China exports soared in June, beating forecasts: official data

China’s exports jumped in June, official data showed Monday, beating forecasts in a month when Washington and Beijing agreed a tentative deal to lower swingeing tariffs on each other.Data from the General Administration of Customs said exports rose 5.8 percent year-on-year, topping the five percent forecast in a Bloomberg survey of economists. Imports rose 1.1 percent — beating the predicted 0.3 percent gain.China’s exports reached record highs last year — a lifeline to its slowing economy as pressures elsewhere mounted.Beijing has struggled to sustain growth since the pandemic as it battles a prolonged debt crisis in the property sector, chronically low consumption and high youth unemployment.And a bruising trade war with the United States, driven by President Donald Trump’s policy of sweeping import tariffs, has made things more difficult for the world’s second-largest economy.Washington and Beijing have de-escalated their trade spat after reaching a framework for a deal at talks in London last month, but observers warn of lingering uncertainty.Customs official Wang Lingjun said at a news conference on Monday that Beijing “(hopes) that the US will continue to work together with China towards the same direction”, state broadcaster CCTV reported.The tariff truce was “hard won”, Wang said.”There is no way out through blackmail and coercion. Dialogue and cooperation are the right path,” he added.

Asian markets mostly rise on lingering trade deal optimism

Most Asian markets rose Monday as investors digested Donald Trump’s latest trade war salvos that saw him threaten to hit the European Union and Mexico with 30 percent tariffs.The US president’s outburst came after a series of announcements last week including warnings of 50 percent levies on copper and Brazilian goods, 35 percent on Canadian goods, and a possible 200 percent charge on pharmaceuticals.While observers warn the measures could deal a hefty blow to the global economy, investors are largely optimistic that governments will hammer out agreements before the White House’s August 1 deadline.In announcing his latest measures on Saturday, Trump cited Mexico’s role in illicit drugs flowing into the United States and a trade imbalance with the European Union.The move threw months of painstaking talks with Brussels into disarray.European Commission chief Ursula von der Leyen has insisted the bloc still wants to reach an accord — and on Sunday delayed retaliation over separate US duties on steel and aluminium as a sign of goodwill.EU officials threatened in May to impose tariffs on US goods worth around 100 billion euros ($117 billion), including cars and planes, if talks fail.French President Emmanuel Macron backed efforts to reach an agreement that “reflects the respect that trade partners such as the European Union and the United States owe each other”.But he urged the bloc to “step up the preparation of credible countermeasures” if the two sides fail to reach an agreement.Analysts also pointed out that the levies against Mexico and Canada come even after Trump agreed a trade deal with the two during his first administration.Still, Asian investors brushed off Friday’s losses in New York and Europe, remaining hopeful that governments will strike deals with Washington and avoid the worst of the tariffs.Hong Kong, Shanghai, Sydney, Seoul, Singapore, Manila and Jakarta all rose, with Tokyo, Wellington and Taipei edging down.Bitcoin hit a new record high of $119,490.”It is hard to say whether the muted market response over the week is best characterised by resilience or complacency,” said National Australia Bank’s Taylor Nugent.”But it is difficult to price the array of headlines purportedly defining where tariffs will sit from 1 August when negotiations are ongoing.”Traders are also keeping a nervous eye on the Federal Reserve as Trump continues to berate boss Jerome Powell for not cutting interest rates soon enough, saying Sunday “I hope he quits”, and adding “He should quit”.Reports also said the president’s allies were targeting the Fed chief over his handling of an expensive renovation at the bank’s headquarters, with some suggesting they were building a case to have him removed over it.However, strategists warned that such a move would bring the independence of the central bank into question and send US Treasury yields soaring and the dollar plunging.- Key figures at around 0230 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.3 percent at 39,469.72 (break)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.1 percent at 24,174.34Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,524.93Euro/dollar: UP at $1.1693 from $1.1690 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3496 from $1.3497Dollar/yen: DOWN at 147.01 yen from 147.38 yenEuro/pound: UP at 86.64 pence from 86.59 penceWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $68.52 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $70.43 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.6 percent at 44,371.51 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.4 percent at 8,941.12 (close)

Trump promet des systèmes antiaériens Patriot à l’Ukraine

Donald Trump a annoncé dimanche que les États-Unis enverraient à l’Ukraine des systèmes de défense antiaérienne Patriot, essentiels à Kiev pour se défendre face aux frappes russes, au moment où les relations du président américain avec son homologue russe montrent une dégradation.”Nous leur enverrons des Patriots, dont ils ont désespérément besoin”, a-t-il déclaré, ajoutant: “Je n’ai pas encore décidé du nombre mais ils vont en avoir parce qu’ils ont besoin de protection”.Donald Trump avait précédemment dit à des journalistes avoir “une déclaration importante à faire sur la Russie” ce lundi, laissant la porte ouverte à un renforcement des sanctions.L’activité diplomatique devait s’accélérer lundi avec une rencontre entre le président américain et le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, à 10h00 locale (14h00 GMT) dans le Bureau ovale, en présence du sécrétaire d’Etat Marco Rubio.L’émissaire américain Keith Kellogg doit également entamer une nouvelle visite en Ukraine lundi. La livraison d’armes par Washington fera partie d’un accord impliquant l’Otan qui paiera les États-Unis pour des armes qu’elle enverra à l’Ukraine, selon M. Trump.”Nous allons en fait leur envoyer divers équipements militaires très sophistiqués et ils vont nous les payer à 100%”, a déclaré Donald Trump aux journalistes.Cette annonce apparaît comme une volte-face, deux semaines après que Washington avait au contraire annoncé la suspension de certaines livraisons d’armes à Kiev.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué vendredi avoir eu une conversation téléphonique avec son homologue américain, lors de laquelle ils ont convenu de “renforcer la protection” du ciel ukrainien après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur l’Ukraine.Le président américain s’est dit à nouveau “déçu” par son homologue russe Vladimir Poutine dimanche. Depuis le début de son mandat, Donald Trump a tenté de convaincre Vladimir Poutine de négocier en vue de mettre fin au conflit en Ukraine.Mais les frappes russes s’abattant sur l’Ukraine se sont intensifiées et les négociations en vue d’une issue diplomatique au conflit sont, elles, dans l’impasse. “Poutine a vraiment surpris beaucoup de gens. Il parle gentiment et ensuite il bombarde tout le monde le soir”, a déclaré M. Trump, visiblement mécontent. – “Tournant” sur les sanctions -Parallèlement, l’influent sénateur américain Lindsey Graham a défendu à nouveau dimanche sa proposition de sanctions drastiques contre Moscou, un projet semblant progresser à mesure que s’accroît la frustration de Donald Trump vis-à-vis du Kremlin.”Un tournant arrive” dans la guerre en Ukraine, a déclaré le sénateur républicain sur CBS.Sa proposition “donnerait au président Trump la capacité d’imposer des droits de douane de 500% sur n’importe quel pays qui aide la Russie et soutient la machine de guerre de Poutine”, a-t-il expliqué.Donald Trump avait dit mardi “étudier de très près” cette proposition.”C’est un coup de massue que le président Trump aura à sa disposition pour mettre fin à la guerre”, a insisté Lindsey Graham, qui s’est rendu en Europe cette semaine pour défendre ses mesures aux côtés de son partenaire démocrate Richard Blumenthal.Les deux sénateurs doivent aussi s’entretenir lundi avec le secrétaire général de l’Otan.Lindsey Graham a également évoqué dimanche de possibles mesures visant les avoirs russes gelés ou encore la vente aux alliés européens d'”énormes quantités d’armes qui pourront bénéficier à l’Ukraine.”Les mesures proposées par les deux sénateurs américains font partie des moyens qui “peuvent nous rapprocher de la paix”, a écrit jeudi sur X Volodymyr Zelensky, qui ne cesse de réclamer un renforcement des sanctions américaines contre la Russie.Sur le terrain, les frappes aériennes russes contre l’Ukraine se sont intensifiées ces dernières semaines, et Moscou bat chaque semaine des records en nombre d’engins tirés, fournis par une industrie de défense qui tourne à plein régime.

Trump promet des systèmes antiaériens Patriot à l’Ukraine

Donald Trump a annoncé dimanche que les États-Unis enverraient à l’Ukraine des systèmes de défense antiaérienne Patriot, essentiels à Kiev pour se défendre face aux frappes russes, au moment où les relations du président américain avec son homologue russe montrent une dégradation.”Nous leur enverrons des Patriots, dont ils ont désespérément besoin”, a-t-il déclaré, ajoutant: “Je n’ai pas encore décidé du nombre mais ils vont en avoir parce qu’ils ont besoin de protection”.Donald Trump avait précédemment dit à des journalistes avoir “une déclaration importante à faire sur la Russie” ce lundi, laissant la porte ouverte à un renforcement des sanctions.L’activité diplomatique devait s’accélérer lundi avec une rencontre entre le président américain et le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, à 10h00 locale (14h00 GMT) dans le Bureau ovale, en présence du sécrétaire d’Etat Marco Rubio.L’émissaire américain Keith Kellogg doit également entamer une nouvelle visite en Ukraine lundi. La livraison d’armes par Washington fera partie d’un accord impliquant l’Otan qui paiera les États-Unis pour des armes qu’elle enverra à l’Ukraine, selon M. Trump.”Nous allons en fait leur envoyer divers équipements militaires très sophistiqués et ils vont nous les payer à 100%”, a déclaré Donald Trump aux journalistes.Cette annonce apparaît comme une volte-face, deux semaines après que Washington avait au contraire annoncé la suspension de certaines livraisons d’armes à Kiev.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué vendredi avoir eu une conversation téléphonique avec son homologue américain, lors de laquelle ils ont convenu de “renforcer la protection” du ciel ukrainien après une nouvelle attaque massive de drones et de missiles russes sur l’Ukraine.Le président américain s’est dit à nouveau “déçu” par son homologue russe Vladimir Poutine dimanche. Depuis le début de son mandat, Donald Trump a tenté de convaincre Vladimir Poutine de négocier en vue de mettre fin au conflit en Ukraine.Mais les frappes russes s’abattant sur l’Ukraine se sont intensifiées et les négociations en vue d’une issue diplomatique au conflit sont, elles, dans l’impasse. “Poutine a vraiment surpris beaucoup de gens. Il parle gentiment et ensuite il bombarde tout le monde le soir”, a déclaré M. Trump, visiblement mécontent. – “Tournant” sur les sanctions -Parallèlement, l’influent sénateur américain Lindsey Graham a défendu à nouveau dimanche sa proposition de sanctions drastiques contre Moscou, un projet semblant progresser à mesure que s’accroît la frustration de Donald Trump vis-à-vis du Kremlin.”Un tournant arrive” dans la guerre en Ukraine, a déclaré le sénateur républicain sur CBS.Sa proposition “donnerait au président Trump la capacité d’imposer des droits de douane de 500% sur n’importe quel pays qui aide la Russie et soutient la machine de guerre de Poutine”, a-t-il expliqué.Donald Trump avait dit mardi “étudier de très près” cette proposition.”C’est un coup de massue que le président Trump aura à sa disposition pour mettre fin à la guerre”, a insisté Lindsey Graham, qui s’est rendu en Europe cette semaine pour défendre ses mesures aux côtés de son partenaire démocrate Richard Blumenthal.Les deux sénateurs doivent aussi s’entretenir lundi avec le secrétaire général de l’Otan.Lindsey Graham a également évoqué dimanche de possibles mesures visant les avoirs russes gelés ou encore la vente aux alliés européens d'”énormes quantités d’armes qui pourront bénéficier à l’Ukraine.”Les mesures proposées par les deux sénateurs américains font partie des moyens qui “peuvent nous rapprocher de la paix”, a écrit jeudi sur X Volodymyr Zelensky, qui ne cesse de réclamer un renforcement des sanctions américaines contre la Russie.Sur le terrain, les frappes aériennes russes contre l’Ukraine se sont intensifiées ces dernières semaines, et Moscou bat chaque semaine des records en nombre d’engins tirés, fournis par une industrie de défense qui tourne à plein régime.

‘Las Vegas in Laos’: the riverside city awash with crime

Rising from the muddy fields on the Mekong riverbank in Laos, a lotus tops a casino in a sprawling city which analysts decry as a centre for cybercrime.Shabby, mismatched facades –- including an Iberian-style plaza replete with a church tower, turrets and statues — stand alongside high-rise shells. The Golden Triangle Special Economic Zone (GTSEZ) is the most prominent of more than 90 such areas established across the Mekong region in recent years, often offering people reduced taxes or government regulation.Traffic signs in the GTSEZ are in Chinese script, while everything from cigarettes to jade and fake Christian Dior bags are sold in China’s yuan.Analysts say the towers are leased out as centres operating finance and romance scams online, a multibillion-dollar industry that shows no signs of abating despite Beijing-backed crackdowns in the region.The GTSEZ was set up in 2007, when the Laos government granted the Kings Romans Group a 99-year lease on the area.Ostensibly an urban development project to attract tourists with casinos and resorts, away from official oversight international authorities and analysts say it quickly became a centre for money laundering and trafficking.The city has now evolved, they say, into a cybercrime hub that can draw workers from around the world with better-paying jobs than back home.Laundry hung out to dry on the balconies of one high-rise building supposed to be a tourist hotel, while the wide and palm-lined boulevards were eerily quiet.It is a “juxtaposition of the grim and the bling”, according to Richard Horsey of the International Crisis Group.It gives the “impression of opulence, a sort of Las Vegas in Laos”, he said, but it is underpinned by the “grim reality” of a lucrative criminal ecosystem.- ‘Horrendous illicit activities’ -In the daytime a few gamblers placed their bets at the blackjack tables in the city’s centrepiece Kings Romans Casino, where a Rolls Royce was parked outside.”There are people from many different countries here,” said one driver offering golf buggy tours of the city, who requested anonymity for security reasons. “Indians, Filipinos, Russians and (people from) Africa.””The Chinese mostly own the businesses,” he added.Cyberfraud compounds have proliferated in special economic zones across Southeast Asia, according to the UN Office on Drugs and Crime.Kings Romans’ importance as a “storage, trafficking, deal-making, and laundering hub (is) likely to expand”, it said in a report last year, despite crackdowns on illegal activities.The founder of the Kings Romans Group and the GTSEZ is Zhao Wei, a Chinese businessman with close links to the Laos government, which has given him medals for his development projects. He and three associates, along with three of his companies, were sanctioned by the US Treasury in 2018 over what it called “an array of horrendous illicit activities” including human, drug and wildlife trafficking and child prostitution.Britain sanctioned him in 2023, saying he was responsible for trafficking people to the economic zone.”They were forced to work as scammers targeting English-speaking individuals and subject to physical abuse and further cruel, inhuman and degrading treatment or punishment,” Britain’s Treasury said.The same year and again last August, authorities in China and Laos cracked down on cyberfraud operations in the GTSEZ, raiding offices and arresting hundreds of suspects. – ‘Violence doesn’t always pay’ -With public anger in China mounting, over both scamming itself and alleged kidnappings, Beijing instigated raids this year on centres in Myanmar and Cambodia. The operations primarily targeted Chinese workers, thousands of whom were released and repatriated, along with hundreds of other foreigners.Some say they are trafficking victims or were tricked and forced to scam people online, but some authorities say they are there voluntarily.Scammers have adapted by shifting their locations and targets, specialists say, and Horsey explained that trafficking and abuses have reduced as the business model has developed. “If you’re trying to scale and produce a huge business… violence doesn’t always pay,” he said.”It’s better to have motivated workers who aren’t scared, who aren’t looking over their shoulder, who are actually free to… do their job.”Beijing realises it cannot completely stop criminality in the region, so prefers to manage it, he added.Chinese authorities can “pick up the phone” to Zhao and tell him: “Don’t do this, limit this, don’t target Chinese people”, he said.That “is actually more valuable for China than trying to eradicate it everywhere and just lose all influence over it”.The United States Institute for Peace estimated in 2024 that Mekong-based criminal syndicates were probably stealing more than $43.8 billion annually.Representatives of both the GTSEZ and Kings Romans did not respond to AFP’s repeated requests for comment, while Zhao could not be reached.The Laos government could not be reached for comment, but the official Lao News Agency said after last year’s busts that the country was “committed to decisively addressing and eliminating cyber-scam” activity.

Droits de douane: les ministres européens cherchent une riposte face à Trump

Les ministres du Commerce de l’Union européenne se réunissent lundi à Bruxelles pour affiner leur stratégie face à la dernière initiative de Donald Trump, qui a annoncé l’imposition le 1er août de droits de douane de 30% sur les produits européens importés aux Etats-Unis.La décision du président américain a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington. La présidente de la Commission européenne – qui négocie au nom des Etats membres de l’UE -, Ursula von der Leyen, préfère faire le dos rond. Elle a annoncé dimanche que l’Union européenne n’allait pas riposter pour l’instant aux droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium, dans l’espoir d’obtenir un accord qui s’avérerait moins douloureux.”Nous avons toujours été très clairs sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu’au 1er août”, a déclaré Mme von der Leyen.- “Nous préférons une solution négociée” -Les négociations devraient donc se poursuivre. Des diplomates ont néanmoins souligné qu’un paquet de mesures de représailles supplémentaires serait présenté aux ministres lundi, mesures qui pourraient être mises en oeuvre si Donald Trump optait effectivement pour des taxes de 30% sur les importations en provenance de l’Union européenne.L’UE a déjà menacé en mai d’imposer des droits de douane sur des produits américains d’une valeur d’environ 100 milliards d’euros comprenant des automobiles et des avions, si les négociations échouaient – quand bien même un diplomate a laissé entendre que la liste finale avait été réduite à une valeur de 72 milliards.Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain.Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission européenne à “défendre résolument les intérêts européens” et à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles”.Le chancelier allemand Friedrich Merz s’est dit dimanche d’accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Mme von der Leyen et Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s’impliquer “intensivement” pour tenter d’arriver à une solution. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d’une “guerre commerciale” au sein du monde occidental.”L’Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L’Italie fera sa part. Comme toujours”, a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l’accuse de manquer de fermeté face à Washington.- Acier et aluminium -Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d’un ralentissement économique mondial.Mais son gouvernement subit des pressions pour conclure des accords avec des partenaires commerciaux après avoir promis une série d’arrangements.Jusqu’à présent, les responsables américains n’ont dévoilé que deux accords, avec le Royaume-Uni et le Vietnam, ainsi qu’une réduction provisoire des droits de douane avec la Chine.L’UE, comme des dizaines d’autres économies, devait voir le niveau de droits de douane qui lui sont appliqués par les Américains augmenter à partir d’un taux de base de 10% le 9 juillet mais M. Trump a reporté la date limite au 1er août.Dans sa lettre envoyée à Bruxelles et rendue publique samedi, M. Trump a cité l’importance du déficit commercial des Etats-Unis vis-à-vis l’UE pour justifier ses nouvelles taxes de 30%.Ce taux est nettement plus élevé que les 20% que le président américain avait dévoilés en avril, avant de faire marche arrière lorsque les marchés boursiers s’étaient effondrés.En réponse aux droits de douane américains de 25% imposés sur l’acier et l’aluminium – parallèlement à ceux évoqués sur les autres importations -, la Commission européenne avait préparé des taxes sur des produits américains d’une valeur d’environ 21 milliards d’euros.Mais elle avait annoncé en avril la suspension de ces mesures pour laisser la place à un accord commercial plus large avec le gouvernement Trump. Ces taxes devaient entrer en vigueur dans la nuit de lundi à mardi – avant d’être à nouveau suspendues.

Droits de douane: les ministres européens cherchent une riposte face à Trump

Les ministres du Commerce de l’Union européenne se réunissent lundi à Bruxelles pour affiner leur stratégie face à la dernière initiative de Donald Trump, qui a annoncé l’imposition le 1er août de droits de douane de 30% sur les produits européens importés aux Etats-Unis.La décision du président américain a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington. La présidente de la Commission européenne – qui négocie au nom des Etats membres de l’UE -, Ursula von der Leyen, préfère faire le dos rond. Elle a annoncé dimanche que l’Union européenne n’allait pas riposter pour l’instant aux droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium, dans l’espoir d’obtenir un accord qui s’avérerait moins douloureux.”Nous avons toujours été très clairs sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu’au 1er août”, a déclaré Mme von der Leyen.- “Nous préférons une solution négociée” -Les négociations devraient donc se poursuivre. Des diplomates ont néanmoins souligné qu’un paquet de mesures de représailles supplémentaires serait présenté aux ministres lundi, mesures qui pourraient être mises en oeuvre si Donald Trump optait effectivement pour des taxes de 30% sur les importations en provenance de l’Union européenne.L’UE a déjà menacé en mai d’imposer des droits de douane sur des produits américains d’une valeur d’environ 100 milliards d’euros comprenant des automobiles et des avions, si les négociations échouaient – quand bien même un diplomate a laissé entendre que la liste finale avait été réduite à une valeur de 72 milliards.Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain.Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission européenne à “défendre résolument les intérêts européens” et à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles”.Le chancelier allemand Friedrich Merz s’est dit dimanche d’accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Mme von der Leyen et Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s’impliquer “intensivement” pour tenter d’arriver à une solution. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d’une “guerre commerciale” au sein du monde occidental.”L’Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L’Italie fera sa part. Comme toujours”, a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l’accuse de manquer de fermeté face à Washington.- Acier et aluminium -Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d’un ralentissement économique mondial.Mais son gouvernement subit des pressions pour conclure des accords avec des partenaires commerciaux après avoir promis une série d’arrangements.Jusqu’à présent, les responsables américains n’ont dévoilé que deux accords, avec le Royaume-Uni et le Vietnam, ainsi qu’une réduction provisoire des droits de douane avec la Chine.L’UE, comme des dizaines d’autres économies, devait voir le niveau de droits de douane qui lui sont appliqués par les Américains augmenter à partir d’un taux de base de 10% le 9 juillet mais M. Trump a reporté la date limite au 1er août.Dans sa lettre envoyée à Bruxelles et rendue publique samedi, M. Trump a cité l’importance du déficit commercial des Etats-Unis vis-à-vis l’UE pour justifier ses nouvelles taxes de 30%.Ce taux est nettement plus élevé que les 20% que le président américain avait dévoilés en avril, avant de faire marche arrière lorsque les marchés boursiers s’étaient effondrés.En réponse aux droits de douane américains de 25% imposés sur l’acier et l’aluminium – parallèlement à ceux évoqués sur les autres importations -, la Commission européenne avait préparé des taxes sur des produits américains d’une valeur d’environ 21 milliards d’euros.Mais elle avait annoncé en avril la suspension de ces mesures pour laisser la place à un accord commercial plus large avec le gouvernement Trump. Ces taxes devaient entrer en vigueur dans la nuit de lundi à mardi – avant d’être à nouveau suspendues.

Droits de douane: les ministres européens cherchent une riposte face à Trump

Les ministres du Commerce de l’Union européenne se réunissent lundi à Bruxelles pour affiner leur stratégie face à la dernière initiative de Donald Trump, qui a annoncé l’imposition le 1er août de droits de douane de 30% sur les produits européens importés aux Etats-Unis.La décision du président américain a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington. La présidente de la Commission européenne – qui négocie au nom des Etats membres de l’UE -, Ursula von der Leyen, préfère faire le dos rond. Elle a annoncé dimanche que l’Union européenne n’allait pas riposter pour l’instant aux droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium, dans l’espoir d’obtenir un accord qui s’avérerait moins douloureux.”Nous avons toujours été très clairs sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu’au 1er août”, a déclaré Mme von der Leyen.- “Nous préférons une solution négociée” -Les négociations devraient donc se poursuivre. Des diplomates ont néanmoins souligné qu’un paquet de mesures de représailles supplémentaires serait présenté aux ministres lundi, mesures qui pourraient être mises en oeuvre si Donald Trump optait effectivement pour des taxes de 30% sur les importations en provenance de l’Union européenne.L’UE a déjà menacé en mai d’imposer des droits de douane sur des produits américains d’une valeur d’environ 100 milliards d’euros comprenant des automobiles et des avions, si les négociations échouaient – quand bien même un diplomate a laissé entendre que la liste finale avait été réduite à une valeur de 72 milliards.Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain.Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission européenne à “défendre résolument les intérêts européens” et à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles”.Le chancelier allemand Friedrich Merz s’est dit dimanche d’accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Mme von der Leyen et Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s’impliquer “intensivement” pour tenter d’arriver à une solution. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d’une “guerre commerciale” au sein du monde occidental.”L’Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L’Italie fera sa part. Comme toujours”, a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l’accuse de manquer de fermeté face à Washington.- Acier et aluminium -Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d’un ralentissement économique mondial.Mais son gouvernement subit des pressions pour conclure des accords avec des partenaires commerciaux après avoir promis une série d’arrangements.Jusqu’à présent, les responsables américains n’ont dévoilé que deux accords, avec le Royaume-Uni et le Vietnam, ainsi qu’une réduction provisoire des droits de douane avec la Chine.L’UE, comme des dizaines d’autres économies, devait voir le niveau de droits de douane qui lui sont appliqués par les Américains augmenter à partir d’un taux de base de 10% le 9 juillet mais M. Trump a reporté la date limite au 1er août.Dans sa lettre envoyée à Bruxelles et rendue publique samedi, M. Trump a cité l’importance du déficit commercial des Etats-Unis vis-à-vis l’UE pour justifier ses nouvelles taxes de 30%.Ce taux est nettement plus élevé que les 20% que le président américain avait dévoilés en avril, avant de faire marche arrière lorsque les marchés boursiers s’étaient effondrés.En réponse aux droits de douane américains de 25% imposés sur l’acier et l’aluminium – parallèlement à ceux évoqués sur les autres importations -, la Commission européenne avait préparé des taxes sur des produits américains d’une valeur d’environ 21 milliards d’euros.Mais elle avait annoncé en avril la suspension de ces mesures pour laisser la place à un accord commercial plus large avec le gouvernement Trump. Ces taxes devaient entrer en vigueur dans la nuit de lundi à mardi – avant d’être à nouveau suspendues.

Tesla to offer shareholders chance to invest in xAI: Musk

Tesla will give its shareholders the option to invest in artificial intelligence startup xAI, billionaire owner of both companies Elon Musk said on his social media platform X.”It’s not up to me… We will have a shareholder vote on the matter,” Musk said in response to a social media user suggesting that the electric car maker take a stake in xAI, which recently acquired X.”If it was up to me, Tesla would have invested in xAI long ago,” the world’s richest man said.According to the Wall Street Journal, another company controlled by Elon Musk, SpaceX, will invest $2 billion into xAI as part of its $5 billion capital raise.Responding to an X user who cited the WSJ’s news story, Musk said that “it would be great” but would depend on “board and shareholder approval.”Since the launch of xAI — which developed the generative AI assistant Grok — Musk has floated the potential synergies between the AI start-up and his two crown jewels, SpaceX and Tesla.According to the Financial Times, the businessman is seeking a valuation between $170 and $200 billion for xAI in a new funding round.Launched in July 2023, xAI is hoping to catch up with its major generative AI competitors, OpenAI (ChatGPT), Anthropic (Claude) and Google (Gemini). The start-up has invested heavily in a gigantic data center in Memphis, Tennessee, which Musk claims will become the “most powerful AI training system in the world.”He has purchased another plot of land nearby to create more data centers, which are essential for developing and running large-scale artificial intelligence models. According to Bloomberg, xAI is costing over a billion dollars every month as it builds upgraded models, with its expenses far exceeding its revenues.xAI’s virtual assistant Grok has been the source of a series of controversies. After an update on July 7, some of the chatbot’s responses praised Adolf Hitler and suggested that people with Jewish surnames were more likely to spread online hate.  On Saturday, xAI apologized for offensive posts, announcing that it had corrected the instructions that had led, according to the company, to these slip-ups.