudi du tribunal des activités économiques de Nanterre de prononcer la liquidation judiciaire du groupe centenaire d’électroménager, qui employait au total quelque 700 personnes, les élus locaux ont à nouveau assuré de leur “solidarité” et promis leur accompagnement.Garantie de percevoir 75% du salaire brut pendant un an grâce au contrat de sécurisation professionnelle, mise en place d’une cellule d’appui et d’écoute ou encore job dating en février: les services de l’Etat ont présenté plusieurs mesures aux salariés.”On va se mobiliser et on a déjà commencé” pour “remettre les salariés de Brandt au travail”, a promis Mme Brocas.Cette dernière a aussi indiqué, comme l’avait fait vendredi le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin, qu’un travail était en cours pour “réfléchir aux options envisageables” pour donner une autre destination aux deux sites industriels du groupe situés près d’Orléans et à Vendôme (Loir-et-Cher).”Ce ne sera pas Brandt, mais ça peut être autre chose”, a-t-elle indiqué. Cela pourrait être pour “de la fabrication de drones”, selon le président de la région Centre-Val-de-Loire François Bonneau, mais il y a aussi “d’autres pistes”, a-t-il dit.Plusieurs salariés, dont quelques-uns franchissaient les grilles du site voisin avec leurs effets personnels sous le bras, ont décrit un “traumatisme encore à vif”.”C’est encore à chaud”, a résumé Laurent Grapin, 24 ans d’ancienneté au service recherche et développement. “Certains ont cru à une reprise, moi non”.La justice a rejeté un projet de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive et la majorité des salariés qui devait permettre de sauver au moins 370 emplois, ainsi que les marques Vedette, Sauter et De Dietrich.”Les aides, les reprises du site, ce sont des possibilités, mais je pense qu’il faut surtout faire de notre côté et ne pas trop compter” sur des choses “incertaines”, a-t-il déclaré à l’AFP.
Accord UE-Mercosur: dernière ligne droite agitée, la France sème le trouble
Le bras de fer se tend entre Bruxelles et Paris: la Commission européenne a martelé lundi son intention de signer l’accord de libre-échange avec le Mercosur dans les prochains jours, en dépit de la mobilisation agricole et des appels de la France à reporter la décision.Ursula von der Leyen voudrait parapher ce traité commercial avec l’Amérique latine samedi lors du sommet du Mercosur à Foz do Iguaçu au Brésil. Mais elle a d’abord besoin de l’aval des Etats européens durant la semaine à Bruxelles. Et la France, toujours opposée à l’accord en l’état, plaide pour un report du vote en 2026.”A ce stade, le compte n’y est pas pour protéger les agriculteurs français. Les exigences françaises n’ont pas été remplies”, a tonné Paris dimanche soir. Emmanuel Macron “a demandé à la présidente de la Commission un report de l’examen de l’accord”, a indiqué son entourage.L’exécutif européen a opposé au président français une fin de non-recevoir lundi. Ce traité est “de la plus haute importance pour l’Union européenne”, sur “le plan économique, diplomatique et géopolitique”, a souligné un porte-parole de la Commission, qui maintient son calendrier.Une signature est “absolument nécessaire cette semaine”, a renchéri l’Allemagne, fervent défenseur de cet accord avec lequel elle espère relancer ses exportations industrielles. Ce bras de fer lance une semaine qui s’annonçait déjà agitée à Bruxelles. Les syndicats agricoles promettent jusqu’à 10.000 manifestants dans la capitale belge jeudi, en marge d’un sommet européen entre chefs d’Etat et de gouvernement.Les agriculteurs de l’UE restent vent debout contre cet accord commercial avec l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay.Ce traité favoriserait les exportations européennes de voitures, de machines, de vins et de spiritueux. En retour, il faciliterait l’entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel ou soja sud-américains, ce qui alarme les filières.Mais la Commission européenne n’en démord pas. “C’est maintenant ou jamais” pour l’accord, souligne une source interne, à propos de négociations entamées il y a plus de 25 ans.”S’il n’y a pas de compromis cette semaine, on risque une crise européenne grave. Ce sera un grand échec pour la Commission, pour l’Allemagne et pour l’Espagne”, met aussi en garde un diplomate européen, sous couvert de l’anonymat.- Sauvegarde et contrôles renforcés -Allemands, Espagnols et Scandinaves misent sur cet accord pour relancer une économie européenne à la peine face à la concurrence chinoise et aux taxes douanières des Etats-Unis.La France aura donc du mal à bloquer ce traité qui n’a besoin que d’une majorité qualifiée pour être adopté, lors d’un vote attendu mercredi ou vendredi. L’Italie, qui a soufflé le chaud et le froid, pourrait jouer les arbitresPour compliquer encore l’équation, un autre scrutin est prévu dès ce mardi, au Parlement européen cette fois.A Strasbourg, les eurodéputés se penchent sur les mesures de “sauvegarde” destinées à rassurer les agriculteurs et amadouer la France.Avec ce dispositif, l’Union européenne promet un “suivi renforcé” des produits les plus sensibles tels que la viande bovine, la volaille, le riz, le miel, les œufs, l’ail, l’éthanol et le sucre, et une intervention en cas de déstabilisation du marché. Les Etats européens ont déjà approuvé cette clause de sauvegarde. Mais le Parlement européen pourrait encore la consolider.Autre signal pour tenter de convaincre Paris, la Commission européenne a annoncé la semaine dernière le renforcement de ses contrôles sur les importations agricoles, afin de s’assurer qu’elles respectent les normes européennes.Bruxelles promet également de mettre à jour ses règles sur les traces de pesticides dans les produits importés, afin d’éviter que des substances interdites en Europe rentrent sur le continent via les importations.Si Ursula von der Leyen signe le traité samedi, la partie ne sera pas terminée pour autant.Il restera une ultime étape au Parlement européen: l’adoption définitive de l’accord au début de l’année 2026 a priori.Des sources internes s’attendent à un scrutin serré dans l’hémicycle, où les considérations nationales pèseront.Tous bords politiques confondus, “tous les Français voteront contre, la plupart des Polonais aussi”, pronostique un bon connaisseur des équilibres parlementaires. En ajoutant la gauche radicale et l’extrême droite, “on arrive déjà à 300 opposants” au traité, calcule-t-il, sur un total de 720 élus.
Accord UE-Mercosur: dernière ligne droite agitée, la France sème le trouble
Le bras de fer se tend entre Bruxelles et Paris: la Commission européenne a martelé lundi son intention de signer l’accord de libre-échange avec le Mercosur dans les prochains jours, en dépit de la mobilisation agricole et des appels de la France à reporter la décision.Ursula von der Leyen voudrait parapher ce traité commercial avec l’Amérique latine samedi lors du sommet du Mercosur à Foz do Iguaçu au Brésil. Mais elle a d’abord besoin de l’aval des Etats européens durant la semaine à Bruxelles. Et la France, toujours opposée à l’accord en l’état, plaide pour un report du vote en 2026.”A ce stade, le compte n’y est pas pour protéger les agriculteurs français. Les exigences françaises n’ont pas été remplies”, a tonné Paris dimanche soir. Emmanuel Macron “a demandé à la présidente de la Commission un report de l’examen de l’accord”, a indiqué son entourage.L’exécutif européen a opposé au président français une fin de non-recevoir lundi. Ce traité est “de la plus haute importance pour l’Union européenne”, sur “le plan économique, diplomatique et géopolitique”, a souligné un porte-parole de la Commission, qui maintient son calendrier.Une signature est “absolument nécessaire cette semaine”, a renchéri l’Allemagne, fervent défenseur de cet accord avec lequel elle espère relancer ses exportations industrielles. Ce bras de fer lance une semaine qui s’annonçait déjà agitée à Bruxelles. Les syndicats agricoles promettent jusqu’à 10.000 manifestants dans la capitale belge jeudi, en marge d’un sommet européen entre chefs d’Etat et de gouvernement.Les agriculteurs de l’UE restent vent debout contre cet accord commercial avec l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay.Ce traité favoriserait les exportations européennes de voitures, de machines, de vins et de spiritueux. En retour, il faciliterait l’entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel ou soja sud-américains, ce qui alarme les filières.Mais la Commission européenne n’en démord pas. “C’est maintenant ou jamais” pour l’accord, souligne une source interne, à propos de négociations entamées il y a plus de 25 ans.”S’il n’y a pas de compromis cette semaine, on risque une crise européenne grave. Ce sera un grand échec pour la Commission, pour l’Allemagne et pour l’Espagne”, met aussi en garde un diplomate européen, sous couvert de l’anonymat.- Sauvegarde et contrôles renforcés -Allemands, Espagnols et Scandinaves misent sur cet accord pour relancer une économie européenne à la peine face à la concurrence chinoise et aux taxes douanières des Etats-Unis.La France aura donc du mal à bloquer ce traité qui n’a besoin que d’une majorité qualifiée pour être adopté, lors d’un vote attendu mercredi ou vendredi. L’Italie, qui a soufflé le chaud et le froid, pourrait jouer les arbitresPour compliquer encore l’équation, un autre scrutin est prévu dès ce mardi, au Parlement européen cette fois.A Strasbourg, les eurodéputés se penchent sur les mesures de “sauvegarde” destinées à rassurer les agriculteurs et amadouer la France.Avec ce dispositif, l’Union européenne promet un “suivi renforcé” des produits les plus sensibles tels que la viande bovine, la volaille, le riz, le miel, les œufs, l’ail, l’éthanol et le sucre, et une intervention en cas de déstabilisation du marché. Les Etats européens ont déjà approuvé cette clause de sauvegarde. Mais le Parlement européen pourrait encore la consolider.Autre signal pour tenter de convaincre Paris, la Commission européenne a annoncé la semaine dernière le renforcement de ses contrôles sur les importations agricoles, afin de s’assurer qu’elles respectent les normes européennes.Bruxelles promet également de mettre à jour ses règles sur les traces de pesticides dans les produits importés, afin d’éviter que des substances interdites en Europe rentrent sur le continent via les importations.Si Ursula von der Leyen signe le traité samedi, la partie ne sera pas terminée pour autant.Il restera une ultime étape au Parlement européen: l’adoption définitive de l’accord au début de l’année 2026 a priori.Des sources internes s’attendent à un scrutin serré dans l’hémicycle, où les considérations nationales pèseront.Tous bords politiques confondus, “tous les Français voteront contre, la plupart des Polonais aussi”, pronostique un bon connaisseur des équilibres parlementaires. En ajoutant la gauche radicale et l’extrême droite, “on arrive déjà à 300 opposants” au traité, calcule-t-il, sur un total de 720 élus.
Espagne: amende de 64 millions d’euros contre Airbnb pour avoir publié des annonces de logements interdits à la location
Le gouvernement espagnol a annoncé lundi avoir infligé une amende de 64 millions d’euros à la plateforme Airbnb pour avoir notamment publié des annonces de logements interdits à la location, une infraction qualifiée de “grave”, en pleine crise du logement dans le pays.En Espagne, les plateformes de location de courte durée suscitent un vif débat, …






