Security on high alert as Nigeria prepares to bury BuhariTue, 15 Jul 2025 13:15:41 GMT

Nigeria’s former president Muhammadu Buhari was on Tuesday set to be buried in his hometown, as funeral preparations got underway under the watchful eyes of a hefty security detail.The former leader is set to be laid to rest in his family compound in the northwestern town of Daura, where chairs and tents have been set …

Security on high alert as Nigeria prepares to bury BuhariTue, 15 Jul 2025 13:15:41 GMT Read More »

US consumer inflation accelerates as tariff scrutiny grows

US consumer inflation picked up in line with analyst expectations last month, government data showed Tuesday, as policymakers try to gauge how President Donald Trump’s ever-growing list of tariffs is affecting the economy.Observers are expecting to learn more about the effects of Trump’s duties over the summer months, meaning June’s data marks the start in a series of closely-watched figures — particularly as officials mull changes to interest rates as well.The consumer price index (CPI) was up 2.7 percent from a year ago in June, rising from the 2.4 percent figure in May as energy costs rose, said the Department of Labor.Other areas that saw cost increases included household furnishings and apparel, both segments that experts are eyeing for signs of cost hikes after Trump’s sweeping tariffs this year.While Trump imposed a 10 percent tariff on almost all trading partners in April and separately slapped steeper duties on imports of steel, aluminum and autos, US officials have pushed back against warnings that these could spark price increases.Economists caution that tariff hikes could fuel inflation and weigh on economic growth, but US Treasury Secretary Scott Bessent has labeled such expectations “tariff derangement syndrome.”CPI rose 0.3 percent in June from the previous month, an uptick from the 0.1 percent increase in May as well.Excluding the volatile food and energy segments, CPI climbed 0.2 percent on-month, picking up from May too.Compared with a year ago, “core” CPI was up 2.9 percent in June.Even if headline inflation figures show no “meaningful” surge because of tariffs alone, Nationwide economist Oren Klachkin warned it may be too soon to see their full impact just yet.Businesses have been trying to hold off consumer price hikes through a range of actions, from eating into their own margins to trying to share costs with their suppliers, he said.But it remains to be seen how long they can do this.There could be a bigger impact over the summer, Klachkin added.For now, he is looking “under the surface” at components most exposed to Trump’s tariffs, such as furnishings, recreational goods and cellphones, to discern their effects.Besides steep tariffs that have already taken effect, Trump has also threatened even higher levels on dozens of key trading partners including the European Union, India, Japan and South Korea if they do not strike deals to avert these elevated levels.He has also opened doors to further levies on sector-specific imports ranging from semiconductors to pharmaceuticals, injecting more uncertainty in the global economy and worries of supply chain snags.

Springboks captain Kolisi makes first appearance of seasonTue, 15 Jul 2025 13:02:40 GMT

Captain and flanker Siya Kolisi will make his first appearance of the season when Rugby World Cup holders South Africa face Georgia in Mbombela on Saturday in a one-off Test. A stiff neck ruled the two-time World Cup winner out of an exhibition match win over the Barbarians in Cape Town last month.Kolisi then sustained an …

Springboks captain Kolisi makes first appearance of seasonTue, 15 Jul 2025 13:02:40 GMT Read More »

Moscou dit que les propos de Trump pousseront Kiev à continuer le conflit

Le Kremlin a affirmé mardi que l’ultimatum qui lui a été adressé la veille par Donald Trump, ainsi que les nouvelles livraisons d’armes promises à l’Ukraine, pousseraient Kiev à “prolonger la guerre”. Lundi, le président américain s’est engagé à fournir des équipements militaires supplémentaires à l’Ukraine et a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à son offensive dans ce pays, déclenchée en février 2022, sous peine de sanctions sévères.”Il semble que cette décision prise à Washington, dans les pays de l’Otan et directement à Bruxelles sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix mais comme un signal pour la poursuite de la guerre”, a répondu mardi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.”Les déclarations du président Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et si ou quand le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera”, a-t-il dit au cours de son briefing quotidien, auquel participait l’AFP.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a essayé de pousser Moscou et Kiev à mettre fin au conflit, notamment en se rapprochant de Vladimir Poutine dont il se dit désormais “déçu”.”Je pensais que nous aurions un accord il y a deux mois mais ça ne semble pas se concrétiser”, a-t-il regretté lundi à la Maison Blanche, au côté du secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte.Sans accord d’ici à 50 jours, les Etats-Unis mettront en place des “droits de douane secondaires”, c’est-à-dire contre les alliés de Moscou, a averti le président américain.L’an dernier, les principaux partenaires commerciaux de la Russie étaient la Chine, pour quelque 34% du total des échanges, ainsi que, dans une moindre mesure, l’Inde, la Turquie et le Bélarus, selon les Douanes russes.Pékin a fustigé mardi une “coercition qui ne mène nulle part”.- “Déçu” -Donald Trump a par ailleurs annoncé lundi que des équipements militaires “d’une valeur de plusieurs milliards de dollars”, en particulier des systèmes de défense antiaérienne Patriot, seraient envoyés à l’Ukraine.Ce matériel sera acheté par les membres européens de l’Otan. Mark Rutte a précisé que l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Canada, la Norvège, la Suède et le Danemark feraient partie des acheteurs.Le Danemark et les Pays-Bas ont annoncé mardi à Bruxelles être prêts à participer au plan de Donald Trump.Mais reste à savoir combien de temps il faudra aux pays européens pour expédier ces armes en Ukraine, cible chaque jour par de frappes russes.Mardi, le ministère russe de la Défense a encore revendiqué la prise de deux villages dans la région de Donetsk (est).Les attaques aériennes russes se sont aussi intensifiées ces dernières semaines.Dmitri Peskov a affirmé que la Russie restait prête à négocier mais attendait “des propositions de la partie ukrainienne” concernant un troisième cycle de négociations, après deux récentes sessions peu fructueuses à Istanbul.La Russie a rejeté toute trêve prolongée, qui permettrait selon elle aux forces ukrainiennes de se réarmer.Moscou exige, entre autres, que l’Ukraine lui cède quatre régions, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce à rejoindre l’Alliance atlantique.Inacceptable pour Kiev qui réclame, avec ses alliés européens, un cessez-le-feu sans conditions de 30 jours avant des négociations de paix et veut que l’armée russe se retire entièrement du territoire ukrainien.- Promesses et réalité -De leur côté, des moscovites interrogés par l’AFP considèrent les déclarations de Donald Trump comme un jeu politique.”C’est une partie d’échecs”, commente ainsi Svetlana, une ingénieure dans l’aéronautique.”Les négociations vont se poursuivre”, juge cette femme de 47 ans, peu impressionnée. Donald Trump “a donné 50 jours, et puis ensuite ce sera prolongé”, ajoute-t-elle, soulignant attendre “le prochain coup” de Vladimir Poutine.Dans l’est de l’Ukraine, des soldats ukrainiens se disent quant à eux reconnaissants, sans nourrir trop d’illusions.Un militaire de 44 ans, qui se fait appeler Shah, dit ainsi ne pas croire aux paroles de Donald Trump, dénonçant un “fossé entre les promesses (des Etats-Unis) et la réalité”.Un autre soldat, Master, juge que les systèmes Patriot, très efficaces contre les frappes aériennes russes, “auraient pu être envoyés plus tôt” et sauver des vies.Avec sa longue barbe rousse, Rouslan, 29 ans, est plus positif. “Mieux vaut tard que jamais”, soupire-t-il

Moscou dit que les propos de Trump pousseront Kiev à continuer le conflit

Le Kremlin a affirmé mardi que l’ultimatum qui lui a été adressé la veille par Donald Trump, ainsi que les nouvelles livraisons d’armes promises à l’Ukraine, pousseraient Kiev à “prolonger la guerre”. Lundi, le président américain s’est engagé à fournir des équipements militaires supplémentaires à l’Ukraine et a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à son offensive dans ce pays, déclenchée en février 2022, sous peine de sanctions sévères.”Il semble que cette décision prise à Washington, dans les pays de l’Otan et directement à Bruxelles sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix mais comme un signal pour la poursuite de la guerre”, a répondu mardi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.”Les déclarations du président Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et si ou quand le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera”, a-t-il dit au cours de son briefing quotidien, auquel participait l’AFP.Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a essayé de pousser Moscou et Kiev à mettre fin au conflit, notamment en se rapprochant de Vladimir Poutine dont il se dit désormais “déçu”.”Je pensais que nous aurions un accord il y a deux mois mais ça ne semble pas se concrétiser”, a-t-il regretté lundi à la Maison Blanche, au côté du secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte.Sans accord d’ici à 50 jours, les Etats-Unis mettront en place des “droits de douane secondaires”, c’est-à-dire contre les alliés de Moscou, a averti le président américain.L’an dernier, les principaux partenaires commerciaux de la Russie étaient la Chine, pour quelque 34% du total des échanges, ainsi que, dans une moindre mesure, l’Inde, la Turquie et le Bélarus, selon les Douanes russes.Pékin a fustigé mardi une “coercition qui ne mène nulle part”.- “Déçu” -Donald Trump a par ailleurs annoncé lundi que des équipements militaires “d’une valeur de plusieurs milliards de dollars”, en particulier des systèmes de défense antiaérienne Patriot, seraient envoyés à l’Ukraine.Ce matériel sera acheté par les membres européens de l’Otan. Mark Rutte a précisé que l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Canada, la Norvège, la Suède et le Danemark feraient partie des acheteurs.Le Danemark et les Pays-Bas ont annoncé mardi à Bruxelles être prêts à participer au plan de Donald Trump.Mais reste à savoir combien de temps il faudra aux pays européens pour expédier ces armes en Ukraine, cible chaque jour par de frappes russes.Mardi, le ministère russe de la Défense a encore revendiqué la prise de deux villages dans la région de Donetsk (est).Les attaques aériennes russes se sont aussi intensifiées ces dernières semaines.Dmitri Peskov a affirmé que la Russie restait prête à négocier mais attendait “des propositions de la partie ukrainienne” concernant un troisième cycle de négociations, après deux récentes sessions peu fructueuses à Istanbul.La Russie a rejeté toute trêve prolongée, qui permettrait selon elle aux forces ukrainiennes de se réarmer.Moscou exige, entre autres, que l’Ukraine lui cède quatre régions, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce à rejoindre l’Alliance atlantique.Inacceptable pour Kiev qui réclame, avec ses alliés européens, un cessez-le-feu sans conditions de 30 jours avant des négociations de paix et veut que l’armée russe se retire entièrement du territoire ukrainien.- Promesses et réalité -De leur côté, des moscovites interrogés par l’AFP considèrent les déclarations de Donald Trump comme un jeu politique.”C’est une partie d’échecs”, commente ainsi Svetlana, une ingénieure dans l’aéronautique.”Les négociations vont se poursuivre”, juge cette femme de 47 ans, peu impressionnée. Donald Trump “a donné 50 jours, et puis ensuite ce sera prolongé”, ajoute-t-elle, soulignant attendre “le prochain coup” de Vladimir Poutine.Dans l’est de l’Ukraine, des soldats ukrainiens se disent quant à eux reconnaissants, sans nourrir trop d’illusions.Un militaire de 44 ans, qui se fait appeler Shah, dit ainsi ne pas croire aux paroles de Donald Trump, dénonçant un “fossé entre les promesses (des Etats-Unis) et la réalité”.Un autre soldat, Master, juge que les systèmes Patriot, très efficaces contre les frappes aériennes russes, “auraient pu être envoyés plus tôt” et sauver des vies.Avec sa longue barbe rousse, Rouslan, 29 ans, est plus positif. “Mieux vaut tard que jamais”, soupire-t-il

Volkswagen reprend l’export de son minibus électrique vers les États-Unis

Le constructeur automobile Volkswagen a repris l’expédition de son minibus électrique ID. Buzz vers les États-Unis, après une suspension provisoire liée à un rappel technique, a appris l’AFP mardi.”Un cargo transportant des ID. Buzz électriques a quitté samedi le port d’Emden (mer du Nord) pour les États-Unis. Les véhicules y seront mis aux normes avant d’être livrés aux concessionnaires”, a précisé à l’AFP Tobias Riepe, porte-parole de la branche utilitaires du constructeur.Produit à Hanovre (nord de l’Allemagne), le modèle était bloqué à l’export en raison d’un rappel ordonné par les autorités américaines. En cause: des sièges arrière jugés trop larges, ce qui demande une intervention du constructeur pour y remédier. Depuis son lancement fin 2024, Volkswagen a écoulé environ 3.800 exemplaires de l’ID. Buzz outre-Atlantique., inspiré du mythique Combi des années 1960-70.Outre le rappel technique, le quotidien Handelsblatt a récemment évoquer une autre difficulté : l’alourdissement récent des droits de douane américains.Depuis avril, l’administration Trump impose une surtaxe d’environ 25% sur les véhicules européens, en plus des 2,5% habituels, ce qui renchérit fortement les coûts d’exportation pour Volkswagen.Malgré tout, le constructeur n’a pas relevé le prix de vente du véhicule pour compenser ces taxes supplémentaires, a appris l’AFP.L’ID. Buzz fait partie de la gamme “ID”, au cœur de la stratégie électrique de Volkswagen et de ses importants investissements dans la mobilité zéro émission.