Police arrest more Palestine Action supporters

Police in London arrested dozens of protesters on a second successive Saturday for supporting Palestine Action, a week after the UK government banned the activist group under anti-terror laws.”Officers have made 41 arrests for showing support for a proscribed organisation,” the Metropolitan Police said on X, noting another person had been arrested for common assault. “The area was cleared within the last hour,” it added in a mid-afternoon update.Footage showed police moving in on a small group of protesters displaying signs supporting Palestine Action who had gathered at lunchtime at the steps of the Mahatma Gandhi statue in Parliament Square.Campaign group Defend Our Juries, which had announced it would hold rallies Saturday in several UK cities “to defy” the ban, criticised the response.”The Metropolitan Police were out in force again today, arresting more than 40 people in Parliament Square for holding signs opposed to genocide and supporting Palestine Action,” a spokesperson told AFP. “Who do the police think they are serving in this?” the spokesperson added, calling the ban “Orwellian”.It comes a week after the arrest of 29 people, including a priest and a number of health professionals, for offences under anti-terrorism laws.- Support now a crime -Police have warned since the Palestine Action ban kicked in on July 5 that expressing support for it was now a crime. “It is a criminal offence to invite or express support for a proscribed organisation,” the Met said on X ahead of Saturday’s planned protests. “As we saw last week, those who do breach the law will face action.”Palestine Action’s proscription cleared parliament in the first days of July, and a last-ditch High Court challenge failed to stop it becoming law.The government announced plans for the ban under the Terrorism Act 2000 days after the group’s activists claimed to be behind a break-in at an air force base in southern England.Two aircraft there were sprayed with red paint, causing an estimated £7 million ($9.55 million) in damage.Four people charged in relation to the incident remain in custody.Palestine Action has condemned the proscription — which makes it a criminal offence to belong to or support the group, punishable by up to 14 years in prison — as an attack on free speech.

xAI apologizes for Grok’s offensive posts

Elon Musk’s startup xAI apologized Saturday for offensive posts published by its artificial intelligence assistant Grok this week, blaming them on a software update meant to make it function more like a human.After the Tuesday upgrade, Grok praised Nazi leader Adolf Hitler in the posts on social media platform X, and suggested that people with Jewish surnames were more likely to spread online hate. X deleted some of those posts several hours later, amid growing outrage. “We deeply apologize for the horrific behavior that many experienced,” the company posted on X Saturday, adding that it had modified the system “to prevent further abuse.”The company said the change occurred after the chatbot was prompted to “reply to the post just like a human” as well as “tell like it is and you are not afraid to offend people who are politically correct.”As a result, Grok became susceptible to users’ “extremist views,” which made it produce “responses containing unethical or controversial opinions to engage the user.”Grok, which Musk promised would be an “edgy” truthteller following its launch in 2023, has been mired in controversy.In March, xAI acquired X in a $33 billion deal that allowed the company to integrate the platform’s data resources with the chatbot’s development.In May, Grok ignited controversy by generating posts with unbacked right-wing propaganda about purported oppression of white South Africans that it termed “white genocide.”On Wednesday, Musk unveiled a new version of the assistant, Grok 4, which was unrelated to the July 7 update.

Droits de douane: Macron exprime sa “très vive désapprobation” et appelle l’UE à défendre ses intérêts

Emmanuel Macron a exprimé samedi sur X la “très vive désapprobation” de la France et a appelé l’UE à “défendre résolument les intérêts européens”, après les menaces de Donald Trump d’imposer 30% de droits de douane au 1er août sur les produits de l’Union.Le président français invite notamment la Commission européenne à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles, par la mobilisation de l’ensemble des instruments à sa disposition”, “si aucun accord n’était trouvé d’ici le 1er août”. Faisant valoir que l’UE négociait avec Washington depuis plusieurs semaines “sur la base d’une offre solide et de bonne foi”, M. Macron a affirmé qu’il revenait “plus que jamais à la Commission d’affirmer la détermination de l’Union à défendre résolument les intérêts européens”.”La France soutient pleinement la Commission européenne dans la négociation qui va s’intensifier, pour parvenir à un accord mutuellement acceptable d’ici le 1er août, afin qu’il reflète le respect que se doivent des partenaires commerciaux comme l’Union européenne et les États-Unis, aux intérêts partagés et aux chaînes de valeur intégrées”, a encore écrit le chef de l’Etat.Le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin a lui mis sur la table la possibilité d’une “une riposte proportionnée”, notamment sur les biens et les services américains, si Bruxelles n’arrive pas à un “accord équitable” avec Washington. “Dès lundi à Bruxelles avec mes 26 homologues, je serai au travail pour soutenir la Commission dans ses négociations avec les Etats-Unis jusqu’au 1er août”, a-t-il ajouté sur X.La présidente de la Commission Ursula von der Leyen, fustigeant les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump, a déclaré que l’UE souhaitait toujours parvenir à un accord commercial avec Washington.Le président américain, qui a également annoncé au Mexique 30% de droits de douane, a justifié sa décision par le déséquilibre commercial entre son pays et l’UE. En 2024, les Etats-Unis ont affiché un déficit commercial de 236 milliards de dollars (202 milliards d’euros) avec l’Union (+13% sur un an), qui a exporté 606 milliards de biens sur le territoire de la première économie mondiale, selon des chiffres du bureau du représentant américain au Commerce.

Droits de douane: Macron exprime sa “très vive désapprobation” et appelle l’UE à défendre ses intérêts

Emmanuel Macron a exprimé samedi sur X la “très vive désapprobation” de la France et a appelé l’UE à “défendre résolument les intérêts européens”, après les menaces de Donald Trump d’imposer 30% de droits de douane au 1er août sur les produits de l’Union.Le président français invite notamment la Commission européenne à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles, par la mobilisation de l’ensemble des instruments à sa disposition”, “si aucun accord n’était trouvé d’ici le 1er août”. Faisant valoir que l’UE négociait avec Washington depuis plusieurs semaines “sur la base d’une offre solide et de bonne foi”, M. Macron a affirmé qu’il revenait “plus que jamais à la Commission d’affirmer la détermination de l’Union à défendre résolument les intérêts européens”.”La France soutient pleinement la Commission européenne dans la négociation qui va s’intensifier, pour parvenir à un accord mutuellement acceptable d’ici le 1er août, afin qu’il reflète le respect que se doivent des partenaires commerciaux comme l’Union européenne et les États-Unis, aux intérêts partagés et aux chaînes de valeur intégrées”, a encore écrit le chef de l’Etat.Le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin a lui mis sur la table la possibilité d’une “une riposte proportionnée”, notamment sur les biens et les services américains, si Bruxelles n’arrive pas à un “accord équitable” avec Washington. “Dès lundi à Bruxelles avec mes 26 homologues, je serai au travail pour soutenir la Commission dans ses négociations avec les Etats-Unis jusqu’au 1er août”, a-t-il ajouté sur X.La présidente de la Commission Ursula von der Leyen, fustigeant les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump, a déclaré que l’UE souhaitait toujours parvenir à un accord commercial avec Washington.Le président américain, qui a également annoncé au Mexique 30% de droits de douane, a justifié sa décision par le déséquilibre commercial entre son pays et l’UE. En 2024, les Etats-Unis ont affiché un déficit commercial de 236 milliards de dollars (202 milliards d’euros) avec l’Union (+13% sur un an), qui a exporté 606 milliards de biens sur le territoire de la première économie mondiale, selon des chiffres du bureau du représentant américain au Commerce.

Droits de douane: Macron exprime sa “très vive désapprobation” et appelle l’UE à défendre ses intérêts

Emmanuel Macron a exprimé samedi sur X la “très vive désapprobation” de la France et a appelé l’UE à “défendre résolument les intérêts européens”, après les menaces de Donald Trump d’imposer 30% de droits de douane au 1er août sur les produits de l’Union.Le président français invite notamment la Commission européenne à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles, par la mobilisation de l’ensemble des instruments à sa disposition”, “si aucun accord n’était trouvé d’ici le 1er août”. Faisant valoir que l’UE négociait avec Washington depuis plusieurs semaines “sur la base d’une offre solide et de bonne foi”, M. Macron a affirmé qu’il revenait “plus que jamais à la Commission d’affirmer la détermination de l’Union à défendre résolument les intérêts européens”.”La France soutient pleinement la Commission européenne dans la négociation qui va s’intensifier, pour parvenir à un accord mutuellement acceptable d’ici le 1er août, afin qu’il reflète le respect que se doivent des partenaires commerciaux comme l’Union européenne et les États-Unis, aux intérêts partagés et aux chaînes de valeur intégrées”, a encore écrit le chef de l’Etat.Le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin a lui mis sur la table la possibilité d’une “une riposte proportionnée”, notamment sur les biens et les services américains, si Bruxelles n’arrive pas à un “accord équitable” avec Washington. “Dès lundi à Bruxelles avec mes 26 homologues, je serai au travail pour soutenir la Commission dans ses négociations avec les Etats-Unis jusqu’au 1er août”, a-t-il ajouté sur X.La présidente de la Commission Ursula von der Leyen, fustigeant les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump, a déclaré que l’UE souhaitait toujours parvenir à un accord commercial avec Washington.Le président américain, qui a également annoncé au Mexique 30% de droits de douane, a justifié sa décision par le déséquilibre commercial entre son pays et l’UE. En 2024, les Etats-Unis ont affiché un déficit commercial de 236 milliards de dollars (202 milliards d’euros) avec l’Union (+13% sur un an), qui a exporté 606 milliards de biens sur le territoire de la première économie mondiale, selon des chiffres du bureau du représentant américain au Commerce.

Droits de douane: Macron exprime sa “très vive désapprobation” et appelle l’UE à défendre ses intérêts

Emmanuel Macron a exprimé samedi sur X la “très vive désapprobation” de la France et a appelé l’UE à “défendre résolument les intérêts européens”, après les menaces de Donald Trump d’imposer 30% de droits de douane au 1er août sur les produits de l’Union.Le président français invite notamment la Commission européenne à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles, par la mobilisation de l’ensemble des instruments à sa disposition”, “si aucun accord n’était trouvé d’ici le 1er août”. Faisant valoir que l’UE négociait avec Washington depuis plusieurs semaines “sur la base d’une offre solide et de bonne foi”, M. Macron a affirmé qu’il revenait “plus que jamais à la Commission d’affirmer la détermination de l’Union à défendre résolument les intérêts européens”.”La France soutient pleinement la Commission européenne dans la négociation qui va s’intensifier, pour parvenir à un accord mutuellement acceptable d’ici le 1er août, afin qu’il reflète le respect que se doivent des partenaires commerciaux comme l’Union européenne et les États-Unis, aux intérêts partagés et aux chaînes de valeur intégrées”, a encore écrit le chef de l’Etat.Le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin a lui mis sur la table la possibilité d’une “une riposte proportionnée”, notamment sur les biens et les services américains, si Bruxelles n’arrive pas à un “accord équitable” avec Washington. “Dès lundi à Bruxelles avec mes 26 homologues, je serai au travail pour soutenir la Commission dans ses négociations avec les Etats-Unis jusqu’au 1er août”, a-t-il ajouté sur X.La présidente de la Commission Ursula von der Leyen, fustigeant les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump, a déclaré que l’UE souhaitait toujours parvenir à un accord commercial avec Washington.Le président américain, qui a également annoncé au Mexique 30% de droits de douane, a justifié sa décision par le déséquilibre commercial entre son pays et l’UE. En 2024, les Etats-Unis ont affiché un déficit commercial de 236 milliards de dollars (202 milliards d’euros) avec l’Union (+13% sur un an), qui a exporté 606 milliards de biens sur le territoire de la première économie mondiale, selon des chiffres du bureau du représentant américain au Commerce.

Droits de douane: Macron exprime sa “très vive désapprobation” et appelle l’UE à défendre ses intérêts

Emmanuel Macron a exprimé samedi sur X la “très vive désapprobation” de la France et a appelé l’UE à “défendre résolument les intérêts européens”, après les menaces de Donald Trump d’imposer 30% de droits de douane au 1er août sur les produits de l’Union.Le président français invite notamment la Commission européenne à “accélérer la préparation de contre-mesures crédibles, par la mobilisation de l’ensemble des instruments à sa disposition”, “si aucun accord n’était trouvé d’ici le 1er août”. Faisant valoir que l’UE négociait avec Washington depuis plusieurs semaines “sur la base d’une offre solide et de bonne foi”, M. Macron a affirmé qu’il revenait “plus que jamais à la Commission d’affirmer la détermination de l’Union à défendre résolument les intérêts européens”.”La France soutient pleinement la Commission européenne dans la négociation qui va s’intensifier, pour parvenir à un accord mutuellement acceptable d’ici le 1er août, afin qu’il reflète le respect que se doivent des partenaires commerciaux comme l’Union européenne et les États-Unis, aux intérêts partagés et aux chaînes de valeur intégrées”, a encore écrit le chef de l’Etat.Le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin a lui mis sur la table la possibilité d’une “une riposte proportionnée”, notamment sur les biens et les services américains, si Bruxelles n’arrive pas à un “accord équitable” avec Washington. “Dès lundi à Bruxelles avec mes 26 homologues, je serai au travail pour soutenir la Commission dans ses négociations avec les Etats-Unis jusqu’au 1er août”, a-t-il ajouté sur X.La présidente de la Commission Ursula von der Leyen, fustigeant les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump, a déclaré que l’UE souhaitait toujours parvenir à un accord commercial avec Washington.Le président américain, qui a également annoncé au Mexique 30% de droits de douane, a justifié sa décision par le déséquilibre commercial entre son pays et l’UE. En 2024, les Etats-Unis ont affiché un déficit commercial de 236 milliards de dollars (202 milliards d’euros) avec l’Union (+13% sur un an), qui a exporté 606 milliards de biens sur le territoire de la première économie mondiale, selon des chiffres du bureau du représentant américain au Commerce.

Iran says cooperation with UN nuclear watchdog will take ‘new form’

Iran said Saturday its cooperation with the International Atomic Energy Agency “will take on a new form”, expressing a desire for a diplomatic solution to resolve concerns over its nuclear programme.Iran’s 12-day war with Israel last month, sparked by an Israeli bombing campaign that hit military and nuclear sites as well as residential areas, rattled its already shaky relationship with the UN nuclear watchdog.The attacks began days before a planned meeting between Tehran and Washington aimed at reviving nuclear negotiations, which have since stalled.Foreign Minister Abbas Araghchi said on Saturday that Iran’s cooperation with the IAEA “has not stopped, but will take on a new form”, after the Islamic republic formally ended cooperation with the UN watchdog in early July.Iran has blamed the IAEA in part for the June attacks on its nuclear facilities, which Israel says it launched to prevent Iran from developing a nuclear weapon — an ambition Tehran has repeatedly denied.The United States, which had been in talks with Iran since April 12, joined Israel in carrying out its own strikes on June 22, targeting Iranian nuclear facilities at Fordo, Isfahan and Natanz.Araghchi said requests to monitor nuclear sites “will be reviewed on a case-by-case basis… taking into account safety and security issues”, and be managed by Iran’s Supreme National Security Council.- ‘Assurances’-In early July, a team of IAEA inspectors left Iran to return to the organisation’s headquarters in Vienna after Tehran suspended cooperation.The talks were aimed at regulating Iran’s nuclear activites in exchange for the lifting of economic sanctions.Before agreeing to any new meeting, “we are examining its timing, its location, its form, its ingredients, the assurances it requires”, said Araghchi, who also serves as Iran’s lead negotiator.He said that any talks would focus only on Iran’s nuclear activities, not its military capabilities.”If negotiations are held… the subject of the negotiations will be only nuclear and creating confidence in Iran’s nuclear programme in return for the lifting of sanctions,” he told diplomats in Tehran. “No other issues will be subject to negotiation.”Araghchi also warned that reimposing UN sanctions could eliminate Europe’s role in the process.- Enrichment -“Such measures would signify the end of Europe’s role in the Iranian nuclear dossier,” Araghchi said.A clause in the 2015 nuclear agreement, which US President Donald Trump withdrew from during his first term, allows for UN sanctions to be reimposed if Iran is found to be in breach of the deal.Araghchi stressed that any new nuclear deal must uphold Iran’s right under the Non-Proliferation Treaty to enrich uranium for peaceful purposes.”I would like to emphasise that in any negotiated solution, the rights of the Iranian people on the nuclear issue, including the right to enrichment, must be respected,” he said. “We will not have any agreement in which enrichment is not included.”Russian Foreign Minister Sergei Lavrov said at the BRICS summit in Rio on Monday that Moscow would remain a committed ally of Iran and support its nuclear programme.”Russia has technological solutions for uranium depletion and is ready to work with Iran in this field,” Lavrov said, as reported by Russian state news outlet TASS.

England and India set for second-innings shoot-out as third Test turns fiery

KL Rahul made 100 and Ravindra Jadeja a third successive fifty as India exactly equalled England’s 387 in the third Test at Lord’s on Saturday before tempers flared as the match headed towards a second-innings shoot-out.India were in command while opener Rahul and dynamic left-hander Rishabh Pant (74) shared a fourth-wicket stand of 141.But both batsmen fell either side of lunch on the third day to leave India’s first innings in the balance at 254-5.Jadeja and fellow all-rounder Nitish Kumar Reddy, however, kept England at bay with a stand of 72 in 27 overs.But India were unable to surpass England’s first-innings total in the latest sign of just how evenly matched the teams are in a five-match series currently level at 1-1.England should have had two overs to bat before stumps.Zak Crawley twice pulled away as Jasprit Bumrah ran into bowl, leading India to think he was time-wasting.And after Bumrah’s fifth delivery, the England opener further angered India by calling for the physio, although there would have been time for only one more delivery as the clock had already ticked round to the close time of 6:30 pm (1730 GMT).India players swarmed around Crawley, with captain Shubman Gill exchanging words with the England opener.The incident had been something of an accident waiting to happen given the umpires had allowed several unscheduled drinks breaks and other delays during India’s innings.The upshot was that England only faced one over before they reached stumps narrowly ahead at 2-0. – ‘Theatrics’ -“I understand from an opening batter’s point of view, it’s something that happens a lot, quite a lot of theatrics at the end,” Rahul told the BBC after stumps. India were poised to bat through the morning session without losing a wicket.But, in the last over before lunch, Pant was run-out by England captain Ben Stokes’ direct hit from cover-point as he tried to get Rahul, 98 not out at the interval, back on strike to complete his century before the break.Rahul did get to a hundred but was out edging off-spinner Shoaib Bashir to slip off the next ball he faced.On another hot and energy-sapping day at Lord’s, India resumed on 145-3.Rahul was 53 not out with wicketkeeper Pant, off the field for much of England’s innings following a finger injury, unbeaten on 19.There had been joyous scenes at Lord’s on Friday when Jofra Archer marked his return to Test cricket following more than four years of injury-induced exile with a third-ball dismissal of Yashasvi Jaiswal.But Archer’s first ball Saturday was glanced fine for four by Pant as the express fast bowler strayed in line.Rahul then drove Brydon Carse for four and later glanced, square-cut and clipped the fast bowler for three more elegant boundaries in successive deliveries.Pant who scored twin hundreds in India’s defeat in the first Test at Headingley and a quickfire 65 in a series-levelling win at Edgbaston, completed a 55-ball fifty in style by hooking all-rounder Stokes for six.After lunch, Rahul’s quick single saw him to a 176-ball hundred, including 13 fours — his 10th century in 61 Tests and second at Lord’s after the 33-year-old’s 129 in 2021.But Rahul’s next ball proved his undoing when, pushing forward to a well-flighted Bashir delivery, he edged to Harry Brook at slip.”It’s not been easy having to bat all around that top six, it’s nice to finally get a spot where I’ve batted a lot,” said Rahul, who also made a hundred at Headingley.Jadeja went to his half-century by driving part-time off-spinner Joe Root for four — the newly-promoted number six’s third consecutive 50-plus score after innings of 89 and 69 not out at Edgbaston. The all-rounder also lofted Root for six before he was ‘strangled’ down the legside by Chris Woakes. Tailender Akash Deep, who narrowly avoided twice being lbw in three balls to Woakes, whipped the first ball of Archer’s new spell for a six over long leg in the manner of a top-order batsman.Deep then fell as Brook took a blinding catch at slip off Carse, before Woakes saw off Bumrah immediately after India tied the scores and Washington Sundar (23) skied Archer to Brook at long stop as the tourists lost their last four wickets for just 11 runs in six overs.

Indépendantistes et loyalistes s’accordent sur un futur “Etat de la Nouvelle-Calédonie”

Les forces politiques calédoniennes ont signé samedi près de Paris un accord “historique” prévoyant un futur “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution française, après dix jours de discussions sur l’avenir institutionnel de ce territoire du Pacifique sud.Ce “projet d’accord”, qui prévoit un statut inédit se rapprochant d’une indépendance-association ainsi qu’une nationalité calédonnienne, doit encore être entériné en Nouvelle-Calédonie après consultation interne de la base au sein de chaque parti et mouvement signataires. Participaient à ces négociations à Bougival (Yvelines) près de Paris toutes les forces politiques du Congrès calédonien: Union calédonienne et UNI-Palika pour les indépendantistes, Loyalistes et Rassemblement-LR pour les non-indépendantistes, Calédonie ensemble et Éveil océanien au centre.Le président Emmanuel Macron a reçu les signataires en début de soirée à l’Elysée, en présence de François Bayrou, du ministre des Outre-mer, Manuel Valls et des présidents des deux chambres, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, très impliqués dans le processus.”Après deux accords et trois référendums, la Nouvelle-Calédonie, par ce que vous avez signé, ouvre une nouvelle page de son avenir dans un lien serein avec la France”, a déclaré le chef de l’Etat martelant à plusieurs reprises à l’adresse de ses interlocuteurs calédoniens : “vous avez bien fait”.François Bayrou a lui exprimé sa “fierté d’un accord à hauteur d’Histoire” pour l’avenir de ce territoire à 17.000 kilomètres de l’Hexagone. Un enthousiasme assez largement partagé dans la classe politique française.- “Rien n’est gagné” -Dans une réaction transmise à l’AFP, M. Valls avait lui salué dès samedi matin “le choix du courage et de la responsabilité” des responsables calédoniens.Lors d’un échange avec la presse, l’ex-Premier ministre a ensuite évoqué un “compromis intelligent” et “historique”, soulignant que l’accord acte un “Etat de la Nouvelle-Calédonie dans l’ensemble français”, un lien avec la France “maintenu” avec “davantage de souveraineté pour la Calédonie” et un socle de “reconstruction politique, économique et sociale”, rendu nécessaire après les émeutes de 2024.”Mais rien n’est gagné”, prévient-il, appelant à “convaincre les Calédoniens”. Environ 270.000 personnes vivent en Nouvelle-Calédonie.Reçus à l’Elysée, tous les signataires ont confié que le projet d’accord serait délicat à défendre dans l’archipel.Le député Emmanuel Tjibaou (GDR), qui conduisait la délégation FLNKS, s’attend à “se mettre à l’épreuve de la critique”.”On a dit ce matin (samedi) +dès qu’on sort de la table, on va passer le pas de la porte et on va se faire insulter, menacer+, parce que nous avons choisi un chemin différent”, celui du “compromis”, dit-il.Même tonalité côté Loyaliste et Rassemblement-LR, où l’on salue “un accord historique” en mesure “d’instaurer une nouvelle ère de stabilité”, mais qui va devoir être défendu et accepté sur le Caillou. “Ca va bouger sur place, il va falloir être extrêmement solide”, pour “rester sur les rails” de l’accord, a estimé Nicolas Metzdorf, figure du camp non-indépendantiste.Un des points de l’accord stipule que le corps électoral local sera ouvert aux résidents en Nouvelle-Calédonie depuis au moins dix ans à partir des élections provinciales de 2031, alors que la réforme du corps électoral avait été à l’origine des émeutes de mai 2024, qui ont fait 14 morts.Le texte prévoit “un statut dans la France. Avec des Calédoniens qui restent Français. Plus aucun référendum en vue si ce n’est celui qui sera organisé pour valider cet accord. Une ouverture du corps électoral”, a résumé le député non indépendantiste Nicolas Metzdorf auprès de l’AFP. – Nationalité calédonienne -Intitulé le “pari de la confiance”, les 13 pages du projet d’accord, consulté par l’AFP, actent la création d’une nationalité calédonienne, les habitants répondant aux critères de citoyenneté du Caillou bénéficiant de la double nationalité française et calédonienne.Un “Etat de la Nouvelle-Calédonie” inscrit dans la Constitution de la République française sera créé, qui pourra être reconnu par la communauté internationale, souligne l’accord. Cela ne signifie pas que la Nouvelle-Calédonie disposera d’un siège à l’ONU.L’accord aborde l’économie avec un futur “pacte de refondation économique et financière” qui prévoit notamment un “plan stratégique” pour le nickel, ressource-clé du territoire, mais reste vague dans les ambitions et les termes.Une fois validé par la base en Nouvelle-Calédonie, le texte prévoit l’adoption à l’automne d’une loi organique reportant les élections provinciales – déterminantes pour la composition du Congrès et du gouvernement local – à juin 2026.Suivra un projet de loi constitutionnelle, modifiant le titre XIII de la Constitution relatif à la Nouvelle-Calédonie, qui devra être adopté par le Parlement réuni en Congrès. Les Calédoniens seront ensuite appelés à se prononcer sur l’accord lors d’un référendum, prévu en février 2026.